I've No Regrets, This is the Only Path... [C'est ta mère l'UC Mizu, moi j'ai terminé !]

Ouais, ben revenons aux circonstances qui m'ont emmené à arriver sur un bateau, tout seul. A vrai dire c'est vraiment une histoire incroyable reflétant à merveille la chevalerie héréditaire des Noriyaki. Une histoire tellement cela que vous pouvez pas comprendre, eh oui des mots pas français que j'utilise, et des tournures médiocre, mais c'est une histoire pas comme les autres pour des tournures pas comme les autres. Vous l'avez compris, je joue fin les gars.

A vrai dire c'est une faiblesse de trop aimer les femmes, d'être trop gentil avec elles, parce que voyez vous, il se dit que les hommes sont des calculateurs les faisant souffrir, mais elles ce sont des manipulatrices prêtent à tout pour avoir ce qu'elles veulent. Moi je me suis fait avoir par une fille qui, comme cet enfoiré de cousin, a une telle soif d'argent que pour elle, il faut vivre pour avoir de l'argent et non avoir de l'argent pour vivre. Vous voulez le nom de cette femme ? Latraviata. Une démoniaque chevelure ténébreuse représentant à merveille les tréfonds de l'enfer. Un démon dans un corps humain, une personne d'une intelligence sans pareille pour des intentions malsaine tel le banditisme et la piraterie. Ses yeux rouges me faisant penser aux flammes de l'enfer se couplent à merveille avec sa chevelure, offrant un tout représentant la partie la plus frappante de ce monde.

Pour tout vous expliquer, elle était là, en train de se débattre dans l'eau alors moi évidemment, dans la détresse et comme tout marin ferait, j'ai sauté dans l'eau pour la sauver. Je l'ai rammené à sa barque, mais, avec un sourire et des yeux donnant des frissons sur toutes les infimes parties de mon corps, elle m'assomma à l'aide de sa rame. Je ne sais pas vraiment ce qu'il s'est passé après, mais à mon réveil, le bateau de la marine n'était plus là, et évidemment, j'étais pas dans la merde. Plongeant mes mains dans les profondeurs extrêmes de mes poches, rien. Cette enflure m'avait piqué mon Den Den et mes Berrys, me laissant uniquement mon sabre et mes vêtements. Fouillant de fond en comble la barque, je ne trouvais pas de nourriture ni d'eau, rien de quoi tenir bien longtemps. Mon seul et unique espoir était d'attendre qu'un bateau passe, n'importe lequel.

Les heures passaient et aucun bateaux ne naviguaient dans cette partie de North Blue, pourtant la mer dîtes la plus dangereuse en raison des nombreux carnages causés par certains pirates comme Yukiji Alucard, le pirate le plus primé de North Blue avec ses soixante-dix millions de berrys ou le capitaine pirate Unwin Vail qui a causé tant de soucis à Manshon. Celui qui m'avait tout appris était maintenant un homme de haut rang, et moi j'allais le dépasser en capturant celui qui j'ai toujours voulu capturer : Satoshi Noriyaki. Si celui ci venait à disparaître de mes mains, ma renommée serait telle qu'on entendrait parler de moi jusque dans le Nouveau Monde ! Ce n'est qu'une question de temps et de force, car je ne pense pas être encore en mesure de le battre alors que celui ci à fait jeu égal avec le Capitaine Arashibourei pourtant connu de sa force et de sa vitesse titanesque d'homme poisson.

J'étais trop pensif, il fallait que je me calme pour ne pas avoir faim ni soif, il fallait que mon coeur ralentisse et que mon cerveau se refroidisse, il fallait aussi que...j'aille pisser. Me levant, j'ouvrais ce bouton pour enfin sortir cet anaconda constructeur et faire sortir ce liquide jaune dans lequel est situé tous les déchets pas bon pour le corps. Ayant fini, je fermais les yeux en pensant comme bon nombre de personne pense après avoir fini de faire cet acte humain "Ah... Ca fait du bien...!". Un petit pet pour finir tout ça et c'est parfait. Me rasseyant, j'aperçu un navire. Un navire sur lequel on pouvait distinguer trois personnages. Un petit gros, un grand baraqué et un mec normal, comme moi.

Levant mes yeux vers la voile, je vis ce noir et cette tête de mort, cette chose représentant la piraterie, dérivé inconcevable du banditisme. Ils étaient de la même trempe que Satoshi, des manipulateurs avares qui ne méritent pas de vivre. Faisant des signes incompréhensibles pour qu'ils me voient, ils aperçurent ma barque et se rapprochèrent. Mon cœur battait à une telle vitesse qu'il m'était impossible de compter les pulsassions. Leur bateau était de plus en plus près, il s'approchait. Je m'assis dans la barque pour attraper ma lame de sorte qu'ils ne la voient pas. Leur navire était maintenant collé à cette barque bas de gamme remplis d'écharde et c'est au moment précis où le bruit de l'infime collision que je bondis en l'air pour atterrir dans leur bateau, et sans somation, j'effectuai un sprint pour entaillé les jambes du plus massif, sentant les divers courant d'air filer entre mes cheveux, je m'arrêtai net après avoir envoyé le coup de sabre pour me retourner et bloquer l'attaque du petit gros. Je fis un bond en arrière tandis que le grand était toujours debout, il était résistant et ça n'allait pas être simple de le faire flancher. Le "normal" quand à lui était aller en hauteur, et s'était assis sur une chaise. C'était une prétention de pirate ça ! Il mérite bien une bonne leçon !

Pendant que mes yeux étaient dirigés vers la silhouette allongée du bonhomme, le petit gros était en train de courir vers moi, sabre dégainé, pour enfin envoyer un coup d'une extrême lenteur et d'une qualité exécrable, que je pu éviter et contrer en lui tranchant la gorge. Une mort rapide. Le grand quand à lui ne pouvait plus marcher en raison des entailles profondes qui saignaient telle une fontaine. Courant vers lui pour à son tour lui trancher la gorge, quand je fis à la longueur de son poing il m'écrasa sur le sol, cassant de nombreuses planche de leur bateau. Une douleur abominable me pris et mon nez était en sang quelques clous c'étaient plantés dans mon torse et dans mon bras, me faisant sentir des chocs électriques dans tout le corps.

La pression sur ma tête qui me poussait vers le bas c'était arrêté, et j'entendis un cri, un cri grave qui était surement celui du grand. La raison de sa douleur était certainement son effort trop important avec des jambes entaillés. Les deux genoux de l'homme tombèrent en même temps sur le sol, effectuant des turbulences sur l'ensemble du bateau. Je me relevais et essuya le sang propagé sur mon visage et mon torse, pour enfin appeler le gars là haut.

« Eh toi ! T’as l’air inteligent non ? Je suis un marine, si tu me laisses ton bateau je te laisserais la vie sauve »

Sourire aux lèvres, il descendit de là haut en un saut pour retomber bien droit. Il était fort, un homme normal ne serait pas retomber de cette façon. Je me mis en position défensive, mais il avait disparu. Je sentis un coup de vent derrière moi, il était dans cette direction mais j'étais trop lent. Il m'avait percé l'épaule gauche. Crachant du sang je me retournais mais il avait encore disparu.

« Scioperi di Squalo ! »

Je pris mon sabre en version poignard, cet homme effectuais un bruit a peine audible lorsqu'il se déplaçait et il était à ma droite. Un coup sec, dans la carotide pour finir sa vie. C'était fini, je pouvais rentrer au QG.