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L'histoire de Satoshi [V] Une aide subtile... Enfin, presque.

Il y a exactement un an...


____


C'était en un lieu secret, quelque part dans les profondeurs de North Blue, sur une petite île habitée par des marchands de jouets. En ce lieu secret, il y avait un mafieux un jeune homme tenant une immense croix. Face à lui, se tenait accroupie son petit frère, avec une cigarette à la bouche. Ces deux hommes étaient Don Carbo-pizza, seigneur de la mafia de North Blue, et TNT Tempiesta, toute nouvelle recrue dans les rangs de la pègre.

La discussion semblait grave, chacun des deux hommes était particulièrement concentré, l'un pesait, comme à son habitude, ses mots, l'autre, réfléchissait, comme à son habitude, à comment il allait pouvoir résoudre le problème avec le plus d'explosions possibles.

Je te confie le commandement, mais je le fait juste par confiance en tes stratégies, donc ne me déçoit pas.

A ces mots de son frère, Timuthé hocha la tête. Le message était clair, s'il voulait survivre, il devait veiller à ce qu'il n'y est pas d'accrocs. Tel était la dure loi de la mafia. Elle l'était d'autant plus que le jeune homme venait de se voir attribuer un poste d'importance alors qu'il venait juste d'arriver, et cela avait tendance à être un très bon raccourci pour la morgue en cas d'échec. Cela allait être compliqué, très compliqué, il faudrait les meilleurs hommes...

Par contre, comme il s'agit de la marine, je te laisse le choix, tu as à ta disposition toutes les familles qui travaillent sous mes ordres. Choisit les bien, je te laisse 24 heures pour te décider.

Nouveau hochement de tête de TNT. Finalement c'était plutôt bien partit, il avait tous les plans en tête, et en plus il pourrait choisir les plus grand tueurs au service de son frère. Il y avait les hommes d'Antonio Varia, ces tueurs qui ne vivaient que dans le pécher, reconnus comme étant parmi une des meilleurs formation d'assassins du monde. A moins qu'il ne fasse appel à Natsuguya Mitsune, le "vindicare", et à ses mystérieux hommes, qui servaient de gardes du corps d'élite du parrain. Ou bien peut être même cette étrange famille qui venait de rejoindre les Tempiesta, dirigé par un homme étrange et ses 6 gardes du corps aux pouvoirs extraordinaires...

Le regard de Tim devint mauvais, très mauvais. Il venait de déterminer quel serait le meilleur plan, et fit par de sa décision à son frère ainé.

____


Quelques jours plus tard, dans un coin isolé du royaume de Luvneel, le jeune garçon s'allumait une énième cigarette en contemplant la villa qu'il avait devant lui. C'était dans cette villa que se trouvait Satoshi Noriyaki ainsi que Okito Shinsen, les deux hommes qu'il allait devoir protéger. Derrière lui, les meilleurs hommes qu'il ai put trouver, la crème de la crème, l'élite de la mafia de North Blue ! Attendez...

En fait non, TNT avait derrière lui 33 mafieux débraillé pas fichus de tenir un fusil dans les mains. Le plus jeune avait 14 ans, le plus vieux en avait 70, et aucun n'avait jamais brillé pour autre chose que leur inutilité. Non, ce n'était pas un vil piège de la part des familles, qui tenaient particulièrement aux contrebandiers, mais bien un choix de notre jeune allumé. Et oui, réfléchissez, réussir une mission avec des troupes d'élites réputés pour ne jamais se loupé, c'était nul, un boulot de jeune fille sans ambition. Alors que là, imaginez, remporter une opération telle que celle-ci avec une bande de nuls qu'on n'offrirait même pas à manger aux chien (les pauvres bêtes), c'était un véritable job d'homme, un de ceux qui vous faisait passé pour un être viril au possible.

Et puis, il y avait un autre facteur qui plaisait beaucoup à TNT, ainsi qu'à son frère : les inutiles se feraient très vite explosés par les marines qui n'allaient plus tarder maintenant, donc, c'était un peu un sorte de mutation d'employés en un domaine de compétence plus adéquat. Traduit en langage commun, ça veut dire trucider les faibles et garder les forts.

Le 34ième de ses hommes approcha en courant. C'était un quadragénaire qui aurait sembler presque potable, mais il avait un gros défaut quand on veut être un tueur. Il perdu un bras et un œil durant un conflit. Ça à l'air bête, mais à moins d'être un héros de manga au charisme presque divin, ça limite vachement votre potentiel au combat.

L'homme en question annonça qu'il avait vu avec les contrebandiers déjà présents, et que les mafieux de North Blue était les bienvenus. Timuthé recracha une bouffé de fumé sur son interlocuteur, qui avait la bonne idée d'être asthmatique et donc, qui manqua de s'étouffer. Quand je vous disais qu'il avait prit les plus nuls des plus nuls.

Le groupe s'engagea clopin clopant sur la pente, devancé par un Tempiesta manifestement pressé. Il avait calculé son coup de la manière la plus juste possible, il aurait juste le temps d'installer ses hommes avant l'assaut des marines. Ça c'était classe et viril, être prit par le temps, et devoir organiser à toute vitesse une résistance héroïque sur une musique jouée à l'harmonica, ou à la guitare électrique.

Le voilà dans le jardin. Après un bref salut aux hommes gardant l'entré, il s'exprima au et fort, pour que les faibles derrière lui l'entendent.

Simon le chat, tu vas rester ici avec ton groupe, pour renforcer les défenses, Nagato le puant, file sur le côté Nord, nous devons absolument garder une voix de retraite!

A ces mots, deux groupes de 7 se séparèrent, l'un était dirigé par une homme étrange, tout gros, tout poilu, et manifestement incapable de battre à la course une tortue tricentenaire rhumatisante. Le deuxième était diriger par un petit vieux en béquille, qui dégageait en permanence l'odeur caractéristique du bébé qui à fait dans sa couche par un bel après-midi d'été sur les bord de la Loire.

Sans même faire semblant de ralentir pour attendre ses "hommes", TNT continua son chemin au travers du dojo, droite, gauche, puis une salle, encore à droite, une autre salle... Bon par contre comme le narrateur est un flemmard de première et qu'il a aps envie de vous faire le plan détaillé de la villa, nous allons faire une bref ellipse temporelle... Attention... Attachez vos ceintures!

*bref ellipse temporelle*

Et voilà, j'espère que vous avez apprécié ce voyage sur Einstein futur and co...

Donc, nous voici avec Tim arrivant dans une grande salle, avec 6 attardé mentaux (les autres membres de son équipe ayant été dispersé à divers endroit de la villa, pour protéger les points clés). Non, ce n'était pas qu'il était raciste, mais les attardés mentaux étaient la seul catégorie de mafieux de son groupe qui était capable de tenir son rythme de marche vu qu'ils n'avaient aucune faiblesse physique.

Il arriva devant ce qui semblait être une grande salle, avec un certains nombres de mafieux, manifestement importants. Sa cigarette toujours à la bouche, Timuthé s'avança vers le duo qu'il y avait au milieu de la pièce, et s'agenouilla, tandis que ses 6 "camarades" restaient là, immobiles en train de baver, juste à l'entrée de la salle, comme les imbéciles qu'ils étaient.

Okito Shinsen, Satoshi Noriyaki? Je suis TNT Tempiesta, et j'ai été envoyé par Don Carbo-pizza pour vous aider. Le gouvernement à découvert la position de votre planque, et une compagnie de marine, comprenant plusieurs officiers supérieurs se dirige vers vous. Nous sommes là pour les contenir et vous laisser une chance de fuir.

Oui, mais, Shinsen-sama et Noriyaki-sama sont les deux hommes là-bas...


A ces mots, Timuthé regarda le doigt pointé vers un duo qui avait surement tout entendu, mais qui n'était absolument pas celui auquel il s'était adressé...

Opération crédibilité : Game Over!


Hrp/Juste pour dire, les 34 PNJ que j'ai ramené par-ci par là ont au maximum 5 dorikis, c'est vraiment des sous-hommes, et personne ne vous en voudra s'il y a quelques morts/Hrp


    * Hmmmmmm... Fameux ce cigare...*

    Confortablement vautré dans une immense fauteuil rembourré, je déguste avec délectation un digestif régional, aimablement servi par un larbin de la mafia. Un whisky hors d'âge dans une main, mon cigare dans l'autre, je dois avoir l'air parfaitement dans mon élément ici.

    « Un autre verre monsieur ?... »

    Sans parvenir à cacher un grand sourire gourmand je fais signe au loustic de me resservir d'un signe de tête, incapable de résister à tant de diligence. Putain ils savent recevoir les mafieux ! J'devrais me faire inviter plus souvent !


    Cela fait maintenant plus de trois heures que je profite honteusement de leur hospitalité, aux vus de tous. Le meilleur c'est que personne n'y trouve à redire huhuhu. Pour cause, accoutré d'un costume rayé taillé sur mesure, coiffé d'un chapeau mou du plus bel effet, je n'ai rien à envier de la bande de truands dont est composé l'ensemble de l'assemblée. Une fausse moustache attachée par un élastique complète mon déguisement d'infiltration hors pair. Dans leur toute confiance ils ne pensent pas une seule seconde quelqu'un capable de s'infiltrer en plein cœur de leur réunion. C'est pourtant ce qui s'est bel et bien passé huhuhu.



    « Senior ?... Vous êtes bien le senior Felony ? C'est étrange, il ne me semble pas vous avoir déjà vus à aucune de leur réunion patrimoniale. »

    Je dévisage ce foutu gêneur qui vient me casser les pieds avant que les choses intéressantes arrivent. C'est donc mon voisin de table qui s'est penché vers moi avant de m'imposer cette remarque délicate. Devant son regard méfiant il va falloir que je la joue finaud. Je lui sors donc mon plus bel accent mafieux... Le genre d'accent qu'on doit découper avec une scie.


    « Ma bien sour qué si sénior ! Yé soui lé fils ainé dou senior Felony ! Luigi ! Victime d'ouné mauvaise digestion il m'a demandé dé venir lé remplacer. »

    Pauvre Luigi... Lui, son père, ainsi que toute la famille en fait, tout ce beau monde a fini la grande course de la vie dans les geôles de la marine il y a même pas un mois. Avant, ils ont bien sûr eu le temps de me relever avec enthousiasme cette petite réunion et le moyen d'y rentrer. C'est fou ce qu'on peut faire avec un fil à couper le beurre et quelques épingles !

    Cependant, ni mon fabuleux accent ni ma tenue de circonstance ne semblent avoir eu le dessus sur sa méfiance. Il va donc falloir que je sorte mon arme secrète. La pièce ultime de ma panoplie d'infiltration. Avec des gestes lents et contrôlés je sors donc de sous la table une petite boîte que j'ouvre comme si c'était une bombe. Le regard de mon voisin s'ouvre en grand lorsqu'il s'aperçoit du contenu.

    « Hummmm un plat de lasagne dé ma mama ! Y a rien dou meilleurs dans la vie, no ? »



    Un filet de salive au coin des lèvres, le gêneur retourne à sa place, convaincu que je suis ce qui se fait de mieux dans la crème des mafieux. Il me laisse donc enfin tranquille... Pas trop tôt, surtout que les choses commencent à se précipiter. Visiblement l'arrivé de mes confrères de la marine semble avoir été détectée. Pas étonnant... ces glandus de North Blue ne sont pas vraiment du genre subtils... Mais ils feront une parfaite diversion pour que je me rapproche de ma cible.

    Voilà d'ailleurs que celle-ci est abordée par un blanc-bec aux cheveux blancs. Patience... Les choses vont se mettre à s'accélérer petit à petit.... Comme un chasseur à l'affut je guette l'instant propice pour passer à l'action.


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    Un An Plus Tôt

    Une belle journée recommençait dans cette belle villa entourée de ruine haute, camouflant à merveille le réseau qui s’y trouvait. Moi, Satoshi Noriyaki, je me levais dans ce lit douillait, au rez de chaussé, toujours le même depuis 9 ans maintenant, j’avais tenu à le garder, c’est quand même dans cette foutue chambre que je m’étais réveiller pour le test ! Et c’est encore dans cette foutue chambre que je dormais pendant que je gravissais les échelons années après années. Pour une foutue chambre, j’en avais vécu des choses. Enfin, mêmes choses tout les jours lors du réveil, j’enfilais mon Costard, un tout nouveau, différent du menu fretin, celui-ci était uniquement pour les Boss, moi et le vieux Shinsen, il en avait pris un coup en 9 ans non de dieu, il savait quand même encore se battre, mais qu’est c’qu’il était devenu chiant avec ses paroles lourdes et ses idées fixes sur la jeunesse…

    Enfin, j’attrape mon revolver, et prend la clope du réveil, la meilleure, celle qui t’ouvres les yeux dès le matin, celle qui se fume très lentement avec le temps d’en profiter, car le matin, la lucidité des personnes n’est pas très élevé, faut l’avouer ! Enfin, on m’appelle, c’est Shinsen, ça commençait. J’me demande bien ce qu’il y a aujourd’hui, sûrement une réunion pourrie ou un truc dans le genre, moi ce que je voulais c’était de l’action, dévalisé une banque, arnaquer un groupe de révolutionnaires, détrousser les pirates, des trucs comme ça quoi ! Mais non, quand on est bras droit, tout ce qu’on doit faire c’est assister aux réunions avec le boss, vraiment, qu’est ce que j’voudrais revenir quelques années plutôt, les années où j’allais sur le terrain, les années ou je me battais vraiment quoi !

    Bref, il allait encore gueuler un coup si je me dépêchais pas, vraiment, quel mec celui là, fallais vraiment que je me dépêche. J’enfile mes chaussures à vive allure, fait les lacets et j’y cours, je claque la porte derrière moi, monte les escaliers tel un chaton, trois marches par trois marches. J’arrive en haut, le vieil homme est devant moi, bras croisé et pistolet en main, il me regarde fixement, c’est vrai que là, il fait flipper, on dirait même qu’il veut me tuer, oulah, c’est parce que je suis en retard hein… Enfin, il est tellement vieux que dans quelques heures il aura oublié et me pardonnera.

    - Réunion ?

    Le vieil homme aquiessa d’un hochement de la tête, puis me fis signe de le suivre, vraiment j’en avais marre des réunion, qui aime les réunions ? Les fils à papa ! Ceux qui ne veulent pas se mouiller et qui préfèrent se venter du pouvoir de leur famille plutôt que faire leurs preuves dans les hautes strates en faisant des actes qui leur apporteront gloire et pouvoir. Eh oui, peut être que ces mots font penser à Gol D. Roger ? Oui n’est ce pas ? Je l’admirais cet homme, et mon but ultime sera de retrouver son trésor, et de me venter de cet acte sans précédent !

    Enfin, je suivais toujours Shinsen jusqu’à la salle de réunion. Là, un homme aux cheveux blanc était à genoux devant un gars du menu fretin, qu’est ce qu’il foutait se glandu ? Un maladroit sûrement, mais les maladroits ça devient très fort, je le sais, je parle de moi. Enfin, il devrait être gêner après que le Sous-fifre lui ai dit que c’était nous qui faisions partit des hautes sphères du réseau. Je lui fis signe de se relever, comme à mon habitude. Oh mon dieu, quelle honte, devant tous ses sous-fifres, il avait dit ça tout haut, ce jeune homme ne sait-t-il pas que si nous avions été des mafieux cruels, il serait mort à ce moment précis ? Mais heureusement pour lui nous ne le sommes pas.

    - Bref, relevez vous maintenant, et dîtes nous ce qui vous emmènes ici.


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    • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
    C'était il y a un an, lorsque j'étais encore Vice-Lieutenant de la marine. Je me rappelle que c'était ma première mission à haut risque, accompagné de mon instructeur le capitaine Suzuka, nous partîmes à l'aube du QG d'East Blue pour voguer jusqu'à North blue. La destination était le royaume de luvneel, nous avions reçu des informations capitale sur un campement de brigands. Des mafieux de la pire espèce s'étaient donnés rendez vous pour régler une affaire de famille qui allait mal finir. Le plan du capitaine qui nous a été dévoilé lors du briefing était clair...

    Nous allions nous séparer en deux forces, une maritime et l'autre terrestre. La première attendra les ordres de la deuxième pour faire feu sur un champ neutre à l'abris des civils. Un premier coup de canon qui annoncera l'arrivée de la marine. Avant le signal, le groupe terrestre allait se diviser en deux, l'un informera la marine présente pour encercler l'île à des points stratégiques. Lorsque chaque barque sera détruite et que chaque bateau sera surveillé et infiltré par un commando spéciale, le coup d'envoie sera lancé. Pendant ce temps, moi, le capitaine Suzuka et d'autres hommes allait s'introduire en ville habillé en parfait civils.


    Nous avions prit des sentiers pas très gardés pour arrivé en ville, le capitaine Suzuka et moi même étions rentrée dans un endroit pas très commode qui empestait la fumée de cigarette. Quand il me chuchota...

    Hé Gamin, j'ai repéré leurs hommes à droite et à gauche, ça va être compliqué et tu peux y laissé la peau. Je sais ce que tu vaux, je m'étais laissé ce fruit, mais tant pis, j'en trouverais un bien meilleur.

    Il me sortit un fruit bizarre, c'était mon fruit du démon, à l'époque je ne savais pas ce que c'était et je croyais qu'il voulait m'offrir un dessert pour se faire pardonner du coup de poing qui m'avait sacrément amoché tout à l'heure au briefing.

    C'était lorsqu'il parlait du plan B, car il devait toujours en avoir un selon lui, et quand il commençait sa leçon sur la priorité d'avoir un plan de secours, ça m'ennuyait et je dormais toujours en plein milieu. Il m'avait surprit entrain de ronfler et cette fois ci, il n'allait pas faire la sourde oreille comme à son habitude. Il se jeta sur moi, marchant sur la table à grande vitesse, à son passage les feuilles virevoltaient, puis il arma son poing me donnant un sacré coup sur la tête. J'avais saigné tout le long de la réunion avec ordre de rester les mains derrière le dos, à une jambe au milieu du pont.


    Nous sortîmes par derrière après que le capitaine offrit au barman une liasse de billait. En plus de cette sortie classe, il nous avait donné le lieu d'un possible rendez vous entre mafieux. Nous prîmes un chemin isolé, j'avais mangé le fruit quelques pas plutôt pour ensuite marcher à l'effet d'un ressort, un pas long, un autre court et ma bouche qui tombais par terre comme le héro du livre The Mask. C'était assez marrant...Nous arrêtâmes un moment jusqu'à que mon fruit se stabilise pour ensuite retourner au lieu.

    Pendant cette courte pause, le capitaine appela le navire pour se tenir prêt. Ces brigands allait pas sortir de cette île libre, ils étaient fait comme des rats.
    • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
    Tandis qu'il se relevait, le jeune homme entendit la question du vrai Satoshi. Finalement, si l'homme qu'il était venu sauvé était fichu de lui demander ce qu'il venait faire alors qu'il venait de le dire, c'était qu'après tout, son frère s'était peut être trompé dans les instructions. Bof après tout, les contrebandiers, c'était pas non plus des pures mafieux politiciens, et puis, les instructions était claires, protéger Okito Tensen et Satoshi Noryiaki. Des instructions comme celles-ci laissaient une certaine marge de manœuvre, surtout qu'il y en avait une autre...

    Sentant sur lui le regard hostile de certains des hommes de la réunion, TNT fit un mouvement discret de la main droite. A l'abri de la vue de tous, un objet cylindrique et dur de10 centimètres vint se placer dans sa main, ce qui le rassura énormément... Le bâton de dynamite était caché dans sa manche, un peu trop longue par rapport à ses bras, de manière à ce que personne ne puisse voir qu'il s'attendait déjà à un assaut. Il était nouveau dans la mafia, mais pas stupide, et puis, il était déjà un tueur...

    Se plantant devant les deux dirigeants du groupe, il les toisa avec un regard provocateur et sévère, destiné à montrer qu'il n'était pas un enfant de cœur. Les deux hommes avait la classe et l'attitude de ceux qui ont l'habitude de tremper dans les affaires douteuses. Ils étaient probablement redoutables, notre ami allait devoir faire preuve de doigté...

    J'ose espérer que vous faite preuve d'un humour qui m'échappe... Les marines sont sur vous, et Don Carbopizza veut protéger ses intérêts.

    Tandis qu'il disait ça, Tempiesta craqua une allumette, et l'approcha de sa cigarette qui s'était éteinte. Pour sur, il n'avait pas fait dans la dentelle, c'était pas viril. Cela dit la mention du titre sous lequel se faisait connaitre son frère devait être suffisant pour prouver à tous qu'il n'était pas du menu fretin. Le message était clair, les deux hommes devaient trouver un moyen de s'en sortir.

    Faisant mine de protéger le feu de son allumette du vent, TNT approcha sa main droite, qui tenait discrètement le bâton de dynamite. Ce n'est que lorsque la mèche s'alluma qu'il rabaissa les mains comme si de rien n'était, et balança l'allumette au loin. La cigarette fumait, il fallait vraiment être très observateur pour se rendre compte que caché dans sa manche, la mèche de l'explosif se consumait petit à petit.

    Ses "hommes de mains" venait également de se rendre compte qu'ils étaient sensés le protéger, et vinrent se placé tous dans son dos, leurs pistolets pointés sur les hommes autour de la table. Bon, la moitié des pistolets étaient à l'envers, et la plupart des mafieux était debout et avait sortit leurs armes mais bon, c'était juste pour assuré sa couverture, et encore. L'un des hommes s'était écrasé par terre, après avoir marché sur son lacet. Par un ignoble hasard, il regarda dans la direction de cette homme étrange, qui avait un paquet de lasagne, et écarquilla les yeux.

    Sans accorder aucune attention à son pseudo garde du corps, le jeune homme continua son discours à l'attention des deux autres.

    Je vous protègerais au péril de ma vie, mais les marines allant débarquer d'une seconde à l'autre, vous devriez vous décider assez vite, écoutez-moi, ou tuez moi.

    Volontairement, TNT n'avait pas mentionné le sort qu'il réservait aux autres mafieux. Ils faisaient partie du piège, un piège que les marines n'attendait probablement pas, vu qu'ils effectuaient une attaque surprise. Le jeune homme sentit un picotement sur les doigts qui tenait la mèche à mi-hauteur, les étincelles avait atteint la moitié, le timing était parfait. Une corne de brume raisonna dans la villa. L'assaut était imminent...

    Quelques instants plus tôt, au sommet du plus haut point de la villa...

    Marcello Ravioli, regardait son jeune fil de son oeil unique. Le petit garçon sourd muet de 7 ans jouait avec un petit canard à clé que lui avait donné le dénommé Tempiesta. Cette homme était étrange. Il était nouveau venu dans la mafia, et pourtant, le don lui avait accordé un post d'importance. Et puis, pourquoi il avait séparé les 28 mafieux blessés et enfant en groupe de deux, en leur donnant un jouet mécanique à chacun? D'ailleurs quand on y pensait, pourquoi il avait autant dispersé les groupes?

    Le petit garçon balança le jouet contre un mur, puis alla le ramasser, la clé continuait à tournée. Comme s'était mignon, il jouait à Boum le canard!

    Avec un sourire bienveillant, l'envoyé des Tempiesta attrapa sa seule longue vue de son seul bras, et la plaça sur son seul œil, dans la villa de Satoshi. Il vit au loin un groupe d'homme en uniforme blanc, de sa longue vue, tenue de son seul bras, posé sur son seul œil, dans la villa de Satoshi. Des marines!

    Il posa sa longue vue, il avait vu des marines, de sa longue-vue, tenue de son seul bras, posé sur son seul œil, dans la villa de Satochi. Il attrapa une corne de brume, avec le bras qui avait posé la longue vue qui avait vu les marine lorsqu'elle était tenue de son seul bras, posée sur son seul œil, dans la villa de Satoshi. De tout son souffle, il souffla dans la corne de brume, qu'il avait prit du bras qui avait tenu la longue vue, qui avait vu les marines lorsqu'elle était tenue de son seul bras, posée sur son œil, dans la villa de Satoshi.

    C'est ainsi qu'il sonna l'alerte, en soufflant dans la corne de brume, qu'il avait prit du bras qui avait tenu la longue vue, qui avait vu les marines lorsqu'elle était tenue de son seul bras, posée sur son œil, dans la villa de Satoshi.

    Le narrateur laisse la place au rp suivant, en essayant de reprendre son souffle.


      ...Par un ignoble hasard, il regarda dans la direction de cette homme étrange, qui avait un paquet de lasagne, et écarquilla les yeux.

      *Mais qu'est-ce que ?...*



      Enfournant bouchée de lasagne après bouchée, je déguste affalé dans ce grand fauteuil les plaisirs de la vie que m'ont si gentiment offert mes hôtes. Certain y verraient peut-être une certaine précipitation, comme si j'étais pressé de finir mes délices avant qu'un évènement particulier ne fasse irruption dans la réunion. Quelle bande de médisants ce serait ! Je ne vois pas du tout de quoi il serait question vraiment... Comment pourrais-je être au courant de quelque chose, moi qui suis plus blanc que l'agneau qui vient de naître ?! Non vraiment je vois pas...

      Mais sous mes allures nonchalantes, il ne faut pas se fourvoyer sur l'attention que je porte aux évènements qui se déroulent autour de moi. Profiter de la vie et faire mon job avec application a toujours fait partie de mes meilleures qualités ! Pour preuve, bien caché entre ma fausse moustache et le rebord de mon magnifique chapeau, mon regard scrute la scène avec la même intensité que celui d'un rapace attendant que le lapin sorte le bout d'une moustache de ce foutu terrier. Si mon sourire accueillant me dépeint comme un truands tout ce qu'il y a de plus sympathique, mes yeux acérés témoigneraient à un quelconque témoin que je n'ai rien perdu de mes pulsions meurtrières, bien au contraire.




      Mais pour ça encore faudrait-il qu'il soit assez près. Près comme ?... Près comme ?... Tiens ! Près comme l'espèce d'erreur de la nature qui vient de s'écraser à mes pieds et qui me dévisage avec des yeux de veau inquiet. Est-il juste intimidé par mon statut, ou bien a il eu l'audace de percer à jour ma couverture ? Bah, dans le doute je peux toujours me permettre un p'tit coup de tatane dans les gencives.

      « Qu'est-cé qué tou régarde toua ?! Baisse les yeux devant lé senior Felony, struzo ! »



      Le temps que quiconque puisse trouver son mot à dire,que décroche un léger coup de talon, qui a tôt fait de retourner la tête de la loque humaine que j'ai devant moi. Putain mais j'ai pas tapé fort pourtant ?! Bon ben tant pis... Ce qui est fait est fait, autant assumer pleinement, cela paraitra moins suspect. C'est donc avec le visage serein, sûr de mon bon droit de chef mafieux, que je croise mes jambes sur le dos du corps inanimé, utilisant sans gène apparente le corps du malheureux comme d'un repose pieds.

      C'est pas tout ça mais mes lasagnes vont refroidir...

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      Le jeune homme aux cheveux déjà si gris paraissait irrité, puis un petit sourire manipulateur s’afficha sur son visage sans rides. Toutes les personnes présentes s’étaient déjà tournées vers lui et je semblais le seul à n’avoir pas entendu les mots qu’il avait prononcé aux deux jeunes hommes, tout ce que j’avais entendu c’est leurs paroles, lorsqu’ils nous avaient désigné. Enfin bref, ce jeune homme prétentieux se leva et nous regardais…Bizarrement… un regard viril ?

      - J'ose espérer que vous faite preuve d'un humour qui m'échappe... Les marines sont sur vous, et Don Carbopizza veut protéger ses intérêts.

      Sauf que là, si Don Carbopizza et son nom miteux avait vraiment envoyé ce jeune homme, c’est qu’on allait avoir besoin de lui. Avec une synchronisation digne d’un mafieux, il rallumait sa cigarette éteinte à l’aide d’une allumette, pourquoi protégeait-t-il sa cigarette du vent alors que nous étions à l’intérieur ? Ce détail a peu d’importance, mais il faisait quand même des trucs louches ce gars là… Shinsen semblait pensif, il réfléchissait à ce que le jeune homme venait de dire, si c’était plausible. Pour moi ça l’était, mais le truc c’est comment on va s’en sortir.

      - Je vous protègerais au péril de ma vie, mais les marines allant débarquer d'une seconde à l'autre, vous devriez vous décider assez vite, écoutez-moi, ou tuez moi.

      Moai, je me demande bien si on ne devrait pas le tuer et nous débrouiller, parce que ce gars est vraiment louche, il se la joue avec ses grandes paroles, mais il ne doit pas valoir un clou… Enfin bref, je lance un regard à Shinsen, et prend la décision.

      -
      Eh bien parle, maintenant que tu es ici !

      Bon, voila, j’espere qu’il allait dire quelque chose d’intéressant et non quelque chose du genre « c’était une blague » ou une autre connerie dans le même style… Op non de d'la ? C'est quoi cette corne brume ? Ca signifie quoi ? C'était vrai ?!

      - Ca veut dire quoi cette corne brume ?
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      Pelup Pelup...Pelu..""Mushi Mushi, Capitaine Suzuka à l'appareil. lancez le boulet de canon !''

      Nous entendîmes un son perforant l'air, suivi d'un léger nuage de fumée au loin. Soudain le Capitaine m'interpella et nous sommes allés à notre droite pour grimper sur un arbre et voir la situation. Quelque minutes après, nous entendîmes un bruit étrange et ensuite nous vîmes des marines s'approcher d'une villa. Mais que ce passait il, il me semblait que je n'avais nul entendu d'ordres venant du capitaine. Mais oui, c'était la marine local. Je remarque le capitaine Suzuka soupiré. Il attendait patiemment dans son coin, mais quoi ?


      "Tu vois petit...Je vais te propulser comme une fusée dans la villa que tu vois là bas."

      Il pointa du doigt la maison et me dit de coller mes mains sur les deux branches, puis il étira mon corps par les pieds. Mais que m'étais il arrivé. Mon corps était tout élastique. *Géniaaaaal*
      Il visa et poussa un léger rire par la suite, je me retrouvais en train de voler, une sensation gigantesque. Rien de plus merveilleux m'était arrivé avant ce jour et voilà que Bam ! Je m'écrase comme une crêpe devant la porte de la maison. Dit donc il savait visé. Pendant ce temps, le capitaine attendit sagement et observa les évènements de là haut, il donna ses ordres...

      Tandis que je m'étais fondu dans la masse de marines qui venaient d'éclater la porte et entrer. J'étais effrayé. Je ne savais plus quoi faire. Par instinct je rentre à mon tour. Et là d'étranges personnes me fixant avec leurs fusils. Aux alentours tous les marins étaient à terre, morts ou blessés. Je serre mes poing, la peur me quitte et je fais face à l'inconscience. Une seule envie traîne dans ma tête. Exterminer tous ces vauriens pas parce que je le vaut bien mais pour une chose. Si on touche à un marin ! C'est à moi qu'on fait face par la suite. Ces hommes qui se sont engagés pour la justice et le bien dans le monde. Je vais leur montrer le sang bouillant des Shima !

      J'allais surement mourir face à eux. Je m'en fichais, au moins je mourerais dignement sans avoir tourné le dos à mon adversaire !


      Je suis le Vice Lieutenant Hiro Shima ! Et je vous invite tous en taule ! Un jour je serais Amiral de la Marine !

      Hahahaha....

      Un rire à l'unissons suivaient mes paroles. Une seule et même pensée dans leur tête. On va lui montrer à ce gamin que la vie ne vaut pas la peine d'être vécu si on a pas un semblant de puissance ! Un seul et même son, celui du rechargement. Ils s'apprêtaient à tirer.

      Bam ! Bam ! Bam ! Adieu monde cruel !

      Je ferme les yeux, je sens les balles qui perforent mon corps...Mais euh ? Pourquoi je ne suis pas blessé, ni mort ? Oh ! Mais les balles n'ont aucun effet sur moi ! Tout d'un coup, ces billes de fer ronde rebondissent et touchent pas mal de personnes. La chance du débutant, il ne reste plus qu'un homme debout alors qu'ils n'étaient que sept au départ. Il vint vers moi d'un élan de fou et commence à me tabasser, un coup de poing, deux coup de poing, trois de plus. Et encore et encore...Mais pas une seule goutte de sang. J'ai fini de morfler à ton tour, espèce d'idiot ! J'essaie d'étirer mon bras pour attraper une chaise, a la place, j'attrape un porte manteau. Et vlam ! Il se fracasse contre mon agresseur. Je me met sur lui et je commence à le frapper comme il l'a fait encore et encore. Évacuant toute la rage qui était en moi. Il tombe K.O. Après une série de 20 coups. Je me relève et monte les escaliers...
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      TnT resta silencieux quelques seconde après qu'ai sonné la corne de brume. Il préféra profiter de la justesse de son calcul. Enfin, c'était surtout qu'il devait attendre que la mèche de son baton de dynamite soit un poils plus consumé. C'était l'avantage des assauts de la marine, la plupart des stratèges de ce groupe occupait tellement leur esprit par des schémas préconçus qu'il était très facile de prévoir leur manière d'attaquer. A moins que ça soit l'intégralité des êtres humains qui étaient comme ça. Peu importe, c'était l'heure de faire son effet, et de répondre à la question vibrant d'innocence du contrebandier.

      Ils sont ici... Ils arrivent...

      Juste après qu'il ai prononcé ces mots, des coups de feu et des cris se firent entendre. Il n'y avait aucun doute possible, l'attaque des marines était en train de s'effectuer, et si la première ligne n'était pas tombée, elle tomberait prochainement. Que c'était beau, un engrenage qui fonctionnait si bien. Chaque coup, chaque assaut était minuté, un mécanisme d'horlogerie de la plus belle espèce, qui ferait mécaniquement sont œuvre, pour peu qu'on ne modifie pas l'un des engrenages. Hélas cela allait être fait, cela allait ponctuer le pas en arrière que Tim fit, pour presque se coller à ses quatre hommes de mains. Il lâcha son bâton de dynamite au sol.

      Pendant ce temps, à l'entrée de la villa...

      Les mafieux braquaient le groupe de marine qu'ils avaient devant eux. Leurs instructions étaient claires, ils devaient mourir en opposant le plus de résistance possible. Un mafieux sur deux avait une petite boite à musique sur lui, une petite boite à musique qui la clé tournait depuis un moment maintenant. Aucun d'eux ne le savait, mais ces boites à musique n'était pas des cadeaux donnés par TnT pour leurs enfants, elle était les clé de son plan, un plan qui changerait la donne.
      Fasse à eux, un officier s'élança, suivit par un grand groupe de soldats. Ils firent feu. Bien sur leur surprise fut grande quand les balles ricochèrent sur un corps de caoutchouc. 6 tombèrent sous le retour. Pour Simon Lechat, dernier survivant de ce groupe, il n'y avait qu'une solution : charger...
      Bien sûr, il fut mit KO sans difficultés, cependant, ce n'était pas lui qui était dangereux.

      A sa ceinture, une clé s'arrêta de tourner, comme à la ceinture de 3 des autres hommes dont les corps jonchait la pièce. Tandis que Hiro Shima s'élançait dans les escaliers, une explosion eut lieu sur le corps d'un des hommes au sol, une explosion qui fut suivit par une deuxième, puis une troisième. Tous les marines qui se trouvèrent au dessus des cadavres périrent, seul ceux qui était dans les escaliers purent se vanter de vivre. L'entrée de la villa s'effondra, et un accès fut bloqué par une montagne de gravats. Les mafieux étaient mort pour bloqué l'entrée de la villa.

      Ce même scénario se répéta un peu partout dans le bâtiment. A chaque point où l'on pouvait sortir de la villa, une explosion eut lieu. A chaque point où l'on pouvait sortir de la villa, une montagne de gravats boucha l'accès, et tua des dizaines de marines. Au total, il était impossible que plus de quinze marines soit entrés.

      Maintenant, revenons à TnT....

      Vers le Nord...

      Arf zut c'est vrai que vous savez pas tout ce qu'il s'est passer entre temps vous qui n'êtes pas omniscient. Alors rien que pour vous, un petit rembobinage...

      burlurlurlurlurlurlurlurlurlurlur (ouais je sais, ça fait un son bizarre, c'est parce que c'est un vieux magnéto)

      Madame Tempiesta c'est un garçon, nous allons l'appeler Timuthé


      zut trop loin, bon, on ravance :

      bulurlurlurlurlurlurlurlurlur (ouiais je sais, je vous saoule, c'était juste pour le plaisir de le refaire)

      Donc, TnT avais fait un pas en arrière et lâcher son bâton de dynamite au sol. Avant même que l'objet n'ai atteint le sol, il se jeta en avant, en attrapant à l'intérieur de sa veste deux autres bâtons explosifs. AU loin, une explosion se fit entendre, bientôt suivit d'une quinzaine d'autres, pratiquement simultanées. Le bâtiment trembla tellement sous les diverses déflagration que des fissures apparurent sur le plafond, indiquant que bientôt, tout l'édifice allait s'effondrer. S'était soit échapper aux marines, soit mourir... Le son des multiples détonation fut tel que le son de l'explosion du bâtonnet laissé par TnT sembla presque discret. Cependant, le souffle propulsa à très grande vitesse les 5 corps de feu ses compagnons sur les différents mafieux situés tout autour. Tempiesta, de son côté s'était retourné, et tendit ses bras, le feu dégager par l'explosif enflamma les mèches de ses deux bâtons de dynamite. Ses yeux étaient hyper-mobiles cherchant l'endroit d'où viendrait l'assaut du premier mafieux, ou, si son frère ne s'était pas trompé, du premier traitre...

      Seuls deux mots sortirent de sa bouche à l'attention des deux hommes qu'il protégeait. Une instruction, qui leur disait où partir pour s'échapper. Le seul endroit où l'explosion avait servie à ouvrir une brèche dans le mur... Les deux hommes avaient une opportunité en or de s'échapper sans trop de soucis, à eux de la saisir.

      Vers le Nord...

      Accompagnant ces mots, de la poussière grise tomba sur la blanche chevelure du garçon. Ses deux armes à la main, il attendait l'assaut qui allait surement venir.


        Par tous les rejetons des enfers d'Impel down ! On peut pas dire qu'ils font dans la dentelle les marines de North Blue ! A peine leur sirène enclenchée que voilà le bâtiment qui explose de toutes parts ! Un bombardement massif de la villa ? Ce serait étrange, surtout que je n'ai entendu ni coup de canon ni sifflement de boulet... Un truc cloche ici, mais quoi ?

        Tandis que toutes les vitres de la grande salle éclatent dans un tintement de verres brisés, une puissante bourrasque de poussière envahit le hall telle une vague grise, emplissant mes narines d'un relent de plâtre et de poudre noire. Entre les tremblements des fondations qui gémissent et la poussière, je peux vous dire que les mafieux sont tout ce qu'il y a de plus surpris, une sacrée pagaille je dirais même. Et moi au milieu de tout ça ? Ben je me dépêche d'engouffrer à grandes bouchées la fin de mon plat de lasagne, avant de me précipiter sur mon whisky avant qu'une nouvelle explosion ne le renverse. Ça serait dommage de gâcher tout ça pas vrai ?



        A peine la dernière gorgée s'engouffre dans mon estomac qu'une explosion supplémentaire survient au sein même de la pièce, propulsant par son souffle mon siège contre le mur de derrière ! Beurk ! J'ai plein de petits bouts d'homme sur moi ! Un putain de costard de gâché ! Merde, sur-mesure en plus ! Ce qui est étrange c'est que la détonation n'avait rien à voir avec celle d'un obus standard de la marine... Pas assez sèche... Un saboteur interne ? Y aurait-il un traître de plus ? A moins que ce soit un coup de ce gamin bizarre qui a fait son apparition juste avant tout ceci... Mouais, ça ne m'étonnerait qu'à moitié. Mais d'ailleurs, le voilà qui dirige ma proie vers une porte de sortie improvisée dans un mur. Alors là mon coco, si tu crois pouvoir t'enfuir...

        Laissant de côté le mystère de l'exploseur fou et son lien éventuel avec le gamin aux cheveux gris, je me concentre sur ma cible qui s'enfuit. Un chasseur doit savoir faire preuve d'un sens des priorités simple : Sa proie en premier, sa proie encore en second, et... euh.... ses gardes du corps en troisième ? Du coup je ne peux pas le laisser tranquillement partir la bouche en cœur. De plus, la fumée me fera une parfaite diversion pour attaquer, huhuhu.




        Étant trop loin pour une attaque directe, mon but premier et de l'empêcher de fuir. Je me redresse donc hors de mon siège d'un bond, Avant de frapper le sol d'un puissant coup de pied. Aussitôt, une grande fissure zèbre le parquet en direction de ma victime. Une seconde plus tard, le sol déjà mal au point se fend en deux sous ses pas, manquant de le faire chuter dans le vide ! Heureusement, celui-ci possède de bons réflexes, qui lui permettent de se mettre à l'écart à temps. Mais victime de la surprise, celui-ci s'est jeté dans un angle, totalement isolé puisque tout le sol autour s'est effondré. Coincé dans un angle, seul, le voilà bloqué pour un moment.

        Un moment, c'est exactement le temps qu'il me faudra pour me jeter sur lui. Je prends ainsi mon élan, accélérant rapidement en prévision d'une attaque aérienne des plus létales ! Mes pas s'enchaînent sous moi... je traverse la fumée, apparaissant devant le gouffre qui me sépare de ma proie. Le sourire carnassier du prédateur arbore mon visage, qui a depuis laissé tomber le masque de la tromperie pour celui du carnage. Dans quelques secondes tout sera fini.
        Vlan !


        Tandis que je prenais appui sur mes jambes pour me projeter dans les airs, Une silhouette apparaît soudainement dans un angle de mon champ de vision, fonçant brutalement sur moi. Un instant plus tard, je vole contre un reste de mur sans le moindre ménagement ! Aaargh... Mes frusques sont en débraillées, ma gueule en sang... on peut dire que j'ai morflé. Pas vraiment physiquement, ça encore ça va. Un bleu sur le coin de la gueule, couvert de poussière, mais mon cuir épais et mes muscles ont limité les dégâts au superficiel. Non par contre, c'est moralement que j'en ai pris un coup. Jm'y attendais pas à celle-là... A moitié sonné, je relève donc la tête à la recherche d'un responsable à qui faire endurer mille souffrances. Tel une bête enragée, mes yeux reflètent toute l'étendue de ma rage et de la puissance que je vais mettre en branle pour concasser le moindre petit os du fumier qui m'a fait ça.


        Mon regard se pose alors sur le gamin de tout à l'heure, apparaissant à moi au travers d'une fumée de plus en plus présente. Ce p'tit con qui s'apprête à renchérir ! rapidement, je me redresse de toute ma taille, vérifiant d'un coup d'œil que ma proie ne va pas se faire la malle de son côté, je me concentre ensuite sur une nouvelle cible. Certes elle ne me rapportera pas autant que Shinsen, mais elle a mérité toute ma malveillance. Du coup, je mets de côté mon objectif principal le temps de mettre l'autre morveux en charpie. Voyez-vous, une seule chose dépasse en importance mon ambition... c'est ma rancune. Ça va barder ! D'une violente impulsion je me jette à la rencontre de mon nouvel adversaire !

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          BOOOOOOOOOOOOOM


          Apocalypse... Entendant au ralenti et étant complètement déboussolé après ce vacarme épouvantable, la panique me pris et mes jambes commencèrent à trembler. Merde, c'est comme il y a 9 ans, quand ils m'avaient tous pointé leur flingue dessus, bref, on réfléchit et on se calme, faut vite se barrer d'ici avant que tout s'effondre, c'est qu'une question de temps, déjà que le plafond se fissure de plus en plus.

          BOOOOOOOOOOOOOM


          Encore ! Mais serait-ce ce jeune homme aux cheveux de fer qui causerait tous ces dégâts ? Sans doute, vu que le bruit venait à chaque fois de l'endroit où je l'apercevais à travers la nappe de poussière épaisse. Entre chaque explosion, on pouvait entendre les atroce cris des marins et des mafieux, se livrant une féroce bataille sans pitié à l'entrée de la villa. Sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, les explosions s'enchaînaient, causant à chaque fois plus de dégâts comme des trous béants dans le sol, des fissures d'une longueur inimaginable au plafond, ces choses là quoi. M'essuyant les yeux, je me relevais de la dernière secousse qui m'avait collé au sol, pour me rendre compte que le coffre pourrait être en danger, et que la fortune qu'il y a dedans pourrait tomber entre les mains du gouvernement, ce qui est inacceptable même si certains m'en voudront. Ce n'est que maintenant que je pus voir cet homme aux cheveux gris, m'adressant à moi et au vieux quelques mots puis lâchant une dynamite :

          Vers le Nord...

          Mais moi je ne voulais pas m'enfuir merde ! Essayant d'interpeller ce Timuthé, il disparu encore une fois dans cette poussière surélevée me laissant avec Shinsen. Nous étions tous deux coincé dans ce coin du bâtiment et je voyais que le gamin se battait encore, mais contre qui ça, je ne le savais pas. Si nous restions là nous étions fichu, il fallait trouver une solution, et la solution était sous nos yeux, dans ce trou. Je pris le bras de Shinsen et sauta avec lui pour arriver à l'étage du dessous, où chaque mafieux était étalé par terre avec une balle dans le corps, une seule.

          Ce n'est qu'aujourd'hui que je me rend vraiment compte du calme de l'enfance et de l'amour que nous portait nos parents qui était vraiment bien représenté lorsque l'on mangeait avec des amis une bonne raclette ou une bonne fondu. A mon âge, j'avais réussi grâce à mon talent à amasser des trésors en bravant les montagnes et en fouillant les cavernes, voulant toujours plus d'argent et plus d'élégance, cherchant la beauté ultime. Étant enfant je n'étais qu'un rebelle qui à bu sa première bière à 11 ans, qui fumais de la beuh derrière les buissons à 14 ans, qui a commencé à voler sa mère pour se procurer de la drogue à 16 ans, puis enfin qui a commencé à s'endetter à 18 ans à la mort de sa mère. Et enfin j'ai trouvé cette voie qui m'a permis de travailler, d'avoir un salaire. Mais maintenant c'est fini, tout s'écroule en face de moi et la seule chose que je peux faire c'est fuir. Je ne peux même pas aller récupérer l'argent que nous avions amassé ces 10 dernières années.

          Slalomant entre les marines se battant sans relâche et sans crainte, je pensais tous les éviter pour ne pas avoir à me battre, mais le destin avait encore joué contre moi et ce fut un crâne rasé de deux mètres qui se mit en face de moi, se plantant dans le sol de toute sa masse, sa seul présence me faisait trembler, mais, un coup de feu retentit, ce bruit je le reconnaitrais parmis mille révolver. C'était celui de Shinsen qui avait arrêter cet homme d'une balle entre les deux yeux. Le bruit de son corps tombant aussi droitement sur le sol aurait dans une salle close, effectué un tel boucan que même les oiseaux étant à l'extérieur s'envoleraient.

          Continuant dans une autre pièce, je tomba sur un jeune homme, un nouveau dans la marine. C'était lui qui renvoyait les balles, le combat était inévitable.
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        Mû par la formidable motivation qu'est une vengeance en bonne et due forme, je me suis élancé à la rencontre de mon adversaire avec toute ma fougue et ma vitesse. L'autre moustique tient résolument dans ses deux mains de dangereux explosifs, probablement déjà responsables de ce bordel et du coup qui m'a soufflé peu avant. Si tu veux faire mumuse avec ça, grand bien te face mon garçon, mais c'est pas trois pétards mouillés qui vont m'arrêter, j'peux te l'assurer. Fonçant d'abord tête baissée, j'oblique au dernier moment dans une feinte de mouvement destinée à faire manquer sa cible aux bâtons de dynamites, avant de me ruer sur leur lanceur pour pénétrer son cercle de mort. Son cercle de mort me direz-vous ? C'est le périmètre mortel de son attaque, mais surtout il s'agit là de la distance minimale à avoir pour ne pas être pris dans son propre feu. Trop près de lui, je ne risquerais plus rien. Mais c'est sans compter l'étonnante perspicacité de mon adversaire, qui contre attaque dans une série d'explosions extrêmement bien calculées. Bordel !

        Traversant malgré tout la nuée d'éclats et de fumée, j'apparais juste après à son niveau, couvert de blessures superficielles et de gravats. Le feu qui brûle dans mes yeux laisse clairement entendre que ma vengeance sera terrible. C'est l'heure de te rendre la monnaie gamin. Un puissance crochet dans le flanc lui arrachera sang et hoquet, tandis que son pancréas lutte difficilement contre la douleur. Voilà un premier acompte morveux. Cependant, malgré ma très nette supériorité au corps à corps, l'autre morveux ne cesse d'afficher ce visage déterminé et orgueilleux. Mais il se prend pour qui là ? On dirais presque qu'il mime un de ces grands mafieux de quarante piges que plus rien n'effraie. Pfff, tes velléités pour paraitre virils et courageux sont admirables, mais venu d'un type taillé comme un papier calque ça m'fait bien poiler. J'vais t'montrer ce que c'est que la vrai viril*... Attend c'est bien des explosifs qu'il vient encore de lancer ce con ? A bout portant ?!


        Une série d'explosion plus tard, nous voilà tout deux à terre, dans un état aussi lamentable que la folie du pirate est grande. Nan mais quel con ! J'ai jamais pu blairer les psychopathe suicidaires... avec eux difficile de calculer leurs réactions à l'avance... Aaaargl... Cependant, bien qu'ayant morflé tout comme lui, j'ai pour moi l'avantage de la carrure et de la masse. C'est donc tout logiquement que j'arrive à me relever péniblement le premier. Après un époussetage de rigueur afin de regagner un semblant de crédibilité, je me dirige lentement vers lui, redressant bien mon buste et mes épaules. C'est le moment de lui montrer de quoi on est capable dans la marine. Allongé alors à mes pieds dans son propre sang, la crevette est à ma merci.

        « Ton nom ? » lui ordonne-je d'une voix calme mais ferme.

        « Timuthé N. Tempiesta » me murmure-t-il dans un souffle, une pointe de fierté dans la voix.

        Hum... et bien mon cher Timuthé, c'est la fin de la course pour toi. Je ne sais pas vraiment qui tu es ni d'où tu sors, mais les geôliers de Impel Down se feront un plaisir de te l'arracher de la bouche huhuhu. C'est au moment où je m'apprêtais à me saisir de ma proie pour la mettre définitivement hors de combat, que je sentis un petit objet buter inlassablement contre la semelle de ma rangers. Le petit « Couin ! » caractéristique et la vision d'un petit jouet mécanique en forme de canard m'arrachèrent une grimace d'incrédulité... d'où ça sort cette connerie ?

        BOUM !

        L'explosion du petit jouet retardataire me souffle en un instant, faisant décoller mon immense carcasse tandis que ma conscience me quitte en un éclair ! Balayé par le souffle, je travers le murs de la bâtisse avant de m'envoler dans le ciel. Une trentaine de mètres plus loin, je m'écraserai comme une masse dans les jardins environnants, restant alors immobile pendant de nombreuses minutes tant le choc était violent. Le temps que mon corps se décide à enfin me répondre, j'aurais tout le temps de ruminer ma vengeance, le goût amer du sang et de la défaite dans la bouche... Timuthé N. Tempiesta, un nom que je saurais graver bien profondément dans ma mémoire.

        Quand je lui remettrai la main dessus...


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