Une image de 200*300 pixels. | >> Kyoshin Mura Pseudonyme: Mumu. Age: 18 ans. Sexe : Homme. Race : Humain. Métier : ... Groupe : Chasseur de primes. But : Faire régner la paix. Codes du règlement : Parrain : Shori Yakosei. (Stylé ou pas ?) Ce compte est-il un DC ? : Non. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Dans ce bas monde, les gens sont souvent classés, que ce soit sur leur mentalité, niveau social ou physique, de manière péjorative ou méliorative, il n'est jamais préférable de se faire juger dans, c'est trois thèmes.
Pour ma part, en termes de physique, j'ai le dont pour attirer les filles, sans le vouloir, non pas par ma musculature extravagante, au contraire. J'ai « une belle gueule », c'est ainsi que m'appeler les demoiselles.
« Hé belle gueule !? ». Pour qu'elles me nommées ainsi, j'avais des cheveux noirs mi-longs, quelques mèches rebelles descendaient, devant mes yeux, mais rien de bien gênant pouvant obstruer mon regard.
« Tu as de beaux yeux, tu sais ? », pourquoi est-ce qu'elles mentent ? Ou bien, elles n'ont pas de goût. Pour la couleur de mes yeux, ils sont tout simplement noirs avec de fins sourcils du même coloris que ma chevelure. Mes paupières sont généralement refermées à moitié, me donnant un air fatigué en continu, seulement, c'est ma façon d'être, dégageant une nonchalance dans n'importe qu'elle situation. L'endroit où je n'ai jamais eu de compliment, si je pouvais considérer ça comme des compliments, c'est mon nez, qui lui est plutôt normal, ni trop petit, ni trop gros, bien ajusté avec mon visage fin.
« Tu as des lèvres pulpeuses. » La blague ? Ils sont comme tout le monde, pas trop épais, juste dans les normes. C'est donc ça ma belle gueule à la peau légèrement jaunis ? Il y en a mille comme moi.
Pour ce qui est du reste de mon corps, je n'ai jamais eu de remarque tout comme mon nez. Mon mètre quatre-vingts était-il donc parfait en mettant mon visage de coter ?
« Faut que tu manges un peu ! » Ah, non. Il est vrai que je suis maigre, mais marqué physiquement, mes muscles sont juste dynamiques et non développés, mais je peux très bien tenir en un contre un contre un colosse grâce à ma rapidité et mon agilité sans limite.
« Tu es mignon, mais si tu veux l'être encore plus tu dois changer ton style vestimentaire. » En effet, mon style est plutôt simple, j'évite les choses extravagantes, afin de rester discret, un minimum. En tant que civil, je porte habituellement un tee-shirt blanc, caché par une chemise blanchâtre par-dessus, celle-ci, est assez large, me laissant pour maigrichon. Pour recouvrir mes jambes, j'ai un pantalon bleu clair, très large, avec des poches au niveau des genoux coté extérieur, elles ont la chance d'être grandes, je range mes papiers à l'intérieur. Le pantalon retombant lourdement sur mes chaussures de ville, très simple et entièrement du même pigment que ma chemise.
Tout est beau, tout es parfait, ma vie à l'air merveilleuse, une vie bien éclairée.
« Là où il y a de la lumière, il y a de l'ombre. » J'ai en effet pour les personnes qui ont compris, un côté sombre, ténébreux, diabolique, machiavélique, méchant, satanique. Tout ce qu'il y a de mauvais pour mes ennemis. J'ai une double personnalité. Lorsque je viens franchir ce côté obscur, mon visage est caché. Caché par un masque blanc fait en plâtre sur lequel, il y a deux trous finement étirés, à la hauteur des yeux, pour m'offrir une vue sans gêne. Un trait en forme d'éclair passa au travers de l'œil droit, la couleur de cette forme est violette. Dessiné en rouge sang sur le bas du masque, un trait fin, très légèrement courbé vers le haut, pour donner mine d'un sourire, faible, mais présent.
Il n'y a pas que le masque qui fait son apparition, je change aussi ma tenue vestimentaire, un peu comme Superman, sauf que moi, je cache vraiment mon visage, pas besoin d'une mèche bouclé caressant mon front, faisant passer les autres pour des cons. Le fait de le cacher peut me permettre de me balader en civil où je veux, sans me faire remarquer. Un peu comme le héros au slip rouge, il a du talent quand même.
Dissimulé sous mon tee-shirt blanc, j'ai en fait un maillot de corps noirâtre, moulant mon buste avec une matière élastique. Afin de couvrir mes manches et me protéger du froid et pas que, je porte un long manteau noir à longue manche, retombant jusqu'aux mollets. La fermeture se terminer au niveau du nombril, laissant donc le reste tomber et flotter, si vent, il y a. Une matière plus rigide à l'intérieur de ce manteau se mêle à couture qui est très fine, celui-ci peut résister aux balles, il a l'option d'être un gilet par balle, pouvant donc me couvrir sur des zones qu'un gilet ordinaire ne peut faire, je pouvais donc prendre par surprise n'importe quel Lucky Luc. Plus lourd donc, malgré cela mes mouvements restent néanmoins très rapides, personne ne sais que ma veste peut me protéger des balles. Mon changement vestimentaire continu avec un jean du même coloris que le maillot de corps, avec une coupe faisant en sorte de rapprocher le tissu de ma peau, maintenu par une ceinture noire. Aux pieds, des bottines, se fondant dans la combinaison sombre, remontant juste au-dessus des chevilles, très solides, avec une semelle épaisse, grâce à eux, j'ai une très bonne accroche au sol.
Je ne combats pas avec mes poings, bien que je le peux, mais principalement, je tranche mes ennemies. J'ai pour tranchant, un sabre, cette arme blanche, bien que la lame est noire est rangé sur mon côté droit, attaché par un anneau sur ma ceinture en cuir pour le maintenir à l'intérieur de son fourreau. Fourreau qui lui est entièrement blanc, cela fait ressortir toute cette tiraille noir que je porte. Caché à l'arrière de ma cuisse gauche, une poche cousue spécifiquement pour ranger ma seconde arme, aussi tranchant que la première et nettement plus petite, frôlant les quarante centimètres, cette lame est très fine et le plat de l'épée large, recouvrant quasiment l'arrière de ma cuisse gauche, la seule différence notable par rapport à mon arme principale, c'est que sur celle-ci, il y avait un espace rectangulaire, vide de seulement quelques centimètres sur le milieu de la lame, les détails sont toujours importants.
Pour ma part, en termes de physique, j'ai le dont pour attirer les filles, sans le vouloir, non pas par ma musculature extravagante, au contraire. J'ai « une belle gueule », c'est ainsi que m'appeler les demoiselles.
« Hé belle gueule !? ». Pour qu'elles me nommées ainsi, j'avais des cheveux noirs mi-longs, quelques mèches rebelles descendaient, devant mes yeux, mais rien de bien gênant pouvant obstruer mon regard.
« Tu as de beaux yeux, tu sais ? », pourquoi est-ce qu'elles mentent ? Ou bien, elles n'ont pas de goût. Pour la couleur de mes yeux, ils sont tout simplement noirs avec de fins sourcils du même coloris que ma chevelure. Mes paupières sont généralement refermées à moitié, me donnant un air fatigué en continu, seulement, c'est ma façon d'être, dégageant une nonchalance dans n'importe qu'elle situation. L'endroit où je n'ai jamais eu de compliment, si je pouvais considérer ça comme des compliments, c'est mon nez, qui lui est plutôt normal, ni trop petit, ni trop gros, bien ajusté avec mon visage fin.
« Tu as des lèvres pulpeuses. » La blague ? Ils sont comme tout le monde, pas trop épais, juste dans les normes. C'est donc ça ma belle gueule à la peau légèrement jaunis ? Il y en a mille comme moi.
Pour ce qui est du reste de mon corps, je n'ai jamais eu de remarque tout comme mon nez. Mon mètre quatre-vingts était-il donc parfait en mettant mon visage de coter ?
« Faut que tu manges un peu ! » Ah, non. Il est vrai que je suis maigre, mais marqué physiquement, mes muscles sont juste dynamiques et non développés, mais je peux très bien tenir en un contre un contre un colosse grâce à ma rapidité et mon agilité sans limite.
« Tu es mignon, mais si tu veux l'être encore plus tu dois changer ton style vestimentaire. » En effet, mon style est plutôt simple, j'évite les choses extravagantes, afin de rester discret, un minimum. En tant que civil, je porte habituellement un tee-shirt blanc, caché par une chemise blanchâtre par-dessus, celle-ci, est assez large, me laissant pour maigrichon. Pour recouvrir mes jambes, j'ai un pantalon bleu clair, très large, avec des poches au niveau des genoux coté extérieur, elles ont la chance d'être grandes, je range mes papiers à l'intérieur. Le pantalon retombant lourdement sur mes chaussures de ville, très simple et entièrement du même pigment que ma chemise.
Tout est beau, tout es parfait, ma vie à l'air merveilleuse, une vie bien éclairée.
« Là où il y a de la lumière, il y a de l'ombre. » J'ai en effet pour les personnes qui ont compris, un côté sombre, ténébreux, diabolique, machiavélique, méchant, satanique. Tout ce qu'il y a de mauvais pour mes ennemis. J'ai une double personnalité. Lorsque je viens franchir ce côté obscur, mon visage est caché. Caché par un masque blanc fait en plâtre sur lequel, il y a deux trous finement étirés, à la hauteur des yeux, pour m'offrir une vue sans gêne. Un trait en forme d'éclair passa au travers de l'œil droit, la couleur de cette forme est violette. Dessiné en rouge sang sur le bas du masque, un trait fin, très légèrement courbé vers le haut, pour donner mine d'un sourire, faible, mais présent.
Il n'y a pas que le masque qui fait son apparition, je change aussi ma tenue vestimentaire, un peu comme Superman, sauf que moi, je cache vraiment mon visage, pas besoin d'une mèche bouclé caressant mon front, faisant passer les autres pour des cons. Le fait de le cacher peut me permettre de me balader en civil où je veux, sans me faire remarquer. Un peu comme le héros au slip rouge, il a du talent quand même.
Dissimulé sous mon tee-shirt blanc, j'ai en fait un maillot de corps noirâtre, moulant mon buste avec une matière élastique. Afin de couvrir mes manches et me protéger du froid et pas que, je porte un long manteau noir à longue manche, retombant jusqu'aux mollets. La fermeture se terminer au niveau du nombril, laissant donc le reste tomber et flotter, si vent, il y a. Une matière plus rigide à l'intérieur de ce manteau se mêle à couture qui est très fine, celui-ci peut résister aux balles, il a l'option d'être un gilet par balle, pouvant donc me couvrir sur des zones qu'un gilet ordinaire ne peut faire, je pouvais donc prendre par surprise n'importe quel Lucky Luc. Plus lourd donc, malgré cela mes mouvements restent néanmoins très rapides, personne ne sais que ma veste peut me protéger des balles. Mon changement vestimentaire continu avec un jean du même coloris que le maillot de corps, avec une coupe faisant en sorte de rapprocher le tissu de ma peau, maintenu par une ceinture noire. Aux pieds, des bottines, se fondant dans la combinaison sombre, remontant juste au-dessus des chevilles, très solides, avec une semelle épaisse, grâce à eux, j'ai une très bonne accroche au sol.
Je ne combats pas avec mes poings, bien que je le peux, mais principalement, je tranche mes ennemies. J'ai pour tranchant, un sabre, cette arme blanche, bien que la lame est noire est rangé sur mon côté droit, attaché par un anneau sur ma ceinture en cuir pour le maintenir à l'intérieur de son fourreau. Fourreau qui lui est entièrement blanc, cela fait ressortir toute cette tiraille noir que je porte. Caché à l'arrière de ma cuisse gauche, une poche cousue spécifiquement pour ranger ma seconde arme, aussi tranchant que la première et nettement plus petite, frôlant les quarante centimètres, cette lame est très fine et le plat de l'épée large, recouvrant quasiment l'arrière de ma cuisse gauche, la seule différence notable par rapport à mon arme principale, c'est que sur celle-ci, il y avait un espace rectangulaire, vide de seulement quelques centimètres sur le milieu de la lame, les détails sont toujours importants.
>> Psychologie
Dans ce bas monde, il y a tellement de diversités en terme de mentalité, c'est bien pour cela qu'il a des bastons, conflits, guerres et bien sur des morts. L'être humain est donc destiné à ce tué pour des raisons ridicule la plupart du temps. L'homme est donc un animal assoiffé de sang ? De pouvoir ? Je généralise, heureusement qu'il y a quelques personnes bien, tentant de faire régner la paix.
Pour ma part, lorsque je suis en « civil », je suis un homme comme n'importe qui.
N'étant généralement pas très bavard, la plupart du temps, je pionce, gardant un coté nonchalant. Je ne dégage aucune de présence physique, n'ayant aucun charisme, je suis comme un « fantôme », même éveillé. Il m'arrive par moment d'oublier des mots lorsque je parle, ne le faisant pas exprès, c'est juste des moments de trou involontaire.
« Et quand tu es réveillé pour de vrai ? »
Je suis quelqu'un de très organiser, faisant les choses méthodiquement et une capacité d'intelligence dépassant la moyenne, j'arrive toujours à me dépêtrer des situations me mettant en difficulté grâce à ma capacité d'analyse. Même si les personnes me prennent pour un endormi avec ma façon de marcher, mains dans les poches, le dos ressortit tout en trainant des pieds. Je cache bien mon jeu.
Quand je dois m'infiltrer dans une zone ennemie en civil, j'adopte un comportement différent, celui du mec, maladroit, ne comprenant pas vraiment ce qu'on lui dit. Un simple jeu de rôle pour éviter les soupçons. J'ai eu un très bon maître. Je suis donc très doué pour mentir.
L'amitié compte beaucoup pour moi, je fais tout pour protéger les gens que je considère comme ami(e)s, la vie humaine n'ait-elle pas importante pour ceux qui le méritent ?
Plutôt simple, comme je le disais, je suis comme n'importe qui. Mais lorsque je change d'apparence pour faire mes missions d'assassinat, je deviens, unique ? Ou juste très dangereux.
Lorsque je porte mes vêtements de travail, je suis démuni de tout sentiment, enfin presque, difficile de tout effacer. Me tenant droit, je donne vraiment signe de présence à mes adversaires. Sauf dans les moments où je dois espionner et suivre mes cibles, talentueux sur ce point, grâce à mon coté "fantôme"
Entrainé à tuer sans aucune pitié donc, mes capacités d'analyse sont doublées, surement à cause de la mise en situation qui est généralement plus élevée que lorsque je suis en civil. Je m'adapte très vite à mes adversaires, changeant ma façon de combattre selon la manière de combattre adversaire, n'allant pas de main morte dans un combat, je donne tout ce que j'ai, perturbateur, je sais si un combat est perdu d'avance.
Il n'y a pas vraiment grand-chose à dire sur la mentalité d'un assassin, froid et sang cœur.
« Tu n'aimes donc rien ? »
Bien sur que si, comme je l'ai dit plus haut, j'aime bien dormir, mais aussi, les personnes honnêtes, qui eux gagneront ma confiance. Il m'arrive de partager les biens que je possède, que ce soit de l'argent, de la nourriture ou des bricoles. Tant que ça peut servir. Ce n'est pas que j'aime bien, mais dans ce monde, on ne peut vivre sans argent en tant que chasseur de primes, je fonce directement vers les grosses primes, l'appât du gain.
« C'est tout ? »
J'aimerais avoir un rival, rien de mieux pour progresser. Fut un temps où j'en avais un.
« C'était qui ? Oh, je m'écarte trop là, qu'est-ce que tu n'aimes pas ? »
Je n'aime pas les pirates plus précisément les Hommes-Poissons et toutes les personnes qui osent se mettre en travers de mon chemin. Les défaites, bien que je m'y était habitué dans le passé. Ce que je déteste plus que tout son les prétentieux, les raisons sont secrets pour le moment. Les menteurs, bien que pour me mentir, il faut être très doué, je suis un peu comme un mentalist, ou profiler, les prouesses d'un lourd entrainement
Pour ma part, lorsque je suis en « civil », je suis un homme comme n'importe qui.
N'étant généralement pas très bavard, la plupart du temps, je pionce, gardant un coté nonchalant. Je ne dégage aucune de présence physique, n'ayant aucun charisme, je suis comme un « fantôme », même éveillé. Il m'arrive par moment d'oublier des mots lorsque je parle, ne le faisant pas exprès, c'est juste des moments de trou involontaire.
« Et quand tu es réveillé pour de vrai ? »
Je suis quelqu'un de très organiser, faisant les choses méthodiquement et une capacité d'intelligence dépassant la moyenne, j'arrive toujours à me dépêtrer des situations me mettant en difficulté grâce à ma capacité d'analyse. Même si les personnes me prennent pour un endormi avec ma façon de marcher, mains dans les poches, le dos ressortit tout en trainant des pieds. Je cache bien mon jeu.
Quand je dois m'infiltrer dans une zone ennemie en civil, j'adopte un comportement différent, celui du mec, maladroit, ne comprenant pas vraiment ce qu'on lui dit. Un simple jeu de rôle pour éviter les soupçons. J'ai eu un très bon maître. Je suis donc très doué pour mentir.
L'amitié compte beaucoup pour moi, je fais tout pour protéger les gens que je considère comme ami(e)s, la vie humaine n'ait-elle pas importante pour ceux qui le méritent ?
Plutôt simple, comme je le disais, je suis comme n'importe qui. Mais lorsque je change d'apparence pour faire mes missions d'assassinat, je deviens, unique ? Ou juste très dangereux.
Lorsque je porte mes vêtements de travail, je suis démuni de tout sentiment, enfin presque, difficile de tout effacer. Me tenant droit, je donne vraiment signe de présence à mes adversaires. Sauf dans les moments où je dois espionner et suivre mes cibles, talentueux sur ce point, grâce à mon coté "fantôme"
Entrainé à tuer sans aucune pitié donc, mes capacités d'analyse sont doublées, surement à cause de la mise en situation qui est généralement plus élevée que lorsque je suis en civil. Je m'adapte très vite à mes adversaires, changeant ma façon de combattre selon la manière de combattre adversaire, n'allant pas de main morte dans un combat, je donne tout ce que j'ai, perturbateur, je sais si un combat est perdu d'avance.
Il n'y a pas vraiment grand-chose à dire sur la mentalité d'un assassin, froid et sang cœur.
« Tu n'aimes donc rien ? »
Bien sur que si, comme je l'ai dit plus haut, j'aime bien dormir, mais aussi, les personnes honnêtes, qui eux gagneront ma confiance. Il m'arrive de partager les biens que je possède, que ce soit de l'argent, de la nourriture ou des bricoles. Tant que ça peut servir. Ce n'est pas que j'aime bien, mais dans ce monde, on ne peut vivre sans argent en tant que chasseur de primes, je fonce directement vers les grosses primes, l'appât du gain.
« C'est tout ? »
J'aimerais avoir un rival, rien de mieux pour progresser. Fut un temps où j'en avais un.
« C'était qui ? Oh, je m'écarte trop là, qu'est-ce que tu n'aimes pas ? »
Je n'aime pas les pirates plus précisément les Hommes-Poissons et toutes les personnes qui osent se mettre en travers de mon chemin. Les défaites, bien que je m'y était habitué dans le passé. Ce que je déteste plus que tout son les prétentieux, les raisons sont secrets pour le moment. Les menteurs, bien que pour me mentir, il faut être très doué, je suis un peu comme un mentalist, ou profiler, les prouesses d'un lourd entrainement
>> Biographie
«
Tout à commençait ce jour-là. »«
C'est le lieu parfait. Un petit coin de paradis niché au creux d'une colline, où un lac trône en son centre. Plusieurs points de terre le parsèment sur lesquels s'élèvent plusieurs arbres aussi hauts qu'une montagne. Leur feuillage cache la lumière du soleil, et de ce fait, même en plein jour, il y fait très sombre. Et d'ailleurs, c'est bientôt l'été. La fraîcheur de ce lieu offre un endroit idéal aux entraînements en cette saison. Le matin très tôt, mais qu'importe l'heure en ce lieu, les visiteurs s'y font toujours très rares. C'est pour cela que je trainais tous les matins à cet endroit afin de m'entrainer, améliorer mon maniement du sabre, on pouvait et on peut toujours voir, même aujourd'hui, des entailles profondes sur les troncs des végétaux, je n'y allé pas de main morte, mais je n'allais tout de même pas trancher ce que mère nature a fait naître. Maintenant, cela fait une heure que je tiens mon sabre à deux mains, donnant des coups verticaux de haut en bas, dans le vide.
- "C'est bien, encore deux heures et ce sera bon."
- Hn... Très... bien Senseï ! Dis-je en fronçant les sourcils, serrant les dents, j'avais l'air déterminé.
J'avais 13 ans à cette époque, cela faisait 3 ans que mon Senseï Fû, m'entrainais et ce jusqu'à la fin. Fû était à l'époque un très grand épéiste, reconnu par mon village comme le meilleur et rival de Yagani mon père. Pourquoi m'a-t-il choisi ? La chance, le hasard. Non, pour tout vous dire la première fois que je l'ai rencontré, c'était à l'âge de 10 ans quand je me faisais taper par des petits de mon âge, en infériorité numérique, je me suis pris une belle raclée. Le vieux avait vu la scène et m'a pris pour élève, par pitié ? Ou bien voulait-il vraiment rendre service ? Je n'ai jamais vraiment su pourquoi, il éviter la réponse à chaque demande ma part.
Je vivais dans l'une des plus belles îles, la plus belle de toute à mes yeux. Malheureusement, elle fut envahie quelques jours avant ma castagne, par des pirates ou plus précisément des hommes poissons. Profitant de la faiblesse physique de l'homme pour nous dominer et nous diriger comme des pions et les payer tout les mois, heureusement, ils ne demandaient des sommes importantes, ça faisait quand même bien chier de leur donner de l'argent pour leurs bons plaisir.
C'était donc pour cela qu'Ossan et moi partions pou cacher dans cet endroit pour m'entrainer, s'ils nous voyaient faire ça, ont seraient exécuter sur le champ. J'avais un but, un objectif. Non, ce n'était pas de flanqué une bonne raclée à la bande de jeunes qui m'avais amoché. Mais faire déguerpir la boite pleine de thon.
Voilà que ça faisait trois heures, que je faisais le même exercice, en sueur, essoufflé, limite en train de perdre connaissance.
Je vivais dans l'une des plus belles îles, la plus belle de toute à mes yeux. Malheureusement, elle fut envahie quelques jours avant ma castagne, par des pirates ou plus précisément des hommes poissons. Profitant de la faiblesse physique de l'homme pour nous dominer et nous diriger comme des pions et les payer tout les mois, heureusement, ils ne demandaient des sommes importantes, ça faisait quand même bien chier de leur donner de l'argent pour leurs bons plaisir.
C'était donc pour cela qu'Ossan et moi partions pou cacher dans cet endroit pour m'entrainer, s'ils nous voyaient faire ça, ont seraient exécuter sur le champ. J'avais un but, un objectif. Non, ce n'était pas de flanqué une bonne raclée à la bande de jeunes qui m'avais amoché. Mais faire déguerpir la boite pleine de thon.
Voilà que ça faisait trois heures, que je faisais le même exercice, en sueur, essoufflé, limite en train de perdre connaissance.
- "C'est fini pour aujourd'hui, on fera un entrainement spécial ce soir, pour la nouvelle pleine lune."
- Sa marche.
J'avais dissimulé mon sabre derrière un arbre précis où seul moi et mon maitre savions où il était. C'était le sien, il avait donc le droit de savoir où je le cachais. Par la suite, nous prenions des chemins différents pour ne pas créer de soupçon, me dirigeant donc vers mon village. Ca faisait trois ans que les poissons étaient là, à cause d'eux, j'avais perdu énormément de personnes me tenant à cœur. Il fallait avoir de l'argent pour vivre, et pour avoir de l'argent, il fallait du travail. Qui lui, se faisait rare, par chance, mes parents dirigés une boulangerie, nous pouvions donc encore tenir le fil de la vie.
Quand je rentrais à la maison, c'était toujours la même rengaine, mon père qui ne m'adressait jamais la parole et m'ignorait tandis que ma mère, me sortais un sourire forcé pour me montrer que tout aller bien. J'avais 13 ans mais, je n'étais pas stupide. J'avais eu pour hypothèse que mon père n'était pas content que mon senseï sois son rival, il fallait dire que le padre n'avait jamais était là pour moi, seul ma mère ma nourris, éduqué, instruit. A croire qu'il ne voulait pas de moi, bien qu'il ma rejeté, je l'aimais quand même.
Je passais donc mes journées à aider ma mère à faire les pains à longueur de journée. Je pouvais voir quelques Hommes-poissons, se promener dans la ville comme-ci de rien était, quelques fois même, ils venaient voir ma mère et lui demandé du pain gratis, contraint de le faire, au risque de mourir.
Maman et moi étions tous les deux seuls dans la cuisine, profitant de l'instant pour la prévenir du rendez vous.
Quand je rentrais à la maison, c'était toujours la même rengaine, mon père qui ne m'adressait jamais la parole et m'ignorait tandis que ma mère, me sortais un sourire forcé pour me montrer que tout aller bien. J'avais 13 ans mais, je n'étais pas stupide. J'avais eu pour hypothèse que mon père n'était pas content que mon senseï sois son rival, il fallait dire que le padre n'avait jamais était là pour moi, seul ma mère ma nourris, éduqué, instruit. A croire qu'il ne voulait pas de moi, bien qu'il ma rejeté, je l'aimais quand même.
Je passais donc mes journées à aider ma mère à faire les pains à longueur de journée. Je pouvais voir quelques Hommes-poissons, se promener dans la ville comme-ci de rien était, quelques fois même, ils venaient voir ma mère et lui demandé du pain gratis, contraint de le faire, au risque de mourir.
Maman et moi étions tous les deux seuls dans la cuisine, profitant de l'instant pour la prévenir du rendez vous.
- Maman, ce soir, je vais voir Ossan, pour la pleine lune.
- D'accord, fait attention à toi, j'ai entendu dire que les hommes-poissons sont de plus en plus nombreux.
- Mais, oui, ne t'inquiète pas, je suis discret. Dis-je avant de l'embrasser sur la joue.
Une journée complète à aider ma mère pour ne que ses mains ne cèdent. La nuit était tombée, tout comme le froid, j'avais enfilé mon manteau à capuche marron, un peu arraché par-dessus mon tee-shirt gris. J'avais mis mon short blanc et des tongs avant de courir vers le lieu de rendez-vous. Il est vrai que la bande de thon était plus nombreux, j'ai du en esquiver plus que d'habitude. J'étais le pro de la discrétion.
- Hé toi ! qu'est ce que tu fais là ?
- Merde. Dis-je à voix basse avant de me retourné vers celui qui m'avais découvert.
Je ne peux pas très bien le décrire à cause de l'ombre de l'arbre qui était près de lui, mais ce que je voyais très bien c'était ses yeux rouge, sang. Ils étaient très haut, il devait peut être faire trois fois ma taille. J'étais terrifié devant ce monstre, sa voix grave n'arrangeait pas les choses.
- Qu'est ce- que tu fou là toi ?
- Euh.. Je par chercher mon grand-père.
- Grand-père ? C'est quoi ça ?
- C'est le père de mon père.
- Hein ? Ca existe ça, tu te fou de moi ?
- Ah bah tiens, il est juste là, derrière ! Dis en pointant du doigt le monstre ou plutôt derrière lui
L'imbécile se retourna et c'est à cette occasion que j'avais pris la male. Continuant ma route en courant le plus rapidement que possible, j'étais enfin arrivé.
- « TU ES EN RETARD !!" Dit-il en me donnant un coup de bâton après avoir fait un bon de sa branche d'arbre, en mode furtif.
- Aïïïeee ! Criais-je en me frottant le crâne à l'aide de mes deux mains.
- "Ne cri pas, il y a plein de thon."
- Pourquoi vous m'avez tapé alors ?! Dis-je en criant, me mettant sur la pointe des pieds pour tenter d'être le plus près de sa tête.
-"Tais-toi, baka." Pour récompense, il m'avait mis un second coup, moins puissant, par chance.
- Dites, vous pensez que les hommes poissons partiront un jour ?
- "Qui sait, seul l'avenir nous le dira."
Encore une de ces réponses que je détesté par-dessus tout. M'enfin, nous nous étions dirigés vers un arbre, celui où était planqué mon sabre, pour le fun, je l'avais pris. Nous venions de grimper comme des singes l'arbre, se posant dans la plus haute branche pour contempler la lune. La tête levée, nous faisions en fait mine de la regarder, nos yeux étaient clos. La lumière blanche de cette lune éclairé nos deux visages, nous ressentions ça présence.
- "Tu vois mon gaillard, la lune est quelque chose qui nous purifie."
- Hn ? Elle nous purifie ?
- "Tu comprendras plus tard."
- Oui, oui...
- "Oh ! J'ai faillis oublier, j'ai un cadeau pour toi."
- Un cadeau ?
- "Oui, ça fait maintenant trois ans que nous nous sommes rencontré."
- Euh, c'est probable.
- "Baka."
Ossan venait de retirer son sac, que je n'avais même pas vu, avant de me le tendre.
- "Ouvre-le."
Excité de savoir ce que renfermé le sac, je l'ouvris sa plus attendre avant de voir une cape. Elle était plutôt grande, pas pour ma taille à première vue.
- Une cape ? Pourquoi ?
- "Un manteau..." Me dit-il l'air blasé.
- C'est grand non ?
- "Elle te servira dans quelques années, le manteau fait aussi gilet par balle."
- Merci senseï ! Vous êtes le meilleur ! J'avais un peu la larme à l'œil, c'était la première fois que j'avais un cadeau. Mes parents ne pouvaient pas se permettre de m'acheter des cadeaux, mais je comprenais totalement
- "C'est normal, mais il n'y a pas que ça, tu devrais regardais plus au fond."
- Oh ?
En fouillant plus au fond, je pouvais voir une petite lame, recouvert à un bout de tissus, en l'enlevant, je pouvais voir que celle-ci était noire, comme mon sabre et semblait très légère. Jetant un dernier coup d'œil au cas où, il y avait encore quelque chose. Un masque ? En effet, c'était un bien un masque, entièrement blanc avec des trous étirés pour permettre de voir une fois portais. Un très rouge courbé vers le haut pour donner l'impression d'un léger sourire ainsi qu'un trait en forme d'éclair qui passé a travers l'œil droit, celui était violet.
- Hé, vous avait eu ça où ?
- "C'était à moi, au temps où je me battais, en temps qu'assassin, je faisais parti des meilleurs, chaque membres portent un masque avec des motifs différents."
- Assassin ? Vous étiez un assassin ?
- "Oui, mais je suis en retraite, avec l'âge, pour ne pas casser, mieux vaut rester sage."
Je fis un sourire grand sourire à mon senseï, l'air vraiment heureux, le vieux répondis à mon sourire. Il faisait tellement bon, je ne ressentais plus du tout le froid, de cette soirée, tellement j'étais ému, c'était le plus beau jour de ma vie. Plus rien ne pouvais changer cela, jetant un coup d'œil à la lune qui n'avait pas changé de place.
- Dites, Senseï vous pensez que je deviendrais un Ass...
Ma phrase ne peut être fini, interrompu par un bruit éclair, j'avais l'ouïe très fine, tournant alors la tête pour regarder bas, je vis un colosse faisant un bon pour arriver vers moi, la bouche grande ouverte, je pouvais voir la mâchoire d'acier de la bête qui se rapproché. Brandissant son épée vers mon ma tête. Pris par surprise, je ne pouvais rien faire.
- Alors petit, tu as retrouvé ton grand-père ?
Dis, l'individu près à m'embrocher, il m'avait donc suivi ? C'était donc fini, j'allais mourir ainsi ? Ca devait se finir comme ça, jusqu'à ce qu'Ossan vienne s'interposer, me donnant un coup d'épaule pour me faire tomber de la branche. Ce fut son omoplate droite qui se fit toucher. Moi pendant se temps je chuté toute la hauteur de l'arbre, qui fait un bon vingt mètre avant de retomber sur le dos, le sac, non loin ainsi que mon sabre.
- Seeeenseï !!!
Me relevant rapidement, je courais vers le corps de mon maitre qui était tombé juste après moi. Regardant la plaît tout en pleurant.
- "Ne t'inquiète pas bonhomme, je vais bien."
- Non, vous avez du sang, vous n'allait pas bien.
- "Je t'ai dis que je vais bien.."
- Mais...
- "Il n'y a pas de "mais"."
L'homme poisson descendit brutalement sur le sol, limite en le faisant trembler. A cause des feuillages de ce lieu, je ne pouvais pas très bien le distingué mais par les raies de lumières, je savais qu'il avait la peau bleu, torse nu, avec un silp ? Je ne pensais pas mettre tromper, il avait bien un slip marron.
- Vous voulait quoi ?
- Je n'aime pas quand on se paie ma tête.
- Vous êtes celui de tout à l'heure ?
- Perspicace.
Je venais de courir vers mon sabre, avant de me placer devant mon senseï, pour le protéger, me tenant face au monstre, j'avais les jambes écartées, légèrement fléchis, les deux mains posées sur le manche de mon arme blanche, la lame dressée, presque invisible à cause de l'obscurité.
- Tu comptes me tuer, petit ? Essuies d'abord tes larmes et deviens un homme.
- Tout le monde pleure, baka !
-Baka ? Tu viens de signer ton arrêt de mort.
Sans que je puisse le voir il était déjà arrivé en face de moi, la lame tendu, près à m'embrocher. Pour la deuxième fois, Ossan s'interposa en se plaçant devant moi. La lame adverse traversa le ventre du vieux.
- "Mura... devient l'un des plus grand... assassin, prend ma place."Cela faisait trois ans que je l'avais pour senseï et c'est la première fois qu'il prononçait mon prénom et la dernière fois. Les yeux écarquillés, je ne savais que dire, le souffle coupé, je restais figé à regardais cette scène atroce. La pire journée de ma vie, tout compte fait, j'avais reçu quelques gouttes de son sang sur mon visage après que la lame avait montrer le bout de son nez en sortant de l'autre coté d'Ossan. L'homme au slip retira sa lame rapidement laissant tomber le corps de ce que je pouvais considérer comme mon deuxième père au sol, celui-ci c'était éteint, il était mort et je n'ai pu rien faire. Tout était donc de ma faute ? J'étais un fardeau, si je n'avais pas était là, il serait encore en vie. J'étais triste et en colère, en colère contre moi-même mais aussi contre le tueur qui était juste en face de moi.
- C'est à ton tour !
D'un coup d'un seul, il donna un coup horizontal avec sa grande épée, la découpe avait commencée par la gauche pour aller sur sa droite, il voulait me trancher la tête, je n'avais eu que pour seul réflexe de faire une flexion tout plaçant ma lame de manière à ce qu'elle soit parallèle au sol. Le coup était passait juste au-dessus de ma tête, j'avais une ouverture, dès à présent. Ayant eu un flashback de mon maitre m'expliquant les ouvertures adverses lors des mouvements ratés ou esquivés, là, j'avais tout son buste en ligne de mire. C'est alors que je fis un bon vers l'avant, dépliant mes jambes rapidement, passant par-dessus le cadavre, la lame pointée vers le thon, pris par surprise, je venais de lui planter niveau du plexus, toute la lame était entrée.
- En... Enfoiré.
Mon adversaire fit quelques pas en arrière avant de tomber sur le dos. Il semblait mort. J'étais dans une sale situation. Et je ne pouvais pas faire grand-chose, je pris mon sac avec tous les affaires offert ainsi que mon sabre qui était logé dans l'estomac de l'homme poisson. J'avais décidé de disparaitre. Si je restais dans la ville en faisant mine rien, je vivrais le reste de mon existence dans la peur de me faire balancer par les villageois les plus peureux et donc mettre ma famille en danger. Le fait d'avoir disparu allait me permettre de laisser mon papa et ma maman en vie, je savais que l'allais être cherché par les hommes poissons. C'était le prix à payer.
J'avais quitté l'île, sans rien dire à personne, mes parents avaient du croire que j'étais mort, mon corps avait disparu comme un fantôme.
J'avais quitté l'île, sans rien dire à personne, mes parents avaient du croire que j'étais mort, mon corps avait disparu comme un fantôme.
« Ce fut le début du commencement. »
En réalité, j'avais pris tous mes affaires de combats avant de partir vers ma maison, entrant silencieusement, les parents étaient train de dormir, j'avais pris un stylo et un bout de papier dans la cuisine avant d'y écrire un mot. "Je suis désolé Papa et Maman, j'ai du quitter l'île, c'est trop dangereux de rester ici, je ne vous abandonne pas, je reviendrais, ne dîtes à personne que vous avez reçus de message et je rembourserais ma baguette. Je vous aimes signé Mura." J'avais pris une baguette avant de quitter la maison prendre une petite embarcation et partir pendant la nuit, tout en restant silencieux avant que les Homme poissons qui surveillaient les ports venaient me récupérer.
Je me sentais et je me sent toujours un peu lâche de les avoirs quitté ainsi, moi qui voulait protéger mon île natal, mes amis, mes parents. On appelle ça un "Changement d'ambiance".
Pendant 5 ans, je me suis entrainais avec mes deux lames, jusqu'à avoir une maitrise quasi-parfaite et un physique avantageux. Puis j'avais atteint l'âge pour portais mon masque et le manteau.
J'avais trouvé en trainant dans un bar, un avis de recherche pour un pirate de bas niveau, ce fut ma première mission et ma première réussite. J'avais donc choisi à partir de là d'être chasseur de primes par la suite, je me fis une petite réputation dans une île, surnommé le voleur d'âmes.
Je me sentais et je me sent toujours un peu lâche de les avoirs quitté ainsi, moi qui voulait protéger mon île natal, mes amis, mes parents. On appelle ça un "Changement d'ambiance".
Pendant 5 ans, je me suis entrainais avec mes deux lames, jusqu'à avoir une maitrise quasi-parfaite et un physique avantageux. Puis j'avais atteint l'âge pour portais mon masque et le manteau.
J'avais trouvé en trainant dans un bar, un avis de recherche pour un pirate de bas niveau, ce fut ma première mission et ma première réussite. J'avais donc choisi à partir de là d'être chasseur de primes par la suite, je me fis une petite réputation dans une île, surnommé le voleur d'âmes.
>>Test Rp
Tôt dans la matinée, d’un début de journée d’été, ensoleillé, j’arrive sur une île de West Blue surnommé «Wake Island». L’île est très grande, la plus peuplé ainsi que la plus connu de tout West Blue. Avec des commerçants à chaque coin de rue, des parcs pour divertir les enfants ou se promené en amoureux mais il y a aussi la plus grande base de marine de tout West Blue. Le dirigeant a une réputation assez grande, sois disant aucun pirate ne ressortait de ce bout de terre. Intéressant. N’étant pas un pirate, je n’aie aucune crainte à avoir, je veux juste avoir une licence, la licence de chasseur de prime.
Volontairement, j’ai évité le port pour déposer mon petit bateau pouvant transporter au max cinq personnes sur le sable qui a pour contour cette terre flottante. Là il n’y a personne, posant mes pieds sur ce sable blanc, en train de réfléchir, à savoir, comment j’aller débarquer là-bas.
Comment m’y prendre ? Je ne peux pas y aller en civil, sinon toute la base connaîtrait mon vrai visage, mais si je pars avec mon masque, ils me prendront pour un ennemi à coup sûr, je n’aie pas l’accoutrement pour passer pour un pacifiste après tout. Assis sur les minéraux en train de cogiter ma matière grise afin de trouver une tactique d’approche simple. Fixant le sable éperdument, au bout de plusieurs minutes, j’ai enfin trouvé ! Euréka, vêtu d’un tee-shirt blanc avec une chemise blanche à longue manche assez large. Ainsi qu’un pantalon bleu ciel, large lui aussi, qui retombé sur mes chaussures de ville, qui eux sont entièrement blanche. Fin prêt, je pris mon sac où il y a mes affaires à l’intérieur avant de traverser une petite forêt, celle qui entouré la ville. J’ai donc pris pour initiative d’aller à découvert.
J’avais dissimulé mon sac dans un buisson, faisant bien attention au repère pour ne pas me tromper, puis me voilà en « mode promenade », entrant dans la ville, les mains dans les poches, le dos ressortit, je regarde d’un air fatigué tout ce qu’il y a autour de moi. Le sourire de toutes c’est personnes me rend heureux bien que je ne le montre pas directement.
Ca fait déjà une heure que je marche, non je ne suis pas perdu. Je regarde les nombreux passages de cette ville afin de me faire un plan visuel de tous les chemins possibles. La moitié de la ville est enregistré, le reste, restera un labyrinthe pour le moment.
Ce n’est pas tout ca mais j’ai un petit creux, alerté par le son que mon estomac a crée, me dirigeant alors vers un vendeur de fruit, j’ai pris une pomme avant de jeter une pièce au commerçant.
- Gardez la monnaie. Dis-je en lui souriant légèrement.Volontairement, j’ai évité le port pour déposer mon petit bateau pouvant transporter au max cinq personnes sur le sable qui a pour contour cette terre flottante. Là il n’y a personne, posant mes pieds sur ce sable blanc, en train de réfléchir, à savoir, comment j’aller débarquer là-bas.
Comment m’y prendre ? Je ne peux pas y aller en civil, sinon toute la base connaîtrait mon vrai visage, mais si je pars avec mon masque, ils me prendront pour un ennemi à coup sûr, je n’aie pas l’accoutrement pour passer pour un pacifiste après tout. Assis sur les minéraux en train de cogiter ma matière grise afin de trouver une tactique d’approche simple. Fixant le sable éperdument, au bout de plusieurs minutes, j’ai enfin trouvé ! Euréka, vêtu d’un tee-shirt blanc avec une chemise blanche à longue manche assez large. Ainsi qu’un pantalon bleu ciel, large lui aussi, qui retombé sur mes chaussures de ville, qui eux sont entièrement blanche. Fin prêt, je pris mon sac où il y a mes affaires à l’intérieur avant de traverser une petite forêt, celle qui entouré la ville. J’ai donc pris pour initiative d’aller à découvert.
J’avais dissimulé mon sac dans un buisson, faisant bien attention au repère pour ne pas me tromper, puis me voilà en « mode promenade », entrant dans la ville, les mains dans les poches, le dos ressortit, je regarde d’un air fatigué tout ce qu’il y a autour de moi. Le sourire de toutes c’est personnes me rend heureux bien que je ne le montre pas directement.
Ca fait déjà une heure que je marche, non je ne suis pas perdu. Je regarde les nombreux passages de cette ville afin de me faire un plan visuel de tous les chemins possibles. La moitié de la ville est enregistré, le reste, restera un labyrinthe pour le moment.
Ce n’est pas tout ca mais j’ai un petit creux, alerté par le son que mon estomac a crée, me dirigeant alors vers un vendeur de fruit, j’ai pris une pomme avant de jeter une pièce au commerçant.
- « Merci jeune homme. S’exclamât-il en prenant la pièce pour l’ajouter à sa caisse. »
- Au fait, vous savez où se trouve la base de la marine ?
- « Euh… Oui, oui ! Vous continuez tout droit et vous prenez la première à droite, vous ne pourrez pas la louper. »
- Je vous remercie.
- « Vous comptez faire partit de la marine ? »
- Je vais simplement voir un ami qui travail là-bas.
- « D’accord… Revenez quand vous-voulez ! »
- Merci monsieur.
Premier contact, assez chaleureux. Les habitants de cette ville doivent être très ouverts, j’ai donc bien choisi l’endroit pour commencer mon métier. Je fis un signe vide de la main au vieil homme, avant de partir vers la direction indiqué. Commençant mon chemin, tout prenant un morceau de cette pomme rougeâtre, très bonne. Je l’ai fini avant même d’arriver devant la base qui n’étais qu’à cinq minutes de là où j’étais. En effet je ne peux pas la louper, c’est le bâtiment le plus grand de la ville, comme par hasard le seul endroit que je n’ai pas vérifié. M’enfin, j’allais bien me débrouiller.
La base est entièrement blanche, l’architecte de ce lieu avait grave de l’inspiration. Mais là n’était pas le but de ma visite. Regardant les marines entrer et sortir de ce lieu par la grande porte, je fis de même. Marchand d’un pas lent vers cette base, je viens de franchir la porte d’entrée sans être dérangé. Suis-je donc vraiment un fantôme ? Ou bien les marines sont trop occupés pour me remarquer ? Je viens de me stopper sur ce qui devait être le couloir principal.
- « Il faut monter voir le chef pour lui demander la permission ! »La base est entièrement blanche, l’architecte de ce lieu avait grave de l’inspiration. Mais là n’était pas le but de ma visite. Regardant les marines entrer et sortir de ce lieu par la grande porte, je fis de même. Marchand d’un pas lent vers cette base, je viens de franchir la porte d’entrée sans être dérangé. Suis-je donc vraiment un fantôme ? Ou bien les marines sont trop occupés pour me remarquer ? Je viens de me stopper sur ce qui devait être le couloir principal.
Mes oreilles fonctionnent parfaitement bien, sans rien demander à personne, j’ai su à peu près où se trouvé le chef de ce lieu. Mais pourquoi, je compte le voir personnellement ? Je pris un escalier avant de monter les marches, me décalant pour laisser passer les plus pressés derrière moi. Il y a plusieurs étages mais mon instinct m’a dit de continuer la montée, il est tout en haut ? Fort possible, généralement les patrons ont leur bureau au dernier étage, pourquoi ? Pour nous emmerder à tout monter surement.
Plus je monte les marches, moins j’entends de bruit, probablement par le manque de marin à ce niveau-ci. Enfin tout en haut, il y a un long couloir, avec une seule porte comme fin, je ne suis pas sur que c’est ici, mais on ne sait jamais. J’ai toqué. Sans réponse, peut-être une seconde fois ? Toujours aussi silencieux. J’ouvris la porte malgré que je n’aie pas encore eu la permission, qu’est ce que j’ai à perdre ?
Derrière il y a une petite salle, sentant le renfermé dès l’ouverture, même s’il y a des fenêtres, il ne me semble pas qu’ils ont servis à grand-chose auparavant, avec un bureau en bois en plein centre légèrement poussiéreux tout comme le sol. Derrière le mobilier, il y a un homme endormis, la tête écrasé contre le bois. L’individu a de longs cheveux blonds et est très baraqué, étant une allumette à coté de lui. Grand aussi, son visage est caché par sa chevelure, je fis un pas pour me placer juste devant le bureau après avoir fermé la porte doucement. J’ai conclu que c’est le chef, non pas par hasard mais par son accoutrement qui est différent des autres. Afin de montrer ma présence, j’ai raclé la gorge de manière exagéré, il ne c’est pas réveillé, au contraire le blond avait commencé à ronflé fortement, rentrant dans un sommeil plus que profond. Sacré spécimen. Je n’eu que pour moyen de réussite de le taper sur la tête. J’ai fermé mon poing droit avant de taper sur le crâne de l’endormis, lui faire mal ou non, ce n’aie pas mon problème, tant qu’il se réveille. Et j’ai réussi ! Le blondinet ce redressa rapidement sur sa chaise, je peux encore voir le filé de bave sur le coin de sa bouche, les yeux bleu gonflés par la fatigue, mal rasé, il avait aussi un grande balafre sur le coté droit de son visage, une coupure vertical passant par son œil, les risques du métier.
Il vient de dire en hurlant lors de son réveil.Plus je monte les marches, moins j’entends de bruit, probablement par le manque de marin à ce niveau-ci. Enfin tout en haut, il y a un long couloir, avec une seule porte comme fin, je ne suis pas sur que c’est ici, mais on ne sait jamais. J’ai toqué. Sans réponse, peut-être une seconde fois ? Toujours aussi silencieux. J’ouvris la porte malgré que je n’aie pas encore eu la permission, qu’est ce que j’ai à perdre ?
Derrière il y a une petite salle, sentant le renfermé dès l’ouverture, même s’il y a des fenêtres, il ne me semble pas qu’ils ont servis à grand-chose auparavant, avec un bureau en bois en plein centre légèrement poussiéreux tout comme le sol. Derrière le mobilier, il y a un homme endormis, la tête écrasé contre le bois. L’individu a de longs cheveux blonds et est très baraqué, étant une allumette à coté de lui. Grand aussi, son visage est caché par sa chevelure, je fis un pas pour me placer juste devant le bureau après avoir fermé la porte doucement. J’ai conclu que c’est le chef, non pas par hasard mais par son accoutrement qui est différent des autres. Afin de montrer ma présence, j’ai raclé la gorge de manière exagéré, il ne c’est pas réveillé, au contraire le blond avait commencé à ronflé fortement, rentrant dans un sommeil plus que profond. Sacré spécimen. Je n’eu que pour moyen de réussite de le taper sur la tête. J’ai fermé mon poing droit avant de taper sur le crâne de l’endormis, lui faire mal ou non, ce n’aie pas mon problème, tant qu’il se réveille. Et j’ai réussi ! Le blondinet ce redressa rapidement sur sa chaise, je peux encore voir le filé de bave sur le coin de sa bouche, les yeux bleu gonflés par la fatigue, mal rasé, il avait aussi un grande balafre sur le coté droit de son visage, une coupure vertical passant par son œil, les risques du métier.
- « C’est bien les gars continués comme ça ! Je ne veux voir aucun pirate quitter cette île !
Fronçant un sourcil en voyant la scène. Il n’est vraiment pas bien dans son crâne. C’est lui à la réputation de meilleur de chef marin ? A voir. Alors que la vue de mon interlocuteur devenait de plus en plus correcte, mon corps venait de disparaitre. Comme par magie.
- Whut ? J’avais laissé la fenêtre ouverte ? Je commence à oublier ce que je fais. Hn ? Il touche la salive qu’il avait sur le coin de la bouche. J’ai dormis ?! Ohlala, j’vais aller manger ça va m’faire du bien, faire le comédien, ca ne me va pas. J’avais pris la fuite en passant par la fenêtre, pourtant il y a une trentaine de mètre de hauteur entre la fenêtre et le sol. Comment ai-je fait ? Me voilà en train marcher de nouveau dans les rues de cette ville. Pourquoi j’ai fait tout cela pour partir au dernier moment ?
C’est simple, il faut bien que je sais où se trouvé le patron pour le trouver facilement quand je serais habillé avec ma tenu d’assassin. Si je serais venu avec ma tenue de travail en pleine ville, tout le monde m’auraient pris pou un criminel ou pirate, les deux rîmes de toute façon. Maintenant que je sais, je m’y rendrais plus rapidement sans les regards des villageois et des marins pour le moment.
« L’heure avait tourné depuis mon arrivée, et à cet instant, c’était le moment de s’élargir l’estomac. »C’est simple, il faut bien que je sais où se trouvé le patron pour le trouver facilement quand je serais habillé avec ma tenu d’assassin. Si je serais venu avec ma tenue de travail en pleine ville, tout le monde m’auraient pris pou un criminel ou pirate, les deux rîmes de toute façon. Maintenant que je sais, je m’y rendrais plus rapidement sans les regards des villageois et des marins pour le moment.
C’est le midi, les restaurants se remplissent de plus en plus, faisant partit de c’est personnes inondant les restos, j’ai passé une commande éclair, demandant un bol de nouille de taille maximum, servis en moins de dix minutes, plutôt rapide le service, mais la nourriture passe encore plus vite dans ma bouche. Je n’ai rien laissé, tout est passé avec fluidité, finissant par un soupir. Soudainement, j’entendis une voix grave et très familière, je l’ai déjà entendu, tournant mon visage vers l’entrée du restaurant, voilà qu’il y a le chef de la base en personne, bien en forme prêt à s’éclater le ventre, j’eu un sourire en le voyant avant que je parte déposer l’argent au comptoir avant de sortir, passant près de lui, levant les yeux pour le regarder, alors que je ne m’y attendais pas du tout, le voilà qu’il baissa le regard pour le poser contre le mien. C’est très rare qu’une personne vienne me regarder, malgré cela j’avais gardé un air neutre avant de sortir. M’avait-il vu lorsque j’étais dans son bureau ? Je ne sais pas vraiment.
Les rues sont vides, tout le monde est en train de manger à cette heure-ci.- Je crois que c’est le moment.
Foulant les rues seul, faisant bien attention de ne pas être suivi, je me rends à l’endroit où ce trouvé mon sac. Me changeant rapidement. Je suis fin prêt. J’ai mis mes bottines noirâtre montantes, arrivant juste au dessus des chevilles, lacets du même pigment, bien serrés avec une épaisse semelle de cinq centimètres. Si on lève le regard on peut voir que je porte un pantalon de type slim, bien que la taille est légèrement plus grande pour que je ne sois pas trop serré, maintenu par une ceinture autour de ma taille ; avec un anneau en métal, bloquant une épée dans son fourreau blanc d’une taille d’environ un mètre. Allez, plus haut encore ! Je porte un transpirant ? Ca y ressemble, c’est un haut de matière élastique moulant mon torse, finement bien dessiné par les muscles. Par-dessus ceci, il y a cela, un long manteau noir redescendant jusqu’aux mollets avec un col couvrant la moitié de mon coup. Les boutons qu’il y a au niveau du torse sont refermés, cachant donc mon épée et ma lame cachée. Une lame ? J’ai oublié de préciser que j’ai une petite lame d’environ quarante centimètre, dissimulé sur l’arrière de ma cuisse gauche, posé à l’intérieur d’une poche cousue sur le pantalon, personne n’avais accès à cette endroit. Mes vêtements sont au complet noir, sans aucune exception, finissant donc mon ensemble en plaçant mon masque devant mon visage, le voilà caché par la couche de plâtre, celle-ci était entièrement blanche, avec seulement deux couleurs ; Un trait violet en forme d’éclair passant à travers le trous de l’œil droit un peu à la Harry Potter, sauf que là, Voldemort y a donné du sien, ainsi qu’un trait courbé vers le haut, situé au niveau de la bouche, pour donner un faible sourire, rouge sang. Simple détails, j’ai aussi des gants en cuir moulant mes mains.
Posant mon sac remplie des mes vêtements de civil, au même endroit que tout à l’heure.
Me voilà partit en courant, très rapidement vers le village, ma façon de bouger a complètement changé, ne passant pas du tout pour un athlète y a quelques heures, me voici sur les toits des nombreuse maisons du village pour rester caché des regards indiscret, mes pas sont silencieux, aussi léger qu’une plume. Je finis mon chemin sur le toit d’une dernière maison, celle qui allait me permettre d’arriver tout en haut de la tour. Il y avait environ vingt mètres entre moi et la fenêtre du blondinet encore ouverte. L’avais-je anticipé ? J’avais tout préparé depuis le tout début ? Mystère. Je pris un élan d’une dizaine de mètre avant de prendre une accélération dépassant Bolt à plat de couture, posant mon pied d’appuis sur le bord du toit, avant de sauter tel un oiseau en plus je n’avais pas mordu, les bras jeter vers l’arrière, la tête levé, me voilà partit. Posant mes pieds sur le rebord de la fenêtre, ainsi que ma main droite sur le cadre, pour me maintenir, il n’y avait encore personne, le blond devait encore manger.
- Bien, bien.Posant mon sac remplie des mes vêtements de civil, au même endroit que tout à l’heure.
Me voilà partit en courant, très rapidement vers le village, ma façon de bouger a complètement changé, ne passant pas du tout pour un athlète y a quelques heures, me voici sur les toits des nombreuse maisons du village pour rester caché des regards indiscret, mes pas sont silencieux, aussi léger qu’une plume. Je finis mon chemin sur le toit d’une dernière maison, celle qui allait me permettre d’arriver tout en haut de la tour. Il y avait environ vingt mètres entre moi et la fenêtre du blondinet encore ouverte. L’avais-je anticipé ? J’avais tout préparé depuis le tout début ? Mystère. Je pris un élan d’une dizaine de mètre avant de prendre une accélération dépassant Bolt à plat de couture, posant mon pied d’appuis sur le bord du toit, avant de sauter tel un oiseau en plus je n’avais pas mordu, les bras jeter vers l’arrière, la tête levé, me voilà partit. Posant mes pieds sur le rebord de la fenêtre, ainsi que ma main droite sur le cadre, pour me maintenir, il n’y avait encore personne, le blond devait encore manger.
Me plaçant les bras croisés, tête baissée, appuyé contre le mur, derrière la porte, j’allais attendre son arrivée. Trente minutes à attendre, il est encore en train de manger ? Je reste là, telle une statue en train de l’attendre, je n’ai pas bougé depuis les minutes d’attente, je vais rouiller si ca continu. Puis j’entendis des pas s’approcher de la porte. Levant la tête lentement, c’est lui, je ne sais pas pourquoi, mais juste avec les pas et leur vibrations, j’ai pu en déduire que c’est le colosse. La porte s’ouvrit lentement, placé de façon à être caché lors de son ouverture, il ne m’a pas encore vu, la porte fut poussé pour être fermé, positionné dans l’angle mort de me l’homme. Je fis un pas en avant, et encore, si seulement j’ai eu le temps de le faire. A peine le pied droit lever que le dirigeant sur rua vers moi, la main droite grande ouverte près à me choper par la gorge. Incroyable, cela fait deux fois qu’il arrive à m’avoir, pourtant je ne dégage aucune présence, comment fait-il ?
Ne me laissant pas me laisser faire. J’ai directement fléchis la jambe gauche, la main adverse s’enfonce contre le mur juste au dessus de ma tête, par la suite, je fis une roulade sur le coter, posant essentiellement mes omoplates sur le carrelage pour effectuer le mouvement, après le geste, la main droite est à plat, au sol, tout comme genou droit. Je regarde le blond qui ne bougé plus du tout.
- Tu n’es donc pas lui. Lui n’aurait pas réagis comme toi.Ne me laissant pas me laisser faire. J’ai directement fléchis la jambe gauche, la main adverse s’enfonce contre le mur juste au dessus de ma tête, par la suite, je fis une roulade sur le coter, posant essentiellement mes omoplates sur le carrelage pour effectuer le mouvement, après le geste, la main droite est à plat, au sol, tout comme genou droit. Je regarde le blond qui ne bougé plus du tout.
De qui parle-t-il ? Je ne comprends rien. N’étant pas très bavard de base, je ne fis que rester silencieux face à l’individu qui viens de retirer son énorme main du mur et se tourner vers moi. L’atmosphère a complètement changé, sentant cette lourde présence du blondinet, je me sens vraiment minuscule mais pas faible pour autant
- Qui es-tu l’intrus ? Que viens-tu faire ici pour la deuxième fois ?
- Deuxième fois ?
- Oui, tu m’as bien entendu. C’est toi qui m’as fait cette bosse ! Dit-il en baissant sa tête, pointant son crane bossu à cause de mon ancien coup.
- Comment avez-vous su ?
- Crois-tu vraiment que je dors pendant le travail ?
- Vous le faisiez exprès ?
- Mes marins toques trois fois d’affilés puis entre. Hors toi, tu ne l’a fait qu’une fois.
- M’avez-vous vu ?
- Le jeune homme du restaurant, bien sûr.
Il m’a bien eu, plutôt intelligent le blond, lors de son pseudo réveil, il en avait profité pour regarder mon visage, j’eu un large sourire derrière mon masque. Venant me redresser par la suite.
- Je n’ai donc pas besoin de ça.J’ai retiré mon masque le posant sur mon crâne avant de jeter mon regard sur les yeux émeraude du Marin.
- Qu’est ce que tu viens faire ici ? Tu fais partit de sa troupe ? Bien que j’aie des doutes, tu aurais pu me tuer trois fois aujourd’hui.- De qui parlez-vous ?
- Tu ne sais pas de quoi je parle ?
- Non.
- D’où viens-tu ?
- Désolé, je ne peux vous le dire.
- Je vois.
La pression est tombé, il ne semble pu agressif comme tout à l’heure, il se dirigea vers son bureau avant de s’assoir moi qui est placer près de la fenêtre regardant d’un œil discret la ville d’en bas.
- Laisse-moi deviner. Tu veux devenir Marin ou mon adjoint ? Sache que je refuse les propositions pour les adjoints, je n’aime pas ça.- Ce n’est pas ça.
- Hn ? Que me veux-tu ?
- Devenir un chasseur de prime.
- Penses-tu vraiment que cette ville à besoin d’un chasseur de prime, je suis déjà là.
- Qui vous a dit que je reste dans la ville après avoir eu ce que je veux ?
- Pourquoi as-tu choisi cette ville ?
- Pour votre renommée.
- Juste pour ça ? Tu vois ce que j’ai au visage ? Après ça, je me suis retirer ce titre, que tout le monde me donne.
- Qui vous à fait ça ?
- Quelqu’un comme toi, habillé comme ça et portant le même masque.
- Comment ça ? C’est juste impossible. Surpris, j’ai dirigé mon regard vers mon interlocuteur, les sourcils foncés.
- Pourtant je peux t’assurer que c’est vrai. J’ai une question à te poser.
- …
- Pourquoi veux-tu devenir chasseur de prime ?
- Hn, pour exterminer les hommes poissons principalement.
- Pourquoi des hommes poissons ? Plus fort physiquement que n’importe qui.
- Je m’arrête là. Dis-je d’un ton sec, ne voulant pas du tout déblatérer sur ce sujet.
- Bien, je peux te donner ta licence, mais il faut que tu me prouves que tu as les épaules assez larges pour avoir ce métier.
- Je vous écoute.
- Rapproches toi.
Je fis quelques pas pour me placer juste devant son bureau, me tenant droit, les bras le long du corps, la tête inclinée pour regarder le Chef marin. Celui-ci tira un de ses tiroirs avant de sortir un avis de recherche et la poser violement contre le bureau.
- Chope le moi, mort ou vif.
- Attendez, ce masque…c’est le mien ?
- A première vu.
- …
- Cet homme, à fait beaucoup de mort dans cette ville et disparait sans rien laisser derrière lui.
- Comment savez vous que c’est un homme ? Où a t-il était vu la dernière fois ?
- Je sais cela car lorsque je me suis battu contre lui, j’ai pu le blesser au bras. La pilosité mon cher. Il traine généralement au coter Sud de la ville, mes patrouilles sont là-bas H24 mais ne trouvent jamais rien.
- Bien bas comme analyse, je ferais avec. Vous ne trouvez rien, j’irais donc au nord de la ville.
- Comme tu voudras.
- J’empoche la prime ?
- Bien sûr ! 10 000 000 de berrys.
Je pris l’avis de recherche avant de le mettre dans ma poche pour ensuite baisser mon masque afin qu’il se place devant mon visage.
- Bon courage.
- Je vous demanderez juste une faveur.
- Je t’écoute.
- Ne dit à personne que vous avez vu mon visage.
- Je comprends. Je garde le secret.
- Merci.
Je me mis devant la fenêtre avant de poser mon pied droit sur le rebord et prendre une impulsion pour me jeter sur toit juste en face.
- Le nord, cette partie de la ville était inconnu pour moi, j’aurais ma chance et le trouver là, qui sait, à moins que sa sois lui qui me cherche.Vêtu ainsi si je suis vu par mon ennemi, je ne sais pas ce que sera son comportement, m’attaquerait-il ? Est-ce qu’il me prendra pour un ami ? Pour le savoir il faut que je le trouve. Je fis quelques sauts de toit en toit, très lentement, prenant le temps de bien examiner, les ruelles, chemins, le moindre passage afin de ne rien louper. Puis il ne faut pas que les villageois me remarquent.
« Ca fait déjà une heure de recherche et toujours rien, le coté nord de la ville est enregistré ».- Bon, je crois que je vais retourner voir le vieux.
Me voilà reparti vers la base marine, les rues sont à peine remplies. Je sens que je vais m’emmerder si je ne le trouve pas, je n’aurais pas ma licence et je serais bien emmerdé. Qu’est ce que j’allais faire ? Je vais devenir un pauvre SDF ? Mon rêve de justice n’allait donc pas être réalisé ? Me voilà en train de ruminer de manière pessimiste en quelques secondes.
- Fssst…
Hn ? Mirage ? Quelque chose viens de passer très vite devant moi. Je ne pense pas être fou au point de l’avoir imaginer, stoppant alors ma course, je regarde de gauche à droite afin de trouver au moins quelque chose, une personne ? Un animal ? Une vision ? C’est très rapide en tout cas. Me plaçant au bord pour fixer le sol, nada.
- Hn…Je fais mine de rien et continu mon avancée vers la base de la marine, faisant mon dernier saut pour atteindre la dernière maison, jusqu'à ce que je ressentis une étreinte au niveau de ma cheville droite. Mon corps est soudainement tiré vers le bas, me retrouvant à plat au sol, en plein milieu de l’allée central de la ville. Par chance mon masque n’est pas cassé. Je me relève, les vêtements tachés de cette fine couche de terre recouvrant le sol, pas le temps de se nettoyer, j’ai trouvé ce que je veux.
A environ une vingtaine de mètre de moi, ce trouve l’individu recherché et comme le disais le « Patron », mon opposant est bien sapé de la même manière que moi. Surpris de voir une telle réalité, je reste bouche « B ». La ficelle qui entoure ma cheville est reliée à une ceinture, la sienne. Un gadget intéressant, il doit surement en avoir d’autre, je vais faire très attention aux capacités de mon adversaire.
« Tu es un imposteur, les imposteur n’ont nul droit de vivre. »A environ une vingtaine de mètre de moi, ce trouve l’individu recherché et comme le disais le « Patron », mon opposant est bien sapé de la même manière que moi. Surpris de voir une telle réalité, je reste bouche « B ». La ficelle qui entoure ma cheville est reliée à une ceinture, la sienne. Un gadget intéressant, il doit surement en avoir d’autre, je vais faire très attention aux capacités de mon adversaire.
Me dit-il avec une voix très grave, que je n’ai jamais entendue auparavant, mais un timbre légèrement familier à une connaissance. Le physique de l’inconnu n’est pas très incroyable, le ventre rond, retombant légèrement, il semble aimer la nourriture, un peu trop même. Son corps est entre autre rond de tout par. Si le balafré n’a nul réussi à l’avoir c’est qu’il doit être fort, j’ai donc ignoré son physique pour éviter de me fausser.
Après que l’homme masqué adverse a fini sa phrase, le voilà qu’il vient d’appuyer sur un bouton situé sur sa ceinture. Adoptant une garde solide à peine le mouvement fait, cela malheureusement ne servis à rien. Le fil transparent attaché ma cheville vient de se tendre pour m’attirer vers mon adversaire, pris au dépourvu, je suis tombé en arrière, la jambe droite vers mon opposant. Je ne veux pas que ca se finisse comme ça. Réagissant quelques secondes après, je viens de poser ma main gauche sur le manche noirâtre de mon sabre, avant de le ressortir tout penchant le haut de mon corps vers l’avant, pour faire une découpe avancée, horizontalement, de droite à gauche, coupant la ficelle mais aussi ma traînée au sol. Rapidement je viens de me redresser, pointant ma lame vers le brun adverse, le bras gauche tendu, parallèle au sol.
- Hn…Après que l’homme masqué adverse a fini sa phrase, le voilà qu’il vient d’appuyer sur un bouton situé sur sa ceinture. Adoptant une garde solide à peine le mouvement fait, cela malheureusement ne servis à rien. Le fil transparent attaché ma cheville vient de se tendre pour m’attirer vers mon adversaire, pris au dépourvu, je suis tombé en arrière, la jambe droite vers mon opposant. Je ne veux pas que ca se finisse comme ça. Réagissant quelques secondes après, je viens de poser ma main gauche sur le manche noirâtre de mon sabre, avant de le ressortir tout penchant le haut de mon corps vers l’avant, pour faire une découpe avancée, horizontalement, de droite à gauche, coupant la ficelle mais aussi ma traînée au sol. Rapidement je viens de me redresser, pointant ma lame vers le brun adverse, le bras gauche tendu, parallèle au sol.
A vrai dire, que dire face à un adversaire comme celui-ci ? Une jeune femme voyant la scène au loin, n’a fait qu’hurler de peur, alertant une bonne partie du village, les plus curieux, donc à peu près toute la zone concernée, sortis le bout de leur nez, mais ne fait aucun mouvement, ils sont comme figés à nous regarder. Le chef de la marine, lui est en haut de sa tour, en train de regarder tout ça par sa fenêtre, depuis combien de temps est-il là, à nous regarder ? C’est un sourire que je vois sur son visage ? Il se paie ma tête le con.
Me voilà réellement prêt, me plaçant de profil gauche par rapport à mon adversaire, le bras légèrement incliné, la lame dressée, l’autre bras, libre, le long de mon corps. Je viens d’incliner la tête pour demander à mon adversaire de venir, je le provoque ? En tout ca marche à merveille, il se rua vers moi, à main nu, avant de croiser ces bras, positionnant ces mains au niveau des hanches, lorsqu’il fait le mouvement inverse, l’individu a sortis deux sabres, que je n’ai guère vu à cause de son accoutrement similaire au mien. Me voilà bien embêté, L’homme munis des deux sabres viens de faire un bon rapidement brandissant ces deux lames vers le ciel avant de les rabaisser simultanément vers moi, les mouvements de mon opposant me font penser à quelqu’un, rien qu’à voir la scène je suis comme... Effrayé ? Je n’eu que pour seule solution de contrer, mais c’est justement ce qu’une personne démunis d’imagination ou voulant s’amuser aurait fait. Pour ma part, j’ai attendu le dernier moment, là où toute personnes auraient cru à ma mort, sauf que je ne me laisse pas faire aussi facilement. Je fais un bon en arrière très rapide, mes pieds proches du sol, laissant le coup passer dans le vide et c’est à l’instant, où les lames sont inclinées que je fis un second bon, cette fois-ci vers l’avant, mon arme blanche vers l’avant, visant la tête adverse, étrangement c’est comme-ci je revis la scène de mon entrainement avec mon senseï.
Je l’ai donc eu sans difficulté ? J’ai effectué mes mouvements avec fluidité et rapidité, en gros un peu ce qu’il faut pour l’emporter sans difficulté, généralement. Ouvert d’esprit mon opposant réagis aussi rapidement que mon mouvement, l’a-t-il anticipé ? Il a laissé de son buste suivre le mouvement de ces bras, afin d’incliner son torse et éviter ma lame. L’homme masqué a réussi à éviter mon coup, sauf qu’il ne peut pas esquiver ma seconde attaque, qui est mon genou gauche replié et mis en avant. Lorsque mon adversaire a incliné son buste, il a renoncé à me regarder pendant quelques instants, c’est là que je viens lui administrer un coup de genou sur le haut de crâne, l’envoyant quelques mètres plus loin alors que ces épées sont à mes pieds planté au sol, il est désarmé.
Le public lui est aussi calme qu’un enfant venant d’avoir un nouveau jouet, par les fenêtres, devant les magasins, restaurant, sur les toits, il y a de plus en plus de monde au fur des minutes, que ce soit enfants ou vieillards, le peuple est là, ils ne savent pas qui soutenir, nous étions tout les deux « jumeaux ». Il n’y a pas que les villageois qui sont dans l’ignorance, les marins aussi, venant nous encerclé de tout part, sur un diamètre de trente mètres, apparemment peureux, ils ont pointés leur armes sur nous, près à nous tuer mais à s’entre tué s’ils nous loupent, stupide ou ? En tout cas, à peine les armes dirigés vers nous que la voix roque du blond surgis tel le rugissement d’un loin du haut de son rocher donnant ces ordres sans bouger avec un sourire carnassier.
- Ne tirez surtout pas ! Le maigrichon est avec nous !Me voilà réellement prêt, me plaçant de profil gauche par rapport à mon adversaire, le bras légèrement incliné, la lame dressée, l’autre bras, libre, le long de mon corps. Je viens d’incliner la tête pour demander à mon adversaire de venir, je le provoque ? En tout ca marche à merveille, il se rua vers moi, à main nu, avant de croiser ces bras, positionnant ces mains au niveau des hanches, lorsqu’il fait le mouvement inverse, l’individu a sortis deux sabres, que je n’ai guère vu à cause de son accoutrement similaire au mien. Me voilà bien embêté, L’homme munis des deux sabres viens de faire un bon rapidement brandissant ces deux lames vers le ciel avant de les rabaisser simultanément vers moi, les mouvements de mon opposant me font penser à quelqu’un, rien qu’à voir la scène je suis comme... Effrayé ? Je n’eu que pour seule solution de contrer, mais c’est justement ce qu’une personne démunis d’imagination ou voulant s’amuser aurait fait. Pour ma part, j’ai attendu le dernier moment, là où toute personnes auraient cru à ma mort, sauf que je ne me laisse pas faire aussi facilement. Je fais un bon en arrière très rapide, mes pieds proches du sol, laissant le coup passer dans le vide et c’est à l’instant, où les lames sont inclinées que je fis un second bon, cette fois-ci vers l’avant, mon arme blanche vers l’avant, visant la tête adverse, étrangement c’est comme-ci je revis la scène de mon entrainement avec mon senseï.
Je l’ai donc eu sans difficulté ? J’ai effectué mes mouvements avec fluidité et rapidité, en gros un peu ce qu’il faut pour l’emporter sans difficulté, généralement. Ouvert d’esprit mon opposant réagis aussi rapidement que mon mouvement, l’a-t-il anticipé ? Il a laissé de son buste suivre le mouvement de ces bras, afin d’incliner son torse et éviter ma lame. L’homme masqué a réussi à éviter mon coup, sauf qu’il ne peut pas esquiver ma seconde attaque, qui est mon genou gauche replié et mis en avant. Lorsque mon adversaire a incliné son buste, il a renoncé à me regarder pendant quelques instants, c’est là que je viens lui administrer un coup de genou sur le haut de crâne, l’envoyant quelques mètres plus loin alors que ces épées sont à mes pieds planté au sol, il est désarmé.
Le public lui est aussi calme qu’un enfant venant d’avoir un nouveau jouet, par les fenêtres, devant les magasins, restaurant, sur les toits, il y a de plus en plus de monde au fur des minutes, que ce soit enfants ou vieillards, le peuple est là, ils ne savent pas qui soutenir, nous étions tout les deux « jumeaux ». Il n’y a pas que les villageois qui sont dans l’ignorance, les marins aussi, venant nous encerclé de tout part, sur un diamètre de trente mètres, apparemment peureux, ils ont pointés leur armes sur nous, près à nous tuer mais à s’entre tué s’ils nous loupent, stupide ou ? En tout cas, à peine les armes dirigés vers nous que la voix roque du blond surgis tel le rugissement d’un loin du haut de son rocher donnant ces ordres sans bouger avec un sourire carnassier.
- « Hein ? Il est avec nous ? Vous pensez ça ? »
- « Si le chef le dit, c’est que sa doit l’être ! »
- « Etrange… Très étrange ! »
- « En tout cas il à l’air de gérer le combat à sa sauce. »
L’enfoiré, il n’a pas trouvé mieux comme surnom sur le coup ? En parlant de coup, c’est une bosse que je vois sur le crâne de mon adversaire ? Haha, je viens me placer entre le deux sabres plantés au sol, avant de demander à mon adversaire, de venir de nouveau, sans broncher, le voilà devant moi, il mit sa main droite sur l’arrière de sa cuisse avant de faire apparaitre une lame, quasi identique à la mienne. A l’instar de la mienne celle de mon opposant basique. Ne prévoyant pas de la garder longtemps, il la jette vers moi très rapidement, coupant l’air, pour arriver à la hauteur de mon plexus. Qui l’eu cru ? Surpris que celui-ci a une lame caché, malheureusement il l’utilise au mauvais moment.
Je viens placer mon sabre devant mon buste, le coté plat vers la lame adverse. Et oui, vous avez compris, je viens de bloquer l’attaque de mon opposant grâce au plat de mon sabre. Je suis très précis et sur de moi.
- « Les imposteurs devront faire couler leur sang et ainsi abandonner leur rang d’imposteur pour que leur âme sois volé par l’ange de la mort. »Je viens placer mon sabre devant mon buste, le coté plat vers la lame adverse. Et oui, vous avez compris, je viens de bloquer l’attaque de mon opposant grâce au plat de mon sabre. Je suis très précis et sur de moi.
L’homme masqué vient d’effectuer un saut, élance sa jambe gauche vers l’avant, le posant contre le manche de sa petite lame appuyée sur mon épée. Avait-il anticipé mon mouvement de nouveau ? A l’aide d’une main, je ne peux pas retenir la puissante du coup, je pose ma main droite sur le haut de lame pour contrer le coup tien bien que mal, mon corps glisse néanmoins sur plusieurs mètres, à preuve du contraire, le brun en a de la force. Position désavantageuse, mon adversaire a rapidement dirigé sa jambe droite vers le sol, pour ne pas tomber de manière ridicule. Je l’avais eu, il allé prendre ces sabre une fois le pied au sol ? Alors que mon adversaire a baissé sa jambe, je fis un tour sur moi-même sur la pointe des pieds, bras muni de l’arme tendu tout en fléchissant les jambes, c’est un spin sur place si je puis dire. Mon agitation à pour but de trancher la jambe droite de l’homme pensant la poser au sol. Cette fois-ci, je l’ai eu, je ne vois pas de réaction de défense adverse, ma lame noirâtre à trancher le membre désigné, juste au dessus du genou. Comment va-t-il se débrouiller avec une jambe ?
J’ai crée des cris venant du public, déconseillé au moins de seize ans au risque de garder de sale souvenir de se mouvement. Pour l’instant je n’ai pas vraiment l’impression qu’ils me prennent pour leur allier. Nous verrons cela vers la toute fin.
L’assassin vient de tomber sur le dos, tachant le sol de son sang rougeâtre, des gouttes de son sang coulent sur long de ma lame noir.
- Je ne comprends pas t’es histoires d’ange de la mort mais en tout cas, aujourd’hui je suis ton ange de la mort.J’ai crée des cris venant du public, déconseillé au moins de seize ans au risque de garder de sale souvenir de se mouvement. Pour l’instant je n’ai pas vraiment l’impression qu’ils me prennent pour leur allier. Nous verrons cela vers la toute fin.
L’assassin vient de tomber sur le dos, tachant le sol de son sang rougeâtre, des gouttes de son sang coulent sur long de ma lame noir.
Je me place près de lui, baissant la tête pour le fixer, pose la pointe de ma lame au niveau de son coeur. Je me mis à appuyer fortement lorsque des mots sortent de sa bouche.
- C’est bien, tu es bien meilleur que moi.Pris dans mon élan, je viens de transpercer le cœur de mon adversaire, puis cette voix, qui est devenu neutre, pendant ce court instant, ça ne peux pas être la personne à qui je pense. Le mieux est de regarder, me penchant, pour enlever son masque, à peine celui-ci décollé du visage de l’homme, un flash blanc m’engloutis, me cachant des regards. Je suis seul, où est passé mon opposant ? Plus loin une silhouette me regarde, nos regards se croisèrent, et c’est à cette instant que je comprends. Un sourire dessina mon visage, avec quelques larmes, sans émotion d’habitude, mais là, je suis obligé. Fû était donc la personne errante ici, son esprit était contrôlé ? Jamais il ne ferait de mal à des villageois. Le destin ou non, je croise une personne qui me tiens très à cœur. Je reste là, à le fixer de loin. Il me fit la révérence, chose que nous faisions à chaque fin de combat, avant qu’un second flash apparu, cette fois-ci, retour au village.
- Oh ? Où est passé le corps ? - C’était quoi ce flash là ?
- Vous comprenez quelques choses ?
- Sa doit être un sorcier !
Oui, le corps de mon senseï a disparu, les taches de sang aussi, tout. Missing, disparu sans laisser de trace. Le silence pris le dessus au village, avant d’avoir des applaudissements et des cris me félicitant. Je viens de ranger mon sabre avant de regarder le public. Une voix, plus puissante que tout ce rassemblement pris le dessus, celle du blondinet.
- Voici notre nouveau chasseur de prime !Depuis, ce jours, je suis chasseur de prime, plusieurs villageois et marins demandent au balafré mon prénom, ils veulent savoir le nom de ce mec qui à battu, celui que personne ne pensait battre. Gardant le secret jusqu’au bout, j’ai maintenant un surnom plutôt spécial ; le voleur d’âmes. Encore une idée tordu de ce type.
------------------------------------------------Prénom: Zorro.
Age: 18.
Aime: Dormir.
N'aime pas: Les cours ?
Personnage préféré de One Piece: Luffy. (Pour l'instant)
Caractère: Hilarant, fainéant. (Assez, non ?)
Fait du Rp depuis: 3 ans. (Et encore mauvais)
Disponibilité approximative: Soirée.
Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à un ami.
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Dernière édition par Mura Kyoshin le Dim 6 Avr 2014 - 11:57, édité 19 fois