[Acquisition de Cagouille Land]
Après avoir passé quelques jours dans une sorte de coma artificiel, je me réveille. Oui ça vaut mieux, le temps m'est compté. Je suis donc sorti de l'hôpital de Las Camp, contre avis médical. Évidemment, j'ai besoin de béquilles pour marcher, car ma jambe gauche me fait toujours souffrir quand je m’appuie dessus trop longtemps. Mon épaule droite est remise, on ne distingue que quelques petites cicatrices en train de se résorber. Quand à mon poing droit ... Lui, me donne encore du fil à retordre ... Il me fait souffrir bien plus que toutes mes autres blessures réunies. Je peux serrer le poing, mais la douleur me fait presque tomber inconscient. Malgré les chirurgies, il me manque encore un peu de peau. Pas trop grave, je peux bouger mes doigts, en souffrant un peu, certes. Et pour ceux qui me connaissent, un peu veut dire beaucoup. Toujours est-il que j'ai pris le premier bateau à destination de West Blue. Par chance, ce coursier allait au QG. Il m'y a donc déposé après quelques temps passés dessus. Et là, j'ai commencé mes recherches. De l'autre côté de l'île, sur le coin réservé à la BNA et à la ville. Je me suis rendu dans le bar où j'avais croisé le type qui devait écrire l'article sur Yuma et le FLEGME.
Le barman ne se souvient pas de lui. Ok, suivant. Je lui parle du SDF qui a vécu derrière son bar pendant plusieurs mois. Il me dit qu'il a finit par trouver du travail dans un hôtel. Il me donne l'adresse et je fonce. J'ouvre la porte de l'hôtel, et devinez sur qui je tombe en train de porter des bagages ? Une hôtesse m'accueille, mais avant qu'elle ne puisse ouvrir la bouche, je l'arrête et lui dit que je suis venu voir cet homme, un vieil ami. Il porte les valises, puis redescend. Il semble surpris de me voir.
Ken, tu te souviens de moi ?
Comment oublier une tête pareille … Je vais prendre ma pause Katia. On sort dehors pour discuter tranquillement.
Comme promis, je reviens te voir. J'ai les fonds pour l'entreprise. Tu as toujours tes idées ? Toujours partant ? A moins que tu aimes ton job, obéir à des gens, porter des bagages toute la journée pour pas grand chose.
Pas la peine d'essayer ça avec moi. Évidemment que je suis partant.
Ok, alors poses ta dem, on va choisir un endroit pour s'installer.
Il ne perd pas de temps. Il revient quelques minutes plus tard. On visite un peu la ville tout en cherchant ce qui pourrait le plus se rapprocher d'une agence immobilière. Manque de pot, il n'y en a pas. Ok, tant pis. On va chercher nous même le lieu. On marche pendant plusieurs heures, ce qui n'est vraiment pas facile avec mes béquilles. Quand le soleil commence à se coucher, on finit par trouver un endroit qui pourrait convenir. Il n'est pas en pleine ville, mais légèrement reculé. Le terrain est entouré de champs, ce qui nous permettra d'agrandir au fur et à mesure. L'accès à la ville est rapide à peine cinq minutes de marche. On voit une maison près de là, alors on va frapper. Un vieil homme nous ouvre.
Bonjour. On vient pour le terrain à côté. Vos savez à qui il appartient ?
Il est à moi.
Parfait. Je veux vous l'acheter.
Il n'est pas à vendre, bonsoir.
Attendez ! La marine veut acheter votre terrain, vous ne pouvez refuser. Si vous le faîtes, on peut le saisir sans rien payer. De toute façon, il sera à nous, que vous le vouliez ou non.
Ouah. Qu'est-ce qui me prend de lui parler aussi méchamment ? Je suis en train de le menacer ... Je m'excuse, puis il nous fait entrer.
On n'a pas besoin de tout le terrain, seulement une partie.
C'est tout ou rien.
On a pas besoin de tout, pour l'instant. Mais je vous promet qu'au fur et à mesure, on finira par acheter tout votre champ, peut-être plus même.
Qu'est-ce qui me le garanti ?
Moi. Et à travers moi, la marine.
6 millions maintenant, 3 par mois pour entretenir le reste.
Quoi ? Vous êtes tarés ?!
Vous semblez avoir besoin de ce champ absolument, avec le bâtiment qu'il contient. Je dispose donc d'un argument de taille. Ce qui veut dire que je peux marchander comme je le souhaite.
Ok, alors on va jouer carte sur table. J'suis un marine. Ça veut dire que si je pense que tu es un criminel, je peux t'arrêter. Tu as vraiment envie de finir à Impel Down pour le reste de tes jours ?
Vous ne feriez pas ça.
Essaies moi pour voir.
Il grogne ... Longtemps, très longtemps. Puis son fils rentre dans la salle manger, où nous discutons. Il le regarde. Reporte son regard sur moi.
Tu vois cet abruti là. C'est mon fils. Il ne fou rien de ses journées, il les passe à rêvasser. Tu me débarrasses de lui en l'engageant, en lui donnant un job stable, et je te fais le tout 3 700 000 Berrys.
Si j'engage ton fils, tu réduit le prix ?
C'est ça.
Marché conclu.
Il veut vraiment s'en débarrasser dis donc ... Pourquoi j'accepte ? Déjà parce que le prix diminue drastiquement, mais en plus parce que le jeune est plutôt pas mal. Il va nous apporter de la clientèle féminine je pense. On conclut l'accord par un écrit, e chacun rentre chez soi. Je prend un chambre dans un hôtel minable, et y passe la nuit. Je suis trop content. On vient enfin de trouver le lieu idéal pour l'entreprise ...
Le barman ne se souvient pas de lui. Ok, suivant. Je lui parle du SDF qui a vécu derrière son bar pendant plusieurs mois. Il me dit qu'il a finit par trouver du travail dans un hôtel. Il me donne l'adresse et je fonce. J'ouvre la porte de l'hôtel, et devinez sur qui je tombe en train de porter des bagages ? Une hôtesse m'accueille, mais avant qu'elle ne puisse ouvrir la bouche, je l'arrête et lui dit que je suis venu voir cet homme, un vieil ami. Il porte les valises, puis redescend. Il semble surpris de me voir.
Ken, tu te souviens de moi ?
Comment oublier une tête pareille … Je vais prendre ma pause Katia. On sort dehors pour discuter tranquillement.
Comme promis, je reviens te voir. J'ai les fonds pour l'entreprise. Tu as toujours tes idées ? Toujours partant ? A moins que tu aimes ton job, obéir à des gens, porter des bagages toute la journée pour pas grand chose.
Pas la peine d'essayer ça avec moi. Évidemment que je suis partant.
Ok, alors poses ta dem, on va choisir un endroit pour s'installer.
Il ne perd pas de temps. Il revient quelques minutes plus tard. On visite un peu la ville tout en cherchant ce qui pourrait le plus se rapprocher d'une agence immobilière. Manque de pot, il n'y en a pas. Ok, tant pis. On va chercher nous même le lieu. On marche pendant plusieurs heures, ce qui n'est vraiment pas facile avec mes béquilles. Quand le soleil commence à se coucher, on finit par trouver un endroit qui pourrait convenir. Il n'est pas en pleine ville, mais légèrement reculé. Le terrain est entouré de champs, ce qui nous permettra d'agrandir au fur et à mesure. L'accès à la ville est rapide à peine cinq minutes de marche. On voit une maison près de là, alors on va frapper. Un vieil homme nous ouvre.
Bonjour. On vient pour le terrain à côté. Vos savez à qui il appartient ?
Il est à moi.
Parfait. Je veux vous l'acheter.
Il n'est pas à vendre, bonsoir.
Attendez ! La marine veut acheter votre terrain, vous ne pouvez refuser. Si vous le faîtes, on peut le saisir sans rien payer. De toute façon, il sera à nous, que vous le vouliez ou non.
Ouah. Qu'est-ce qui me prend de lui parler aussi méchamment ? Je suis en train de le menacer ... Je m'excuse, puis il nous fait entrer.
On n'a pas besoin de tout le terrain, seulement une partie.
C'est tout ou rien.
On a pas besoin de tout, pour l'instant. Mais je vous promet qu'au fur et à mesure, on finira par acheter tout votre champ, peut-être plus même.
Qu'est-ce qui me le garanti ?
Moi. Et à travers moi, la marine.
6 millions maintenant, 3 par mois pour entretenir le reste.
Quoi ? Vous êtes tarés ?!
Vous semblez avoir besoin de ce champ absolument, avec le bâtiment qu'il contient. Je dispose donc d'un argument de taille. Ce qui veut dire que je peux marchander comme je le souhaite.
Ok, alors on va jouer carte sur table. J'suis un marine. Ça veut dire que si je pense que tu es un criminel, je peux t'arrêter. Tu as vraiment envie de finir à Impel Down pour le reste de tes jours ?
Vous ne feriez pas ça.
Essaies moi pour voir.
Il grogne ... Longtemps, très longtemps. Puis son fils rentre dans la salle manger, où nous discutons. Il le regarde. Reporte son regard sur moi.
Tu vois cet abruti là. C'est mon fils. Il ne fou rien de ses journées, il les passe à rêvasser. Tu me débarrasses de lui en l'engageant, en lui donnant un job stable, et je te fais le tout 3 700 000 Berrys.
Si j'engage ton fils, tu réduit le prix ?
C'est ça.
Marché conclu.
Il veut vraiment s'en débarrasser dis donc ... Pourquoi j'accepte ? Déjà parce que le prix diminue drastiquement, mais en plus parce que le jeune est plutôt pas mal. Il va nous apporter de la clientèle féminine je pense. On conclut l'accord par un écrit, e chacun rentre chez soi. Je prend un chambre dans un hôtel minable, et y passe la nuit. Je suis trop content. On vient enfin de trouver le lieu idéal pour l'entreprise ...
Dernière édition par Clotho le Ven 29 Nov 2013, 06:48, édité 4 fois