Le soleil tend vers sa couche, mais personne sur l'île ne pourra profiter de ses derniers éclats. Le ciel est bien trop pollué par cette île obscure qu'est Zaun, alors que l'obscurité gagne la cité, un drôle de petit bonhomme, 7ans ,mais déjà moustachu, rentre de l'école avec ce qui semble être toute la misère du monde sur ses frèles épaules. Bien entendu, il rentre encore avec de nouvelles marques de coups au visage.
Il poursuit sa route, faisant abstraction des rackets qu'il surprend ou autres tentatives d'intimidation. Les brutes sans talents ici se cantonnent à leurs statut de brutes et par conséquent, bah ils brutalisent pour vivre, après tout c'est un pays de non droit. Notre petit bonhomme se questionne en permanence, lui même se bat, souvent, la plupart du temps contre plus fort que lui et rentre roué de coups, mais il n'arrive pas à se décider: comment une île avec une telle idéologie peut-elle exister et perdurer ?Cela doit bien faire une siècle ou deux que s'est instaurer cette idéologie bien particulière de la loi du plus fort, si chère aux habitants. Les historiens relatent l'histoire d'une oppression d'un groupe quelconque, il ne le mentionne jamais clairement, qui aurait poussé la population à bout et aurait crée depuis ce climat si particulier. Toute tentative pour instaurer un quelconque pouvoir suite à cela aurait échouée, l'île demeurant dans un climat de révolution perpétuelle, ou seule les meilleurs parviennent à leurs fins.
Nakano, qui a bien étudié la question, ne peut qu'être d'accord, viscéralement avec le fait de briser ses chaines, mais la violence constante(auquel il s'astreint il faut bien l'avouer.) demeure plus que perturbante.
" Maman! Papa ! Me voilà rentré.
Le regard de sa mère quand il passe la porte, il le connait par coeur. Son père lui, ne prend même pas le temps de le saluer.
- Tu t'es encore fourré dans des ennuis ! Je t'ai déjà dis ! Ne cherche pas des emmerdes autour de toi ! Et si ils viennent t'embêter, tu te roule en boule et tu attend, ils auront peut-être pitié de toi.
- Mais papa... Je suis pas faible !
La mère intervint
- Voyons, mon chéri, t'es assez intelligent pour comprendre que ta place n'est pas avec les brutes...
-Puis arrête d'être aussi extravaguant, je subis des pressions de ces brutes. C'est pas possible je l'ai finis à la pisse celui là"
La conversation s'achève, l'homme évite au maximum de croiser le regard de son fils, sa mère, elle, continue de le fixer avec ce sale regard. Dieu qu'il peut haïr ce regard... Bien plus que celui fuyant de son géniteur ou bien même des regards plein de haine. L'émotion que vous pouvez discerner dans les yeux de sa mère est la pire de toutes. Le même regard qu'avait le médecin quand il eut décrété que le jeune garçon ne grandirait que très peu, achondroplasie qu'il avait dis ce con, il aurait pu dire simplement nanisme, au mois les parents du moustachu auraient pu tout de suite comprendre de quoi il parlait. Un regard qui voudrait dire, toi, chétif petit être, tu vas en chier... Cette pitié qui lui donne envie de tout voir bruler, ou ramper sur ses petits pieds d'enfant.
A quoi bon disserter, la conversation, si on peut vraiment considérer qu'il y eut dialogue, était close et il n'y aura point d'épilogue dans la soirée. Une nuit de repos plus tard, puis on retrouve notre futur pirate moustachu en direction de l'école, lieu qui ne présente que peu d’intérêt, il surpasse déjà certains professeurs, mais l'école présente un avantage social reconnu, en plus de lui permettre de défouler la violence qui grandit en lui. Tant qu'à faire il cherche des ennuis à plus fort que lui, histoire de mettre à l'épreuve se corps dont on se tue à dire qu'il est inutile et fragile. Mais aujourd'hui, il n'ira pas à l'école, le tisseur de destin en a décidé autrement, il croise sur le chemin des écoliers, un de ses camarades de classe. On pourrait facilement imaginer qu'une île comme Zaun ne laisse aucune place à l'amitié, mais c'est faux. Elle a une toute autre définition ici, peut être moins légère, mais pour un peu que l'on gratte un peu la carapace de ceux qui nous ressemblent le plus, on trouve chez les locaux des compagnons fidèles bien que rustres. Et aujourd'hui Nakano croise ce qui s'apparente le plus pour lui à un ami, Faye. Ce dernier, avenant malin et sociable, s'approche sourire aux lèvres, il a des projets.
" Oï naknak ! Prêt pour l'aventure ?! Aujourd'hui tien toi bien! J'ai des infos toutes chaudes.
- Tes infos sont toujours nuls. Et on finit par se faire gronder par des adultes puants, pour trois rats crevés en plus , cette fois on va en cours.
- Meuh tais-toi donc espèce de rabat joie et écoute le charismatique Faye! L'industrie Tediore va lourdé genre euh... Pleins de bidules trop cool! Parait qu'ils ont eu une masse de matière premières et de gadgets qui n'ont pas passé les tests. Ou même des prototypes qui devaient entrer dans le commerce ! Allons y et laissons nos qualités comune faire de nous des hommes riches !
-La richesse m'importe peu.
- Donc, ce sera à la décharge sud ! Allons-y ! T'es un manuel avec un Q I d'enfer et je suis genre euh... Un putain d'meneur. Alors go for it bro! Laissons libre court à notre génie.
- Tu ne m'écoute même pas hein ? De toutes façons tu as déjà décidé. Allons-y, ça peut être intéressant..."
Et les deux compères se mirent en route.
Il poursuit sa route, faisant abstraction des rackets qu'il surprend ou autres tentatives d'intimidation. Les brutes sans talents ici se cantonnent à leurs statut de brutes et par conséquent, bah ils brutalisent pour vivre, après tout c'est un pays de non droit. Notre petit bonhomme se questionne en permanence, lui même se bat, souvent, la plupart du temps contre plus fort que lui et rentre roué de coups, mais il n'arrive pas à se décider: comment une île avec une telle idéologie peut-elle exister et perdurer ?Cela doit bien faire une siècle ou deux que s'est instaurer cette idéologie bien particulière de la loi du plus fort, si chère aux habitants. Les historiens relatent l'histoire d'une oppression d'un groupe quelconque, il ne le mentionne jamais clairement, qui aurait poussé la population à bout et aurait crée depuis ce climat si particulier. Toute tentative pour instaurer un quelconque pouvoir suite à cela aurait échouée, l'île demeurant dans un climat de révolution perpétuelle, ou seule les meilleurs parviennent à leurs fins.
Nakano, qui a bien étudié la question, ne peut qu'être d'accord, viscéralement avec le fait de briser ses chaines, mais la violence constante(auquel il s'astreint il faut bien l'avouer.) demeure plus que perturbante.
" Maman! Papa ! Me voilà rentré.
Le regard de sa mère quand il passe la porte, il le connait par coeur. Son père lui, ne prend même pas le temps de le saluer.
- Tu t'es encore fourré dans des ennuis ! Je t'ai déjà dis ! Ne cherche pas des emmerdes autour de toi ! Et si ils viennent t'embêter, tu te roule en boule et tu attend, ils auront peut-être pitié de toi.
- Mais papa... Je suis pas faible !
La mère intervint
- Voyons, mon chéri, t'es assez intelligent pour comprendre que ta place n'est pas avec les brutes...
-Puis arrête d'être aussi extravaguant, je subis des pressions de ces brutes. C'est pas possible je l'ai finis à la pisse celui là"
La conversation s'achève, l'homme évite au maximum de croiser le regard de son fils, sa mère, elle, continue de le fixer avec ce sale regard. Dieu qu'il peut haïr ce regard... Bien plus que celui fuyant de son géniteur ou bien même des regards plein de haine. L'émotion que vous pouvez discerner dans les yeux de sa mère est la pire de toutes. Le même regard qu'avait le médecin quand il eut décrété que le jeune garçon ne grandirait que très peu, achondroplasie qu'il avait dis ce con, il aurait pu dire simplement nanisme, au mois les parents du moustachu auraient pu tout de suite comprendre de quoi il parlait. Un regard qui voudrait dire, toi, chétif petit être, tu vas en chier... Cette pitié qui lui donne envie de tout voir bruler, ou ramper sur ses petits pieds d'enfant.
A quoi bon disserter, la conversation, si on peut vraiment considérer qu'il y eut dialogue, était close et il n'y aura point d'épilogue dans la soirée. Une nuit de repos plus tard, puis on retrouve notre futur pirate moustachu en direction de l'école, lieu qui ne présente que peu d’intérêt, il surpasse déjà certains professeurs, mais l'école présente un avantage social reconnu, en plus de lui permettre de défouler la violence qui grandit en lui. Tant qu'à faire il cherche des ennuis à plus fort que lui, histoire de mettre à l'épreuve se corps dont on se tue à dire qu'il est inutile et fragile. Mais aujourd'hui, il n'ira pas à l'école, le tisseur de destin en a décidé autrement, il croise sur le chemin des écoliers, un de ses camarades de classe. On pourrait facilement imaginer qu'une île comme Zaun ne laisse aucune place à l'amitié, mais c'est faux. Elle a une toute autre définition ici, peut être moins légère, mais pour un peu que l'on gratte un peu la carapace de ceux qui nous ressemblent le plus, on trouve chez les locaux des compagnons fidèles bien que rustres. Et aujourd'hui Nakano croise ce qui s'apparente le plus pour lui à un ami, Faye. Ce dernier, avenant malin et sociable, s'approche sourire aux lèvres, il a des projets.
" Oï naknak ! Prêt pour l'aventure ?! Aujourd'hui tien toi bien! J'ai des infos toutes chaudes.
- Tes infos sont toujours nuls. Et on finit par se faire gronder par des adultes puants, pour trois rats crevés en plus , cette fois on va en cours.
- Meuh tais-toi donc espèce de rabat joie et écoute le charismatique Faye! L'industrie Tediore va lourdé genre euh... Pleins de bidules trop cool! Parait qu'ils ont eu une masse de matière premières et de gadgets qui n'ont pas passé les tests. Ou même des prototypes qui devaient entrer dans le commerce ! Allons y et laissons nos qualités comune faire de nous des hommes riches !
-La richesse m'importe peu.
- Donc, ce sera à la décharge sud ! Allons-y ! T'es un manuel avec un Q I d'enfer et je suis genre euh... Un putain d'meneur. Alors go for it bro! Laissons libre court à notre génie.
- Tu ne m'écoute même pas hein ? De toutes façons tu as déjà décidé. Allons-y, ça peut être intéressant..."
Et les deux compères se mirent en route.