A lire avant...
Dans ce monde là, tout était d'or et de strass. Dans ce monde là, la crasse n'existait pas. Les jardiniers taillaient tant et si bien les haies, les homme de la demeure récuraient, frottaient, nettoyaient tant et si bien qu'aucune trace, pas la moindre, pas même une seule minuscule poussière n'avait le droit de vie. Dans ce monde où l'image n'était autre que la vie, aucun pas de travers n'était autorisé. La Dame ne souriait jamais à personne d'un autre sourire que celui plein d'hypocrisie. Celui là même qui mettait en avant ce magnifique visage qui était le sien. Et tout le monde, oh oui, tout le monde, jalousait cette beauté même qui faisait d'elle la plus jalousée.
Dans ce monde là, le silence était roi. Roi des cœurs et des corps qui se mouvaient lentement et avec grâce. Elle s'était battue pour ça. Elle avait usée de toute sa grâce pour en arriver là ! Et d'un coup, tout s'était envolé. Tout. Elle regardait l'être immonde se saisir de ses bien. Elle regardait ses acolytes lui voler le monde qu'elle s'était construit ; Elle regardait son mari, impuissant. Oh qu'elle le détestait à cet instant, oh qu'elle haïssait cet être qui ne s'était construit que sur l'argent des autres. Elle regardait le plus grand voleur d'East Blue se faire voler à son tour.
-Où sont vos timbres ?
-Qu... Quoi ?
-Vos timbres, où sont-ils ?
Elle n'y croyait pas. Ce Monstre était là, devant elle, dans l'une des plus belles demeures de Logue Town et il voulait des timbres ?! De pauvres bouts de papiers immondes, souillés par le temps et qui peu à peu perdaient de leurs couleurs pour ne gagner qu'un immonde jaune délavé. Ce Monstre voulait ces bouts de papiers ? Ces mêmes bouts de papiers que son mari achetait à prix d'or, l'empêchant de se parer de plus de bijoux, l'empêchant de partir plus que trois fois par ans à Suna Land ; Ce Monstre là voulait des Timbres ?!
-Les Timbres?! Les Timbres ?! Mais je vous les donnerai, moi, vos timbres !
Elle perdait de sa splendeur, et ses joues se teintaient de blanc avant de virer au rouge écarlate. Et son corps pourtant magnifique se mettait à trembler de peur et de rage. Et sa voix pourtant douce se mettait à crier d'une voix enrouée d’énervement. Elle se leva d’un bon pour ouvrir un tiroir qu'elle manqua de détacher du meuble tellement ses gestes étaient brusques. Les cahiers se mirent à voler dans la pièce faisant virevolter quelques timbres mal attaché dans les quatre coins de la pièces.
-Les voilà, vos timbres !
Comme seule réponse, le monstre prit les livres, récupéra les quelques bouts de papiers égarés tandis que les autres hommes continuaient à détruire. C'était étrange de voir tout ce joli monde qu'elle s'était construit se faire détruire ne quelques minutes. C'était drôle de voir cet homme qu'elle avait épousée pour son courage pleurer comme un gamin, trop apeuré. C'était un château de carte qui s'envolait, qu'elle ne pourrait plus jamais reconstruire. C'était l'humiliation de sentir aussi violée.
Affalée contre le sol, la dame ne pouvait plus que pleurer, recroquevillée, frappant le sol de ses poings de velours jusqu'à en saigner, cognant contre cette chose qu'elle ne comprenait pas, qu'elle ne voulait pas connaître. C'était la misère qui venait toquer à la porte un jour de bonheur.
Dans ce monde là, tout était d'or et de strass. Dans ce monde là, la crasse n'existait pas. Les jardiniers taillaient tant et si bien les haies, les homme de la demeure récuraient, frottaient, nettoyaient tant et si bien qu'aucune trace, pas la moindre, pas même une seule minuscule poussière n'avait le droit de vie. Dans ce monde où l'image n'était autre que la vie, aucun pas de travers n'était autorisé. La Dame ne souriait jamais à personne d'un autre sourire que celui plein d'hypocrisie. Celui là même qui mettait en avant ce magnifique visage qui était le sien. Et tout le monde, oh oui, tout le monde, jalousait cette beauté même qui faisait d'elle la plus jalousée.
Dans ce monde là, le silence était roi. Roi des cœurs et des corps qui se mouvaient lentement et avec grâce. Elle s'était battue pour ça. Elle avait usée de toute sa grâce pour en arriver là ! Et d'un coup, tout s'était envolé. Tout. Elle regardait l'être immonde se saisir de ses bien. Elle regardait ses acolytes lui voler le monde qu'elle s'était construit ; Elle regardait son mari, impuissant. Oh qu'elle le détestait à cet instant, oh qu'elle haïssait cet être qui ne s'était construit que sur l'argent des autres. Elle regardait le plus grand voleur d'East Blue se faire voler à son tour.
-Où sont vos timbres ?
-Qu... Quoi ?
-Vos timbres, où sont-ils ?
Elle n'y croyait pas. Ce Monstre était là, devant elle, dans l'une des plus belles demeures de Logue Town et il voulait des timbres ?! De pauvres bouts de papiers immondes, souillés par le temps et qui peu à peu perdaient de leurs couleurs pour ne gagner qu'un immonde jaune délavé. Ce Monstre voulait ces bouts de papiers ? Ces mêmes bouts de papiers que son mari achetait à prix d'or, l'empêchant de se parer de plus de bijoux, l'empêchant de partir plus que trois fois par ans à Suna Land ; Ce Monstre là voulait des Timbres ?!
-Les Timbres?! Les Timbres ?! Mais je vous les donnerai, moi, vos timbres !
Elle perdait de sa splendeur, et ses joues se teintaient de blanc avant de virer au rouge écarlate. Et son corps pourtant magnifique se mettait à trembler de peur et de rage. Et sa voix pourtant douce se mettait à crier d'une voix enrouée d’énervement. Elle se leva d’un bon pour ouvrir un tiroir qu'elle manqua de détacher du meuble tellement ses gestes étaient brusques. Les cahiers se mirent à voler dans la pièce faisant virevolter quelques timbres mal attaché dans les quatre coins de la pièces.
-Les voilà, vos timbres !
Comme seule réponse, le monstre prit les livres, récupéra les quelques bouts de papiers égarés tandis que les autres hommes continuaient à détruire. C'était étrange de voir tout ce joli monde qu'elle s'était construit se faire détruire ne quelques minutes. C'était drôle de voir cet homme qu'elle avait épousée pour son courage pleurer comme un gamin, trop apeuré. C'était un château de carte qui s'envolait, qu'elle ne pourrait plus jamais reconstruire. C'était l'humiliation de sentir aussi violée.
Affalée contre le sol, la dame ne pouvait plus que pleurer, recroquevillée, frappant le sol de ses poings de velours jusqu'à en saigner, cognant contre cette chose qu'elle ne comprenait pas, qu'elle ne voulait pas connaître. C'était la misère qui venait toquer à la porte un jour de bonheur.
