Shivak Garland

Posté Ven 27 Déc 2013 - 0:10 par Shivak Garland

***Shivak Garland***

Pseudonyme : Shivak, dit "The Loneliness Walker" ou encore "La Larve"
Age: 18 ans.
Sexe : Homme
Race : Humain. Tribu des Garliks, originaire d'Alabasta.
Métier : Herpétologue, science des reptiles.
Groupe : Civils
But :. A toujours rêvé d'aventures sans jamais osé se lancer. Parcours actuellement le monde à la recherche des différentes espèces de serpents.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Aucun pour le moment (je verrais au cours des aventures de mon perso), il peut simplement parler aux Serpents.
Équipements : Aucun pour le moment. C'est un simple chercheur muni de matériel scientifique.

Codes du règlement :

Parrain : Aucun

Ce compte est-il un DC ? : Non

***Physique***

Malgré son jeune âge, Shivak a un corps parfaitement formé, délicat et fragile. Dans les alentours de un mètre soixante dix, ses muscles ne sont pas bien apparent et l'on pourrait même se demandé si il en a étant donné le fait qu'il n'a jamais réellement fait de travail physique depuis sa naissance, d'ou son surnom de "Larve".

Caché derrière ses cheveux aux couleurs froides, variant du bleu azur aux reflets violacés crépusculaires, on remarque sous sa frange qu'il possède des yeux en amandes verts translucides, rappelant ceux des reptiles, froids et cinglant. Sa peau est douce, glaciale et crasseuse, témoignant des conditions de vies difficiles dans lesquelles il s'est contraint de vivre.

On ne peut rien dire sur ses vêtements, car aucun détail n'est apparent. En effet, il porte une longue robe noire, et même parfois une capuche. Toujours solitaire, il se sert de cette dernière pour rester caché de ses pairs et en joue pour pouvoir aller où il le souhaite, sans que quelqu'un l'arrête. Quand il retire sa capuche, on devine un visage de porcelaine, d'une couleur blanchâtre magnifique : Un nez aquilin parfait, une fine bouche aux lèvres rosâtres, et de petites fossettes rouges. Sous son masque d'enfant sauvage et reculé se cache en réalité une personne assez chétive et frêle. La boue et les blessures sur son corps et ce qui lui sert de vêtements sont souvent présentes. As du camouflage en milieu naturel, il a appris à se servir des éléments qui l'entourent pour masquer sa présence de la vue d'un humain ordinaire.

C'est un jeune homme peu souriant, au visage triste et marqué par un passé choquant. Il possède sur son dos de nombreuses marques, cause de nombreux coups de fouets, et de profondes lacérations. L'origine de ces dernières relate de l'enfance troublée et discriminatoire à laquelle le jeune homme à du faire face et Shivak fait tout pour les dissimuler sous l'épaisse robe noir qu'il porte.

Il porte une ceinture aussi noire que son costume à laquelle sont accrochées de nombreuses sacoches et éprouvettes qui contiennent le stricte minimum du parfait petit chimiste, mais également de quoi pouvoir récupérer du venin de serpent, le matériel nécessaire à la confection d'anti-venin mais également (et non des moindres), de puissantes neurotoxines paralysantes aux propriétés dangereuses pour qui ne saurait les manipuler.
Enfin, malgré ses origines plutôt modestes, il possède une très bonne paires de bottes en cuir noir, constitués par son père, cordonnier de métier. Ces dernières sont luisantes et lui permettent de se déplacer silencieusement et de gagner quelques centimètres...

***Psychologie***

Shivak n'est certainement pas la personne que vous voudriez avoir dans votre équipage ou que vous voudriez considérer au premier abord comme votre ami. Complètement seul depuis des années, son comportement individualiste et discret en ont fait de lui une personne associable et déséquilibrée. Dénigrée et repoussée depuis son plus jeune âge par les habitants de son village natal, il a longtemps vécu comme le souffre douleur, le bouc émissaire que l'on pouvait accuser du doigt sans aucune raison valable.

Ayant longuement souffert de cette situation, le jeune garçon a quitté son toit pour vivre dans la forêt, en compagnie des animaux et plus particulièrement des reptiles qu'il affectionne. Ces derniers lui rappelle sa propre personnalité : froide, impassible et rancunière. Comme eux, il est accusé à tord d'être dangereux alors qu'au fond, il ne demande qu'à être tranquille et respecté.

Nourrissant une profonde haine intérieur pour le genre humain, ses sentiments peuvent paraître confus si on lui témoigne de l'intérêt. La solitude l'ayant beaucoup affectée par le passé, il parle très peu et se contente du stricte minimum pour survivre.
Peureux, sans réel courage, il évite les contacts les plus simples, jeune régulièrement à défaut de trouver la volonté pour acheter quelques denrées auprès d'un commerçant, craignant d'être jugé, ou blessé.

Si son plus gros défaut est lié à la peur, sa plus grande force vient cependant de sa patience et sa faculté de se rendre invisible aux autres en étant d'une discrétion sans pareil. Il a appris a vivre en s'effaçant, en étant oublié, en devenant inconnu des autres et oublié de toutes les mentalités.

Il est heureux à sa manière en vivant à l'écart, proche de la nature, apprenant au contact des bêtes leurs secrets, leurs manières de vivre, de fuir, de combattre et de se défendre.
De ce fait, en matière de combat ou si il devait se battre dans le cadre de sa propre survie, il n'hésiterait pas à utiliser les plus puissants venins de serpents qu'il a pu récupérer dans ses recherches et à empoisonner ses ennemis avec. Redoutable en duel, il peu l'être encore plus en milieu hostile et sur un territoire de type jungle ou forêt car il bénéficie d'une grande expérience en matière de survie et de déplacements silencieux. Il préférera jouer avec les nerfs et la patience de ses ennemis pour leur porter un coup fatal qu'ils ne pourront pas voir venir plutôt que de jouer à la loyal dans un duel.

Gorgé de rancœur envers les humains, il n'hésitera pas une seconde à attaquer le premier qui osera porter un mauvais regard ou une injure envers sa personne. Aussi peureux qu'agressif lorsqu'il se sent en danger, il agira de manière similaire à un serpent que l'on aura dérangé ou perturbé sur son chemin : en sortant les crocs et en injectant son venin.

***Biographie***

Histoire à écouter avec cette musique.

Spoiler:

Par ou commencer ? Par le début de l'histoire surement, mais cette dernière ne démarre pas à ma naissance comme on pourrait s'y attendre. Il faut pour cela remonter à de nombreuses années en arrière, à une époque ou les célèbres pirates de la pire génération voguaient sur les mers de Grand Line et semaient la terreur dans certaines régions reculées. Afin d'asservir tout un peuple dans le Royaume d'Alabasta, un ancien Grand Corsaire répondant au nom de Sir Crocodile, nécessitait la préparation d'un plan soigneusement conçu et débordant d'ingéniosité et de cruauté. Dans ces royaumes désertiques, on pouvait trouver l'une des rares oasis de ces terres brûlantes : un endroit qui abritait le peuple des Garliks.

Longtemps, ce peuple vénérant des divinités païennes et aux coutumes pour le moins étranges, avaient décidé de vivre loin des autres en se contentant de vivre à la manière des nomades, profitant des sources d'eau et des crues des rivières pour y établir des camps de fortune et bénéficier du peu de richesse que cette Terre avait à offrir.

Par malchance, ces derniers s'installèrent en dernier lieu le long de la rivière de Rainbaise ou des habitants du Royaume d'Alabasta vivaient déjà en harmonie. Le peuple Garlik n'avait jamais été bien vu par la Royauté des Nefertari et il n'avaient pas non plus le soutient du peuple qui les craignaient. Leur chef, un guerrier vaudou avait mangé le Fruit du Serpent s'en servait pour terroriser les villageois et s'emparer de leurs biens pour permettre à sa tribu de survivre en temps de sécheresse. Mais c'était sans compter sur la présence de Crocodile qui dans son plan pour devenir un symbole de révolution se débarrassait de toutes les menaces du royaume. Aussi, lors d'un raid il assécha toute vie de leur campement et on entendit plus jamais parlé du peuple Garlik.

Pourtant près de cent années plus tard, lorsqu'on lui raconta l'histoire de ces ancêtres, Shivak Garland, compris à travers les dire de sa mère qu'il était un descendant direct de ce peuple oublié et qu'au moins l'un d'entre eux avait survécu de par le passé, afin de perpétué les mémoires et les traditions de ces derniers.
Mais le jeune homme n'avait aucun intérêt dans ces histoires et ne voyait là qu'une histoire de plus à mettre sous le compte des légendes oubliées. Il était alors âgé de 8 ans.

Quelques semaines plus tard, devant suivre les promotions salariales de son père, il alla s'installer avec sa famille sur une petite île appelée Rashikk, située à Est Blue. Cordonnier de métier, on lui avait proposé un poste au sein d'un village de la tribu des nu-pieds et il ne pouvait pas manquer une occasion aussi belle pour apporter de l'argent à sa famille qui en avait bien besoin.
La mère de Shivak, Garlik tout comme lui, était souffrante d'un mal inconnu et qui la rendait fiévreuse. Elle ne trouvait pas ou très peu de travail car les maux de têtes répétitifs l'empêchaient de se concentrer ou de tenir debout et éveillée toute une journée. Désireux de pouvoir faire quelque chose pour se rendre utile, l'enfant alla donc sonder les environs à la recherche de plantes médicinales ou de tout autre médicament qui aurait pu soulager les problèmes encourus par sa mère. Par le plus grand des hasards (ou alors, était-ce tout simplement un coup du destin) , son chemin emmena jusqu'aux portes d'une jungle à la fois attirante et luxuriante. Là bas, il découvrit un incroyable secret et compris la vérité sur les dires de sa mère quant à la légende des Garliks. Sans même s'être jamais exercé et de manière naturelle, il avait pu communiquer avec un serpent et ce dernier, aussi surpris que lui, l'aida à trouver les plantes aux propriétés curatives dont il avait besoin.

A 10 ans, Shivak était haïs de ses camarades de classe. Jamais il n'avait su s'intégrer à la vie sur Rashikk et ses parents ne supportaient plus non plus ses mauvais résultats et ses fugues répétées. Même si sa mère connaissait son habileté de pouvoir s'exprimer auprès des serpent, elle était toujours inquiète pour lui et était systématiquement dans la crainte qu'il ne puisse lui arriver malheur. Le jeune homme ce portait pourtant tout à fait bien et son seul ami était désormais un python cornu à l'attitude loufoque et aux couleurs du soleil qui portait le nom atypique de Soprano. Des heures durant, il conversait avec le reptile du matin jusqu'à la tombée de la nuit sans jamais s'en lasser. Ensemble ils se liaient d'une sérieuse amitié et ils se promirent un jour de vivre une grande aventure et d'explorer le monde pour rencontrer toutes les espèces de serpents. Shivak devait encore pour cela grandir et apprendre à l'école, même si cela ne l'intéressait pas. En réalité, ce dont il avait le plus peur, c'était des gens du village qui le regardaient comme si c'était une bête noire, un porteur de malheur, un pestiféré ou un moins que rien. Etait-ce parce qu'on l'avait vu un jour se promener en ville avec Soprano autour du cou ? Ou parce qu'il lui avait parlé ? Les habitants de Rashikk ont toujours eu peur de ce qui étaient différent. Ils avaient jamais porté de chaussure avant l'arrivé de son père et ils avaient mis des années à accepté de pouvoir marcher dedans, alors de là a comprendre qu'un enfant puisse être ami avec un serpent....

Les années passèrent et les insultes, les coups bas et les mesquineries furent de plus en plus nombreuses, Shivak était hué, parfois roué de coups et fortement disputé par de nombreuses personnes, il ne trouvait même pas de réconfort auprès de son propre foyer car ses parents le disputaient pour toutes les tâches qu'il n'accomplissaient pas à la maison. Il était selon son père, "indigne de rester", un "bon à rien"...
La maladie de sa mère, redoubla de force avec le temps et finie par avoir raison d'elle. C'était la dernière humaine qui lui témoigna de l'affection, le reste de sa vie fut le théâtre de grands chamboulements qui allaient faire de lui un être aussi méprisable qu'incompris.

A 16 ans, après avoir été fouetté sur la place publique pour un vol qu'il n'avait pas commis, il décida de fuir l'île avec Soprano comme ils se l'étaient toujours promis. Mais les hommes du village, croyant aider Shivak avaient décidé de mener une vendetta contre toutes les espèces reptiliennes de l'île, si bien que le drôle de serpent et meilleur ami du Garlik fut lui aussi capturé. Jamais il ne su ce qui lui était arrivé, mais les dires des villageois étaient clair : ils avaient exterminé la vermine.
Seul, désemparé, comme poignardé en plein coeur, Shivak aurait voulu mourir ce soir là et ne plus jamais avoir à subir autant de discrimination et d'injustices à son égard. Il détestait cette île et ses habitants, il ne voulait plus jamais avoir affaire à eux.
Sans demandé son reste, rassemblant le peu de courage avec l'amertume qui le guidait, il prépara ses affaires dans la nuit et disparu de la circulation, comme si il n'avait jamais existé.

Les quelques jours qui suivirent son départ ne furent même pas marqué par des recherches. Seul son père tenta de le retrouver en vain, ce dernier décida même de repartir en mer pour son commerce et d'après ces dernières paroles aux commères du coin, il était heureux de s'être débarrasser de "cette malédiction" comme il le disait souvent.
Shivak appris donc à vivre dans la jungle, à se nourrir du peu de vivres comestibles qui s'y trouvaient, à chasser, à construire un abri fiable et solide pour résister aux intempéries. Sa force et sa volonté se décuplèrent avec cette manière de vivre et il développa des capacités de camouflage et de discrétion intéressantes qui lui permirent de vivre loin des "humains" et à l'écart de tous ceux qui auraient pu lui vouloir du mal.

En mémoire de Soprano, Shivak décida donc d'accomplir leur rêve commun. Après avoir dérobé à son ancienne et détestable école, du matériel scientifique (seule matière ou il excellait), il commença à étudier les serpents et autres lézards qui peuplaient l'île de Rashikk avant de décider de s'étendre à d'autres contrées en se faufilant habillement sur des navires de pêcheurs, de la marine ou de pirates qui passaient d'archipels en archipels. Aujourd'hui basé dans une forêt sur une île dont il ignore le nom, le jeune Garlik agé maintenant de 18 ans, nourrie toujours la même passion et la même volonté pour les reptiles. A sa manière, il continue de vivre de manière reculée, sans contact avec quelque individu que ce soit, conversant avec les serpents du coin et vivant sa vie de la manière dont il la toujours, plus ou moins souhaité.

***Test RP***

[En attente]

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Informations IRL

Prénom, Âge : Alexis, 23 ans.
Aime : Le Chocolat, la paléontologie, les Arts de la Scène
N'aime pas : Ranger ses affaires ^^
Personnage préféré de One Piece : Trafalgar Law
Caractère : Sociable, Dévoué, Toujours le premier à rire et à faire rire.
Fais du RP depuis : 8 Ans
Disponibilité : (2 jours par semaine minimum)
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Dernière édition par Shivak Garland le Mer 1 Jan 2014 - 14:48, édité 1 fois

Posté Ven 27 Déc 2013 - 2:31 par Rockfor Egry

Hello Shiwak ! Tout d'abord, la bienvenue sur OPR, un forum qu'on s'y sent bien. J'espère que tu t'y plaira.

Ensuite, avant de te donner ton test rp, j'vais simplement te dire que si tu as une quelconque question, ou un quelconque problème à signaler, le staff est à ta disposition sur la chatbox, par MP et également sur ta présentation. Donc n'hésite pas ! Aussi, j'salue la référence à Devil Devil dans ton pseudo. J'aime bien l'perso.

Fin bref, y a pas de raison de tergiverser plus longuement, voilà ton test :

Alors que tu te balades tranquillement dans la forêt comme tu aimes à le faire, tu entends au loin un groupe de chasseurs qui débattent de qui est un bon chasseur et qui ne l'est pas. Et sur les paroles de l'un d'entre eux qui explicite qu'un "mauvais chasseur, il voit un truc y tire", tu entends un coup de feu et une explosion soudaine (qui s'avère être due à un mauvais mélange de poudre et d'alcool) qui lance un début d'incendie dans les bois. Quelle est ta réaction face à ce début de désastre et à ces abrutis qui se rapprochent à grands pas de toi sans se soucier des conséquences de leurs actes?

Voilà, voilà. En espérant que ça te convienne, j't'avoue ne pas être très inspiré ce soir.

Si tu veux changer, ou si tu veux nous signaler quoique ce soit, on est là en tout cas. Salut donc, et bonne chance !

Posté Lun 30 Déc 2013 - 14:03 par Shivak Garland

[HRPG] Bonjour, merci de m'avoir répondu, j'ai mis un peu de temps pour vous répondre. Avec les fêtes et la famille pendant cette période, c'est difficile de pouvoir être aussi présent que souhaité. Ca ira certainement mieux à l'avenir. ;) [/HRPG]

Rappel du Test Rp :

Alors que tu te balades tranquillement dans la forêt comme tu aimes à le faire, tu entends au loin un groupe de chasseurs qui débattent de qui est un bon chasseur et qui ne l'est pas. Et sur les paroles de l'un d'entre eux qui explicite qu'un "mauvais chasseur, il voit un truc y tire", tu entends un coup de feu et une explosion soudaine (qui s'avère être due à un mauvais mélange de poudre et d'alcool) qui lance un début d'incendie dans les bois. Quelle est ta réaction face à ce début de désastre et à ces abrutis qui se rapprochent à grands pas de toi sans se soucier des conséquences de leurs actes?

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Après plusieurs heures de marche à sillonner la Forêt, cherchant de nouveaux spécimens rares de reptiles à étudier, me voilà enfin arrivé à l’abri des arbres que j’avais repérés au loin, depuis le sommet d'une colline. L’atmosphère me semble lugubre car pas un bruit ne retentit, si bien que même les oiseaux ne piaillent pas. Je pénètre avec précaution dans ce petit bois, en faisant attention à ne pas mettre les pieds n’importe où. Les humains, étant de parfaits petits vicieux, seraient capables de cacher des pièges sous la broussaille pour s'en prendre aux bêtes sauvages et, franchement, je préfère mourir en combattant que de cette façon. Aussi silencieux que possible, je m’aventure dans cette végétation, luxuriante aux premiers abords, mais terriblement dangereuse si on l’a considère de plus prés. Tout ici peut précipiter ma chute. Je ne dois donc pas me fier à ce décor paradisiaque, bien différent de ma terre natale et de mes habitudes. Sur d'autres îles, j’avais l’habitude de côtoyer les lacs, les étangs et la mer. Pour l’instant, je n’ai rien vu de tout ça, ce qui a le don de m’agacer au plus haut point. Où pourrai-je me nourrir s’il n’y a pas de point d’eau ? Où pourrai-je fuir à la nage si je suis assailli ? L’eau, c'est la survie et la forêt c’est mon domaine. Avec elle, je me sens fort. Je me sens libre. Sans elle, je ne suis déjà plus grand-chose. Ne me laissant pas abattre par le désespoir, je décide de m’asseoir au pied d’un arbre, histoire de décompresser un bon coup. Je me remémore ces dernières heures, à redouter la mort à chaque instant. C’est assez stressant en fait. Je laisse échapper cette anxiété.

Je soupire. Par chance, j’aperçois de grandes feuilles à l'aspect préhistorique qui faisaient office de véritable réservoirs à eau. Une aubaine après cette marche éreintante. Je perce la réserve à l'aide du couteau (que j'ai récupéré lors d'une virée nocturne dans un village du Royaume voisin) et bois une gorgée d’eau pour ne pas me dessécher davantage. La faim me tenaille l’estomac, mais je me promets de ne rien manger avant la nuit. Je me connais : si je mange maintenant, au moment de dormir, j’aurai de nouveau faim. Autant attendre et dormir le ventre bien rempli. Je ferme les yeux quelques instants, au risque de m'endormir. Et là, je l’entends. Un petit crépitement. Très léger, très fin. A peine audible. J’ouvre les yeux et fronce les sourcils. Je tends l’oreille avec plus d’insistance. Se pourrait-il que… Je me lève d’un bond et empoigne ce qui me sert d'affaires. Je me retourne et marche en réalisant de grands pas. Néanmoins, je reste toujours prudent. Tout en virevoltant la tête de tous les côtés, je m’approche du bruit qui me semble familier. Il se fait plus bruyant, plus présent. Je n’ose y croire tant que je ne l’aurais pas vu. Enfin, au détour d’un arbre, m’y voilà. Un ruisseau ! Je me retiens de sauter de joie tellement je suis heureux. Bon, certes, je ne pourrais pas nager dedans et il y a très peu de chance que je puisse y pêcher du poisson. Mais, si je continue à suivre le ruisseau, je déboucherai forcément sur sa source ou sur son delta. Dès lors, je pourrai m’affairer à trouver un moyen de gagner une nouvelle île. En revanche, je ne me risque pas à la boire. On ne sait jamais. De toute façon, j’ai encore assez d’eau pour un petit moment, donc il n’est pas pressant que je me serve ici. Et puis, j’ai bien l’intention de rester dans le coin. Inutile d’aller me réfugier dans les plaines où je risque sans arrêt d’être pourchassé par le premier monstre ou être humain qui pourrait trainer dans les parages. Non. Ici, je suis bien.

Je m’ennuie un peu, je dois dire. Non pas que je préfère les combats, bien sûr, mais d’ordinaire, j’ai toujours un serpent avec qui converser. Surtout dans ce genre de décor naturel. Cela me ramène des semaines en arrière où je me postais dans un coin pour échanger mon savoir et mes recherches avec quelques spécimens gigantesques et colorés. Je me demande ce qu'il adviendra de mes recherches si jamais j'étais capturé ou si il m'arrivait malheur. C’est un peu mon héritage en quelque sorte, même s’il ne sera jamais considéré comme tel. Je soupire de nouveau. Bon, toute façon, je ne quitterai pas cet endroit aujourd’hui. Je cherche un lieu où m’isoler en furetant à droite et à gauche. J’aperçois un ensemble de buissons à quelques mètres du ruisseau. Je m’y dirige avec précaution et y distingue un petit espace où je pourrai facilement me caser. Je m’y faufile. Ainsi, personne ne pourra me voir, à moins de remuer les plantes qui m’entourent. Je me sens apaisé. En plus, d’ici, je vois encore l’écoulement de l’eau. Avec un peu de chance, j’y percevrai des animaux. Soudain, sans que je ne m'en rende compte, ma main frôle un objet coincé dans les branches. Je hausse les sourcils. Après quelques secondes à me débattre comme un forcené pour essayer de l'atteindre, je parviens finalement à le récupérer cet objet mystérieux, que je retire délicatement. Un écaille de très grande taille... Je ne l'avais pas encore complètement oublié, mais j'étais sur un terrain de chasse ! Je lève les yeux et adresse une prière quelconque à qui voudra bien l'entendre... Je roule cette partie de peau reptilienne entre mes doigts. Désormais, je sais ce qu'il me reste à faire. Ce symbole représente dès lors ma détermination pour la suite. Je ferai tout pour ne pas me faire avoir. J'ai survécu à l'île de Rashikk et à ses habitants qui me pourchassaient et me détestaient ! Caché dans mon coin, j'ai l'attitude du lâche, je le conçois. Mais, méfiez vous de l'eau qui dort. De toute façon, je n’ai plus qu’à attendre car il est hors de question que je m'aventure dans la jungle aujourd'hui. Je ferme les yeux et me repose un coup, bien lové contre ma grande cape noire. La Partie de Chasse continuerais plus tard.... Ou pas.

Un craquement. Une série de voix. Pas de sifflements, ni de chants d'oiseaux. Pas de doutes : il n'était plus seul. Après quelques enjambées silencieuses, Shivak arrive à l'orée d'une clairière, un peu plus au nord du ruisseau. Le bois y est plus sec, plus vieux, les animaux qui y vivent sont plutôt de grands sangliers, des cerfs et des renards qui se nourrissent de baies en tout genres et d'autres plantes de type fougères. Furtif, glissant entre deux rochers mousseux, j'observe à travers une faille le spectacle qui se déroule sous mes yeux.

Trois chasseurs, armés de fusils de machettes et de multiples pièges, enivrés par une quelconque boisson alcoolique se tenaient là, l'air abruti, s'y reprenant à deux fois pour se servir un verre ou recharger leurs fusils. L'un d'entre eux, sans doute le moins sobre du groupe charriait l'un de ses confrères, venu vraisemblablement chassé une gallinette cendrée (un gallinacé fort apprécié de la région), lui démontrant par A+B que si il en trouvait une aujourd'hui c'est qu'il était sans aucun doutes possible, toujours cocu.
Le deuxième d'entre eux, ivre lui aussi, parlait avec un grand arbre et lui expliquait que la chasse était un grand art, comme la peinture pour certains, un mode de vie typique du Bouchonois, nom du secteur de l'île dans lequel ils évoluaient actuellement.
Le troisième, plus stupide que les autres, s'agitait dans tout les sens, bien décidé à communier avec dame nature pour qu'elle lui confère assez de chance pour dénicher la fameuse proie qu'ils convoitaient. Comme il le disait à ses collègue, il fallait une putain d'âme de poète pour être un bon chasseur.
C'est alors qu'un débat sans fin se mit à débuter entre les trois convives, bien déterminé à définir la limite entre le bon et le mauvais chasseur. Ainsi, le premier lança aux deux autres :

- "Moi j'dirai qu'la chasse c'est euuhhh... l'esprit de camaraderie, c'est euuuh, la fraternité dans l'effort contre la rudesse de Dame Nature. Pour ça qu'faut pas être l'mauvais chasseur !"

L'autre, mains à la fois sur son fusil et sur sa fiole d'alcool rétorque aussitôt d'une voix soule :

- "Naaan mais le mauvais chasseur, c'est un gars, y vois un truc, y vise et y tire quoi... Alors que l'bon chasseur lui, y voit l'truc, y vise et...."

Il est coupé par le troisième, qui dans une logique implacable d'homme bourré, repris exactement la même phrase, les mêmes mots, la même intonation...
- "Le bon chasseur, lui y voit un truc, y vise et y tire quoi !"

Détonation soudaine. Le premier, imitant les dires de son camarade, dans un rire digne du plus crétin des ivrognes venait de tirer un coup de fusil mal calibré et avait atteint un petit tonneau qui devait contenir une quelconque substance inflammable. A son contact, il explosa de manière violente dans un grand mélange de flammes aux couleurs vives.

Sous leurs yeux ébahis, face au feu d'artifice, les chasseurs explosèrent à leur tour, mais de rire. Comme si ces idiots n'avaient aucune once de logique. Shivak lui, observait la scène avec horreur. Si ces hommes n'avaient pas remarqué le départ d'incendie, lui l'avait bien vu et les nombreuses voix de la forêt qui avaient elles aussi assistées à l'horrible spectacle et à la danse des flammes, commençaient elles aussi à paniquer.
Evidemment, le feu est la meilleure des armes car elle a la fâcheuse aptitude de faire reculer n'importe quel animal de ce monde (excepté les plus gros monstres marins). C'est dans un grand capharnaüm que les porcs sauvages, les oiseaux, les cerfs et petits mammifères se mirent à fuir l'épicentre du brasier. Observant la scène et ayant remarqué la présence des proie, les chasseur commencèrent leur travail de boucher...

- "Heeey t'façon y ont plus de chance de s'en tirer maintenant qu'on a bu ! N'est pas des monstres nous ! C'est comme ça qu'on régule la quantité d'bêtes dans l'coin !" Ajouta un des chasseur en dégommant au passage une jeune biche, d'une balle perdue en pleine tête.

Après quelques minutes seulement, les flammes grandissent et dévorent petit à petit la verdure, transformant ce paradis en enfer. Je ne réagis toujours pas, complètement hypnotisé par un mélange de cruauté alliant le feu et la folie des hommes. De véritables monstres, voilà ce qu'ils étaient. Il n'y a pas d'autres mots pour décrire de tels personnes.
Me glissant hors de sa cachette, essayant de refouler mes émotions, je capte avec horreur les cris d'une famille serpent que j'avais étudier plutôt dans la matinée, leurs cri de douleurs et d'horreur me fond comprendre qu'il est déjà trop tard pour intervenir.
Laissant mes pensées divaguer, je commence à penser que ou se cache la Mort pour le moment, je sais qu’elle m’observe et qu’elle ne tardera pas à frapper. C’est comme une intuition, un pressentiment. Un mauvais pressentiment. Mais je ne suis pas de taille à lutter contre elle, je le sais bien. Je devrais donc me contenter de la regarder m’ôter à ce monde pour toujours. Mourir, mourir, mourir … Quelle douce mélodie … Ou alors...
Tout un prix dans la vie, les choix en ont un aussi. Enfin ces créatures, J'aurais pût les laisser, me mettre à l'abri et continuer mon chemin, mais en quoi cela me regarde ? Sérieusement ? Qu'est ce que j'en ai a foutre ? Rien ! Strictement rien ! Alors vous voulez savoir pourquoi je l'ai tué ? Ô douce folie, beauté macabre. Vous ne comprenez pas ? Moi non plus ! Que voulez-vous que je vous dise, faut-il une raison valable pour aimer tuer ? Si c'est le cas désolé de vous décevoir, mais je n'en ai pas. Entendre les hurlements de mes victimes déchirer le silence qui règne, leur respiration trahissant la terreur qui naît, pouvoir lire dans leur yeux la compréhension, qu'elle compréhension ? Celle de la mort prochaine, oui, voir leur regard affolés à l'idée de s'éteindre. Un frisson me traverse la colonne pour venir explosé au creux de mes omoplates. Toujours aucune idée de ce dont je parle ? Bien ! Prenez les armes et saignez votre première victime videz la de son sang, voyez ce liquide, source de la vie et clé de la mort se répandre sur le sol, couler sur vos mains désormais souillées pour avoir ôté ce qu'il y a de plus précieux sur terre. Goûtez à la destruction. Prenez votre temps et observez. Tremblement, spams ... Regardez la lumière quitter les yeux de votre victime et laissez cette folie, malsaine, mais pourtant si attirante, si addictive prendre place. Pure folie ? Horreur ? Moi je dis fascination, pulsion. La fascination peut être malsaine et la pulsion incontrôlable, mais dans tous les cas on reste conscient pour observer, présent pour s'extasier. Je sais que vous ne comprenez pas, que vous ne comprendrez pas. Je ne suis pas sûr moi-même de pourvoir l'expliquer. Alors je lâche la pression du couteau enfoncée dans la gorge du premier chasseur et je contemple mes mains ensanglantées et le visage blême des deux autres futures victimes. Un horrible rictus, presque sadique, se dessine sur mon visage. Mes yeux reptiliens brûlent de rage et d'une envie incontrôlable de vengeance. Je laisse le corps du chasseur retombé au sol comme un vulgaire déchet, le laissant baigné dans ce qu'il reste de lui.

Plus question de laissé ces "humains" détruire la nature et les trésors qu'elle recèle. A partir de maintenant, a la manière des serpents, je me tapirais dans les plus sombres recoins, j'épierais mes victimes, j'attendrais le moment opportun et je planterais mes crocs venimeux dans leur chaire. Désormais, je ne me cacherais plus. Je serais la dernier visage que vous observerez si vous avez le malheur de poser un pied sur mon territoire. J'entends votre souffle, je capte vos peurs, je connais vos faiblesses. Je suis le reptile tapi dans l'ombre. Je suis Shivak Garland, dernier Garlik. Désormais, vous êtes mes proies et je suis le monstre que vous avez toujours voulu que je sois...

Quelques jours plus tard, le village le plus proche retrouva les 3 chasseurs, morts visiblement dans ce qui ressemblait à un feu de forêt. Étrangement, ce dernier ne se serait pas propagé, comme si quelqu'un avait réussi à stopper sa progression d'une quelconque manière. Certains habitants ont disparus sans explications suite à cet incident. On raconte désormais qu'un monstre sévit dans la forêt et qu'il est dangereux. Quiconque s'y aventure ne revient jamais...

Posté Jeu 2 Jan 2014 - 2:48 par Blacrow L. Rachel

Bouh Shivak!
Je viens pour ton premier avis. Parce que même si c'est un temps de fêtes, faudrait pas voir à t'observer t'ennuyer parce qu'on ne t'a pas validé en quatre jours. Même si pour ça il faudra attendre un avis supplémentaire!

Alors sans plus attendre, je vais attaquer ton commentaire!
Et je vais l'attaque en force. Je ne fais pas souvent des présentations, alors pour une fois je vais faire les choses bien et te faire une liste d'à peu près toutes tes erreurs (j'ai dû en laisser passer trois quatre par flemme et/ou redite, donc tu peux considérer que c'est complet):

-Dénigrée et repoussée[...], il a longtemps vécu --> Dénigré, repoussé
-La solitude l'ayant beaucoup affectée --> Affecté. l' renvoie à Shivak
-Ces derniers lui rappelle --> lui rappellent
-une profonde haine intérieur --> une haine intérieure
-du stricte minimum --> le strict minimum
-une discrétion sans pareil --> sans pareille
-il peu l'être encore plus --> Il peut l'être
-jouer à la loyal --> à la loyale
-Shivak était haïs --> était haï
-Le jeune homme ce portait --> se portait
-ils avaient mis des années à accepté --> à accepter
-La maladie de sa mère [...] finie --> la maladie finit [par]
-Jamais il ne su --> il ne sut, pour le passé simple
-Sans demandé --> sans demander
-il prépara ses affaires dans la nuit et disparu --> il disparut
-s'être débarrasser --> s'être débarrassé
-Shivak appris --> apprit, passé simple à nouveau
-le jeune Garlik [...] nourrie --> il nourrit
-Tout en virevoltant la tête de tous les côtés --> une tête peu virevolter mais pas être virevolté. la tête virevoltant de tout côté, même si ça me semble légèrement approximatif comme terme
-venu vraisemblablement chassé une gallinette cendrée --> venus chasser
-de tels personnes --> de telles personnes
-je capte avec horreur les cris d'une famille serpent que j'avais étudier plutôt dans la matinée, leurs cri de douleurs et d'horreur me fond comprendre --> la phrase est bancale, en plus d'avoir une répétition du mot "cri". J'avais étudié. Leurs cris de douleur. Me font comprendre.
-J'aurais pût --> j'aurais pu
-pour venir explosé --> pour venir exploser
-Je laisse le corps du chasseur retombé --> je le laisse retomber
-Plus question de laissé --> de laisser
-A partir de maintenant, a la manière des serpents, je me tapirais dans les plus sombres recoins, j'épierais mes victimes, j'attendrais le moment opportun et je planterais mes crocs venimeux dans leur chaire --> à la manière des serpents. Je me tapirai/j'épierai/j'attendrai/je planterai, c'est le futur des verbes du premier groupe à la première personne. Leur chair.

Et comme tu peux le voir, quelques inversions er/é et des petits soucis de féminin ou de terminaisons. Mais vraiment, ça reste du très bon niveau forme et je pense pour la plupart que ce sont des coquilles plutôt que de vraies lacunes. A la limite, tu commences ton histoire à la première personne pour revenir à la troisième, ce qui fait bizarre, mais c'tout.
Parce que tu as une bonne maîtrise des mots et des phrases. Tu places facilement des descriptions de ce qui t'entoure et tu le fais bien. Tu as un bon rythme et pas une fois j'y ai trouvé une lenteur. Je n'ai même rien trouvé à redire dans les descriptions physiques ou psychologiques.

Sinon, ton personnage, je l'aime bien. évidemment, j'ai plusieurs images d'autres personnages que je connais et qui me viennent en tête en te lisant, c'est pas de ta faute en soi, mais si je l'aime bien, je pense que tu aurais pu tâcher de le rendre plus spécial, plus original. Plus unique. le fait de parler aux serpents est un bon point de départ, mais tu aurais pu trouver plus de détails comme ça. des tics, des manies, une manière de parler, de penser. Ou autre chose que ce démon de violence qui surgit tout à coup dans le test rp qui, non seulement me semble un peu en désaccord avec ce que tu nous décris de Shivak, se fait bien trop violemment. Enfin, violemment dans la tête du perso. parce que dans le récit, j'ai été saisi par cette soudaine coupure. On passe d'un univers à peu près normal, avec des animaux, voire comique avec ce trio de chasseur qui est là à ressortir des phrases des inconnus (au temps pour l'originalité du discours) à une scène soudain cauchemardesque à coups de fou rires gutturaux, des flammes incandescentes et d'animaux décimés. Je ressors du jeu "Alice Madness returns" que j'ai adoré, et j'ai eu l'impression de regarder l'une des scènes du jeu. Vraiment un grand bravo, parce que niveau atmosphère, descriptions et sensations, je te file une perle. Même si ma sensibilité reste la mienne et que d'autres aimeront certainement moins.
Mais je maintiens que ta fureur était de trop.

Au final, je dénote une aptitude à l'écriture démarquée par de bonnes descriptions, un rythme soutenu et un personnage assez fin même si je déplore l'approfondissement de l'originalité des traits principaux, qu'ils soient ceux du personnage, de la trame ou des lieux. Tu as une bonne plume avec laquelle tu sembles à l'aise et tes textes sont assez propres au niveau de la forme, du style ou du fond. Ainsi, en accord ou non avec le second @ qui passera après moi, je tablerai sur du 650 Dorikis.

Si tu as des question, des envies, des motivations, des éternuements, des formules de politesses ou tout simplement une envie de remercier (sait-on jamais), je suis pas loin, comme d'habitude. ^^

Bouh!
Rachel ♥

Posté Jeu 2 Jan 2014 - 13:13 par Shivak Garland

Bonjour Blacrow, le Staf.
Tout d'abord, un grand merci à toi d'avoir répondu à mon test RP car je suis conscient du temps et de l'énergie que ça représente. (Je tiens d'ailleurs à féliciter l'équipe à ce sujet, car ayant aussi un RPG à gérer, je connais bien ce genre de boulot et ce n'est certainement pas le plus facile.)

Merci de m'avoir fait remarqué le nombre, encore trop présent de mes fautes d'orthographe. En temps qu'ancien Dyslexique j'ai fait énormément de progrès à travailler mon écriture sur du RP mais je dois avouer qu'il restera toujours quelques traces et un certains nombre de fautes même après relecture, bien que ce soit en bonne phase d'évolution.
Je ne voulais pas me présenter avec ce défaut car ça fait toujours genre "je ne relis pas mes textes" , "je me moque de l'orthographe" mais c'est à chaque fois une petite victoire pour moi de me rendre compte que je fais de moins en moins d'erreur.

J'apprécie énormément l'analyse qui a été faite de ce personnage, j'aimerais vraiment lui apporter une touche d'authenticité et d'originalité et aussi, si vous me le permettez, je souhaiterais pouvoir retravailler sur sa fiche (ajouter quelques traits de personnalité et de caractère sans dénaturaliser l'histoire ou changer ce que j'ai déjà mis en en place, en gros : suivre les conseils déjà donnés.)
Je suis un peu perfectionniste et j'aimerais démarrer l'aventure avec vous avec un bon personnage que l'on puisse cerner. Blacrow m'a prouvé qu'il était encore brouillon, qu'il manquait de profondeur et de petites touches définies.

Aussi après le 2ème avis, je souhaiterais pouvoir retravailler certains aspect de la présentation de Shivak avec votre permission.

De nouveau un grand merci à vous et comme il se doit, je vous souhaite une Bonne année, la santé, l'amour, l'argent et tout le bonheur qui soit ! ;)

Posté Jeu 2 Jan 2014 - 22:03 par Uriko

Haluuuut !

Moi suis là pour ton second aviiis ! Pour ce qui est de retravailler certains éléments de ta biographie, il faudra voir avec un des admins car je suis pas sûr si tu peux °°
D'ailleurs normalement, tu n'es pas sensé éditer ta présentation suite à un premier avis pour que je puisse te juger sur le même travail que mon collègue °^°

Brefouille c'pas grave ! Passons au plus important =3

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Alooors ! Niveau point forme, j'ai relevé quelques erreurs d'accord, des pitites fautes du type "se/ce" mais rien de trop grave, donc c'plutôt bien, tu écrit bien, c'est fluide, donc ça me va, en plus Rach', il a touuuut dit ! *^*
Niveau descriptions, rien à redire, contrat rempli !

Donc maintenant, j'en viens au point fond !
Pour ce qui est de communiquer avec les serpents, n'oublie pas de passer par la case demande de capacité, car c'pas anodin et comme on a un fruit spécial qui permet de communiquer avec les n'animaux, ce serait juste pour la forme, histoire de dire que ça fait partie de ton cumul de capa :3

Sinan, chuis pas spécialement fan du fait que tu parles de crocodile et du fait qu'il ait décimé ta tribu, du moins, évoquer un peu de l'histoire d'il y a 100 ans. Mais ça c'moi x3
Sinan² j'pense pas que y ait spécialement à dire sur ton histoire, le tout est bien cohérent, même si le coté tous contre un est une forme que je trouve manque d'originalité et un peu trop acharné, dans One piece, les trucs bizarre, ça court les rues... D'ailleurs c'est ça ! Il manque un peu la fibre One piece dans ton histoire, si ce n'est l'anecdote passé tribu d'il y a 100 ans à Alabasta, on a pas l'impression que ton histoire se déroule dans cet univers ! ><
Mais t'es pas le premier donc c'pas grave t'inquiète pas ! x3 Mais c'juste un ptit point que j'trouve dommage.

Au niveau du test Rp je suis du même avis que Rach', la fin un peu folle obscure était ptet un peu en trop et on passe à coté du cœur du test Rp, car on se retrouve avec un paragraphe sur la folie du personnage avec ellipse en prime et 3/4 sur ton passage en foret à vivre ta vie, donc pour moi c'un peu passé à coté, même si le tout est bien écrit ! °^°

D'ailleurs, moi ça m'a dérangé le coté je passe de la 1ère personne à la 3ème, en général, on s'en contente d'une ou alors prendre le point de vue d'un PNJ, c'bien ça ! >:3
Mais comme c'était que sur un paragraphe ça allait ! *^*

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Du coup, au bilan, le tout est quand même bien écrit et y a pas de réelle faute !
Du coup... Hmm... Allez j'te valide pour 650 bonbons comme Rachel ! C'mérité *^*

Du coup j'te fais ton gros calin de bianvenuuuu ! *Huggy*
Et pis ne te souhaite touuuut plein de bonne continuation et tout et tout *^*

Posté Jeu 2 Jan 2014 - 22:45 par Shivak Garland

Merci pour cet avis.
Je vais en tenir compte pour la suite.

Si je comprends bien, je dois maintenant passer à la fiche personnage ? J'ai vu aussi que je ne pouvais pas ajouter mes Dokiris, je suppose donc que c'est à un modo ou admin de le faire ?

Vu que je suis encore un peu perdu dans ce graaand forum RPG, ou dois-je me rendre pour faire la demande pour le pouvoir de parler avec les serpents ? Y a t-il un forum en particulier ?

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