Avant d’arriver à Armada… Ou sur Armada, on a demandé comment c’était là-bas. Apparemment, on devait découvrir une multitude de bateau et de lien qui les unissaient. Soi-disant un navire géant créé par ces navires. Un endroit plus proche d’une ile tellement sa taille s’y rapportait. Un lieu ayant ses quartiers, son port, son commerce et son gérant… Un lieu qui semblait être tenu d’une main de fer, dans une politique proche de la dictature. On nous a dit que la règle était que chaque capitaine était responsable de son pavillon ! Autant dire qu’une fois les pieds sur son navire colossale, nous n’aurions plus vraiment de sécurité.
Bref, un lieu qui ne donnait pas vraiment envie, mais on nous a assuré que c’était un lieu idéal pour les pirates. Au loin nous commencions à apercevoir ce que tout le monde appelait Armada. Et c’est vrai qu’une fois arrimé à lui, notre navire faisait pale figure…
J’ai collé ma main sur mon front pour me cacher du soleil en regardant la cime de ce navire tout en sifflant d’une seule traite.
Ulcky : Impressionnant la bête ! T’as vu le vieux ? T’en a jamais construit des comme ça !
Porco qui me suivait de près commença par vouloir me cogner derrière la tête. Et réussis comme à chaque fois…
Porco : Crétin de disciple, tu crois que ficeler et entasser des navires comme ça veut dire les construire ? Le type qui eut l’idée de ça est surtout cintré ! C’est moche, impossible à manœuvrer correctement et …
Ulcky : Ca en jette quand même un peu…
Proco : Crétin va…
Lorsque qu’enfin nous avons tous posé le pied sur le plancher grinçant, la patronne commença à beugler.
Aoi : Mes amis. On arrive bientôt. On se laisse une semaine ou deux pour vivre notre petite vie, chacun de notre côté à la visite de la ville avant de repartir. Qui sait, chacun trouvera son bonheur. Et j'espère bien! N'oubliez pas quand vous aurez le temps, Ulcky, de ton côté, d'aller voir les charpentiers navales, histoire d'y gagner quelque chose. Et pareil pour nos deux médecins du côté des apothicaires. Je compte sur toi Natacha pour te charger du recrutement. Et ce qui me concerne, je veillerai à nous trouver des capitaines intéressants pour faire alliance, dont le capitaine Red évidemment.
Sa phrase à peine fini que Porco tenta de se jeté sur elle, telle un loup sur son morceau de barbaque ! Mais quand c’est la nourriture qui aplatit le nez déjà porcin de l’homme… Les hostilités sont déjà finies. J’ai pris le pas en direction du chantier naval en faisant un simple mouvement de main en arrière qui voulait dire « cause toujours tu m’intéresse ». Mon maitre me rattrapa peu de temps après…
Nous avions quelques jours devant nous pour nous préparer et repartir. Autant de temps qui pourrait nous être fatal, mais après ce que nous avions vécu sur l’ile des chasseurs de prime cela importait peu. Le décor nous enivrait malgré les apparences. Ce n’était pas anodin comme situation.
Nous sommes enfin arrivé vers le chantier navale, enfin chantier…
Il fallait voir ici un zone ou les bateaux étaient démantelés et une autre ou ils prenaient vie ! Une zone plaine de bon à rien de charpentier qui se hurlait dessus ! C’était comme au cimetière dépave, mais avec des mecs qui savaient à peu près ce qu’ils faisaient.
Je commençais à regarder ce qu’il nous fallait pour le navire. Ce n’était pas le nôtre, mais cela restait une bonne coque de noix. En plus, nous avions la chance qu’il soit déjà très bien équipé. Il nous fallait juste quelques aménagements pour que chacun puisse y trouver son compte. Je me suis approché d’un homme assez étrange qui était préoccupé à crier sur les mouvais payeur.
M. Mouche : Vous là capitaine Fripouille ! Vous nous devait encore 10 million de berry ! Ne croyez pas partir comme ça sans payer ! Vous capitaine …
Ulcky : Euh machin ? Tu sais où je pourrais acheter…
M. Mouche : Vous êtes qui vous ?
Ulcky : … Comment te dire…
M. Mouche : Si vous ne me dîtes pas, je ne peux pas vous aider voyons ! Et dépêchez-vous j’ai des mauvais payeurs à trouver !
Ulcky : Je m’appelle Ul…. Kusanagi. Le boucher des ombres du chaos. Et mon illustre, beau, grand, charmeur… Mmm… Fort et incroyablement charismatique Ulcky Yuan m’a demandé d’acheter une vingtaine de boulet de canon et 6 stères de planche de pin en 2 x 40 x 4.
M. Mouche : Les ombres ? Ulcky Yuan ? Un crétin inconnu….
J’ai emboité le pas pour lui coller une bonne beigne dans la tranche lorsque Porco arrêta mon bras…
M. Mouche : Oh mais vous êtes le célèbre Porco de Water Seven ! Que faites-vous ici ?
Porco : Je dois vérifier que cet homme à tout faire obéisse bien à mon disciple…
M. Mouche : Cet inconnu de Yuan est votre disciple ? Il doit avoir un peu de potentiel alors… Bon, votre commande… Je n’ai pas le temps là. Voici la facture ! Nous pouvons livrer pour vous. C’est un supplément, mais vous gagnez en rapidité !
Ulcky : Oué on prend… en revanche le facture c’est la patronne qui gère… Demandez Aoi.
M. Mouche : Bon, si vous ne payez pas, on désossera votre navire ! Ne l’oubliez pas !
Ulcky : Oué oué… J’ai peur…
Au milieu du chantier incessant, il y avait un homme qui criait les dernières grandes nouvelles et vendait son journal ainsi. Lorsqu’il entendit le nom d’Aoi à travers ma bouche il s’empressa de venir vers vous.
Le vendeur : Oh mais vous êtes un membre des ombres ! Vous avez pris chère dit donc ! Vos primes ont augmenté vous savez ?
Il sortit de sa besace un exemplaire qui relatait notre aventure et annonçait une hausse de nos primes. Quand j’ai feuilleté, j’ai délaissé totalement les autres affiches pour me focaliser sur la mienne. Ma prime avait doublé ! Doublé quoi ! 24 000 000 Berry ! Porco et moi on n’en revenait pas !
Ulcky : t’a vu la bête ? Je suis devenu trop célèbre avec mes conneries !
Porco : Crétin ! Plus tu seras primé et plus on voudra te chasser !
Ulcky : Mais non… Plus je serais primé et plus les gens auront peur de se frotter à moi, donc je serais tranquille !
Porco : Il n’y a que toi pour penser ça…
Le comptable qui était resté à coté de nous jeter un œil dur les affiches.
M. Mouche : Vous n’êtes pas Kusanagi comme vous le prétendez… Dites Porco… Il me semble un peu crétin ce disciple.
Porco : Je le dis tous les jours…
C’est sur cette dernière mauvaise impression que nous somme repartit. Nous avions gardé un exemplaire afin de l’archiver.
On profita du reste du temps pour aller jeté un œil sur les techniques de désossement des navires. Nous nous sommes approché de la dites zone afin d’en apprendre plus. Autour de nous c’était un navire entouré d’échafaudage de fer et de bois d’une hauteur bien supérieur à la moyenne. Ces échafaudages était fixé sur des rails pour ne augmenter ou e diminuer la distance entre elle et accueillir n’importe quelle navire. Il y avait plusieurs installations de ce type et les techniciens s’amusaient à parier sur l’équipe la plus rapide.
Lorsque le compte à rebours commença, les deux équipes brillaient par les rapidités. Tous étaient posé au sol en moins de temps qu’il ne fat pour le dire. Les cris fusaient vers ces hommes et femmes de haut niveau !
Ulcky : C’est lent…
Là tous les yeux se posèrent sur moi, tantôt d’un regard énervé, tantôt stupéfait… Bref, j’avais dit un mot de trop ou plutôt deux…
Technicien : Eh toi ! Le rigolo ! Viens par-là !
Ulcky : Appelle-moi maitre Ulcky si tu le souhaite…
Technicien : Tu te la raconte un peu trop à mon gout… On va voir ce que tu vaux mon grand. Ce sera toi contre notre équipe puisque tu es si fort.
Ulcky : Tenu la tortu !
Encore un affront envers ces hommes qui s’agaçait encore un peu plus et tordait les outils qu’ils tenaient entre leurs mains.
Nous étions finalement chacun sur nos bateaux. Enfin, eux répartit de façon équilibré et où chacun trouvait sa place et savait quoi faire. Et moi sur le pont d’un vieux bateau au planché vermoulu et faisait des « coucou » au gens qui me huait pour mon affront envers leurs compagnons. Soudain, le gong retentit et l’équipe adverse s’exécuta avec une rapidité déconcertante. Aucun geste inutile et une maitrise incroyable de leur métier. En peu de temps e navire était déjà à moitié descendu alors que de mon côté je continuais à faire des signes sans avoir compris que le départ était déjà loin. Une fois que je m’en étais rendu compte j’ai sursauté d’étonnement.
Ulcky : C’est de la triche ! J’étais pas prêt !
Technicien : dommage pour toi crétin !
Ulcky : Ah d’accord…
J’ai sauté en l’air sur plusieurs mètres de hauteur et lorsque ma chute commença et frappé le sol avec une violence incroyable faisant explosé le bateau en millions d’éclats en son centre. J’ai réitéré cette frappe à droit et à gauche pour enchainé cette première explosion.
Vous vous souvenez des regards que l’on m’a porté tout à l’heure ? J’avais encore eu le droit au même silence et à ces mêmes yeux. L’équipe adverse n’avait pas encore finit et j’ai posé mes yeux sur leur chef d’équipe et d’un ton victorieux, j’ai dit...
Ulcky : J’ai gagné…
Porco : ……………… Crétin de disciple ………….
Technicien : Mais abruti ! On doit démembrer le bateau et garder viable les morceaux !!! Pas tout faire exploser comme un cinglé !!! DEGAGE !!!
Ulcky : Oups pardon…
Ma nonchalance fit exploser de colère cet homme qui se jeta sur moi. Je l’ai maitrisé d’un revers du pied et il vola dans une direction inconnue. Mais sa course s’arrêta avec la main d’un homme imposant. Un homme avec une jambe de bois et une barbe rousse qui s’approcha de moi lentement.
Bout de bois : Mon grand, ce n’est pas bien de faire du mal ici. C’est ma zone et je n’autorise pas ce genre d’attaque. Il était plus faible que toi et …
Ulcky : Oué ok désolé et a plus !
Je commençais à partir, ça d’une ça me saoulait d’écouter les sermons d’un inconnu et de deux, avec le temps, j’avais appris que parfois il était mieux de partir avant que la tempête commence… L’homme s’emporta aussi sec et me colla un coup de sa jambe de bois dans le dos ce qui me fit voler en avant et atterrir plus loin sur les planches recouvert de sciure.
Ulcky : Aih aih aih Mais c’est douloureux ….
Porco : T’es un crétin de disciple tu le sais ?
Ulcky : Oué c’est bon, mais en même temps je ne pensais pas que… Tiens pourquoi je peux plus me relevé…
J’étais bloqué au sol… Je sentais une gêne dans le dos qui m’en empêchait et me paralysa presque…
Bref, un lieu qui ne donnait pas vraiment envie, mais on nous a assuré que c’était un lieu idéal pour les pirates. Au loin nous commencions à apercevoir ce que tout le monde appelait Armada. Et c’est vrai qu’une fois arrimé à lui, notre navire faisait pale figure…
J’ai collé ma main sur mon front pour me cacher du soleil en regardant la cime de ce navire tout en sifflant d’une seule traite.
Ulcky : Impressionnant la bête ! T’as vu le vieux ? T’en a jamais construit des comme ça !
Porco qui me suivait de près commença par vouloir me cogner derrière la tête. Et réussis comme à chaque fois…
Porco : Crétin de disciple, tu crois que ficeler et entasser des navires comme ça veut dire les construire ? Le type qui eut l’idée de ça est surtout cintré ! C’est moche, impossible à manœuvrer correctement et …
Ulcky : Ca en jette quand même un peu…
Proco : Crétin va…
Lorsque qu’enfin nous avons tous posé le pied sur le plancher grinçant, la patronne commença à beugler.
Aoi : Mes amis. On arrive bientôt. On se laisse une semaine ou deux pour vivre notre petite vie, chacun de notre côté à la visite de la ville avant de repartir. Qui sait, chacun trouvera son bonheur. Et j'espère bien! N'oubliez pas quand vous aurez le temps, Ulcky, de ton côté, d'aller voir les charpentiers navales, histoire d'y gagner quelque chose. Et pareil pour nos deux médecins du côté des apothicaires. Je compte sur toi Natacha pour te charger du recrutement. Et ce qui me concerne, je veillerai à nous trouver des capitaines intéressants pour faire alliance, dont le capitaine Red évidemment.
Sa phrase à peine fini que Porco tenta de se jeté sur elle, telle un loup sur son morceau de barbaque ! Mais quand c’est la nourriture qui aplatit le nez déjà porcin de l’homme… Les hostilités sont déjà finies. J’ai pris le pas en direction du chantier naval en faisant un simple mouvement de main en arrière qui voulait dire « cause toujours tu m’intéresse ». Mon maitre me rattrapa peu de temps après…
Nous avions quelques jours devant nous pour nous préparer et repartir. Autant de temps qui pourrait nous être fatal, mais après ce que nous avions vécu sur l’ile des chasseurs de prime cela importait peu. Le décor nous enivrait malgré les apparences. Ce n’était pas anodin comme situation.
Nous sommes enfin arrivé vers le chantier navale, enfin chantier…
Il fallait voir ici un zone ou les bateaux étaient démantelés et une autre ou ils prenaient vie ! Une zone plaine de bon à rien de charpentier qui se hurlait dessus ! C’était comme au cimetière dépave, mais avec des mecs qui savaient à peu près ce qu’ils faisaient.
Je commençais à regarder ce qu’il nous fallait pour le navire. Ce n’était pas le nôtre, mais cela restait une bonne coque de noix. En plus, nous avions la chance qu’il soit déjà très bien équipé. Il nous fallait juste quelques aménagements pour que chacun puisse y trouver son compte. Je me suis approché d’un homme assez étrange qui était préoccupé à crier sur les mouvais payeur.
M. Mouche : Vous là capitaine Fripouille ! Vous nous devait encore 10 million de berry ! Ne croyez pas partir comme ça sans payer ! Vous capitaine …
Ulcky : Euh machin ? Tu sais où je pourrais acheter…
M. Mouche : Vous êtes qui vous ?
Ulcky : … Comment te dire…
M. Mouche : Si vous ne me dîtes pas, je ne peux pas vous aider voyons ! Et dépêchez-vous j’ai des mauvais payeurs à trouver !
Ulcky : Je m’appelle Ul…. Kusanagi. Le boucher des ombres du chaos. Et mon illustre, beau, grand, charmeur… Mmm… Fort et incroyablement charismatique Ulcky Yuan m’a demandé d’acheter une vingtaine de boulet de canon et 6 stères de planche de pin en 2 x 40 x 4.
M. Mouche : Les ombres ? Ulcky Yuan ? Un crétin inconnu….
J’ai emboité le pas pour lui coller une bonne beigne dans la tranche lorsque Porco arrêta mon bras…
M. Mouche : Oh mais vous êtes le célèbre Porco de Water Seven ! Que faites-vous ici ?
Porco : Je dois vérifier que cet homme à tout faire obéisse bien à mon disciple…
M. Mouche : Cet inconnu de Yuan est votre disciple ? Il doit avoir un peu de potentiel alors… Bon, votre commande… Je n’ai pas le temps là. Voici la facture ! Nous pouvons livrer pour vous. C’est un supplément, mais vous gagnez en rapidité !
Ulcky : Oué on prend… en revanche le facture c’est la patronne qui gère… Demandez Aoi.
M. Mouche : Bon, si vous ne payez pas, on désossera votre navire ! Ne l’oubliez pas !
Ulcky : Oué oué… J’ai peur…
Au milieu du chantier incessant, il y avait un homme qui criait les dernières grandes nouvelles et vendait son journal ainsi. Lorsqu’il entendit le nom d’Aoi à travers ma bouche il s’empressa de venir vers vous.
Le vendeur : Oh mais vous êtes un membre des ombres ! Vous avez pris chère dit donc ! Vos primes ont augmenté vous savez ?
Il sortit de sa besace un exemplaire qui relatait notre aventure et annonçait une hausse de nos primes. Quand j’ai feuilleté, j’ai délaissé totalement les autres affiches pour me focaliser sur la mienne. Ma prime avait doublé ! Doublé quoi ! 24 000 000 Berry ! Porco et moi on n’en revenait pas !
Ulcky : t’a vu la bête ? Je suis devenu trop célèbre avec mes conneries !
Porco : Crétin ! Plus tu seras primé et plus on voudra te chasser !
Ulcky : Mais non… Plus je serais primé et plus les gens auront peur de se frotter à moi, donc je serais tranquille !
Porco : Il n’y a que toi pour penser ça…
Le comptable qui était resté à coté de nous jeter un œil dur les affiches.
M. Mouche : Vous n’êtes pas Kusanagi comme vous le prétendez… Dites Porco… Il me semble un peu crétin ce disciple.
Porco : Je le dis tous les jours…
C’est sur cette dernière mauvaise impression que nous somme repartit. Nous avions gardé un exemplaire afin de l’archiver.
On profita du reste du temps pour aller jeté un œil sur les techniques de désossement des navires. Nous nous sommes approché de la dites zone afin d’en apprendre plus. Autour de nous c’était un navire entouré d’échafaudage de fer et de bois d’une hauteur bien supérieur à la moyenne. Ces échafaudages était fixé sur des rails pour ne augmenter ou e diminuer la distance entre elle et accueillir n’importe quelle navire. Il y avait plusieurs installations de ce type et les techniciens s’amusaient à parier sur l’équipe la plus rapide.
Lorsque le compte à rebours commença, les deux équipes brillaient par les rapidités. Tous étaient posé au sol en moins de temps qu’il ne fat pour le dire. Les cris fusaient vers ces hommes et femmes de haut niveau !
Ulcky : C’est lent…
Là tous les yeux se posèrent sur moi, tantôt d’un regard énervé, tantôt stupéfait… Bref, j’avais dit un mot de trop ou plutôt deux…
Technicien : Eh toi ! Le rigolo ! Viens par-là !
Ulcky : Appelle-moi maitre Ulcky si tu le souhaite…
Technicien : Tu te la raconte un peu trop à mon gout… On va voir ce que tu vaux mon grand. Ce sera toi contre notre équipe puisque tu es si fort.
Ulcky : Tenu la tortu !
Encore un affront envers ces hommes qui s’agaçait encore un peu plus et tordait les outils qu’ils tenaient entre leurs mains.
Nous étions finalement chacun sur nos bateaux. Enfin, eux répartit de façon équilibré et où chacun trouvait sa place et savait quoi faire. Et moi sur le pont d’un vieux bateau au planché vermoulu et faisait des « coucou » au gens qui me huait pour mon affront envers leurs compagnons. Soudain, le gong retentit et l’équipe adverse s’exécuta avec une rapidité déconcertante. Aucun geste inutile et une maitrise incroyable de leur métier. En peu de temps e navire était déjà à moitié descendu alors que de mon côté je continuais à faire des signes sans avoir compris que le départ était déjà loin. Une fois que je m’en étais rendu compte j’ai sursauté d’étonnement.
Ulcky : C’est de la triche ! J’étais pas prêt !
Technicien : dommage pour toi crétin !
Ulcky : Ah d’accord…
J’ai sauté en l’air sur plusieurs mètres de hauteur et lorsque ma chute commença et frappé le sol avec une violence incroyable faisant explosé le bateau en millions d’éclats en son centre. J’ai réitéré cette frappe à droit et à gauche pour enchainé cette première explosion.
Vous vous souvenez des regards que l’on m’a porté tout à l’heure ? J’avais encore eu le droit au même silence et à ces mêmes yeux. L’équipe adverse n’avait pas encore finit et j’ai posé mes yeux sur leur chef d’équipe et d’un ton victorieux, j’ai dit...
Ulcky : J’ai gagné…
Porco : ……………… Crétin de disciple ………….
Technicien : Mais abruti ! On doit démembrer le bateau et garder viable les morceaux !!! Pas tout faire exploser comme un cinglé !!! DEGAGE !!!
Ulcky : Oups pardon…
Ma nonchalance fit exploser de colère cet homme qui se jeta sur moi. Je l’ai maitrisé d’un revers du pied et il vola dans une direction inconnue. Mais sa course s’arrêta avec la main d’un homme imposant. Un homme avec une jambe de bois et une barbe rousse qui s’approcha de moi lentement.
Bout de bois : Mon grand, ce n’est pas bien de faire du mal ici. C’est ma zone et je n’autorise pas ce genre d’attaque. Il était plus faible que toi et …
Ulcky : Oué ok désolé et a plus !
Je commençais à partir, ça d’une ça me saoulait d’écouter les sermons d’un inconnu et de deux, avec le temps, j’avais appris que parfois il était mieux de partir avant que la tempête commence… L’homme s’emporta aussi sec et me colla un coup de sa jambe de bois dans le dos ce qui me fit voler en avant et atterrir plus loin sur les planches recouvert de sciure.
Ulcky : Aih aih aih Mais c’est douloureux ….
Porco : T’es un crétin de disciple tu le sais ?
Ulcky : Oué c’est bon, mais en même temps je ne pensais pas que… Tiens pourquoi je peux plus me relevé…
J’étais bloqué au sol… Je sentais une gêne dans le dos qui m’en empêchait et me paralysa presque…