Ça faisait deux jours que Kurumu était partie de Cotton Candy Island. Son stock de nourriture et d'eau diminuait au fil des jours. Sur sa barque se trouvait sa Pourfendeuse du Ciel, la mallette, sa carte bleue, ses vivres et la fameuse carte. Celle-ci était dans les mains de l'adolescente et la regarda de plus près.
*Pourquoi a-t-elle une forme en i majuscule ? Et comment je fais pour m'y rendre ? De toute façon, je suis fatiguée de ramer. Donc je m'accorde une pause en mangeant de la barbe à papa.*
La jeune adolescente laissa son bateau dériver en espérant trouver soit cette mystérieuse île en i, ou une aide extérieur.
*Il faudrait que je songe à changer de bateau, genre un petit voilier. Comme ça, je ramerais moins, et je pourrais économiser mes forces. J'aimerais aussi prendre un bon bain et dormir dans un lit confortable.*
Les heures passaient, tout semblait calme. Un léger vent soufflait en direction du nord. Kurumu s'assoupit jusqu'à ce qu'elle entendit les sirènes d'un bateau. L'adolescente se réveilla en sursaut. Elle espérait que ce navire aille dans sa direction, et que l'équipage puissent lui indiquer ou se trouve l'île de la carte. Les sirènes se faisaient de plus en forte et le bateau arriva sans ralentir.
*J'espère qu'il ne va pas me renverser, sinon c'est l'équipage complet que je tue.*
L'embarcation ralenti à l'approche de la barque de la jeune fille. Un homme d'une vingtaine d'années, assez grand avec une bonne musculature aux yeux bleus et aux cheveux bruns, s'approcha du bord.
-"Alors beauté, on s'est perdue ? Tu veux que je t'aide ?"
Elle le regarda bizarrement. Pour la jeune ado, ce genre de personnes n'étaient que des déchets qui se préoccupaient seulement d'avoir des copines pour s'en vanter. Elle avait une envie de le remballer mais n'eut pas le temps de répondre, puisqu'une voix de vieux s'éleva.
-"Hey l'marmot. R'tourne au boulot. Tu veux qu'j't'aide à faire la parlotte ?"
Le jeune homme retourna bosser, puis le vieil homme s'adressa à l'adolescente.
-"J'm'appelle Edward Bloom. Maître pêcheur que j'suis."
*Ça me ferais chier de demander de l'aide à ces gens là, mais je n'ai pas le choix.*
-"J'aimerais me rendre sur l'île en forme de i majuscule. Pouvez vous m'y emmener ?"
L'homme revint voir la demoiselle.
-"Mais bien sur ma jolie, c'est quand tu veux. Tu sais que en a de la chance. Nous avions des commissions à faire. Genre de la pêche pour les habitants et..."
Elle l'interrompit au milieu de sa phrase.
-"Je m'en fout de ta vie."
-"Qu'est ce t'attend va aider la petiote. Et attache sa barque au navire."
Il exécuta les ordres, en commençant par attacher le navire de l'adolescente puis lui tendit sa main. Kurumu la repoussa d'un revers, et monta à bord du bateau de pêche seule. Elle s'avança sur le pont.
-"Je ne crois pas en la chance, et je n'ai pas besoin de celle-ci. Je crois seulement en mon talent."
-"Je m'appelle Kévin, enchanté de te rencontrer. Je bosse avec mon grand père. Mais je suis bien content d'être venu l'aider. Tu sais que tu...."
-"Et moi je te dis de ne pas m'approcher. Et même mieux de ne pas me parler. Maintenant du balai."
-"Oh Kéké, l'tri du poiscaille va pas s'faire tout seul."
-"Putain, il m'énerve."
Kévin retourna à ses occupations. Quant à Kurumu, elle avait tout laissé sur sa barque mais était contente d'être tombée sur un bateau qui allait sur la même île qu'elle.
*Pourquoi a-t-elle une forme en i majuscule ? Et comment je fais pour m'y rendre ? De toute façon, je suis fatiguée de ramer. Donc je m'accorde une pause en mangeant de la barbe à papa.*
La jeune adolescente laissa son bateau dériver en espérant trouver soit cette mystérieuse île en i, ou une aide extérieur.
*Il faudrait que je songe à changer de bateau, genre un petit voilier. Comme ça, je ramerais moins, et je pourrais économiser mes forces. J'aimerais aussi prendre un bon bain et dormir dans un lit confortable.*
Les heures passaient, tout semblait calme. Un léger vent soufflait en direction du nord. Kurumu s'assoupit jusqu'à ce qu'elle entendit les sirènes d'un bateau. L'adolescente se réveilla en sursaut. Elle espérait que ce navire aille dans sa direction, et que l'équipage puissent lui indiquer ou se trouve l'île de la carte. Les sirènes se faisaient de plus en forte et le bateau arriva sans ralentir.
*J'espère qu'il ne va pas me renverser, sinon c'est l'équipage complet que je tue.*
L'embarcation ralenti à l'approche de la barque de la jeune fille. Un homme d'une vingtaine d'années, assez grand avec une bonne musculature aux yeux bleus et aux cheveux bruns, s'approcha du bord.
-"Alors beauté, on s'est perdue ? Tu veux que je t'aide ?"
Elle le regarda bizarrement. Pour la jeune ado, ce genre de personnes n'étaient que des déchets qui se préoccupaient seulement d'avoir des copines pour s'en vanter. Elle avait une envie de le remballer mais n'eut pas le temps de répondre, puisqu'une voix de vieux s'éleva.
-"Hey l'marmot. R'tourne au boulot. Tu veux qu'j't'aide à faire la parlotte ?"
Le jeune homme retourna bosser, puis le vieil homme s'adressa à l'adolescente.
-"J'm'appelle Edward Bloom. Maître pêcheur que j'suis."
*Ça me ferais chier de demander de l'aide à ces gens là, mais je n'ai pas le choix.*
-"J'aimerais me rendre sur l'île en forme de i majuscule. Pouvez vous m'y emmener ?"
L'homme revint voir la demoiselle.
-"Mais bien sur ma jolie, c'est quand tu veux. Tu sais que en a de la chance. Nous avions des commissions à faire. Genre de la pêche pour les habitants et..."
Elle l'interrompit au milieu de sa phrase.
-"Je m'en fout de ta vie."
-"Qu'est ce t'attend va aider la petiote. Et attache sa barque au navire."
Il exécuta les ordres, en commençant par attacher le navire de l'adolescente puis lui tendit sa main. Kurumu la repoussa d'un revers, et monta à bord du bateau de pêche seule. Elle s'avança sur le pont.
-"Je ne crois pas en la chance, et je n'ai pas besoin de celle-ci. Je crois seulement en mon talent."
-"Je m'appelle Kévin, enchanté de te rencontrer. Je bosse avec mon grand père. Mais je suis bien content d'être venu l'aider. Tu sais que tu...."
-"Et moi je te dis de ne pas m'approcher. Et même mieux de ne pas me parler. Maintenant du balai."
-"Oh Kéké, l'tri du poiscaille va pas s'faire tout seul."
-"Putain, il m'énerve."
Kévin retourna à ses occupations. Quant à Kurumu, elle avait tout laissé sur sa barque mais était contente d'être tombée sur un bateau qui allait sur la même île qu'elle.
Dernière édition par Sound L. Kurumu le Ven 20 Sep 2013 - 9:32, édité 1 fois