Une salle de vente aux enchères offre bien des perspectives à leurs heureux propriétaires, une salle d’enchère peut s’avérer être un très bon placement financier qui rapporte gros, peu de frais, de charges et ne nécessite pour ainsi dire que l’entretien sanitaire du lieu en question. Le gros de l’affaire est constitué par la prix du local qui est souvent à des prix prohibitifs mais dont le retour sur investissement est unanime. Jones n’était pas le seul à avoir flairé ce filon juteux, l’acquisition de ce genre de salle d’enchères est très réglementée par le gouvernement mondial et les opportunités pour mettre la main sur ces pépites sont extrêmement rares. Il faut dire que le gouvernement craint que ces salles de ventes tournent rapidement à de la vente de masse musculaire, que soit humains et hommes-poissons, tous étaient logés à la même enseigne dans ces geôles improvisés. La vente d’esclave rapporte bonbon et à fortiori lorsqu’il s’agit d’esclaves hommes-poissons ou de sirènes, qui peuvent se monnayer éminemment bien selon la rareté de l’espèce. Ces salles d’enchères attirent en leur sein, des individus de tous bords, étrangers comme enchéreurs réguliers, ils ont tous la passion collectionneuse qui leur coulent dans les veines et il est certain qu’ils emporteront ce vice jusque dans leurs tombes. Même des Shichibukai se seraient prit au jeu, jadis, et auraient investis dans une salle d’enchères. Des rumeurs quant au rôle complexe de Donquihote Doflamingo dans ce commerce avaient bon train. Jones comptait bien lui aussi mettre la main sur ce trafic infiniment lucratif et rémunérateur, il ne s’agissait pas d’acquérir l’établissement par la force mais davantage de manière officieuse en faisant intervenir un mandataire qui s’occuperait des affaires à la place de Jones et qui aurait en conséquence toute sa confiance…ou plutôt une once de confiance. Jones était conscient qu’il devrait « forcer le destin « pour se procurer une occasion de cet ampleur mais vous savez ce qu’on dit, on a jamais rien sans rien. Jones avait pu se procurer grâce à un contact bossant à l’hôtel de ville de Luvneel une liste complète des salles d’enchères figurant à travers North Blue, rien que les noms en disait long sur les types d’objets concédés dans les salles en question.
« A la perle d'antan » rien que le nom kitsch de l’enseigne suffisait à penser que les objets avaient pas une très grande valeur marchande et qu’ils étaient entreposés dans un nid à poussière. Jones parcourait la liste des salles d’enchères jusqu'à trouver un nom qui en mettait plein les mirettes jusqu'à ce qu’il en identifie une sur le royaume de Luvneel. Il ne s’agissait pas de reprendre un commerce poussiéreux et pourave à souhait, la notoriété et le réseau de contacts sont des éléments à ne pas négliger pour assurer la pérennité de ce type particulier de négoce. Jones savait que dans une contrée telle que Luvneel ce n’était pas les clients qui manquaient à l’appel, le royaume possédait son bon lot de gros nobles orduriers et procéduriers qui ne lésinaient pas sur le dénigrement des classes sociales inférieures et à fortiori sur ceux qui ne sont que des moitiés d’homme. Cependant ils s’agissaient de clients exigeants et pointilleux quant à la qualité de la marchandise et des aptitudes dont elle dispose, leur influence est telle qu’ils peuvent vous ruiner tout votre business sur décret royal et mettre un terme à vos espoirs de richesses. Ils avaient au moins le mérite de payer cash et ce point à lui seul, suffisait à justifier tous ces désagréments, le fric régit tout, c’est un fait indéniable. Jones n’avait pour ainsi dire aucun préjugés ou idées préconçues sur les esclaves, il savait juste que leur exploitation rapportait bien sans avoir à trop engager de frais pour les entretenir. S’aventurer dans les idéaux humanistes ou sur la position et le rôle que ces hommes doivent tenir dans la société n’étaient pas de son ressort et il n’en avait foncièrement rien à taper des desiderata et autres aspirations des nobles mondiaux. Il était pas exclu qu’un de ces 4, il en mette un K.O ne serait-ce que pour bien exprimer au monde qu’ils ne sont que des colosses aux pieds d’argile. Un nom interpella sa curiosité, la salle d’enchère tenait boutique à Luvneelpraad sous la dénomination de « Red Room », un nom de maison close ou de bordel que celui la, on se demandait même s’il vendait réellement des objets précieux et anciens plutôt qu’une batterie d’objets disons…sensuelles, le bâtiment était situé en contrebas des quartiers résidentielles à la frontière avec ce qu’on appelle ici de manière dédaigneuse « la ville basse ». Il était temps de rendre une petite visite aux tenanciers de cette salle d'enchères et de tâter le terrain ne serait-ce que pour vérifier leurs prétentions et les locaux du bâtiment. Sharp Jones partit avec un petit groupe d'hommes en direction de la salle d'enchères avec la ferme intention de s'improviser enchérisseur et de se porter acquéreur de quelques belles pièces de collection...enfin ça c'est pour la forme.
« A la perle d'antan » rien que le nom kitsch de l’enseigne suffisait à penser que les objets avaient pas une très grande valeur marchande et qu’ils étaient entreposés dans un nid à poussière. Jones parcourait la liste des salles d’enchères jusqu'à trouver un nom qui en mettait plein les mirettes jusqu'à ce qu’il en identifie une sur le royaume de Luvneel. Il ne s’agissait pas de reprendre un commerce poussiéreux et pourave à souhait, la notoriété et le réseau de contacts sont des éléments à ne pas négliger pour assurer la pérennité de ce type particulier de négoce. Jones savait que dans une contrée telle que Luvneel ce n’était pas les clients qui manquaient à l’appel, le royaume possédait son bon lot de gros nobles orduriers et procéduriers qui ne lésinaient pas sur le dénigrement des classes sociales inférieures et à fortiori sur ceux qui ne sont que des moitiés d’homme. Cependant ils s’agissaient de clients exigeants et pointilleux quant à la qualité de la marchandise et des aptitudes dont elle dispose, leur influence est telle qu’ils peuvent vous ruiner tout votre business sur décret royal et mettre un terme à vos espoirs de richesses. Ils avaient au moins le mérite de payer cash et ce point à lui seul, suffisait à justifier tous ces désagréments, le fric régit tout, c’est un fait indéniable. Jones n’avait pour ainsi dire aucun préjugés ou idées préconçues sur les esclaves, il savait juste que leur exploitation rapportait bien sans avoir à trop engager de frais pour les entretenir. S’aventurer dans les idéaux humanistes ou sur la position et le rôle que ces hommes doivent tenir dans la société n’étaient pas de son ressort et il n’en avait foncièrement rien à taper des desiderata et autres aspirations des nobles mondiaux. Il était pas exclu qu’un de ces 4, il en mette un K.O ne serait-ce que pour bien exprimer au monde qu’ils ne sont que des colosses aux pieds d’argile. Un nom interpella sa curiosité, la salle d’enchère tenait boutique à Luvneelpraad sous la dénomination de « Red Room », un nom de maison close ou de bordel que celui la, on se demandait même s’il vendait réellement des objets précieux et anciens plutôt qu’une batterie d’objets disons…sensuelles, le bâtiment était situé en contrebas des quartiers résidentielles à la frontière avec ce qu’on appelle ici de manière dédaigneuse « la ville basse ». Il était temps de rendre une petite visite aux tenanciers de cette salle d'enchères et de tâter le terrain ne serait-ce que pour vérifier leurs prétentions et les locaux du bâtiment. Sharp Jones partit avec un petit groupe d'hommes en direction de la salle d'enchères avec la ferme intention de s'improviser enchérisseur et de se porter acquéreur de quelques belles pièces de collection...enfin ça c'est pour la forme.
Dernière édition par Sharp Jones le Sam 28 Juil 2012 - 22:25, édité 3 fois