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Punition en enfer !

La belle blonde nous emmène quelques part, mais je ne sais pas où. Certains des gardes me regardent méchamment, d’autres ont un sourire un peu niais, comme s’ils allaient bien s’amuser avec nous. J’avoue que je commence à me poser des questions. Dieu sait ce qu’il y a dans cette prison. Si ça se trouve, je vais être lâché dans une salle avec pleins de bêtes étranges. Si ça se trouve il y a une salle de torture sado masochiste avec un malade mentale responsable de l’accueil des personnes… La chef nous annonce alors qu’on nous emmène deux étages en dessous pour un moment histoire de nous calmer un peu. C’est-à-dire au niveau -4. Hmmm, à ce que je sais, plus on descend, plus les prisonniers sont primés. Par conséquent la vie est plus rude en bas. Je me retourne vers Wolf pour voir ce qu’il en pense mais les gardes me poussent en me demandant d’avancer. C’est bon, j’avance faites pas chier ! Nous prenons un ascenseur et plus nous descendons, plus la température monte. Nous nous arrêtons, les portes s’ouvrent et là… une chaleur époustouflante envahie l’ascenseur. Oh mon dieu, mais c’est quoi ça ? C’est limite si je transpire déjà !

- Bienvenue en enfer ! Quoi que… notre ami connait déjà cet étage, n’est-ce pas Darkwolf ?

Wolf n’a pas l’air d’apprécier l’étage à en croire sa réaction. C’est alors qu’une autre femme apparait. On ne voit pas ses yeux tellement ses cheveux retombent sur son visage. Deux longues cornes bien pointues, des vêtements bizarres et… un fouet !? Oh bordel, il manquait plus que ça. Je sens que ça va être pire que ce que je craignais. Hmmm je mettrais bien ma tête dedans… C’est qu’elle est du genre super sexy !

- Hmmm… Qu’avez-vous pour moi aujourd’hui ? Deux hommes ? Oh mais ne serait-ce pas notre loup révolutionnaire ? Dufufufuu… Et qui est donc le second ? Un nouveau ?
- Celui-ci est arrivée il y a quelques temps maintenant. Il s’appelle Kan Kazumi, mais tout le monde le connait sous le nom de Lion.
- Ah ? D’abord un loup et maintenant un lion… Duufufufufu… Venez mes chéries, je vais m’occuper de vous. Vous allez voir, vous ne le regretterez pas !
- Je te les confie pour un moment et repasserait les chercher le moment venu. Allons-y vous autres, nous devons encore nous occuper des autres imbéciles là-haut.

L’endroit est d’une chaleur étouffante et contrairement à là-haut, c’est loin d’être silencieux. Vivre ici ne va pas être facile à mon avis. Et puis l’odeur… c’est dégueulasse, je me demande ce qui sent comme ça. Un zèbre et un rhinocéros arrivent à leur tour. Chacun armé d’une massue cloutée, ils sont prêts à nous bondir dessus au cas où nous tenterions quelque chose. Sadi la gardienne de l’étage nous parle comme si nous étions ses esclaves… sexuels. J’avoue que ça a un côté attirant, son corps aide pas mal on va dire. Mais dieu sait de quoi elle est capable pour se faire obéir. D’ailleurs, elle nous annonce qu’on va commencer le travail de suite. Nous rejoignons d’autres détenus qui travaillent eux aussi. L’un a l’air extenué et s’écroule devant moi, les joues creusés, la bouche grande ouverte… La gardienne lui ordonne de se relever mais je doute qu’il l’entende. Il a l’air évanoui en tout cas. C’est alors qu’elle l’enlace avec son fouet-trident et l’envoi voler dans le feu. QUOI ? Mais qu’est-ce qu’il lui prend ? Elle l’a envoyée cramer !? Bordel mais c’est quoi ça ? C’est là qu’elle dit.

- Hmmm, pas assez... résistant pour moi. Alors mes chéris, y-a-t-il d’autres qui sont fatigués ici ?

La peur envahie alors l’étage. Les hommes s’activent rapidement et je les comprends bien. Mais enfin est-ce autorisé ? Je pensais que même en prison il y avait des règles, alors qu’en fait il n’en est rien. Ici ils font ce qu’ils veulent de nous et personne ne saura ce qu’il se passe. C’est… pfff mais oui, où avais-je la tête. La plupart des prisonniers sont condamnés à vie ou à être exécuté lors de leur sortie… Alors que je suis dans mes pensées, je reçois un coup de pied dans le dos qui m’envoi à terre. C’est le zèbre qui m’ordonne d’avancer et de remplacer le mec de tout à l’heure. Mon travail ? Porter des gros morceaux de roche d’un endroit à l’autre. Pfff… c’est parti. J’attrape des deux côté le morceau devant moi et le soulève. C’est lourd bon sang ! L’endroit où je dois le poser se trouve prêt d’une marmite géante chauffée par de grandes flammes. C’est d’ailleurs de là que vient toute cette chaleur. Je transpire déjà, plus je m’approche, plus il fait chaud. Arrivé à côté, je balance ce que j’ai dans les bras sur le tas et retourne en chercher un autre. Wolf n’est pas là pour le moment, il a été emmené ailleurs, je me demande où.

Le temps passe, personne ne parle. Les seules bruits qui sortent des bouches sont les quelques cris lors des gros efforts de chacun. Ici personne ne joue au cowboy comme là-haut, non tout le monde est dans la même merde. La chaleur est plus qu’étouffante, surtout lorsque je dépose ces pierres prêt du feu. Le tas d’où nous prenons les pierres est fini. Toutes ont été transportés prêt de la marmite, alors je m’attends à une pause ou quoi… Hmm, devinez quoi ? On doit re-transporter ces dernières de la marmite à l’endroit d’où on les a prises. J’aurais au moins espéré ! A peine le temps de s’étirer un peu que je me ramasse un gros coup de fouet dans le dos venu de nulle part. La douleur est telle que mon cri retentit dans tout l’étage. Sadi m’ordonne alors de me dépêcher de prendre une pierre et de l’emmener, mais la douleur est tellement forte. Déjà que j’ai l’impression d’être une merguez sur un barbecue, mais alors ce coup m’a tellement brûlé le dos que j’en ai les larmes aux yeux. Craignant un second coup, je m’exécute rapidement attrapant une pierre. Vous savez ce qui est le pire dans tout ça ? La pierre est brûlante elle aussi à cause du feu à côté et je vais devoir l’emmener à un peu prêt cinquante mètre d’ici. Je marche les mains en feu, mais je dois résister car sinon, je sais qu’on va me punir à nouveau. Arrivée à mi-chemin, j’en peux déjà plus et lâche le morceau que je tiens à terre. Au moment où je me frotte les mains, un second coup de fouet vient m'éclater au dos. Cette fois-ci je me lâche à terre et me retrouve à quatre pattes. Les larmes coulent cette fois-ci mais ne mettent pas longtemps à s’évaporer au contact du sol. Sadi m’ordonne de me relever immédiatement et je m’exécute à nouveau bien que ce soit difficile. Reprenant le travail, je commence à comprendre comment se passe les choses ici. Il faut obéir à la lettre et à la moindre erreur ou perte de temps, on est punit.

Les heures passent et je suis vraiment fatigué. La chaleur m’a asséché la bouche, la gorge, les yeux,… tout ! Certains prisonniers sont autorisés à s’arrêter, le reste continu. Les pas sont lents, les bras relâchés peinant à porter les charges, nous somme comme des morts vivants menottés. D’ailleurs les menottes sont brûlantes elles aussi et à cause d’elles, je suis obligé de plaquer certaines pierres trop grosses contre mon torse en les tenant par le bas ne pouvant trop écarter les bras. Au bout d’un moment, le rhino autorise tout le monde à s’arrêter. Je relâche alors avec soulagement ce que je transportais mais comme par hasard, il me dit que ce n’est pas encore fini pour moi et que je dois continuer seul. Soufflant un gros coup tellement j’ai les nerfs, je lui lance mon regard perçant. Ce dernier s’avance alors vers moi d’un air menaçant. Me demandant si j’ai quelque chose à ajouter à ce qu’il m’a dit, il colle sa corne contre mon front. Je le fixe tellement méchamment qu’il commence à armer sa matraque pour me frapper avec. Et bien qu’il me frappe, ça m’assommerait peut être et j’en finirais avec ce sale boulot. C’est alors qu’apparait un grand koala accompagné de Darkwolf… amoché de partout. Il le pousse vers nous et ce dernier s’écroule à mes côtés. Il a l’air plutôt en mauvais état. C’est alors que je décide de l’aider à se relever, mais ce connard de Rhinocéros me fout un coup de pieds qui m’envoie à terre aussi. Nous sommes là comme deux sous-merdes, soumis par la force à obéir à ces enfoirées de gardiens. Mais je le jure qu’un jour ma vengeance sera terrible. Sa corne, je vais la lui mettre dans… Il m’interromp dans mes pensées en nous demandant de nous mettre au travail. Craignant un troisième coup de fouet, je pousse sur mes bras et me remets debout. Wolf lui fait pareille et me fait signe d’avancer voyant que l’envie de frapper ce batard me traversait l’esprit. Nous continuons donc notre punition un moment et recevons enfin l’autorisation de nous arrêter. La chaleur m’a tellement fatigué que je vais m’endormir dans un coin.
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Je dors mal, très mal ! J’ai peut-être dormis quelques heures, mais elles ne sont pas suffisantes du tout, car un gardien en combinaison vient me réveiller me disant qu’il est l’heure d’aller travailler. Je ne sais pas si c’est les nerfs ou si c’est le désespoir, mais bizarrement un sourire s’affiche sur mes lèvres à ce moment. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, c’est automatique. L’autre en combinaison me tend sa matraque comme s’il voulait m’aider. Du coup je l’attrape, c’est gentil de sa pa… aieuyeuyeyyyyy….. AHhhh le fourbe ! Ah l’enflure ! Il m’a électrocuté. J’entends son rire venant de l’intérieur de son casque et ça, ça me mets les nerfs mais alors ! Je me lève doucement évitant son regard et lorsque je suis tout près de lui, j’attrape son bras, lui fais une clé de bras qui lui fait lâcher sa matraque. J’entends les autres pas loin courir vers nous. Merde il faut que je fasse vite. Je le balaye, ramasse sa matraque et commence à le frapper de toutes mes forces sur sa visière. Cette dernière se brise et je continue de l’amocher bien comme il le faut au visage. Sentant les gardes à quelques mètres, je colle le bout l’arme sur son front et appuie sur le petit bouton dessus. Le voilà entrain de gigoter comme un poisson hors de l’eau. Bouffe ça salop ! La suite, vous la devinez… Les hommes me bondissent dessus, j’en frappe quelques-uns, mais ces menottes m’empêchent de faire ce que je veux. Et cette chaleur mon dieu, j’ai l’impression qu’elle me pompe mon énergie. Après quelques minutes d’affrontements, ils arrivent à me maitriser grâce aux coups de jus. Je fini par m’écrouler puis m’évanouis.

On me réveille à coup d’eau gelée, alors que la température est toujours aussi chaude. C’est comme si on me brulait à l’eau froide enfaite ! Je peine à ouvrir mes yeux et lorsque je me débats, mes articulations me font super mal. Attaché à des chaines, je suis suspendu par les poignets et attaché aux chevilles aussi. Une salle sombre éclairée par des espèces de torches aux murs. Des bruits de chaussures à talons s’approchent moi. Je pense avoir une idée de la personne avec qui je suis, mais attends quand même essayant de retrouver mes esprits. C’est alors que Sadi passe devant moi et me caresse la joue avec quelques doigts.

- Alors mon chéri !? On veut montrer ce qu’on a dans le pantalon aux autres ? Uhm ? Tu sais, j’adore les hommes comme ça. Tu sais pourquoi ?
- Ça… Ça vous excite ?!
- Hmmm oui ! J’adooorre m’amuser avec les détenus comme toi. Il faut dire que je suis gâtée aujourd’hui. D’abords le loup et maintenant toi, le lion. Duuufufufufufu…
- Wolf ?! Vous… vous amuser ?
- Exactement mon mignon. Alors, tu veux bien me montrer ce que tu as dans le pantalon aussi ?
- …
- Très bien, alors je vais devoir m’en occuper toute seule. Duuuufufufufuuu….

Bordel, elle est en train de me défroquer ! J’essaye de me défaire de mes chaines mais impossible. Cette dingue m’arrache le pantalon et me fixe comme si elle allait me faire les pires choses au monde. Ma respiration s’accélère, j’ai peur… j’ai peur qu’on me prenne la seule chose qui me reste. J’ai peur de cette malade mentale et de sa salle. Elle continue de m’arracher les vêtements en déchirant le devant de mon haut puis passe derrière moi. Je continu d’essayer de sortir de ces chaines mais rien à faire. Elle me demande de me calmer et rajoute que tout va bien se passer. Mon cul ! Elle revient alors devant moi avec son fouet à la main et commence à me faire une danse sexy. Nooonnn noonnn. Je ne veux pas putain. Tu ne m’excite pas arrête ! Merde, mais dans quelle merde je me suis mis ?!

- Du calme Lion, je ne vais pas te manger. Tu ne me trouve pas excitante c’est ça ?
- Qu’est-ce que vous allez me faire ?

Elle sourit en continuant sa danse, se retourne et s’éloigne de moi. Mes yeux sont fixés sur sa main qui tient le fouet. Je sais qu’elle va me foue… *SLASH* Putain de merde ! Le coup m’a brulé de la nuque au torse et je peux y voir une grosse trace rouge apparaitre. Elle continue de danser devant moi alors que j’ai la tête baissée. Les coups de fouets continuent eux aussi, aux jambes, au dos, au ventre… Cette masochiste prend son pied à me voir souffrir ainsi. Au bout d’un moment, elle repasse dans mon dos et pose son fouet. Malheureusement pour moi, elle reprend autre chose et revient vers moi. Craignant le pire, je remarque qu’elle tient une barre de fer au bout rouge pétant. Oh non, elle ne va pas me bruler maintenant ?! Je respire et transpire comme un porc. Jamais auparavant je n’ai eu aussi peur, jamais je n’ai vécu une telle souffrance et ce n’est que le début. Elle approche le métal à mon pénis, du coup je me débats en pleurant et la suppliant de ne pas faire ça.

-  Ouuiiiii, supplie-moi ! Comprends-tu maintenant qui commande ici ? Oui ou non ?
- C’EST VOUUUUUSSS !!
- Parfait. Duuufufufufu. Je vais épargner cette partie de ton corps, mais vais quand même te faire ça… ici !

Le bruit, la douleur, la brulure… Je cri comme une enflure pendant qu’elle appuie bien fort sur le bas de mon ventre avec son métal brulant puis elle finit par l’enlever. Un gros « 4 » tout rouge sur le ventre, je chiale comme un gosse et elle arrête la torture en demandant à quelques hommes de me détacher. Je tremble toujours, j’ai même pissé par terre sur le coup tellement je ne me contrôlais plus. Ils m’emmènent alors après m’avoir mis d’autres vêtements et me relâche dans le coin où ils m’avaient réveillé auparavant. Allongé et replié sur moi-même j'ai des tremblements incontrôlables de temps en temps. Tout le monde doit savoir ce que j'ai vécu tout à l'heure. Quoi que... Je n'ai vue personne porter de 4 sur leurs corps pour le moment. Ahhh cette scène dans ma tête... Je veux remonter au -2.
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Après quelques heures de sommeil, on me réveil brutalement pour me donner à manger. Bien que leurs façons de faire me dérange, je n’ai plus envie de retourner en salle de torture, c’est pourquoi je ne réponds pas et prends la gamelle qu’on m’a posée et commence à manger. Arhhh… C’est immonde ! Comment peut-ont cuisiné aussi mal ? Même là-haut c’est carrément meilleur. Tant pis, c’est ça ou je meurs. Si je meurs, on me balance au feu et ça, c’est hors de question. Je fini mon plat et me lève pour commencer à travailler. Ma blessure me fait un mal de chien et ça ne va pas être une partie de plaisir avec toute cette chaleur. D’ailleurs j’analyse encore une fois les corps des détenues, mais aucun ne porte de 4 nulle part. Est-ce qu’elle leur a fait ça sur le… Oh non ! J’espère pas pour eux et je suis surtout content pour moi si c’est le cas ! Je commence alors à travailler comme avant. Au bout d’un moment, je revois Wolf arriver et il se met à mes côtés pour travailler. Il remarque que je touche souvent mon ventre en serrant les dents et m’interroge alors.

- La nourriture ? Tu vas devoir t’habituer, ici on mange comme ça.
- Unh ? Non, c’est pas ça.
- Qu’est-ce qui t’arrives alors ?
- C’est… Dis-moi Wolf, est-ce qu’elle t’as fait un 4 toi aussi ?
- Hmmm… Elle te l’a fait au ventre !? Oui. Je l’ai dans le bas du dos...


Soudain, les gardes nous demandent de la fermer et de continuer à travailler. Chose qu’on fait de toute façon m’enfin bon, ils veulent jouer les gros durs. Nous continuons donc à porter ces putains de rochers d’un point à l’autre. A chaque fois que je m’approche de la marmite j’ai l’impression qu’on me re-brûle le ventre. Il faut que je résiste, il faut que j’arrive à finir cette corvée sans lâcher. Trop de tortures jusqu’à maintenant. D’ailleurs aujourd’hui, un type a pété un câble et a lancé ce qu’il transportait sur un garde. Sadi n’a pas apprécié et l’a balancée dans la marmite. Il faut que je leur montre que j’ai compris la leçon afin qu’ils me remontent où j’étais pénard ! Les heures passent et nous avons le droit à une pause… Tous ? Non bien sûr que non, une fois de plus le loup et le lion doivent continuer pendant que les autres vont s’allonger. J’en peux déjà plus, mais il faut que je tienne le coup. Wolf m’encourage, il sait lui aussi que Sadi est là à attendre la moindre erreur pour abaisser son bras et nous fouetter. Nous marchons côte à côte et tout le monde ici a remarqué notre relation. D’ailleurs Sadi commente la situation.

- Regardez-moi ça ! Le loup et le lion sont devenus inséparables à ce que je vois. C’est normal après tout, ils ont foutus un boucan pas possible au -2 à eux seul !

Comment se taper l’affiche… Et puis merde, tant mieux comme ça, les prisonniers entendront parler de moi ! Nous continuons donc et arrêtons au bout d’environ une demi-heure supplémentaire. Wolf me demande de le suivre dans son coin pour qu’on puisse discuter un peu. Arrivée là-bas, nous commençons à discuter des méthodes de la gardienne de l’étage et de ce que nous vivons actuellement. Il me confie que c’est son deuxième passage ici et que la première fois, il n’avait pas subit telle torture. Les quelques prisonniers qui sont autours de nous s’approchent pour écouter les nouvelles. Je leurs demande alors s’ils ont un 4 sur leurs corps. A ma grande surprise, aucun ! L’un balance même que ça doit être une nouvelle technique utilisée par la gardienne d’un air effrayé. Alors comme ça, nous sommes les premières victimes. Ce « 4 » doit donc être un genre de signature qu’elle nous fait.

Les jours passent... Une semaine, peut-être deux ?! Ma blessure commence à cicatriser, la chaleur de cet étage… J’en peux plus bordel ! Combien de temps va-t-on encore rester là ? Même moi je subis alors que je viens d’une île où le climat est chaud ! Le koala vient s’approcher de moi. Il me demande de poser ce que je transporte et de le suivre. Est-ce qu’il va me renvoyer là-haut ? Oui d’après ses dires. Je regarde Wolf pour lui souhaiter bonne chance et m’en vais dans la direction de l’ascenseur d’où nous sommes venus. La blonde du -2 m’attend accompagnée de quelques gardes. Elle demande même si j’ai été sage… Mettez-moi dans un lit avec elle et vous verrez si je suis sage ! Entouré de plusieurs personnes, je me trouve dans l’ascenseur qui commence à monter. La température chute petit à petit et ça me fait le plus grand bien. Un des gardes m’adresse alors la parole.

- Je ne sais pas comment vous faites pour survivre là-dedans, il fait une de ces chaleurs ! Personnellement je ne pourrais pas !
- Disons que c’est pas un lieu pour… les tapettes !
- Quoi ? Qui est-ce que tu traite de tapette toi…
- Silence ! J’essaye de réfléchir.


La blonde a demandée le silence, alors plus personne ne parle. Ils sont tous tellement marrant à l’avoir fermé que ça me fait rire ! Ça faisait longtemps d’ailleurs que je n’avais pas ris. Tous les regards sont tournés vers moi. C’est alors que je reçois un violent coup de pied au ventre par la gardienne qui a l’air d’avoir ses règles. Je percute le mur derrière moi et retombe sur le sol. Putain, arhh !! L’ascenseur s’arrête, les portes s’ouvrent. Je suis de retour chez moi !
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