La journée s'annonçait merveilleuse pour la petite âgée de treize ans. C'était un jour qu'elle attendait impatiemment. Aujourd'hui, il y avait quelque chose d'incroyable. Le créateur de Gekota la grenouille signait des autographes à tous ses fans. Il était actuellement à Khebab Island, île non loin de Ptyx. Il fallait compter au moins deux heures de trajet. Kurumu s'était levée à l'aube pour se préparer, et s'était fait toute belle. Elle prit un sac à main, y mit sa peluche préférée et descendit. Il n'y avait rien de mieux qu'une peluche Gekota dédicacée. En descendant au salon, la demoiselle y trouva son père, mais pas sa mère. C'était normal, puisqu'elle était partie.
-"Viens par là Kurumu, nous devons parler."
-"Ouiii ?"
-"Ton comportement est intolérable dans cette maison. Tu le sais pourtant. Ta mère me dit tout, et ça ne me plaît pas. Tu me déçois énormément."
-"Mais ne dis pas ça. C'est dur."
-"Vu comme tu réponds à ta mère, je ne le crois pas. J'aimerais savoir si je peux te faire confiance. Je ne vais pas te punir, puisque ce jour a l'air de te tenir à coeur, mais je vais te confier un objet. C'est un objet qui a une grande valeur pour moi et pour ta mère, puisque c'est la bague qu'elle m'a offerte à notre mariage. On peut dire que c'est une sorte de test te permettant de te repentir. Tiens, je te la remet. Prend en soin. Et il n'y a pas de mais qui tienne. En revanche, dépêche toi, ton navire ne va pas tarder à partir."
Il avait raison, Kurumu enfila de belles chaussures et s'en alla. La demoiselle se hâtait, et regarda la bague, qu'elle fit tomber. Derechef, elle la ramassa, et la rangea dans la poche de sa jupe. L'adolescente vit le bateau qui l’emmènerait à Khebab Island. La fillette s'était très bien habillée, et était accablée de regards. Avec ce qu'elle portait, elle montrait qu'elle était riche, plus précisément que sa famille était riche. Ce n'était pas une fille qui aimait faire son intéressante, mais devant la personne qui avait inventé Gekota, elle se devait d'être présentable. Un collier, un bracelet, une jupe et un t-shirt sans signes particuliers. Elle sentait le parfum "One Million".
Elle arriva enfin sur Khebab Island, après trois heures et demi de trajet. C'était une petite île composée de plusieurs maisons, mais aussi d'arbres. Il n'y avait pas de montagnes, mais une petite forêt. D'après certaines personnes, cette forêt était un coin où les brigands se rassemblaient pour compter leur butin. Kurumu cherchait du regard l'endroit où pourrait se trouver Matsuda Nagara, l'auteur de Gekota. Finalement, se fut facile pour le trouver, puisqu'il y avait du monde autour d'une petite maison. L'ado fit la queue, et attendit son tour, retenant son excitation. Son tour arriva au bout d'une trentaine de minutes.
-"Bonjour, j'aimerais que vous me signez ma peluche préférée." disait-elle avec le sourire.
-"Je vois que c'est une édition collector, vous en avez de la chance. A quel nom s'il vous plaît ?"
-"Kurumu."
Il signa la peluche et la demoiselle le remercia. Maintenant, elle devait attendre. Elle s'assit sur banc, près d'une fontaine, et regardait la signature de Matsuda Nagara. Soudain, tout était noire. Plus rien. Kurumu sentait qu'on la déplaçait, et avait beau se débattre, mais ne parvint pas à s'échapper. Une dizaine de minutes plus tard, ça se calmait, mais la demoiselle avait les poings et pieds liés. Il refit jour. Elle vit quatre voleurs.
-"Qu'est ce que vous me voulez ? Libérez moi ! Et rendez moi ma peluche."
-"La ferme morveuse. Alors qu'est ce que tu as sur toi ? Une fille tel que toi doit bien avoir des bijoux de valeur."
L'un d'entre eux arracha le collier et le bracelet de la gamine, et commença à la fouiller. Kurumu tenta d'ouvrir sa bouche pour se rebeller, mais elle reçut une gifle.
-"Maintenant ! FERME LA ! Sinon je te frappe."
La demoiselle se faisait dépouiller sans pouvoir faire une quelconque action. L'homme trouva la bague que son père lui avait confié, rigola, et la mise dans sa poche.
-"Nan, s'il vous plaît, tout mais pas cette bague. Je vous en prie, rendez la moi." disait-elle en versant quelques larmes.
En prime, ils prirent la peluche, lui donnèrent quelques gifles, lui mirent un bandeau autour de la bouche, pour qu'elle ne puisse plus parler, et lui remirent le sac sur la tête. Le groupe de voleurs portèrent l'ado, qui était en pleurs, et la déposèrent à côté d'une maison, le sac encore sur sa tête, et les joues rougies.
La môme ne savait pas où est ce qu'elle était, pleurait les larmes de son corps. Elle devait faire quelque chose, mais ses mains et pieds étaient toujours liés. Le seul moyen pour elle était que quelqu'un la retrouve. Quant aux brigands, ils étaient content de leur coup, ils venaient de se faire un bon paquet de thune, en quinze minutes.
-"Viens par là Kurumu, nous devons parler."
-"Ouiii ?"
-"Ton comportement est intolérable dans cette maison. Tu le sais pourtant. Ta mère me dit tout, et ça ne me plaît pas. Tu me déçois énormément."
-"Mais ne dis pas ça. C'est dur."
-"Vu comme tu réponds à ta mère, je ne le crois pas. J'aimerais savoir si je peux te faire confiance. Je ne vais pas te punir, puisque ce jour a l'air de te tenir à coeur, mais je vais te confier un objet. C'est un objet qui a une grande valeur pour moi et pour ta mère, puisque c'est la bague qu'elle m'a offerte à notre mariage. On peut dire que c'est une sorte de test te permettant de te repentir. Tiens, je te la remet. Prend en soin. Et il n'y a pas de mais qui tienne. En revanche, dépêche toi, ton navire ne va pas tarder à partir."
Il avait raison, Kurumu enfila de belles chaussures et s'en alla. La demoiselle se hâtait, et regarda la bague, qu'elle fit tomber. Derechef, elle la ramassa, et la rangea dans la poche de sa jupe. L'adolescente vit le bateau qui l’emmènerait à Khebab Island. La fillette s'était très bien habillée, et était accablée de regards. Avec ce qu'elle portait, elle montrait qu'elle était riche, plus précisément que sa famille était riche. Ce n'était pas une fille qui aimait faire son intéressante, mais devant la personne qui avait inventé Gekota, elle se devait d'être présentable. Un collier, un bracelet, une jupe et un t-shirt sans signes particuliers. Elle sentait le parfum "One Million".
Elle arriva enfin sur Khebab Island, après trois heures et demi de trajet. C'était une petite île composée de plusieurs maisons, mais aussi d'arbres. Il n'y avait pas de montagnes, mais une petite forêt. D'après certaines personnes, cette forêt était un coin où les brigands se rassemblaient pour compter leur butin. Kurumu cherchait du regard l'endroit où pourrait se trouver Matsuda Nagara, l'auteur de Gekota. Finalement, se fut facile pour le trouver, puisqu'il y avait du monde autour d'une petite maison. L'ado fit la queue, et attendit son tour, retenant son excitation. Son tour arriva au bout d'une trentaine de minutes.
-"Bonjour, j'aimerais que vous me signez ma peluche préférée." disait-elle avec le sourire.
-"Je vois que c'est une édition collector, vous en avez de la chance. A quel nom s'il vous plaît ?"
-"Kurumu."
Il signa la peluche et la demoiselle le remercia. Maintenant, elle devait attendre. Elle s'assit sur banc, près d'une fontaine, et regardait la signature de Matsuda Nagara. Soudain, tout était noire. Plus rien. Kurumu sentait qu'on la déplaçait, et avait beau se débattre, mais ne parvint pas à s'échapper. Une dizaine de minutes plus tard, ça se calmait, mais la demoiselle avait les poings et pieds liés. Il refit jour. Elle vit quatre voleurs.
-"Qu'est ce que vous me voulez ? Libérez moi ! Et rendez moi ma peluche."
-"La ferme morveuse. Alors qu'est ce que tu as sur toi ? Une fille tel que toi doit bien avoir des bijoux de valeur."
L'un d'entre eux arracha le collier et le bracelet de la gamine, et commença à la fouiller. Kurumu tenta d'ouvrir sa bouche pour se rebeller, mais elle reçut une gifle.
-"Maintenant ! FERME LA ! Sinon je te frappe."
La demoiselle se faisait dépouiller sans pouvoir faire une quelconque action. L'homme trouva la bague que son père lui avait confié, rigola, et la mise dans sa poche.
-"Nan, s'il vous plaît, tout mais pas cette bague. Je vous en prie, rendez la moi." disait-elle en versant quelques larmes.
En prime, ils prirent la peluche, lui donnèrent quelques gifles, lui mirent un bandeau autour de la bouche, pour qu'elle ne puisse plus parler, et lui remirent le sac sur la tête. Le groupe de voleurs portèrent l'ado, qui était en pleurs, et la déposèrent à côté d'une maison, le sac encore sur sa tête, et les joues rougies.
La môme ne savait pas où est ce qu'elle était, pleurait les larmes de son corps. Elle devait faire quelque chose, mais ses mains et pieds étaient toujours liés. Le seul moyen pour elle était que quelqu'un la retrouve. Quant aux brigands, ils étaient content de leur coup, ils venaient de se faire un bon paquet de thune, en quinze minutes.