Krueger "Little" Kougloff
Une image de 200*300 pixels. " /> | Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu. Age: 30 ans Sexe : Homme. Race : Humain. Métier : Agent gouvernemental Groupe : CP But : Tuer Red Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Rokushiki voir Retour à la vie. Équipement : A Bouffer Codes du règlement : Ce compte est-il un DC ? : Oui de Galo Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Je sais plus trop dans le doute je dirais Red. |
>> Physique
A quoi j’ressemble ? C’est quoi cette question d’ahuri ? T’as rien dans la tête ou quoi ? Tu vois bien à quoi je ressemble. Si, si je t’assure, lèves les yeux, allé encore un peu plus haut. C’est bon t’as vu ? Non mais c’est pas possible ça, qu’est ce qu’on vous apprend dans vos écoles ? Bon vu que t’as l’air un peu déficient, je te fais le topo. Le premier truc qui choque chez bibi, bah c’est clairement mon physique. Bah oui qu’est-ce que tu veux on n’a pas tous la chance d’avoir ton apparence banale et passe partout mon pote. Ouai moi j’ai de la carrure monsieur. Regarde un peu ça. Ces bras puissants, ces jambes vives. Ce torse massif. Non ne regarde pas trop quand même, ça va finir par me gêner. Enfin, tu vois j’ai le physique qui plait aux bonnes femmes. Les vrais bonhommes ça mangent, et moi je suis un vrai bonhomme ! Pas comme toutes ces petites frappes rachitiques aux cheveux longs avec une rose dans la bouche, qui pense que pour avoir les femmes à leur pied faut leur ressembler.
Tiens en parlant des cheveux t’as vu les miens ? Et ouai ils sont d’un blond tout ce qu’il y a de plus naturel. Ah si je t’assure mon pote aucune teinture, pas de soin à la camomille ou au citron comme tous ces métro sexuels de Marie Joie. Enfin je ne peux pas non plus trop leur en vouloir. Tout le monde n’a pas été autant gâté que moi niveau physique. Où j’en étais ? Ah ouai, je parlais de mes cheveux. Blonds, soyeux, ravissant, atout charme considérable et tout le tintouin quoi. Rien de bien intéressant pourquoi je parlais de mes cheveux ça n’a aucun intérêt. Qui ça intéresse les cheveux ? Personne, sinon tout le monde serait coiffeur ou perruquier. Enfin si tu y tiens tant que ça, je me fais une tresse. Les tresses c’est la grande classe. Il y a plein de grand type qui avait une tresse. Qui ça ? Oh payes toi une culture et arrêtes avec tes questions débiles.
Bah sinon si tu veux, je porte la moustache. Pareil que pour la tresse, tous les vrais mecs portent la moustache. Pour le reste, bah j’ai le visage d’un ange. C’est ce que me disait ma mère en tout cas, et les vrais hommes ça croient toujours les mamans. Tu ne la crois pas ? Bah si regarde-moi, ce teint frais, ces sourcils broussailleux mais élégant, ces yeux bleus étincelants, ces petites joues bien pleines et ce menton rond et majestueux. Ose dire après ça que je n’ai pas une gueule d’ange ? Enfin n’ose pas trop non plus, tu vas m’énerver.
Enfin à part mon superbe physique, je suis aussi très élégant. Non mais jette donc un coup d’œil à cette combi ! Déjà, elle est jaune. Jaune ! Comme mes cheveux, faut suivre … ça fait un rappel de couleur. Et oui je suis pas seulement beau, je m’y connais aussi en mode mon pote. Puis je trouve qu’elle nous met sacrément en valeur moi et mes muscles. En plus c’est parfait pour la baston, ça risque pas de se coincer dans une branche ou un tuyau. Et tu sais quoi, elle est même imperméable. Aucune mycose va pouvoir se développer là-dessous. Pourquoi je la laisse toujours à moitié ouverte ? Bah pour révéler à tous et à toutes mon torse musclé et sa toison d’or. Je ne te raconte pas le nombre de minette que je fais craquer rien qu’avec ça. Non il n’y a pas d’autre raison. Je peux tout à fait la fermer immonde connard. Comment ça j’ai quand même un peu d’embonpoint ?
Pan !
>> Psychologie
Désolé je me suis laissé emporter. C’est pourtant pas mon genre crois-moi. Bah ouai pépère quand tu bosse au Cipher Pole t’as pas intérêt à avoir trop le sang chaud. Sinon faut que t’apprennes à te contrôler. C’est ça où finir très très mal, les licenciés du gouvernement touchent leur retraite en balle pas en billet. Et encore, ils en déduisent le prix de ton dernier salaire. Bah ouai c’est la crise partout même chez les agents secrets. J’ai déjà pas un physique pas discret du coup, j’ai appris à me tenir quand il le faut. Par contre quand je me lâche, je me lâche. Je parle fort, je casse des trucs et tout le bazard. Un peu comme quand tu ouvres les digues d’un canal. Non mais je suis pas une digue sombre idiot. Les métaphores tu connais ? Enfin bref quand je me lâche bah ça part en sucette.
Sucette … J’ai la dalle moi t’as pas un truc à grailler. Ah ouai parce qu’au-delà du professionnalisme caractéristique de tout bon sous-fifre du gouvernement, j’ai mon petit truc à moi. J’adore manger, bon j’ai des gouts bien spécifiques je ne mange pas n’importe quoi. Attends je te fais la liste, alors il y a le poulet, les frites, le popcorn, les hamburgers, les … Hé pourquoi t’arrêtes d’écrire ça t’intéresse pas ce que je te raconte ?
Comment ça je suis susceptible ? Non je ne suis pas susceptible ! De toutes manières tu n’y connais absolument rien en susceptibilité. C’est sûr qu’avec une tronche et un physique pareilles, tu dois avoir l’habitude que les gens se moquent de toi mon pauvre garçon. Moi c’est pas pareil, un type comme moi ça devrait pas recevoir la moindre critique. Je suis beau, je suis plutôt malin et j’exécute toutes mes missions sans vergognes. Ah ça ouai je suis pas du genre à avoir des remords. Enfin me prends pas non plus pour un de ces tarés fanatiques qui peuplent les couloirs du CP hein. Je suis juste un type qui fait les choses bien ou qui ne les fait pas. Ouai c’est un truc que je déteste le boulot bâclé.
Par contre ce que j’adore c’est me cartonner. Bon ça n’arrive pas souvent faut être discret dans notre boulot. Je mets toujours au point des nouvelles techniques de combat, pas comme tous ces amateurs qui se limitent au shigan. C’est des méthodes de combat d’un autre âge, faut passer à autre chose. Mes rêves dans la vie ? Tu sais je suis pas du genre à apprécier la masturbation intellectuelle ou l’auto apitoiement. J’laisse ça aux hémo-dark à cheveux long et aux ptits cons qui veulent devenir seigneur des pirates. Je suis pas l’genre à rêver tu vois. Mon rêve à moi, c’est la douce satisfaction du travail accompli …
Ah oui et tuer ce salopard d’agent Red ..
Sucette … J’ai la dalle moi t’as pas un truc à grailler. Ah ouai parce qu’au-delà du professionnalisme caractéristique de tout bon sous-fifre du gouvernement, j’ai mon petit truc à moi. J’adore manger, bon j’ai des gouts bien spécifiques je ne mange pas n’importe quoi. Attends je te fais la liste, alors il y a le poulet, les frites, le popcorn, les hamburgers, les … Hé pourquoi t’arrêtes d’écrire ça t’intéresse pas ce que je te raconte ?
Comment ça je suis susceptible ? Non je ne suis pas susceptible ! De toutes manières tu n’y connais absolument rien en susceptibilité. C’est sûr qu’avec une tronche et un physique pareilles, tu dois avoir l’habitude que les gens se moquent de toi mon pauvre garçon. Moi c’est pas pareil, un type comme moi ça devrait pas recevoir la moindre critique. Je suis beau, je suis plutôt malin et j’exécute toutes mes missions sans vergognes. Ah ça ouai je suis pas du genre à avoir des remords. Enfin me prends pas non plus pour un de ces tarés fanatiques qui peuplent les couloirs du CP hein. Je suis juste un type qui fait les choses bien ou qui ne les fait pas. Ouai c’est un truc que je déteste le boulot bâclé.
Par contre ce que j’adore c’est me cartonner. Bon ça n’arrive pas souvent faut être discret dans notre boulot. Je mets toujours au point des nouvelles techniques de combat, pas comme tous ces amateurs qui se limitent au shigan. C’est des méthodes de combat d’un autre âge, faut passer à autre chose. Mes rêves dans la vie ? Tu sais je suis pas du genre à apprécier la masturbation intellectuelle ou l’auto apitoiement. J’laisse ça aux hémo-dark à cheveux long et aux ptits cons qui veulent devenir seigneur des pirates. Je suis pas l’genre à rêver tu vois. Mon rêve à moi, c’est la douce satisfaction du travail accompli …
Ah oui et tuer ce salopard d’agent Red ..
>> Biographie
Pourquoi t’ose demander pourquoi ? C’est pourtant pas bien compliqué à comprendre. Bon je vais reprendre depuis le début histoire que tu saisisses bien le problème.
Je suis né sur un patelin perdu au milieu de nulle part. Le genre de trou qui ne fait pas fantasmer la ménagère de moins cinquante ans. Je t’arrête tout de suite ce n’était pas l’enfer non plus. L’enfer personne ne le vit, il y a que les morts qui sont suffisamment docile pour vivre l’enfer. Non c’était un coin calme avec rien à faire. Du coup je passais mon temps à m’auto fixer des défis débiles. Manger le plus de tourte au fromage possible, tenir ma respiration le plus longtemps. Tout un tas de défis stupides quoi. Au final, j’ai pas le souvenir d’avoir eu une enfance triste ou ennuyeuse. Ce dont je me souviens bien, c’est le jour où j’ai quitté mon chez moi. Ma mère en larme de voir partir son ptit ange. C’est une bonne femme, ma mère. Une grande blonde, elle doit avoir du sang de géant, ça expliquerais bien des choses. Je reçois ses cartes, tous ans pour la nouvelle année et mon anniversaire. Elle oublie jamais. Mon père ? Oh mon père, c’est grâce à lui que je suis là, avec ce qu’il devait au gouvernement, on aurait pu presque construire un nouveau cuirassé. Quand t’as des dettes, t’as deux choix, soit tu te fais discret, soit tu te fais zigouiller par tes créanciers. Dans la famille, on est du genre à ne pas aimer les chemins tout tracer. Il s’est pendu.
Ma mère a hérité des dettes, mais les types du gouvernement ne sont pas du genre à cheval sur le principe et il ne rechigne pas sur un pion en plus. Ils m’ont acheté au prix en vigueur pour un enfant. Depuis je bosse pour combler le reste des dettes de ma mère.
Oh ne vas pas chialer. Ce n’est pas si grave, sans ça je ne sais pas comment j’aurais fini. Un orphelin. Un gosse des rues adopté par un pirate et que sais-je encore ? Dès lors, j’ai été du genre à faire le boulot du mieux que je pouvais. Côtoyer des orphelins ou des forçats ça a au moins le mérite de te faire relativiser. Moi j’avais encore les lettres de ma mère. Puis la bouffe de la cantoche c’est ptête pas la meilleure, mais on peut prendre des frites à volonté. Et ça mon ptit pote, bah ça déchire. Puis l’entrainement du CP, ce n’est pas de la rigolade. Enfin suffit de voir le corps d’athlète que je me suis taillé pour comprendre.
Puis bon, la formation ça dure qu’un temps et je me suis enfin retrouvé sur le terrain. Hé là, c’est le panard. Assignation au CP 2. Ouai le CP 2, pas de boulot dans la merde, pas de sang sur les mains. Non le luxe, le prestige et tout le tintouin. Récupérer toutes les richesses de ce monde pour le gouvernement. Qui aurait pu rêver d’un meilleur poste ? Personne. On m’avait choisis parce que niveau bouffe et boisson j’étais sans doute le meilleur des apprentis, tu me diras ce n’est pas bien compliqué. Regarde la gueule de mort de faim de la moitié des agents tu comprendras. Rechercher les meilleures bouteilles de vins, des ingrédients de luxe ultra rares, les plus bons plats de la planète, pour bâfrer les dragons célestes. Le problème d’être doué dans ce qu’on fait, bah c’est qu’on se fait remarquer. Et au CP, on n’aime pas les gens qui se font remarquer c’est bien connu. Enfin bref, après un bordel administratif, je me suis retrouvé au CP5.
Là mon gars, plus de raffinement, bonjour la sobriété. Je suis devenu un espion tout ce qu’il y a de plus classique. Manipulation, planquage de cadavre, enfin tu vois le genre. Après tout moi qui suis un touche à tout ça me dérange pas. Tout se passer bien. Très très bien même. Puis vint ce jour tragique. Au réfectoire du siège du CP 5. Il était un midi, un midi ensoleillé comme on en voit peu. Tu vois le genre. Bref je faisais la queue au réfectoire, je me souviens encore du menu c’est pour dire. Terrine de poisson, couscous d’agneau, une tranche de fromage et une pâtisserie. Une pâtisserie ! Ils doivent en servir une tous les 36 du mois. Et bim pile le jour de mon anniversaire. Un jolie petit gâteau avec une cerise dessus. Appétissant comme tout. J’approche avec mon plateau. Et là paf, une main sort de nulle part et saisi le dernier désert. Devine qui c’était ? Cette ordure de Rossignol.
Puis ça a continué. La dernière place assise à la cantine, la mission la plus prestigieuse, la récompense d’agent du mois. J’ai commencé à compter les points. Un à chaque fois que ce type m’énervait. Et là je peux te dire que niveau point il est loin devant, ce soit disant « maitre du rokushiki ». Puis après avoir trahi le Bureau, vla qu’il trahi le gouvernement dans son ensemble pour la piraterie. J’avais déjà atteint le seuil de tolérance. Mais là c’est décidé je vais le zigouiller. En plus je serais récompensé comme il se doit. Je rate jamais une occase de mêler boulot et plaisir mais pour ça faut que j’intègre le CP9. Mais bon, un mec comme moi ça n’échoue jamais.
Je suis né sur un patelin perdu au milieu de nulle part. Le genre de trou qui ne fait pas fantasmer la ménagère de moins cinquante ans. Je t’arrête tout de suite ce n’était pas l’enfer non plus. L’enfer personne ne le vit, il y a que les morts qui sont suffisamment docile pour vivre l’enfer. Non c’était un coin calme avec rien à faire. Du coup je passais mon temps à m’auto fixer des défis débiles. Manger le plus de tourte au fromage possible, tenir ma respiration le plus longtemps. Tout un tas de défis stupides quoi. Au final, j’ai pas le souvenir d’avoir eu une enfance triste ou ennuyeuse. Ce dont je me souviens bien, c’est le jour où j’ai quitté mon chez moi. Ma mère en larme de voir partir son ptit ange. C’est une bonne femme, ma mère. Une grande blonde, elle doit avoir du sang de géant, ça expliquerais bien des choses. Je reçois ses cartes, tous ans pour la nouvelle année et mon anniversaire. Elle oublie jamais. Mon père ? Oh mon père, c’est grâce à lui que je suis là, avec ce qu’il devait au gouvernement, on aurait pu presque construire un nouveau cuirassé. Quand t’as des dettes, t’as deux choix, soit tu te fais discret, soit tu te fais zigouiller par tes créanciers. Dans la famille, on est du genre à ne pas aimer les chemins tout tracer. Il s’est pendu.
Ma mère a hérité des dettes, mais les types du gouvernement ne sont pas du genre à cheval sur le principe et il ne rechigne pas sur un pion en plus. Ils m’ont acheté au prix en vigueur pour un enfant. Depuis je bosse pour combler le reste des dettes de ma mère.
Oh ne vas pas chialer. Ce n’est pas si grave, sans ça je ne sais pas comment j’aurais fini. Un orphelin. Un gosse des rues adopté par un pirate et que sais-je encore ? Dès lors, j’ai été du genre à faire le boulot du mieux que je pouvais. Côtoyer des orphelins ou des forçats ça a au moins le mérite de te faire relativiser. Moi j’avais encore les lettres de ma mère. Puis la bouffe de la cantoche c’est ptête pas la meilleure, mais on peut prendre des frites à volonté. Et ça mon ptit pote, bah ça déchire. Puis l’entrainement du CP, ce n’est pas de la rigolade. Enfin suffit de voir le corps d’athlète que je me suis taillé pour comprendre.
Puis bon, la formation ça dure qu’un temps et je me suis enfin retrouvé sur le terrain. Hé là, c’est le panard. Assignation au CP 2. Ouai le CP 2, pas de boulot dans la merde, pas de sang sur les mains. Non le luxe, le prestige et tout le tintouin. Récupérer toutes les richesses de ce monde pour le gouvernement. Qui aurait pu rêver d’un meilleur poste ? Personne. On m’avait choisis parce que niveau bouffe et boisson j’étais sans doute le meilleur des apprentis, tu me diras ce n’est pas bien compliqué. Regarde la gueule de mort de faim de la moitié des agents tu comprendras. Rechercher les meilleures bouteilles de vins, des ingrédients de luxe ultra rares, les plus bons plats de la planète, pour bâfrer les dragons célestes. Le problème d’être doué dans ce qu’on fait, bah c’est qu’on se fait remarquer. Et au CP, on n’aime pas les gens qui se font remarquer c’est bien connu. Enfin bref, après un bordel administratif, je me suis retrouvé au CP5.
Là mon gars, plus de raffinement, bonjour la sobriété. Je suis devenu un espion tout ce qu’il y a de plus classique. Manipulation, planquage de cadavre, enfin tu vois le genre. Après tout moi qui suis un touche à tout ça me dérange pas. Tout se passer bien. Très très bien même. Puis vint ce jour tragique. Au réfectoire du siège du CP 5. Il était un midi, un midi ensoleillé comme on en voit peu. Tu vois le genre. Bref je faisais la queue au réfectoire, je me souviens encore du menu c’est pour dire. Terrine de poisson, couscous d’agneau, une tranche de fromage et une pâtisserie. Une pâtisserie ! Ils doivent en servir une tous les 36 du mois. Et bim pile le jour de mon anniversaire. Un jolie petit gâteau avec une cerise dessus. Appétissant comme tout. J’approche avec mon plateau. Et là paf, une main sort de nulle part et saisi le dernier désert. Devine qui c’était ? Cette ordure de Rossignol.
Puis ça a continué. La dernière place assise à la cantine, la mission la plus prestigieuse, la récompense d’agent du mois. J’ai commencé à compter les points. Un à chaque fois que ce type m’énervait. Et là je peux te dire que niveau point il est loin devant, ce soit disant « maitre du rokushiki ». Puis après avoir trahi le Bureau, vla qu’il trahi le gouvernement dans son ensemble pour la piraterie. J’avais déjà atteint le seuil de tolérance. Mais là c’est décidé je vais le zigouiller. En plus je serais récompensé comme il se doit. Je rate jamais une occase de mêler boulot et plaisir mais pour ça faut que j’intègre le CP9. Mais bon, un mec comme moi ça n’échoue jamais.
>> Test RP
J’men souviens encore parfaitement. Ouai j’ai une mémoire à la hauteur de mon physique et c’est pour dire. Tu sais c’est un peu comme tes souvenirs de mioche, t’as des souvenirs complétement stupide et inutiles au milieu d’une masse floue d’informations. Tu n’es pas foutu de te souvenir du visage de ton daron, mais par contre tu retiens, ton jouet préféré, le gout du gâteau de ton cinquième anniversaires et puis des odeurs dont t’ignore totalement l’origine. Bah moi le truc qu’est direct associé à la trahison du Rossignol, c’est une horrible odeur de crasse. Comme quoi dès fois le hasard fait bien les choses.
Je te fais le topo vite fait sans tomber dans le secret défense. Cela faisait des mois qu’avec Willy, c’est le nom du pauvre agent rachitique qui bossait avec moi sur cette affaire. Mais Willy on s’en fout c’est un pauvre personnage secondaire sans la moindre espèce d’importance. Je te raconterais comment une fois j’ai réussi à le sauver. Une sacrée histoire qu’on devrait d’ailleurs adapter en film un de ces jours. Et merde je m’égard.
Bref ça faisait des mois qu’avec Willy, on cherchait à démembrer une branche de ce foutu réseau révolutionnaire qui pourrissait la vie du gouvernement local. A force, de mensonges, de chantages et autres gratifications plus ou moins légales, on avait enfin réussi à mettre la main sur l’un d’entre eux. Son nom ? Tu me demandes son nom ? Qui en a foutre de son nom ? Je lui ai jamais demandé, tu sais quand tu tues une biche, tu lui demande pas comment elle s’appelle ou si le môme qu’elle a eu avec le roi de la forêt s’appelle Bambi ? Tu la bouffe. Bah au CP c’est pareil quand tu chopes un type tu lui demandes pas ses papiers et son livret de famille, tu le fais parler.
On l’avait attaché à une chaise, enfin on … Willy. Moi j’étais allé me chercher à bouffer pendant qu’il préparait tout. Sur cette île, il faisait les meilleures cuisses de poulet grillées que je n’ai jamais bouffé. D’ailleurs j’en manger tellement que j’ai dû rentrer tous les piafs du coin cul de jatte. Willy n’aimait pas manger des animaux. Végétarien qu’il me disait. C’est parfois le souci du CP, faut parfois faire équipe avec des demeurés. C’est vrai que ce n’est pas le genre de type qui te met en confiance. Puis je ne te raconte pas le type sans gêne que c’était.
Ramène-moi le journal.
Non mais t’imagine le type, comme si en pleine mission j’avais le temps d’aller lui chercher le journal. C’est du sérieux le boulot d’agent. On ne peut pas se tirer comme ça au beau milieu d’une mission pour assouvir ses petits désirs personnels. Amateur. Enfin, coup de bol pour lui, un ptit con de vendeur de journaux traînait dans les parages.
Une fois de retour à la planque, je commençais le boulot. Les interrogatoires, c’est comme la gymnastique c’est tout en souplesse. Du coup je laissais Willy procéder à l’échauffement, ouai le pauvre type fallait pas qu’il commence trop fort sinon il allait nous claquer entre les mains. Alors que j’étais tranquillement en train de finir mes cuisses de poulet vlà que mon regard s’égare sur le journal. Ou plutôt sur un nom.
Sur trois lettres.
Le R de la pire des raclures. Le E du plus terrible des enfoirés. Le D du dégoût le plus profond. Trois lettres qui formaient l’acronyme honni. Red. Rien que la lecture de ce simple mot suffit à me foutre en rogne. Imagine lorsque j’ai appris le pot au rose. Le procès d’Arashibourei, les révélations sur Thunder F. et la trahison de cette ordure de Rossignol. Le piaf avait enfin montré son vrai visage. J’aurais presque pu être satisfait. Tout le monde reconnaissait à quel point ce type était la pire des immondices. Mais finalement ce fut une colère bouillonnante qui m’envahit. Un venin traversant toute les veines de mon corps. Une fureur qui ne demandait qu’à être apaisé.
D’un coup d’épaule j’envoyais Willy boulé. T’avais qu’à prendre du muscle comme moi pauvre tache. Puis regardes moi ce révolutionnaire de pacotille. Tu crois meilleur que moi hein ? Tu te penses supérieur Rossignol ? Alors dis-moi ? Pourquoi trahir le Gouvernement ? Pourquoi abandonner ce qui t’as tout donné ? Tout ce pourquoi t’a œuvré ? Je vais te répondre. C’est parce que t’es le pire type que j’ai jamais rencontré. Un connard égoïste. Un ingrat obsédé par ses petits personnels. Un individualiste, un antisocial de la pire espèce. Un pauvre déchet de la société qu’on a tiré du caniveau et qui maintenant se prend pour un prince de la piraterie. Je n’ai jamais pu te piffer. Mais maintenant je te hais. Alors répond moi, bordel sinon je te liquide pourquoi cette trahison ?
Comment ça tu ne comprends pas ce que je te dis ordure ? Tu me prends pour un con de surcroît. Mes poings se mettent à bouger d’eux même. Ma rage s’y déverse. Je me contrôle plus. Tu t’en prends plein la tronche Désiré. On l’entend plus ton petit ton condescendant. Tu la boucle enfin. Puis soudain mes mouvements se ralentissent et tu n’es plus là. Ta gueule enchapoté laisse place à celle de ce pauvre révolutionnaire qui en prit plein la tronche.
Willy va me chercher un sceau d’eau je crois qu’on l’a perdu.
La prochaine fois ça sera pour de vrai Rossignol.
Je te fais le topo vite fait sans tomber dans le secret défense. Cela faisait des mois qu’avec Willy, c’est le nom du pauvre agent rachitique qui bossait avec moi sur cette affaire. Mais Willy on s’en fout c’est un pauvre personnage secondaire sans la moindre espèce d’importance. Je te raconterais comment une fois j’ai réussi à le sauver. Une sacrée histoire qu’on devrait d’ailleurs adapter en film un de ces jours. Et merde je m’égard.
Bref ça faisait des mois qu’avec Willy, on cherchait à démembrer une branche de ce foutu réseau révolutionnaire qui pourrissait la vie du gouvernement local. A force, de mensonges, de chantages et autres gratifications plus ou moins légales, on avait enfin réussi à mettre la main sur l’un d’entre eux. Son nom ? Tu me demandes son nom ? Qui en a foutre de son nom ? Je lui ai jamais demandé, tu sais quand tu tues une biche, tu lui demande pas comment elle s’appelle ou si le môme qu’elle a eu avec le roi de la forêt s’appelle Bambi ? Tu la bouffe. Bah au CP c’est pareil quand tu chopes un type tu lui demandes pas ses papiers et son livret de famille, tu le fais parler.
On l’avait attaché à une chaise, enfin on … Willy. Moi j’étais allé me chercher à bouffer pendant qu’il préparait tout. Sur cette île, il faisait les meilleures cuisses de poulet grillées que je n’ai jamais bouffé. D’ailleurs j’en manger tellement que j’ai dû rentrer tous les piafs du coin cul de jatte. Willy n’aimait pas manger des animaux. Végétarien qu’il me disait. C’est parfois le souci du CP, faut parfois faire équipe avec des demeurés. C’est vrai que ce n’est pas le genre de type qui te met en confiance. Puis je ne te raconte pas le type sans gêne que c’était.
Ramène-moi le journal.
Non mais t’imagine le type, comme si en pleine mission j’avais le temps d’aller lui chercher le journal. C’est du sérieux le boulot d’agent. On ne peut pas se tirer comme ça au beau milieu d’une mission pour assouvir ses petits désirs personnels. Amateur. Enfin, coup de bol pour lui, un ptit con de vendeur de journaux traînait dans les parages.
Une fois de retour à la planque, je commençais le boulot. Les interrogatoires, c’est comme la gymnastique c’est tout en souplesse. Du coup je laissais Willy procéder à l’échauffement, ouai le pauvre type fallait pas qu’il commence trop fort sinon il allait nous claquer entre les mains. Alors que j’étais tranquillement en train de finir mes cuisses de poulet vlà que mon regard s’égare sur le journal. Ou plutôt sur un nom.
Sur trois lettres.
Le R de la pire des raclures. Le E du plus terrible des enfoirés. Le D du dégoût le plus profond. Trois lettres qui formaient l’acronyme honni. Red. Rien que la lecture de ce simple mot suffit à me foutre en rogne. Imagine lorsque j’ai appris le pot au rose. Le procès d’Arashibourei, les révélations sur Thunder F. et la trahison de cette ordure de Rossignol. Le piaf avait enfin montré son vrai visage. J’aurais presque pu être satisfait. Tout le monde reconnaissait à quel point ce type était la pire des immondices. Mais finalement ce fut une colère bouillonnante qui m’envahit. Un venin traversant toute les veines de mon corps. Une fureur qui ne demandait qu’à être apaisé.
D’un coup d’épaule j’envoyais Willy boulé. T’avais qu’à prendre du muscle comme moi pauvre tache. Puis regardes moi ce révolutionnaire de pacotille. Tu crois meilleur que moi hein ? Tu te penses supérieur Rossignol ? Alors dis-moi ? Pourquoi trahir le Gouvernement ? Pourquoi abandonner ce qui t’as tout donné ? Tout ce pourquoi t’a œuvré ? Je vais te répondre. C’est parce que t’es le pire type que j’ai jamais rencontré. Un connard égoïste. Un ingrat obsédé par ses petits personnels. Un individualiste, un antisocial de la pire espèce. Un pauvre déchet de la société qu’on a tiré du caniveau et qui maintenant se prend pour un prince de la piraterie. Je n’ai jamais pu te piffer. Mais maintenant je te hais. Alors répond moi, bordel sinon je te liquide pourquoi cette trahison ?
Comment ça tu ne comprends pas ce que je te dis ordure ? Tu me prends pour un con de surcroît. Mes poings se mettent à bouger d’eux même. Ma rage s’y déverse. Je me contrôle plus. Tu t’en prends plein la tronche Désiré. On l’entend plus ton petit ton condescendant. Tu la boucle enfin. Puis soudain mes mouvements se ralentissent et tu n’es plus là. Ta gueule enchapoté laisse place à celle de ce pauvre révolutionnaire qui en prit plein la tronche.
Willy va me chercher un sceau d’eau je crois qu’on l’a perdu.
La prochaine fois ça sera pour de vrai Rossignol.
Dernière édition par Krueger le Jeu 6 Fév 2014 - 12:08, édité 2 fois