[RP] La musique, ça tue!

Milieu d'année, 1624

17h30
Tôt dans la journée, j'avais cachée mon navire dans une crique, au loin de toutes civilisations. J'avais donnée une permission à mes quelques hommes pour les dégourdirent un peu et pouvoir circuler sur la terre ferme. J'en avais aussi profité pour me retirer un peu et aussi, peut-être acheter un cadeau pour mes enfants...

Mes pas m'emmenèrent au bout d'un certain temps dans le petit village de Fushia, que je connaissais déjà, mais sans plus. Consciente que ma tête était mise à prix, je décidais de passer du temps dans ce bled tranquillement et sans faire d'histoire. Ce n'était pas l'heure de jouer au pirate. Même si je n'avais pas peur de marcher à la vu des éventuelles personnes qui pourraient me reconnaitre, je voulais vraiment passer dans le coin pour me changer les idées.

D'une humeur joyeuse, j'avais soudainement envie de musique. Étrangement, j'entendis un son nouveau qui venait de quelques rues plus loin. C'était la fête au village? Un anniversaire originale? Curieuse, je m'avançais avec frénésie pour écouter plus attentivement ce nouveau style que je ne connaissais pas.

Je suivis donc la mélodie l'esprit bercé par elle. Elle venait d'un restaurant assez simple, mais qui semblait être débordé de monde. Le patron devait certainement se remplir les poches avec une telle clientèle... Ou le musicien aussi peut-être...

J'entrai alors sous le regard de quelques hommes un peu ivre. Hmm, avaient-ils peur ou étaient-ils méfiants? Il semblerait que non. Soit leur cerveau trop ramollie par l'alcool leur empêchait de savoir qui j'étais, soit ce village ne devait pas recevoir les nouvelles... Après tout, ça m'arrangeait plutôt bien. Moi qui pour une fois, ne voulais pas avoir recours à la violence.

Je trouvai enfin une place malgré tout le monde qui était dans la joie. Je m'y installais alors. Sans le voir, je venais d'avoir la meilleur place pour voir celui qui animait la salle. Sa tête, ne me disais absolument rien. Le barman arriva rapidement et me demanda ce que je buvais.

- Bonjour, mademoiselle. Qu'est-ce que je vous sert?

- Juste de l'eau. Hmm, dites-moi. Qui est ce jeune-homme à la guitare? Disons, que grâce à lui je suis venu ici...

- Oh-oh. Il vrai que grâce à ses tallant mon bar se remplie bien... Je peux juste pour dire qu'il se nomme Saul Nemausus.

Je trouvais qu'il me manquait des instruments de musique dans mon amphithéâtre. Un équipage devait garder la bonne humeur dans toutes les situations. Il ne restait plus qu'à écouter et voir si je peux le prendre avec moi. Quelque instant plus tard, le propriétaire me remmena mon eau dans un grand verre.

- Et voilà pour vous.

- Merci.

Au bout de quelque chanson, je l'observais toujours. Je me demandais quel genre de personne il était. Gentil ou méchant, j'avais décidée qu'il viendrait avec moi de grès ou de force. Quand je jouais mes pièces de théâtre, j'avais toujours soif à la fin du spectacle. C'était normal, vu le débit de parole que je devais sortir en une soirée. J'imaginais qu'avec le dénommé Saul se serait pareil. J'appelai le patron.

- Vous avez besoin d'autre chose?

- Juste une question. Vous savez ce que ce jeune prend? Il devrait avoir soif...

- Je suis navré, mademoiselle. Je n'en sais absolument pas.

Tant pis. Dès que je verrais qu'il ait fini, je ferais venir Saul vers ma table. Je pourrais le charmer, le féliciter et peut-être dialoguer. J'avais quelques cartes à jouer si jamais je ne parvenais pas un moyen de l'intégrer parmi mes semblables.

Lust et moi avions finit par atterrir sur Fushia. En réalité, nous avions embarqué sur des navires marchands clandestinement quelques jours plus tôt, afin d'avoir d'une chance de rencontrer des pirates et tenter de rentrer dans un équipage. Cet objectif pouvait paraître simple mais les temps étaient durs pour les hors-la-loi et ils se faisaient plutôt discrets dans cette partie du monde. Du moins les grands criminels n'étaient pas simples à trouver, et je n'avais qu'une vingtaine d'avis de recherche arrachés des murs pour m'aider à débusquer ces derniers. Ces portraits d'hommes et de femmes primés étaient "soigneusement" rangés dans mon sac de voyage.

Notre arrivée à Fushia ne fût donc pas tonitruante loin de là, nous avons d'abord cherché à nous faire petit dans le paysage puis, lorsque les vivres ont commencé à nous manquer, j'ai proposé mes services de musicien à une auberge locale. Lust, quant à lui, jouait les gros bras pour le patron de l'auberge, au cas où il y avait besoin d'assommer un ou deux alcooliques trop bruyants. L'aspect colossal de mon petit-frère allait enfin lui servir à quelque chose d'utile!

Les journées se sont alors suivies sans s'arrêter. Nous étions nourris et logés en échange de nos services, au moins c'était viable. Avec le temps les gens du coin nous ont assimilé au village et nous en faisions véritablement parti. Cela me donnait presque envie de rester. Mais, ailleurs, nous avions quelque chose de plius grand à accomplir. Notre destinée était plus importante que cela et nous comptions bien l'accomplir.

Ce soir là j'avais prévu de mettre le paquet, j'en avais marre de stagner ici malgré la tranquillité acquise. Mon ampli avait chargé toute la journée au soleil et il allait déverser son son puissant dans tout le village. Bien entendu j'ai commencé par jouer sans, afin de chauffer la salle et la laisser se remplir. Le bar était bondé et le soleil commençait tout juste à se coucher. Ils allaient en avoir plein la tête d'ici peu.

Un percussionniste n'allait pas tarder à me rejoindre, en attendant je maîtrisait la situation seul, la respiration profonde et la voix sereine. Mes doigts glissaient sur le manche de ma guitare qui délivrait alors le son sec désiré, je voyais des gens taper du pied le rythme de la chanson, ils étaient prêts pour le show.

Musique!

Le batteur arriva à la bourre comme n'importe quel artiste l'aurait fait, puis il mit un temps fou à installer son propre matériel. Les choses sérieuses allaient enfin pouvoir commencer! Le public commençait à s'impatienter et les serveurs n'avaient pas de nouveaux clients à servir. Le patron de l'auberge guettait les entrées et sorties avec Lust, du coin du bar. Je lui fis un clin d'oeil de loin, puis vint l'heure de brancher l'amplificateur de ma guitare.

"Bienvenue à tous ce soir, je suis Saul Nemausus, pour vous servir. J'espère que vous êtes parés pour le show de ce soir car moi, je vais tout vous donner! Luigi, le batteur derrière moi, est très chaud lui aussi!"

Quelques pochtrons mal lunés s'exclamèrent tout fort qu'ils voulaient à boire. Pas très encourageant, mais au moins ça faisait tourner la boutique! Bref, Luigi me souffla à l'oreille que c'était bon et nous commençâmes dans la foulée avec un morceau bien épuré mais très travaillé, reprit d'un ancien groupe célèbre. La violence du son se déchaîna sur les spectateurs. Certains se raidirent, d'autres se mirent à sauter un peu partout. La folie de ma musique les pénétrait.

Musique!

L'effet étant immédiat, je devais tenir le public en haleine. Je remarquais alors enfin qu'une femme, apparemment seule, me regardait avec insistance. Il s'agissait d'une très belle créature aux atouts bien mis en évidence, je n'étais pas insensible à ce genre de personne bien évidemment. Néanmoins, pour l'instant j'avais un show à assurer. Vint alors la pause, c'était un temps mort d'environ une demi-heure servant à reposer les musiciens comme leur public. Sauf que cette fois-ci, je n'avais pas tellement envie de me reposer. Luigi mit en charge mon amplificateur de son afin qu'il puisse tenir pour la suite du concert, puis un serveur arriva à ma hauteur pour me chuchoter à l'oreille :

"La fille là-bas veut te payer un verre. Elle m'a demandé ce que tu voulais prendre.

- Apporte-moi un demi de bière rousse. Je serai à sa table."

J'étais déterminé pour le coup, il fallait dire que rares étaient les femmes qui osaient s'aventurer dans ce genre d'endroit plein de bourrins crasseux... En pensant à cela, je réfléchis alors à quel genre de femme justement ne craignait pas ce genre d'endroit... Les garçons manqués, les alcooliques ou alors les filles encore plus dangereuses que les hommes. À cet instant je me suis caché derrière un colosse qui attendait son tour au bar, et je me suis mis à fouiller dans les avis de recherche que j'avais récolté. Un coup d'oeil vers la fille en question puis je finis par trouver le bon avis de recherche. Il s’agissait donc d'Aoi D. Nakajima, une charmante personne primée de plusieurs millions de Berries!

La route des frères Nemausus s'enchevêtrait enfin avec celle d'une pirate digne de ce nom. Il fallait tout de même que je garde mes précautions, qui savait si cette Aoi ne cachait pas quelque chose derrière son regard farouche aguichant. Je rangeai mes papiers en vitesse puis je me faufilai jusqu'à la table de la pirate. De près il allait sans dire qu'elle était encore plus charmante. Toutefois avec ma récente découverte, même si j'avais l'air avenant et cool, je restais sur mes gardes.

"Bonsoir mademoiselle, ou madame? On m'a fait part de votre inquiétude liée à l'assèchement de ma gorge, auriez-vous peur de ne plus m'entendre chantonner dans le micro? Je m'appelle Saul."

Un sourire, des phrases bien tournées, en général c'était une méthode d'approche que toutes les femmes appréciaient. Même si je préférais parler avec moins de formules inutiles, ce soir il fallait faire bonne impression. Je me suis assis devant Aoi puis j'ai plongé mon regard dans le sien. Ma bière arriva enfin et je m'en saisis pour en descendre la moitié.

"Les rousses sont tellement délicieuses ici..."

Lâchais-je paisiblement, me délectant de la fraîcheur de ma boisson. Bien sûr, la femme criminelle pouvait l'entendre comme elle le voulait, libre à elle d'interpréter mes mots. J'attaquais sans frémir cette sauvage déesse des mers.

"Dites-moi donc, Aoi, qu'est-ce que je peux faire pour vous remercier du déplacement, et de la bière?"

Je souriais encore. Faire croire que j'avais la situation en main pouvait peut-être déstabiliser la pirate. En tout cas, personne dans l'auberge ne prêtait attention à notre discussion. Sauf Lust peut-être, qui devait nous épier depuis un coin de la salle. J'attendais la réaction de ma nouvelle fan sans broncher, les yeux dans les yeux. Sans doute ne saurait-elle pas surprise, mais au moins elle pourrait souligner le fait que je ne m'adresse pas à n'importe qui sans raison. Bien que, à cette minute précise, je me serai sûrement assis en face d'elle quoi qu'il se soit passé précédemment...

Malgré ce que l'ensemble des gens pensent , la vie de pirate n'est pas du tout une vie des plus paisibles rempli d'histoire extraordinaire et de quete époustouflante , certes elle nous permet de vivre de nombreux aventures qui peuvent être souvent super ou parfois très chiant mais cependant être pirate peut s’avérer devenir très nuisible avec les agents du gouvernement qui ne vous donnent aucun moment de répit en vous traquant comme un vulgaire chien et le fait de devoir toujours garder profil bas pour ne pas se faire remarquer .
Bref.......Pour venir sur cette ile , alors que j’étais dans l'ile voisine , un vieux pécheur très généreux et naïf comme tout , ne se méfiant pas de moi a cause de mon jeune age , m'a tendu la main pour m'offrir son aide dans l'objectif de me déposer sur l'ile de fushia vu que de toute façon il allait passer par là .Un service que j'ai accepté avec plaisir . Quelques heures plus tard je pu arriver à destination sans problème , je ne vous cache pas que vu qu'en ce moment je n'ai pas de moyen de locomotion , l'envie de lui voler sa barque à ce vieux débris me ronger carrément jusqu'au extrémité de mon âme ( comme on dit : chassez le naturel et il revient au galop ) mais bon vu qu'il s'est montré incroyablement gentil à mon égard je vais laisser tomber pour cette fois ci mais cependant je lui ai pris son chapeau de paille histoire de garder un petit peut l’anonymat dans cette ville , disons juste que c'est un emprunt .

Donc je me mis à patrouiller a travers les rues du village de Fushia qui au premier coup d’œil semble être un endroit ou il fait bon vivre a cause de l'ambiance très joyeuse qui y règne .Quelques instant plus tard je me retrouve devant un restaurant assez normal mais peuplé de gens , ça doit surement être l'un des lieu préféré des habitants de ce village .

J'entre dans le restaurant avec une brindille d'herbe sur les lèvres et le chapeau de paille bien installé sur ma tête puis je me dirige vers une place près de la scène ou je m'installe . Assis a ma place je ne pu m’empêcher de remarquer la jolie demoiselle qui s’était installé juste à quelques centimètres de moi , je ne sais pas pourquoi mais ce visage me disait quelques choses , j'ai l'impression de l'avoir deja vu cette fille mais ou ?

Bref......Je fis signe au serveur et je lui dis de m'apporter une bonne bouteille de Rhum en espérant que la soirée va être un peut plus intéressante .

Déjà, il me vouvoyait. Ça me plaisait bien. Signe de faiblesse pour les femmes ou pour les personnes de grande réputation?

- Madame.

Je le regardais droit dans les yeux. Je pouvais lire une certaine chose. J'avais beau être d’apparence jeune, j'étais mine de rien une madame veuve. J'étais de parler de mon défunt mari à n'importe qui, contrairement à mes enfants qui tôt ou tard les personnes que je recrutais les verrons.

- Pas vraiment. Parmi toute cette foule, tu t'es joint à moi grâce à "mon inquiétude". Ne sais-tu pas que ce n'est pas rien? Je sais déjà comment tu te nommes.

Il buvait sa bière tranquillement. Il était prêt à m'écouter. Il s'agissait de le maîtriser un peu. Le fait de savoir à l'avance son identité pouvait avoir un impact majeur. Mais, je voyais bien que je n'avais pas un faible en face de moi, bien au contraire! Je pouvais maintenant le charmer si je le désirais. Ma technique Yowa seru miryoku me permettais de le manipuler dans un sens, mais j'en décidais tout autrement. Je voulais discuter de manière plus civilisé, du moins, pour le moment car j'ignorais ce qui pouvait encore arriver.

- Les rousses sont tellement délicieuses ici...

Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire et de lui lâcher une réponse coquine. Au moins, il sera fixé sur une partie de ma personnalité.

- J'aime bien les rousses aussi. Qu'elles soient faites de chaire ou d'alcool.

Après ce petit moment de relaxation, je voyais qui voulait en savoir plus. Le fait qu'il s'adresse à moi par mon prénom signifiait quelque chose. C'était des détails peut-être anodines au premier arbore, mais qui était assez utile de connaitre. Mon petit sourire s'effaça soudainement. Je continuais à le regarder dans les yeux. Mon ton changea également. J'étais ferme, mais sans trop être autoritaire.

- Hmm, tu as le sens des affaires, toi. Comme tu as pu le deviner, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Je sais que tu sais qui je suis, alors je te propose une chose. Une occasion qui ne se produira pas deux fois dans ta vie. Veux-tu faire partie des privilégiés qui vogueront avec moi sur la route de tous les périls?

Il était clair que personne ne faisait attention à notre discussion. Peut-être seulement un ou deux, mais pas plus. C'était assez étonnent. Même pour cette petite ville de Fushia je ne croyais pas avoir aucune remarque sur moi. Était-ce ma nouvelle couleur de cheveux qui faussaient leur regard incessible à ma réputation? Certainement...

J'avais donc la chance de pouvoir intégrer des nakamas sous les yeux de la populace. La Marine local ne devait être très actif. C'était un pauvre bled, ici. J'étais presque sûre qu'on pourrait les remuer un peu. Juste un peu pour s’amuser...

Alors qu'on parlait Saul et moi, je sentis quelque chose d'assez près me déranger. Oui, il y avait quelque chose qui me picotait mon esprit. Je tournais légèrement les yeux pour trouver ce qui n'allait pas. Après un petit tour de la pièce je devinai sans plein un gamin nous épier. Il était tout juste à une table de nous. Sans le regarder, je lui lançai un proverbe en espérant qui comprendra ce que je voulais dire.

- Ne sais-tu pas que la curiosité est un vilain défaut?

Soit, dans la surprise il cessera de nous espionner, soit, il se joindra à notre table. Lui aussi devait savoir qui j'étais. S'il ne faisait aucune de ces deux éventualités, il serait donc du Gouvernement! Si c'était un membre du Cipher Pol, ça me dérangerait beaucoup. Je sentais que l'étau se refermer peu à peu. C'était comme si je sentais que ma carrière de comédienne prendra fin. L'État aurait plus que raison de me coincer avant que je ne parte que Grande Line où j'aurais plus de chance...

Mon instinct m'avait conduit ici et, à présent, je touchais du doigt mon objectif premier. J'allais devenir pirate, grâce à cette femme aux formes généreuses. Croyez-le ou non mais j'étais heureux ce soir. Néanmoins, je devais continuer à dialoguer paisiblement et ne pas m'emballer de suite. Je voyais Lust qui s'agitait au coin du bar plus loin, sans doute se doutait-il de quelque chose. Satisfait mais pas encore vaincu, je poursuivais la conversation avec la belle :

"Qui me dit que ce voyage me sera plus bénéfique que de continuer mon train de vie paisible ici?"

Ensuite, Aoi coupa court à la discussion en se tournant vers un jeune homme proche de nous. Je le dévisageai alors, il avait une apparence de junkie moyen, loin d'être impressionnant mais son regard cachait quelque chose de peut-être sournois. À mon avis, on avait affaire à un petit malin, ou un voleur... Je préférais donc traiter le cas avec précaution. Tandis que la capitaine pirate avait l'air de chercher l'intimidation, je me chargeai de jouer le type plus cool. Si le gars portait ses noix, comme la rousse devait l'espérer, il se joindrait à nous, autrement il risquait de s'attirer nos foudres.

"Eh petit! T'es pas un peu jeune pour le rhum? Viens voir par là, que je t'apprenne ce que c'est une descente."

À moins d'être une mauviette, le jeune homme allait probablement venir jusqu'à nous. J'avais hâte de découvrir les secrets de ce petit curieux. Entre temps Luigi retournait à la batterie et commençait à chauffer les spectateurs, j'allais bientôt retourner sur scène moi aussi, il fallait faire vite.

Ainsi donc je me trouvais assis tres confortablement à ma place avec la bouteille de Rhum dans ma main droite en prenant de temps en temps quelques gorgés de cette excellente et delicieuse boisson qui pourrait sans aucun doute changer n'importe quel prince charmant tres respecté en l'un des grenouille les plus miserable que la terre ai jamais connu .Pendant que je me faisais plaisir avec ma petite bouteille , je ne pu m'empecher d'espionner la femme qui se trouvait juste à quelques metres , je ne sais pas pourquoi mais j'en suis sur d'avoir deja vu cette tete quelques part et mon intuition me dit qu'elle n'est pas n'importe qui donc je ferais mieut de me mefier .Bref , Elle m'intrigue la demoizelle .

Je continuais à les epier elle et le rossignol qui venait tout juste de la rejoindre mais une chose interressante que j'entendis lors de leur discussion retena mon attention , en effet à en croire les dires de la mysterieuse demoiselle , apparemment elle serait une pirate et elle voudrait recruter l'autre jeune homme qui s'etait assis a sa table .Tout de suite quand je fis le rapprochement entre la piraterie et elle , une illumination me traversa la tete , je venais de la reconnaitre .

-Ne sais tu pas que la curiosité est un vilain defaut ?
Mon moment d'espionnage pris fin avec la jolie femme qui venait tout juste de m'adresser la parole .En refletant un leger sourire un peut provocateur au coin des levres je lui repond

-Hummm ..... ça depend de la situation

Je ne pu avoir l'occasion de continuer ma phrase que voila que son compagnon de table m'adressa a son tour la parole mais cette fois çi en essayant d'etre le plus gentil possible .
Le seul probleme qui se pose et que le fait d'etre amical est un luxe que malheureusement je ne peut souvent me payer disons juste qu'a defaut d'etre arrogant je suis une personne qui aime bien provoquer les choses .

Donc en me levant tout doucement de ma table , je me dirige vers mes interlocuteurs en ayant toujours ma bouteille de Rhum dans ma main droite et mon chapeau de paille qui donnait l'impression que je suis un jeune homme tres confiant de sa personne .

-Merci mais je pense que tu devrais rester à la citronade , Le Rhum peut s'averer etre parfois dangereux pour les chanteuses , héhéhé !!

Repondis je au jeune homme en le narguant un peut , puis je m'assis a leur table et je me tourne vers la pirate .

-Laisse moi deviner ........Aoi D nakajima ?

- Hummm... Ça dépend de la situation.

- Très juste. Pour un pirate, je dirais que c'est plutôt une qualité. Toutefois, ce qui détermine un excellent curieux est tout bêtement le savoir de la discrétion.

Saul semblait déjà avoir de la sympathie pour ce nouvel inconnu. En ce qui me concernait, j'étais encore méfiante étant donné la pression du Gouvernement que je ressentais et du récent évènement qui m'était survenu au Royaume de Saint Urea. Un membre du Cipher Pol me suivait depuis quelque temps, il avait mis en oeuvre mon arrestation et surtout j'avais perdu mon avantage que je tenais fermement depuis que je suis dans la piraterie. A savoir, ma fausse identité. N'importe quelques citoyens qui me respectaient en tant que comédienne me méprisaient maintenant et pouvaient me balancer aux Marines puisque qu'ils connaissaient désormais mon véritable visage. Il était inutile de poursuive ma route en faisant des pieds et des mains.

- Eh petit! T'es pas un peu jeune pour le rhum? Viens voir par là, que je t'apprenne ce que c'est une descente.

- Merci, mais je pense que tu devrais rester à la citronnade. Le rhum peut s’avérer être parfois dangereux pour les chanteuses, héhéhé!!

Et voilà le jeune à la bouteille de rhum qui vint s’installer à notre table. Je me faisais tutoyer par un gamin, je n'aimais pas du tout ça.

- Laisse-moi deviner... Aoi D. Nakajima?

Je lui fit "oui" d'un petit mouvement des yeux. C'était l'un des premiers à faire le rapprochement entre ma nouvelle tête et celle de l'affiche où j'étais primée. Était-ce une qualité? Peu importe, en fait. De toute manière, j'avais plus de raison d'avoir peur. Ce n'était qu'un enfant à mes yeux et il ne pouvait pas être dans le Gouvernement. Plus je l'observais, plus je devais confiante.

Il fallait que je reparte en force, que je marque les esprits et surtout, pour me venger de la Marine! Je repris donc la conversation que j'avais engagée avec Saul. Je voulais des hommes pour ma périlleuse aventure. J'allais donc faire d'une pierre deux coups, ahah.

- Inutile que je reprenne depuis le début. Vous savez tous deux que je souhaite des nakamas. J'attends donc votre verdict.

J'apprenais de la part du chanteur qu'il avait un frère dans cette salle, qu'il ne pouvait pas laisser tomber. De plus, ce dernier, était un très bon cuisinier. Ah, beh j'avais halte de goûter à sa cuisine alors! Ça me changera des recettes préparée par ma fidèle capitaine en second, Valentina D. Méria. Depuis que j'avais eu mon navire, c'était elle qui nous faisait à manger. Elle était aider parfois par sa fille.

Je réfléchissais deux petites secondes. Oui, j'avais une petite idée en tête pour tout à l'heure. Je savais déjà comment intégrer ces trois personnes à confrérie. J'observais attentivement la salle. Il n'y avait que des ivrognes qui pour certain gueulait, d'autre se vomissait dessus. Bref, une ambiance normal d'une taverne. Rares étaient ce qui écoutaient réellement Luigi à la batterie. Il me semblait qu'on appelait avec frénésie Saul. Ça allait être son tour. Moi qui était venu à la base pour l'écouter, je voulais maintenant passer à l'étape supérieur...

Saul et Lust était dans cette auberge de Fushia. Ils y restèrent de nombreux jours. Seulement, Saul lui pouvait faire sa passion ; la musique ! Tandis que Lust lui se retrouvai comme videur pour la "Grande soirée" qui allait venir. Cela déplaît à Lust mais si il ne veut pas payer le gîte et le couvert, il n'a forcément pas le choix.

Le jour du concert de Saul, Lust fît des regards non-confiant à tout les alcooliques qui criait en rythme avec la musique. Il avait déjà repéré quelques capitaines pirates avec des primes de 2 Millions de Berrys jusqu'à 5 Millions. Quand tout à coup une des capitaines pirates se nommant Aoi D. Nakajima se pointa . Déjà il remarqua que sa tête valait beaucoup de Berrys et qu'elle était magnifique.

Pendant la pause de Saul et de son compagnon Luigi, d'autres pirates se mirent à crier et lever leur pichet de bière en l'air.

"Ouais Saul t'es le meilleur !"

Saul prît ça pour un compliment mais Lust lui, en avait plein les oreilles de les entendre gueuler et il voulut les remettres en place.

"C'est pas bientôt fini vous allez tous arrêter de gueuler un jour ?"

Minute de silence

Lust se retourne pour aller à la porte de l'auberge quand alors les pirates l'attaquèrent par derrière et lui explosa leur pichet contre son crâne. C'est alors au moment où Lust allait s'écrouler qu'un des pirates le chope et lui mît un coup de boule et une gifle pour achever Lust. Il s'écrasa contre une table ce qui du coup, va casser la table et mettre Lust au tapis.

Toute la foule se met en cercle autour de Lust. Certains disent qu'il est mort et d'autres disent qu'il est inconscient. Pour les pirates qui l'a attaqué, il est mort. Quand d'un coup il se lève et crie :

"Saul ! La pause est fini ! Met du bon son !!!!"

Il sort Seibähädo et attaqua les pirates ! C'est le premier vrai combat pour Lust ! Il en profite pour tester ses techniques spéciales et se lance dans le combat !

"Hifu hakuri ! (Épluchure de la peau) "

Il s'arme d'un économe et s'élance sur son adversaire pour lui arracher des lambeaux de peau. Cette attaque choque les clients alors Lust eût l'idée de les faire sortir et de se combattre dehors de l'auberge. Une fois sorti, Lust se retrouva encerclé par la bande de pirate.

"Rōdo tōgyū-shi ! (Charge du toréador)"

Lust fonce sur sa cible pour le plaquer au sol et tente de le transpercer de sa lame au dernier moment avant le contact. Seulement une fois qu'il a fait ceci, un des pirates lui tire dans le ventre. Il tomba et atterrit sur ses deux genoux, Seibähädo se lâcha de ses mains et un pirate l'a prît.

"Ah ah ah ! C'est dommage c'est une belle épée que tu avais ! Elle est a moi maintenant !"

Alors qu'il allait jeter son épée à l'eau Lust fonce à mains nue sur le pirate, le jette dans l'eau et au dernier moment rattrapa Seibähädo ! Il continue son combat en achevant les tireurs et en tuant leur capitaine. Lust viens de commettre un crime alors pour oublier ça, il attacha le capitaine pirate a un parpaing et le jette dans l'eau afin que son corps ne remonte pas et reste noyer sans que personne n'y ait vu.

Tout blessé Lust rentre dans l'auberge par l'arrière du bâtiment et se mit des bandages pour retourner au service. Il alla voir Saul qui était retourné à la table où il était assis quelque minutes avant la fin de la pause car Saul a jouer pour Lust mais sa pause n'est pas fini.

"Dit Saul, un problème avec ces deux là ?"

"Ces deux là" étaient le Capitaine Aoi D. Nakajima et Kusanagi une autre personne qui avait l'air d'avoir nargué Saul. Alors que Saul allait parlé Aoi prît la parole .

Ignorant quelque peu l'arrogance culottée du jeune homme sournois, je dévoilais la présence de mon frère. Il allait sans dire que je ne partirai pas de Fushia sans lui, Aoi avait l'air de l'avoir bien comprit. C'était probablement une bonne soirée pour cette femme hors-la-loi à la recherche de matelots pour son équipage.

Alors que la discussion allait bon train à la tablée des trois futurs compagnons, je perçus la voix de Lust dans l'amas de clients de l'auberge. En effet mon petit-frère semblait avoir quelques accrochages avec des voyous de bon chemin. Je ne doutais pas de ses compétences en combat rapproché, mais lorsque le son d'un coup de feu trancha avec le solo de Luigi, je ne pus m'empêcher de croiser les doigts pour que mon frère n'ait rien.

Presque une minute plus tard, Lust refit apparition et vint même me demander s'il y avait un soucis avec les deux personnes qu'il ne connaissait pas, assises à mes côtés. Je lui souris et fis non de la tête. Des présentations s'imposaient :

"Lust, voici Aoi, elle possède un navire, si tu vois ce que je veux dire... Celui-là je ne sais pas comment il s'appelle, mais ce qui est sûr c'est qu'il aime se bourrer au rhum!"

Une bonne chose de faite. Maintenant, je devais retourner à mon poste, sur l'estrade. Les gens attendaient et Luigi était à cours d'énergie pour continuer son long et frénétique solo. Je descendis ma bière d'un trait puis déclarai :

"Bien, les amis je vais finir mon travail ici et nous pourrons nous tirer pénards."

Il était temps de montrer de quoi j'étais capable, rien qu'en utilisant le son et la musique. Je branchai Trivium à l'ampli, et c'était repartit.

#The Rising (L'élévation)
Chanson (la première composée par Saul et jouée en concert) de rock transformée en chant de guerre pour améliorer le moral des alliés sur le champs de bataille. Si le guitariste est accompagné d'un groupe complet (basse et batterie au moins ou un percussionniste et un autre guitariste), la musique peut faire trembler les murs du bâtiment dans ou sur lequel elle est jouée.
Musique

La chanson était en marche, cette fois les gens allaient faire dans leur pantalon!

"So raise your voices with me! And sing this song of unity! So raise your hands up with me! And hold this moment eternally!"

Le public était avec moi, la musique changeait les clients de l'auberge : ils se bousculaient en rythme, criaient avec moi, levaient les bras aux cieux, comme transportés par une force incroyable. Je savais que ce soir je n'avais rien à laisser à cette taverne miteuse, alors autant tout donner. Les murs du bâtiment commencèrent à trembler dangereusement au bout du deuxième couplet, plus le public m'accompagnait et plus les secousses étaient importantes. Le patron de l'auberge me fit signe au loin de baisser le volume, mais rien n'allait m'arrêter. Pas même le fait que j'étais moi-même sous le toit qui allait s'effondrer.

"Yeaaaaaaaaaah!"

La dernière note de la chanson était celle de trop pour la vieille bâtisse. Elle allait s'écrouler dans quelques secondes. Je pris mes cliques et mes claques avant de faire signe à Aoi, Kusanagi et Lust de me suivre dehors. Une fois tous les quatre réunis à l'extérieur, pendant que les personnes prisonnières des décombres hurlaient à la mort, j'annonçai :

"Promis, je ne jouerai jamais celle-ci sur votre vaisseau capitaine!"

On pouvait entendre Luigi qui tapait encore du pied sur sa batterie malgré le mur qu'il venait de se prendre dans la figure, sans doute était-ce ses nerfs qui le faisaient encore bouger. Je souris à mes trois compagnons, la soirée ne faisait que commencer.

"Alors? Qu'est-ce qui se passe maintenant?"

Ma guitare attachée autour du cou, mon ampli sur le dos et mon baluchon sur l'épaule droite, j'étais fin prêt pour l'aventure.

Lust eu a peine le temps de boire sa bière qu'il sortit en courant avant de ce prendre les lustres dans la face. Une fois dehors les trois souris l'air de dire "C'est trop cool qu'un bâtiment soit tomber !" sauf Lust. Qui avait l'air préoccuper... Alors il dit :

"Vas-y Saul, tu m'as pas laissé le temps de récupurer mes affaires, les recettes et les Berrys, oui, surtout les Berrys !"

Le capitaine Aoi prît la parole et dit :

"Nous avons 2heures avant que la Marine n'arrive alors.... On pille ce village !"

Saul, Aoi et Kusanagi partirent les trois dans le village alors que Lust lui voulut partir seul, ils devront se rejoindre dans trois heures devant les ruines de l'auberge. Lust eut l'idée d'aller tuer le maire, d'aller faire sauter des explosifs et de brûler quelques maison même si c'est plutôt Aoi qui est doué pour ce genre de choses. Une fois arrivé à la mairie, deux soldats sont debout devant lui un s’appelait Tadomikari et l'autre Meikafuto.

"Halte Lust Nemausus ! Un pas et on offre ta tête au chien !"

Lust n'hésite pas à sortir Seibähädo et la pointa vers eux.

"Et pourquoi devrais-je ? Je suis un pirate pas un gentil bonhomme ! Et d'où est-ce que vous connaissez mon nom ?"

Quand d'un coup le propriétaire de l'auberge arrive l'arme à la main visant Lust.

"Bonsoir Lust ! Alors ça va ? tu sais que ton salaud de frère à détruit mon chez-moi ? Mon auberge ? Bon je sais que tu es un dur, mais ton ami Lekyole du Baratie nous a fait part d'une petite visite et te cherchai justement ! J'espère que pour ton frère, tu lui as dis adieu !"

"LEKYOLE ! Lâche le sale enfoiré ! Il n'y est pour rien !

"Lust je suis désolé mais... Ils m'obligent à te dire des trucs qui te met en nerfs mais je suis obliger sinon je vais mourir... TA CUISINE EST A GERBER !"

"AHAHAH c'est bien tu fais des progrès bon maintenant tu respires un bon coup et..."

SHLAK !

Le patron de l'auberge égorge Leyole mais ce dernier n'est pas mort, il est à l'agonie. Lust lui, crie Lekyole hyper-fort fît un bond au dessus des deux mercenaires pour tuer le patron mais au dernier moment les trois lui tire dans sa blessure ce qui fait un atterrissage raté et met Lust K.O. Le patron avant de sortir dit à Lust :

"Ah oui ! Au fait ! J'ai cru entendre dire que tu voulais tuer le maire ? Hein ? Il est déjà mort c'est moi qui l'a tué vu que tu as détruit mon auberge je me suis dit autant faire pirate moi aussi ! Je me nomme Noruchi allez, on se retrouvera en enfer !"

Les minutes s'achèvent ainsi ... 30minutes était passer il ne restait plus que 1h et 15minutes. Lust se releva tant bien que mal et vît un des pistolets de Noruchi sur le sol. Lekyole lui était encore à l'agonie. Lust en larmes prît le flingue vise Lekyole et dit ainsi :

"Je suis désolé l'ami, je ne voulais pas ça je t'aurai fait rejoindre l'équipage mais c'est trop tard à cause de cet enfoiré ! Adieu Lekyole je te vengerai c'est une promesse !"

PAN

Lust abrège les souffrances de Lekyole, brûla la mairie et retourne devant l'auberge en ruine et attend 1heure l'arrivé de ces Nakama.

Apres mon entrée disons un peut special pour les rejoindres ,On a discuté pendant quelques instants pour que Aio me propose ou plustot nous propose de la rejoindre dans son equipage . Evidemment j'etais content d'entendre son invitation et je ne vais en aucun cas la decliner parceque j'ai enfin l'occasion de saisir ma chance et de devenir par la meme occasion , officialement un pirate histoire de pouvoir naviguer sur les oceans et de s'affirmer dans le monde de la piraterie .Je n'ai rien laisser paraitre , comme a mon habitude je jouer les indifferent , faisant croire aux autres que je n'en avait rien a foutre alors que c'est carrement le contraire .

Alors toi tu ne perd pas le nord , hein

Lui dis je en y ajoutant une petite dose d'humour

-Mais bon vu que j'ai soif d'aventure , j'accepte ton invitation

Elle etait sur le point de me repondre quand tout a coup sorti de nulle part , un type s'amena devant notre table et demanda a Saul si il y avait un probleme avec moi & Aoi .La premiere impression que j'eu a propos de cet individu et qu'il doit vraiment se sur-estimer pour oser venir devant nous et demander a l'autre rossignol si il y'a un probleme ,comme si , si c'etait le cas il va comme par magie nous foutre une bonne raclée , Humm .......en tout cas la soirée s'annonce explosif .

Apres que Saul nous ai presenté a son frere je lui fait un leger " enchanté " puis je continue a descendre ma bouteille de Rhum . Le rossignol se leva de la table et rejoigna la scène afin de faire son boulot qui est de divertir la salle avec ses chansons .Quand soudain apres quelques minutes de chanson , Tout ce qui se trouvait dans le restaurant se mit a trembler renvoyant ainsi ma bouteille de rhum se casser sur le sol .Sur le coup je n'y comprenais rien , etait ce un tremblement de terre ? ça m'ettonnerait surtout que dans une ile comme celle çi c'est rare d'y voir des choses de ce genre .Mais quelques secondes plus tard apres avoir analyser la situation je compris que le responsable etait personne d'autre que Saul .Ainsi donc il a une capacité comme celle çi , on dirait bien que je l'ai un peut trop sous-estimer le mec .

Une fois dehors , apres que le restaurant s'etait ecroulé , nous nous decidons a piller le plus de truc possible dans la ville avant que la marine ne s'amene .Apres reflexion je me suis separé du groupe afin de couvrir plus de surface .Je me suis tout d'abord attaquer aux divertissement de la ville , en effet apres m'etre introduit en plein spectacle dans un cirque , j'ai poignardé avec mon kunai un type qui jouait a souffler du feu avec un baton de feu et du petrole .Effectivement apres avoir aggresser le type en question je pris le petrole et je l'asperge sur toute la tente et la porte de sortie ou les gens se rueaient afin de fuir le plus loin possible puis apres etre sortit dehors je met le baton de feu sur la tente du cirque afin de la bruler puis lorsque la tente pris feu , je lance le baton de feu sur la sortie ne laissant pas ainsi aucune chance aux personnes malchanceux qui n'ont pas malheureusement eu le temps de s'echapper de cet inferno .Avec un petit sourire au coin des levres , je leur ai tourné le dos m'eloignant par la meme occasion d'eux pendant qu'ils brulaient ou mourraient dans de terribles souffrances avec leur cri aigu qu'on pouvait entendre de n'importe ou sur cette ile .La panique commenca a regner dans la ville .

- La prochaine fois que je dirais, la musique ça tue! Je réviserais mon jugement, car de là, à voir au premier degré le résultat... Je n'imaginais pas que cela pouvait faire autant de dégâts!

Des rescapés du drame étaient pour certain, complètement affolés par ce bouleversement, d'autres gardaient leur sang-froid et leur dignité face à cette catastrophe. Ils y en avaient aussi qui cherchaient à aider les survivants, et enfin, ils y en avaient qui nous tenaient pour responsable. D'un air très étonné et à la fois colérique, l'un d'eux s'avança vers nous quatre et d'un ton ferme il répliqua. Était-il le genre de héros ou de doyen qui souhaitait prendre les choses en main?

- Mais qui êtes-vous donc à la fin?

- Tu poses trop de questions.

Il ne devait pas s'y attendre ou l’alcool lui jouait un mauvais tour à ce moment-là. Alors qu'il n'était qu'à quelques mètres de moi, je dégainai ma gunblade rapidement et dans mon geste, le lui tranchai le corps sec.

Bon, la situation n'était pas trop dramatique au final. J'avais ce que je voulais à la base. Mais puisque Lust était impatient de finir le travail de son frère, je décidais alors d'accomplir ma petite idée de tout à l'heure. Je voulais attaquer ce village, mais en commençant à ma manière. Du coup, juste pour cette première fois, je laisserai mes nakamas un peu faire ce qu'ils veulent. Disons que c'était leur dernier moment de liberté avant d'être officiellement sous mes ordres.

J'analysais la situation vite fait. Il n'y avait pas de garnison important, ici. Ou plutôt obsolète. On ne devrait pas trop avoir de problème de ce côté-là. Pas plus que les villageois rebelles, d'ailleurs. Bref, tout allait pour le mieux. Le début de la soirée commence à son fort. Cette petite excursion dans ce patelin allait me permettre de voir si mes nouveaux-venus étaient efficaces. Je leur ordonnai donc de piller, saccager et détruire ce qu'ils pouvaient tout en volant tous les bijoux possibles, l'argent et des armes. En un mot, faire le pirate. C'était un peu tôt à mon goût, mais d'ici quelques heures on aura amassé de nombreux biens...

Rien qu'autour des ruines, j'entendais des cris de détresse, d'agonie et des pleures. Les gens n'en revenaient pas non plus. C'était la panique! Je ne pouvais m'empêcher d'avoir un rictus malsain se dessiner sur le coin de mes lèvres. Saul avait commencé très fort pour un début. C'était très intéressant.

- On se retrouve ici dans deux heures. Ne perdrez pas de temps avec les femmes et restez vigilants. Toutefois, je doute qu'il y ait des mouvements des représailles. Celui qui détiendra le plus de Berrys aura le droit à une récompense dès ce soir.

Ainsi, nous nous séparons chacun d'un côté, poursuivant notre chemin dans le sang et la richesse. Même si ce n'était qu'un misérable village, j'imaginais qu'il y avait de quoi me satisfaire. Cela allait n'être qu'un jeu d'enfant, héhéhé.

J'entrai dans la première maison, juste en face de ce qui restait de la taverne. À l'intérieur, il y avait un couple, qui semblait déjà être apeuré. Certainement, le remue-ménage de tout à l'heure. Ils se tenaient l'un à l'autre. Je les regardai un instant. Ils étaient complètement inoffensifs. En m'approchant, ils voulaient réagir, crier, voir me rejeter, mais ils optèrent pour la fuite. Seulement, avec moi, je n'éprouvais pas de pitié. Je les rattrapai facilement et je portai un violent coup, puis j'embrochai le deuxième. Je cherchai un sac assez gros et ensuite de la monnaie.

Une fois que la fusée avait été lancée dans le ciel, je ne compris pas immédiatement qu'il s'agissait d'un feu de détresse. Lorsque le barman à terre me balança que la guilde allait s'occuper de moi, je fus encore plus surpris et plusieurs interrogations survenaient dans mon esprit. Je vous laisse imaginer ma surprise quand les trois colosses sont sortis de nulle-part, proclamant la justice. Je regardais alors derrière moi, mais tous mes compagnons étaient partis tracer leur chemin. Je me retrouvais donc seul, face à trois monstres probablement dotés d'une force et d'une résistance hors du commun. Le choix était simple : vivre ou mourir.

Trivium était étincelante dans la nuit, tandis que des bruits de panique s'élevaient de la petite ville. Je chargeais mon arme-instrument, la branchais à mon amplificateur de son puis je fixais le chef du trio droit dans ses yeux de porcin.

"Le conseil des cafetiers? C'est pas le groupe de gros sacs dont le QI cumulé ne dépasse pas celui d'une mouche? Non, parce que si c'est le cas j'imagine qu'à vous trois vous n'êtes pas plus malins qu'une seule huître..."

Je craquais mes doigts pendant qu'une des deux brutes brisait une bouteille sur son crâne sans broncher. Une tentative d'intimidation qui me fis tout de même réfléchir à un éventuel plan d'attaque. Il allait sans dire que si je n'attaquais pas le premier j'aurais un coup d'avance, ici trois en l’occurrence. Il me fallait absolument jouer très rapidement pour enchaîner les tirs, et je devais aussi, évidemment, conserver une distance de survie assez importante avec ses trois gugusses, qui devaient être redoutables au corps-à-corps.

"Toppū no Sinfonia!"

# Toppū no Sinfonia (Symphonie de la Rafale)
En jouant très rapidement, avec des accoups, de sa guitare-arme Trivium, Saul peut tirer des rafales meurtrières sur ses ennemis à une portée moyenne relative à celle de son arme.

Une rafale sur la cible de gauche, une autre sur celle du milieu et une dernière sur celle de droite, je reculais en pas chassés puis je recommençais ces attaques rapides et nombreuses. Si je ne me trompais pas, la vitesse était certainement le point faible de ces montagnes impressionnantes. En pratiquant ce balayage avec concentration, je pouvais maintenir une bonne distance de sécurité. De plus, avec The Rising qui résonnait encore dans ma tête, le moral était au beau fixe, la chance était peut-être avec moi, et également avec mes équipiers.

[HRP : Rappel de la technique utilisée dans mon précédent message :
#The Rising (L'élévation)
Chanson (la première composée par Saul et jouée en concert) de rock transformée en chant de guerre pour améliorer le moral des alliés sur le champs de bataille. Si le guitariste est accompagné d'un groupe complet (basse et batterie au moins ou un percussionniste et un autre guitariste), la musique peut faire trembler les murs du bâtiment dans ou sur lequel elle est jouée.]

Lust à l'impact de la mort voulu retourner devant les ruines de l'auberge seulement, le feu fût éteint et la Marine débarqua devant lui.

"Eh merde..."

"Jette tes armes pirate! Tu es cerné mais si tu te rends sans faire d'histoire tu auras la vie sauve !"

"Va te faire foutre ! Je me rendrais pas approche un peu que je t'explose la tête dans le béton !"

Quand soudain, une torche allumé surgit du carreau cassé de la mairie et des paroles sortit :

"A bas les pirates !"

Lust évite la torche qui allait le toucher et sortît Seibähädo pour foncer sur le Vice Lieutenant Mattia. Elle fît un sourir mesquin à Lust et le poignarda de sang-froid. Lust tombe à terre et une énorme flaque de sang se forma.

"Pirate de malheur ! Tu n'as pas le droit de foutre le bordel dans ce petit village ! Mais, je te donne le privilège d'affronter tout mes hommes sans ton sabre bien sûr !"

"Ok, ramenez-vous bande de loques ! J'ai pas de temps à perdre !"

Ils commencèrent à se battre. Les gars de la Marine attaquait surtout la blessure de Lust se qui le mît au tapis au bout du 27ème gars.

"Pirate ! Tu vas mourir ! Ici et maintenant !"

Lust inconscient se fît attacher au mur et le Vice Lieutenant Mattia vise entre les yeux de Lust afin de l'exécuter. C'était surement la fin pour lui.

Content de ce que je venais de faire , je m'eloignais du cirque derriere moi avec un leger sourire sadique au coin des levres , me rejouissant des cris de detresses des personnes qui s'etaient retrouvées piegés dans le cirque et des habitants de la ville qui couraient de gauche a droite ne sachant pas du tout quoi faire dans une situation comme celle çi .Je continuais à marcher dans la direction opposé du cirque quand tout a coup j'eu comme une intuition qui me dit de me retourner et c'est ce que je fis puis dans un mouvement de reflexe en remarquant une pomme pourrie , lancée vers ma direction , qui etait sur le point de s'ecraser sur mon visage , je degaine mon katana avant de pivoter legerement vers la gauche et de decouper la pomme en deux avant quelle ne puisse m'atteindre mais malheureusement cette derniere explosa sous le choc violent de mon katana et envoya par la suite quelques bouts de fruits plus ou moins puants sur ma face et un peut sur mon kimono .Apres avoir rengainer mon katana et enlever les bouts de fruits qui s'etaient retrouvée sur mon visage , je jette un regard vers la direction d'ou venait le projectile et apparemment l'individu qui essayait de me tenir tete n'est personne d'autre qu'un des clowns du cirque et en plus il avait l'air d'etre tres enervé au point de vouloir me faire la peau .

-Hé le môme... Tu crois que tu peux venir foutre le bordel dans mon cirque et t'en tirer comme
ça ? Tu nous prends pour des clowns c'est ça ? Je vais te faire bouffer tes dents...

Me dit il en essayant de m'intimider par sa masse musculaire qui d'ailleurs etait tres reussit pour un type de son genre .Face au bonhomme qui , avec ses gants blancs , faisait rouler dans sa main un baton de majorette terminée par une grosse boule mettalique , je conservait une attitude depourvue de toute emotion lui faisant bien comprendre qu'il ne m'impressionne en aucun cas .
-Si je vous prend pour des clowns ? ................Mais bien sur vu qu'apparemment toi t'en es
un , Hahahahaa !

lui Repondis je en y ajoutant une petite dose d'humour qui n'eu comme seul effet que de l'enerver encore plus .Il repliqua avec :

-Espece de sale morveux

Apres quelques fractions de secondes passé a me foutre de sa gueule , je degaine mon katana puis je le pointe vers mon adversaire dans le but de le mettre au defis de me combattre .
-Allez , amene toi que je te montre mes petits tours d'acrobaties

Le clown ne se fit pas prier , en prenant de ses deux mains son baton de majorette , il fonçea directement vers ma direction avant de faire un bond et de donner un coup de baton dans le vide , du haut vers le bas afin de m'atteindre sur la tete .En le voyant venir je pu l'eviter en pivotant vers le coté mais mon adversaire n'avait pas dit son dernier mot , en effet il se mit a enchainer ses attaques que je me contentais juste d'eviter .Mais le probleme est que le plus j'evitais ses attaques en pivotant ou en reculant , le plus ses attaques devenaient rapides et precis .Dans le but de ne pas me risquer a subir l'un de ses attaques , à l'aide d'un puissant mouvement de propulsion qui partait de ma cheville gauche , je projette le corps de mon adversaire vers l'avant mais celui revient a la charge et brandit son arme avant d'essayer de m'atteindre avec , mais je fis de meme en faisant usage de mon katana et "CLAAANG " le choc de nos armes fut si violent qu'on pouvait voir des étincelles s'en degager .
Apres çela je fis un bond en arriere dans le but de mettre un peut de distance entre moi et mon adversaire . Le choc de nos armes me permis de me rendre compte que mon adversaire possede en faite une force brute largement superieur a la mienne et que si par hasard il reussissait a m'enteindre au niveau de la tete ou autre part çela pourrait s'averer etre fatal pour ma personne .

-Alors le morveux , me dit pas que t'a deja peur de moi ?...Allons allons le spectacle ne fait que commencer

Le voir me prendre de haut de cette façon me mettait hors de moi et çela fit ressortir mon coté impulsif .

-Huun ! Amene ta fraise , enfOOOIREEEEEE !
A peine eu je terminer ma phrase qu'il fonça encore une fois de plus vers ma direction mais cette fois çi je ne compte pas le laisser mener la danse , moi aussi je me mis a courir vers sa direction , le katana brandit vers le ciel pret à couper de la chair .Cette foisçi je vais devoir me donner a fond si je ne veut pas terminer mes jours dans un prison des blues .

Alors que je ne trouvais absolument rien dans cette baraque, j'entendais dans la rue du remue-ménage. Il y avait beaucoup plus d'activité, soudainement. C'était probablement le fait que la taverne soit tombée en ruine qui attira du monde. Soudain, un autre brouhaha vient dans mes oreilles. Je reconnaissais aussitôt cela. C'était plutôt mauvais signe. Toutefois, j'avais l'impression que c'était pas aussi organiser le jour de mon arrestation au Royaume de Saint Urea. Les Marines devaient être au courant depuis peu...

Aoi D. Nakajima regardait par la fenêtre du salon l'extérieur. Elle observait le Lieutenant Colonel Tommy Sauveur qui dictait les ordres. La femme pirate ne le connait pas des masses. Elle le trouvait le charmant sur son destrier. Elle l'écoutait silencieusement derrière la baie vitrée pour apprendre plus sur la situation. Elle n'avait pas imaginée qu'un patelin aussi minable que Fushia posséderait des installations militaires pour protéger les civils.

- Adjudant Biggs, prenez cinquante hommes et filez vers le champ de foire, il semble qu'il y ait du grabuge là-bas aussi. Chocard, vous faites pareil et vous descendez sur le port. Trouvez-moi d’où viennent ces types et assurez-vous qu'ils ne puissent pas quitter les lieux en bateau. Tous les autres, bouclez le quartier et réveillez les gens, je veux m'assurer que tout le monde va bien dans les maisons et retrouver ces assassins. En avant soldats! Pour l'ordre et la justice!

J’hésitais un peu à sortir. J'attendais que ses hommes s'en allèrent. Si je pouvais le prendre en duel cela n'allait pas trop m'être fatale. D'un autre côté, j'avais changée d’apparence. Je devrais être quelqu'un d'autre pour le Gouvernement! Du moins, c'était ce que j'espérais. Mais si ça ma ruse ne marcherait pas, je ferais avec. Tant pis. Les officiers ne semblaient pas être dupe pour se laisser berner facilement. C'était du kif-kif bourricot, rien de plus... Je sortis alors en tentant de me faire passer pour une citoyenne du village.

Jeu: hésitante, sincère dans l'interrogation.

- Bonsoir, monsieur... Il y a un problème? Je vois du grabuge là-bas... Rien de grave j'espère.

- Ne vous inquiétiez pas, on s'en occupe. Pour votre sécurité, je vous demanderais de retourner dans votre maison.

*Ah, ça je veux bien.*

Plus la discussion allait, plus je ne le sentais pas ce coup. Tôt ou tard, il me démasquera! Il était tout seul, maintenant. Ses hommes étaient tous partis là où il leur avait commandé.

- Attendez. Vous n'êtes pas du coin, non?

*Euh...*

Non. En effet, je ne suis que de passage...

- C'est bien ce qu'il me semblait.

Si je pouvais éviter se serait mieux. Mais je voyais au loin Saul dans une mauvaise posture. Il fallait que je l'aide un peu. Sans plus attendre, je fis ce qu'il dit. De cette manière, je pourrais faire le tour du pâté de maisons et rejoindre mon nakama. Mais au moment où je lui tournai les talons, il répliqua.

- Je vous arrête, Aoi D. Nakajima.

- Tu n'es peut-être pas né de la dernière pluie et que tu n'es pas aussi dupe que je le pensais, mais penses-tu vraiment pouvoir me mettre aux ferres, alors que toute une organisation fut un échec monumental. Oui, tu as bien dû entendre cette histoire au Royaume de Saint Urea, il y a quelques temps... Je ne te ferais qu'une bouché!!

Il était descendu de son cheval, le sabre fraîchement dégainé. Allait-il m'offrir un duel digne de ma réputation? J'espérais que non pour la simple et bonne raison que je devais maintenant rassembler mes nouveaux compagnons. Je n'avais pas le temps de fuir ou de tirai une slave avec mon arme à feu qu'il se ruait déjà sur moi. Je sortis à mon tour ma lame et contra tout de suite son attaque. Je sentis une certaine faible lors du coup sous son sabre ridicule. Toutefois, il ne se laissait pas intimider par mon gros calibre et faisait tout pour me déstabiliser.

Tommy Sauveur préférait faire le choix d'une carrière à la dure, au milieu de ses hommes, et au mépris des voeux de ses supérieurs. Ce qui lui valut de se retrouver dans ce trou peinard, à l'abri de la moindre chance de promotion et appelé à sombrer dans l'oubli le plus complet à moins qu'il ne trouvait un acte de bravoure retentissant pour le sortir de là. Et il semblait ferme et déterminer à continuer là où les Marines du Royaume de Saint Urea avaient échoués. Ce n'était qu'un rêve...

Je donnais des coups vers lui, mais il me résistait. Je l'avais sous-estimée. Toutefois, j'étais très sûre de moi. Tôt ou tard, il allait s’épuiser. Il me porta son épée vers mes pieds. Je sautai en arrière pour esquiver, puis je fis un pas chassé sur le côté pour lui asséner un méchant coup vertical. Réalisant son erreur, il le para de justesse et me contre-attaqua avec des gestes brusques. Nos lames s'entrechoquèrent sous des étincelles lumineuses. Je ne pouvais pas perdre plus de temps. La situation de mes hommes pouvait être catastrophique. Je cherchais maintenant à finir ce combat au plus vite. Je faisais tous pour le désarmer à défaut de le tuer. Après quelques échanges, je repris vite le dessus. J'engageai alors la phase finale. Tantôt, je le tapais de la pointe de mon épée, tantôt je donnais des coups de la taille. Je parviens finalement à faire voler son sabre avec ma gunblade et je lui portai un dernier coup pour le coucher.

Dans le feu de l'action je pris son cheval et chevauchai rapidement en direction du bar en ruine. De là où je me situais dans la rue, je pouvais facilement voir mon pauvre Saul en difficulté. Il y avait trois grosses masses noires près de lui dont un qui avait l'air sacrément furax. Le bruit du galop sur le chemin poussiéreux de la rue fit réagir l'individu menaçant et mon homme dans la direction. Je lançai à ma nouvelle recrue.

- Oublie-le! On va aller en direction de la foire. Il devrait y avoir Lust ou Kusagani là-bas...

Une fois à sa portée, je lui tendis le bras pour qu'il me le saisisse. Il grimpa dans la volée derrière moi, laissant en plan son adversaire. Je fis le topo sur la situation et je lui dévoilais ce que je savais.

- Ce n'est pas mon habitude de faire ça, mais on change de programme. On cherche nos paires et on file. Heureusement que j'ai pris le soin de ne pas amarrer l'Inferno au port. Quoique, il en aurait fait qu'une bouchée d'eux... Ils n'ont pas de navire.

J'avais balayé en un rien de temps les deux gorilles derrière mon véritable adversaire. Ce dernier semblait plus agile que d'apparence et il venait tout juste de parer mes tirs à l'aide d'un plateau sûrement modifié pour le combat. Un autre expert en équipement peut-être? Bref, malheureusement mon plan initial venait te tomber à l'eau. Le protecteur des cafetiers de mes bonbons avait volontairement noyé mon amplificateur, tel un lâche et un salop. J'allais devoir le réparer, mais pour le moment je devais m'occuper de ce gros cas qui me collait au train. Néanmoins ce que Porcinet ignorait c'était que je pouvais tirer avec ma guitare même sans utiliser mon ampli, à vrai dire la musique était plus dans la mise en scène que dans l'utilité pour le combat.

À une certaine distance Roger était peut-être assez habile pour éviter mes balles, mais à quasi-bout portant c'était une autre paire de manche. Je devais donc tenter ma chance maintenant que l'affrontement paraissait tourner à l’avantage de mon assaillant. Je portais Trivium assez bas afin de viser par-dessous le plateau-bouclier du grand gaillard, qu'il allait probablement placer devant lui pour se protéger, comme par réflexe, puis je frottais mes cordes à toute vitesse afin de vider mon chargeur sur ce cafetier de pacotille.

"Toppū no Sinfonia!"

Rappel -> # Toppū no Sinfonia (Symphonie de la Rafale)
En jouant très rapidement, avec des accoups, de sa guitare-arme Trivium, Saul peut tirer des rafales meurtrières sur ses ennemis à une portée moyenne relative à celle de son arme.

Ne cherchant pas à savoir si Roger avait succombé ou pas à cette attaque rapprochée, je sautillais pour reculer de quelques mètres, au cas où l'homme lancerait un autre assaut violent. Je n'avais pas l'impression que mon assaut avait échoué en tout cas. Je pensais alors à ce que faisaient Lust et les autres en ce moment, j'espérais qu'ils ne se trouvaient pas dans de trop mauvaises postures. Néanmoins Aoi avait l'air plutôt forte et compétente, elle saurait sortir ses recrues de ce bourbier.

Je remarquais dans la cohue que les gens se barricadaient dans leurs maisons. Sans doute que la Marine avait fait son entrée en scène et que ça allait chauffer encore un peu plus. Si cela était juste, nous ferions mieux de prendre a poudre d'escampette, pourvu que Lust soit en sécurité.

Soudainement, un cheval au galop surgit de l'obscurité, ma capitaine sur son dos. Je me tournais vers elle puis m'agrippait à son bras pour sauter sur le cheval à mon tour. Une fois bien en place derrière elle, j'écoutais attentivement ce qu'elle me racontait. Elle pensait à la même chose que moi : fuir le plus vite possible. On n'avait pas d'autre choix si l'on désirait survivre. Je m'exclamais en pointant du doigt le ciel au loin :

"Là-bas! De la fumée! Il s'y trouve sûrement un de nos deux compagnons!"

Des gens accouraient de cette direction, apeurés et en sueur. Lust n'était pas du genre à provoquer cette peur, il s'agissait donc probablement de Kusanagi de ce côté. Mon estomac se tordait quelque peu, je commençais sérieusement à m'inquiéter de ce qu'advenait mon cher frère. Si la Marine lui était tombée dessus il n'était pas encore assez fort pour leur résister bien longtemps, mais avec du renfort on parviendrait à le sauver, même s'il fallait que je donne ma propre vie pour cela. Je rechargeais déjà mon arme, le sang allait couler une fois de plus sur Fushia.

Nous arrivâmes rapidement à la foire grâce à notre monture. Kusanagi y affrontait un clown enragé avec hargne. Le jeune homme se retrouva à terre, humilié par son adversaire et quelques personnes du cirque qui lui envoyaient des fruits en pleine poire. Pendant que le clown s'évertuait à narguer mon compagnon, je me mis à le viser dans le dos, après tout lui non plus n'avait pas été très loyal précédemment.

"Raifuru no Sinfonia!"

#Raifuru no Sinfonia (Symphonie du Fusil)
Saul le Saoulé charge son arme hybride Trivium et joue des notes courtes, bien séparées entre elles. Cela offre une grande précision au fusil étrange de Saul (les tirs sont produits au coup par coup et ont une forte détonation), qui peut alors s'exercer au tir tel un tireur d'élite (avec une moins grande capacité de distance tout de même).

J'étais assez loin, c'était pourquoi j'avais préféré cette technique à une autre. Bien en place et stable, puisque le cheval s'était arrêté, je retins ma respiration puis tirai trois fois. Les trois balles rapides et extrêmement précises étaient orientées vers la tête et les omoplates de ma cible. Je bénéficias d'un effet de surprise non négligeable, le clown était fait comme un rat. Je descendis ensuite de l'animal qui nous transportait pour attraper Kusanagi sur mon épaule et le déposer sur la selle. Je montais ensuite à mon tour sans me soucier de l'état du clown au bâton de majorette, le temps était compté.

"Allons trouver Lust maintenant!"

Pourvu qu'il aille bien...

Lust n'eut pas de meilleur statut que tout à l'heure ; Il eu la côte cassé et la tête ensanglanté. Il ne put rien faire car il a été ligoté et menotté. Alors qu'un gros barbare doté d'un maillet se fît devant lui, il tant ses menottes à plusieurs reprises afin que le garde donne un coup et que celle-ci ce brise. Une fois qu'elles étaient brisé, Lust devait sauter comme une chenille mais ses mains étaient libres. Il lui mît seulement un pied dans la gueule que l'homme doté d'un maillet fît aussitôt assommé. Personne n'avait entendu le bordel qui s'était passé derrière la porte. Lust lui se détacha en arrivant à coincer un couteau dans les cordes pour les détacher.

Lust était enfin sortit de son pétrin il doit maintenant aller discrètement dans la pharmacie de fortune de la Marine. Il ouvrit la porte doucement et se baissa en même temps de grimper. Une fois arrivé là haut un homme lui dît en le narguant.

"Coucou ! Tu redescends !"

"Merde ! Va te faire en..."

Il se prît un énorme marteau dans la face ! Lust dévala les escaliers et comme par hasard il arrivait là où il y avait le cadavre de Lekyole. Lust pense dans sa tête.

(Je dois pas mourir ici ! Non je ne peux pas ! Ma promesse pour Lekyole ? Et contre ce vieux con d'Ozuric ? J'en ai plein le cul de ces blaireaux de la marine !)

Lust prît le flingue avec lequel il avait achevé Lekyole et par chance, tout les gars de la Marine sont au corps à corps. Il devait trouver une solution pour ne pas être accuser d'être un pirate.

"Stop je ne suis pas un pirate ! Je n'ai pas tuer Lekyole pour rien ! Il souffrait ! Il agonisait ! Et je n'ai pas voulu brûler la Mairie mais le corps de Lekyole ! L'homme qui l'a vraiment tué s'apelle Noruchi !"

L'adjudant Brak répondit ainsi

"Pourquoi ne pas l'avoir dit plutôt ? Nous sommes profondément désolé ! Nous pouvons vous payer une assurance ! Quel est votre nom ? Après on vous laisse partir !"

"Lust Nemausus."

"Toute nos condoléances Mr. Nemausus. Juste un truc remettez nous votre pistolet et après vous pourrez partir !"

Lust à deux doigts de sortir de la Mairie se fît tirer dessus.

"Pris au piège ! Ah ah ah ah ! On vous a demandé votre nom vous savez pourquoi pour cette chose qui s'apelle prime ! Hihihihi !"

Alors que l'Adjudant Bark rît, un gars de la Marine crie tout effrayé.

"ADJUDANT !!!!!!! Trois gars se dirige vers nous avec un cheval ! Il y a aussi la capitaine Aoi ! Elle a une grosse prime vous savez !"

Et on entendit crier Saul :

"Lust !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"