>> Uzas Syla
Pseudonyme : Divine Syla. Age: 25 ans. Sexe : Féminin. Race : Terriblement humaine. Métier : Navigatrice sans talent. Groupe : Pirate. But : Devenir la Déesse du monde connu, peu connu, et même pas connu. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Nous verrons. Équipement : Des vêtements Nyor, un parfum Jean-Sartre Rathier, des chewing-gum à la cerise, une épée en toc, et deux kilos de stupidité saupoudrée de dédain. Codes du règlement : Parrain : / Ce compte est-il un DC ? : Non. Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Syla est plutôt grande pour une femme, avec son mètre soixante et onze. On pourrait dire qu'elle en impose pas mal, après tout, elle a le port altier et elle se tient toujours droite. Elle n'est peut-être pas très musclée, parce que bon, elle est un peu mince voir maigre, régime à base de yaourts oblige. Mais on s'en moque. L'important ? C'est qu'elle a du charisme. Elle a un quelque chose qui la démarque du commun, comme on remarque le chien de bonne santé par son poil brillant et sa truffe humide. Est-ce que ça pourrait venir de son visage ? C'est quand même un beau minois qu'on a là. Il est fin, il est noble, on voit là son ascendance, celle des anciens Rois du Khemal. A moins que ce ne soit juste de folles lubies sorties de mon esprit distordu par les néons et la vodka. Quoi qu'il en soit, elle a de beaux cheveux azurs. Bien coiffés, bien lissés, bien lavés. Après tout, comment pourraient-ils ne pas l'être ? Elle utilise une lotion à base d'amandes, un shampoing anti-pelliculaire avec 70% de miel, et elle sèche toujours ses tifs naturellement. Après tout, si ce n'était pas le cas, elle risquerait de les abimer. Le teint de sa peau ? Plutôt basané, mais elle n'a pas de bouton, pas de ride, elle est parfaite - remercions les coûteuses crèmes qu'elle consomme avec une ferveur frisant le fanatisme. Quant à ses yeux ? Des yeux émeraudes, reflétant les émotions qui parcourent l'esprit de la demoiselle.
Elle a un look impeccable, elle a de l'allure. C'est des vêtements de qualité, de la haute couture qu'elle porte. Du pratique, mais quand même pas trop. Pour ne pas dire pas du tout. Elle ne met que ce qui est esthétique, ce qui met en valeur son corps. Des talons hauts avec lesquels elle peine à marcher ? Des bustiers qui l'étouffent ? Des robes avec tellement de volants que ça en devient un supplice ? Vous voyez le genre. Tout ce genre de trucs supers beaux en soirées mondaines, mais qui se salissent, se déchirent, s’empêtrent dans n'importe quel truc qui passe dès qu'on en sort.
Mais ce n'est pas le cas avec la héritière des Uzas, ah ça non ! Après tout, nous ne parlons pas d'une personne normale. Nous parlons d'un personne avec classe, classe avec le C de ... Classitude. Syla, vous voyez, a une sorte d'aura. Une aura de héros. Quand elle prend une pose, le vent vient soulever sa cape et ses cheveux avec grâce. Quand elle lève sa lame vers le ciel, les rayons de soleil s'y reflètent et lui donnent un air épique. Si jamais elle avait le malheur d'être blessée au visage, elle ne serait pas défigurée, au contraire ! La cicatrice qui en résulterait lui donnerait un air cool et torturé qui fera la rage des gamins boutonneux. La nuit tombée, sa silhouette se dessinera sous les rayons de lune, elle aura une mine mélancolique et mystérieuse des plus attirantes. Bref, plein de détails de ce genre là font d'elle une vraie héroïne. Et pas de celles qu'on se met par intraveineuse.
Elle a un look impeccable, elle a de l'allure. C'est des vêtements de qualité, de la haute couture qu'elle porte. Du pratique, mais quand même pas trop. Pour ne pas dire pas du tout. Elle ne met que ce qui est esthétique, ce qui met en valeur son corps. Des talons hauts avec lesquels elle peine à marcher ? Des bustiers qui l'étouffent ? Des robes avec tellement de volants que ça en devient un supplice ? Vous voyez le genre. Tout ce genre de trucs supers beaux en soirées mondaines, mais qui se salissent, se déchirent, s’empêtrent dans n'importe quel truc qui passe dès qu'on en sort.
Mais ce n'est pas le cas avec la héritière des Uzas, ah ça non ! Après tout, nous ne parlons pas d'une personne normale. Nous parlons d'un personne avec classe, classe avec le C de ... Classitude. Syla, vous voyez, a une sorte d'aura. Une aura de héros. Quand elle prend une pose, le vent vient soulever sa cape et ses cheveux avec grâce. Quand elle lève sa lame vers le ciel, les rayons de soleil s'y reflètent et lui donnent un air épique. Si jamais elle avait le malheur d'être blessée au visage, elle ne serait pas défigurée, au contraire ! La cicatrice qui en résulterait lui donnerait un air cool et torturé qui fera la rage des gamins boutonneux. La nuit tombée, sa silhouette se dessinera sous les rayons de lune, elle aura une mine mélancolique et mystérieuse des plus attirantes. Bref, plein de détails de ce genre là font d'elle une vraie héroïne. Et pas de celles qu'on se met par intraveineuse.
>> Psychologie
« Ce n'est pas ma faute si je suis née belle, intelligente, et modeste. »
Syla a été éduquée dans un environnement de luxe et de prestige. On a toujours obéi à ses moindres caprices, on ne l'a jamais contredite, et on a pas arrêté de lui répéter à quel point elle était parfaite. Après tout, si on arrêtait pas de lui dire, c'est que ça devait être vrai, non ? Elle s'accorde bien sur ce point, après tout, toutes ses amies ont toujours été de statut, beauté et esprit inférieurs au sien. Ce qu'elle aime le plus ? Entendre les gens lui dire à quel point elle est divine. Et ce qu'elle déteste ? Qu'on lui fasse remarquer à quel point elle ne l'est pas. Ou alors, qu'on dise à quel point une quelconque personne l'est. Et ce n'est pas pour une question d'égo, ah ça non. Si elle déteste cela, c'est parce qu'elle déteste le mensonge. Et quel plus gros mensonge peut-il y avoir que celui de se refuser à accepter la perfection de notre héroïne ?
« Si élégante, cette robe ... Le prix ? Quel prix ? Le prix n'a aucune importance ! »
Notre déesse en devenir a des goûts raffinés. Elle n'aime ses vêtements que si ils sont d'étoffes rares et de couturiers célèbres. N'aime la nourriture que si elle est servie dans un restaurant cinq fourchettes, et les parfums que si ils ont été approuvés par les égéries de la mode telles que Carl le Brun ou Tina Cruiser. Syla n'a jamais eu à se préoccuper du prix des choses, et ce n'est pas prêt d'arriver. Quoi qu'il se pourrait que dans un futur proche, elle se heurte à la réalité des nantis.
« Lui c'est un méchant, il a une sale gueule. »
Notre demoiselle a des idées très arrêtées sur ce monde, et sur ce qu'il devrait être. Et pour tout vous dire, elle a un avis sur tout. Même sur ce qu'elle ne connait pas. Qui pourrait se passer de son avis éclairé, dites-le moi ? Personne, strictement personne ! Alors elle exprime ses opinions, même dans les moments où elle ne le devrait pas. Mais ce n'est pas tout ! Elle juge aussi les gens à leur apparence. Tu es mignon ? Tu ne peux être que gentil ! Comment ça ? Tu aurais volé des sucettes à des enfants et des sacs à des mamies ? Bah, la société ne te comprend pas, tu es un rebelle qui ne se conforme pas aux codes. Tu es moche ? T'es un connard et un voyou ! Hmm ? On me dit à l'oreillette que tu as mis au point un vaccin contre la grippe carnivore et sauvé des dizaines d'enfants de la famine ? Bah ! J'y crois pas. Et même si c'est vraiment le cas, je suis sûre que c'est pour cacher le véritable plan maléfique que ta sale caboche a mis au point !
« Le problème, c'est que les gens sont jaloux. Ils ne peuvent pas accepter que je sois meilleure qu'eux. »
Notre héroïne est convaincue de toutes ses qualités. Elle a la conviction d'être la perfection incarnée, une déesse faite chair, et elle ne se gêne pas pour le faire remarquer. A tout le monde. Au tavernier qui la regarde avec les sourcils froncés, au soulard vomissant sur ses chaussures, et au chat de gouttière qui n'en a rien à faire parce que déjà faudrait qu'il puisse comprendre les conneries sortant de ses lèvres. Mais vous voyez, tout le monde n'est pas de son avis. Et on se moque souvent d'elle, ce qui l'excède à un point qu'il ne serait pas intéressant de quantifier. Puis, tout au long de sa vie, elle a été la victime d'incidents qui l'ont fait tombée en disgrâce, et elle est convaincue d'être la cible de gens moins bien dotés qu'elle ne cherchant qu'à la rendre misérable par pure mesquinerie.
« Comment on monte un fusil ? Tu vois, tu mets le truc dans le machin, puis après tu vises et tu *KABOOM* ... Oups ? »
Mais il se pourrait qu'en fait, le destin se soit acharnée sur son sort à cause de son égo surdimensionné, de son arrogance palpable, et d'une rare incompétence et bêtise. Rappelez vous, notre demoiselle a mot à dire sur tout ce qui se passe ou ne se passe pas dans le monde. Par conséquence, tout ce qu'elle dit, et par transition, ce qu'elle fait, est juste. Bien. Et a valeur de loi. Ou pas. Négligence, ignorance, maladresse et stupidité sont des mots qui correspondent à sa personne lorsqu'elle entreprend une action. Elle fait la sourde oreille aux conseils avisés, fait ce qui l'entend, ordonne les choses les plus absurdes si celles-ci sonnent bien. Après tout, elle a peu de jugeote. Quel que soit le domaine, elle se pavanera, affirmera qu'elle y excelle, mais sera pire que médiocre, entraînant catastrophes et conséquences malvenues dans son sillage.
« Mettez moi des bâtons dans les roues ! Mais sachez, sachez ... Que je prévaudrai. »
Syla a été éduquée dans un environnement de luxe et de prestige. On a toujours obéi à ses moindres caprices, on ne l'a jamais contredite, et on a pas arrêté de lui répéter à quel point elle était parfaite. Après tout, si on arrêtait pas de lui dire, c'est que ça devait être vrai, non ? Elle s'accorde bien sur ce point, après tout, toutes ses amies ont toujours été de statut, beauté et esprit inférieurs au sien. Ce qu'elle aime le plus ? Entendre les gens lui dire à quel point elle est divine. Et ce qu'elle déteste ? Qu'on lui fasse remarquer à quel point elle ne l'est pas. Ou alors, qu'on dise à quel point une quelconque personne l'est. Et ce n'est pas pour une question d'égo, ah ça non. Si elle déteste cela, c'est parce qu'elle déteste le mensonge. Et quel plus gros mensonge peut-il y avoir que celui de se refuser à accepter la perfection de notre héroïne ?
« Si élégante, cette robe ... Le prix ? Quel prix ? Le prix n'a aucune importance ! »
Notre déesse en devenir a des goûts raffinés. Elle n'aime ses vêtements que si ils sont d'étoffes rares et de couturiers célèbres. N'aime la nourriture que si elle est servie dans un restaurant cinq fourchettes, et les parfums que si ils ont été approuvés par les égéries de la mode telles que Carl le Brun ou Tina Cruiser. Syla n'a jamais eu à se préoccuper du prix des choses, et ce n'est pas prêt d'arriver. Quoi qu'il se pourrait que dans un futur proche, elle se heurte à la réalité des nantis.
« Lui c'est un méchant, il a une sale gueule. »
Notre demoiselle a des idées très arrêtées sur ce monde, et sur ce qu'il devrait être. Et pour tout vous dire, elle a un avis sur tout. Même sur ce qu'elle ne connait pas. Qui pourrait se passer de son avis éclairé, dites-le moi ? Personne, strictement personne ! Alors elle exprime ses opinions, même dans les moments où elle ne le devrait pas. Mais ce n'est pas tout ! Elle juge aussi les gens à leur apparence. Tu es mignon ? Tu ne peux être que gentil ! Comment ça ? Tu aurais volé des sucettes à des enfants et des sacs à des mamies ? Bah, la société ne te comprend pas, tu es un rebelle qui ne se conforme pas aux codes. Tu es moche ? T'es un connard et un voyou ! Hmm ? On me dit à l'oreillette que tu as mis au point un vaccin contre la grippe carnivore et sauvé des dizaines d'enfants de la famine ? Bah ! J'y crois pas. Et même si c'est vraiment le cas, je suis sûre que c'est pour cacher le véritable plan maléfique que ta sale caboche a mis au point !
« Le problème, c'est que les gens sont jaloux. Ils ne peuvent pas accepter que je sois meilleure qu'eux. »
Notre héroïne est convaincue de toutes ses qualités. Elle a la conviction d'être la perfection incarnée, une déesse faite chair, et elle ne se gêne pas pour le faire remarquer. A tout le monde. Au tavernier qui la regarde avec les sourcils froncés, au soulard vomissant sur ses chaussures, et au chat de gouttière qui n'en a rien à faire parce que déjà faudrait qu'il puisse comprendre les conneries sortant de ses lèvres. Mais vous voyez, tout le monde n'est pas de son avis. Et on se moque souvent d'elle, ce qui l'excède à un point qu'il ne serait pas intéressant de quantifier. Puis, tout au long de sa vie, elle a été la victime d'incidents qui l'ont fait tombée en disgrâce, et elle est convaincue d'être la cible de gens moins bien dotés qu'elle ne cherchant qu'à la rendre misérable par pure mesquinerie.
« Comment on monte un fusil ? Tu vois, tu mets le truc dans le machin, puis après tu vises et tu *KABOOM* ... Oups ? »
Mais il se pourrait qu'en fait, le destin se soit acharnée sur son sort à cause de son égo surdimensionné, de son arrogance palpable, et d'une rare incompétence et bêtise. Rappelez vous, notre demoiselle a mot à dire sur tout ce qui se passe ou ne se passe pas dans le monde. Par conséquence, tout ce qu'elle dit, et par transition, ce qu'elle fait, est juste. Bien. Et a valeur de loi. Ou pas. Négligence, ignorance, maladresse et stupidité sont des mots qui correspondent à sa personne lorsqu'elle entreprend une action. Elle fait la sourde oreille aux conseils avisés, fait ce qui l'entend, ordonne les choses les plus absurdes si celles-ci sonnent bien. Après tout, elle a peu de jugeote. Quel que soit le domaine, elle se pavanera, affirmera qu'elle y excelle, mais sera pire que médiocre, entraînant catastrophes et conséquences malvenues dans son sillage.
« Mettez moi des bâtons dans les roues ! Mais sachez, sachez ... Que je prévaudrai. »
Mais vous voyez, vous aurez beau la mettre face à ses erreurs et contradictions, elle n'en démordra pas. Elle restera enfermée dans son monde de fantaisies, monde où elle a toujours raison et où tout se passe comme elle l'entend. Elle est convaincue d'être la meilleure des femmes, et elle est encore plus convaincue qu'une destinée merveilleuse l'attend, une destinée où elle serait Déesse d'un monde façonné selon ses idéaux enfantins et ses envies incohérentes. Les gens médiocres ne comprennent pas une femme comme elle, vous répétera-t-elle. Elle est seule contre le monde. Mais pourtant, elle sait qu'elle arrivera à ses fins. Les choses seront comme elles le souhaitent, ou ne seront tout simplement pas.
>> Biographie
Coucou tout le monde, moi c'est Syla (prononcez Saïla) Uzas (prononcez Ousasse), et j'ai 25 ans. Moi je trouve que c'est un âge mur pour entreprendre la quête épique qui est la mienne, et dont je vous parlerai après, ne soyez pas impatients ! Bref. Comme vous pouvez le voir, je suis d'une rare beauté, je suis brillante, douée dans tout ce que j'entreprends, et en plus ! En plus ! J'ai bon goût vestimentaire. Bref, appelez moi perfection, je ne vous en voudrai pas puisque je l'incarne. Oh, oh là ! J'en entends rire, j'en entends se moquer dans les rangs du fond ! Bah. Sachez que vous êtes juste des petits cons jaloux, et que pour moi, vous n'existez même plus. Ouste, ouste ! Barrez vous, j'veux plus voir vos sales petites gueules de fouine, nah !
Bref, où j'en étais ? Ah oui ! Donc voilà, vous voyez à quel point je suis parfaite. A quel point je suis digne d'être Déesse. Oui, oui, vous entendez bien, rien de moins ni rien de plus que Déesse. Pourquoi ? Parce que c'est classe, et que je suis classe ! Se faire construire des temples à sa gloire, qu'on m'offre des offrandes ou qu'on sacrifie des vierges pour apaiser mon courroux, c'est quand même trop bien ! Enfin, le dernier truc c'est quand même un peu barbare, donc j'crois que je m'en passerai tout compte fait ... Oui, oui, oui !
Mais comment j'ai voulu être déesse ? Longue histoire. Courte en fait, mais si c'est pas long il n'y aura aucune classe dedans. Mais bon, vous devez bien vous demander pourquoi je ne suis guère déesse en ce moment, alors que j'ai un peu tout ce qu'il faut, nan ? Sachez que c'est parce que de sombres forces, redoutant ce qui se passerait si j'atteignais mon objectif, n'ont point arrêté de saper mes efforts ! Oui, vous avez très bien entendu ... Et comment elles ont réussi, je vais vous le conter. Cela dit ... Et si on commençait par le début ? Genre, pour que vous compreniez un peu les débuts de la princesse ?
Je suis la seconde née de la famille ô combien noble Uzas. On est tellement nobles qu'on a le sang d'anciens rois qui sont morts, même si les mauvais langues disent que c'est des conneries. Bref, on est nobles, et tellement nobles qu'on habitait dans la Haute Ville du Royaume de Saint Uréa, ahah ! Ça vous en bouche un coin ?! J'en suis heureuse ! Bref, moi j'ai toujours vécu avec le meilleur du meilleur, l'élite la plus prestigieuse, les commandants de la Marine les plus valeureux. Mais bon, ils étaient quand même un peu moyens quand on les compare à moi ! Ça reste entre nous, naturellement. Mon Père ? Il est noble depuis toujours, il gère pas mal de terres sur cette île et sur les îles autour, et en plus, il a un poste important dans la police. Ma Mère ? Elle, bah ... Je crois qu'elle est membre d'une autre famille noble. Elle a pas beaucoup de mérite, à part celui d'être née ici, mais bon, c'est déjà très bien ! Elle était plutôt jolie, et moi, je vous le dis, j'ai un peu dépassé toutes ses espérances !
Bref, sinan, j'ai été bien éduquée, comme une fille de haute naissance se doit de l'être. Parfois c'était dur, mais on m'a toujours dit que c'était pour mon bien. On m'a toujours dit que si je voulais être une femme de grandeur à la destinée fabuleuse, il fallait que je me plie à une formation rigoureuse. Edward, mon ainé, était plus que d'accord. Il était pas très bavard, et il était un peu moche même, mais il avait quand même une certaine classe. Il était doué dans ce qu'il faisait, et moi, bah, je me sentais obligée de suivre ses pas. Et de travailler deux fois plus que lui. Voyez vous, lorsqu'on est fille d'un si grand homme que mon Père, Staznilas Quatrième du nom, il faut faire nombre d'efforts pour ne pas rester dans son ombre. D'autant plus quand on a un ainé apprécié, respecté et respectable.
Bien malgré tout, j'atteignais la vingtaine en étant admirée des dames de la cours. Par ma beauté, ma grâce, mes exquises manières, mon esprit aiguisé. Bref, par ma perfection. J'aurai été une parfaite épouse, à n'en pas douter. Mais vous voyez ... Je voulais être davantage. Edward obtenait une place de choix dans la Marine. Et une ne tenait à être moins que lui, si bien qu'elle demandait à Père de lui en donner une au moins équivalente, si ce n'est meilleure ! Après tout, n'étaits-je donc pas plus parfaite que parfaite, à la limite de la divinité ? Mon géniteur était satisfait, et réussissait à me placer au sein de la Marine d'élite en tant que Commandante d'une chaloupe.
Les mois qui suivaient mon affectation étaient paisibles. Naturellement, je ne prenais pas ma position sans heurts. Après tout, je suis une femme, et les hommes endurcis par les années de service ont eu du mal à se faire à moi. Mais en leur rappelant qui commandait et qui était mon Père, j'ai réussi à leur rabattre le caquet, aha ! Mais tout a basculé en une journée d'hiver en plein dans North Blue. Il faisait très froid, ce jour là. Il y avait beaucoup de neige, et encore plus de vent. On m'avait demandé de ne pas sortir par ce temps, mais l'on chassait des pirates, vils individus inférieurs aux déchets ! Alors, n'écoutant que mon devoir, je me lançais à leur poursuite, valeureuse, de nuit comme de jour ! D'ailleurs, il faisait nuit quand c'est arrivé. Je ne voyais pas grand-chose, alors que je tenais la barre. Mais je ne me suis pas inquiétée. Après tout, avant de prendre le commandement, j'avais suivie une formation accélérée en navigation, qu'est-ce qui aurait pu mal se passer ?
Il y avait des lumières, droit devant. Je les ai ignorées. Et avant que je m'en rende compte, y'avait un bâtiment de la Marine beaucoup trop près pour être esquivé.
Vous devinez la suite, on s'est crashés l'un contre l'autre et on a tous deux coulés.
Il y a eu à peine quelques noyades de chaque coté, mais bon ... Ma réputation était ternie ! Comment j'aurai pu deviner qu'il fallait allumer les phares de mon navire ?! On était censés être seuls ! Seuls ! Mais bref, Papa a réussi à me trouver des circonstances atténuantes. Il m'a dit que j'allais être transférée dans une base paumée de North Blue, le temps que ça se calme. Et il m'a demandé de ne pas faire de vagues. De rester au calme, qu'il s'arrangerait pour me faire revenir dans les bonnes grâces des dirigeants. J'acquiesçais, et me mettais au garde à vous ! Après tout, une erreur ça arrive même à quelqu'un d'aussi génial que moi ! Alors je me jurais que tout se passerait bien.
Sauf que ça n'a pas été le cas.
A un moment, alors que je m'ennuyais passablement, on m'a demandé ce qu'il fallait faire au sujet de ce carburant toxique inutilisable. Je me suis contentée de hausser les épaules, et ait ordonné qu'on le jette dans la rivière. Après tout, qu'est-ce qui aurait pu se passer mal ? Bah je vais vous le dire, ne vous posez plus la question ! Ce carburant a empoisonné les réserves d'eau potable des villages autour, et y'a eu des malades et des morts de dégoût. Donc bon, les petites gens ont pas été contentes. Elles ont commencé à crier, à lever les fourches, ont brûlé des tas de foin, et on finit par se ramener devant la base pour demander réparation. Vous me connaissez, je déteste contempler la souffrance humaine ... Alors j'ai demandé à un régiment de sortir et de tirer sur les manifestants.
Ce que je n'avais pas prévu, c'est qu'ils ne se laisseraient pas faire, et que ça tournerait à un conflit de plus grande ampleur, avec des villages d'îles voisines se joignant au mouvement et gueulant que la Marine c'était tous des chacals. Bon, on a appelé des renforts, et tout s'est arrangé ! N'empêche qu'on m'a virée. Et que comme raison, on a mis *Incompétence notoire*. J'ai crié, j'ai pleuré, et me suis enfermée dans ma chambre pendant trois jours entiers. Et je n'en suis sortie que pour prendre des yaourts. Pendant ce temps, j'apprenais qu'Edward était promu. J'étais totalement choquée, j'arrivais pas à le concevoir. Quelle injustice de la part d'une institution dont le motto était de faire respecter la justice !
J'étais bouleversée. On faisait tout son possible pour que je ne puisse accomplir ma grandiose destinée ! Soit. SOIT ! Je l'attendrai, quoi qu'il arrive. Même si pour cela, il me fallait suivre des sentiers détournées.
Après avoir pleuré auprès de Père pendant quelques semaines, il cédait. Il m'offrait ma licence de chasseuse de primes, un navire, et un équipage qui tenait la route. J'étais aux anges ! Désormais, c'était moi qui dirigeait totalement, pas de maître ni personne à qui rendre des comptes ! Ma destinée allait s'accomplir, c'était certain ! Sauf que non. Pas vraiment. Par un malheureux concours de circonstances, je me suis retrouvée, quelques heures après avoir quitté les ports de Saint Uréa, en direction Est. Et en direction Est, y'avait une barrière de corail assez terrible, et j'étais assez près pour pouvoir la voir de mes propres yeux ! On s'est écrasés dedans. Et on a coulé. Nan mais sérieux, comment j'aurai pu savoir que le vent allait me porter là ? Et que sur la carte, cette ligne de points oranges indiquait la barrière ?! Hein hein hein ?!
Je suis retournée à la maison trempée, déprimée. Et après moult réflexions ... Une évidence s'imposait dans mon esprit. Je comprenais tout. Totalement tout. Ces accidents ... n'étaient pas des accidents ! Tout cela était un complot ! Un complot visant à me faire chuter ! Et ils avaient réussi, tellement ! Ils avaient peur de moi, peur de ce que je pouvais entreprendre ! Et c'est pour ça, pour ça qu'ils ont décidé de me briser avant que je prenne mon envol ... Mais pour quelle raison ? Une seule me venait à l'esprit : La jalousie. Ma perfection effrayait les esprits médiocres, voilà tout ! J'ai essayé de l'expliquer à Père, mais il a refusé de m'écouter. M'a juste dit de rester à la maison, pour que j'arrête de l'embarrasser. Que j'étais une honte, et qu'il était heureux qu'Edward soit là.
Ma colère était telle que je l'ai insulté et que j'ai balancé tout ce qui était à ma portée sur mon géniteur, avant de retourner dans ma chambre pour bouder longuement.
Soit. Les Forces du Mal à l’œuvre avaient réussi à tourner ma famille contre moi. La Marine ne voulait plus me voir, et l'organisation des Chasseurs de Primes ne me regardait plus d'un bon œil (ça nous fait pas de la bonne pub une telle bouffonne avaient dit leurs représentants, les connards !). Alors, je devinais qu'il ne me restait plus qu'une voie ... Si à la lumière du jour la Déesse que je suis ne pouvait plus s'épanouir, alors ...
... C'était dans les ténèbres qu'une irait. Aux cotés de la lie de cette société.
Qu'ils tremblent, le bas peuple et les nobliaux ! Car une est Syla Uzas, et une va devenir la nouvelle Déesse de ce monde.
Bref, où j'en étais ? Ah oui ! Donc voilà, vous voyez à quel point je suis parfaite. A quel point je suis digne d'être Déesse. Oui, oui, vous entendez bien, rien de moins ni rien de plus que Déesse. Pourquoi ? Parce que c'est classe, et que je suis classe ! Se faire construire des temples à sa gloire, qu'on m'offre des offrandes ou qu'on sacrifie des vierges pour apaiser mon courroux, c'est quand même trop bien ! Enfin, le dernier truc c'est quand même un peu barbare, donc j'crois que je m'en passerai tout compte fait ... Oui, oui, oui !
Mais comment j'ai voulu être déesse ? Longue histoire. Courte en fait, mais si c'est pas long il n'y aura aucune classe dedans. Mais bon, vous devez bien vous demander pourquoi je ne suis guère déesse en ce moment, alors que j'ai un peu tout ce qu'il faut, nan ? Sachez que c'est parce que de sombres forces, redoutant ce qui se passerait si j'atteignais mon objectif, n'ont point arrêté de saper mes efforts ! Oui, vous avez très bien entendu ... Et comment elles ont réussi, je vais vous le conter. Cela dit ... Et si on commençait par le début ? Genre, pour que vous compreniez un peu les débuts de la princesse ?
Je suis la seconde née de la famille ô combien noble Uzas. On est tellement nobles qu'on a le sang d'anciens rois qui sont morts, même si les mauvais langues disent que c'est des conneries. Bref, on est nobles, et tellement nobles qu'on habitait dans la Haute Ville du Royaume de Saint Uréa, ahah ! Ça vous en bouche un coin ?! J'en suis heureuse ! Bref, moi j'ai toujours vécu avec le meilleur du meilleur, l'élite la plus prestigieuse, les commandants de la Marine les plus valeureux. Mais bon, ils étaient quand même un peu moyens quand on les compare à moi ! Ça reste entre nous, naturellement. Mon Père ? Il est noble depuis toujours, il gère pas mal de terres sur cette île et sur les îles autour, et en plus, il a un poste important dans la police. Ma Mère ? Elle, bah ... Je crois qu'elle est membre d'une autre famille noble. Elle a pas beaucoup de mérite, à part celui d'être née ici, mais bon, c'est déjà très bien ! Elle était plutôt jolie, et moi, je vous le dis, j'ai un peu dépassé toutes ses espérances !
Bref, sinan, j'ai été bien éduquée, comme une fille de haute naissance se doit de l'être. Parfois c'était dur, mais on m'a toujours dit que c'était pour mon bien. On m'a toujours dit que si je voulais être une femme de grandeur à la destinée fabuleuse, il fallait que je me plie à une formation rigoureuse. Edward, mon ainé, était plus que d'accord. Il était pas très bavard, et il était un peu moche même, mais il avait quand même une certaine classe. Il était doué dans ce qu'il faisait, et moi, bah, je me sentais obligée de suivre ses pas. Et de travailler deux fois plus que lui. Voyez vous, lorsqu'on est fille d'un si grand homme que mon Père, Staznilas Quatrième du nom, il faut faire nombre d'efforts pour ne pas rester dans son ombre. D'autant plus quand on a un ainé apprécié, respecté et respectable.
Bien malgré tout, j'atteignais la vingtaine en étant admirée des dames de la cours. Par ma beauté, ma grâce, mes exquises manières, mon esprit aiguisé. Bref, par ma perfection. J'aurai été une parfaite épouse, à n'en pas douter. Mais vous voyez ... Je voulais être davantage. Edward obtenait une place de choix dans la Marine. Et une ne tenait à être moins que lui, si bien qu'elle demandait à Père de lui en donner une au moins équivalente, si ce n'est meilleure ! Après tout, n'étaits-je donc pas plus parfaite que parfaite, à la limite de la divinité ? Mon géniteur était satisfait, et réussissait à me placer au sein de la Marine d'élite en tant que Commandante d'une chaloupe.
Les mois qui suivaient mon affectation étaient paisibles. Naturellement, je ne prenais pas ma position sans heurts. Après tout, je suis une femme, et les hommes endurcis par les années de service ont eu du mal à se faire à moi. Mais en leur rappelant qui commandait et qui était mon Père, j'ai réussi à leur rabattre le caquet, aha ! Mais tout a basculé en une journée d'hiver en plein dans North Blue. Il faisait très froid, ce jour là. Il y avait beaucoup de neige, et encore plus de vent. On m'avait demandé de ne pas sortir par ce temps, mais l'on chassait des pirates, vils individus inférieurs aux déchets ! Alors, n'écoutant que mon devoir, je me lançais à leur poursuite, valeureuse, de nuit comme de jour ! D'ailleurs, il faisait nuit quand c'est arrivé. Je ne voyais pas grand-chose, alors que je tenais la barre. Mais je ne me suis pas inquiétée. Après tout, avant de prendre le commandement, j'avais suivie une formation accélérée en navigation, qu'est-ce qui aurait pu mal se passer ?
Il y avait des lumières, droit devant. Je les ai ignorées. Et avant que je m'en rende compte, y'avait un bâtiment de la Marine beaucoup trop près pour être esquivé.
Vous devinez la suite, on s'est crashés l'un contre l'autre et on a tous deux coulés.
Il y a eu à peine quelques noyades de chaque coté, mais bon ... Ma réputation était ternie ! Comment j'aurai pu deviner qu'il fallait allumer les phares de mon navire ?! On était censés être seuls ! Seuls ! Mais bref, Papa a réussi à me trouver des circonstances atténuantes. Il m'a dit que j'allais être transférée dans une base paumée de North Blue, le temps que ça se calme. Et il m'a demandé de ne pas faire de vagues. De rester au calme, qu'il s'arrangerait pour me faire revenir dans les bonnes grâces des dirigeants. J'acquiesçais, et me mettais au garde à vous ! Après tout, une erreur ça arrive même à quelqu'un d'aussi génial que moi ! Alors je me jurais que tout se passerait bien.
Sauf que ça n'a pas été le cas.
A un moment, alors que je m'ennuyais passablement, on m'a demandé ce qu'il fallait faire au sujet de ce carburant toxique inutilisable. Je me suis contentée de hausser les épaules, et ait ordonné qu'on le jette dans la rivière. Après tout, qu'est-ce qui aurait pu se passer mal ? Bah je vais vous le dire, ne vous posez plus la question ! Ce carburant a empoisonné les réserves d'eau potable des villages autour, et y'a eu des malades et des morts de dégoût. Donc bon, les petites gens ont pas été contentes. Elles ont commencé à crier, à lever les fourches, ont brûlé des tas de foin, et on finit par se ramener devant la base pour demander réparation. Vous me connaissez, je déteste contempler la souffrance humaine ... Alors j'ai demandé à un régiment de sortir et de tirer sur les manifestants.
Ce que je n'avais pas prévu, c'est qu'ils ne se laisseraient pas faire, et que ça tournerait à un conflit de plus grande ampleur, avec des villages d'îles voisines se joignant au mouvement et gueulant que la Marine c'était tous des chacals. Bon, on a appelé des renforts, et tout s'est arrangé ! N'empêche qu'on m'a virée. Et que comme raison, on a mis *Incompétence notoire*. J'ai crié, j'ai pleuré, et me suis enfermée dans ma chambre pendant trois jours entiers. Et je n'en suis sortie que pour prendre des yaourts. Pendant ce temps, j'apprenais qu'Edward était promu. J'étais totalement choquée, j'arrivais pas à le concevoir. Quelle injustice de la part d'une institution dont le motto était de faire respecter la justice !
J'étais bouleversée. On faisait tout son possible pour que je ne puisse accomplir ma grandiose destinée ! Soit. SOIT ! Je l'attendrai, quoi qu'il arrive. Même si pour cela, il me fallait suivre des sentiers détournées.
Après avoir pleuré auprès de Père pendant quelques semaines, il cédait. Il m'offrait ma licence de chasseuse de primes, un navire, et un équipage qui tenait la route. J'étais aux anges ! Désormais, c'était moi qui dirigeait totalement, pas de maître ni personne à qui rendre des comptes ! Ma destinée allait s'accomplir, c'était certain ! Sauf que non. Pas vraiment. Par un malheureux concours de circonstances, je me suis retrouvée, quelques heures après avoir quitté les ports de Saint Uréa, en direction Est. Et en direction Est, y'avait une barrière de corail assez terrible, et j'étais assez près pour pouvoir la voir de mes propres yeux ! On s'est écrasés dedans. Et on a coulé. Nan mais sérieux, comment j'aurai pu savoir que le vent allait me porter là ? Et que sur la carte, cette ligne de points oranges indiquait la barrière ?! Hein hein hein ?!
Je suis retournée à la maison trempée, déprimée. Et après moult réflexions ... Une évidence s'imposait dans mon esprit. Je comprenais tout. Totalement tout. Ces accidents ... n'étaient pas des accidents ! Tout cela était un complot ! Un complot visant à me faire chuter ! Et ils avaient réussi, tellement ! Ils avaient peur de moi, peur de ce que je pouvais entreprendre ! Et c'est pour ça, pour ça qu'ils ont décidé de me briser avant que je prenne mon envol ... Mais pour quelle raison ? Une seule me venait à l'esprit : La jalousie. Ma perfection effrayait les esprits médiocres, voilà tout ! J'ai essayé de l'expliquer à Père, mais il a refusé de m'écouter. M'a juste dit de rester à la maison, pour que j'arrête de l'embarrasser. Que j'étais une honte, et qu'il était heureux qu'Edward soit là.
Ma colère était telle que je l'ai insulté et que j'ai balancé tout ce qui était à ma portée sur mon géniteur, avant de retourner dans ma chambre pour bouder longuement.
Soit. Les Forces du Mal à l’œuvre avaient réussi à tourner ma famille contre moi. La Marine ne voulait plus me voir, et l'organisation des Chasseurs de Primes ne me regardait plus d'un bon œil (ça nous fait pas de la bonne pub une telle bouffonne avaient dit leurs représentants, les connards !). Alors, je devinais qu'il ne me restait plus qu'une voie ... Si à la lumière du jour la Déesse que je suis ne pouvait plus s'épanouir, alors ...
... C'était dans les ténèbres qu'une irait. Aux cotés de la lie de cette société.
Qu'ils tremblent, le bas peuple et les nobliaux ! Car une est Syla Uzas, et une va devenir la nouvelle Déesse de ce monde.
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Prénom : '^'
Age : 22 ans.
Aime : Sa personne, son miroir, les trucs sucrés.
N'aime pas : Les arrogants, les gens qui se mettent trop en avant, les gens qui ont raison.
Personnage préféré de One Piece : Chopper \o/
Caractère :
Fait du RP depuis : Longtemps, ça fait combien d'années à votre avis ? oô
Disponibilité approximative : A peu près tous les jours, après ça dépend de mon emploi du temps.
Comment avez-vous connu le forum ? Partenariat avec Shinobi no Hattan.
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Dernière édition par Syla Uzas le Lun 10 Mar 2014 - 1:38, édité 18 fois