1625 – Quelque part dans le monde
Dans ce grand laboratoire à la pointe de la technologie, un long manteau d’officier parcourait incessamment les couloirs. A l’intérieur de celui-ci, on y retrouve un homme dégarni, d’un certain âge pour ne pas dire d’un âge certain et dont l’humeur exécrable se devine à son faciès. A l’accoutumé l’homme est donc du genre désagréable et aujourd’hui il l’est plus encore tandis qu’il hante salles et couloirs du bâtiment. La démarche sûre, il avance en roulant des épaules ce qui accentue l’effet de balancement de son manteau frappé du sceau de la justice.
Tous s’éparpille sur son passage, soit ils font demi-tour, soit ils se collent contre les murs et attendent que la tornade passe. Sur les nerfs, il entre avec fracas dans la cabine de pause et dépossède le pauvre personnel de leurs gobelets de café qu’il finit d’une traite sans se préoccuper du reste.
-Z’est quoi ça ? Z’est pas mon café ! Ze veut mon café ! Za Zufit, qu’on me le rende ! Z’en peux plus !!
S’en suivit aussitôt un lourd et puissant bruit sourd dû à la rencontre inéluctable et prévisible du poing du sous-amiral contre une pauvre table qui n’avait rien demandé. Là, nombreux furent les scientifiques à avoir peur et à se liguer pour que l’on remédie immédiatement à la situation : le café du sous amiral Igniss ‘Cold’z Larss devait être retrouvé.
Tous s’éparpille sur son passage, soit ils font demi-tour, soit ils se collent contre les murs et attendent que la tornade passe. Sur les nerfs, il entre avec fracas dans la cabine de pause et dépossède le pauvre personnel de leurs gobelets de café qu’il finit d’une traite sans se préoccuper du reste.
-Z’est quoi ça ? Z’est pas mon café ! Ze veut mon café ! Za Zufit, qu’on me le rende ! Z’en peux plus !!
S’en suivit aussitôt un lourd et puissant bruit sourd dû à la rencontre inéluctable et prévisible du poing du sous-amiral contre une pauvre table qui n’avait rien demandé. Là, nombreux furent les scientifiques à avoir peur et à se liguer pour que l’on remédie immédiatement à la situation : le café du sous amiral Igniss ‘Cold’z Larss devait être retrouvé.
1625 – Au large des côtes de Torino
Des exploitants agrée par le gouvernement avait trouvé un compromis avec les autochtones. Ces derniers ont noué un pacte avec quelques huiles et les acteurs du commerce international. Les ressources naturelles dont regorge l’ile peuvent être en partie exploités et vendus en échange d’armes ou de prototypes. Après quoi les ‘gentils sauvages’ sous la houlette de Katabolonga ont tout loisir d’adapter les dites armes afin d’assurer la continuité de leur mode de vie néotribal. Et bien entendu, parmi les denrées exploitées, on trouve la présence de caféiers sur cette ile. Des arbustes qui n’ont pas leur pareille et dont les fruits renferment l’essence même de ce qu’idolâtre le plus le sous amiral Larss après le gouvernement : le café !
1625 – Sur l’une des plages de l’ile de Torino
Sur la plage, c’était la débandade. Alors que le soleil recouvrait chaleureusement l’ile d’un halo de lumière, voilà qu’un groupuscule de bandit avait lui, décidé de ternir ce tableau idyllique. De tous horizons ils affluaient coupant alors la retraite par la forêt aux exploitants et bloquant toutes tentatives de fuite par la mer. Les divers chargements se voyaient ensuite détournés vers un navire marchand qui servait de couverture à ce regroupement d’immondice.
Puis, les victimes baissèrent subitement leurs bras et la peur qui habitait jusqu’ici leur visage semblait s’estomper de seconde en seconde. Des bruits se firent entendre dans la forêt, des bruits qui s’intensifiaient pour finalement se changer en sbire du gouvernement une fois exposé à la lumière. Recouvert d’un costume à la fois élégant et pratique, ils étaient prêt à en découdre alors qu’ils tenaient tous ou presque une matraque dans la main. Formant un cercle autour des bandits qui, eux même, encerclaient les exploitants, la situation était des plus délicate. Toutefois, la topologie des lieux et le manque d’information ont conduit l’agent Sorrento à cette stratégie. Avant que sa silhouette n’émerge elle aussi des ombres de la forêt, l’on pouvait déjà entendre ses mots s’adresser aux voleurs :
- Voyez le courage de ses hommes et femmes qui travaillent durement et dont vous dépossédez les fruits de leur labeur sans aucun remord. Voyez comme ils vous font front et plus que cela, voyez nous à leurs côtés.
Clairement visible, l’homme apparut alors. Jeune, habillé d’une longue chemise blanche immaculée et au bas de cuir. Ses bottines remontaient jusque sous ses genoux et n’émettaient aucun bruit alors qu’il s’approchait à pas feutré. L’arme au poing, l’astre du jour illuminait doucement la garde et la lame les rendant tout deux aussi étincelant que le regard du jeune agent.
Puis, les victimes baissèrent subitement leurs bras et la peur qui habitait jusqu’ici leur visage semblait s’estomper de seconde en seconde. Des bruits se firent entendre dans la forêt, des bruits qui s’intensifiaient pour finalement se changer en sbire du gouvernement une fois exposé à la lumière. Recouvert d’un costume à la fois élégant et pratique, ils étaient prêt à en découdre alors qu’ils tenaient tous ou presque une matraque dans la main. Formant un cercle autour des bandits qui, eux même, encerclaient les exploitants, la situation était des plus délicate. Toutefois, la topologie des lieux et le manque d’information ont conduit l’agent Sorrento à cette stratégie. Avant que sa silhouette n’émerge elle aussi des ombres de la forêt, l’on pouvait déjà entendre ses mots s’adresser aux voleurs :
- Voyez le courage de ses hommes et femmes qui travaillent durement et dont vous dépossédez les fruits de leur labeur sans aucun remord. Voyez comme ils vous font front et plus que cela, voyez nous à leurs côtés.
Clairement visible, l’homme apparut alors. Jeune, habillé d’une longue chemise blanche immaculée et au bas de cuir. Ses bottines remontaient jusque sous ses genoux et n’émettaient aucun bruit alors qu’il s’approchait à pas feutré. L’arme au poing, l’astre du jour illuminait doucement la garde et la lame les rendant tout deux aussi étincelant que le regard du jeune agent.
Dernière édition par Sorrento Olin le Dim 23 Fév 2014, 10:34, édité 1 fois