Je venais de poser un pied sur le sol poussiéreux au sud de Troop Erdu. C'était une ile excessivement silencieuse, je dirais même fantomatique. Il n'y avait rien à l'horizon mis à par de la terre, des arbres dégarni et quelque maison au loin. Je mis mon embarquassions ridicule à quai, pris mes armes et cette fameuse carte que j'avais trouvé au par-avant. Je me dirigeais vers l'ouest en direction des cabanes délabrées que j'apercevais à peine. J'avais envie de sang, ça devait bien faire une semaine que je n'avais pas fait gémir la moindre personne.
Sur la route il y avait toujours akuma qui me soûlait, me parlant de tous et de rien, disant des conneries... bref comme d'habitude quoi. Cependant, je commençais à m'y accoutumer, D'un côté je n'avais pas vraiment le choix. Il n'avait en apparence pas envie de partir, ni de me révéler mon passé. Je voyais les habitations pitoyables de ces minables petits bouseux grandir au fur et à mesure du temps. Comme je pouvais voir les rapaces volés dans le ciel croyant que j'étais en fin de vie, ou encore les bestioles rampantes sur les qu'elle je m’amusais à marcher.
J'arrivais dans cette sorte de village qui ressemblait plus à un bidonville. Fais de maisonnette en bois, aux fenêtres et portes cassées, aux planches usées et au chemin de terre. Il y avait juste quatre cabanes et ce qui devait surement être une épicerie, sans oublier bien sûr le petit potager qui était à l'entrée du micro-village.
"- hey ! Mec, c'est parfait ! Il doit y avoir juste quelques consanguins dans cette merde ! Tu vas pouvoir assouvir t'es envie de chair et de sang !
-humm..."
Akuma comme toujours devais la ramener... Il commençait vraiment à me tapé sur le système. Enfin bon
J'étais là pour faire un massacre ! Personne n’était dans la ville, j'essuyais la bave coulant le long de mon menton toute en marchant vers le petit commerce. Le long du chemin je pouvais voir deux bouseux m'observer depuis une des maisons. L'intérieur de la boutique était aussi ignoble que le reste du village, mais j'allais y mètre une touche de couleur. J'allai au comptoir et regarda la vendeuse. Elle avait des dents de cheval, des cheveux crépu et sale, un visage crasseux, portais un pantalon et un débardeur troué.
"- l’s vroustaer c’est pas bin’v’nue ici hein ! Par’é hein !"
(Les vadrouilleurs ne sont pas les bienvenue ici ! partez !)
"-Vas-y finit le ! Fini le !" Criais akuma toute en sautant autour de nous comme un fou.
J'avais envie de le torturer le petit asticot remuant, mais je n'avais pas le temps. Je devais me dépêcher d'aller finir les autres villageois avant qu'il sorte leurs armes ou que des marins arrivent. D'un côté je ne savais pas ce qui m’attendait sur cette ile. Je lui tranchai le bras dont il se servait pour stopper l'hémorragie, puis sa langue et le laissa souffrir. Je sorti de l’épicerie laissant trainer le katana sur le sol.
Les villageois avais entendu le coup de feu, était sorti armer de fourche, de mousquet, de massue et d’autre arme rudimentaire de se genre. Je me cachai derrière une caisse pausé devant le magasin toute en examinant la situation. Ils y avaient six personnes. Deux équipé de mousquet, deux de fourche, un d’une massue et le dernier avait une épée. Un jeu d’enfant quoi… il me restait dix cartouche dans mon gun, et j’avais mon katana. Je devais avant tous tuer les mousquets qui risquais de me touché a distance. Plus facile à dire, qu’a faire étant donné que j’avais encore la jambe qui faisais des sienne et l’autre con de akuma qui sautais de partout m’ordonnant de les tuer. Je tuai le premier mousquet en lui tirant deux coups. Une des balle alla se logé dans son torse, l’autre continua ça route dans le vide. Les autres ennemi était plus qu’a 3 mettre de moi, alors je bondi par-dessus la caisse et lança mon attaque milles entailles.
Deux ennemis fit transformer en passoire. Ouf plus que le sabreur et le mousquet. Malheureusement l'épéiste réussis à m'entailler au bras droit. Je fis un mouvement en arrière. Là le mousquet réussis à me toucher ce même bras avec une balle. Je criai et fit mine de me rendre. L'épéiste en confiance vint vers l'épée en avant, ricana et me dis que j'allais mourir. Je relevai ma tête fit un petit sourire narquois et lança mon attaque nommé lame du traitre.
Le sabreur fit coupé en deux de la tête aux jambes. C'était remarquable ! Le mousquet fit les gros yeux, lâcha son arme et me supplia de le laisser vivre. Je me dirigeai vers lui et lui dis qu'il pouvait partir. L'homme prit ses jambes à son coup.
"-TU ES FOU ! TU VA VRAIMENT LE LAISSER VIVRE ?"
"-non..."
Je tirai une balle dans une des jambes de l'homme, il tomba a terre et cria à la mort. Il m'insultait de tous les noms, cria que le rouge allait me tuer. Je me dirigeai vers lui et lui dis :
« - qui est le rouge ?
-C'est ton assassin ! Il te tuera pour le mal que tu nous a fait ! »
Je lui tranchai la tête et le laissa pour mort. Mon katana et mon flingue armé de six cartouches je retournai dans la petite boutique pour soigner mes blessures. Je pris du désinfectant, en mis sur ma blessure plus fit un bandage. J'avais du mal a bougé mon bras, mais ça allais. En sortant de la boutique je pris une petite carte de l'ile qui trainait sur le comptoir de façon à me repérer.
Sur la route il y avait toujours akuma qui me soûlait, me parlant de tous et de rien, disant des conneries... bref comme d'habitude quoi. Cependant, je commençais à m'y accoutumer, D'un côté je n'avais pas vraiment le choix. Il n'avait en apparence pas envie de partir, ni de me révéler mon passé. Je voyais les habitations pitoyables de ces minables petits bouseux grandir au fur et à mesure du temps. Comme je pouvais voir les rapaces volés dans le ciel croyant que j'étais en fin de vie, ou encore les bestioles rampantes sur les qu'elle je m’amusais à marcher.
J'arrivais dans cette sorte de village qui ressemblait plus à un bidonville. Fais de maisonnette en bois, aux fenêtres et portes cassées, aux planches usées et au chemin de terre. Il y avait juste quatre cabanes et ce qui devait surement être une épicerie, sans oublier bien sûr le petit potager qui était à l'entrée du micro-village.
"- hey ! Mec, c'est parfait ! Il doit y avoir juste quelques consanguins dans cette merde ! Tu vas pouvoir assouvir t'es envie de chair et de sang !
-humm..."
Akuma comme toujours devais la ramener... Il commençait vraiment à me tapé sur le système. Enfin bon
J'étais là pour faire un massacre ! Personne n’était dans la ville, j'essuyais la bave coulant le long de mon menton toute en marchant vers le petit commerce. Le long du chemin je pouvais voir deux bouseux m'observer depuis une des maisons. L'intérieur de la boutique était aussi ignoble que le reste du village, mais j'allais y mètre une touche de couleur. J'allai au comptoir et regarda la vendeuse. Elle avait des dents de cheval, des cheveux crépu et sale, un visage crasseux, portais un pantalon et un débardeur troué.
"- l’s vroustaer c’est pas bin’v’nue ici hein ! Par’é hein !"
(Les vadrouilleurs ne sont pas les bienvenue ici ! partez !)
SLASH
toute en sortant mon katana de son fourreau je la scalpai. Elle eu à peine le temps de tomber que j'avais déjà fais un demi-tour sur moi-même, sorti mon flingue, tiré une balle dans l'épaule du premier terreux et bondi sur le deuxième pour le transpercer. Toute en me relevant je tournais ma lame dans son estomac pour l'entendre hurler. C'était jouissif ! Je fis glissé la pointe de mon katana vers les bijoux de l'homme ce qui lui coupa. Je rangeai mon flingue garda mon sabre en main et alla vers l'autre qui pleurait comme une enfant. Lui me suppliais de l'épargner, j'avais une envie de rire, c'était inimaginable ! J'étais même serré dans mon pantalon. "-Vas-y finit le ! Fini le !" Criais akuma toute en sautant autour de nous comme un fou.
J'avais envie de le torturer le petit asticot remuant, mais je n'avais pas le temps. Je devais me dépêcher d'aller finir les autres villageois avant qu'il sorte leurs armes ou que des marins arrivent. D'un côté je ne savais pas ce qui m’attendait sur cette ile. Je lui tranchai le bras dont il se servait pour stopper l'hémorragie, puis sa langue et le laissa souffrir. Je sorti de l’épicerie laissant trainer le katana sur le sol.
Les villageois avais entendu le coup de feu, était sorti armer de fourche, de mousquet, de massue et d’autre arme rudimentaire de se genre. Je me cachai derrière une caisse pausé devant le magasin toute en examinant la situation. Ils y avaient six personnes. Deux équipé de mousquet, deux de fourche, un d’une massue et le dernier avait une épée. Un jeu d’enfant quoi… il me restait dix cartouche dans mon gun, et j’avais mon katana. Je devais avant tous tuer les mousquets qui risquais de me touché a distance. Plus facile à dire, qu’a faire étant donné que j’avais encore la jambe qui faisais des sienne et l’autre con de akuma qui sautais de partout m’ordonnant de les tuer. Je tuai le premier mousquet en lui tirant deux coups. Une des balle alla se logé dans son torse, l’autre continua ça route dans le vide. Les autres ennemi était plus qu’a 3 mettre de moi, alors je bondi par-dessus la caisse et lança mon attaque milles entailles.
Deux ennemis fit transformer en passoire. Ouf plus que le sabreur et le mousquet. Malheureusement l'épéiste réussis à m'entailler au bras droit. Je fis un mouvement en arrière. Là le mousquet réussis à me toucher ce même bras avec une balle. Je criai et fit mine de me rendre. L'épéiste en confiance vint vers l'épée en avant, ricana et me dis que j'allais mourir. Je relevai ma tête fit un petit sourire narquois et lança mon attaque nommé lame du traitre.
Le sabreur fit coupé en deux de la tête aux jambes. C'était remarquable ! Le mousquet fit les gros yeux, lâcha son arme et me supplia de le laisser vivre. Je me dirigeai vers lui et lui dis qu'il pouvait partir. L'homme prit ses jambes à son coup.
"-TU ES FOU ! TU VA VRAIMENT LE LAISSER VIVRE ?"
BOUM
"-non..."
Je tirai une balle dans une des jambes de l'homme, il tomba a terre et cria à la mort. Il m'insultait de tous les noms, cria que le rouge allait me tuer. Je me dirigeai vers lui et lui dis :
« - qui est le rouge ?
-C'est ton assassin ! Il te tuera pour le mal que tu nous a fait ! »
Je lui tranchai la tête et le laissa pour mort. Mon katana et mon flingue armé de six cartouches je retournai dans la petite boutique pour soigner mes blessures. Je pris du désinfectant, en mis sur ma blessure plus fit un bandage. J'avais du mal a bougé mon bras, mais ça allais. En sortant de la boutique je pris une petite carte de l'ile qui trainait sur le comptoir de façon à me repérer.