Pseudonyme(s) : Le Bourbier, Le Marécagomancien, Le Sculpteur, La Chiasse Hantée, Le Caca qui marche, Doppio a mille noms : à la manière du Diable...
But(s) : Étendre le Fun Club à échelle galactique, dévorer des planètes
Grade : Gourou
Supérieur direct : Le Fun
Métier(s) : amuseur solaire et aérien / clown réveillé et réveilleur / éternel enfant #peterpan
Équipage : Fun Club
Prime : 105 millions
Popularité : 445 (connu sur la planète et un peu dans sa périphérie)
| #Instinct Capacité "basique", Craig étale son corps sur le sol pour déployer son marais portable. La taille est variable, dépendant de la volonté du poiscaille et de ses dorikis. Inexorablement, les gens et les objets pris dans le marais sans fond s'y enlisent, s'y engluent, et s'y enfoncent. Se débattre ne fait qu'accélérer le processus. C'est la différence de D qui détermine la facilité de la victime à se dépêtrer de cette situation passablement humiliante. #Dépression Craig est devenu malgré lui un squale des marécages exhalant des relents à faire faner le plus coriace des chênes comme une pâquerette. Les êtres vivants organiques sont pas beaucoup mieux lotis, et si on s'habitue vite au fumet immonde avec le temps et la proximité du requin, les premiers contacts se font régulièrement dans le dégoût, les migraines, l'explosion des nez sensibles, voire le gerborama. Une aura de puanteur "passive" qui est bien entendu beaucoup moins brutale au repos que lorsque Craig utilise ses pouvoirs. #Refoulement Un kilomètre à pied avec un marteau de 100 kilos dans le dos, ça use, ça use... Un kilomètre à pied avec un marteau de 100 kilos incrusté dans le ventre grâce aux capacités de stockage offertes par le logia du marais, ça use déjà beaucoup moins. De la même façon, Craig peut conserver une grande quantité d'objets de petites/moyennes tailles un peu partout dans son corps puis les faire émerger quand bon lui semble, lui allouant malgré lui le rôle tout trouvé de mulet... #Angoisse ou "Je sue comme un porc" C'est essentiellement l'adrénaline et les émotions fortes qui déclenchent cet effet passif. Avec les efforts, le stress, la peur, le corps chiale sans qu'on lui autorise. Il transpire, ouais. Et Craig, s'il le souhaite, peut suer de grosses perles de boue tout en se battant. En suintant sa vase partout, le terrain se recouvre peu à peu de petites flaques de marais sans fond, proportionnellement à la sueur qu'il déverse (et donc, dépendant de ses efforts physiques et de son état mental). Pratique pour piéger la zone tout en se concentrant sur autre chose. #Traumatisme En prenant la forme d'une ou plusieurs flaques banales de boue, Craig peut se camoufler en milieux naturels, notamment forestier, ou sous la pluie. Combiné à l'aptitude Paranoïa, v'là les possibilités d'embuscades corsées qui se présentent. Gaffe où vous mettez les pieds ! Oh, puis s'il prenait d'aventure à la proie du Craig de cogner les flaques de boue avec du haki, le pauvre squale tristounet en pâtira. #Sociopathie La forme que prend le squale une fois passé sous cette technique est, grosso modo, une espèce d'infâme limace dont les mirettes, la mâchoire, les oreilles et le museau se désolidarisent et improvisent une danse chaotique à travers une grande masse de boue oscillante entre le brun et le gris, glougloutante et prise de tressautements. Bras et palmes de Craig deviennent, eux, des sortes d'ailes visqueuses qui ne sauraient jamais faire voler un tel tas de crasse même si leur existence en dépendait et qui répandent en plus de la saloperie marécageuse partout. Une forme parfaitement inutile voire handicapante en vrai combat, puisqu'elle rend Craig plus gros et plus lent. Par contre, elle fout la trouille. Ah ça oui. #Schizophrénie Craig se couvre d'une couche de marais, et s'en extirpe comme s'il s'agissait d'un simple cocon. Voilà un "clone de Craig" coulant et suintant une vase infecte qui ne tromperait pas une taupe astigmate, mais qui aperçue de loin, crée une silhouette capable de faire douter un observateur assez naïf. La statue de boue s'effondre toute seule après quelques minutes, créant un petit marais. C'est cool. #Cauchemar Du dos de Craig, tout autour de son aileron, surgissent cinq ou six fines tentacules de "marais" qui sont en fait des tubes dotés d'un pouvoir de succion très efficace. Des p'tits aspirateurs agités et féroces qui se collent aux gros objets et aspirent les plus petits. Peut servir à désarmer un adversaire distrait, ou à faire le ménage. Fragiles, facilement destructibles, elles régénérent cependant bien vite tant que Craig le décide. Avec les dorikis et la maîtrise du fruit, les tentacules se feront peu à peu plus grosses et leur aspiration plus efficace. #Paranoïa Te voilà les deux jambes enfoncées dans un marécage qui te paraît sans fond, lorsque soudain, un museau te titille l'arrière-train et mord à plein crocs ton fessier. C'est Craig qui peut faire surgir des morceaux de lui-même n'importe où dans la boue qu'il produit, sa machoire par exemple, tant qu'il y reste attaché. Les proies pataugeant dans ce royaume de merde devraient faire attention à ce qui peut nager dans les profondeurs... #Réflexions Émergent du marais de Craig des immondices semblant vivantes -mais ne l'étant pas vraiment, en fait-, rampantes et gargouillantes, hérissées de longues tentacules qui ne sont pas leurs armes mais leurs, euh, coiffures. Ils disposent d'une intelligence très sommaire, pour ne pas dire un "programme" qui leur ordonne d'avancer -à leur rythme- vers l'ennemi le plus proche pour se suicider en se jetant dessus. Car oui, elles peuvent tout de même distinguer amis et ennemis, puisqu'elles sont l'extension de la volonté de Craig. Encore heureux, d'ailleurs, car c'est pas qu'on les trouve pas mignonnes, mais elles sont pas assez avenantes pour qu'on ait envie d'accepter un câlin de leur part. Si elles réussissent à s'étaler en masques de beauté sur la gueule de leur cible, elles n'ont d'autres effets qu'obstruer temporairement ses voies respiratoires et ses mirettes, ce qu'est déjà sympa, sachant que Craig, à côté, reste absolument libre de ses mouvements, mais perd grandement en concentration. C'est lui qui leur insuffle la "vie", ainsi, s'il tombe KO, ou s'il oublie leur présence, ses merdouilles retournent à leur état naturel de flaques bourbeuses. De plus, si on prend le temps de cogner dedans, elles explosent en un brouillard de boue et ne se régénèrent pas. Bongeoure #Gemini Imaginez une silhouette de squale humanoïde entièrement composée de boue dégoulinante, qui avance lentement vers vous en pleurant une mélasse bourbeuse noire, vous fixant de deux orbites d'argiles vides. Le combo Schizophrénie + Démons intérieurs = Trouble dissociatif ! Son unique but dans la vie est de vous enlacer dans un grand câlin boueux. S'il y arrive, outre l'impact psychologique d'un tel contact sur votre âme friable, vous perdrez fort en puissance de cabrioles. Le cogner fort suffit à l'annihiler. Il est de plus long à naître, et demande à Craig une concentration de moine tibétain l'espace de quelques secondes. Pas sortable dans n'importe quelles circonstances donc. #Vice Un autre mariage du fruit du marais au karaté aquatique, qui prend la forme d'un très subtil torrent/cascade de boue très liquide en partance pour la tronche de l'ennemi, grondant comme un dragon en rut au ras du sol, et noyant ce qui n'a pas de branchies, et intoxiquant ce qui en a. Court mais intense : parce ce serait con d'inonder une zone alors qu'il est lui-même devenu vulnérable à l'immersion, Craig ne fera pas durer le plaisir très longtemps. Ça ressemble à l'attaque "O Croupi" dans Pokémon, c'est langoureux, c'est épais, c'est visqueux, c'est crade, c'est Craig. La taille de la mort flottante est proportionnelle à la durée de préparation de la technique, ainsi qu'aux dorikis, et ça peut s'étaler sur des minutes entières si Craig veut projeter quelque chose d'ambitieux : Vice surgit ensuite du gosier de Craig, comme s'il dégueulait sauvagement de quoi transformer une salle en tombeau de vase. Lorsqu'il fait mijoter son torrent, Craig devient pataud et tout dégoulinant, ce qui peut prévenir un ennemi alerte et observateur que quelque chose se prépare sous la carcasse de l'homme-requin. #Rêve Craig plonge la palme dans une étendue d'eau, et y injecte son marais comme un vaccin radical contre la clareté, convertissant la flotte en un tapis de vase aux relents revigorants. Un petit bassin pour commencer, jusqu'à un grand lac lorsque plus de dorikis. Si l'environnement s'y prête, cette technique peut verser dans la terraformation : l'écosystème local s'adaptera -en rechignant- pour accueillir le nouveau marécage, qui restera alors durablement : des jours, des semaines, des mois, des siècles, tout dépend des climats : c'est beau, la nature. Ceci dit, peu de chances que Craig ou n'importe quel clampin de notre génération ne puisse assister à la lente mutation, malheureusement. C'est surtout histoire de "signer" la Nature. Puis les marécages sont quand même des coins merveilleux. #Solitude Craig isole une cible dans un épais cocon de marais, une grosse couche dense capable d'absorber la plupart des attaques qui pourraient viser celui ou celle qui s'en revêt. Une croûte plus rigide sur la paroi intérieure permet à l'abri de ne pas s'effondrer aussitôt sur son protégé. Une carapace qui présente trois grosses faiblesses : la cible se retrouve complètement isolée du monde extérieur -y compris de son oxygène-, elle est complètement immobilisée, et la croûte marécageuse n'est pas assez solide pour résister éternellement au poids des kilos de boue qui font pression sur elle. A noter que si Craig lui-même n'a la plupart du temps pas besoin de bouclier, il peut aussi s'en servir pour faire barrage à du haki. Solitude peut également servir sur un ennemi pour l'immobiliser, mais il est particulièrement complexe de le déployer sur une cible non-consentante. Il lui suffit de bouger pour esquiver les pâtés de boue quoi. #Souvenirs Doppio forme simplement un golem ressemblant à un corps récemment englouti. Du plus bel effet, on dirait que le marais digère les âmes qu'il dévore pour les assimiler. Ces créatures donnent la sensation d'être des morts-vivants boueux, se comportent exactement comme les golems doppioformes, et demandent autant de concentration qu'eux à être maintenus fonctionnels. #Totems Une immense colonne de boue de quelques mètres qui "happe" ce qui passe à côté d'elle avec de mignons tentacules gourmands, pour les engloutir. Pour qu'elle fonctionne, Doppio doit patauger dans la même boue qu'elle, sinon elle tient pas debout et s'effondre aussitôt. Assez fragile, surtout si on attaque sa base. Elle a une allure de totem maléfique émanant une odeur ignoble et produisant des sons de succions. Un chef d'oeuvre d'art contemporain en somme. #Réconfort Alors ça c'est du costaud, ça c'est Doppio qui sort une de ses techniques les plus déconcertantes et aussi une de ses plus belles. Elle nécessite la présence d'un maximum de ses copinous du Fun Club pour fonctionner : il les appelle alors à lui, il les laisse fusionner à lui dans une superbe communion marécageuse. Dans le processus, ils meurent tous, mais leurs âmes restent en Doppio ! Et il peut dès lors modeler leurs membres et leurs corps partout à travers son marais puis s'en servir avec aisance comme s'ils étaient les siens, à des distances bluffantes, mais à condition qu'ils restent toujours connectés à lui par du marais. Jusqu'à plusieurs dizaines de minutes en fonction des dorikis. Cette performance découle de l'intense amour qu'entretient Doppio avec ses fidèles ! Merveilleux. Description |
Haki : Empathie lv 3
Meitou(s) : Aucun......
Capacité(s) évolutive(s) : Karaté aquatique
Capacité(s) spéciale(s) :
Autres : Homme poisson
Style(s) de combat : Fabrication de golems inspirés de gens morts et de totems en boue, tentacules et body horror, marais froid et sans fond, il utilise son fruit pour bâtir son pays des merveilles, dans lequel tout le monde se sent à l'aise, vivant ou mort, mais et toi alors, quand est-ce que tu viens ?
5 114 000 berrys
Vice-Présidente du Fun
Une petite dame d'une violence rare ! Sadique, vulgaire et féroce, elle est néanmoins la première à déconner et à ironiser sur ses propres déviances. Cette mentalité a tapé dans l'oeil de Doppio et ces deux-là sont rapidement devenus d'excellents amis. Devenue une sorte de bras droit de l'ombre pour Doppio, elle sait, dit-on, organiser d'énormes fêtes comme personne, c'est une teuffeuse accomplie !
Malgré les horreurs qu'elle a vécu et qu'elle a commise, on ne l'entend jamais se plaindre, ressasser, ou montrer de quelconques regrets. Elle assume chacun de ses actes, même les plus perfides, avec fierté, et démontre une ambition démesurée, rêvant comme Doppio d'étendre le Fun Club à l'ensemble du système solaire voire de la galaxie si possible.
Autrefois pirate dans un équipage sanguinaire et pas bien malin, elle s'est retrouvée sans maison le jour où son capitaine s'est fait égorger par son vice-capitaine avant que le vice-capitaine ne se fasse lui-même égorger par le quartier-maître. Clairement pas une bonne ambiance de travail. Après quelques mois d'errance en solitaire, vivant de larcins et d'assauts sur des petits navires marchands isolés, elle échouera sur Dead End où elle rencontra son destin (c'est à dire Doppio) au hasard d'un combat de gladiateurs.
Ses bandages cachent une atroce maladie de peau qui la défigure toujours un peu plus chaque année. Elle se considère comme une oeuvre d'art mais ne consent à partager une vue sur son corps qu'à ceux dont elle reconnaît le bon goût, dont elle est sûre qu'ils sauront apprécier une peau délicieusement croûtée et putride. Et ceux-là ne sont pas nombreux.
Il y a quelques années, elle s'est faite arnaquer par un dealer de fruits du démon qui lui a vendu le zoan du cerf au prix fort -soi-disant persuadé qu'il s'agissait du ope ope no mi. Elle s'en est plutôt bien accommodée malgré tout, et au sein du Fun Club, sa forme de biche l'a rendue particulièrement populaire. Ses compagnons apprécient énormément les transformations en animaux : ça a un côté cauchemardesque très esthétique, surtout quand on parle d'une biche dont la peau ravagée est recouverte de bandages.
C'est un peu ça qui est drôle avec elle... Elle s'adapte à tout sans ronchonner. Elle voit le monde comme un immense bac à sable, et cherche juste à y multiplier les actions brutales, absurdes et grandiloquentes pour se divertir en attendant la mort. Ça tombe bien car Doppio est très divertissant.
Niveau évalué :
Dorikis : 1/2 Doppio (PNJ Bras droit)
PP : 1/2 Doppio
PI : 1/2 Doppio
PRIME : 60 000 000
Localisation : Dead End
Créateur du PNJ : Doppio
Habiletés/Pouvoirs :
Berserker
Zoan du cerf
Haki de l'armement
Imagine une biche folle furieuse, grâcieuse et agile, recouverte de bandages tachetés du sang de ses adversaires. C'est terrifiant je trouve...
Cuisinier du Fun
On y pense pas souvent, mais la vie de cannibale peut être extrêmement dure et frustrante. Ayant longtemps dû s'adonner à sa passion pour la viande humaine à l'ombre des projecteurs, Jean-Claude a réprimé la frustration qu'il éprouvait lorsqu'il concoctait un repas gourmet et nourrissant mais qu'il ne pouvait pas partager -car la cuisine est un art qui se partage.
La marine ne le perçoit que comme un tueur en série qui a perpétré une volée de meurtres affreux du côté de Goa entre 1612 et 1624, s'étant échappé à temps de l'île tandis que l'enquête commençait à les mener dans son frigo. Pourtant, c'est avant tout un esthète, très cultivé, gourmand et la plupart du temps propre sur lui. Incapable de comprendre pourquoi manger des gens pose problème aux gens, il est probablement un petit peu sociopathe.
Deux ans après sa fuite de Goa et l'errance qui s'ensuivit, il rencontre Doppio dans un bar de Dead End qu'ils fréquentent tous les deux régulièrement. Entre les deux hommes le courant passe aussitôt : Jean-Claude désireux de dévorer Doppio, accepte de rejoindre son Fun Club, prenant alors la meilleure décision de sa vie. Personne ne te juge dans le Fun Club, surtout sur des critères aussi futiles que ton mode d'alimentation. Doppio adore son style, et est ravi d'avoir un tel huluberlu dans sa collection. Il le forme avec amour à distribuer de la douleur et à en recevoir : et parfois, comme un susucre, il lui offre quelqu'un à cuisiner à sa guise. Doppio est, décidément, d'une générosité sans borne.
Notez qu'il est un cuistot formidable, même si manger de la chair humaine n'est pas dans vos moeurs. Ses petits plats plus classiques, à base d'autres viandes et de fines herbes, sont succulents. Dans un monde où le cannibalisme ne serait pas tabou, il serait un chef étoilé. C'est presque surprenant de retrouver un tel talent dans le Fun Club ! Parce qu'ici les gens préfèrent souvent manger du verre pilé.
Niveau évalué :
Dorikis : 1/5 Doppio (PNJ brute)
PP : 30
PI : -200
PRIME : 20 000 000
Localisation : Dead End
Créateur du PNJ : Doppio
Habiletés/Pouvoirs :
Batte de base-ball avec clous
Un don pour la cuisine, de niveau Baratie. Si les dorikis mesuraient les compétences en cuisine il en aurait 9500.
Plutôt bien conservé et athlétique, malgré ses 40 ans bien tassés et son mode de vie autrefois sédentaire. Probablement les vertus de son régime alimentaire !
Joyeux drilles
Tous réunis par leur passion des combats et de la douleur, les membres du Fun Club ont de très nombreux surnoms, donnés que ça soit par leurs ennemis ou entre eux-mêmes. Ils forment une communauté extrêmement soudée mais paradoxalement très peu solidaire : la souffrance d'autrui génère ici plus d'envie que de compassion !
Ils vivent au rythme des combats clandestins et des activités organisées par les "têtes pensantes" du Club. Il s'agissait au début d'un simple cercle de bagarreurs un peu tarés, la chose a évolué en véritable secte. Beaucoup ont élevé Doppio au rang d'entité cosmique et il en joue, assurément, pour enfoncer tout ce beau monde toujours plus loin dans la folie.
Et Doppio se fiche totalement de qui se prétend faire partie du Fun Club. Il suffit de vouloir en être pour magiquement le rejoindre. Il n'y a ni contrat à signer, ni serment à faire, il n'y a même pas besoin de rencontrer Doppio en personne. C'est normal : pour désirer rejoindre un tel Club, il faut avoir fondamentalement un grain. Et c'est l'unique pré-requis qui semble faire un tri ici.
La plupart n'ont ni vision politique, ni philosophique de ce qu'ils font. La raison qui les pousse à suivre aveuglément les préceptes tordus de Doppio diffère entre chaque clubiste. Tu as des ennuyés, des psychotiques, des fous à lier, des suicidaires, des masochistes, des maniaques de la bagarre... Les profils sont étonnamment diversifié : tu retrouves aussi bien l'ex-père de famille quarantenaire luvleenien qui a pété un boulon suite à la perte de son job et à son divorce, qu'un ex-gladiateur accroc à l'adrénaline coulant à flot durant un bon combat crasseux sans règles, qu'un ex pirate sanguinaire ravi de pouvoir se vouer à sa passion pour l'ultraviolence avec des amis qui partagent le même délire.
C'est ça, finalement, le Fun Club : un délire commun. Ce délire s'appelle Doppio.
Niveau évalué :
Dorikis : Larbins
PP : Variable, négatif / C'est jamais bon signe quand quelqu'un te dit qu'il a adhéré au Fun Club !
PI : Variable, négatif
Localisation : Dead End
Créateur du PNJ : Doppio
Habiletés/Pouvoirs :
Fanatiques : Infatigables, imperturbables, leur souffrance les fait planer et leur mort les fait éclater de rire. Impossible de faire reculer un doppioster : même s'il n'a aucune chance contre toi, il continuera à te provoquer, pour savoir ce que tu es capable de lui faire, par défiance, par folie... ou par bêtise.
Dernière édition par Doppio le Mer 6 Avr - 22:52, édité 123 fois
