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Drôle de criminel

Le navire filait droit, malgré la tempête qui sévissait, je jetai un coup d’œil par l’hublot de ma cabine, mes hommes s’activaient sur le pont gorgé d’eau, ils tentaient de manouvre la voile lourde, tirant sur les cordages  poisseux. Ce n’était vraiment pas un bon temps pour naviguer, certes j’avais vu pire sur Grand-line, mais ce n’était vraiment pas un temps à mettre le nez dehors. Une vague puissante toucha le navire sur le flanc et le fit dangereusement jiter, heureusement que la quille était longue et la ligne de flottaison relativement haute.
Les hommes hurlaient dehors pour tenter de se faire entendre malgré les furies de la mer.

Je me détournai du spectacle pour aller caresser le loup sous l’oreille, celui-ci arrivait à dormir paisiblement ou du moins bien en donner l’impression. Je me sentais enfin calme, presque serein. Tous mes doutes, mes ressentiments, toutes mes craintes avaient été balayées par les paroles de l’homme en blanc, Ivano di Cimetierello…ou un truc du genre.

Malheureusement, on ne sortait jamais de ce genre d’épreuves indemne, j’aurai toujours une parcelle de noirceur de mon cœur, il valait mieux l’accepter que la renier. Mais tant que je n’avais plus de choc psychologique, ca devrait passer…j’étais presque sur que cette parcelle serait un parfait départ de feu pour la haine. J’avais tenté de rejeter la faute de mon échec sur les autres, finalement, ce n’était pas vraiment mon échec mais bon…et cela m’avait fait rejeter tout ce que je voyais en Gharr. Tous le monde avait droit à l’échec même moi, j’avais perdu cela de vue tellement je voyais cet échec monstrueux, il ne me restait plus qu’à le voir comme une étape de ma vie dépassée depuis longtemps.

Je pouvais enfin à nouveau sourire, il ne me restait peut-être plus qu’à essayé de vouloir tout faire moi-même, me trouver des compagnons et non des hommes directement sous mes ordres…des égaux. Je me mis à fredonner une chansonnette de l’époque où nous voguions vers Banaro : « I’m on a way to what i want from this world, I’m on my way… »

Nous nous rendions à Luvneel, un coin où les marins ne pouvaient pas se balader. Sauf s’il ils remplissaient des tas de formulaires…et moins j’en avais mieux c’était. Heureusement, il me restait un joker dans ma manche…Le magazine de forge. Les complotistes diraient que si je travaillais pour ce magazine, c’était pour avoir une excuse pour venir sur Luvneel… les autres diraient que c’est une bonne opportunité.

J’étais enfin serein et heureux.

Nous accostâmes, il devait être midi. Je sautai à terre accompagné de mon loup, il était inutile de préciser que j’étais en civil, armé certes mais en civil. Comme je m’y attendais, un groupe de soldat m’intercepta. Je leur souris.

-Yo

*Yo ?*

Je préférais ne pas répondre, valait mieux éviter d’avoir des emmerdes possibles en plus…

-Que faites vous aussi colonel Kogaku ?

Ils me connaissaient étonnant, auraient ils eu le temps de se renseigner sur moi, avaient ils des listes, à moins que je ne commence à devenir connu sur north.

-J’suis venu travailler pour le Anvil’s

-Hum…

Pas très convaincu le gars. Je sortis ma carte de membres du Anvil’s et l’exhibai fièrement en souriant.

-Nous ne donnons pas de cachet pour…Dragon fries… mais courage encore deux et vous aurez un plat gratuit.

Merde je m’étais trompé de cartes, c’était un snack sympa du Qg de North. Je sortis la bonne carte cette fois ci.

-Moaui…si vous foutez le bordel on le saura…par contre, vous pourriez faire une dédicace à mon frère Spike Mura, il a bien aimé votre premier article…chaotique mais sympa.

*il t’aime bien, on dirait*

Je me dirigeais donc vers le mag’ , il fallait que j’aye un alibi et que mon article soit fait et que la dédicace pour le drôle de type soit faite...
Je rentrais dans l’imposant bâtiment et montai à l’étage dédié aux enregistrements, je saluai le responsable, lui passai la version écrite (réalisée durant le trajet) et rentrai dans le studio.

Les techniciens préparent le matos, râlant sur le fait que je venais à la wonnegain. Cela me laissa le temps de vite forger quelques lames .Ils finirent par me faire signe pour que je commence la rubrique.

-Salut les gars, comme vous me l’avez demandé, je vais redonner des précisions sur la fabrication des lames et leurs types et sur les manches.

Je déposais quelques lingots d’acier sur la paillais ainsi que divers autres matériaux : bois, os, cuir, …

-Je vais commencer par expliquer les types de lames différentes standard, les schéma se trouvent dans l’article…mais bon, il y a la lame standard, le tranchant incurvé vers l’extérieur tandis que le dos est plat jusque la pointe où elle s’incurve vers l’intérieur, la nordique ou le tranchant est incurvée vers l’extérieur et le dos plat, la rabattue qui est l’exact opposé de la nordique, la speypoint aux doubles tranchants qui s’incurvent vers l’intérieur pour former une pointe au bout de la lame, le tanto avec son tranchant et son dos plat avec une pointe en angle d’approximativement 45°, le yatagan avec le tranchant incurvé vers l’extérieur et la moitié du dos incurvé vers l’intérieur et j’en passe.

Je montrai les lames que j’avais préalablement forgées pour donner des exemples.

-A présent, pour les manches, je vais commencer par un manche de katana, le type Tsuka Maki pour être exact, j’ai ici du bois qui provient d’un cœur de cerisier japonais, normalement c’est censée être du magnolia, mais je préfère le cerisier ou l’if ils sont imputrescible, évidemment prenez du cerisier imputrescible…ah la la quel mot magnifique pour dire que le bois pourris pas. Traditionnellement, la pate de riz est utilisée pour coller les deux parties ensembles. Ah oui, faut faire deux parties arrondies avec l’intérieur pouvant « enlacer » la partie poignée de la lame, et il faut couvrir l’intérieur du bois avec de la peau de raie ou d’une bêbête du genre. La peau rétrécira en séchant à le manche sera d’autant plus fermer. Ensuite avec une bande de tissus, de cuir de soie ou du machin du genre que vous préférez, mois je préfère un mix de tissus et de soie perso, il faut enrouler le tissus autour du manche et à chaque tour exécuter une torsion et ainsi de suite jusqu’à la fin du manche. Ensuite, il faudra percer un trou à la base du manche afin de faire passer la goupille qui bloquera le tissus, le mieux ici est l’acier ou le bambou. Ensuite fixer une partie métallique inférieure, la partie sous la garde, la garde et la partie de métal supérieur afin de bien coincer le manche. Enfin, on rajoute la fioture…ou alors son le fait avant sur les parties métalliques nommées fushi et kashura. N’oubliez pas que les matériaux sont très important, pour l’intérieur un matériau rugueux qui se serre en séchant, certains cuir ou peau de lézards, tandis que la soie est un matériau pouvant résister à un coup tranchant. Bien sur le bois peut-être remplacé par de l’acier, tant que le tout ne risque pas de rouiller ou pourrir. Sinon…vous visser…c’est moche ca abime le bois…tout ca, tout ca…

Pour tous autres types de lames, un rivet ou une vis suffiront surtout si la poignée est en acier.
Les reste se trouve dans l’article…lisez…un peu la flemme et pas le temps de tout expliquer. Par contre dés que vous avez de l’acier, le maillage deviendra purement esthétique vu que vous pourrez riveter, vous pourrez aussi vous amusez à graver des trucs…dans le bois aussi mais bon…. SI vous avez d’autres méthodes envoyer les moi…j’ai pas la science infuse.

Je démontrai aussi l’explication en image, ca faisait toujours gagner du temps. Surtout que je n’avais que peu ou plus d’idée…l’article je pouvais le bourrer de tableau et autre mais la…

- A présent, je vais vous montrer comment on fiat une lame de types…

Je lançais un dé.

-Yatagan.


Je me mis à agir en même temps que je parlais.

-D’abord prendre le lingot et le rendre malléable ensuite, il faut l’aplatir, retirer les excédents tout ca, tout ca.

Je déposais la lame rougeâtre sur une enclume et la martelai jusqu'à avoir une lame plate.

-Ensuite à l’aide de tenaille, et du marteau, donner la forme à la lame.

Je me mis à mettre mes dires en pratique et en changeant la lame d’orientation, je lui donnai la forme du yatagan.

-Ensuite, Trempe rapide suivi d’un revenu pour la solidifier.

Je fis baisser l’intensité de la lumière de la pièce et chauffai la lame jusqu’a ce qu’elle atteigne une couleur rouge cerise.

-Pour la trempe essayez de le faire dans un local sombre. Selon les cas si c’est très clair c’est mauvais.

Je la plongeai dans la saumure, qui grésilla.

-La lame est renforcée…mais reste très fragile. Il faut faire un revenu


Je remis la lumière et refis chauffer la lame jusqu'à ce qu’elle devienne jaune. Je la mis ensuite à refroidir dans le sable, je ne savais plus rien faire avant demain la dessus.

-En soit Pour tremper : se mettre dans un endroit assez sombre, pour bien voir la couleur du métal. Pour faire un revenu : se mettre à la lumière du jour pour bien voir la couleur.
Essayez si possible, de toujours travailler dans la même ambiance lumineuse, pour que les résultats soient comparables et reproductibles. Par contre le changement de couleur n’est pas instantané et si c’est chauffé trop fort, ca vous pète à la gueule.


-Je vous ai parlé d’un mélange soie et tissus pour la poigné et bien c’est assez simple, prenez deux bandes de soie de dimensions égale, assez longe pour la poignée, ensuite prenez une bande de tissus de la même taille, pliez le dans le sens de la largeur, posez le sur l’une des bande de soie puis cousez l’autre bande au dessus. C’est plus confortable et plus résistant …voila c’est tout pour aujourd’hui…see you spikie’s man

Je saluai le reste de l’équipe et quittai l’agence, la dédicace et l’alibi étaient fait à présent fouillons la ville. J’en avais après un homme d’une cinquantaine d’année, le style bourgeois, le genre de type qui utilisait de la soie couverte de poussière d’or comme pq, l’or n’était pas super agréable, mais pouvoir dire aux autres « j’ai tellement d’or que je m’en torche le cul », prouvait qu’on avait le cul bordé de nouilles touchée par Crésus et que par-dessus le marché on montrait qu’en bon multimilliardaire capitaliste on se foutait des pauvres bien moins importants que l’hygiènes corporelle et les mauvais odeurs qui accompagne. Sur ce, je pense avoir fais assez de référence au cu..curbitacé, je me suis bien rattrapé moi….je te remercie noble animal.

Je décidai tout d’abord de me rendre au chantier naval, pour voir si je pouvais glaner des infos. Bien entendu, je devrai faire preuve de subtilité.

Je rentrai donc dans le chantier naval et me rendis directement chez le chef du chantier.

-Jour’, où est Savos Sealyen

-Désolé je ne dirai rien

Je le mis à terre d’un coup de poing.

-Parle !

-Oui, il…

La garde rentra et m’attrapa

Ok…mauvais idée, je supprimai ce plan de ma mémoire, on avait parlé de subtilité et ce n’était pas le cas, il faut être plus « mielleux » et pis c’est quoi cette idée de merde, j’avais « promis » d’arrêter la violence tout ca de redevenir Anakin sans passer par le stade du cyborg manchot tout pourris.  J’échafaudais un plan rapidement…oaui ca allait marcher.

Je rentrais mes mains dans mes poches et me dirigeai vers le chantier naval…non sans être suivis pars les gugusses de tout à l’heure…on se met pas sous le vent les gars…première règle de traque. Bon c’est vrai, je les avait vus dans un reflet…mais bon…c’est plus classe dit de l’autre façon. Je me retournai. Après tout, j’étais suspecté d’avoir « foutu la merde » y quelque temps en affrontant deux marins dans le coin.

-Salut les gars, c’est où le chantier naval ?

Le groupe de cinq milicien eu alors une réaction surprenante et amusante, le premier entonna en sifflotant la XVIII de Beethoven, bien que son existence m’étonne…ce serait peut être du Bach…mais de toute façon tous le monde s’en fout et le siffloteur ne devait même pas savoir ce qu’il faisait. Le deuxième s’intéressa de très près à la couleur des briques du bâtiment voisin, à cette distance il devait surement voir les pores de la pierre ainsi que les bactéries qui y avaient élu domicile, qui plus est il était accroupis. Le troisième, s’assit à un banc et fixa le vide devant lui…je ne tentai même pas de comprendre ce qu’il faisait. Le quatrième partit dans un groupe de gamin et avança avec eux se collant à l’un deux .Le dernier et probablement le plus intelligent mis sa main devant ses yeux pour se cacher. Il n’y avait que le « chef » du groupe qui restait de marbre bien que ses yeux lançaient des éclairs sur ses hommes persuadé qu’ils avaient fait une connerie…ou qu’ils faisaient une connerie actuellement.

*Technique de dissimulation humaine ?*

-*ratée*

*si je me renifle le cul on me prendra pour un de ces retardés ?*

Il parlait des chiens bien entendu.

-*pense pas non…un loup retardé peut-être*

- Pas les fautes de vos hommes…si vous me connaissez c’est que je mérite ma réputation.

-Vous voulez quoi ?

-J’aime bien les bateaux et y parait que vous avez l’un des meilleurs chantiers naval.

Voila, t’as une sommité qui te passe de la pommade, je décidai même d’en rajouter une couche.

-Me demande si votre frangin va comprendre la dédicace…vous devriez le prévenir.


Il bomba son petit torse de minable garde.

-Ha ha, vous êtes un bon gars vous, allez les gars on escorte le marin au chantier naval.

- Je ne suis pas en service…vous pouvez m’appelé Yama.

-Mais non, allez venez monsieur Kogaku.

D’un coté ca m’arrangeait de l’autre…ca me faisait chier, j’avais du mal à voir qui avait gagné notre joute verbale.

-Sinon, y’a une taverne sympa dans le coin ?

-Y’a un Frit kot sympa à coté du chantier, sinon Y’a « la vieille sans dent »

Il me fit un clin d’œil, je souris l’air gêné…ah la, enfin pouvoir à nouveau profiter de la vie.

Pour pouvoir glaner le maximum d’infos possible, je décidai de me rendre (me faire amener) au frit kot, malheureusement, bien que j’en sortis avec un beau paquet bien garni, je ne parvins à retirer aucune information…la cuisinière ne connaissait aucun potin sur le chantier…par contre elle m’écrasa de questions sur la relation entre le petit Jared et de je ne sais quelle gonzesse de la haute et de quand le concours de Miss et Mistler Marine aura lieu. Sans oublier la question qui tue « on aura un danse avec les amiraux ? ». Il semblait que cela embêtait les gardes que la dame s’intéresse autant aux marins.

Je n’avais malheureusement aucune vraie info sur le bateau du contrebandier…j’avais mieux un nom. J’eu néanmoins de la chance dans mon malheur, je n’aurai jamais réussi à pénétrer dans le chantier sans les gardes. Il y avait quelques navires en construction, certain étaient assez extravagants, mais y avait pas de nom. J’essayai de prendre l’air le plus ébahi possible.

-J’ai un ami qui fais construire un navire ici je demande où pour le voir ?

-Vois ça avec le mec là-bas nous on va y aller bonne journée.

-A vous aussi

Couillon.

Je me dirigeais vers l’homme cité. Un gars en costard qui clopait à l’entrée d’un bureau qui devait être le sien.

-Bonjour, Stanion est déjà passé ici ?

-Stanion ?

-Ah oui pardon, Monsieur Barnos.

-Non, mais il devrait passer ce soir.

-Vous pouvez lui demander de passer au « vieille sans dent »…C’est Kodak.

A présent nous allions voir de quel bois cet homme était fait. Le plan allait commencer, avec des changements, mais c’était parti. Je sortis du chantier naval et après quelque questions aux badauds, je me rendis à la vieille, louai une chambre à mon nom et dit qu’un de mes amis risquait de passer , ensuite, je passai par une agence touristique et parvient à recevoir une paire de jumelle en prêt pour admirer la ville depuis un certain point en hauteur, j’en avais visé un autre, mais si je pouvais me retrouver en altitude légalement…pourquoi refuser.

Je montai au beffroi, qui a mon grand étonnement offrait une meilleur vue que je n’aurai espéré. A présent, nous étions partis pour une longue attente à fixé le chantier naval pour que notre cher ami vienne et vérifier où il allait. Je passai une ou deux heures à me faire chier sur mon point d’observation avant d’enfin apercevoir  ma cible, un homme grisonnant et bien habillé. Je réglai le zoom et suivit sa course jusqu'à un navire encore à l’état de quille. Il fit un tour avant de se faire attraper par le « messager », ils parlèrent un peu et le contrebandier regarda autour de lui à ma recherche. Conformément à mon plan, à mon grand soulagement, il se dirigea vers la taverne, avec la capuche baissée, je devais partir maintenant donc.

Je tapai un sprint jusqu’à l’agence, leur rendit les jumelles et me rendit à la « vieille », l’homme attendait à une table scrutant autour de lui et ce probablement à ma recherche.
Je m’assis en face de lui. Je le détaillai du regard, ce que je n’avais pas réellement pu faire à travers l’œil de la lunette. Il était relativement grand, il était sec, mais on devinait qu’il avait été gras pendant tout un temps, il avait un visage aux traits nobles et aux cheveux grisonnant bien tiré vers l’arrière. Il portait des vêtements somptueux ainsi qu’une magnifique rapière dont la garde avait été couverte d’or et décorée avec soin.

-Vous chercher quelque chose Mr. Sealyen ?

Il me regarda.

-Erreur, je vous ai trouvé Mr Kogaku.

-Vu comme ca…Vous devinez la raison de ma présence.

- Pour les affaires ?

-On pourrait dire ca…

-Que voulez vous ?

-Que vous vous rendiez à la justice.

Il n’afficha aucune émotion.

-Chasseur de primes ou marin ?

-Marin

-Dommage pour vous jeune homme, mais les marins ne peuvent pas jouer ici.

-Dans ce cas, je peux prévenir la garde.

-Moi aussi.

-Ils sont déjà au courant, tant que je ne vous attaque pas, ils ne pourront rien me faire. Vous vous baladez les traits masqué…vous évitez aussi la garde.

Il eut un air plus maussade.

-Vous rencontrez un criminel

-Je lui propose de se rendre, au pire je leur dirai que je vérifiais si vous étiez dans le coin en prévision de vous attraper dés que vous sortiriez.

-Hum…

-Dans tous les cas vous êtes perdant.

-Il me reste des cartes à jouer.

-La corruption, shynia et vos éventuels hommes que vous n’avez pas contactés ?

Il blêmit.

-Vous n’avez rien d’intéressant à me proposer et comme j’exigerai un don direct, cela veut dire que vous l’auriez sur vous donc si je vous capture je pourrai le récupérer…et pis ca fait sale sur un dossier. Votre ami est sous les verrous et je ne pense pas que vous les ayez contactés.


- Vous ne semblez pas trop mauvais, mais vous ne pourrez pas le capturer si je reste ici.


- Je contacte la garde où l’un de mes amis chasseur de prime…Jet si vous le connaissez, mais je pense qu’ils auront moins d’égard que moi.

-Je pourrai me rendre à la garde et vous seriez en quelque sorte perdant.

-Si vous voyer une occasion où vous devenez gagnant, proposez, je n’aime pas les adversaires sans défenses…

-Nous pourrions nous affronter en duel en parfait Gentlemen.

-Ca semble bon.

-J’aimerai aussi que vous laissiez partir mes hommes…aucun d’eux n’est primé.

-Ce sera fait, tant qu’ils n’interviennent pas
.

-Si je gagne vous disparaissez, si vous gagnez et viens vous pourrez me capturer. Comme je vous au provoqué, selon la coutume, je décide le lieu et les modalités vous décidez l’heur et l’arme.

-Je vous écoute.

-Une touche à Taraluvneel.

-Directement et ce que l’on possède sur soi.

- Bien, suivez-moi…mais ne vous attendez pas à gagner Mr ?

-Yamamoto Kogaku, colonel Kogaku.

-Vous avez été culoté d’annoncer votre vrai nom la bas. Comment saviez vous que je ne vous trahirai pas ?

-Vous avez été un homme de la haute et vous n’avez jamais attaqué une personne.

-Etonnante analyse.

Il se leva et je le suivi. Nous marchâmes pendant un certain temps avant de déboucher sur des ruines où se formaient des bandes disparates , nous finîmes par nous  trouver une place dégagée où se trouvaient les reste d’une statue rongée par l’humidité et la mousse qui s’était fractionnée en tombant, le visage de pierre lisse ne donnait aucune indications sur la personne représentée.  L’homme défit sa cape qu’il accrocha à un arbre et me fit face en dégainant. Je dégainai à mon tour.

-Puis ce duel être mémorable.

Il me fonça dessus et nos lames se croisèrent dans des gerbes d’étincelles, nous continuâmes notre balais magnifique quelque temps tentant chacun de toucher l’autre. Finalement, il piqua vers moi, je pivotai du torse et inclinai la lame pour la faire partir vers l’avant de l’autre main, je le touchai au torse en toute douceur.

-Ow…vous avez gagné on dirait.

Il rengaina.

-J’aimerai faire une dernière chose, suivez moi. Si vous craignez une trahison, je sais que vous n’aurez aucun mal à défaire n’importe qui…

Il m’entraina jusqu’au chantier naval, puis s’arrêta devant le gars des chantiers.

-Roger, le navire c’était une surprise pour mon ami ici présent…mais comme il l’a découvert…beh je lui laisse modifier les plan si il veut et prendre contact avec lui une fois fini…je pars en voyage la. Par contre…le cout ne pourra pas changer…ou de sa poche.

Je tentai de ne pas montrer mon trouble.

-Bien Monsieur. Votre nom monsieur ?

-Yamamoto Kogaku

-Bien.

Nous quittâmes la place.

-Pourquoi ?

-En prison, je ne pourrai rien en faire et je préfère qu’il ne tombe pas en de mauvaises mains…

-Ah..Merci…par contre, je vous ramène quand même.

-Zut...mais il fallait bien que je paye un jour non ?

Il eut un petit rire.

Nous décidâmes qu’il devrait monter dans une embarcation et nous rejoindre au large, ce qu’il fit, une fois en cellule, je contactai le Qg pour leur annoncer que les responsables du vol se trouvaient dans mes cales, je mentis légèrement en expliquant que le Shynia était le complice du vol. Ils me félicitèrent et j’eu droit à tous le tralala.

Je me rendis enfin au chantier naval où je changeais les plans, j’y rajoutai des cellules et un quartier d’habitation. J'avais un bateau mais je en savais pas réellement quoi en faire.
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