>> Nom & Prénom
une image 200*300 | Pseudonyme : Le hipster. Age: 23 ans Sexe : Homme Race : Humain. Métier : Scribe - Essayiste en tout genre - Barman occasionnel Groupe : Chasseurs de primes. But : Vivre justement. Vivre bien. Vivre joyeusement. Et occasionnellement retrouver ses cinq amis d’enfance. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le Bushidô, dixit l'art du Samouraï. Permet entre autre de "trancher" littéralement avec son sabre au lieu de frapper, ce dernier devenant une sorte de prolongement du corps (je pense que le principe est connu) et lui conférant des capacités défensives (trancher les techniques "physiques") et offensives (obviously) (technique pour tout combo ou coup "spécial"). Le samouraï développe aussi un puissant lien psychique avec son enveloppe charnelle, lui permettant de se déplacer et d’accélérer très rapidement (il faut des techniques pour ça bien sûr), et de devenir résistant à certains seuils de douleur (techniques aussi, sauf pour de légers cas, il va pas utiliser sa technique ultime pour une aiguille dans le doigt). Dernièrement l’œillade du Samouraï peut être un atout de taille contre les moins courageux, ce dernier pouvant les troubler grâce à celle-ci en allant jusqu'à les figer de frayeur pendant une ou deux secondes selon la puissance de l'adversaire (technique aussi). A défaut Un Meitou consistant en un sabre qui a la capacité à se matérialiser/dématérialiser en ondes. J’aimerais bien un avis sur ces deux capa’ lors de la valide, siouplé. Équipements : Deux sabres en bon état - Un pistolet pourri. Codes du règlement (2) : Parrain : / Ce compte est-il un DC ? : No. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Jéjé la frite. |
>> Physique Akira attire souvent les regards sur lui. Un corps plutôt bien taillé, un style vestimentaire que l’on ne pourrait pas vraiment qualifier de négligé, surtout pour un homme souvent sur le terrain et un faciès inusité. Des cheveux prolixes tombant sur des yeux d’un céruléen aux teintes céladon. Des yeux perçants et vifs qui donnent l’impression de lire en vous comme un livre. Cachés par sa crinière de jais, ses oreilles percées accentuent ce côté anticonformiste que l’on perçoit bien chez lui. On pourrait finir ce portrait par un nez rectiligne et une bouche cabernet. Mais Akira, ce n’est pas ça seulement. Akira, c’est une allure, une démarche, une façon de parler. Akira, c’est une force de la nature, et ça se voit, malgré son teint alpestre virant légèrement au pâle. Akira, c’est plusieurs facettes différentes. Akira, c’est le parfait déconneur, romantique, et homme de plume quand la situation le permet. Akira, c’est aussi un briscard intarissable malgré son jeune âge relatif. Mettre son masque et aller croiser le fer, pour le quidam, ce n’est pas une partie de plaisir ni pour lui, ni pour les autres. Sans pour autant enlever des vies, vous en garderez un amer souvenir, si toute fois il réussit à prendre l’avantage sur vous, parce que ‘faut pas trop déconner quand même. Ce n’est pas non plus le Chuck Norris du West Blue, tout du moins pour l’instant, car il n’est pas près de dormir sur ses lauriers. >> Psychologie Suivant son humeur, et la vôtre, Akira peut être le parfait ami, ou à défaut, le parfait connard avec vous. Toujours prêt à lancer un ou deux jurons sauvages, ou au contraire de faire preuve d’un humour plus subtil, il est en général toujours propice à la franche rigolade et à la déconnade. Néanmoins, bien que ça puisse paraître paradoxal, Akira sait quand il faut être sérieux. Bref, si vous êtes du genre déjanté vous aussi, ne vous étonnez pas si il revient soudainement à la raison, il y’a une bonne raison généralement. Ou alors il se fait un instant réflexion philosophique. Oui, car Akira aime bien écrire, débattre, se poser des questions existentielles, comme ça, sans raison, ce qui accentue encore plus son côté « Hipster » et barjo. Akira s’est surtout imprégné de son senseï, et de son mode de vie, sans pour autant renier son « ancien » lui. Comme tout pratiquant du Bushido, Akira ne tue jamais par envie, ou orgueil. En fait, Akira ne tue quasiment jamais. Il reste en grande partie un personnage vif en couleur et joyeux, limite toqué et casse-cou, ce qui contraste généralement assez avec son caractère sage qu’il s’efforce d’adopter parfois, sans se rendre compte qu’il accentue souvent encore plus son atout comique. Bref, Akira ce n’est très certainement une personnalité qu’on peut décrire comme ça, sur un seul pavé. Akira, c’est aussi complexe qu’un rubix 18 couleurs. >> Biographie
QG de la marine de Las Camp J’ai les yeux ouverts, et pourtant toujours l’impression d’être endormi. Y’a quelque chose qui manque… Quelque chose que j’ai l’habitude d’avoir à chaque matin. Petit déjeuner ? Nah, c’est pour les tarlouses ça, moi j’ai autre chose je crois. Je discernai un cliquetis métallique caractéristique. Comme… Quelqu’un qui marche. Quelqu’un qui marche, et qui a comme un trousseau de clefs accroché à la ceinture. Oui, ça commence à me revenir. Voilà ce qui me manquait… Mes joues s’enflammèrent soudainement tandis qu’un léger sourire se dessinait sur mes lippes, malgré la douleur venue me fendre le crâne. Mes deux baffes du matin, voilà ce que j’attendais. Et pas une petite mandale hein, une grosse torgnole, digne de la dextre d’un maître bûcheron. Ça aussi ça commençait à me manquer… Maintenant que mon œillade pouvait à nouveau distinguer les formes et les couleurs plus ou moins concrètement, je les baladais un instant, traçant le portrait de mon interlocuteur. Lui, c’est Giorgio. Mais j’aime bien l’appeler Mouloud, pasqu’il a une belle tête de voleur. Mouloud est déjà passé me voir deux fois. Une par jour pour être précis. Et ça fait précisément quatre jours que je séjourne ici. Beau coin de pays, j’dois avouer. Tout propre et luxueux. ‘fin, comparé à mon vieux taudis sur Las Camp. Ils ont même un truc pour chier plutôt pas mal. Des W.C, que ça s’appelle. Bref, Pourquoi j’étais ici déjà ? ***Il y’a de cela dix ans*** J’étais ce garçon, au milieu. Ce garçon comme tous les autres garçons et filles à Las Camp. Las Camp, une ville de plèbes, de corrompus, de pirates et de libertins en tout genres. Un garçon qui, comme tous les autres filles et garçons de ce bled paumé et infecté jusqu’à la moelle, allait probablement finir pirate ou criminel, une prime plus ou moins conséquente sur sa tête. Et pour couronner le tout, je n’avais pas de parents. Oh non, ils ne sont pas morts. Je ne les ait tout simplement pas connu. Je suis ce garçon au milieu. Au milieu de quoi déjà ? Au milieu de cette petite troupe de vagabonds, des louveteaux affamés. Nous autres, garçons et filles orphelins et orphelines, nous étions regroupés. Une sorte de petite communauté dont la société soit se désintéressait, soit appréhendait. Il ne fallait pas l’oublier, nous étions les criminels de demain. Mais au fond, qu’est ce qu’un criminel ? Un criminel est par définition, celui qui enfreint la loi. Mais qui définit la loi ? Le plus fort. Et qui est le plus fort ? Aussi longtemps que l’histoire nous est narrée, jamais le plus chaste. La Marine… Je suis donc ce garçon au milieu. J’ai en tout et pour tout cinq compagnons. Deux garçons, et trois filles. Nous avions six ans, et aucun but dans la vie. *** Je suis toujours ce garçon au milieu. Mais j’ai bien grandi. Quinze ans ? Oui, à cette époque, je devais avoir quinze ans. Toujours à Las Camp. Toujours sans aucun but. Quoique… Nous avions ouvert un bar. Oui, nous, vous vous souvenez de nous ? Les six orphelins, les six futurs fléaux de ce macrocosme. Un bar crasseux, petit et retranché. Heureusement, la faune locale n’était pas dérangée par cet aspect. Les affaires roulaient bien, trop bien. C’est à ce moment qu’il commençait à se manifester. Mais je ne l’avais jamais remarqué. Trop de clients, et il était trop « banal », trop intelligent pour que je me rappelle de lui. Oh, j’ai oublié de préciser. Je suis toujours ce garçon au milieu, mais quelque chose d’autre a changé. J’ai commencé à lire, à écouter. Les poètes de rue, les écrivains libres. Ils ont dépeint le monde tel qu’il était. Gouverné par des profiteurs, des asservisseurs. Notre aiguillage changea légèrement, mes amis et moi. De futurs pirates, nous étions passés à rebelles, « révolutionnaires » si vous le voulez. Voilà à quoi servait le petit bar crasseux. Les informations circulaient vite entre loups d’mer. Et ça faisait notre bonheur, à nous six. Nous n’avions qu’à entendre « Une nouvelle cargaison de poudre pour les marines vient d’arriver , apparemment» pour que le nombre de serveurs passe soudainement de cinq à quatre, voir moins, suivant la difficulté de la tache. Nous ne visions pas non plus trop haut. Nous nous contentions de quelques sabotages, tout au plus. Mais cela garantissait notre satisfaction personnelle. Et lui, au fond du bar, qui devenait un habitué sans pour autant l’être. *** Ce soir aurait dû être un job de routine. Je devais glisser quelques insectes dans la cargaison de vivres en destination du QG de la marine à Las Camp. Mais bizarrement, une dizaine de soldats m’étaient tombés dessus. Autant de bleus pour un peu de bouffe ? Je n’avais rien suspecté, et encore moins cet homme, ce même homme qui au loin, observait la scène. *** J’eus une érection tandis que la deuxième paire de baffes me fendait à nouveau le faciès. Les beignes, c’est la vie. Mais en cet instant de Jubilation – et d’évanouissement parce que cette fois c’était un peu plus fort-, je ne pus remarquer l’homme qui m’observait derrière la vitre. Encore lui. *** Je passais encore une semaine dans le petit pénitencier du QG, les visites de Mouloud se faisant plus soutenues et surtout plus intenses, jusqu’au jour d’une visite. Une impression de déjà vu. Des mensurations normales, un teint normal, un visage normal qu’on pourrait facilement oublier, mais un air de déjà vu, auquel je ne prêtais guère plus attention que ça. C’était lui. Mais je ne savais pas que c’était lui à ce moment. Ce jour là, Mouloud avait lancé froidement : Dehors, le gazier inconnu-connu me fixait toujours. Comme il l’avait toujours fait, sans que j’le sache. Je décidai de briser ce silence qui devenait aussi malsain que son œillade céruléenne : J’attendais une réaction violente de sa part. Ce genre de réactions qu’on a souvent avec moi. Mais il n’en fit rien. Il me fixait toujours de son regard soutenu, et me répondit d’une simplicité qui ne pouvait qu’évoquer la vérité : L’homme s’avéra finalement être un chasseur de primes. Ma première requête le concernant fut bien sûr de m’accorder quelques jours de répit avant de me joindre à lui, afin d’aller rendre visite à ma « famille » miséreuse, mais il m’indiqua que ces derniers étaient désormais en cavale, avec une petite prime sur leur tête en guise de bonus.
Au moins, on était d’accord sur un, voire deux points. Et sa révélation concernant ma fratrie m’inquiétait tout autant qu’elle me soulageait. Elle m’inquiétait tout simplement car mes camarades étaient encore plus en danger qu’ils ne l’étaient avant, mais me soulageait car au fond de moi, j’étais heureux que l’absence de nouvelles lors de ma détention était plus dû à un concours de circonstances qu’à autre chose, même si mon cœur n’avait jamais défailli de ce côté-là. Le chasseur de primes s’appelait Shino Mikoto. Et c’était plutôt un mastodonte dans l’métier. Son point faible résidait tout simplement que lui et son équipage n’avaient qu’un mot d’ordre : Ne tuer qu’en dernier recours. Autant dire que contre des pirates, ce n’était pas partie gagnée, et souvent partie remise. J’appris beaucoup de Mikoto. L’endurance, la vertu, la philosophie de vie, la façon de penser, le maniement du sabre et surtout la bonté et la bonne rigolade. Autant dire que son image contrastait parfaitement avec celle du chasseur de primes ordinaire. Et puis il y eut un jour sombre. Suivi d’autre jours sombres. Comme ça, car la vie l’avait décidé. Mais bien assez tôt, Elle reprit son courant. Le deuil était fait, et la vérité révélée. Ce jour là, il avait tenté la folie, il avait tenté l’équipage du « Poison Siren ». Si l’équipage au sein de ce bateau était tout à fait lambda, c’était l’embarcation elle-même qui faisait de ce dernier un adversaire coriace. Le poison Siren dégageait continuellement des gaz toxiques et mortels à l’inhalation, le rendant potentiellement dangereux pour tout être vivant aux alentours. Mais Mikoto croyait s’être bien préparé. Des masques à gaz pour tout le monde, et de la volonté, avait-il dit. Il n’avait sûrement pas calculé que l’équipage du Poison s’était spécialisé en tout genres de techniques de combat ayant pour principal but la tête, afin de parer à cette éventualité qui aurait pu facilement leur causer préjudice. Est-il utile de préciser que les membres du Poison portaient eux aussi des masques ? Et que leur de l’abordage, la question n’était pas de savoir qui allait frapper le plus, mais plutôt qui allait retirer ou briser le plus de masques. Le combat fut rude, et Mikoto un vrai démon. Mais tout comme le reste de l’équipage, il perdit vie au cours de l’assaut. Les pirates moururent aussi, tous. Moi ? Mon masque fut fracassé à moitié, par un coup de poing bien placé. Et je fus avec bien du mal, l’unique survivant. Le gaz s’infiltrait un peu partout tandis que je regagnais tout seul l’île la plus proche, à l’aide d’une chaloupe.Le gaz irrita mes poumons des mois durant, mais je me rétablis finalement, et parvint à faire mon deuil. Je fus le seul héritier de Mikoto, et entre autre, figuraient dans son lègue quelques lettres. Une première était de sa plume, mais signée anonymement. Le reste étaient des lettres qui dataient d’une bonne dizaine d’années tout au plus. La première était une lettre adressée au chef du QG de Las Camp. Elle indiquait clairement que quelqu’un allait tenter d’empoisonner le contenu des vivres. La deuxième série était une série de lettres, où il s’entretenait avec son frère. Et ils parlaient d’un jeune garçon qui semblait parfaitement correspondre à mon profil. Mikoto indiquait à son frère comment il avait influencé mes lectures, grâce à divers stratagèmes, comme les articles républicains sous forme de tract dans la boîte aux lettres, pour me faire passer du stade de futur délinquant à celui de « psuedo »-révolutionnaire. Et puis, comment il m’avait conduit à me faire arrêter, pour ensuite me faire sortir. Et enfin comment il avait utilisé cette connaissance sociale et tangible du monde extérieur pour me forger un propre caractère, et m’éduquer « convenablement", tel qu’il l’avait décrit . Finalement, j’appris que le destinataire était mon père, décédé récemment, et que Mikoto n’était autre que mon oncle. Mikoto était celui qui venait dans mon bar tous les soirs. Celui qui me regardait de loin. Celui qui veilla sur moi et fit de moi un homme juste et joyeux. Aussi, lorsque je lis cette flopée de lettres, je ne pus m’empêcher de prononcer un flot de jurons, avant d’éclater de rire, en me remémorant celui qui avait été mon tuteur, mon oncle, mon père et mon enseignant. Je choisit de garder mon masque à gaz cassé en souvenir de mon ancien équipage. C'était pour moi une façon de les honorer à chaque fois que je l'enfilais pour aller combattre. Et la vie continua. Car la vie n’attend pas. Et les pirates non plus, d'ailleurs. >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. Quand vous estimez avoir terminé votre présentation, signalez le et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous titre de votre présentation [En attente de Test RP] Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs vous loupent. |
Informations IRL
Prénom : E.TAge : 15 ans, je crois.Aime : Les poneys.N'aime pas : Ceux qui n'aiment pas les poneys.Personnage préféré de One Piece : N'ayant que très peu regardé One Piece, aucun.Caractère : (définissez vous en quelques mots) Poney.Fais du RP depuis : 2 ans bientôt.Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Approximatif tout comme ma réponse. Ce qui est sûr c'est que sauf rares cas, je passe tous les jours normalement. Pour les rps, c'est totalement aléatoire, mais entre 0,5 et 5 rps par semaine est une bonne moyenne.Comment avez vous connu le forum ? : TS, et j'étais déjà venu avant grâce à Kanbei, sans terminer ma prez.
Dernière édition par Akira le Jeu 19 Déc 2013 - 10:42, édité 1 fois