>> Arlette Francis Quinte Alias Harlequin
Pseudonyme : Harlequin Âge: Elle fêtera bientôt sa vingt-neuvième année pour la troisième fois. Sexe : Femme. Race : Humaine. Métier : Super-groupie, super-héroïne {criminelle repentie} & médecin Groupe : Chasseuse de prime. But : Goûter toutes les sucreries existantes, suivre son nouveau mentor et optionnellement la paix dans le monde. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Nop Équipement : Un costume de d'arlequin rouge et noir, une tenue de médecin avec le matériel et les médicaments qui vont avec, beaucoup de chaussures, une trousse à maquillage extra-large, un poulet en plastique, un marteau de taille disproportionné, un jouet qui couine, une garde-robe dans plusieurs valises. Codes du règlement : Parrain : x Ce compte est-il un DC ? : Oui, celui de Rei Yanagiba (Il remplace Keira Delahaye) Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Red sur la Cb. |
>> Physique
Le sous-officier remet les éléments en place dans son esprit. Encore, il se souvenait de cette femme, habiller en rouge et noir et son regard si intense, qui pourtant aujourd'hui le perturbe encore. Elle marchait avec ce mélange de grâce et de désinvolture enfantine qui se complétaient et se contredisaient à la fois. Encore une brebis égarée de Gotham Island, encore une personne prometteuse qui tombait dans le crime pour des raisons stupides. Il est temps de relire son rapport et de corriger certaines erreurs qui s'y seraient glissées.N°DV623/GOTHMETRO/623/Guard
Date : 01 Avril 16xx
Responsable d’enquête : Mat 1er. Valach Kirim – matricule.412563
Assistants : Sgt. Archie Vage – matr.412523
Objet : intervention au restaurant "les vins de dudules"
Patrouillant sur la grande avenue en charrette de service, monbinomeéquipier, le matelot première classe Kirim et moi-même avons entendu des bruits suspects venant de la brasserie restaurant "Les vins de dudules", en plus l'accordéoniste ne jouait pas, ce qui étaittriplementbigrement suspect ! Une fois entrés, armes à la ceinture (matraque) et dans le dos (fusil réglementaire), c'était horrible, il y avait du rouge partout ! Effectivement, l'un des barils était éventré, ce qui en mon sens est déjà un crime grave, mais en plus le suspect, habiller dans une tenue d'arlequin rouge et noir, tenait en joue un serveur avec un poulet en caoutchouc. C'était une femmeblanchede type caucasien, la peau anormalement claire certainement à cause de l'absorption de substance illicite, ou l'utilisation abusive de maquillage. Elle avait aussi le visage recouvert en partie par un masque noir dénotant d'un grave crime contre le bon goût. La suspecte se tourna vers nous armée de son accessoire ridicule, à cause de cela et de sa taille légèrement réduite monidiot desubordonné la sous-estimé, suffisamment pour ne pas se rendre compte du danger. Ainsi, il fut percuté à la tempe par le poulet contenant un fer à repasser, ce qui mit immédiatement fin à son rire alors que j'effectuais une manœuvre d'esquive.
J'ai alors pointé la suspecte avec mon fusil et l'ai sommé de se rendre, elle a levé ses bras aux doigts fins en l'air, avant de faire signe de vouloir gratter sa tête, elle souleva son couvre-chef rouge et noir de bouffonne (Péjoratif ?) et vif comme l'éclair entreprit de s'armer de ce qui semblait être une banane cacher dans sa chevelure blonde. Me méfiant après le coup du gallinacé-surprise, j'ai fait une seconde sommation, elle donna alors un coup de pied à un homme au sol en insistant pour que les civils nous laisses seuls à seuls. Appréciant son effort de ne pas impliquer d'avantage les innocents sur place et une fois qu'ils furent tous évacués sauf lepoltronpatron que je n'avais pas vu se cacher derrière son bar à ce moment précis, j'ai tenté de la résonner. Elle m'a alors fixé de ses yeux d'un bleu ciel presque électrique et je l'avoue m'a désorientée quand elle a dit, je cite : "la choucroute du temps se perd dans la barbe du destin", légèrement perdu, j’ai essayé de comprendre ses divagations, pourtant elle ne semblait pas avoir les pupilles dilatées ou tout autre signe d'absorption de produit stupéfiant ou alcoolisé... Enfin si on omet sa peau.
Alors qu'elle semblait se calmer et commença à m'expliquer qu'il s'agissait d'un malentendu et qu'elle était prête à payer pour les dégâts occasionnés. Le matelot Kirim ne trouva rien de mieux que de se lever subitement, glisser sur le liquide rouge inondant le plancher et tomber en se retenant sur le haut de la suspecte, ce qui mit en valeur ses superbes courbes. (Peut-être retirer ce passage ?) Outrée, la suspecte envoya une gifle bien sentie à mon équipier et énervée tenta de prendre la fuite. J'ai alors bloqué l'entrée avec mon corps, fusil sur le dos cette fois-ci et matraque à la main puisqu'elle n'était pas réellement armée ou dangereuse. Alors qu'un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres noires, les bras couvrant encore son opulent poitrail, elle me demanda si je ne devais pas m'occuper de la bombe sous le comptoir.
J'ai dû prendre une décision, j'ai préféré me hâter vers le comptoir ou après deux minutes de recherche, je n'y ai rien trouvé si ce n'est le propriétaire des lieux complètement abasourdi. J'ai alors vu le diplôme de celui-ci au mur: Danny Labombe, de toute évidence la suspecte avait jouer sur les mots pour me tromper. J'ai alors vérifié qu'il n'y avait aucun blessé, le rapport sur les dommages des locaux se trouve joint à ce rapport.
Il prend alors un autre document vierge, décidément il n'aime vraiment pas la paperasserie que lui impose son supérieur. Était-elle réellement une super-criminelle ? Il avait beau reconnaitre la dernière protéger du terrible et charismatique Le Clown elle semblait plus agir comme une demoiselle désorientée, qu'une criminelle et encore moins un assassin. À bien y réfléchir, son expérience lui disait que cette voix douce et tremblante, ce regard qui refusait de le fixer étaient des éléments visibles sur une victime ou au moins une personne qui a conscience de ses crimes.
>> Psychologie
Ainsi, dans sa belle blouse blanche immaculée, l'homme observe le divan en face de lui. Posée dessus se trouve une demoiselle, non une victime de plus de Le Clown. C'est son devoir de psychologue de retirer cette frêle et douce demoiselle des mains baladeuses et sales de ce psychopathe lunatique ! Il vient devant son fauteuil, d'un regard captivant comme il en a le secret et d'un mouvement subtil faisant flotter ses cheveux avec classes en l'air, il lui fait un clin d'œil. Il prend sa plus belle plume et entame de noter des choses extrêmement importantes et constructives sur son bloc-note, alors qu'il lui pose des questions pertinentes. Comme d'habitude, il ne lira son dossier qu'après la première séance pour ne pas tronquer son jugement, qu'il est intelligent !Malgré le fait qu'elle se cache derrière un accent niais et semble vouloir se faire passer pour l'archétype de la blonde à l'intellect sous-développé, j'ai tout de suite remarqué qu'elle réagit bien trop vite et sans réelle latence à certains mots venant d'un vocabulaire médical. Si elle n'est pas étudiante en médecine, elle doit l'être en lettre ou au moins est fort cultivée. Elle a aussi le rire facile, néanmoins cela ne fait que révéler son anxiété, c'est clairement machinal ce qui prouve qu'elle le fait par habitude et non forcement en réaction des propos de son interlocuteur. Elle semble avoir un certain nombre de tics nerveux qui indique un manque évident de confiance en elle : par exemple, elle fuit le regard de ses interlocuteurs, mais j'ai aussi remarqué qu'elle semble jouer avec ses cheveux en présence de certaines personnes comme pour mettre discrètement et inconsciemment, une barrière entre elle et les autres.
Parfois, elle a des propos qui n'ont pas le moindre sens, néanmoins, elle ne semble pas se rendre compte de cela. À ce stade, je ne peux pas encore dire s'il s'agit d'un début de folie, ou d'un trouble induit par la présence de Le Clown, par contre j'ai rapidement repéré un fort besoin de considération de la part de certains individus masculin. De toute évidence, elle cherche un substitue paternel ou fraternel pour la guider et la bien mal choisi. Note à moi-même, elle aura besoin pour sa réhabilitation d'un mentor avec une forte motivation et certainement aussi beaucoup de charisme.
Ainsi aujourd'hui est un nouveau jour pour la blanche colombe qui n'attend, que ses soins virils et attentionnés pour la remettre sur le droit chemin ! Il se congratule mentalement pour sa présence si puissante et reposante pour sa patiente et remet ses lunettes, en place en lui faisant son sourire le plus efficace. La pauvre innocente est tellement prise par la maléfique influence de Le Clown qu'elle se met à rire. Suite à plusieurs séances de psychanalyse, elle semble avoir changée.
De toute évidence, je commence à réussir à discuter non plus avec Harlequin, mais enfin avec la vraie personne derrière ce pseudonyme. Arlette Francis Quinte est une personne à la voix douce et posée, presque sensuelle bien que je doute que cela soit réellement l'intention de cette jeune femme. Elle semble être une personne possédant la patience nécessaire à son métier dont j'ai pris connaissance entre-temps. Maintenant qu'elle a prouvée sa bonne foi, je l'ai autorisé à marcher dans le parc et bien qu'un certain malaise l'habite encore, j'ai pu voir une personne au tempérament calme et aux mouvements lents, voir captivant, s'appliquer à profiter de cette sortie.
Elle ne semble pas particulièrement intéresser par la nature et cette constatation fut le point de départ idéal pour discuter de ses motivations et ses goûts. Cela ne me surprend pas, mais la trahison de son ancien mentor super-criminel a réveillé en elle un fort dégout latent de l'injustice en général. C'est à la suite d'une discussion tournée sur la littérature qu'elle semble apprécier, tout comme l'art, qu'elle m'a avoué avoir été profondément émue par la volonté du super-héros, de la sauver alors qu'elle était dans l'autre camp.
Note: Elle semble dotée d'une forte empathie, surtout à l'égard de toute personne souffrante.
Il y a un fossé évident entre la demoiselle-médecin et la super-criminelle, sans aller jusqu'à un dédoublement de personnalité, elle a certainement créé Harlequin dans le but de protéger son esprit de toute action malfaisante qu'elle essayée de se forcer à commettre. Fait notable, elle a tout de même un fort dégout pour le sang, pas suffisant pour l'empêcher d'effectuer son travail, mais assez pour ne pas vouloir observer toute manifestation excessive de celui-ci.
Suite à plusieurs mois d'observations et avec le consentement, suite à leurs évaluations, de plusieurs de ses collègues l'homme vient apporter de bonnes nouvelles et la rassure d'une main sur son épaule. Elle sera libre sous peu, mais devra être sous la surveillance d'une personne de confiance. Ainsi, Mouetteman, super-héros reconnue de Gotham Island fut désigné comme son nouveau mentor et elle sera accompagnée jusqu'à ce qu'il la prenne en charge.[/justify]
>> Biographie
Cher Journal, c'est la première fois que je viens noircir tes pages, bien que tu sois très mignon avec ta couverture rose et les touts pleins de beaux poneys partout, je me demande bien à quoi tu es censé servir. Je suis Arlette Francis Quinte, fille de Charles Quinte et de Ruby Quinte. Papa est ouvrier dans une entreprise et il passe sont temps à boire un étrange liquide marron qui sent très mauvais qu'il appelle "Ouicequi". Maman, quant à elle, travaille comme femme de ménage pour la Veine entreprise. Quand j'ai demandée à papy si c'est normal qu'un papa et une maman se disputent, il m'a dit que c'était le meilleur moyen de comprendre à quel point il s'aime. Si c'est vrai alors ils s'aiment vraiment très fort ! Même les voisins les encouragent en frappant contre les murs !
Cher Journal, aujourd'hui, je rentre à l'école. J'ai trop de chance ! J'ai même le droit de porter l'ancienne tenue de maman qui l'avait elle-même eu de mamy. Bon, c'est un peu rugueux et ça gratte, mais c'est un souvenir familial en quelque sorte, comme les deux ou trois taches de gras qu'il y a sur la jupe. Je préfère être à l'école, car papa et maman s'aiment vraiment trop fort et j'ai bien failli recevoir un gage de leurs sentiments dans la figure. Mais du coup, ils ne me parlent plus beaucoup, alors je vais les rendre fiers ! Je vais être très gentille et avoir plein de bons points pour qu'ils m'aiment moi aussi.
Cher Journal, il y a toujours plein de personnes qui me font peur dans la rue, maman me dit de ne pas les regarder. C'est triste, j'aimerai tellement qu'il ne soit pas dehors dans le froid et la neige. Mais je ne m'approche pas d'eux, ils sont effrayants avec leurs vêtements en lambeaux et leurs sourires édentés. Est-ce que je suis une vilaine fille, est-ce méchant de penser cela de ces personnes ?
Cher Journal, je suis maintenant au collège, j'ai toujours eu d'excellentes notes et je suis généralement dans les meilleurs de ma classe. Mais ça ne leur suffit pas, je n'existe toujours pas pour eux. Peut-être qu'être bonne n'est pas suffisant, il faut que je sois la meilleure. Je laisse à partir de maintenant la vie sociale, les amis et le reste aux autres. Je dois étudier pendant chacun de mes temps libres, profiter des heures que j'ai avant qu'ils ne se montrent leurs affections pour devenir une personne importante pour eux.
Cher Journal, c'est avec les félicitations de mes professeurs que je suis acceptée à la fameuse "Gotham High School" et le tout avec une bourse d'étude en prime. Je crois que j'ai fait une erreur hier, quand excédée par leurs manques d'attention à mon égard je les ai traités de "pignoufs" et que j'ai envoyée mon dossier directement à la figure de papa. Depuis il me regarde de travers, enfin au moins il me regarde, c'est déjà ça. J'ai rencontrée beaucoup de personnes dans cet établissement, entre autres ma meilleure amie Pamela, j'observe aussi de loin le capitaine de l'équipe du lycée, le beau Brice.
Cher Journal, aujourd'hui j'ai annoncée à mes parents mon intention de faire des études de médecine, pour toute réponse il ma mise une gifle en précisant qu'ils n'auraient jamais les moyens de payer pour ce genre de bouffonades. Avec mes notes, je suis sûre de pouvoir y arriver et puis je ne leur ai jamais rien demandés. Depuis des années, j'ai un boulot à mi-temps comme vendeuse dans une boutique de farce et attrape pour mettre de l'argent de côté. Tout ce que je lui demande, c'est un peu de soutien et le résultat est un bleu et un nez en sang... Bravo papa !
Cher Journal, j'ai besoin de vivre autre chose, je passe tellement de temps entre quatre murs pour les cours, mon travail à mi-temps et mes heures de révisions que je ne vie plus, me^me si c'est mon choix. Jack m'a proposé d'aller me défouler, une simple virée avec des amis à lui. Je pense que je vais y aller, cela ne va pas me tuer.
Cher Journal, je travaille dans l'hôpital général de Gotham Island en tant qu'infirmière depuis quelque temps, même si je suis qualifiée pour être médecin, je ni les relations, ni fait de clins d’œil aux bonnes personnes pour ce poste. Aujourd'hui, nous avons eu un cas très particulier. Un homme est tombé dans une cuve de lessive pour chaussette dans un entrepôt. Il est défiguré, mais j'ai lu son nom sur son dossier, Jack, que t'est-il arrivé ? J'ai discutée avec lui à son réveil, il m'a ouvert les yeux sur les disparités de l'île, sur le fait que le chaos est si merveilleux et en plus, son humour est si intelligent. Je ne tombe pas amoureuse, mais il agit comme un grand-frère pour moi, le grand-frère que je n'ai jamais eu, et ce depuis le lycée. Jack, tu es le seul qui s'intéresse à moi à par mon cher journal.
Cher Journal, aujourd'hui, j'ai deux identités. La journée, je suis une infirmière, la nuit la sublime assistante de Le Clown et parfois inversement suivant mes horaires. Crimes après crimes, nous nous faisons un nom et ce malgré les veines tentatives de nous arrêter de la part des forces de l'ordre. Malheureusement, depuis peu un bouffon bleu et jaune met des arbres entiers en travers de la route de mon grand-frère, je vais devoir y remédier !
Cher Journal, j'écris de l'hôpital. J'ai réussi à amadouer un infirmier pour qu'il me prête un stylo, bon, j'écris sous la bonne garde de deux personnes tout de même, bande de voyeurs ! Il m'a trahie... Il voulait la tête de Mouetteman, je l'ai alors piégé en lui faisant croire que j'avais des informations sur une attaque à grande échelle de Le Clown. Je l'ai suspendu au-dessus d'un bac rempli de crabes carnivores et j'avais prévu qu'il se fasse écraser par plusieurs tonnes de sable, lui qui semble vouloir instaurer l'été, c'était parfait ! Mais il m'a dit avec un calme héroïque que rien ne pourrait prouver que je l'ai bien tué pour le coup... Alors j'ai fait venir Le Clown en me disant qu'il serait fier de moi. Mais non, il veut le tuer lui-même et il a dit que si je suis obligée de lui expliquer la symbolique de ce piège, cela lui enlève tout charme et humour. Puis Le Clown m'a poussée, la chute aurait dû être mortelle, mais au dernier moment le superhéros à lancé un Mouettarang. L’accessoire donna la fausse impression de devoir frapper et au final rater le levier proche de nous, mais qui en fait pas par chance, mais par mouette-super-maitrise fit voltiger un parasol présent pour le décor de plage vers moi. Cela a certainement atténué assez la chute pour m'éviter le pire, il m'a sauvée la vie, comme tout bon... Super-héros ?
Cher Journal, IL est passé, j'ai eu le temps de réfléchir avant de le revoir. Il m'a dit qu'il quittait Gotham Island, c'est alors que je lui ai dit que je pensais avoir compris ce qu'est l'été, qu'il est déjà présent dans mon cœur, comme un soleil radieux et qu'il arriverait bientôt dans le monde entier. Je n'ai pas vu sa réaction, mais je ne suis pas sûre qu'il a apprécié que je lui prenne la main pour imager mes propos en la plaçant lourdement au-dessus de mon cœur palpitant d'admiration pour lui. Je vais bientôt avoir un médecin traitant, qui verrait si je suis prête pour la réhabilitation et il me souhaite une vie loin du crime avec une mouettepose de réconfort et un sourire super-héroique.
Cher Journal, je vais te brûler pour marquer le tournant dans ma vie. Quand tes pages deviendront des cendres, tu emporteras avec toi la criminelle, celle qui accompagnait le félon, Le Clown. Libérée de ton poids, je vais rejoindre l'annonciateur, le héraut de la justice.
Summer is comming !
Cher Journal, aujourd'hui, je rentre à l'école. J'ai trop de chance ! J'ai même le droit de porter l'ancienne tenue de maman qui l'avait elle-même eu de mamy. Bon, c'est un peu rugueux et ça gratte, mais c'est un souvenir familial en quelque sorte, comme les deux ou trois taches de gras qu'il y a sur la jupe. Je préfère être à l'école, car papa et maman s'aiment vraiment trop fort et j'ai bien failli recevoir un gage de leurs sentiments dans la figure. Mais du coup, ils ne me parlent plus beaucoup, alors je vais les rendre fiers ! Je vais être très gentille et avoir plein de bons points pour qu'ils m'aiment moi aussi.
Cher Journal, il y a toujours plein de personnes qui me font peur dans la rue, maman me dit de ne pas les regarder. C'est triste, j'aimerai tellement qu'il ne soit pas dehors dans le froid et la neige. Mais je ne m'approche pas d'eux, ils sont effrayants avec leurs vêtements en lambeaux et leurs sourires édentés. Est-ce que je suis une vilaine fille, est-ce méchant de penser cela de ces personnes ?
Cher Journal, je suis maintenant au collège, j'ai toujours eu d'excellentes notes et je suis généralement dans les meilleurs de ma classe. Mais ça ne leur suffit pas, je n'existe toujours pas pour eux. Peut-être qu'être bonne n'est pas suffisant, il faut que je sois la meilleure. Je laisse à partir de maintenant la vie sociale, les amis et le reste aux autres. Je dois étudier pendant chacun de mes temps libres, profiter des heures que j'ai avant qu'ils ne se montrent leurs affections pour devenir une personne importante pour eux.
Cher Journal, c'est avec les félicitations de mes professeurs que je suis acceptée à la fameuse "Gotham High School" et le tout avec une bourse d'étude en prime. Je crois que j'ai fait une erreur hier, quand excédée par leurs manques d'attention à mon égard je les ai traités de "pignoufs" et que j'ai envoyée mon dossier directement à la figure de papa. Depuis il me regarde de travers, enfin au moins il me regarde, c'est déjà ça. J'ai rencontrée beaucoup de personnes dans cet établissement, entre autres ma meilleure amie Pamela, j'observe aussi de loin le capitaine de l'équipe du lycée, le beau Brice.
Cher Journal, aujourd'hui j'ai annoncée à mes parents mon intention de faire des études de médecine, pour toute réponse il ma mise une gifle en précisant qu'ils n'auraient jamais les moyens de payer pour ce genre de bouffonades. Avec mes notes, je suis sûre de pouvoir y arriver et puis je ne leur ai jamais rien demandés. Depuis des années, j'ai un boulot à mi-temps comme vendeuse dans une boutique de farce et attrape pour mettre de l'argent de côté. Tout ce que je lui demande, c'est un peu de soutien et le résultat est un bleu et un nez en sang... Bravo papa !
Cher Journal, j'ai besoin de vivre autre chose, je passe tellement de temps entre quatre murs pour les cours, mon travail à mi-temps et mes heures de révisions que je ne vie plus, me^me si c'est mon choix. Jack m'a proposé d'aller me défouler, une simple virée avec des amis à lui. Je pense que je vais y aller, cela ne va pas me tuer.
Cher Journal, je travaille dans l'hôpital général de Gotham Island en tant qu'infirmière depuis quelque temps, même si je suis qualifiée pour être médecin, je ni les relations, ni fait de clins d’œil aux bonnes personnes pour ce poste. Aujourd'hui, nous avons eu un cas très particulier. Un homme est tombé dans une cuve de lessive pour chaussette dans un entrepôt. Il est défiguré, mais j'ai lu son nom sur son dossier, Jack, que t'est-il arrivé ? J'ai discutée avec lui à son réveil, il m'a ouvert les yeux sur les disparités de l'île, sur le fait que le chaos est si merveilleux et en plus, son humour est si intelligent. Je ne tombe pas amoureuse, mais il agit comme un grand-frère pour moi, le grand-frère que je n'ai jamais eu, et ce depuis le lycée. Jack, tu es le seul qui s'intéresse à moi à par mon cher journal.
Cher Journal, aujourd'hui, j'ai deux identités. La journée, je suis une infirmière, la nuit la sublime assistante de Le Clown et parfois inversement suivant mes horaires. Crimes après crimes, nous nous faisons un nom et ce malgré les veines tentatives de nous arrêter de la part des forces de l'ordre. Malheureusement, depuis peu un bouffon bleu et jaune met des arbres entiers en travers de la route de mon grand-frère, je vais devoir y remédier !
Cher Journal, j'écris de l'hôpital. J'ai réussi à amadouer un infirmier pour qu'il me prête un stylo, bon, j'écris sous la bonne garde de deux personnes tout de même, bande de voyeurs ! Il m'a trahie... Il voulait la tête de Mouetteman, je l'ai alors piégé en lui faisant croire que j'avais des informations sur une attaque à grande échelle de Le Clown. Je l'ai suspendu au-dessus d'un bac rempli de crabes carnivores et j'avais prévu qu'il se fasse écraser par plusieurs tonnes de sable, lui qui semble vouloir instaurer l'été, c'était parfait ! Mais il m'a dit avec un calme héroïque que rien ne pourrait prouver que je l'ai bien tué pour le coup... Alors j'ai fait venir Le Clown en me disant qu'il serait fier de moi. Mais non, il veut le tuer lui-même et il a dit que si je suis obligée de lui expliquer la symbolique de ce piège, cela lui enlève tout charme et humour. Puis Le Clown m'a poussée, la chute aurait dû être mortelle, mais au dernier moment le superhéros à lancé un Mouettarang. L’accessoire donna la fausse impression de devoir frapper et au final rater le levier proche de nous, mais qui en fait pas par chance, mais par mouette-super-maitrise fit voltiger un parasol présent pour le décor de plage vers moi. Cela a certainement atténué assez la chute pour m'éviter le pire, il m'a sauvée la vie, comme tout bon... Super-héros ?
Cher Journal, IL est passé, j'ai eu le temps de réfléchir avant de le revoir. Il m'a dit qu'il quittait Gotham Island, c'est alors que je lui ai dit que je pensais avoir compris ce qu'est l'été, qu'il est déjà présent dans mon cœur, comme un soleil radieux et qu'il arriverait bientôt dans le monde entier. Je n'ai pas vu sa réaction, mais je ne suis pas sûre qu'il a apprécié que je lui prenne la main pour imager mes propos en la plaçant lourdement au-dessus de mon cœur palpitant d'admiration pour lui. Je vais bientôt avoir un médecin traitant, qui verrait si je suis prête pour la réhabilitation et il me souhaite une vie loin du crime avec une mouettepose de réconfort et un sourire super-héroique.
Cher Journal, je vais te brûler pour marquer le tournant dans ma vie. Quand tes pages deviendront des cendres, tu emporteras avec toi la criminelle, celle qui accompagnait le félon, Le Clown. Libérée de ton poids, je vais rejoindre l'annonciateur, le héraut de la justice.
Summer is comming !
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Informations IRL
Prénom : Laurent
Age : 26 piges
Aime : Pleins de choses
N'aime pas : D'autres
Personnage préféré de One Piece : Franky
Caractère : Voir sur l'autre présentation bande de curieux !
Fait du RP depuis : Au moins six ans.
Disponibilité approximative : On va dire tous les jours pour le moment.
Comment avez-vous connu le forum ? C'était il y a deux ans... Je ne sais plus trop. *sifflote* surement un top-site ou Google.
Prénom : Laurent
Age : 26 piges
Aime : Pleins de choses
N'aime pas : D'autres
Personnage préféré de One Piece : Franky
Caractère : Voir sur l'autre présentation bande de curieux !
Fait du RP depuis : Au moins six ans.
Disponibilité approximative : On va dire tous les jours pour le moment.
Comment avez-vous connu le forum ? C'était il y a deux ans... Je ne sais plus trop. *sifflote* surement un top-site ou Google.