>> Molokost
Pseudonyme : " Momo " ou tout simplement " Molokost " Age: 25 ans Sexe : Homme Race : humain Métier : Docteur bénévol - Inspecteur bénévol Groupe : Civil But : Trouver les armes antiques et les détruire. Trouver un historien pour connaître l'histoire du siècle perdu. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Léger charisme + Psychometrer (de la même façon que psychometrer Eiji pour ceux qui connaitraient) Équipements : - Un revolver noir à canon long, 9 coups, avec une bonne puissance de tir. (planqué à coté des parties) - Un sac qu'il porte sur l'épaule, contenant un simple kit de chirurgien. - Un sniper montable qu'il peut démonter et ranger dans son sac. Codes du règlement (2) : Parrain : Mettez le nom de votre parrain ici, si vous en avez un bien sûr Ce compte est-il un DC ? : Non mais c'est un changement de personnage. (Woody) Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique Molokost possède un corps tout à fait normal. Du haut de ses 2 mètres et de ses 80 kilos, Momo parvient à pousser 130 au développé couché. Oui, il maintient son corps avec un peu de musculation de temps en temps. Mais ce n'est pas pour autant qu'il possède une force phénoménale, car elle est juste légèrement supérieure à la moyenne. Il n'est pas un homme beau gosse, sec avec une tablette de chocolat mais plutôt le type de personne qui ne se contente pas d'un léger plat pour maintenir sa ligne. Il ne se rase que toutes les deux semaines et se coupent pas souvent les cheveux ce qui augmente son âge de dix ans. Il ne fait que ses 25 ans lorsqu'il soigne son visage (pas de barbes, moustaches, pas de cheveux longs). Momo a tout de la physionomie du civil innocent et sérieux, ce qui est un grand avantage. Mais les seules choses qui démarque Molokost, ce sont ses yeux profonds qui reflètent un esprit déterminé mais aussi curieux et sa mèche qui pend tout le temps légèrement vers son coté gauche. A part ça, il est souvent couvert d'une veste verte. Pour le reste, ça varie entre la chemise relaché en dehors du pantalon ou bien le maillot simple. Sinon, il parle très poliment même si c'est parfois un peu froid par moment. Dernière note très importante : momo porte des caleçons et non des slips. >> Psychologie Molokost est un type qui avait autrefois, aucune raison de vivre. Mais il est maintenant prêt à tout pour découvrir l'histoire du siècle oublié et détruire les armes antiques. Il est certain que comme ça, personne n'aura la fâcheuse envie de s'en approprier pour des fins diaboliques. Jusqu'à maintenant solitaire, il n'a rien contre l'idée de se faire des amis, tant que ça n'entrave pas ses objectifs. Cependant, il est juste un peu méfiant et n'accordera donc pas son amitié au premier venu même si le sourire et la discussion peuvent tromper. Momo n'a rien contre la marine mais l'évite tout simplement car le port de ses armes doivent être justifiés par un permis qu'il n'a pas. Mais s'il se voit arrêté c'est qu'elle fait bien son boulot de toute façon, et il ne reportera pas la faute sur elle. Par contre, Molokost n'aime pas trop les pirates pour simple raison qu'ils pillent, massacrent et détruisent tout sur leur passage. Une vie très malsaine quoi ! Mais il en a déjà soigné plus d'un, avec une petite leçon de morale juste avant sur les actes de barbaries qu'ils commettent. Quand à la révolution, il en a entendu parlé que très vaguement et ne porte donc aucun jugement trop hâtif sur celle-ci bien qu'il se dit qu'avec n'importe quel gouvernement, il y aurait de toute manière des révolutionnaires ou des anarchistes. Mais passons. Molokost essaye de perfectionner sa façon de penser vers le bien et l'intelligence mais il est limité dans le temps par ses principales occupations (soins, enquêtes, recherches). Les rares fois ou il est provoqué, il ne répond aucunement par la provocation mais va droit au but en déclarant qu'il n'aime pas s'énerver inutilement et que le mieux est de résoudre les problèmes par la parole. Et puis si ça part en cacahuète, il n'hésite pas à frapper ou tirer le premier. Ce n'est pas parce qu'il pense au bien des gens en général, qu'il ne peut pas faire du mal. Mis à part ça ses goûts alimentaires sont assez variés pour ne pas dire qu'il aime tout ... même les épinards, c'est ainsi dire !! Dernière note à prendre sur ce personnage : Molokost n'aime pas trop les races trop différentes des humains car elles sont souvent repoussantes. Mais en se liant d'amitié, il pourrait ne plus penser ça. >> Biographie La nostalgie me téléporte à Logue Town. C'est ici que je suis né. J'aimerais bien me présenter entièrement mais je ne me souviens seulement que de mon prénom : Molokost. Mon nom ne devait pas m'être apprécié pour que je l'oublie aussi facilement. Mes parents étaient des gens biens, j'en étais conscient et je le suis encore. Le problème venait de moi. J'ai toujours été monotone dans ma façon de vivre ne portant intérêt à rien. C'est pourquoi je me suis en allé à quinze ans de chez moi, ne laissant aucune lettre, aucune excuse, rien. Égoïste n'est-ce pas ? Je suis partis avec l'idée d'apporter quelque chose à ma vie. Un objectif sans doute ! Ou plus une raison de vivre, que sais-je ? En vivant seul, mon ennui à empiré encore plus, problème auquel je ne m'attendais pas. C'est un peu ironique hein ? J'étais à l'époque partis pour combler ce tel manque d'animosité de la vie mais, je trouvais cette vie plus inintéressante que jamais. Mais une certaine personne m'observait tous les jours, à trainer tard dans les rues de la ville. J'avais remarqué qu'il me suivait depuis quelques jours. Mais j'attendais sûrement quelque chose de sa part. Je ne sais pas quoi. Je vous l'avoue, je me sens toujours incompréhensible. Mais revenons ! Cette personne quelque peu discret, s'était finalement livré à moi en un jour gris et pluvieux. C'était un jeune homme, légèrement plus âgé que moi. Dix-sept ? dix-huit ? ... Peut être même dix-neuf ans. Comme moi, il était solitaire. Vous savez, on dit toujours qu'il existe un sosie d'apparence ou de manière de penser quelque part dans le monde. Celui qui s'était heureusement présenté à moi, mélangeait les deux. Oui, il avait exactement mon apparence mis à part quelques poils au menton ; mais il avait aussi ma mélancolie, mon ennui, mon comportement asocial. Ce jour là, le type qui s'était lui même proclamé mon sosie, m'avait expliqué son passé à peu près semblable au mien. Le type s'appelait Guilhem. Il m'invita à vivre avec lui. Il n'y avait aucune raison venant de ma part, de refuser. On s'était donc en allé de Logue Town pour vivre dans un taudis en bois, dans les montagnes qui encerclent le royaume de Goa. On se nourrissaient comme des sauvages. Fruits et légumes qu'on cueillaient au sol ou aux arbres, poissons qu'on allait pêcher à la côte tous les matins. On s'occupait le jour en amenant des blessés ou des malades du Grey Terminal à notre maisonnette. Là, nous nous mettions à les soigner du mieux que l'on pouvait. Nous étions loin d'être des médecins mais au fil des années, nous nous améliorâmes. Mais vous voulez que je vous raconte quelque chose d'étonnant ? Quelque fois en touchant des personnes ou même des objets, je recevais des flashs. Des sortes de souvenirs. Non, c'étaient comme des indices à une histoire qui s'était passé. Par exemple un jour, en transportant un blessé à notre taudis pour le soigner, j'eus une sorte de vision. Celle-ci montrait la victime que je transportais, frappé à coup de bâtons par un garde de l'entrée de la ville. Quand j’expliquai ceci à Guilhem, il m'expliqua que j'avais sûrement un don. Mais il semblait vouloir éviter tout sujet partant de cette idée. Je m'étais donc commencer à croire en sa jalousie. Je le voyais de plus en plus effrayé. Il ne voulait plus que je soigne qui que ce soit. En fait, j'avais remarqué qu'il essayait de m'éloigner de toutes futures rencontres. Et à chaque fois que ce fut le cas, sa présence se trouvait éloigné. Au fur et à mesure que les jours se passaient, je remarquais de plus en plus de choses anormales. Des fois Guilhem disparaissait même devant moi et reparaissait la nuit devant le seuil de la porte, incapable de l'ouvrir. Je lui demandais ces étranges disparitions de plus en plus fréquentes tandis que lui me parlaient en stress, de s'isoler ailleurs et de partir loin d'ici. J'avais senti quelque chose d'anormale et d'irréaliste. " Tu ... Guilhem, tu ... [..] " . Il me fallait en avoir le cœur net, je doutais ce moment depuis quelques temps. J'avais peur de ce que je voulais faire, peur de ce que j'allais dire. Mais Guilhem m'invita à dormir. Lui aussi semblait très fatigué. Le lendemain, il tenta de m'empêcher d'aller chercher un malade dans le Grey Terminal. Je m'opposa fermement à lui et déclara que je prenais en fait plaisir à soigner ces pauvres gens. Juste après ces paroles, il disparut et réapparut une dizaine de fois d'affilé, comme un fantôme qui disparait. " Tu ... Guilhem, tu ... TU N'AS JAMAIS EXISTE " criais-je en le frappant, dans un élan d'affolement. Un habitué de mes soins passait me rendre visite pour me remercier. Il me prit pour un fou à taper comme tel dans le vide et après m'avoir retenu, me demanda la raison de ce désarroi. Encore un élément qui prouva l'inexistence de ce " Guilhem " qui était né de mon imagination. Mais pour pousser les hypothèses encore plus loin, Guilhem était né plus particulièrement de ma solitude et de l'absence de plaisir à vivre que j'avais autrefois. Ce qui expliquait pourquoi depuis que je prenais plaisir à soigner des patients, ma deuxième personnalité s'effaçait de plus en plus. En fait, j'étais venu ici tout seul. J'avais construit ce taudis seul, soigné ces pauvres atteints d'infections seuls. Je m'étais nourri seul, m'étais amélioré tout seul. J'avais tout fait seul. Le choc de cette découverte perdura quelques jours, les troubles s'enchainaient mais je parvins à l'oublier. Par la suite, mon don de psychométrie s’avéra plus fréquent et je décida de profiter de celui-ci pour m'amuser à résoudre des enquêtes. Soigner et résoudre des enquêtes furent les deux facettes de mon train de vie. Je me déplaçais tel un nomade de village en village pendant plusieurs années, vivant de la charité de certains ou de cambriolages organisés. Je m'assurais d'abord que ceux que je volent, ne soient pas pauvres. Avec un recul de trois années, je devins plus matûre et m'interrogea sur une rumeur : Les ponéglyphes. Je fis de nombreuses recherches et appris difficilement plusieurs informations capitales, comme si elles étaient cachés pour une raison inconnue. Parmi ces informations, l'existence d'armes antiques et " Le siècle oublié ". Mais malgré des efforts encore plus poussés, je ne réussis même pas à avoir d'autres nouvelles. En tout cas, tant que ces armes antiques existeront, des mauvaises personnes les convoiteront. C'est pour ça que je me dois de les détruire et en apprendre plus sur ce siècle oublié. Et il est temps que je mette au véritable boulot, j'ai quand même vingt cinq ans. Votre biographie doit raconter votre vie, pas seulement un évènement précis. Essayez d'être large et de "zoomer" sur les évènements importants. Attention, elle est l'un des éléments déterminants pour votre futur niveau. Essayez d'être agréable à lire. [Minimum 20 lignes, 30-35 lignes si vous augmentez la taille de la police] >> Test RP Se lancer à l'aventure, quitter le cocon... plus facile à dire qu'à faire. Surtout que le chemin est parsemé d'embûches. Tu t'es à peine lancé depuis quelques jours qu'on te dérobe ton slip fétiche. Raconte comment tu as surmonté cette première épreuve. Me voila parti pour une vie instable de nomade. J'errais de ville en ville, vivant de quelques cadeaux par ci par la. Ces mêmes cadeaux que je recevais lors d'opérations bénévoles que je menais à bien. J'étais comme un médecin de l'ombre sauf que je ne demandais rien. Ni argent, ni bien. Je vivais seulement de ce qu'on me donnait en remerciement. Le plus souvent de la nourriture. Quand à mon don de psychométrie, je ne l'utilisais plus vraiment. Il faut dire que les enquêtes ne couraient pas les rues. Ma vie étant bien nécessiteuse, j'exerçais quand même de petits boulots à droite à gauche pour ne pas dormir derrière une poubelle. Mon dernier travail était assez physique. A l'aide de plusieurs ouvriers, nous creusions un trou à la pelle pour y installer de nouvelles canalisations. Je vous souhaite de ne jamais faire ce boulot crevant. A part vous cassez le dos pour quelques bouchées de pains, ça n'apporte rien. Il n'était pas question de refaire un boulot comme celui-ci. Quitte à voler et à faire de l'argent sale en organisant des cambriolages. Avec l'argent de la paye, j'avais osé me payer une nuit dans un hôtel de bonne qualité. La chambre était remplies de formidables tableaux. Enfin pour ma part je ne trouvais formidables que ceux qui représentaient un paysage. Car les œuvres ou on prend plusieurs pots de peintures pour les balancer n'importe comment sur la toile, tout le monde pouvait le faire. Mais je vous rassure, ce n'était pas le pire. Il y avait aussi un urinoir renversé dans un tableau (Marcel Duchamp), une roue de bicyclette (Marcel Duchamp) sans pneu fixée par sa fourche sur un tabouret en bois et tout un tas de choses, les unes plus absurdes que les autres. Sans plus attendre, j’enlevai un à un mes habits. J'étais très fatigué ces derniers temps à tel point que j'en avais d'atroces courbatures. M'avançant à la baignoire grande et élégante, j'esquissais pleinement un sourire de satisfaction. Puis passant nu devant le miroir, je m'arrêta soudainement ... AAAAHH !!! Je venais de sursauter. En effet j'avais vu dans la glace, un type assez flippant avec dans ses mains ... Mon slip sale. Il s'enfuyait de toute vitesse dans le couloir, croyant se faire la malle. Cependant, on ne touchait pas à mon slip porte bonheur préféré. C'était interdit. Je me mettais à le poursuivre dans les escaliers. Il renversait tout ce qu'il pouvait derrière lui pour me semer. Mais c'était peine perdue, j'y tenais à ce slip. Je bravais toutes les épreuves qu'ils me balançaient. Nous fûmes vites dans la grande salle du rez de chaussée. D'après mes quelques coups d'oeil, il y avait une grand repas de cérémonie. Tout le monde se mit à crier d'horreur lorsqu'il s'aperçurent que j'étais nu comme un ver. Mais j'en avais que faire. Je rattrapais de plus en plus le voleur quand s'interposèrent plusieurs hommes de la securité. Ils me barrèrent la route, me prenant sûrement pour un pervers. Mince, la situation se compliquait et le fuyard rallongeait la distance. Pousse par la colère, je renversa mes opposants et fit tomber chaises et tables pour réduire la course menant au voleur. Action qui deplaisa fortement toute la salle. Étant nu, je n'avais ni seringues à planter ni revolver à utiliser. Je me servis donc d'assiettes en porcelaine sur les nombreuses tables présentes et les projetaient sur le fugitif, quelque peu blessé. AU VIOL ... AU VIOL !! cria celui-ci. Le malin se servait de la situation pour la retourner à son besoin. Soudain une troupe de marine apparut dans la galerie. Trois coups de feu résonnèrent, transformant au silence le brouhaha général. J'en avais profité pour me cacher sous une table. Apperemment, mon ennemi aussi. On se déplaçait discrètement à quatre pattes pour ne pas se faire voir. Mais j'étais presque à lui. Deux mètres ... Un mètre ... voila. Je le choppais à la gorge quand au même moment il poussa un cri. Le groupe de soldat nous trouva, renversa la table et nous aperçut dans une position bizarre. Évidemment, ils me prirent pour un pervers et m'attrapèrent. Je me débattait et expliquait la raison de cette course poursuite. Ils reconnurent que l'homme était un fugitif d'un hôpital psychiatrique et lui passèrent également les menottes. Merde, j'allais aller en cellule alors que je n'avais rien fais. Mais le pire c'était que le responsable de ma chambre découvre mes armes dans mon sac et les donnent à la marine. Port illégal d'arme à feu dont un sniper, ça peut coûter cher. Je rentra donc un coup de genou dans les côtés du marine qui me tenait et en profita pour lui prendre les clés. Je ne m'attarda pas ici et m'enfuya en direction de ma chambre ... toujours nu. Je franchis les escaliers poursuivis par une dizaine de soldats et accéda à ma chambre que je referma à doube tour à l'aide du verrou. J'eus à peine le temps de me libérer des menottes et de chopper mon sac et mes vêtements, qu'ils réussirent à rentrer. Je sauta par la fenêtre ... toujours nu et m'esquinta fortement les genoux à l'aterrissage. J'avais quand même fais un bond du deuxième étage. Je n'avais pas le temps de m'habiller en route et fuyais donc à toute vitesse en direction du port. Il était clair que je les avais semés. Du coup dans l'histoire, mon slip porte bonheur m'avait apporté que du malheur. C'était finit des slips, je porterais dorénavant que des caleçons ... |
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Informations IRL
Prénom : Age : 17Aime :N'aime pas :Personnages préférés de One Piece : (Dans l'ordre)Sabo, Luffy, Mihawk, Zoro, Kobby, Fisher TigerCaractère : Fais du RP depuis :Disponibilité : Pour l'instant, seulement le week end.Comment avez vous connu le forum ? Il y a longtemps sur google, je sais plus du tout comment je suis tombé dessus.
Dernière édition par Molokost le Dim 12 Jan 2014 - 15:20, édité 6 fois