Haki la faute ?!
Seul dans les rues d'une ville sous le contrôle de criminels, l'homme marche sans but précis. Il rêvasse. Il pense à ce que venait lui dire cette bonne femme à propos des îles célestes, de la lame qu'il convoite temps mais aussi à sa femme. Cela faisait bien un an et demi qu'il ne l'avait pas vu, il espère qu'elle se porte bien. Des ces rues lugubres dont le sol est jonché par d'innombrables flaques de sang, l'homme pense au moyen qu'il allait utiliser afin de pouvoir mettre les pieds sur ces îles faites de nuages. Tant de questions auxquelles il n'a pas de réponses. Trainant des pieds, les mains dans les poches et sa capuche sur la tête, il démarche les ruelles d'une allure non-chalande. Qu'est ce qui le retenait désormais sur cette île ? Si le second d'un empereur ne souhait pas lui accorder la faveur de l'aider, qui le ferait ? Même si en réfléchissant, ce genre de problématique est assez logique. Elle est une pirate. Jonchant les trottoirs, la tête pleine d'idées brèves, il se dégotta un commerce au pied d'une place marchande composée par une fontaine dont la statue ai subit les dégâts de durs conflits.
Poussant la porte, enclenchant la sonnette d'entrée, il fait éruption dans la boutique affichant un air de passage à l'égard du commerçant tout émoustillé par la venue d'un étranger. A le voir, bon nombre de personnes n'ont dû passer le seuil de son échoppe.
« Bien l'bonjour étranger ! Que re..recherchez-vous ? Je peux vous aider vo..vous savez. Armes, drogues, alcool, mais aussi biens alimentaires, livres. »
« Je ne fais que passer. Je regarde seulement. »
« Très bien. Je..je..vous laisse faire le tour a..a..alors. »
A l'entendre, il n'était pas un pirate comme la plupart des individus présents sur cette île. Son dialecte puait l'aristocrate à plein nez ou du moins, l'ancien aristocrate. Qu'est ce qu'il foutait là, au beau milieu de tous ces pirates ? Ce genre d'homme doit se faire dévaliser pas mal de fois dans la semaine. Et ses étagères presque vides peuvent le confirmer. Les armes manques en nombre, les ressources vitales sont presque inexistantes et le chagrin de l'homme se remarque direct. Ce mec fait presque pitié à aguicher les premiers clients faisant éruption dans son bazar. Il semble effrayé par le pirate. Surement car il pensait à le voir à un nouveau braquage. Quel intérêt. Si les commerces existent, c'est bien pour faire vivre l'économie. Alors pourquoi dévaliser les étalages ? Il sentait sa peur à l'autre bout de la salle par sa transpiration abondante empestant l'atmosphère. Mais l'homme au masque allait lui faire plaisir, si ça pouvait le rassurer.
« Combien pour l'assortiment de flingues ? »
« Hum... De...Deux...Deux milles berrys... »
« Les flingues et les ceintures ? »
« Ou..oui..oui. Je vous offre même la to..to.totalité des mu..munitions si vous vo..voulez...»
« Bordel, mais tu te fous d'ma gueule ou quoi ??! »
« No..no..non ! Je vous assure ! »
« Mais ils sont neufs ! »
Jouer avec ses nerfs, il trouve ça amusant. Ce p'tit vieux était marrant.
« Excusez moi, je...je n'ai pas vendu depuis tellement longtemps. Tous ce..ces pirates ne font que voler ma boutique, je n'ai même plus assez de ressources pour faire vivre ma famille ...»
« Tss. Te laisse pas faire papy. Charge toi un flingue et défend toi. Ta famille n'a pas à subir ça. Sinon tu fais tes valises et tu pars d'ici. »
« No...non. Je suis établis ici depuis toujours. C...ça me ferait du mal de quitter cette endroit. »
« Comme tu voudras après tout, je ne suis qu'un étranger te donnant un bon conseil. Sinon, pour tout l'attirail avec munitions, j't'en donne 200.000 berrys. Pour toi et ta famille...»
« C'es...c'est vrai ? Oh merci !»
« Nan, c'pas vrai. »
« Ah... ?! »
Vraiment marrant ce vieux.
« Mais si c'est vrai ! Tiens prends les. Mais, je te conseil d'avoir un fusil chargé sous ton comptoir. Après, il te manque plus que les couilles pour tirer sur tes futurs agresseurs. »
Si il devait mourir ce serait fâcheux. Ce bon homme est un honnête personnage qui souhaite qu'une seule chose, nourrir sa famille. Si Juusei connaissait la même situation que lui vis à vis de sa femme, il remuerait ciel et terre afin de combler les manques financiers. Et si l'individu le menace, il se vengerait. Le pirate a grandit mentalement. Il se rend maintenant compte que ses crimes de voles ne menaient nulle part. Malgré que le vol ne soit permit que si la cible n'est autre que le gouvernement. Car ces gens sont eux mêmes des voleurs. Alors pourquoi ne pas les voler, hum ? Le fait est, que cet homme doit se défendre. A le voir, cela fait bien des années qu'il joue les victimes. Il est maintenant temps que ça cesse. Le pirate attrape le plus gros calibre en terme de fusil, le charge et le donne au magasinier ayant prit un coup de peur en le voyant agir.
« Tiens et défends toi bordel !»
Réceptionnant l'arme, le commerçant aux allures de couturiers acquiesce, la bouche bée. Enfilant ses deux ceintures pectorales munies de cinq flingues chacune, il repart en lui souhaitant bonne chance pour la suite.
Vraiment marrant ce p'tit vieux.
Poussant la porte, enclenchant la sonnette d'entrée, il fait éruption dans la boutique affichant un air de passage à l'égard du commerçant tout émoustillé par la venue d'un étranger. A le voir, bon nombre de personnes n'ont dû passer le seuil de son échoppe.
« Bien l'bonjour étranger ! Que re..recherchez-vous ? Je peux vous aider vo..vous savez. Armes, drogues, alcool, mais aussi biens alimentaires, livres. »
« Je ne fais que passer. Je regarde seulement. »
« Très bien. Je..je..vous laisse faire le tour a..a..alors. »
A l'entendre, il n'était pas un pirate comme la plupart des individus présents sur cette île. Son dialecte puait l'aristocrate à plein nez ou du moins, l'ancien aristocrate. Qu'est ce qu'il foutait là, au beau milieu de tous ces pirates ? Ce genre d'homme doit se faire dévaliser pas mal de fois dans la semaine. Et ses étagères presque vides peuvent le confirmer. Les armes manques en nombre, les ressources vitales sont presque inexistantes et le chagrin de l'homme se remarque direct. Ce mec fait presque pitié à aguicher les premiers clients faisant éruption dans son bazar. Il semble effrayé par le pirate. Surement car il pensait à le voir à un nouveau braquage. Quel intérêt. Si les commerces existent, c'est bien pour faire vivre l'économie. Alors pourquoi dévaliser les étalages ? Il sentait sa peur à l'autre bout de la salle par sa transpiration abondante empestant l'atmosphère. Mais l'homme au masque allait lui faire plaisir, si ça pouvait le rassurer.
« Combien pour l'assortiment de flingues ? »
« Hum... De...Deux...Deux milles berrys... »
« Les flingues et les ceintures ? »
« Ou..oui..oui. Je vous offre même la to..to.totalité des mu..munitions si vous vo..voulez...»
« Bordel, mais tu te fous d'ma gueule ou quoi ??! »
« No..no..non ! Je vous assure ! »
« Mais ils sont neufs ! »
Jouer avec ses nerfs, il trouve ça amusant. Ce p'tit vieux était marrant.
« Excusez moi, je...je n'ai pas vendu depuis tellement longtemps. Tous ce..ces pirates ne font que voler ma boutique, je n'ai même plus assez de ressources pour faire vivre ma famille ...»
« Tss. Te laisse pas faire papy. Charge toi un flingue et défend toi. Ta famille n'a pas à subir ça. Sinon tu fais tes valises et tu pars d'ici. »
« No...non. Je suis établis ici depuis toujours. C...ça me ferait du mal de quitter cette endroit. »
« Comme tu voudras après tout, je ne suis qu'un étranger te donnant un bon conseil. Sinon, pour tout l'attirail avec munitions, j't'en donne 200.000 berrys. Pour toi et ta famille...»
« C'es...c'est vrai ? Oh merci !»
« Nan, c'pas vrai. »
« Ah... ?! »
Vraiment marrant ce vieux.
« Mais si c'est vrai ! Tiens prends les. Mais, je te conseil d'avoir un fusil chargé sous ton comptoir. Après, il te manque plus que les couilles pour tirer sur tes futurs agresseurs. »
Si il devait mourir ce serait fâcheux. Ce bon homme est un honnête personnage qui souhaite qu'une seule chose, nourrir sa famille. Si Juusei connaissait la même situation que lui vis à vis de sa femme, il remuerait ciel et terre afin de combler les manques financiers. Et si l'individu le menace, il se vengerait. Le pirate a grandit mentalement. Il se rend maintenant compte que ses crimes de voles ne menaient nulle part. Malgré que le vol ne soit permit que si la cible n'est autre que le gouvernement. Car ces gens sont eux mêmes des voleurs. Alors pourquoi ne pas les voler, hum ? Le fait est, que cet homme doit se défendre. A le voir, cela fait bien des années qu'il joue les victimes. Il est maintenant temps que ça cesse. Le pirate attrape le plus gros calibre en terme de fusil, le charge et le donne au magasinier ayant prit un coup de peur en le voyant agir.
« Tiens et défends toi bordel !»
Réceptionnant l'arme, le commerçant aux allures de couturiers acquiesce, la bouche bée. Enfilant ses deux ceintures pectorales munies de cinq flingues chacune, il repart en lui souhaitant bonne chance pour la suite.
Vraiment marrant ce p'tit vieux.