Que dire de plus qu'un village aussi paisible et calme que celui-ci. Mais revenons un peu avant.
TERRE .... TERRE EN VUUUE !!
Le capitaine du navire s'équipait d'une longue vue et contemplait l'horizon. Celui-ci était le minuscule petit port du village de Fuschia. Une grosse vague avait rendue le pont glissant, la manœuvre y était donc plus difficile. Ce qui expliquait pourquoi le personnel prenait autant de temps. Mais apparemment, Molokost ne voulait pas comprendre ça. Dans combien de temps arrivons nous ? Vous pouvez pas faire plus vite ? Je m'impatiente la ... En bref, de quoi énerver toute la population du bateau. Même les voyageurs comme lui.
Cependant deux hommes sages et indifférents se tenaient debout, bras reposés sur la barrière, en train d'observer quelque chose. Curieux, Molokost cherchait à savoir qu'est-ce qu'ils pouvaient bien admirer. La mer tout simplement ? Non bien sur que non, la côte. Pourtant la mer n'en était pas si désagréable. Elle était même si claire et jolie que certains avaient peine à vouloir la quitter. Ce n'était pas le cas de cet homme en costard relâché : Molok'. Lui ne pensait qu'à regagner terre ferme. Une grande plateforme qui tanguait à longueurs de temps, voilà ce qu'était un navire pour lui.
En plus l'humidité était toujours si présente dans ces sales bateaux ... Décidément, ce n'est pas de si tôt qu'il allait se faire aux engins sur l'eau. En plus il avait du administrer les premiers soins à une personne tombée dans les pommes alors que lui-même risquait de tomber sous le même sort. Enfin ce n'était plus très grave. La grande barque accostait au petit port. Après que les cordages furent attachés et tout le tralala, la passerelle se mît en place. Et en premier on pouvait noter Mo'. Molok´ et son sac fétiche ...
Heureusement la douane ne fouillait pas trop dans les parages. Enfin si on pouvait appeler cette petite baraque la maison de douanes. Il y avait juste un type assis avec une pipe à la bouche qui surveillait la descente et veillait " de très loin " à la sécurité des bagages. Un gros fainéant quoi ! Son fauteuil de plage le prouvait. Son parasol aussi. Mais il se redressait vite à la vue du maire qui comme chaque matin faisait sa petite balade. Un geste de courtoisie suffisait pour ces deux habitants de la ville. Mais ce n'était pas pareil pour les voyageurs et le personnel du bateau qui eux, avaient droit à un petit accueil vite fait bien fait. Il faut dire que le village n'était pas si grand.
TERRE .... TERRE EN VUUUE !!
Le capitaine du navire s'équipait d'une longue vue et contemplait l'horizon. Celui-ci était le minuscule petit port du village de Fuschia. Une grosse vague avait rendue le pont glissant, la manœuvre y était donc plus difficile. Ce qui expliquait pourquoi le personnel prenait autant de temps. Mais apparemment, Molokost ne voulait pas comprendre ça. Dans combien de temps arrivons nous ? Vous pouvez pas faire plus vite ? Je m'impatiente la ... En bref, de quoi énerver toute la population du bateau. Même les voyageurs comme lui.
Cependant deux hommes sages et indifférents se tenaient debout, bras reposés sur la barrière, en train d'observer quelque chose. Curieux, Molokost cherchait à savoir qu'est-ce qu'ils pouvaient bien admirer. La mer tout simplement ? Non bien sur que non, la côte. Pourtant la mer n'en était pas si désagréable. Elle était même si claire et jolie que certains avaient peine à vouloir la quitter. Ce n'était pas le cas de cet homme en costard relâché : Molok'. Lui ne pensait qu'à regagner terre ferme. Une grande plateforme qui tanguait à longueurs de temps, voilà ce qu'était un navire pour lui.
En plus l'humidité était toujours si présente dans ces sales bateaux ... Décidément, ce n'est pas de si tôt qu'il allait se faire aux engins sur l'eau. En plus il avait du administrer les premiers soins à une personne tombée dans les pommes alors que lui-même risquait de tomber sous le même sort. Enfin ce n'était plus très grave. La grande barque accostait au petit port. Après que les cordages furent attachés et tout le tralala, la passerelle se mît en place. Et en premier on pouvait noter Mo'. Molok´ et son sac fétiche ...
Heureusement la douane ne fouillait pas trop dans les parages. Enfin si on pouvait appeler cette petite baraque la maison de douanes. Il y avait juste un type assis avec une pipe à la bouche qui surveillait la descente et veillait " de très loin " à la sécurité des bagages. Un gros fainéant quoi ! Son fauteuil de plage le prouvait. Son parasol aussi. Mais il se redressait vite à la vue du maire qui comme chaque matin faisait sa petite balade. Un geste de courtoisie suffisait pour ces deux habitants de la ville. Mais ce n'était pas pareil pour les voyageurs et le personnel du bateau qui eux, avaient droit à un petit accueil vite fait bien fait. Il faut dire que le village n'était pas si grand.