L'Empire Contre Attaque



    Salut Juusei ...
    Oswald, la tête de cactus albinos. Mon éternel rival ...
    …Tu vas y goûter, Phoenix.
    Comme au bon vieux temps, mon rival.
    Lartiat !
    J’ai appris de nombreuses choses durant ces deux ans, Juusei. Ce n’est pas pour rien qu’en moins d’un an j’ai reçu des promotions incroyables. Je suis Lieutenant-colonel, désormais. En moi coule le pouvoir du fruit tailladant, mais aussi celui du haki. Double Face est plus puissant que le Phénix.
    Ton pouvoir, c’est quand tu m’as frappé c’est ça?



    Aller, Dark, qu’on le tue.


    T’es un homme mort, Juu!


    C'est à toi de crever, Os' !!!!
    Je n’en ai pas fini avec toi, Phoenix.
    Ah…ah….ah…ahahahahaha….HAHAHAHAHAHA!!! ALLEZ JUUSEI! CONTINUONS CE SPECTACLE! J’EN AI ENCORE À REVENDRE!
    Ah....Ah....Ah....Ah.....
    T’as du progrès à faire, Juu. La cicatrice que t’auras, garde la en souvenir de ma seconde victoire. Et toujours, chaque fois que tu te regarderas dans une glace, tu pourras te rappeler que je suis bien plus fort que toi. Alors bas-toi pour ta vie, Juu, bas-toi et deviens fort. Deviens fort et reviens un jour me voir, que je te remette une mandale. Parce que moi aussi je suis fort, et je le serai bien plus à notre prochaine rencontre.
    Rappelle-toi Juu, Double Face est invincible. Alors vis et bas-toi pour prouver le contraire.

    ...

    ...

    ...



    Suis-je mort ?


Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Jeu 1 Aoû 2013 - 17:07, édité 2 fois
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    Douleur, côtes cassées, émoragie interne. J'suis mal, j'suis mort. Mes yeux s'écarcillent, visionnant une lampe possédant bien trop d'ampoules pour que ce soit les lumières du paradis.
    Ma vision est trouble. De là à me faire voir deux silhouettes au dessus de moi. Parmi la douleur et tous mes autres symptomes, je commence à ressentir mes membres. Mais ma tête et l'ensemble de mon corps sont fixés sur comme qui dirait le billard opératoire. Où suis-je ?

    Aaaaaaaaaahhhhhh !!!!!


    La lame d'un scalpel vient m'embrocher le mollet gauche, déchité par Oswald quelques temps auparavant. Les larmes commencent à s'écouler de mes orbittes, témoignant de l'intense sensation de torture que je suis entrain de subir actuellement.

    Bordel, mais mettez lui le masque, il est encore conscient !!!

    Je lui attrappe l'avant bras, le suppliant de me dire qu'est ce qui se passe et où je suis, mais rien à faire. Plusieurs homme viennent me maintenir et l'un d'eux appose un masque remplit de gaz sur mes voies respiratoires.

    10...

    9..

    8.


    Je plonge dans un sommeil profond. A nouveau ...


Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Lun 5 Aoû 2013 - 19:10, édité 1 fois
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Bip...

Bip...

Bip...

Bip...

Bip...


Ca y est, il se réveil ! Aportez le chariot de réanimation au cas où, il ne doit pas rechuter, ça lui sera fatale sinon !

Comment va t-il docteur ?

Et bien..., dit il tout en passant mes yeux à la lampe minutieusement. On dirait que son état est stable. Nous allons le garder en surveillance 48h. Tout ce temps, sa vie ne tiendra plus qu'à un fil, alors je veux que chacuns d'entre vous se relaie pour le surveiller. Si il y a le moindre problème, biper moi.


Oui Docteur.

Un hopital ? Mais comment est ce possible ? Suis-je revenu à la vie ? Ou juste Satan me simulant une scène d'espoir pour enfin me souhaiter la bienvenue dans son enfer ? Je ne comprend pas. Mon visage ce tourne à droite et à gauche. Que vois-je ? Des machines, des chiffres, vert et rouge. Des bruits de bipeur intensifient mon ouie, la brisant en quelque sorte pour me donner un mal de crâne sans précédent. Chaque inspiration et expiration étaient suivit d'un soufflement produit par un ballon d'air situé dans une machine à un mètre de moi. Que m'arrive t-il ?

Ma respiration s'intensifie, mes muscles encore endoloris me relèvent et je fais face à la vérité. Rien que la vérité. L'entaille dans le mollet gauche à été recousue, mon torse est remplit de pansement recouvrant mes diverses brûlures causés par le chatiment de mon ennemi. Et je remarque que ....

Mes cheveux ? Que m'est il arrivé ?

La côlère m'envahit, mon état est plus qu'inquiétant. Mais n'inquiète pas que moi. Trois médecin arrivent sur les lieux et me ligotent sur le lit, me demandant de ne pas paniquer.
Mais pourquoi ne paniquerais-je pas ? Je suis au bord du gouffre, au bord de la dépression, au bord du suicide. Je ne veux pas affronter les difficultés de la vie, enfin, je ne veux plus.

-Monsieur calmez vous, vous êtes à l'hopital ! Nous vous avons trouvés dans le désert souffrant le martire et couvert de blessures graves. Nous nous occupons de vous !

-Mais où suis-je ?... dis-je la voix tremblante, remplie de douleur.

-A l'hopitale de Rainbase, calmez vous s'il vous plait.

Mais que...que...fais -je ici ... ?

Un nouvel évanouissement. Une nouvelle chute.


Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Lun 5 Aoû 2013 - 19:12, édité 1 fois
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    48h plus tard, le réveil se fait, sans douleur ni bronchement. Rien, à nouveau le néant. Suis-je réellement mort cette fois ci ? Pas encore. Le même hôpital et les même médecins. infirmière m'administre une piqûre de morfine, je la remercie et le vieux que j'avais aperçu la dernière fois, s'approche de moi. Me confirmant mon état à mon entrée dans le service, il m'assure qu'aujourd'hui mes jours ne sont plus en danger, sont équipe venait de faire un excellent boulot. Mais pourquoi ?

    On dirait que votre heure n'est pas encore arrivé. Vous devez surement encore ouvrer dans ce monde. Et lorsque votre tâche sera fini, alors il vous laissera vous envoler au ciel. Mais pas aujourd'hui.

    C'est ce qu'il me répond. Mais pourquoi ? Je croyais que tout était fini. Et là, des médecins me sortent de l'enfer. Il avait surement raison. Je dois me faire à l'idée que ma vie doit encore continuer... Mais ça y est, je me rappelle. Augus. J'avais fais une promesse à mon maitre et ma famille. L'honneur de mon clan est en jeux. Ma destinée n'est pas encore accomplie. Mais désormais, je change les règles du jeu. Une nouvelle vie, un nouveau départ. J'apprendrais à me méfier de l'ennemi; j'apprendrais à faire plus attention; j'apprendrais à réfléchir avant d'agir; je ne commetrais plus les mêmes erreurs. Désormais, un nouvel homme est né, remplit d'espoir.

    Permettez moi de vous déranger un dernier instant. Nous ne connaissons pas votre nom et nous devons le noter dans le registre de l'hopital.

    Ju...

    Nan désormais, je ne dois pas faire d'erreur. Une nouvelle vie m'est offerte, une nouvelle chance. A ce changement, ce visage, une nouvelle identité doit être mise. A partir d'aujourd'hui, je n'aurais ni nom, ni prénom, je ne répondrais qu'à un seul mot ...

    Fallen.

    ____________________________________________

    Quelques heures plus tard, le médecin retourne me rendre visite, un masque à la main. Cet étrange objet s'enfile à vue d'oeil tel une cagoule et porte sur les côtés trois tuyaux, surement à fin de filtrer l'air pour une meilleure respiration, mais pourquoi veitn il vers moi avec cela ? Suis-je invalide au niveau de la respiration ? C'est ce qu'il me laisse sous entendre. Par l'appuie de nombreuses radio écographique, mon système respiratoire a été bien endommager dans le désert, ce qui m'aurait couter la vie si ils n'étaient pas arrivé à temps. Aurait il été mieux de me laisser crever sur le sable ? Il me répond que non. Ce masque m'aidera à vivre que je le veuille ou pas, c'est ce qui fera mon envie de continuer droit devant moi, un espoir, un symbole. Ce même symbole que j'utiliserais afin de provoquer la peur chez mes ennemies à l'appelation de mon pseudonyme.

    Ses mains passent derrière ma tête et me couvre la cavité par ce qui fait le lien entre le masque et ce qui le tiens. Le masque médicale se sépare de mon visage et durant un lapse de temps, je sens mes forces s'envoler, le manque d'oxigène. Mais le docteur s'empresse de fixer sur mes voies respiratoires ce nouvel élément de moi, ce masque noir.

    A l'intérieur des toilettes situé au bout de la chambre, je me regarde fixant avec insistence cette nouvelle partie de moi. La touchant ou plutôt l'oscultant. Je me rappelle maintenant, Oswald. Sache que grâce à toi, ma rage de vaincre ne fait que grandir et qu'un beau jour, je te retrouverais. Et ce jour là, je serais plus fort que toi. Sache que je m'entrainerais jour et nuit, je multiplierais les expérience de combat et je m'endurcirais. La prochaine fois, je te vaincrais. Et ce sera à mon tour, de te laisser une marque graver à jamais dans ton esprit ...

    Le moment de partir est arrivé, j'enfile ce qui me vient sous la main, un gilet de combat. Il me sera utile. Et le pantalon avec. Mes biens personnels me reviennent de droit, mais pas mon armure. D'un point de vue physique elle n'est bonne que pour la casse. Et par ailleurs dès aujourd'hui, je n'aurais pas besoin d'armure. Mes nombreuses cicatrices, ce masque ... témopigneront de mon endurance qui depuis ce combat à bien augmenter. Pas à pas, je m'envole vers le port le plus proche, prenant la transiliènne

    Direction Jaya.

    Dans un écho de conviction produit par le masque, je m'avance afin de respirer la vie à pleins tuyaux. Désormais je suis...


    The Fallen.
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