Après avoir passé plusieurs jours à chercher des clés pour continuer la chasse au trésor, après avoir sué comme pas possible, l'ado avait quitté l'île des Jean et surtout n'était plus en compagnie de Lu Bu, terrible personnage qui lui en avait fait voir de toutes les couleurs. Elle ne savait pas où elle devait aller, mais c'était trop tard : elle était déjà partie. Heureusement, Kurumu avait de quoi survivre en pleine mer, grâce à ses vivres. Dans la nuit, seules les étoiles et la lune éclairaient une mer calme. Le voilier se faisait pousser par le vent.
*J'aurais peut-être dû demander la direction approximative de cette île. Au moins je n'aurais pas besoin de tourner en rond. Et j'aurais aussi dû attendre le lever du soleil. En plus j'y voit rien, j'ai qu'un oeil de libre. L'autre est toujours sous les bandages pour cacher ce foutu bleu. Putain, je le hais ce type, lui et toute sa famille, sauf son cheval, car je l'aimais bien. J'espère que je pourrais en avoir un comme il a actuellement. De toute façon, au point ou j'en suis, je vais faire un somme. Je tomberais sur île et je demanderais mon chemin... Après tout, on ne change pas une méthode qui gagne.*
Laissant le bateau voguer au gré du vent, l'héroïne s'endormit, insouciante des éventuels dangers qui pouvaient survenir. Au petit matin, elle se réveilla de mauvais poil. D'une part, elle n'avait pas bien dormi et d'autre part elle n'avait pas accosté, mais toujours en pleine mer. Kurumu prit le rôle de vigie et cherchait une île. Si possible St-Uréa, mais elle n'avait pas la moindre idée à quoi pouvait ressembler cette terre. Scrutant les horizons à en avoir un torticolis, elle aperçut une île. Ne voulant pas passer à côté, elle prit les rames et emmena le bateau à bonne destination.
La traversée de l'île des Jean jusqu'à cette terre inconnue avait duré environ dix huit heure. Kurumu amarra son bateau et parla à la première personne qu'elle vit. Cet individu était grand, musclé. Il avait des cheveux marron et un bandeau rouge autour du front. Il portait un ensemble blanc et une ceinture noire à la taille.
-"Excuse moi, est ce que je suis sur St-Uréa ?"
-"La politesse petite. Je ne suis pas ton pote. Respecte tes aînées."
-"Grrr !! Je l'ai dite, débouche toi les oreilles."
Devant le comportement insupportable de la gamine, il cracha le morceau.
-"Tu es sur l'île du karaté, pas de chance. Pour aller au Royaume de St-Uréa, tu dois partir sur la gauche de l'île et continuer tout droit. Tu devrais trouver une île avec une multitude de bâtiments. Maintenant du balais."
Ni une, ni deux, Kurumu sauta dans son voilier et reprit la mer en écoutant les conseils d'un inconnu. De toute façon, elle n'avait guère le choix. Soit elle suivait ces dires, soit elle se perdait au milieu de nulle part. Mangeant des fruits pour reprendre des forces, elle ne pensa à rien, et regardait le ciel bleu, seul chose qu'elle pouvait admirer.
*Je me demande pourquoi et comment le ciel est bleu ? Ça peut être une bonne question, mais je n'ai pas le temps, ni les moyens pour y réfléchir, quoi que...*
La demoiselle devait garder un oeil ouvert malgré la fatigue qui commençait à se faire insistante. Le ciel se couvrait de nuage gris. Kurumu n'avait pas envie de prendre une douche, et chercha désespérément cette foutue île. Les premières gouttes tombèrent, et la jeune pirate plia les voiles et rama. En soirée, elle arriva sur le port trempée. Finalement ce n'était pas une grosse tempête, mais seulement de grosses averses, avec de grosses gouttes.
*Bon je crois que j'y suis... Y'a des bâtiments de partout, du coup je dois être bon. Au pire je demanderais à un aubergiste.*
*J'aurais peut-être dû demander la direction approximative de cette île. Au moins je n'aurais pas besoin de tourner en rond. Et j'aurais aussi dû attendre le lever du soleil. En plus j'y voit rien, j'ai qu'un oeil de libre. L'autre est toujours sous les bandages pour cacher ce foutu bleu. Putain, je le hais ce type, lui et toute sa famille, sauf son cheval, car je l'aimais bien. J'espère que je pourrais en avoir un comme il a actuellement. De toute façon, au point ou j'en suis, je vais faire un somme. Je tomberais sur île et je demanderais mon chemin... Après tout, on ne change pas une méthode qui gagne.*
Laissant le bateau voguer au gré du vent, l'héroïne s'endormit, insouciante des éventuels dangers qui pouvaient survenir. Au petit matin, elle se réveilla de mauvais poil. D'une part, elle n'avait pas bien dormi et d'autre part elle n'avait pas accosté, mais toujours en pleine mer. Kurumu prit le rôle de vigie et cherchait une île. Si possible St-Uréa, mais elle n'avait pas la moindre idée à quoi pouvait ressembler cette terre. Scrutant les horizons à en avoir un torticolis, elle aperçut une île. Ne voulant pas passer à côté, elle prit les rames et emmena le bateau à bonne destination.
La traversée de l'île des Jean jusqu'à cette terre inconnue avait duré environ dix huit heure. Kurumu amarra son bateau et parla à la première personne qu'elle vit. Cet individu était grand, musclé. Il avait des cheveux marron et un bandeau rouge autour du front. Il portait un ensemble blanc et une ceinture noire à la taille.
-"Excuse moi, est ce que je suis sur St-Uréa ?"
-"La politesse petite. Je ne suis pas ton pote. Respecte tes aînées."
-"Grrr !! Je l'ai dite, débouche toi les oreilles."
Devant le comportement insupportable de la gamine, il cracha le morceau.
-"Tu es sur l'île du karaté, pas de chance. Pour aller au Royaume de St-Uréa, tu dois partir sur la gauche de l'île et continuer tout droit. Tu devrais trouver une île avec une multitude de bâtiments. Maintenant du balais."
Ni une, ni deux, Kurumu sauta dans son voilier et reprit la mer en écoutant les conseils d'un inconnu. De toute façon, elle n'avait guère le choix. Soit elle suivait ces dires, soit elle se perdait au milieu de nulle part. Mangeant des fruits pour reprendre des forces, elle ne pensa à rien, et regardait le ciel bleu, seul chose qu'elle pouvait admirer.
*Je me demande pourquoi et comment le ciel est bleu ? Ça peut être une bonne question, mais je n'ai pas le temps, ni les moyens pour y réfléchir, quoi que...*
La demoiselle devait garder un oeil ouvert malgré la fatigue qui commençait à se faire insistante. Le ciel se couvrait de nuage gris. Kurumu n'avait pas envie de prendre une douche, et chercha désespérément cette foutue île. Les premières gouttes tombèrent, et la jeune pirate plia les voiles et rama. En soirée, elle arriva sur le port trempée. Finalement ce n'était pas une grosse tempête, mais seulement de grosses averses, avec de grosses gouttes.
*Bon je crois que j'y suis... Y'a des bâtiments de partout, du coup je dois être bon. Au pire je demanderais à un aubergiste.*
Dernière édition par Sound L. Kurumu le Ven 15 Nov 2013 - 11:06, édité 1 fois