Momifier, Roger est couvert de bandage à son réveil. Le seul fait de tenter de se lever est douloureux. Son dos le fait souffrir alors il reste allonger pour le moment. Un regard à droite, un autre à gauche. Shoma passe et le fou fait semblant de dormir. Une fois que le bruit des pas s’éloigne, le balafré ouvre les yeux. Son frère le terrifie. Toute sa vie s’est passée avec des hauts et des bas, mais cette fois c’est différent. Il est attaché à la personne qui a fait échouer son plan. Rares sont les êtres qui comptent pour lui, mais ceux qui comptent sont protégé par Roger, voir chouchouté.
Une fois qu’il est sûr de ne pas être vu, il se tourne et se met sur le ventre. Après avoir rampé sur quelques mètres, il atteint un pic du sambi qui l’aide à se relever. Les pas sont toujours aussi lents. Le moindre mouvement est douloureux. Un petit saut est effectué pour atteindre le sol et quitter le monstre marin. Le blond s’écrase au sol tandis qu’un de ses hommes le regard de proche. Accroupie.
Athos : Hey patron tu vas où ?
Porthos : On devrait l’aider non ?
Aramis Le toubib a dit de le laisser tranquille.
Porthos : Arrête de joué au con ! C’est pour qu’il se repose tranquillement.
Aramis : Je sais bien, mais j’te rappel qu’on s’en fou du toubib pour commencer.
Porthos : Tu te contredis.
Athos : Ho fermez là ! Il va parler.
Le schizophrène qui possède trois personnalités observe attentivement et tend l’oreille.
Qu’est-ce que j’dois faire ? Fuir ? Rester ? Que me reste-t-il ? Ce jeu ne m’amuse plus. Je veux plus jouer à ce jeu que l’on appelle la vie. Je croyais avoir compris les règles du jeu, mais finalement ces règles sont nuls. Qu’est ce que j’ai accompli dans ma vie… Qu’est ce que j’ai gagné… Rien du tout. Personne ne m’aime. Mes filles ne me connaissent pas. Ma femme doit me haïr. Personne ne m’aime. A quoi bon aimer les autres si c’est pour qu’ils profitent de cette amour et nous écrase.
-Patron ?
Aucun mot ne sort réellement ce sont des sortes d’onomatopée qui exprime son mécontentement. La face contre le sol, il n’a pas la force de se relever et le schizophrène l’aide enfin à se remettre sur pied.
Une fois qu’il est sûr de ne pas être vu, il se tourne et se met sur le ventre. Après avoir rampé sur quelques mètres, il atteint un pic du sambi qui l’aide à se relever. Les pas sont toujours aussi lents. Le moindre mouvement est douloureux. Un petit saut est effectué pour atteindre le sol et quitter le monstre marin. Le blond s’écrase au sol tandis qu’un de ses hommes le regard de proche. Accroupie.
Athos : Hey patron tu vas où ?
Porthos : On devrait l’aider non ?
Aramis Le toubib a dit de le laisser tranquille.
Porthos : Arrête de joué au con ! C’est pour qu’il se repose tranquillement.
Aramis : Je sais bien, mais j’te rappel qu’on s’en fou du toubib pour commencer.
Porthos : Tu te contredis.
Athos : Ho fermez là ! Il va parler.
Le schizophrène qui possède trois personnalités observe attentivement et tend l’oreille.
Qu’est-ce que j’dois faire ? Fuir ? Rester ? Que me reste-t-il ? Ce jeu ne m’amuse plus. Je veux plus jouer à ce jeu que l’on appelle la vie. Je croyais avoir compris les règles du jeu, mais finalement ces règles sont nuls. Qu’est ce que j’ai accompli dans ma vie… Qu’est ce que j’ai gagné… Rien du tout. Personne ne m’aime. Mes filles ne me connaissent pas. Ma femme doit me haïr. Personne ne m’aime. A quoi bon aimer les autres si c’est pour qu’ils profitent de cette amour et nous écrase.
-Patron ?
Aucun mot ne sort réellement ce sont des sortes d’onomatopée qui exprime son mécontentement. La face contre le sol, il n’a pas la force de se relever et le schizophrène l’aide enfin à se remettre sur pied.
Dernière édition par Gold Roger le Jeu 20 Mar 2014 - 16:30, édité 1 fois