Encore une journée sans histoire sur l’ile du karaté. Cela fait quelques jours que je suis ici mais je n’ai rien appris comme technique de combat. Ces marins sont obsédés par la taille de leur muscle et les arts martiaux. Les techniques que j’ai vues jusqu’à présent ne m’intéressent pas. Il faut que je me dirige vers le réfectoire c’est l’heure du repas. Ici ce sont des grands mangeurs si j’arrive trop tard j’aurais rien… Le grand réfectoire ce remplie vite. J’suis dans les dernies. Aujourd’hui la pêche a était bonne. On va manger du bon poisson. Le chef est un vrai cordon bleu, j’ai l’eau à la bouche. Ils vont prendre tout le poisson ! C’est un moment de plaisir pour tous ces braves mais si je n’ai pas un bon repas sa serra pas un moment de plaisir pour moi ! Des égoïstes ils mangent le maximum de protéines pour bien progresser à l’entrainement. C’est une course aux protéines. Plus qu’une personne avant moi il reste trois morceaux de poisson. C’est bon. Ça va le faire. Le marin se retourne et lui dit : « Désoler mon gars mais je ne mange pas les autres plats, j’vais devoir prendre les trois poissons.» Pff l’excuse pourrie. J’suis dégouté. Bon demain je viendrais en avance ils verront qui c’est le meilleur. J’vais m’installer avec le grand groupe bien bruyant au fond de la salle, ça va être marrant.
Le repas se passe convenablement dans la bonne humeur. Une personne en retard arrive.
-Une lettre pour le Sous-Lieutenant Obayda !
Une lettre pour moi ? Qui pourrait m’envoyer une lettre. Je lève le bras pour qu’il me repaire dans tout ce monde.
-De la part du commandant Archibald Chester Horncliff Aristide. Ce n’est pas l’heure du courrier mais il est écrit important dessus de plus elle semble être arrivée il y a deux, trois jours. Désolé pour le retard. Bonne soirée
Cela me dit quelque chose… MAIS OUI ! Baterilla. C’est forcément un descendant de la famille qui régnait. Je me demande bien ce qu’il me veut.
Le temps semble s’arrêter. Les yeux grands ouverts. Il relie pour être sûr de ne pas rêver. Lui qui pense être le seul de sa famille encore en vie après le drame. Il se lève, monte sur la table. L’autre le regarde d’un attentivement avec un sourire qui gagne de plus en plus de personnes. Ils pensaient qu’il va encore faire une blague dont il a le secret. Un grand sourire se dégage de son visage. La tête vers le haut.
-YIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !
MON FRERE EST EN VIE !! HA HA HA ! Vous avez vue ça ! J’suis plus tout seul. Il est pas mort ! Pas mort j’vous dit !
Une grande joie collective éclate dans la salle. Les marins sont contents pour lui. Comment arrivait-il à répandre autant de sourire et de bonheur alors qu’il était victime de grand malheur. Ils se lèvent et se mettent à danser.
Des larmes de joie l’envahissent. Il saute de la table. Se met à courir vers les bureaux pour demander un jour de permission qui fût accepté.
Arrivée sur l’ile de la veine. Au port. Une journée de grosse pluie avec un léger vent de coter. Le bateau n’a pas encore amarré. De nombreux bateaux de chasseurs de primes sont ici. Quelques cargaisons viennent d’arriver. Un jeune homme monte dessus et met sa main au-dessus de ces yeux pour mieux voir les environs. Le sous-lieutenant l’aperçoit. Oui pas de doute c’était bien le jeune Ali. Le bateau n’a pas encore amarré mais il n’hésite à sauter à la mer.
-Ali ! J’arrive!
Avec cette grosse pluie il n’entendit pas l’appel de son frère et décide d’aller s’abriter dans le saloon.
Le nageur possède de bonnes jambes et nage à une bonne allure. Les petites vagues ne le perturbent pas. Il escalade le quai flottant. Se met à courir en direction de la ville. Il y avait une épicerie, une banque. Aucun de ces lieux ne serrait un abri convenable par ce temps. Il continue de courir jusqu’à trouver un saloon. C’est l’endroit idéal pour se renseigner. Il pousse les deux portes tout essoufflé et trempé. Son cœur battait de plus en plus vite. Une certaine excitation s’empare de lui à chaque pas.
-Salut tout le monde vous n’aurez pas vu un jeune garçon de 16ans. Il porte une crête, et est noir de peau.
-Oué il est entré pour s’abriter y’a quelques seconde. On lui a dit que ce n’était pas autorisé au gamin ici. Il est parti sans rien dire.
Obayda sort, regarde à droite puis à gauche. Personne dans la rue. Il voit une église il se dit qu’il y a forcément des gens accueillants qui ont pue hébergé son frère. Après quelques pas dans cette direction il entend une jeune voix provenant de derrière.
-Obay’ ? C’est bien toi ?
Il se retourne tout excité et ne voit personne. Il pense que c’est son imagination qui lui joue des tours. Il respire un bon coup et se remet en direction de l’église. Il entend un bruit de plancher et se retourne. Une personne lui saute dessus. Le sous-lieutenant tombe sur le dos avec un jeune garçon qui le serre dans ces bras. Le petit lève la tête et regarde son frère les larmes aux yeux.
Une joie immense empli leur cœur…
Le repas se passe convenablement dans la bonne humeur. Une personne en retard arrive.
-Une lettre pour le Sous-Lieutenant Obayda !
Une lettre pour moi ? Qui pourrait m’envoyer une lettre. Je lève le bras pour qu’il me repaire dans tout ce monde.
-De la part du commandant Archibald Chester Horncliff Aristide. Ce n’est pas l’heure du courrier mais il est écrit important dessus de plus elle semble être arrivée il y a deux, trois jours. Désolé pour le retard. Bonne soirée
Cela me dit quelque chose… MAIS OUI ! Baterilla. C’est forcément un descendant de la famille qui régnait. Je me demande bien ce qu’il me veut.
- Spoiler:
- Marin d’eau douce !
J’vais pas t’écrire les détails j’ai pas que ça à faire nom d’une pipe. J’ai laissé le cornichon Ali à Baterilla enfin l’ile de la veine quoi. Alors dépêches-toi moujik.
Le temps semble s’arrêter. Les yeux grands ouverts. Il relie pour être sûr de ne pas rêver. Lui qui pense être le seul de sa famille encore en vie après le drame. Il se lève, monte sur la table. L’autre le regarde d’un attentivement avec un sourire qui gagne de plus en plus de personnes. Ils pensaient qu’il va encore faire une blague dont il a le secret. Un grand sourire se dégage de son visage. La tête vers le haut.
-YIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !
MON FRERE EST EN VIE !! HA HA HA ! Vous avez vue ça ! J’suis plus tout seul. Il est pas mort ! Pas mort j’vous dit !
Une grande joie collective éclate dans la salle. Les marins sont contents pour lui. Comment arrivait-il à répandre autant de sourire et de bonheur alors qu’il était victime de grand malheur. Ils se lèvent et se mettent à danser.
Des larmes de joie l’envahissent. Il saute de la table. Se met à courir vers les bureaux pour demander un jour de permission qui fût accepté.
…..
Arrivée sur l’ile de la veine. Au port. Une journée de grosse pluie avec un léger vent de coter. Le bateau n’a pas encore amarré. De nombreux bateaux de chasseurs de primes sont ici. Quelques cargaisons viennent d’arriver. Un jeune homme monte dessus et met sa main au-dessus de ces yeux pour mieux voir les environs. Le sous-lieutenant l’aperçoit. Oui pas de doute c’était bien le jeune Ali. Le bateau n’a pas encore amarré mais il n’hésite à sauter à la mer.
-Ali ! J’arrive!
Avec cette grosse pluie il n’entendit pas l’appel de son frère et décide d’aller s’abriter dans le saloon.
Le nageur possède de bonnes jambes et nage à une bonne allure. Les petites vagues ne le perturbent pas. Il escalade le quai flottant. Se met à courir en direction de la ville. Il y avait une épicerie, une banque. Aucun de ces lieux ne serrait un abri convenable par ce temps. Il continue de courir jusqu’à trouver un saloon. C’est l’endroit idéal pour se renseigner. Il pousse les deux portes tout essoufflé et trempé. Son cœur battait de plus en plus vite. Une certaine excitation s’empare de lui à chaque pas.
-Salut tout le monde vous n’aurez pas vu un jeune garçon de 16ans. Il porte une crête, et est noir de peau.
-Oué il est entré pour s’abriter y’a quelques seconde. On lui a dit que ce n’était pas autorisé au gamin ici. Il est parti sans rien dire.
Obayda sort, regarde à droite puis à gauche. Personne dans la rue. Il voit une église il se dit qu’il y a forcément des gens accueillants qui ont pue hébergé son frère. Après quelques pas dans cette direction il entend une jeune voix provenant de derrière.
-Obay’ ? C’est bien toi ?
Il se retourne tout excité et ne voit personne. Il pense que c’est son imagination qui lui joue des tours. Il respire un bon coup et se remet en direction de l’église. Il entend un bruit de plancher et se retourne. Une personne lui saute dessus. Le sous-lieutenant tombe sur le dos avec un jeune garçon qui le serre dans ces bras. Le petit lève la tête et regarde son frère les larmes aux yeux.
Une joie immense empli leur cœur…
Dernière édition par Obayda le Dim 30 Déc 2012 - 21:54, édité 5 fois