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Les crocs du loup et la blanche colombe.

Quatre jours, quatre long jours a fixé l’horizon, quatre long jours à serrer la rambarde, quatre long jours à traquer, quatre long jours à espérer en voyant la proie se rapprocher, quatre longs jour pour comprendre que cette course nous amènera en enfer.

J’évitais de dormir si ce n’était avec une pinte de rhum dans les boyaux, j’évitais ainsi les cauchemars et la colère froide qui les accompagnaient, comme les derniers pillards qui restait dans un village ravagé prenant plaisir à privé les pauvres victimes de leurs dernières possessions. Je ne pouvais plus me perdre dans mes pensées sous peine de me faire assaillir par mes doutes et haïr le monde….était-ce ma vrai nature ou simplement un feu de forêt qui tentait de la remplacer par une terre aride et stérile.

Un jour, un homme avait dit « L’homme a besoin de ce qu’il a de pire en lui si il veut parvenir à ce qu’il avait de meilleur », était ce le cas, cette haine allait elle me ramener vers la lumière ? Pourtant le même homme avait dit «Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour » était-ce cela qui m’arrivait ou bien avais je simplement perdu mes convictions ?
Nietzsche avait dit beaucoup de choses mais qu’es qui se rapportait à moi ?

Malheureusement, je savais qu’un jour ou un autre, j’allais à nouveau plonger dans mes pensées sombres et qu’un autre jour, il en résulterait le plongeon dans les ténèbres. Je me retrouverai alors à patauger dans la fange noire, à ramper dans le noir à la recherche d’un point de lumière dans les ténèbres opaques. A se noyer petit à petit, jusqu'à ce que la haine me consume totalement.

Par le passé, il arrivait que d’un coup ma rage se déverse pour un adversaire, généralement il s’agissait d’un monstre embourbé dans l’obscurité, était ce le monstre en moi qui hurlait ou simplement le début de la contamination. Pourquoi avais je perdu la foi en l’humanité, cette flamme sacrée qui me faisait avancer ?
Avais je trop sondé les abysses ou bien avais je fréquenté trop de monstre…Non il fallait que j’arrête d’y penser.

Je sortis une longue-vue pour scruter la créature que je poursuivis, je voyais l’homme à la poupe entouré de fourmis s’activant sur le pont sur quoi ses yeux se fixaient ils, l’avenir ou le passé, sa fuite ou son prochain coup ?

Il était un animal rapide, mais nous étions des animaux endurants…des loups

Je me retournais.

-Kyle amène moi une carte dans ma cabine et dis moi où on est sur cette foutue mer.

Il me montra un point sur la carte…nous avions dont tant progressé, nous étions passé dans les mers de l’ouest, je regardais la carte, nous avions dépassé de nombreuses iles et nous continuions à nous avancer. Que pouvait faire un criminel dans ces eaux… mon doigt se posa sur un point…Las camp !
Certes l’ile avait été relativement lavée, mais elle restait une place de choix pour les criminels.

Nous arrivâmes quelque heure plus tard sur l’ile comme je l’avais deviné .Leur embarcation était vide et dans une crique à l’écart, j’ordonnais à mes hommes de saboté et fouillé l’embarcation.

Je n’avais malheureusement aucune connaissance sur cette ile, j’allais devoir me débrouiller. Je retournais ma veste d’officier et enfilait mon trench-coat, œil devra encore attendre à bord malheureusement. Certes, le gars en question me reconnaitrait à coup sur mais au moins, les autres ne le feraient pas. Cette fois pas de costard, juste un sweat-shirt à capuche et un jeans.

Je sautai à terre et m’avançai vers l’intérieur des terres. Comme j’en avais entendu parler, la ville était devenue plus sure on contrôla même quelque fois mon identité, il fallait vraiment être un initié pour continuer le crime dans le coin. Je demandai quelques conseils et « ordres » aux marins sur place, privilège du grade. Malheureusement, il ne voyait pas qui pouvait être mon homme…Quelle bande d’incapables, au moins je savais où se trouvaient les quartiers « chaud »…c’était mieux que rien. J’avais deux possibilités, me trouver des racailles locales ou chercher le mec dans l’un ou l’autre coin sombre.

Je m’enfonçai dans la ville sale et morne, un empilement de taudis où des gens au regard suspicieux scrutaient les passant…cela me faisait penser au cimetière d’épaves. Ils n’avaient pas du avoir une vie facile les pauvres, mais qui était le plus à plaindre moi ou eux ?

Je continuai à errer dans ces rues sales, où pour une raison inconnue acceptait de vivre encore de gens. Je devais rester concentré pour ne pas laisser mes pensées vagabonder dans ces les plaines nues et froides de la colère. Je me mis donc à chantonner à voix basse pour occuper mes pensées.

-Dans les Rues de Las camp, y’a des mecs qui tremblent dans des coins. Dans la ville de Las camp, y’a des criminels qui meurent plein de liqueurs frelatées. Dans les rues de Las camp y’au un marin, dans les rues…A quoi bon, je n’y arrivais plus…la joie m’avait elle totalement quittée…étais je finalement rien de plus qu’un chien de chasse ?

Soudain, la chance me sourit enfin, je vis un homme que je pensais avoir vu dans l’équipage du criminel, je le suivis…il entra dans un hangar…je frappe avant d’entrer ou je le fais après…après tout ce mec m’avait fais chier…j’avais été sympa…il a connu ma gentillesse qu’il ne méritait pas…il méritera mes crocs.

Je jetai un coup d’œil entre deux morceaux de tôles tordues par un coup de feu, à mon grand plaisir il y était. Je sortis mon meitou et d’un coup rapide je tranchais un rectangle dans la tôle que je projetais au loin d’un coup de latte. J’apparus dans une trouée de lumière entourée de poussière…le hangar était vraiment sombre, la planque parfaite pour un révo…je me demande où t’es enfoiré de terroriste d’ailleurs. Toi qui avait voulu raser Bliss…si ca se trouve c’est ta faute si je suis devenu comme ca…si je te trouve batard…je te promets de te faire souffrir.

-BOUM BABY

J’avançais d’un pas lent le katana en main, les gars à l’intérieur, assis sur des barils était choqué et encore incapable de bouger suite à mon intervention. Il n’y avait que pour seule source de lumière les difformités de la tôle qui laissait passer de petits rai de lumières où l’on voyait danser la poussière… on était loin de la mafia…on était dans le repaire d’un gang de petite frappe…dommage pour eux…j’étais de mauvaise humeur.

-J’ai l’honneur de vous annoncer, que vous allez tous mourir grâce au mec la.

Et pis merde, j’en ai marre de lutter…il est cent fois plus facile de me laisser aller à la violence et à patauger dans le sang…après tout quel droit possédait un criminel ?
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Alala, toute cette histoire sur l’archipel vert n’a pas été inutile. Heureusement. C’est à bord d’un cuirassé que l’ange approche de Las camp. Pour son plan d’évasion de grande envergure sur l’ile aux esclaves il a besoin d’un homme. Pas n’importe lequel. Un gars sympa qui s’y connait très bien en explosif. Je veux bien évidemment parler du chef local de la révolution. Jonathan Nivel.

Le retour sur las camp après tout ce qui s’est passé rappel tellement de souvenir à notre homme. Mais le temps n’est pas aux émotions. Se rapprocher trop des côtes est risqué. Un cuirassé ça ne court pas les mers. Encore moins ceux des blues. Alors l’handicapé prend une chaloupe avec ses deux bras droits (son oncle et l’ancien bras droit de son père) et rejoint la terre.

Le trio évite les patrouilles de marine. Pas parce qu’ils sont recherchés, c’est juste qu’en se faisant simplement voir, les informations tourneront rapidement et ce n’est pas forcément une bonne chose de se lier les mains. Alors c’est des ruelles que prennent les hommes. Etrangement, les habitants de l’ile sont plus sereins dans les rues. Ça marche sans être sur ses gardes. Sans se presser. Est-ce les conséquences des actions menées par Ivan ? En tout cas cela lui fait chaud au cœur et son visage ne peut s’empêcher de sourire.

Direction le QG des niveleurs. Il a déjà fait affaire avec Jonathan et ça c’était très bien passé. Aussi surprenant que soit-il, le chef du groupe local n’avait rien demandé en retour contrairement à la truande. Mais c’est une autre histoire. Tout proche de l’hangar,  un homme entre juste avant eux par la porte dissimulée. Le trio se permet d’emprunter le même chemin.  Un bruit surgit. Le trio entre lorsque l’inconnu prononce ses paroles. L’handicapé sur sa chaise roulante couvert par son tissu entend parfaitement les mots que viens de prononcer le sabreur et c’est malheureusement des mots vrai.

Les hommes sont apeurés. Pourquoi le sont-ils ? Parce qu’ils ont perdu leur leader aimé. La dernière fois qu’un homme est entré de force c’était Mogaba. Autant vous dire qu’ils ont le moral dans les chaussettes.

Le justicier à roulette est poussé comme à son habitude et la porte se referme derrière le trio.

-Range ton arme l’ami. Le sang a assez coulé sur cette île.

-Cette douce voix. IVAN !!!

-HOW t’es venu pour sauver Jonathan c’est ça ?! J’savais qu’on peut compter sur toi.

Oui, ce n’est pas un rêve. Les hommes retrouvent le sourire et t’ignorent. L’homme le plus terrifiant de l’ile a été vaincu par la faible personne qui vient d’entrer.

-Sauver ? Il n’est pas avec vous ?

QUOI ?

Les gens tombent à la renverse.

-Mais qu’est-ce que tu fou ici alors ?

-Je voulais voir votre chef car j’ai encore besoin de lui.

-ho

Les hommes semblent deçu. Mais un a de l’espoir.

-Tu vas encore faire un miracle pas vrai ? Tu vas le sortir du ponton hein ?

-Je vais essayer.


Les révolutionnaires t’ont peut-être oublié mais pas l’ange. Celui-ci lance un léger regard. Seul son sourire est visible, le reste est couvert. Un sourire sincère accompagner de sa douce voix.

-Vous désirez quelque chose ? Vous êtes tout crispé. Rassurez-vous, nous ne sommes pas là pour combattre.  N’est-ce pas mon oncle.

Alors qu’Igor ne t’as pas lâché du regard, prêt a dégainé. Ce dernier retire sa main pour prouver que tu n’as rien à craindre.

-J’ai pas tellement confiance au être qui balance ce genre de paroles mais bon. Comme tu l’as dit, on ne fait que protéger et on attaque plus donc… Les gars vous n’avez pas de l’eau s’il vous plait. J’ai une petite soif.

Ton entrée à monter la pression, à créer de la tension tandis que l’entrée de l’être mystérieux l’a complétement détendu.
    Mon entrée héroïque, fut « interrompue » par l’entrer de trois autres protagonistes, l’un d’eux attirait particulièrement l’attention. Un homme tout de blanc vêtu, dont les traits étaient masqué par un voile, autre fait marquant...il était sur une chaise roulante. Cet homme qui semblait être le chef était entouré par deux hommes qui contrastaient par leurs habits sombres et leur stature. En somme, un pseudo fantôme à roulette, Dracula et Albator.

    Cet homme à l’air faible dégageait pourtant un air de puissance.

    Les autres gars par contre, ils ne bougeaient pas, comme si mon apparition les avaient vitrifié, je ne faisais pas si peur…si ? Dire que je possédais leur misérable existence dans la paume de ma main, un geste du poignet et j’éteignais le souffle de leur vie…quel pouvoir. J’étais aussi à un mouvement de la pitié, mais bon, je ne vois pas pourquoi je leur accorderais un tel honneur, il ne s’agissait la que de criminels après tout.

    -Range ton arme l’ami. Le sang a assez coulé sur cette île.

    Ok…je t’accorde ca par contre. D’un geste rapide, je placardais ma proie à une poutrelle de soutient de deux couteaux de lancer. Ensuite, s’ensuivit un échange entre les hommes et le fan de dash. Bon, c’est pas que j'aime pas me faire ignorer mais quand même, finalement, l'homme en blanc se reconcentra sur moi.

    -Vous désirez quelque chose ? Vous êtes tout crispé. Rassurez-vous, nous ne sommes pas là pour combattre. N’est-ce pas mon oncle.

    L’homme à ses coté lâcha l’arme qu’il portait à la ceinture. Tandis que l’homme en blanc me souriait…c’était du moins la seule partie de son anatomie que je voyais. Cet homme était vraiment particulier, il attirait vraiment mon attention.

    -J’ai pas tellement confiance au être qui balance ce genre de paroles mais bon. Comme tu l’as dit, on ne fait que protéger et on attaque plus donc… Les gars vous n’avez pas de l’eau s’il vous plait. J’ai une petite soif.

    Des gens qui protègent, ca existe encore de nos jours ?

    -Cet homme a commandité un vol dans les quartiers d’un haut gradé de la marine…

    C’était vrai mais au fond que m’avaient fait les autres.

    -Les autres sont probablement des criminels notoires…et une entrée comme ça...donne un peu plus...d'impression

    Pathétique mais bon.

    D’un geste rapide, je fis apparaître ma veste d’officier de la marine. Je jetai un regard menaçant aux types dans leur coin, leur faisant comprendre qu’il ne fallait pas bouger. Je me tournai ensuite vers le curieux trio et sourit à celui qui semblait être le chef.

    -Je suis le Lieutenant-colonel Kogaku à qui ai je l’honneur ?
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    -Vous avez entendu ? Un marine. Monsieur le Lieutenant Colonel, ravi de faire votre connaissance. Je me nomme Ivan De Cimitiero.

    Un nom réputé dans toutes les blues mais cela ne signifie pas pour autant que tout le monde le connait. Une information facile à obtenir encore faut-il l’obtenir. Un citoyen qui a agi pour sauver las camp… Puis certaines rumeurs sur le fait que ça soit un ange avec des pouvoirs divins. Puis d’autre encore. En tout cas, les mouvements du soldat son indécis. S’il voulait tuer, il y a bien longtemps qu’il l’aurait fait. C’est pourquoi l’ange voie toujours cette lueur d’espoir. Tout cela va se terminer sans effusion de sang d’après lui.

    -Vous savez. Que cet homme ait commandité un vol ne vous donne pas le droit de vie ou de mort. Oui des nouvelles lois sont nées. Les marines ont le droit de tué, mais cela nous amène directement au chaos. D’après mon humble avis.

    L’ange s’approche des autres personnes et demande à son tour un verre d’eau. Aucun de ses mouvements n’est suspect. L’eau lui est apportée et il boit tranquillement.

    -Lorsque vous dites que les autres sont des criminels, vous portez un jugement. Ha ha ha.

    Oui un petit rire émane de sa personne. Celui-ci est à peine perceptible.

    -Ne vous m’éprenez pas, je ne me moque pas de vous. Par le passé, je pensais être capable de juger les autres. De juger ce monde. Mais voyez-vous, les choses sont bien trop compliquées. Chaque personne a vécu différentes choses. J’ai vu des voleurs qui se rabaissaient à cet acte pour nourrir leur famille. Sur le coup vous jugez que le vol est mal… Mais en y réfléchissant.

    J’ai parcouru des îles. Cette île est spéciale. Lorsque tu née avec la peur de mourir à chaque seconde… Enfin, je m’égare un peu. Allons, posez cette arme. Ne vous ai-je pas dis que personne ne combattra, ne me faite pas mentir je vous prie. Si c’est bien la personne que vous cherchiez. Emmenez le pour qu’il soit jugée pour ses crimes.


    -Bon alors Ivan, comment on fait pour Jonathan ?

    -Une minute. Monsieur le lieutenant-colonel. Si vous tentez de l’assassiner, je serais forcé de le défendre et probablement de vous faire mal. Croyez-moi, c’est bien le pire scénario possible. Du sang, du sang, du sang. Tué déchire votre âme. J’ai eu la chance de ne jamais tué qui que ce soit. Même lorsque c’était moi ou l’ennemi, je n’ai pas tué. Ce monde cherche des héros. Simplement des héros. C’est cela qu’incarne la marine normalement. Ils sont là pour sauver. Pourquoi enfermer les criminels ? Pour les empêcher de faire du mal à autrui mais à eux-mêmes. Tout est une histoire de protection.

    La douce voix  de l’ange est agréable. Les paroles sortaient de sa bouche spontanément. Les discourts il en a tellement fais que ces quelques paroles sont une simple réponse. Un débat bien plus long pourrait naitre, mais cela ne le dérangerait pas. Tant que le sang ne coule pas, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes…

    -Pour Jonathan, nous verrons cela un peu plus tard. Occupons-nous d’abord de notre invité.

    -Mais c’est un marine. On devrait l’buté.

    -J’ai dit, pas de sang aujourd’hui. Laisse-moi régler ça.

    -hum… Faut l’buté à la fin, oublie pas.

    Chaque personne souhaite tuer l’autre. Protéger tout ce monde est-ce possible pour un être aussi faible qu’Ivan ? En tout cas, ces deux bras droit admirent le spectacle. Ils sont assis tranquillement dans un coin.
      L’homme se présenta comme Ivan de Cimetierro…Ivan de Cimetierro…j’avais déjà entendu ce nom quelque part mais où…j’hésitais entre un chanteur gigolo, un altruiste, un cuisinier cassant et un prêtre. Il me semble avoir entendu ce nom dans un pub, non ?

      -Vous savez. Que cet homme ait commandité un vol ne vous donne pas le droit de vie ou de mort. Oui des nouvelles lois sont nées. Les marines ont le droit de tué, mais cela nous amène directement au chaos. D’après mon humble avis

      C’était les autres que je pensais me faire mais bon…Je me souviens que je pensais la même chose à l’époque…que s’est il passé entre temps. J’avais essayé de comprendre et affronté de nombreux criminels…malheureusement, la plupart étaient des salops…Pourtant, y’avait de bon gars aussi…que penser ?

      -Ma réaction était un peu exagérée certes…

      -Lorsque vous dites que les autres sont des criminels, vous portez un jugement. Ha ha ha.

      Ok…mais je vois pas bien ce qu’un criminel viendrait faire ici.

      -A mon avis, les criminels ne s’allient pas aux buveurs de thé…sans me moquer des buveurs de thés.

      -Ne vous m’éprenez pas, je ne me moque pas de vous. Par le passé, je pensais être capable de juger les autres. De juger ce monde. Mais voyez-vous, les choses sont bien trop compliquées. Chaque personne a vécu différentes choses. J’ai vu des voleurs qui se rabaissaient à cet acte pour nourrir leur famille. Sur le coup vous jugez que le vol est mal… Mais en y réfléchissant.

      J’ai parcouru des îles. Cette île est spéciale. Lorsque tu née avec la peur de mourir à chaque seconde… Enfin, je m’égare un peu. Allons, posez cette arme. Ne vous ai-je pas dis que personne ne combattra, ne me faite pas mentir je vous prie. Si c’est bien la personne que vous cherchiez. Emmenez le pour qu’il soit jugée pour ses crimes.


      Maintenant qu’il en parle, j’avais toujours pensé un bon jugement de l’humanité, j’avais d’ailleurs toujours tenté d’avoir une confession de la personne que je pourchassais…Yukisame…Mizukawa…Tous les criminels ne sont pas mauvais généralement. J’aurai aussi pu être un criminel après tout…j’avais presque oublié ca merde…je me souviens que j’en avais parlé avec…Ghar…c’était un homme de bien, non…abandonné…comment avais-je pu douter de lui.

      -Bien, je vais le prendre alors…d’habitude je ne chasse pas les voleurs, mais j'ai des gros bonnets derrière... et celui-ci semble voler pour l’argent et tremper dans le marché noir…donc il met en jeu la vie des innocents…et je ne peux pas laisser ca.

      Je décidais de rester un peu, cet homme avait des idées intéressante…des idées d’un passé oublié…d’une race que je croyais disparue…Qui était cet homme qui semblait avoir réussi à calmer sa rage par sa seule précense. Je me laissais tomber en tailleur et rengainai.

      -Une minute. Monsieur le lieutenant-colonel. Si vous tentez de l’assassiner, je serais forcé de le défendre et probablement de vous faire mal. Croyez-moi, c’est bien le pire scénario possible. Du sang, du sang, du sang. Tué déchire votre âme. J’ai eu la chance de ne jamais tué qui que ce soit. Même lorsque c’était moi ou l’ennemi, je n’ai pas tué. Ce monde cherche des héros. Simplement des héros. C’est cela qu’incarne la marine normalement. Ils sont là pour sauver. Pourquoi enfermer les criminels ? Pour les empêcher de faire du mal à autrui mais à eux-mêmes. Tout est une histoire de protection.

      Je me mis à rire… d’un rire triste…comment cela était il possible.

      -Mon âme…à force se sonder les abysses pour les comprendre…a fini par se noircir…c’était mes ambitions…mais je ne retrouve plus la flamme qui les animaient…mais je ne contais pas le tuer…ne vous en faites pas…

      Il semblait être presque fais du même métal que moi…le mien avait fini par rouiller…mais nous avions tous les deux une méthode, une aura qui attirait les confessions….

      Ils parlèrent d’un certain Jonathan, un homme demanda ma mort…ah la la…les messes basses…inutile face à un gars avec une ouïe supérieur à la moyenne, que je pouvais augmenter à souhait. Je souris amusé.

      -Si tu tiens à te ridiculiser…viens…j’ai la flemme de me lever perso…

      Je pense que je vais repartir sur la question rituelle, mais avant je devais finir cette conversation.

      -Une simple question, Monsieur Cimetiero, quel est votre motivation et si ce n’est pas une répétition, pourquoi ?
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      Il allait le tuer. C’est un mensonge. Le vrai du faux. Peu importe les douces paroles, l’ange ne peut se faire avoir. En tout cas, les choses semblent s’améliorer lorsque le marine décide de s’assoir. Même s’il semble avoir entendu les chuchotements qui surprennent les interlocuteurs. C’est avec calme que le lieutenant-colonel répond. Puis viens une question des plus intéressantes.

      -Mes motivations…

      Un silence apparait.

      Les motivations de l’ange sont diverses et variées. Plus les aventures passent plus ces motivations changent, se transforme. Mais il n’a jamais abandonné. Un peu de toutes ses aventures ont servi de motivation. Comment expliquer tout cela ?

      -C’est une bonne question…  Je ne me suis jamais posé cette question. Dans ma tête ça a toujours été une ligne directive. Je suis tombé dedans un peu par hasard. Enfin… Mes parents sont morts. Leur heure était venu. Mais je n’arrive pas à accepter que des êtres bons meurent tandis que des criminels continuent leur atrocité. Les mots me manquent… C’est bien la première fois…

      Un autre silence de quelque secondes pendant qu’il boit un peu d’eau puis sa douce voix est de retour.

      -Avez-vous déjà sauvé une personne ? L’effet que produit ce sauvetage. Lorsque la personne vous remercie. Ça me motive et me rend plus fort. Des hommes sont victimes d’injustice et lorsqu’on amène simplement la justice d’une manière douce, les choses s’améliorent. Je n’ai plus rien qui m’attache à cette vie… Les seuls êtres que j’aimais sont morts. C’est une sorte d’hommage que je réalise pour eux.. Enfin c’est ce que je croyais.

      Le temps passe, les aventures s’enchainent. Au final… Pourquoi faire tout cela ? Les morts ne reviendront pas. Ils ne reviendront jamais. Alors pourquoi les venger ? Tué une autre personne qui a des proches innocents… Si ce n’est pas effectué selon la justice c’est la porte ouverte à l’anarchie..  Le cercle vicieux de ce monde. Mais d’autres innocents, d’autres personnes ont encore des êtres chers à leurs côté. Rendre heureux les autres me fait du bien. Aider autrui. Défendre ceux qui ne peuvent se défendre.

      Je suis un homme comme les autres. A la recherche du bonheur. Certains ont une petite vie tranquille. Heureux. D’autres voyages. Chacun à sa façon de vivre. Tant que personne n’entrave le bonheur d’autrui. Tant que tout se passe selon des lois égalitaires. Alors les hommes pourront vivre en paix. Mais l’homme n’est pas parfait. C’est pour ça qu’il existe des êtres comme nous. Pour calmer certain excès.

      Si tout être a droit au bonheur. Je situerais le mien chez autrui. Si vous êtes triste, je serais triste. Si vous êtes heureux, je serais heureux.


      Ces paroles s’arrêtent là. Il pourrait parler pendant des heures et des heures mais tout cela lui rappelle tant de souvenir. Des mauvaises journées, des mauvaises expériences qui lui ont permis d’atteindre ce stade. Pas besoin d’être devin pour savoir que le soldat est dans une phase de doute. Alors qu’il s’apprêtait à tous les tués, le lieutenant-colonel change d’attitude. Ivan a deux options.
      Soit c’est cela qui se passe. Soit la personne va simplement chercher à détruire tout espoir. Si c’est le cas numéro un alors quelques mots de plus pourront lui faire du bien.

      -Tout le monde fait des erreurs. C’est pourquoi on a besoin d’amis qui nous soutiennent.
      Ne crains pas l'échec. Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime. Avec des objectifs élevés, l'échec peut être glorieux.
      Je n’ai pas peur d’échoué dans ma quête de paix. Je dois simplement aller de l’avant. Pour mon bien, pour notre bien.



        L’homme réfléchit quelques secondes avant de se lancer. Il parla quelque temps avant de se taire, en soi, on pouvait plus comprendre un intérêt personnel à ses actes ? J’étais face à un homme qui avait été surement nourri par le doux poison de la vengeance. Cet homme devant moi, avait eu presque le même parcours que moi à croire que perdre ses parents rend bon…mais il était vide…Il ne semblait ne pas savoir quoi faire de sa vie.

        La vie, ce subtil mécanisme qui anime un corps, cette énergie mystique que de nombreuses personnes tentaient de comprendre. Beaucoup des gens d’ailleurs, tentaient de chercher un sens à leur existence…j’étais moi-même passé par la et cela m’avait presque foutu en dépression. Il était vrai en y repensant, que je ne pouvais pas priver des gens de ce doux breuvage…sauf ceux qui trouble celui des autres bien entendu…quoique ?

        J’avais pensé que protéger la vie des innocents, ne donnait aucune consistance à ma vie…mais c’était faux, c’était ma vie. Lui il sauve probablement pour justifier sa vie, tandis que moi, je voulais juste aider, sauver, protéger. C’était une évidence, je devais empêcher les méchants de faire mal aux gentils, c’était aussi simple que la. Je m’étais donné cette mission, ce but tout comme mon regretté capitaine…maintenant que j’y repense, je n’ai fais que rejeter tout ce qu’il m’inspirait.

        Cet être avait remplacé sa vie par la vie des autres, tandis que moi, j’utilisais ma vie pour les autres…ou du moins pour moi, pour accomplir ce qui me semblait juste.

        -Je n’ai jamais aidé pour un « merci »…ou pour une quelconque rétribution, il faut bien comme vous dites, des gens pour protéger les innocents.

        Il partit ensuite sur un dernier avis, qui en soit était vrai pour moi en y réfléchissant…
        Je n’avais pas surmonté mon échec, j’en avais déprimé, certes, j’avais eu de nombreux échecs durant mon existence…mais le dernier était le plus blessant…et j’avais laissé la plaie s’infecté.
        Je m’étais isolé, n’ayant plus que peu ou plus de contact avec les autres, j’avais coupé tout pont avec les dogs restant, je m’étais même fermé à mon loup…d’ailleurs, je ne le prenais plus avec moi. J’avais aussi perdu de vue mon objectif…ou du moins il était passé de protéger à traquer…il faudrait que je les garde tous les deux.

        En y repensent, j’ai rejeté  tout ce que m’inspirais Gharr…un grand homme…il faudrait que je reprenne son œuvre…pour lui et pour moi.

        -Tes paroles sont juste l’ami, mais tu me disais que l’on ne pouvait pas juger les gens…il se trouve que tu as tort, certes, je ne suis ni juge, roi ou dieu, je ne suis qu’un homme et je n’ai pas la propension d’avoir la vérité…mais je connais les valeurs humaine, le bien, le mal et ces choses la. Je ne parle pas du manichéisme de l’humanité, qui n’est qu’une question de point de vue. Il y a le proverbe « les gentils gagnent toujours », ce n’est pas le fait que les gentils soient plus fort…c’est simplement que les gagnants imposent leur idées et qu’ils deviennent le bien tandis que les perdants les mauvais.

        Prenez Barbe-Blanche, certain le voyaient comme l’un des plus gros trou du cul de la terre d’autres comme l’un des meilleur gars à avoir existé.

        Je vais te le prouver.


        Je me tournais vers ma proie qui était bloqué contre la paroi…ah non…il avait réussi à se dégager et attendait probablement une occasion de s’enfuir.

        -Toi la, qui es ton chef ?

        -Pourquoi je te le dirais crevard ?

        Je souris.

        -Je ne le vois pas…il t’a surement abandonné, pourquoi ne pas faire briller la justice.

        -Il est à Luvneel mon pote t’inquiète il va venir te botter le cul, dés qu’il sera au courant de ton existence.

        -C’est qui ce badass alors

        Je sortis une flasque de rhum de sous ma veste et but une lampée …allez vas y mon beau.
        Conformément à mes attentes, il me fonça dessus en dégainant.

        -Marnos Shynia…pense y dans ta tombe

        Je me relevai d’un bond, les doigts tendus de ma main droite fondirent sur l’épaule qui soutenait l’arme avant de se diriger vers le poignet opposé tandis que l’autre main se dirigeait vers le pommeau de l’arme. D’un geste rapide, je m’emparais de la lame, le fit se percuter sur le plat de la lame, je fis un pas en avant, il en fit quelques autres avant de s’écrouler le souffle coupé * Kaiyō niokeru *danse marine* Bassubeki ame 6 forme neutre*. Je plantais la lame, dans le sol, pas loin de lui et m’assis face à lui en utilisant l’arme comme dossier.

        -La Ivan, on pourrait penser que c’est un tueur mélodramatique…mais laissons lui le bénéfice du doute.

        Je le regardai dans les yeux et j'entendais clairement son cœur battre...ainsi que celui des autres chiant ca...

        -Raconte moi ton histoire…pourquoi es tu devenu ce que tu es aujourd’hui.

        -Hein ?

        -Cela pourrait influer sur ta liberté…si t’es un bon gars t’es libre quoi…

        -ah

        Il ouvrit la bouche…

        -Sache que si tu mens je le saurai…

        -Hm...le marché noir paye bien…je dirais rien de plus…

        -A quoi te sers cet argent, une famille ?

        -Non, le pognon c’est bien…je suis libre maintenant ?

        -Si t’as pas de prime oui…sinon je te pourrirai pas la vie comme t'es honnête…par contre, au cas où je te caserai pas ici…cette taule pue…Tu vois Ivan, généralement, les gens sont plus bavard, et j’ai la flemme d’expliquer pourquoi…mais cet homme ne semble agir que pour son intérêt propre quitte à en faire souffrir d’autre, il y pense peut-être pas, mais il le fait…si t’as rien à ajouté, je m’en vais…merci pour tes paroles en tout cas…le monde n’est pas si sombre finalement.

        Ses battements cardiaque étaient globalement constant il y avait un ou deux piques où il s'accéléraient, mais comme ses pupilles ne semblaient pas s’être dilaté, j'ne conclus qu'il était sincère.


        Dernière édition par Yamamoto Kogaku le Dim 16 Fév 2014 - 22:01, édité 3 fois
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        Barbe blanche ? Qui est-ce ? Enfin, l’essentiel c’est le raisonnement. L’ange ne connait pas tellement l’histoire, et à vrai dire ça ne l’intéresse pas plus que ça. Si ça lui permet d’aider des gens pourquoi pas. En tout cas, il observe le lieutenant-colonel. Pas besoin de longue parole pour que sa cible tente de le tuer. L’handicapé dégaine à toute vitesse en utilisant sa technique d’adrénaline.  Mais finalement le soldat répond et cela se passe plutôt bien. L’arme est rangée tranquillement. Un semblant d’interrogatoire a lieu puis…

        -Attends. Pour commencer, je n’avais pas besoin que tu me prouves quoi que ce soit. Je connais quelques rouages de ce monde et crois-moi. Le mensonge et la vérité, j’en connais un rayon sur ça. Ensuite, ne trouve tu pas étrange que cet homme te donne toutes les informations que tu souhaites ? A-t-on réellement la vérité après un coup de pression ? Hélas mon jeune ami… Il semblerait que cet homme s’est joué de toi. Certains préfèrent crever que de donner des informations. Ce n’est pas pour autant qu’ils sont mauvais.

        Tu sembles pressé. Je ne vais pas te retenir plus longtemps. Mais avant toute chose. J’ai une simple question à lui poser. As-tu effectué tout cela de ta propre volonté ? Sans aucune pression ?


        -J’ai déjà fait mes aveux.

        -Réponds je te pris.

        -pfff. Oui.

        Ivan place une main sur sa tête puis il replace le tout sur ses accoudoirs.

        -Cette affaire semble plus complexe que prévu. Cet homme t’a menti sur plusieurs points.
        Premièrement. Son chef n’est pas  à Luvneel. Enfin peut être pas encore.
        Et Deuxièmement. Il ne fait pas ça pour l’argent. C’est probablement d’autre intérêt. Si tu le permets, je vais faire l’interrogatoire à ma façon. Amenez-moi cet homme.

        Ce ne sont pas ses bras droits qui bougent mais les révolutionnaires locaux. Ces derniers pensaient que c’était une nouvelle recrue tout à fait banale. L’ange effectue une série de questions. Après cela il donne toute les vraies informations même si cela n’est pas exactement ce que raconter le bandit. Des mots prononcés sereinement comme s’il sait parfaitement qu’elle est la vérité.

        -Bon, il semblerait que c’est réellement une crapule. Mais je préférais vérifier. Vois-tu, les informations ne sont pas tout fait ce que tu as recueilli. Bonne journée.

        Le criminel est remis au soldat sans moindre violence. Les regards haineux des révolutionnaires qui souhaitent en découvre avec ce représentant de l’ordre sont les seules agressions.

        HRP:
          Ivan après, des paroles prouvant qu’il avait presque suivi le même parcours que moi.

          -D’habitude, ils sont sincère…je ne leur pose la question et ca s’arrête la.

          L’homme se porta devant le criminel et sembla en mesure de dire que l’autre mentait…je n’avais rien remarqué au niveau biométrique pourtant. Il posa sa main sur la tête de l’homme et posa une série de questions.

          -Qui es tu et qui es ton chef ?
          -Shynia Von layen…mon chef est le contrebandier Mervos sealayen.

          Je sortis mon denden et demandai à mes hommes de faire des recherches dessus.

          -Quels sont tes motivations.
          -Amasser assez d’argent pour monter une mafia, évincer le Mervos et prendre la tête de nombreux cartel de drogue.

          Il avait de l’ambition le gars…mais pourquoi vider t’il son sac ainsi ?

          -Où es ton boss ?
          -Je ne sais pas

          -Quel est le rapport à Luvneel
          -Il y fait construire un navire sous le nom de Stanion Barnos

          Il posa aussi quelques autres questions quelconque, auxquelles je ne fis plus attention…j’avais suffisamment d’info dans sa dernière déclaration pour monter un piège et attraper le Mervos…et à la limite…posséder un bateau pour mon usage personnel qui sait ?
          Mais il faudrait aussi que je médite les paroles de ce sage altruiste.

          Pelu Pelu Pelu
          -Hey Yama, des petits poissions, 20M a eux deux pourquoi ?

          - Prépare-moi un dossier sur eux, Klein.

          -Ok Yama j’te fais ca.

          Je rangeai l’escargophone.

          -Un pouvoir intéressant que tu as la…

          Je me relevai et sortis une paire de menotte que je fis tourner autour de mon index en sifflotant, je me dirigeai vers Shynia et sans la moindre brutalité, je lui menottai les bras dans le dos. J’attachai ensuite la l’arme du criminel dans mon dos et poussai son propriétaire par la sortie. Je me tournai vers l’handicapé.

          -Merci pour tes paroles et bonne chance dans tes entreprises futures.

          Je me tournai vers les mecs du fond et leur sourit.

          -Désolé du dérangement.

          Je récupérai la plaque de tôle que j’avais tranché et tentai de la réajuster dans le trou, mais ne trouvant pas d’outils, je décidais de la planter dans le sol…c’était mieux que rien. Certes, il y avait une fente de libre de quelque centimètre mais au moins, ils n’avaient plus de portail.

          Nous sortîmes dans les ruelles et je le poussai devant moi…il ne dit aucun mot et moi j’étais trop occupé à prévoir un plan pour lui parler ou réfléchir aux paroles de cet homme mystérieux…Ivan…mais oui je me souviens…les gars de la taverne le prenait pour un ange c’était un certain Paul Dance le gogo danseur.

          Je montai à bord du vaisseau et on offrit une belle chambre bien fraiche au criminel le temps de capturer son boss. Je m’attelai ensuite à mon bureau où était étendu les notes…non finalement j’avais la flemme… je partis donc dormir…à jeun.
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