Base du BAN
North Blue
North Blue
Population et Particularités
Situé à North blue, non-loin du QG de la marine, cette petite île qui ne porte même pas de noms sur la plupart des cartes maritimes est en fait le centre de formation privilégié de la marine d'élite sur les Blues.
Un petit coin de paradis accueillant, des plages de sables, un climat tropical et humide propre à vous maintenir en nage dès que vous faites le moindre geste. Et surtout une absence totale de ce qu'on associe généralement aux bases de la marine. Ici pas de lourdes jetées renforcées et hérissés de canon, pas de positions fortifiées, pas de massifs bâtiments aux murs épais entourés de casemates de défenses. Une application directe et claire des préceptes de la marine d'élite. Une base bien défendue est celle qui est entourée d'un mur d'hommes, et non d'un mur de pierre
- La Ferme :
Être dans la marine, c’est comme des vacances à la Ferme. Chaque repas est un banquet, chaque mission est une partie de plaisir, et à chaque fin de mois, on est millionnaire. C'est cette phrase attribuée tantôt à l'Amiral Aokiji, tantôt à l'amiral Kizaru qui est à l'origine du surnom que les formateurs de la marine d'élite ont donné à la base proprement dite. Une blague que la plupart des recrues trouvent assez douteuse une fois commencé l'entrainement.
La base en elle est une série de bâtiments en durs bâtis au centre de l'ile et aussi dépourvus de défenses que le reste de l'ile. Juste le strict nécessaire pour traiter l'administratif et loger les résidents permanents. Les soldats en cours de formation se contentent eux de dormir sous de grandes tentes dortoir. Afin de s'endurcir.
Le reste de l'ile n'est qu'un vaste terrain d'entrainement concocté avec passion par des générations d'officier d'élites et truffés de toutes les difficultés qu'on peut rencontrer dans une vie de soldats. - Le BAN :
Ce qu'on nomme aujourd’hui le BAN fut autrefois la division disciplinaire de la marine d'élite. Ou division 87. Une division aux effectifs fluctuants rassemblant les pires éléments de ce corps d'exception. Les rebuts, les instables, les dangereux. Recrues jugées peu fiables, soldats désobéissants, incontrôlables ou en attente de jugement. Souvent dernière chance de rachat avant le conseil de guerre, le bataillon était aussi le lieu d’enrôlement des criminels civils désirant racheter leurs fautes autrement qu'en purgeant une longue peine de prison.
Soumise à une discipline draconienne et à un entrainement constant, la division des bannis fut évidemment le fer de lance des missions les plus dangereuses et les plus couteuses en vies humaines jamais attribuées à la marine. Et il acquit au fil du temps une réputation méritée de bravoure invincible et un nombre d'honneurs plus grand que n'importe quelle autre division.
Aujourd'hui, même si son surnom originel lui est resté, la fonction principale du Ban a changé. C'est maintenant la principale passerelle entre la marine d'élite et le reste du monde. Une division de formation et de mise à niveau qui, après un stage inspiré des entrainements auxquels étaient autrefois soumis les bannis, transforme tout homme qui y survit en véritable machine de guerre. Une étape indispensable pour prétendre intégrer la marine d'élite. - L'entrainement :
Véritable usine à former les meilleurs soldats du monde, l'entrainement dispensé au BAN est un véritable calvaire que ne réussissent que les meilleurs. On dit qu'un tiers des recrues abandonne dès la première semaine tant les contraintes physiques sont éprouvantes. Ceux qui tiennent le coup sont ensuite pris en main par les meilleurs formateurs possibles qui en quelques mois vont leur apprendre tout ce qu'un marine d'élite doit savoir, depuis la survie dans les pires coins du monde jusqu'au maniement des armes les plus exotiques de l'équipement de la marine. Voir un marine d'élite planter sa pelle de tranchée dans un pirate à près de dix mètres de distance est toujours un spectacle impressionnant.
Une fois les bases maitrisée le BAN s'occupe aussi de la formation des futurs officiers de l'élite. Et dispense ainsi des cours sur des sujets aussi variés que le sabotage, la cohésion de groupe, la stratégie et la politique.
Et l'élite ne serait pas l'élite si la formation ne se terminait pas par un test en condition réelle. Les formateurs du BAN s’arrangeant généralement pour que leurs élèves nouvellement formés et organisés en groupes de combat soit expédié sur une mission n'importe où sur les Blues en remplacement d'un groupe de la marine. Le fait que les formateurs estiment habituellement qu'un de leurs élèves vaut quatre marines, faisant de ce test une opération tout ce qu'il y a de risqué. Mais ce n'est qu'à ce prix qu'on s'assure de n'engager que les meilleurs des meilleurs.
La formation par l'exemple étant la norme dans la marine d'élite, il n'est pas rare de voir un officier vétéran de Grande Line passer dans le coin pour quelques cours exceptionnels.
Forces de l'ordre et respect de la loi
L’île est protégée par ses formateurs, tous sous-officiers et officiers de la marine d'élite, globalement une cinquantaine de vétérans endurcis capable de liquider un pirate avec un œuf dur et de se cautériser une plaie ouverte à la grenade sans ciller d'un poil.
Toujours à l'affut d'un bon exercice, les formateurs auront toujours soin de faire participer les élèves à la défense. L'ile en compte toujours un nombre variable, d'une vingtaine à quelques centaines, d'un niveau variable suivant leur avancée dans la formation.
Boutiques
Historique et Évènements récents
► [1620] Opération Paté de Sable :
Un pirate moins malin que les autres décide de se faire un nom en prenant en otage les élèves du centre de formation. Fort d'une flotte de quatre navires, il débarque à l'aube sur l'ile et s'attaque à la Ferme. Vingt-quatre heures plus tard, piégés jusqu'au cou dans un marais, il finit par se rendre avec ses hommes. Non sans découvrir avec consternation que si le combat a duré si longtemps, c'est que la leçon du jour était "Armes blanches uniquement".
Personnalités importantes