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La pensée morte.



Mon corps blessé arrête de battre des ailes et se pose au son des soupirs du trio, Joe, Luka et Grumpy. Le disque solaire épouse l'horizon et la lune se fard d'un nuage violine. Je commence à voir les entrailles de mon monde.

Une entaille m'arrache un gémissement et cette absence de mains me permet pas d'appuyer sur la plaie. Tant pis, je me contente des sourires des compagnons. Puis je lâche un mot sur les événements passés et je redoute le spectre de la douleur et de l'incompréhension chez mes frères d'armes. Alors je les rassure par mon aura qui fait reculer la souffrance.

L'accalmie se lit sur les visages.

Le front en sueur, mes mèches blondes se noient dans une cascade, tels des lys cuivrés. Ils s'épanouissent dans la pâleur de mon teint. Ensuite, je détourne le regard vers l'astre qui ne m'a été d'aucun secours. Tu n'as jamais été mon ami, ni même mon ennemi. Tu te contentes de m'abreuver de fils d'argents. Tu déguises ma réalité avec des contours colorés.

Je disparais comme cet envolée de poésie. Mes mirettes emportée au loin par la douceur acidulée de la mélancolie. Tu as le don d'agiter l'océan pour en retirer des rivières de larmes. Alors je préfère te tourner le dos et avancer vers d'autres aventures. Je respire avec difficulté, faut croire que le Sous Amiral m'a donné du fil à retordre.

- Avec tout ce bordel, vous allez passer dans la cour des grands. Vous n'allez pas le regretter ? Je ne vous demande pas de me suivre, mais de m'accompagner vers notre trésor. Pas l'or que j'ai planqué près d'une montagne d'Inu Town, un autre bien, moins matériel.

Et quand j'y pense, le petit prince, chancelant esquisse d'un pas de danse solitaire, sa lumière se niche dans une main imaginaire et son essence enlace le vide. Faîtes comme-lui, ne soyez pas impressionnés par ma carrure de Lion.

Ne faîtes pas comme moi.

Je laisse la froidure me prendre lentement, je ne lutte pas, je m'abandonne à l'évidence, j'atteins l'immuable des constellations. Je désir la peine qui tenaille ma chaire, je chéris ce souvenir qui me martèle et me rappelle ce qui me fait vivre.  

Je suis inconstant.

Vous allez devoir me supporter longtemps dans ma dépression. J'essaierai d'en rire. Tiens, J'en rigole de ce voile d'amertume qui s'abat sur votre tronche. Et c'est délicieusement désagréable. Bien que je m'en tamponne. Je préfère suivre la lumière oblique d'un rai de lune. Ça aurait le don de nimber d'argent mes doutes. Et pourquoi pas semer des étoiles dans ma chevelure défaite.

J'ai si mal.

Cette fleur de douleur qui grandit en moi, je la dois à mon manque de sens. Et voilà qu'un pic de souffrance la cueillit. Bientôt, plus une parcelle de mon être ne sera épargnée de son pollen. Je plonge dans un abysse insondable, ébloui par le destin croisé d'une abeille qui a perdu le sens de l'orientation.

Quelle tristesse.

Devant-moi, une terre glacé et la vision d'une horreur à vous couper le souffle. Mon coeur bat une mesure si rapide que ma poitrine peine à le contenir. Je tremble à l'idée de vous décevoir. Et sous le regard aveugle des anges, dans les reposoirs ombragés, en silence, à petit battement, je deviens le voyageur invisible.

Une pensée morte.

Ma peine s'affranchit de ses chaînes, je lis les signes que le temps révère. Le promeneur solitaire trouve le salut ici bas, tandis que là haut, emmitouflés dans leurs ailes de pierre, les mouettes désespèrent...


Dernière édition par Mizukawa B. Sutero le Mar 21 Jan 2014 - 0:51, édité 1 fois
    L'ambiance est pesante, l'aura de Mizukawa  est comme celle qu'il avait avant de partir, après la gaités de sa rencontre, le revoilà dans les abysses de la mélancolie. Malgré cet air qu'il prend qui se veux sincère mais qui, au sens de Luka, sonne faux. Une voix réconfortante et chaleureuse, ou plutôt un appel à l'aide. Un masque parfait il faut l'avouer, même elle n'avait pas vu la supercherie au début.
    *Pourquoi fait il sa ? Pourquoi sourire? Est il complètement fou? Je ne comprend pas*

    Depuis qu'elle était sortit de l'eau, elle n'avait rien dit, elle s'était même isoler de Joe et Grumpy qui avaient bus énormément.  Elle avait réfléchit, à son comportement, à Mandore, à sa raison de vivre. Pourquoi continuait elle à avancé ? Sachant qu'à chaque fois qu'elle a mis le pied sur une île cela a mal tournée...le verdict que Luka avait trouver était qu'elle était tout simplement faible. Elle se raccroche à une chose, le passé, se qu'il y avait avant Mandore. A partir de maintenant, elle devait chercher à retrouver ces souvenirs perdus, par ce qu'il lui fallait un but.
    * est-ce réellement avancer de vivre dans le passé?*

    Mizukawa...cet homme, elle avait tellement l'impression de le connaître, alors qu'elle ne savait rien de lui. Luka avait une sale impression de ressemblance. A travers Mizukawa, elle se voyait elle. Un effet miroir qui la laissait perplexe. Comment pouvait elle se comparer à lui?
    Il est tellement plus fort qu'elle!
    * mais non il est faible*
    Lui, il marchait droit!
    * tu te trompe, ces chemins sont aussi sinueux que les tiens.*
    Mizukawa est étincelant!
    * souviens toi de cette ombre glaciale*
    Non, elle ne savait pas, elle montait et démonter chacune de ses certitudes. Une fois fort, une fois faible. Elle ne comprenait pas. Elle ne le connaissait pas.

    Elle devait briser le silence, pour une fois elle avait des choses à dire, et à faire.

    -La cour des grands dis tu? Est tu sûre que c'est pire que le présent? Est tu sûre de ce que tu avance?

    Mizukawa ne répondit pas. Bien sur qu'il ne répondait pas. Sa phrase n'avait était là que pour remplir le vide, son vide. Luka se leva et se dirigea vers lui, un pas souple mais décider. Arrivée à sa hauteur elle leva son visage vers lui, il ne comprenait pas et elle le savait.

    Elle lui mis une paire de gifles.

    Dans le silence elles avaient raisonnées, elle ne l'avait pas ménagé et elle l'avais fait. Elle savait que si il le prenait mal il pouvait la tuer d'un simple geste mais elle devait le faire.

    -La première parce que tu nous as lassé dans la prison, la seconde parce que tu n'est qu'un crétin.


      Je souris à la vie et ses explosions de couleurs. Et ta claque sur ma mine d'éternel penseur se calque d'un rouge. L'influx du sang sur mon visage fait éclater une vaine émotion qui fait ressortir l'éclat de mes prunelles. Et t'aperçois mon rictus qui se veut comme une détonation à la surprise.

      Y'a des nuits canulars, des nuits qu'on veut oublier, d'autres poussière pleines de particules. Des nuits d'Orient parfumées  par les apparences. Alors, je me mets à rire sous les nuages pittoresque de mon subconscient. Et quand je m'approche vers toi, le sourire aux commissures des lèvres, je te prends dans mes bras.

      Ressens-tu le feu grenat du petit prince ? Comme une éruption volcanique qui t'emporte dans les rivières larmoyantes et Joe sourit à ton égard. Et nous tentons de communiquer dans un silence pesant. Nulle arrière-pensée dans les lancées de grenades, ça finira par nous éclater à la gueule dans un dernier soupir.

      Secret d'un papier innocent débordant de peinture.

      Et soudain, le nous sur cette image apparaît comme une partie d'un grand tableau. Regardez droit devant. On dirait un de ces bateaux flamboyants de liberté.

      Luka !

      Regarde… Regarde-moi !

      Je me tiens juste devant toi avec prestance, pour toi, je suis faible, mes chemins sont sinueux …
      Peut-être que tu n’as pas tort, mais ne penses-tu pas que tu es tout simplement jalouse ? … Jalouse de ma confiance en moi et de mes yeux qui expriment une volonté certaine ?

      Regarde…Regarde-toi !

      Tu es là, comme une ombre glaciale, recroquevillé sur toi-même. Tu te dis forte, étincelante...
      Peut-être que tu n’as pas tort, mais ne penses-tu pas que tu rêves un peu trop ? … Tu rêves d’acquérir une confiance suffisante afin d’affronter ton monde et le conquérir ?

      Regarde… Regarde-moi !
      Ne rêve pas ! Agis ! Et vit comme moi !

      Tu apprendras à me connaître, comme ces gens sur ce bateau qui n'ont pas remarqué mon envol vers leur somptueux navire. Je suis le voyageur invisible et j'apparais soudainement le temps d'un battement de cœur pour les plus faibles qui tombent dans les vapes avant d'apprécier la vapeur des cafés fumants à bord.

      - A l'abordage !
      - Mais y'a plus rien à aborder Capitaine !
      - Ah oui... Désolé ! Bah venez ! Y'a du bon café !
      - J'aime pas le café.
      - Grumpy ! Grumpy Sky !
      - Ouais, mais je veux en boire !



      Dernière édition par Mizukawa B. Sutero le Mer 19 Fév 2014 - 1:38, édité 1 fois

        High Five de manchot !

        Mental High Five !

        J'y peux rien si je suis légendaire. En quoi c'est ma faute ? Vous êtes aussi faibles que ces guignols. Et en parlant des bras cassés, je me suis foulé la cheville en me posant sur leur putain de quetpar... Ouais, je parle du plancher. Me les brise pas avec ta science. Même connu, on a besoin d'un titre pour être reconnu !

        Et j'apprends de la faiblesse du veilleur.

        Il va faire jour ! Et y'a personne pour me dire ''Bonjour''. Oui, personne sauf les yeux grands ouverts de sous-rookies. Les premiers rayons de soleil embrasent l'horizon. Et c'est bien enracinée près des rosiers, illuminés par les reflets orangés de la voûte azurée que votre regard passionné me révèle une suite de mots limpides qui révère ma supériorité.

        Chaque couleur à son langage et ses vérités.

        Je bouffe la reine. Je suis le roi et je contre punchline en Queen. Je suis le seul prince de l'univers. Mon âme est enveloppée de ses ténèbres. Et ça me rend courageusement aventureux. Une nouvelle sensation que le bleu de vos mirettes ressent et commence à savourer du regard. La couleur a faim et je vous crache à la gueule. Je suis qu'un serpent qui vous apprendra la valeur de la vie.

        Vous savez... Le commencement.

        Vous tremblez encore ? Mon aura est devenu votre pesanteur ? Ça doit secouer. Et l'atmosphère de la matinée n'aide pas. Toutes ces fleurs en guttation, elles ont zappé la rosée. Je parle de vous, les nains de jardin ! Vous entendez le chuchotement terrifiant, comme si une part d'ombre essayait de se frayer un chemin pour rejoindre l'obscurité des profondeurs.

        Ma voix est enrouée par l'envie.

        Je récolte vos sentiments pour me créer un monde moins terrifiant. Alors je grandis avec l'espoir d'entendre ma raison. La folie l'emporte.

        Le fou.

        Nulle didascalie, nulle sortie.
        Juste un labyrinthe de mots.

        Réveillez-vous, n'ayez crainte, lisez-moi comme dans un livre ouvert.

        Échec et mat. Tu n'y peux rien si le vieux est mort. Je cherche pas à faire mon littéraire, au fond, je ne suis qu'un ramassis d'épluchures. Rien est assez bon pour les prunelles du grand chef. Je m'estime heureux d'être là, je suis bien mieux logé dans cette toile en effervescence que partout ailleurs. Je me plains pas, j'aurais pu tomber bien bas. Sur une pile, à côté des copies de BHL. Parfois, lorsque je me retrouve près d'une tasse de café chaude... Je me demande si c'est pas bien pire. Je crains d'être de la branlette intellectuelle.

        A ce moment, ce n'est plus aux échecs que je devrais jouer, mais aux mots croisés. Tu parles d'un destin. Un vrai combat de ne pas tomber là dedans. Je cernerai les lumières et je ferais pâlir les ombres. Je finirai par moisir au fond d'un canapé à vouloir raconter ma vie. J'arrête de chercher le destin, il finira par me corner les pages. Dur de jouer avec les mots quand on joue avec sa vie. Faudra s'y faire, je ne joue pas aux dames.

        Le lampadaire m'éclaire et la poussière s'élève quand je dévoile ma couverture, la douleur électrique qui remonte le long du marque page, les gouttes de sueurs qui perlent sur mon entracte et même l'odeur de cet affront inévitable qui remue le moindre de mes sens.

        Tout se passe si vite...

        Puis je revis la scène au ralenti. Chacun de mes gestes est comme une performance de danse classique, Je me revois essayant ; de barrer en vain le cavalier qui arrive droit à la gueule du fou. Je pense à une solution pour m'extirper de cette embuscade mais le temps dégouline. En dépit de mouvements fluides, je suis embarqué malgré-moi dans une ambiance digne des plus prestigieux ballets de Tarantino. Aucun prix à recevoir pour une balle perdue.

        Une atmosphère ombrageuse remplit le vide laissé par mes dialogues creux. Ce récit semble terne, ni paillettes roses, ni lumières tamisées. Les griffes acérées du chat se calent avec une délicate brutalité sur mon titre. Sensation de liberté contre l'opposition blanche. Sans aucun effet de miroir, un acte inattendu de ma part, je croise ses voyelles avec mes consonnes et le comédien improvise. Nous ne savons plus quel rôle jouer.

        Et je joue contre qui ?

        Je veux voir le visage de mon adversaire, mais il est imaginaire. Il est l'origine de la pensée abstraite, de l'idée immature ou de la philosophie sauvage. Et je ne suis qu'un décor immuable, retravaillé et corrigé avant ma naissance.

        Il n'existe aucun libre arbitre pour des œuvres achevées. Rares sont les moments où je prends conscience de mon existence, ces instants de déjà vu. Un feuillet ne peut pas s'exprimer de lui-même, sinon ce serait tiré par les cheveux... Ce serait psychédélique.

        J’imagine les sourires vicieux posés sur les lèvres de mes adversaires. Car oui, il n'y a pas que Némésis qui aime livrer bataille contre les noirs. Il a oublié ce que ça fait de commencer en deuxième. Ça me met hors de moi, Putain ! Je crache des lyrics et je racle la dernière page avec le peu d'encre qui me reste. Je n'entends pas le cri des bêtes, effarées par l'astre lunaire. J'ai du mal à écouter leur instinct animal.

        Accrochez-vous. Car, je ne me calmerai pas. J'en ai trop gros sur la patate et je vais donner des coups de savates. Mais, je ne suis qu'un pavé pour calmer les gosses. Je pourrais m'ouvrir mais il se fait tard pour vous parler de Gérard, le conte pour enfants, celui de la petite princesse en marbre.

        Il se fait tard, il est bientôt minuit.

        Et vous n'avez toujours pas compris mon monde. Pourtant, vous vivez dedans et il te saisit les tempes quand l'orage éclate. Le son transperce une bulle imaginaire et des couleurs apparaissent subitement dans un recueil d'images écrites par cette morve.

        Une main contre un support refermable. Un seul public dans la réalité et des centaines de passionnés dans cet abîme virtuel. Tout le monde m'ignore à minuit, vivement le chant des coqs. J'en peux plus d'être seul, abandonné pour elle.

        Cette plume qui ne tache pas.

        J'ai encore pété un mur qui ne fallait pas ? Tu parles d'une télé-réalité. J'aurais mieux fait de bouffer le Wago Wago no mi. Un pouvoir, c'est comme un parent, on le choisit pas. J'ai pas à me plaindre...

        Je suis intouchable.


        Dernière édition par Mizukawa B. Sutero le Sam 8 Fév 2014 - 8:07, édité 1 fois

          Joe, luka et même Grumpy me rejoignent sur le bateau des quatre guignolos. Ils ont l'air admiratif, les yeux qui pétillent comme s'ils avaient pris trop de café. Mizukawa, c'est un prénom d'averses et d'éclats. La pluie nous tombe maintenant sur la gueule et je me dis que le vent ne va pas tarder à se lever. Puis, mes prunelles fixe l'objet sacré de tout navigateur. Non pas une GoPro, mais un Log Pose.

          Hé, mais les petits ? Vous allez sur Grand Line ? Ça tombe bien, je voulais refaire le voyage. Je vous oblige à me suivre dans cette poitrine qui grandit sans cesse. Anagramme du soleil, dont la dernière aile se mue en voyelle. Si tu pouvais me passer ce cristal qui mène à la première île de Grand Line... Ah, non, je te demande pas gentiment, je te force la main. Ouais, j'en ai pas, mais ça t'effraye pas plus, tu me tends notre boussole.

          Le temps passe et la montagne apparaît. Je la contemple et me rappelle la dernière fois que j'ai vu ces élégants reliefs, je me hisse en haut du mât et guide les pirates de la main morte vers le sommet nuageux.  

          Vive la piraterie !

          La cascade nous fait face et n'a pas besoin de s'ouvrir avec une bonne formule, Pas de sésam, on passera cette étape. On trouvera nos trésors, des parchemins du Nil, des joyaux de bonheur. Le bateau est notre maison et j'exprime mon souffle de haine pendant la montée. Maudit Poséidon ! Les vagues sont hautes et les déserts m'assoiffent. Je rugis mes songes, ma vérité, mon plaisir et mon espoir. Je ne reviendrai plus sur les blues.

          Je ne reviendrai pas.

          Pardon Maman... Toi que j'ai retrouvé avant ma virée au Royaume de Luvneel. Tu as pleuré toutes tes larmes quand tu as senti ma présence invisible. Dans l'ode d'un silence, avant les paroles, avant les mots, tu as deviné ce qui se masque et tu as éclaircis mon passé.

          Je sais qui je suis.

          Mon désir calque ses explosions dans l'air et le petit prince des ténèbres, porteur de nouveaux mondes, où le temps s'accélère, où dans une journée, la seconde jouit. Il sourit. Son énergie semble se propager ainsi, où les météores s'écrasent sur Inu Town, où les pépites sont volés au casino. C'est là que je discerne la ressemblance. Fallait que ça tombe sur ce petit con, on est de la même famille.

          Je comprends mieux l'origine de ma Volonté du Roi. Tous les princes l'ont. Même mon demi-frère la et dire que je me suis foutu de sa gueule... Sacré Lloyd.

          Il sera sans doute le héros qui va batailler contre les cartes du gouvernement. Elles tomberont bien un jour dans un talent soudain. Le Grand Barrel réalisera son rêve et le monde se prosternera devant lui. Tandis que je prendrai ma retraite, pépère sur une île avec un paquet de Luffy Strike et du bon café.

          Grand Line nous attend, nous sommes courageusement aventureux et la passion empourprée de convoitises royales me monte au cerveau. L'empire de l'enfant sacré par mère univers, divin égo que la terre n'enfanta guère.

          Je te recroiserai mon frère.
          Mizukawa Barrel Sutero.