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[flashback : 1624]Une évasion par la grande porte.

{ HRP LEGENDE :
bleu royal : rêves.
bleu normal : flashback
vert olive : Akuma (ma conscience)
Rouge foncé : Ken'boushou }


*courir, encore courir, toujours courir. Encore plus vite, encore plus loin...*
Je me réveillais brusquement dans une pièce stérile. J'étais affublé d'une blouse blanche ridicule, d'un collier d'ecchymose et était enchaîné dans un lit tel un vulgaire singe. Je tentais de me détacher en forçant sur mes chaînes, mon poignet saignait mes bras étaient endolori. L'homme me ressemblant était assis non loin de mon lit sur une chaise. Il eut un petit rictus puis dit:
-Arrêt baka, tu n'as pas compris que ça servais à rien ?
-TA GUEULE ! TU N'EXISTES PAS ! TU SORS DE MON IMAGINATION !
–Je sors peut être de ton esprit, mais qui m'a créé ?
-CASSE-TOI !
Il ricana puis disparu. Une femme qui avait tous d'une infirmière vint vers moi et me demanda à qui je parlai, je détournai le regard d'elle. Elle me dit que j'eu de la chance, en effet le shérif adjoint faisait sa ronde au moment de ma tentative de suicide. Je la regardai d'un aire dégouter, lui cracha dessus et me retourna. Elle fit un mouvement dû à la surprise, elle me dit que j'allais finir dans un hôpital psychiatrique si je restais dans cet état d'esprit. Elle me demanda comment je m'appelle, je lui recrachai dessus. D'un aire énervé elle appela ce même bouzeu de flic, lui dis que j'étais dangereux et qu'il fallait me renvoyer dans ma cellule en attendant mon transfert pour la prison. Quelques temps plus tard le garde arriva, me détacha du lit, me fit me lever, m'attacha les pieds et les mains avec d'autre menotte et me poussa pour me dire d'avancer. Je boitai encore et tomba sur le sol. Le malabar énerver sorti une matraque, me mit un coup sur le dos, me pris par le bras et me traîna sur le sol. Ma peau grinçait sur le sol je secouais mes jambes, lui demandais de me relever, j'avais mal.
Traîné tel un boulet jusqu’à sa voiture, Il me mit un coup sur la tête, je sombrai.
*courir, encore courir, toujours courir. Encore plus vite, encore plus loin...*
J'eu un réveil difficile, l'autre moi était encore et toujours là me regardant dormir. J'en avais marre, je craquais, je voulais des réponses alors je lui dis d'une voix énerver.

-ECOUTE JE NE SAIS PAS QU'ES QUE TU ME VEUX, MAIS JE VEUX DES REPONSES !
-Haha, que veux-tu savoir ?
-COMMENT DOIS-JE T'APPELER ? QU'ES QUI M'EST ARRIVER ? ET QUE ME VEUX-TU !
-houlà calme toi, une question à la fois baka. Appel moi, humm voyons voir. Il réfléchit quelque instant, pris un sourire de démon et dit akuma. Après te divulguer ton nom, ton histoire exetera, exetera, non surement pas! J'apprécie trop te torturé.
Je me frottai les yeux avec ma main, quand je les rouvris il n'était plus là. Je ne pouvais retenir les larmes sur mon visage, m'empêcher d'en vouloir au monde entier.
*Soudainement, me voilà dans le passé, un flashback de mon enfance, marchant dans un couloir à la moquette rose. Mes vêtements écorché, un katana à la main, la lame entaillant cette même moquette. Je m'appuyai sur le mur, dis quelque mot puis me mis en garde. Un enfant sorti d'une pièce, une chaise à la main, un tabouret dans l'autre. Il me jeta la chaise, je la découpai, il m'attaqua avec le tabouret, je parai les coups, sautai sur un rebord d'escalier, fit un salto arrière, me retrouva dans son dos, il se retourna chargea, je fis des confettis de son arme, lui mis la lame à la gorge, il sorti un neuf millimètres de son dos, me braqua, remua son arme me disant de jeter mon sabre, je le fis tournoyer au-dessus de ma tête, le plantai dans le sol puis lui arrachai son arme des mains. Je le mis en joue à mon tour, il sorti un poêle de son dos, mis un coup dans mes mains, fit tomber le cracheur de haine, frappa mon visage, je fis un tour sur moi-même, lui mis un coup de poing dans le plexus, il recula de deux mètres, je sautai sur le mur, bondi sur lui, lui mis un coup de pied retourné, il se retrouva éjecter contre le mur. Il chargea de plus belle, je lui mis un middle-kick, suivis d'un hight-kick, il tomba, se releva s'essuyant la bouche, me mis un crochet du droit, je lui mis un double coup de pied lune, il s'éclata contre le mur, tomba dans les escaliers. Je lui sautai dessus, il esquiva, je le pris par le col, l'éjectai sur une table, il roula dessus, se releva, me jeta une nouvelle chaise, j'esquivai avec un pat chassé, il en profita pour prendre deux couteaux, je ramassai une casserole puis l'assomma avec toute en esquivant son attaque.*
    L'Harmaguédon. C'était notre arme spéciale. Il devait ce nom au mythe qui expliquait qu'à la fin du monde il y aurait un grand champ de bataille. Le rapprochement entre ce lieu et ce dernier était que dans les deux cas, il y avait la fin de toutes choses. Bref, c'était juste exagéré. Ce canon unique était capable de tirer des boulets particuliers. Ces derniers pouvaient être explosifs, incendiaires ou même avoir de l'acides. J'avais choisi comme cible la minable ville de l'Archipel Vert. J'allais pouvoir tester véritablement mon nouvel équipement sans trop avoir de problème. Peut-être que le peu de Marine rappliquera. En tout cas, j'avais hâte de voir les dégâts.

    On était le seul navire pirate qui était amarré au port aujourd'hui. Il ne risquait pas d'avoir trop de problème. Surtout qu'il n'y avait que des bons à rien, ici. Cela allait être un jeu d'enfant. Peut-être qu'il y aura un petit retour de la Marine. Il avait aussi un seul vaisseau près des docks. De toute façon, on ne risquait rien.

    J'ordonnais donc de tirer un boulet explosif dans un bâtiment au pif. Le projectile siffla dans les airs, traversant le port au dessus des têtes effrayés, puis vient percuter une bâtisse qui semblait être une taverne. Très peu de gens qui avait pu s’échapper et le souffle fit exploser les quatre murs dans un bruit assourdissant. L'auberge fut atomiser en un instant. Les débris volèrent de partout. Des poutres enflammés retombèrent sur le sol pavée du port. Les civils témoins de la scène furent presque paralysés. Les peu de soldats Marines ne perdaient pas de temps et tentèrent d'arrêter l'Inferno. Ils armaient les batelleries et tirèrent à leur tour. Quant aux malheureux habitants, ils faisaient tout pour les éloignés du champs de bataille.

    Soudain, à cause du feu qui s'alimentait dans les réserves, une second implosion fit trembler le sol. Les vapeurs d'alcools avaient du être la cause. Je constatais donc que ma nouvelle arme faisait de lourd dégâts et ce, même dans les simples constructions. Maintenant, je demandais qu'on s'occupe des représailles. L'Harmaguédon tourna à quelques degrés et mes nakamas le chargeait rapidement. C'était une occasion pour voir combien de temps mon grand calibre mettait pour pivoter et aussi pour savoir le nombre de secondes que mes hommes effectuer pour le charger. Car l’inconvenant de ce bijoux était ça... Les tires ennemies avaient détruis que des parties non sensibles du bateau. Un autre boulet de test fut lancer hors de la gueule du canon et vint toucher les Marines près de la cibles manqués.
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