>> Nom & Prénom
une image 200*300 | Pseudonyme : Ylvi Age: Vingt-et-un ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : Noble Métier : Médecin Groupe : Pirate Déjà un équipage : Malheureusement non. But : . Ce jeune homme fasciné par le sang et l'anatomie, cherche à obtenir la connaissance du corps humain peu importe les conséquences nécessaire à sa cause. Pour cela il n'a pas hésité à apprendre le maniement d'une épée pour pouvoir parvenir à ses fins . . . Son but ? Être reconnu en tant que médecin et bretteur hors-pair. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Comment avoir un fruit du démon alors que le monde n'a même pas été exploré !? Ainsi que le corps humain . . . Équipements : Haut de forme Gris clair avec une bande en soie rouge cousue dessus. Une épée et son fourreau à sa ceinture ainsi que son kit chirurgical. Codes du règlement (2) : Parrain : Google Bot ça compte ? =) Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : - |
>> Physique Ylvikel Strauer possède un corps athlétique, ni trop musclé avec les veines apparentes, ni chétif avec les os sur la peau. Ce corps lui vient d'une alimentation saine et équilibrée, suivi d'un effort sportif régulier continue, chaque jour que la vie le lui permet. Cependant, on peut remarquer sur son abdomen quelques cicatrices faites par un scalpel comme s'il avait du subir quelques opérations qu'il soit . . . Mesurant un mètre quatre-vingts, Ylvikel Strauer n'est ni petit, ni immense, il est dans la moyenne. Sa taille lui permet facilement de se mélanger dans la foule sans qu'on ne le remarque. Pourtant, lorsqu'il le souhaite, on ne peut s'empêcher de détourner son regard comme si son corps nous appelait à le regarder pour nous montrer toute sa splendeur. Sa magnifique chevelure blonde est mise en valeur lorsque la lumière du soleil se reflète sur ces dernières, lui donnant ainsi une couleur or. Lorsqu'il vous regarde, vous ne pouvez vous détourner de ses magnifiques yeux avec cette pupille si particulière. Son iris, bleu sur les contours et gris clair près de la pupille se combine parfaitement entre elles, pourtant on a comme l'impression qu'une double personnalité sommeille en lui. Sa démarche est quant à elle, légère et souple malgré son buste droit et fier. On pourrait même croire qu'il lévite tellement qu'elle est fluide. Il est dans la force de l'âge, et la nature étant généreuse en lui donnant un physique aussi admirable, l'a aussi muni d'une grâce indiscutable. On pourrait le voir comme un jeunot, arrivé enfin dans la force de l'âge, mais ce serait-là une bien grossière erreur. Car même si sa vie n'est que dans ses commencements, ses connaissances dans la médecine ainsi que dans le maniement de l'épée, eux ne sont plus à démontrer. Si l'on regarde même de plus près, on peut remarquer que ses jeunes mains sont déjà bien abimées, surement dû aux entraînements intensifs qu'il doit leur faire subir. Quand il est dans le feu d’action d'un combat, ses forces se démultiplie comme si ce jeune homme athlétique avait la force d'un homme de carrure imposante, pourtant il n'en ai rien de tel. Faisant même plier les plus forts à sa volonté . . . Tel est le physique de cet homme. >> Psychologie A première vue Ylvikel Strauer ressemble à un jeune homme des plus banals. Cependant, il n'en est rien, en effet, d'un jeune homme d'apparence doux et calme, il peut très vite devenir un autre homme tant son caractère et sa personnalité change. Mais laissez-moi vous expliquer. En tant normal Ylvikel Strauer est quelqu'un de très jovial, il aime rire de bon cœur quand l'occasion se présente à lui. Pour lui une blague reste une blague, bonne ou mauvaise, même s'il est vrai qu'il préfère entendre une bonne blague car elles le feront certainement éclater de rire à l'en faire pleurer. Cependant, il lui arrive aussi d'attraper des fous rires rien qu'en pensant à quelque chose de drôle et cela l'amuse encore plus quand il voit la réaction des personnes en face de lui. Il n'est ni timide, ni renfermé sur lui-même, bien au contraire ! Ylvikel Strauer est ouvert sur les autres et aime entamer des conversations avec autrui sur n'importe quoi, du moment que ce n'importe quoi ne soit pas une discussion avec n'importe qui, qui deviendra au final du n'importe quoi. Il est aussi quelqu'un de calme et de soigneux, il aime être classe en toute circonstance car le physique est la première idée reçue que l'on renvoie à une personne quand elle nous voit. Même si quelqu'un l'insulte ou lui renverse quelque chose dessus il sait maîtriser n'importe quelle situation, du moment qu'il ne se perd pas en lui même. Mais si c'est le cas, c'est une tout autre histoire . . . Ylvikel Strauer est atteint de T.D.I ou Trouble Dissociatif de l'Identité. Effectivement quand il rentre dans cet état, il a des excès de colère soudaine sans cause apparente et une attitude complètement différente de l'homme présenté ci-dessus. Il devient violent et cherche irrémédiablement à apaiser sa soif de sang et de connaissance qui devient de plus en plus marquante. Il est capable de décimer à lui seul une ville lorsqu'il est en état de démence, si personne n'est capable de l'arrêter. Il cherchera à autopsier le corps de ses victimes une à une. Ne pensez pas que vous pourriez fuir lorsqu'il sera en train de disséquer une de ses victimes, car ça ne serait que pure folie. Ylvikel Strauer étant ce qu'il est, c'est-à-dire un médecin de renom, ne met que quelques secondes à disséquer et trouver ce qu'il cherche lorsqu'il connait l'espèce de sa victime. Le pire dans tout ça, c'est qu'il reste conscient au fond de lui de cet état de démence, et l'on pourrait même croire que ce jeune homme si admirable aux premiers abords, a besoin de cette folie pour se sentir exister. Vous l'aurez compris, il devient un vrai démon lorsqu'il est pris d'une démence. Cependant, il y a un signe assez distinctif pour savoir s'il est ou non dans un tel état, car les couleurs de son iris, le bleu et le gris s'interchangent. Ce qu’il aime par-dessus tout, ce sont les analyses chirurgicales, la connaissance de l'anatomie et les armes tranchantes. Ce goût pour les armes tranchantes lui vient de son oncle qui savait très bien les manier. Ce dernier n'a pas hésité un seul instant d'instruire son jeune neveu à cet art. Son oncle était reconnu pour être l'un des meilleurs bretteurs de son époque, et il n'est pas étonnant qu'Ylvikel Strauer cherche à le dépasser dans ce domaine avec les ambitions démesurées que possède ce jeune garçon. Sa passion pour la médecine lui vient quant à elle, de sa soif irrémédiable de sang et de connaissance. Ce jeune homme a en tête que connaître le corps et l'anatomie de ces victimes ne peut que l'avantager sur le champs de bataille, ce qui n'est pas totalement faux. Cependant, étant un noble, il aime aussi le luxe et l'argent. En ce qui concerne les combats, Ylvikel Strauer n'est jamais loin de ces derniers quand il n'y participe pas. Il aime tous les types de combat, même s'il a une nette préférence pour le deux contre un, bien sûr c'est lui qui sera seul. Il aime ce genre de situation car il les trouve spécialement excitantes car lorsqu'il élimine le premier ennemi, il adore voir le désespoir et la peur s'installer sur le visage de son dernier adversaire comme ci ce dernier était déjà mort. Son style de combat ? Mettre à profit les connaissances de ce qu'il a appries avec ces expériences sur le champs de bataille. Il adore imbibé sa lame de toute sorte de poison ou drogue diverse faite par ses soins. Même si au final, il n'a pas vraiment besoin de tout ça pour vaincre ces ennemis. Ceci est sa personnalité. >> Biographie Le soleil était à son zénith, d'autant plus mis en valeur, que ce jour-là, le ciel était particulièrement bien dégagé. Sa lumière se reflétait sur le fleuve de la petite île Kage Berg situé sur West Blue. Les rayons du soleil se réfléchissait sur l'herbe leur donnant cette magnifique couleur opale, si on tendait un peu l'oreille, on pouvait entendre le vent soufflait avec un doux murmure et même le chant des oiseaux ainsi que celui des cigales. Cependant, un bruit inhabituel fit son apparition dans ce petit monde, brisant cette fragile harmonie. Il était tellement rare qu'il fit fuir les animaux, effrayés par ce nouveau son inconnu qu'ils interprètent sans doute comme une forme de menace. Pourtant, ce n'était rien de tel, car c'était les pleurs d'un bébé qui venait de faire son apparition sur ce monde. Malheureusement les pleurs du bébé, qui sont censés représenter la vie et la joie quand on les entend pour la première fois, furent très vite couvert par un autre son, un hurlement bien plus fort que celui du bébé et plus atroce aussi. C'était manifestement le cri désemparé d'un homme, ce n'était pas un cri banal, non c'était beaucoup plus profond que ça. Comme si cet homme venait de perdre une vie, pour en avoir une autre. L'homme en question, c'était le père d'Ylvikel qui en ce jour, venait de voir naître son fils mais, aussi la mort de sa femme suite à des complications dûs à l'accouchement. Sa femme est morte à cause d'une hémorragie interne, il fut même dit que lorsqu'Ylvikel Strauer sorti du ventre de sa mère il avait déjà avalé une grande partie de son sang. Peut être que sa soif de sang lui vint de ce jour-là . . . Ylvikel Strauer venait de naître en ce jour du mois d'août de l'an 1603. A l'âge de cinq ans en l'an 1608, le père d'Ylvikel Strauer se suicida de chagrin pour sa femme décédée quelques années plus tôt. En effet ce dernier avait sombré dans l'alcool et la drogue, il avait perdu son emploi et toute sa renommé, sa carrière fut brisée. Il était au bord du gouffre, et quand un jour un huissier vint à sa porte pour lui dire que sa maison allait être saisit, suite à un non paiement de sa part, ce fut le coup de trop ; et son père décida de mettre fin à sa vie, car il ne pouvait se résoudre à vendre cette maison qui portait en elle toutes les joies de cet homme. Pour lui cette maison était bien plus que ça, c'était la dernière demeure de sa femme bien aimée, de son seul et unique amour, il n'était plus que le reflet de lui-même. A sa mort, ce fut le frère du père d'Ylvikel Strauer qui décida de l'élever. C'était un bretteur hors pair reconnu par les plus grands comme un maître en la matière et il savait que s'il voulait faire d'Ylvikel un bretteur hors pair, il fallait commencé jeune et cinq ans était l'âge parfait. En effet, à cet âge, on est plus enclin à l'instruction d'une discipline. Jour après jour, bien qu'Ylvikel soit tout jeune, s'entraîna sans relâche pour s'améliorer dans le maniement de l'épée car il avait bien compris les paroles de son oncle. Que seul les forts pouvaient vivre et se faire une place dans ce monde. A l'âge de douze ans en l'an 1615, son maniement à l'épée avait grandement évolué, il rivalisait même avec son oncle lors de leurs combats d’entraînements. Ce dernier avait fait fortune car, il était un ancien chasseur de prime et avait réussi à capturer un pirate dont la prime s'élevait a cinquante millions de Berry, de plus comme il donnait des cours il y avait une rentrée d'argent non négligeable. En parallèle de ces entraînements intensifs, il apprenait la médecine avec les livres que son oncle possédait dans sa bibliothèque. Il n'était pas rare de voir les gens du village venir au dojo pour demander des soins de la part d'Ylvikel Strauer. Mais un jour, un homme âgé d'une soixante d'année fit son apparition au dojo. Il portait une blouse blanche et un chapeau gris avec un ruban rouge. Ce dernier était venu car, il avait eu vent d'une rumeur au village, qu'un petit garçon avait appris la médecine rien qu'en la lisant sur les livres et arrivait à soigner les gens. Il était même dit qu'il avait réalisé quelques opérations avec succès. Intriguer par cet exploit cet homme était venu pour chercher Ylvikel car il voulait l'emmener avec lui sur la route pour parfaire son apprentissage, dans cette science. Son oncle si opposa fermement et un combat éclata entre les deux hommes. L'issu du combat était simple, si son oncle gagné, il resterait au sein même du dojo à parfaire son maniement de l'épée, mais s'il perdait, Ylvikel partirait en voyage avec cet inconnu. Cela signifiait aussi que cet homme aurait été encore plus apte que son oncle à lui apprendre le maniement de l'épée puisqu'il aurait battu l'homme le plus fort de cette île. Le combat éclata et après quelques coûts échangés son oncle perdit comme s'il n'était qu'un débutant. Il parti donc avec cet homme, voyageant sur West Blue d'île en île. Il lui appris tout ce qu'il savait sur la médecine et le maniement de l'épée. A l'âge de six-sept ans en l'an 1620, son mentor tomba malade d'une grave maladie qui lui rongea les os. Son diagnostic vital était compromis et tous deux savait qu'il ne lui restait que peu de temps à vivre, tout au plus deux mois. Cependant, Ylvikel Strauer cru se rappeler lorsqu'il était jeune, qu'un livre décrivait une réaction capable de neutraliser ce genre de maladie, mais les ingrédients allaient être dur à trouver. Ils s'installèrent donc dans un petit village d'une centaine d'habitants. Ylvikel Strauer n'hésita pas un seul instant pour aller se procurer les ingrédients. La plupart furent obtenu illégalement, notamment via le marché noir, pour d'autre, il fallu combattre pour les obtenir car les pirates ne sont pas du genre à tenir leur parole. Il mit un mois et deux semaines pour récupérer tous les ingrédients nécessaires à son élixir. Lorsqu'ils furent tous au complet, il se hâta donc de préparer cet élixir pour son mentor, mais une réaction chimique décrit comme parfaite ne peut exister car la perfection n'existe pas en ce bas monde, et une explosion ce fit entendre. Son mentor considérablement affaiblit par la maladie se leva et vit son jeune disciple pris d'une crise de démence. En effet, Ylvikel Strauer était en train de disséquer un pauvre villageois qui était venu voir l'origine de cette explosion ; mais lorsque ce dernier tourna la tête et vu son mentor il se jeta sur lui et l'attaqua. Je ne saurais vous dire ce qu'il s'est réellement passé mais lorsqu'Ylvikel repris conscience, il se réveilla dans les bras de son mentor ensanglantés. Celui-ci avait perdu une jambe et son abdomen avait été déchiqueté. Malheureusement ce ne fut pas la seule victime, tous les villageois avait été tué. Une énorme marre de sang s'était formé sur la place centrale, qui quelques heures auparavant débordé de vie avec son marché et ses petites festivités locales. Maintenant, le silence régnait en maître absolu des lieux, et cette petite place si vivante s'était transformé en une sorte de lac rouge. Ylvikel demanda à son mentor ce qu'il s'était passé, mais ce dernier lui répondit qu'une bête sauvage avait attaqué tout le monde. Elle avait d'abord attaquait les plus faibles, donc les villageois pour au final s'attaquer au plus fort, son mentor. En effet, éliminer les faibles permet d'une part de démoraliser l'adversaire et de plus supprimer toute intervention néfastes à un contre un. Le monstre cherchait donc un tête-à-tête avec le mentor d'Ylvikel. Cependant, même au quai de la mort, il souriait. Pourquoi ? Tout simplement par fierté, il était fier d'avoir donné sa vie pour le protéger. Il prit alors son chapeau et parti . . . Nous sommes maintenant en l'an 1623 et Ylvikel Strauer est maintenant âgés de vingt ans. Il se connait mieux maintenant qu'il ne se connaissait avant. Il a appris avec le temps que celui qui était responsable du massacre dans ce petit village n'était autre que lui-même. Effectivement Ylvikel avait été pris ce jour-là de démence, c'était la toute première fois de sa vie, mais depuis, elle se manifestait assez fréquemment. Au début il ne s'en rendait même pas compte, il disséminait toute la population de l'endroit où il se trouvait et à chaque fois qu'il reprenait connaissance, c'était la même chose, devant lui s'offrait le spectacle d'un vrai bain de sang. Mais un jour, lorsqu'il se réveilla d'une de ses crises, il remarqua qu'un den den mushi avait enregistré toute la scène. Qu'elle fut sa surprise lorsqu'il réalisa qu'il était l'auteur de ces massacres, même s'il s'en doutait depuis quelques temps. Il tomba par terre, en larme, car il venait de réaliser qu'il avait tué son propre mentor, mais ses larmes séchèrent très vite car cela signifiait aussi qu'il l'avait dépassé. Conscient qu'il ne pouvait pas laisser ses crises rythmer sa vie, il chercha une forme d’antidote, non pas pour le guérir de cette folie, mais plutôt pour la dominer, en être le maître. Après plusieurs mois de recherche et d'expérience infructueuse, il trouva enfin l'équation chimique adéquate. Il prit donc cette gélule unique qui serait enfin capable de le rendre véritablement maître de son corps. Pour l'heure il décida donc d'aller à un combat de rue organisé par quelques bandits du coin ; non pas parce qu’il voulait se battre, mais plutôt pour la récompense qui s'élevait à cinq mille berrys et qui lui permettrait de reprendre la route. Il arriva au lieu-dit vers les alentours de minuit. L'alcool, la drogue et le sexe coulait à flot, par qui ? Eh bien tous les vauriens et les moins que rien de la ville était présent. Cependant, juste avant d'entrer dans cette arène de rue improvisait, Ylvikel Strauer se sentit partir, le gris et le vert de son iris s'interchangèrent de place. Il venait d'entrer dans une nouvelle démence . . . Pourtant, il était encore conscient, chose qui ne lui était jamais arrivé encore, mais il avait envie de tuer, envie de sang, envie de rire aux éclats pendant qu'il découperait ses victimes, ou alors, les disséquer si l'envie lui prend. L'envie de tuer devenait de plus en plus grande comme si rien ne pouvait la calmer. A l'entrée de cette arène illégale, quelques moins que rien s'occupait de la sécurité. Lorsque son tour arriva, Ylvikel Strauer ne put s'en empêcher, et tua les trois molosses en leur tranchant la carotide avec son scalpel. La plupart des gens derrière lui s'enfuirent terroriser par la peur, tandis que d’autre voulurent entamer un combat avec Ylvikel Strauer. Il sortit alors son épée de son fourreau et se mit en garde. Certains de ses adversaires hésitait à l'attaquer, mais pendant leur hésitation deux se jetèrent sur lui. Il leur trancha le coup sans la moindre difficulté et hésitation. C'est alors que la peur s'installa dans le regard de ses derniers adversaires. Ils tremblaient devant lui et Ylvikel se mit à rire mais à rire, c'était d'un rire de plaisir, un rire aussi pur que si ça avait été une blague, où tout le monde aurait été emporté avec lui dans son fou rire. Mais là c'était une tout autre histoire, il prenait du plaisir à tuer ! Il finissait donc les quelques adversaires qui restaient, et pénétra au sein de l'arène. A l'intérieur tout le monde hurlait, criait, c'était la cacophonie la plus totale. Ylvikel s'avança lentement vers le centre de l'arène, il continuait de se marrer et les gens se poussèrent à son arrivée, comme s'ils pouvaient sentir la menace que représentait cet homme. Il avait les mains imbibés du sang de ces victimes, et lorsqu'il arriva aux extrémités de l'arène, il sauta à l'intérieur pour se battre contre les deux hommes qui s'y faisaient face. L'un était grand et imposant du fait de sa musculature, mais il ne semblait pas très fort, tandis que l'autre était plutôt petit et chétif et a priori était encore moins fort que le précédent, puisqu'il était pris au coup par l'autre homme. Il devait même avoir déjà perdu connaissance. Le faible. Ylvikel ne put s'empêcher de rire, ce qui énerva fortement le soit disant champion qui lui donna un crochet du droit l'envoyant valser tout droit dans un mur. Tout le monde cru qu'il était mort, mais un rire se fit entendre de sous les gravats et on les vit même bouger. Le champion chargea de nouveau Ylvikel Strauer, en enchaînant une multitude de coup qui avait pour but de le travailler au corps. Mais Ylvikel ne bougea pas d'un pouce et continuait même de rire sous les coups de son assaillant. La terreur s'installa alors sur le visage du champion, et il ne pensait plus qu'à une chose : s'enfuir. Hélas, Ylvikel n'en avait pas décidé ainsi. Il n'avait pas pu lui rendre la monnaie de sa pièce et sorti de sa veste une seringue. Il courut vers cet homme et lui planta la seringue dans le coup. Ce dernier tomba raide mort au sol, mais cependant il était conscient, ses yeux étaient grand ouvert et on pouvait encore lire la terreur dans son regard. Ylvikel continuait de se marrer et commença une vivisection devant les yeux ébahit des spectateurs. Un mouvement de panique gagna l'assistance et tous se précipitèrent vers la sortie, mais qu'elle ne fut pas leur surprise, quand ils virent le châtiment qu'avez réservé Ylvikel aux gardes à l'extérieur. Ils firent tous pétrifier par la peur, et tout ce temps qu'ils perdirent gagner par la peur, permit à Ylvikel de finir sa vivisection et de commencer un nouveau massacre. Le lendemain matin, lorsqu'il se réveilla, tout le monde ne parlait que de l'évènement de la veille et quand il acheta le journal et qu'il vit qu'ils faisaient la une des gros titres, il ne put s'empêcher de rire et parti à la recherche de nouveau savoir . . . En l'an 1624, Ylvikel Strauer venait d'avoir vingt-et-un ans. Son dernier voyage l'avait amené sur l'île la plus éloignée de West Blue, il comprit que s'il voulait en savoir plus sur la médecine, il fallait partir à l'aventure en allant sur de nouvelles mers, pour découvrir de nouveaux horizons. De plus, étant donné qu'il eut les meilleurs mentors possible dans le maniement de l'épée, il voulait mettre ses compétences à l’œuvre, ainsi que ces nouvelles gélules. Sur le port d'une ville, il vit un équipage de pirate qui venait d'accoster. Pour lui les pirates n'étaient que racailles, et erraient sur les mers sans but précis et sans un intérêt quelconque. Un jeune pirate fit tomber un tonneau de rhum sur lui, et pour s'excuser l'invita sur le bateau pour boire un coup. Ylvikel Strauer accepta et sympathisa donc avec ce jeune pirate, qui lui expliqua pourquoi il s'était orienté vers cette voie. Quelle fut sa surprise, quand Ylvikel écouta l'histoire de ce jeune homme. Il venait de faire réaliser à Ylvikel, qu'être un pirate c'est aussi avoir des rêves et aller de l'avant, pour essayer de les atteindre. Il fit enchanté de cette conversation, et décida alors de prendre la mer pour lui aussi, atteindre ses rêves. Ceci est son histoire. >> Test RP Après la rencontre avec ce jeune pirate, Ylvikel parti en quête d'une embarcation pour s'aventurer sur la mer. Par chance, à la ville où il était, un marchand de bateau s'y trouvait. Il entra donc dans la petite boutique et interpella le propriétaire. C'était un homme âgé, le temps avait déjà fait son œuvre sur son visage et lui avait creusé sa peau, faisant donc apparaître des rides bien visibles mais, qui lui donnaient aussi un côté strict et antipathique. Mais qu'à cela ne tienne, Ylvikel Strauer n'est pas un homme à reculer pour si peu, et n'hésita pas à l'interpeller dans son travail. « Excusez-moi, vieillard » dit-il d'une petite voix faiblarde. L'homme se retourna, l'inspecta de haut en bas puis finit par lui faire un grand sourire. Apparemment, il n'avait pas mal pris la remarque que venez de lui faire Ylvikel. Ce dernier aimait taquiner son mentor en l'appelant comme ça, mais celui-ci le prenait toujours mal. Ylvikel Strauer lui souriait quand soudain . . . BIM ! Ce dernier venait de se prendre une clé à molette en pleine tête de la part du vieil homme, qui à première vue cachait bien son jeu, le vieillard prit donc la parole. « Petit insolent, ce n'est pas comme ça que l'on traite un homme de mon âge. Que puis-je faire pour toi mon petit garçon ? » L'homme venait d'appeler Ylvikel Strauer, mon petit garçon, ce vieillard ne manquait pas de cran pour dire une telle chose à Ylvikel. Mais, ce dernier éclata de rire, tout en tapant sur la table. Ça faisait bien longtemps que plus personne ne l'appelait ainsi et il se remémora de nombreux souvenirs de l'époque, où il était sur les routes avec son mentor. « Je vous aime bien, vieil homme. Je suis venu pour vous acheter une embarcation mais, attention ne me prenait pas pour un bleu en me vendant un de vos rafiot dehors qui ont l'air bien mal en point. » Le vieil homme rigola de bon cœur et emmena Ylvikel voir les plus beaux bateau qu'il possédait. Il était comme un enfant devant de si beaux navires, ils ne savaient lequel choisir. Mais lorsque le vieillard lui demanda combien il avait sur lui, Ylvikel s'arrêta et fit la moue. * Voyons voir, je n'ai pas gagné d'argent depuis l'arène de rue. Donc cinq mille berrys, moins deux mille six cents quinze berrys, moins cent huit berrys, moins . . . * Il ferma son poing droit et le tapa dans sa main gauche, il venait de finir son calcul. Il souriait de nouveau au vieil homme qui pensait sûrement faire une bonne affaire avec Ylvikel. « Il me reste cinquante berrys » dit-il d'un air joyeux. Le vieil homme s'énerva et lui fila un bon coup de pied au cul, car il venait de lui faire perdre un temps précieux dans son travail. Ylvikel était déçu de la réaction de ce vieil homme, car étant donné que le courant était bien passé entre eux, ce dernier aurait pu faire un geste commercial. Ylvikel fit donc la moue et ne savait plus vraiment où aller, quand tout à coup lui vint une idée de génie. « Pourquoi ne pas allez voir ce jeune pirate et lui demander de me présenter son capitaine pour intégrer l'équipage ?! Qu'est-ce-que t'es intelligent mon petit Ylvikel » Il partit donc en courant vers l'endroit des rêves, en espérant que les pirates n'étaient pas encore partis. Quelques minutes plus tard il arriva enfin sur le port. Il commença à chercher le bateau pirate mais, il ne le trouva pas. Pour Ylvikel, tous les bateaux du port se ressemblaient, pour lui il n'y avait aucune distinction entre le bateau à sa droite et à sa gauche. Il les regardait attentivement, pourtant, on peut facilement imaginer la scène :Ylvikel devant deux grands bateaux en train de se gratter pour essayer de les différencier, quand, tout à coup, il entendit au loin une voix qui hurlait son prénom. « YLVICIEL ! » Ce dernier se retourna, et vit le jeune pirate qu'il avait rencontré quelques heures auparavant. Il lui fit signe de la main et les deux hommes se rejoignirent. Quand ils arrivèrent face à face, Ylvikel tapa le jeune pirate sur la tête, formant ainsi une bosse. « Spèce de débilos va ! C'est YlviKel et non pas YlviCiel. dit-il d'une voix calme. Mais tu tombes bien, je te cherchais justement. Pourrais tu me présenter à ton capitaine ? J'aimerais rejoindre votre équipage. Vois-tu depuis notre dernière discussion, tu m'as envoyé du rêve et maintenant j'aimerais moi aussi essayer de réaliser les miens. » Le jeune homme l'emmena donc voir le capitaine. Ylvikel le suivait, à première vue, le capitaine devait se trouver sur le navire puisque c'est là qu'ils se dirigèrent. Quand Ylvikel monta sur le bateau, tout l'équipage le regarda et commença à se moquer de lui. Ils n'avaient certainement jamais vu un noble, et ne pouvait donc comprendre la beauté des habits qu'il portait sur lui, il n'y prêta même pas attention. Ils entrèrent alors dans une cabine du bateau, cette dernière était assez spacieuse et plutôt bien rangée. Au fond, se trouvait un lit où un homme était allongé, il était vêtu d'un long manteau rouge avec quelques décorations sur les épaules. Sur la table on pouvait voir un chapeau, c'était certainement le capitaine. Le jeune pirate réveilla donc le capitaine et lui murmura quelque chose à l'oreille. Le capitaine se leva, bu un verre de whisky avant de prendre la parole. « Alors, comme ça tu souhaites intégrer mon équipage ? Il le regarda de haut en bas. Je ne te laisse pas plus d'une semaine avant que tu ne décides de retourner dans les jupons de ta mère. Mais comme tu veux, tu fais maintenant partie de l'équipage » et ce dernier se recoucha. C'est ainsi qu'Ylvikel Strauer intégra l'équipage pirate. Quelques semaines passèrent depuis l'intégration d'Ylvikel, il commençait à prendre goût à la chose et à se faire accepter par l'équipage. Au début, ce ne fut pas chose facile pour Ylvikel qui devait faire face aux railleries de ces petits camarades. Ces derniers se moquaient de lui dans son dos, sûrement à cause de son allure et de ses traits de noblesse indéniables, mais, Ylvikel n'y prêtait guère attention, il savait très bien que l'équipage ne pouvait pas comprendre ce genre de chose. Le capitaine, lui, pensait différemment, il était tellement paranoïaque qu'il s'imaginait qu'Ylvikel voulait prendre la tête de son navire. Quel fou que de s'imaginer ce genre de chose. Pourquoi aurait-il fait une chose aussi absurde ? Il ne connaissait rien de la mer et de ses environs. Fort heureusement pour lui, le capitaine changea très vite son point de vue lorsque tous deux, commencèrent une discussion sur le passé d'Ylvikel durant une soirée. Le capitaine n'avait pas réalisé l'énorme bénéfice qu'il venait de faire, en intégrant Ylvikel dans son équipage, en effet, ce navire ne possédait aucun médecin à son bord. Bien sur, il y avait quelques aspirants médecins, mais rien de bien spécial. Ylvikel apprit aussi que son capitaine était recherché par la marine et que sa prime s'élevait à huit cent mille berrys. Est ce que c'était une somme importante ? Ylvikel n'en avait aucune idée, et, n'y prêta guère attention. Très vite, quelque chose d'autre attira son attention, quelques pirates étaient en train de jouer à un jeu avec des dés, un des pirates se retourna vers Ylvikel. « Eh ! le nouveau, vient donc jouer à 'devine si tu peux' ! Tu verras c'est marrant et on peut gagner des berrys très facilement. » Ylvikel n'était pas vraiment intéressé par le jeu en lui même, mais plutôt par les récompenses. L'argent, lui, il aime ça ! C'est ça qui le motive d'ailleurs. « Bien ! Expliquez moi les règles je vous prie, que je puisse vous plumer ! » dit-il d'un air joyeux. « Tu manques pas d'audace le nouveau ! Eh bien, le but du jeu est très simple. Deux joueurs s'affrontent en face à face, et chacun d'eux possèdent trois dés. Le but est de deviner sur quel nombre vont tomber les trois dés. La prédiction la plus proche, permet à celui qui l'a annoncé de gagner la partie. Simpliste, n'est-ce-pas ? » Ylvikel regarda donc quelques parties, puis commença à jouer. Au début tout se passait bien pour lui, et il avait réussi à voler deux cents berrys à un pirate qui était drôlement mauvais. Mais tout à coup, le capitaine vit qu'Ylvikel jouait à « devine si tu peux », se leva et décida donc de lui lancer un défi. «Écoute Ylvikel, on va faire une partie ensemble, dit-il en rigolant, si tu gagnes je te donnerais tout l'argent du navire, on dirait que ça t’intéresse grandement, mais, si tu perds, tu devras faire un récurage intégral du pont ! » Ylvikel n'hésita pas un seul instant et accepta la proposition du capitaine. Il annonça un triple quatre et lança les dés. Un premier dé tomba sur le quatre, le deuxième aussi, tandis que le troisième allait fixer l'avenir des berrys du bateau. Le capitaine donna un coup dans la table, et le triple quatre se transforma en trois-un-quatre. « Capitaine, vous avez triché ! » dit-il en hurlant. « Point du tout, mon jeune ami, tous les moyens sont bons pour gagner, quand on est un pirate. » Suite à ça, le capitaine et tout l'équipage se moquèrent de la naïveté d'Ylvikel. Ce dernier se leva violemment et fit tomber la table sur le capitaine qui glissa de sa chaise. C'était trop tard, Ylvikel n'était plus le même, les couleurs de son iris venaient de s'interchanger. Il commença alors à ricaner, et tout le monde s'arrêta de rire, comme pétrifier par la peur. Tous savaient que l'homme qui se tenait en face d'eux, n'était plus l'homme sympathique qu'ils avaient intégré dans leur équipage. Ylvikel sortit son épée de son fourreau et se jeta sur l'équipage présent. Sur le pont, on distinguait à peine le son des coups de feu, tellement les hurlements couvraient ses derniers. Le temps que le capitaine se dégage de la table qui lui était tombé dessus, Ylvikel avait déjà décimé tout son équipage . . . Une vision d'horreur s'offrait devant le pauvre capitaine, qui, visiblement ne comprenait pas pourquoi Ylvikel avait fait une telle chose. Il avait mutilé certains corps ; à d'autres, il s'était amusait à leur couper les membres. Le plus drôle dans tout ça, c'était que certains pirates étaient encore vivant, et suppliaient leur capitaine de les aider. Ylvikel éclata de rire, regarda brièvement autour de lui puis s'adressa au capitaine. « Vos hommes étaient faibles, vous ne perdez pas grand chose, ils me disaient : Ne me tuez pas, je vous en supplie, j'ai une famille qui m'attend. J'ai pu constater, que vous aviez recruté un bon nombre de comique dans votre équipage, mais au final, qui aurait du retourner dans les jupons de sa mère, capitaine ? Vous ne savez pas ? Eh bien je vais vous le dire, vos hommes . . . » Fou de rage, le capitaine dégaina l'épée de son fourreau et fonça tête baissée sur Ylvikel, les deux lames s'entrechoquèrent entre elles, exposant ainsi le visage des deux hommes, celui d'Ylvikel était marqué par la démence ,tandis que celui du capitaine exprimé une furieuse colère. « Capitaine, j'aime cette expression sur votre visage, dit-il en rigolant, je me ferais un plaisir de vous éliminer » « La ferme, vermine ! » Ils croisèrent plusieurs fois le fer, entre eux. Les échanges se faisaient de plus en plus virulent, mais on pouvait nettement voir que le capitaine s’essoufflait bien plus vite qu'Ylvikel, le combat tournait clairement en sa défaveur. Ils étaient tous deux blessés, leurs corps étaient meurtris de façons équivalentes, mais cela allait très vite changer. Le capitaine chargea de nouveau Ylvikel mais, après avoir vu une dizaine de fois la même attaque, Ylvikel réussit à l'esquiver sans aucun problème et en profita pour lui trancher le bras. Ce dernier hurla de douleur, et pendant ce cri effroyable, Ylvikel en profita pour le faire tomber au sol, sortit une seringue pour lui injecter une drogue. Il rengaina alors son épée et sortit son scalpel, tout en souriant au capitaine. « Ne vous inquiétez pas, capitaine, vous resterez conscient tout le long de la vivisection » dit-il dans un éclat de rire. Le lendemain matin, Ylvikel Strauer se réveilla dans la grande salle. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il n'y avait plus aucun survivant, le corps du capitaine gisait là, à côté de lui. On pouvait nettement distinguer qu'il manquait une bonne partie de ces organes internes, la plupart était à côté du corps. Il fallait maintenant partir d'ici, car il n'avait plus rien à y faire. En retournant sur le pont, il vit une barque qu'il mit à l'eau, mais, avant d'y monter, il ramena toute la poudre que posséder les pirates et l'étala sur le pont. Il prit avec lui une bouteille de rhum, un chiffon et monta à l'intérieur de sa petite barque. Il se retourna une dernière fois vers le bateau. « Quel équipage minable, dire que cet homme était recherché par la marine, j'ai vraiment perdu mon temps. Je devrais chercher un équipage digne de ce nom. » Ylvikel Strauer alluma le chiffon imbibé d'alcool et jeta le cocktail Molotov sur le bateau qui explosa. |
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Informations IRL
- Prénom : Florian
Age : Vingt-et-un ans
Aime : Sa tite femme, les manga, l'électronique et les sorties.
N'aime pas : Hum . . . Les endives, les kiwis, ceux qui m'aiment pas . . .
Personnage préféré de One Piece : Aucun en particulier car ils ont tous une personnalité différente qui enrichit très bien le manga.
Caractère : Gentil, aimable, attentif mais surtout ouvert aux autres ^^
Fais du RP depuis : j'ai commencé quand j'avais quinze ans ou peut être même avant mais j'en ai plus fais depuis quatre ans. Autant dire que je recommence à zéro.
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Tous les jours, c'est un forum donc passer pour y jeter un œil ne devrait pas poser de problème ( Je garde le deuxième pour autre chose =p ).
Comment avez vous connu le forum ? Via google en tapant : one piece rpg
Dernière édition par Ylvikel Strauer le Sam 27 Oct 2012, 09:54, édité 28 fois