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Arlette Francis Quinte Alias Harlequin

>> Arlette Francis Quinte Alias Harlequin


Arlette Francis Quinte Alias Harlequin 1394659153-harlequin-300x200
Pseudonyme : Harlequin
Âge: Elle fêtera bientôt sa vingt-neuvième année pour la troisième fois.
Sexe : Femme.
Race : Humaine.

Métier : Super-groupie, super-héroïne {criminelle repentie} & médecin
Groupe : Chasseuse de prime.
But : Goûter toutes les sucreries existantes, suivre son nouveau mentor et optionnellement la paix dans le monde.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Nop
Équipement : Un costume de d'arlequin rouge et noir, une tenue de médecin avec le matériel et les médicaments qui vont avec, beaucoup de chaussures, une trousse à maquillage extra-large, un poulet en plastique, un marteau de taille disproportionné, un jouet qui couine, une garde-robe dans plusieurs valises.

Codes du règlement :

Parrain : x

Ce compte est-il un DC ? : Oui, celui de Rei Yanagiba (Il remplace Keira Delahaye)

Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Red sur la Cb.
>> Physique
Le sous-officier remet les éléments en place dans son esprit. Encore, il se souvenait de cette femme, habiller en rouge et noir et son regard si intense, qui pourtant aujourd'hui le perturbe encore. Elle marchait avec ce mélange de grâce et de désinvolture enfantine qui se complétaient et se contredisaient à la fois. Encore une brebis égarée de Gotham Island, encore une personne prometteuse qui tombait dans le crime pour des raisons stupides. Il est temps de relire son rapport et de corriger certaines erreurs qui s'y seraient glissées.

N°DV623/GOTHMETRO/623/Guard
Date  : 01 Avril 16xx

Responsable d’enquête  : Mat 1er. Valach Kirim – matricule.412563
Assistants  : Sgt. Archie Vage  – matr.412523


Objet  : intervention au restaurant "les vins de dudules"

Patrouillant sur la grande avenue en charrette de service, mon binome équipier, le matelot première classe Kirim et moi-même avons entendu des bruits suspects venant de la brasserie restaurant "Les vins de dudules", en plus l'accordéoniste ne jouait pas, ce qui était triplement bigrement suspect ! Une fois entrés, armes à la ceinture (matraque) et dans le dos (fusil réglementaire), c'était horrible, il y avait du rouge partout ! Effectivement, l'un des barils était éventré, ce qui en mon sens est déjà un crime grave, mais en plus le suspect, habiller dans une tenue d'arlequin rouge et noir, tenait en joue un serveur avec un poulet en caoutchouc. C'était une femme blanche de type caucasien, la peau anormalement claire certainement à cause de l'absorption de substance illicite, ou l'utilisation abusive de maquillage. Elle avait aussi le visage recouvert en partie par un masque noir dénotant d'un grave crime contre le bon goût. La suspecte se tourna vers nous armée de son accessoire ridicule, à cause de cela et de sa taille légèrement réduite mon idiot de subordonné la sous-estimé, suffisamment pour ne pas se rendre compte du danger. Ainsi, il fut percuté à la tempe par le poulet contenant un fer à repasser, ce qui mit immédiatement fin à son rire alors que j'effectuais une manœuvre d'esquive.

J'ai alors pointé la suspecte avec mon fusil et l'ai sommé de se rendre, elle a levé ses bras aux doigts fins en l'air, avant de faire signe de vouloir gratter sa tête, elle souleva son couvre-chef rouge et noir de bouffonne (Péjoratif ?) et vif comme l'éclair entreprit de s'armer de ce qui semblait être une banane cacher dans sa chevelure blonde. Me méfiant après le coup du gallinacé-surprise, j'ai fait une seconde sommation, elle donna alors un coup de pied à un homme au sol en insistant pour que les civils nous laisses seuls à seuls. Appréciant son effort de ne pas impliquer d'avantage les innocents sur place et une fois qu'ils furent tous évacués sauf le poltron patron que je n'avais pas vu se cacher derrière son bar à ce moment précis, j'ai tenté de la résonner. Elle m'a alors fixé de ses yeux d'un bleu ciel presque électrique et je l'avoue m'a désorientée quand elle a dit, je cite : "la choucroute du temps se perd dans la barbe du destin", légèrement perdu, j’ai essayé de comprendre ses divagations, pourtant elle ne semblait pas avoir les pupilles dilatées ou tout autre signe d'absorption de produit stupéfiant ou alcoolisé... Enfin si on omet sa peau.

Alors qu'elle semblait se calmer et commença à m'expliquer qu'il s'agissait d'un malentendu et qu'elle était prête à payer pour les dégâts occasionnés. Le matelot Kirim ne trouva rien de mieux que de se lever subitement, glisser sur le liquide rouge inondant le plancher et tomber en se retenant sur le haut de la suspecte, ce qui mit en valeur ses superbes courbes. (Peut-être retirer ce passage ?) Outrée, la suspecte envoya une gifle bien sentie à mon équipier et énervée tenta de prendre la fuite. J'ai alors bloqué l'entrée avec mon corps, fusil sur le dos cette fois-ci et matraque à la main puisqu'elle n'était pas réellement armée ou dangereuse. Alors qu'un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres noires, les bras couvrant encore son opulent poitrail, elle me demanda si je ne devais pas m'occuper de la bombe sous le comptoir.

J'ai dû prendre une décision, j'ai préféré me hâter vers le comptoir ou après deux minutes de recherche, je n'y ai rien trouvé si ce n'est le propriétaire des lieux complètement abasourdi. J'ai alors vu le diplôme de celui-ci au mur: Danny Labombe, de toute évidence la suspecte avait jouer sur les mots pour me tromper. J'ai alors vérifié qu'il n'y avait aucun blessé, le rapport sur les dommages des locaux se trouve joint à ce rapport.


Il prend alors un autre document vierge, décidément il n'aime vraiment pas la paperasserie que lui impose son supérieur. Était-elle réellement une super-criminelle ? Il avait beau reconnaitre la dernière protéger du terrible et charismatique Le Clown elle semblait plus agir comme une demoiselle désorientée, qu'une criminelle et encore moins un assassin. À bien y réfléchir, son expérience lui disait que cette voix douce et tremblante, ce regard qui refusait de le fixer étaient des éléments visibles sur une victime ou au moins une personne qui a conscience de ses crimes.


>> Psychologie
Ainsi, dans sa belle blouse blanche immaculée, l'homme observe le divan en face de lui. Posée dessus se trouve une demoiselle, non une victime de plus de Le Clown. C'est son devoir de psychologue de retirer cette frêle et douce demoiselle des mains baladeuses et sales de ce psychopathe lunatique ! Il vient devant son fauteuil, d'un regard captivant comme il en a le secret et d'un mouvement subtil faisant flotter ses cheveux avec classes en l'air, il lui fait un clin d'œil. Il prend sa plus belle plume et entame de noter des choses extrêmement importantes et constructives sur son bloc-note, alors qu'il lui pose des questions pertinentes. Comme d'habitude, il ne lira son dossier qu'après la première séance pour ne pas tronquer son jugement, qu'il est intelligent !

Malgré le fait qu'elle se cache derrière un accent niais et semble vouloir se faire passer pour l'archétype de la blonde à l'intellect sous-développé, j'ai tout de suite remarqué qu'elle réagit bien trop vite et sans réelle latence à certains mots venant d'un vocabulaire médical. Si elle n'est pas étudiante en médecine, elle doit l'être en lettre ou au moins est fort cultivée. Elle a aussi le rire facile, néanmoins cela ne fait que révéler son anxiété, c'est clairement machinal ce qui prouve qu'elle le fait par habitude et non forcement en réaction des propos de son interlocuteur. Elle semble avoir un certain nombre de tics nerveux qui indique un manque évident de confiance en elle : par exemple, elle fuit le regard de ses interlocuteurs, mais j'ai aussi remarqué qu'elle semble jouer avec ses cheveux en présence de certaines personnes comme pour mettre discrètement et inconsciemment, une barrière entre elle et les autres.

Parfois, elle a des propos qui n'ont pas le moindre sens, néanmoins, elle ne semble pas se rendre compte de cela. À ce stade, je ne peux pas encore dire s'il s'agit d'un début de folie, ou d'un trouble induit par la présence de Le Clown, par contre j'ai rapidement repéré un fort besoin de considération de la part de certains individus masculin. De toute évidence, elle cherche un substitue paternel ou fraternel pour la guider et la bien mal choisi. Note à moi-même, elle aura besoin pour sa réhabilitation d'un mentor avec une forte motivation et certainement aussi beaucoup de charisme.


Ainsi aujourd'hui est un nouveau jour pour la blanche colombe qui n'attend, que ses soins virils et attentionnés pour la remettre sur le droit chemin ! Il se congratule mentalement pour sa présence si puissante et reposante pour sa patiente et remet ses lunettes, en place en lui faisant son sourire le plus efficace. La pauvre innocente est tellement prise par la maléfique influence de Le Clown qu'elle se met à rire. Suite à plusieurs séances de psychanalyse, elle semble avoir changée.

De toute évidence, je commence à réussir à discuter non plus avec Harlequin, mais enfin avec la vraie personne derrière ce pseudonyme. Arlette Francis Quinte est une personne à la voix douce et posée, presque sensuelle bien que je doute que cela soit réellement l'intention de cette jeune femme. Elle semble être une personne possédant la patience nécessaire à son métier dont j'ai pris connaissance entre-temps. Maintenant qu'elle a prouvée sa bonne foi, je l'ai autorisé à marcher dans le parc et bien qu'un certain malaise l'habite encore, j'ai pu voir une personne au tempérament calme et aux mouvements lents, voir captivant, s'appliquer à profiter de cette sortie.

Elle ne semble pas particulièrement intéresser par la nature et cette constatation fut le point de départ idéal pour discuter de ses motivations et ses goûts. Cela ne me surprend pas, mais la trahison de son ancien mentor super-criminel a réveillé en elle un fort dégout latent de l'injustice en général. C'est à la suite d'une discussion tournée sur la littérature qu'elle semble apprécier, tout comme l'art, qu'elle m'a avoué avoir été profondément émue par la volonté du super-héros, de la sauver alors qu'elle était dans l'autre camp.
Note: Elle semble dotée d'une forte empathie, surtout à l'égard de toute personne souffrante.

Il y a un fossé évident entre la demoiselle-médecin et la super-criminelle, sans aller jusqu'à un dédoublement de personnalité, elle a certainement créé Harlequin dans le but de protéger son esprit de toute action malfaisante qu'elle essayée de se forcer à commettre. Fait notable, elle a tout de même un fort dégout pour le sang, pas suffisant pour l'empêcher d'effectuer son travail, mais assez pour ne pas vouloir observer toute manifestation excessive de celui-ci.


Suite à plusieurs mois d'observations et avec le consentement, suite à leurs évaluations, de plusieurs de ses collègues l'homme vient apporter de bonnes nouvelles et la rassure d'une main sur son épaule. Elle sera libre sous peu, mais devra être sous la surveillance d'une personne de confiance. Ainsi, Mouetteman, super-héros reconnue de Gotham Island fut désigné comme son nouveau mentor et elle sera accompagnée jusqu'à ce qu'il la prenne en charge.[/justify]


>> Biographie
Cher Journal, c'est la première fois que je viens noircir tes pages, bien que tu sois très mignon avec ta couverture rose et les touts pleins de beaux poneys partout, je me demande bien à quoi tu es censé servir. Je suis Arlette Francis Quinte, fille de Charles Quinte et de Ruby Quinte. Papa est ouvrier dans une entreprise et il passe sont temps à boire un étrange liquide marron qui sent très mauvais qu'il appelle "Ouicequi". Maman, quant à elle, travaille comme femme de ménage pour la Veine entreprise. Quand j'ai demandée à papy si c'est normal qu'un papa et une maman se disputent, il m'a dit que c'était le meilleur moyen de comprendre à quel point il s'aime. Si c'est vrai alors ils s'aiment vraiment très fort ! Même les voisins les encouragent en frappant contre les murs !

Cher Journal, aujourd'hui, je rentre à l'école. J'ai trop de chance ! J'ai même le droit de porter l'ancienne tenue de maman qui l'avait elle-même eu de mamy. Bon, c'est un peu rugueux et ça gratte, mais c'est un souvenir familial en quelque sorte, comme les deux ou trois taches de gras qu'il y a sur la jupe. Je préfère être à l'école, car papa et maman s'aiment vraiment trop fort et j'ai bien failli recevoir un gage de leurs sentiments dans la figure. Mais du coup, ils ne me parlent plus beaucoup, alors je vais les rendre fiers ! Je vais être très gentille et avoir plein de bons points pour qu'ils m'aiment moi aussi.

Cher Journal, il y a toujours plein de personnes qui me font peur dans la rue, maman me dit de ne pas les regarder. C'est triste, j'aimerai tellement qu'il ne soit pas dehors dans le froid et la neige. Mais je ne m'approche pas d'eux, ils sont effrayants avec leurs vêtements en lambeaux et leurs sourires édentés. Est-ce que je suis une vilaine fille, est-ce méchant de penser cela de ces personnes ?

Cher Journal, je suis maintenant au collège, j'ai toujours eu d'excellentes notes et je suis généralement dans les meilleurs de ma classe. Mais ça ne leur suffit pas, je n'existe toujours pas pour eux. Peut-être qu'être bonne n'est pas suffisant, il faut que je sois la meilleure. Je laisse à partir de maintenant la vie sociale, les amis et le reste aux autres. Je dois étudier pendant chacun de mes temps libres, profiter des heures que j'ai avant qu'ils ne se montrent leurs affections pour devenir une personne importante pour eux.

Cher Journal, c'est avec les félicitations de mes professeurs que je suis acceptée à la fameuse "Gotham High School" et le tout avec une bourse d'étude en prime. Je crois que j'ai fait une erreur hier, quand excédée par leurs manques d'attention à mon égard je les ai traités de "pignoufs" et que j'ai envoyée mon dossier directement à la figure de papa. Depuis il me regarde de travers, enfin au moins il me regarde, c'est déjà ça. J'ai rencontrée beaucoup de personnes dans cet établissement, entre autres ma meilleure amie Pamela, j'observe aussi de loin le capitaine de l'équipe du lycée, le beau Brice.

Cher Journal, aujourd'hui j'ai annoncée à mes parents mon intention de faire des études de médecine, pour toute réponse il ma mise une gifle en précisant qu'ils n'auraient jamais les moyens de payer pour ce genre de bouffonades. Avec mes notes, je suis sûre de pouvoir y arriver et puis je ne leur ai jamais rien demandés. Depuis des années, j'ai un boulot à mi-temps comme vendeuse dans une boutique de farce et attrape pour mettre de l'argent de côté. Tout ce que je lui demande, c'est un peu de soutien et le résultat est un bleu et un nez en sang... Bravo papa !

Cher Journal, j'ai besoin de vivre autre chose, je passe tellement de temps entre quatre murs pour les cours, mon travail à mi-temps et mes heures de révisions que je ne vie plus, me^me si c'est mon choix. Jack m'a proposé d'aller me défouler, une simple virée avec des amis à lui. Je pense que je vais y aller, cela ne va pas me tuer.

Cher Journal, je travaille dans l'hôpital général de Gotham Island en tant qu'infirmière depuis quelque temps, même si je suis qualifiée pour être médecin, je ni les relations, ni fait de clins d’œil aux bonnes personnes pour ce poste. Aujourd'hui, nous avons eu un cas très particulier. Un homme est tombé dans une cuve de lessive pour chaussette dans un entrepôt. Il est défiguré, mais j'ai lu son nom sur son dossier, Jack, que t'est-il arrivé ? J'ai discutée avec lui à son réveil, il m'a ouvert les yeux sur les disparités de l'île, sur le fait que le chaos est si merveilleux et en plus, son humour est si intelligent. Je ne tombe pas amoureuse, mais il agit comme un grand-frère pour moi, le grand-frère que je n'ai jamais eu, et ce depuis le lycée. Jack, tu es le seul qui s'intéresse à moi à par mon cher journal.

Cher Journal, aujourd'hui, j'ai deux identités. La journée, je suis une infirmière, la nuit la sublime assistante de Le Clown et parfois inversement suivant mes horaires. Crimes après crimes, nous nous faisons un nom et ce malgré les veines tentatives de nous arrêter de la part des forces de l'ordre. Malheureusement, depuis peu un bouffon bleu et jaune met des arbres entiers en travers de la route de mon grand-frère, je vais devoir y remédier !

Cher Journal, j'écris de l'hôpital. J'ai réussi à amadouer un infirmier pour qu'il me prête un stylo, bon, j'écris sous la bonne garde de deux personnes tout de même, bande de voyeurs ! Il m'a trahie... Il voulait la tête de Mouetteman, je l'ai alors piégé en lui faisant croire que j'avais des informations sur une attaque à grande échelle de Le Clown. Je l'ai suspendu au-dessus d'un bac rempli de crabes carnivores et j'avais prévu qu'il se fasse écraser par plusieurs tonnes de sable, lui qui semble vouloir instaurer l'été, c'était parfait ! Mais il m'a dit avec un calme héroïque que rien ne pourrait prouver que je l'ai bien tué pour le coup... Alors j'ai fait venir Le Clown en me disant qu'il serait fier de moi. Mais non, il veut le tuer lui-même et il a dit que si je suis obligée de lui expliquer la symbolique de ce piège, cela lui enlève tout charme et humour. Puis Le Clown m'a poussée, la chute aurait dû être mortelle, mais au dernier moment le superhéros à lancé un Mouettarang. L’accessoire donna la fausse impression de devoir frapper et au final rater le levier proche de nous, mais qui en fait pas par chance, mais par mouette-super-maitrise fit voltiger un parasol présent pour le décor de plage vers moi. Cela a certainement atténué assez la chute pour m'éviter le pire, il m'a sauvée la vie, comme tout bon... Super-héros ?

Cher Journal, IL est passé, j'ai eu le temps de réfléchir avant de le revoir. Il m'a dit qu'il quittait Gotham Island, c'est alors que je lui ai dit que je pensais avoir compris ce qu'est l'été, qu'il est déjà présent dans mon cœur, comme un soleil radieux et qu'il arriverait bientôt dans le monde entier. Je n'ai pas vu sa réaction, mais je ne suis pas sûre qu'il a apprécié que je lui prenne la main pour imager mes propos en la plaçant lourdement au-dessus de mon cœur palpitant d'admiration pour lui. Je vais bientôt avoir un médecin traitant, qui verrait si je suis prête pour la réhabilitation et il me souhaite une vie loin du crime avec une mouettepose de réconfort et un sourire super-héroique.

Cher Journal, je vais te brûler pour marquer le tournant dans ma vie. Quand tes pages deviendront des cendres, tu emporteras avec toi la criminelle, celle qui accompagnait le félon, Le Clown. Libérée de ton poids, je vais rejoindre l'annonciateur, le héraut de la justice.

Summer is comming !


>> Test RP

Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Informations IRL

Prénom : Laurent
Age : 26 piges
Aime : Pleins de choses
N'aime pas : D'autres
Personnage préféré de One Piece : Franky
Caractère : Voir sur l'autre présentation bande de curieux !
Fait du RP depuis : Au moins six ans.
Disponibilité approximative : On va dire tous les jours pour le moment.
Comment avez-vous connu le forum ? C'était il y a deux ans... Je ne sais plus trop. *sifflote* surement un top-site ou Google.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t10909-un-ete-haut-en-couleur#13
  • https://www.onepiece-requiem.net/t10756-arlette-francis-quinte-alias-harlequin
Woyo, grand ! Je te souhaite pas la bienvenue, tu connais la maison, mais le cœur y est. Chouette perso, ça promet. Je t'invite juste à te relire un coup ou deux, y'a pas mal de coquilles et de tournures étranges.

Et ton test, dans la foulée :

Tout juste reconvertie, tu te lances sur les traces d'un criminel dont les actes menacent la venue de l'été. Tu parviens à te rapprocher de lui et même à prendre le dessus, mais un détail te chiffonne : il ressemble terriblement à Le Clown, que ce soit dans ses gestes ou dans ses mots. Raconte nous comment ça se passe.

Que voilà. Tu dis si ça te plait pas, on passera t'en donner un autre. Bon courage !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t3618-soren-le-chat-hurlevent
  • https://www.onepiece-requiem.net/t3496-soren-hurlevent
Cela fait maintenant plusieurs jours que je poursuis ce même criminel, toujours surveillée discrètement par des membres de l'hôpital psychiatrique pour s'assurer que je ne fais pas de bêtises. Enfin, s'ils n'ont rien de mieux à faire, libre à eux. Mais tous ces indices, ces pistes cachées, suffisamment subtiles pour que cela ne soit pas aisé ou que n'importe qui ne puisse les trouver, mais tout de même présente. Comme ce jeu d'acquisition boursière d'usines et magasins de la Veine pour enfants, laissé sur le lieu d'un de ses crimes. Un pion en forme de clown, compter le nombre de cases non pas sur le dessus des dés, mais en dessous, car la vérité est toujours à double sens... Tellement vu, c'est déjà fait par la même et unique personne, certes sur la fin, il manquait de plans novateurs, mais cela manque terriblement d'originalité mon cher, qui que tu sois. Et pourtant, jour après jour, tu laisses de plus en plus de petits indices discrets alors que je me rapproche de toi, est-ce un piège ou le chant du cygne d'un copieur peu efficace ? Tu ne peux pas être Le Clown, il est sous les barreaux depuis longtemps, Mouetteman s'en est chargé. Pourtant, tu me nargues encore, des cotillons par si, une explosion de gaz dans un orphelinat par là. Mais tout cela, rien n'est mortel, ce n'est pas toi et pourtant, cette contradiction soudaine sans aucune logique l'est tellement. Je te haïs, qui que tu sois, peut-être parce que tu es ce que tu es ou parce que tu essayes de te faire passer pour lui !

"Tu peux courir, mais pas te moucher imposteur !"

L'alpha et l'oméga, le début et la fin de ta pitoyable vie, enfin, c'est ce que je dirai si tu étais réellement lui. Ce n'est pas comme si c'était si secret que cela que c'est dans cette usine de chaussette que tu es née. Je ne supporte plus de suivre un à un ces indices qui mentent sur ton identité, un flash lumineux et une vague silhouette, je viens de te voir. Trop vrai pour être une illusion, trop floue pour me persuader qu'il est le vrai. Allons donc, va grand marionnettiste, fais danser des poupées dans l'ombre pour nous faire jouer un spectacle, mais je te promets que lors du salut final, c'est mes cinq marionnettes que tu te prendras sur ton théâtre vil ordures ! Mais alors que nous courrons sur les grilles en fer nous tenant si proches de ces dangereuses cuves emplies d'un liquide malodorant et qui fut jadis de la lessive avant de trop servir, il se retourne.

"Dis-moi petite, as-tu déjà dansé avec le diable au clair de lune ?"

C'est lui ? C'est impossible, est-ce la providence qui me laisse une occasion de me venger ? Peut-être qu'en réalité je ne suis pas en état de me rendre compte du vrai et du faux ? Il y a tout ! Son costume violet de mauvais goût, sa fleur à la poitrine rouge vive comme ses lèvres trop grandes. Se teint blafard et ses cheveux verts à cause des teintures dissolues dans la cuve de lessives pour chaussette, c'est lui, enfin je le pense assez pour perdre la raison.

"Vient ici que je te montre mille et une étoiles !"

Je suis en colère, trop emplie de mauvais sentiment pour me rendre compte de la supercherie s'il y en a une. Alors qu'il me tend la main comme pour me la serrer amicalement, je lui fonce dessus pour essayer de lui assener un coup de ma grande masse de combat en bois. Deux, maintenant trois coups dans le vide, il esquive en sautillant et en riant, il se paye même le luxe de se moquer de moi ! Lors de mon quatrième assaut, il met sa main à la poitrine, malédiction il ne va pas quand même ? Si, sa fleur, un jet de jus de chaussette chaud et dégouttant, tout y est jusqu'à l'odeur rance et horrible comme un vestiaire de l'équipe de Gotham-Island après un tournoi complet sans le moindre nettoyage ! C'est une image, ils sont propres en réalité, juste l'odeur de transpiration et... On s'en fiche ! J'esquive, maintenant je ne te laisse pas de répit, tu l'as senti ce coup dans ton épaule ? Tant mieux ! Un autre et alors que tu sautilles en arrière toujours ton foutu sourire sur les lèvres, je remarque au dernier moment une boite au sol avec un clown dessus. Malédiction, un piège ! J'ai à peine le temps de me couvrir le visage avant qu'une détonation retentisse, plongeant quelques mètre dans une épaisse poussière blanche de lessive et relâchant des cotillons tranchants comme des rasoirs qui me lacèrent la peau. Une ombre, je frappe dedans dans un élan de rage puis entends un cri effrayé ? Tu ne ris plus Le Clown ?

"Non ! Pas la cuve ! Pas la cuve ! Arlette sauve-moi !"

Un instant, je me dis qu'il le mérite, je m'approche pour frapper cette main qui le retient au-dessus du vide, en toussant, petit à petit la poudre se disperse, mais ça attaque quand même ma respiration. Finalement, des larmes oui la lessive, mais pas seulement. J'allais frapper la main, mais sans comprendre pourquoi, je finis par la prendre, le tirer au-dessus et je le remonte.

"Pourquoi m'as-tu trahi ?!"

Trop tard, je remarque à peine, c'est une poupée en forme de Le Clown, tenant un panneau avec écrit dessus: "Crétin(e) ! Rien de personnel." S'en suis une vive douleur, un bruit sourd attaque mes oreilles. Je me relève, il fuit encore ? Non, il rit, je vois qu'il se tient au bout du chemin surplombant les cuves, je n'entends rien, mais ce mouvement de poitrine... Il rit aux éclats, il en a même mal aux côtes ! Cette fois-ci, tu ne m'échapperas pas ! Je lui fonce dessus sans délicatesse, une bouffonne rouge et noir en rage.

"Je vais te faire manger ton rire Le Clown !"
"Oh ! Mais je le déguste goulûment ma chère."
"Je te haïs ! Je t'aime ! Tu étais comme un frère pour moi, pourquoi ?!"

Il sort un pistolet, première détonation un petit drapeau avec écrit "bang" dessus, je n'ai pas ralenti, la seconde, le drapeau vient se loger dans mon épaule. J'ai mal, mais pas suffisamment profondément pour m'empêcher de lui asséner un coup de masse en estoc telle une lance, je profite de son déséquilibre et de mon élan pour le frapper à ces côtes, tu vas avoir une bonne raison d'avoir mal ici mon grand ! En réponse, sa main qui voulait me serrer chaleureusement peu de temps avant me gifle, bien évidemment, il y a une aiguille dedans, enfin c'est ce que je pense. Un flash lumineux m'aveugle, me laissant en état de faiblesse assez longtemps pour prendre plusieurs coups bien sentis.

"J'ai eu une idée lumineuse en dépensant une partie mes bas de laine dans ces coquillages !"

Coquillages ? Qu'est-ce que c'est que cette chose ? Je dois faire plus attention donc. Je retourne à l'assaut, quelques coups dans le vide pour lui laisser un sentiment de sécurité, puis soudainement je lâche mon arme et viens lui mettre un uppercut, surprise Le Clown ! Un échange de coups sans originalité s'en suit, il essaye de me trancher avec une de ses cartes à jouer en métal, ce qui est un leurre, encore une gifle, le blanc absolut et des coups qui me mettent au sol. Je me relève un instant plus tard, il boit le thé sur une table pliante et avec chapeau fripé portant une inscription "10/6". Le dix juin ? Le jour de sa trahison, peut-être que ça n'a rien à voir, mais connaissant son humour je suis sûre que c'est une autre de ses tours pour me troubler et ça fonctionne, Le Clown mène cette danse. Même si je le déteste, je n'ai pas l'impression d'essayer de l'arrêté de toute mes forces, une partie de moi est trop en colère pour avoir une stratégie viable, l'autre se retient en souvenir de notre amitié. Deux raisons d'être totalement inefficace seules, mais combinées c'est encore pire. Maintenant que je suis prête à reprendre le combat, il se lève le bouffon, mais rien n'a changé et je vais perdre, c'est inéluctable. Quand soudain ! Tel un retournement de situation digne des plus mauvais livres, un objet tombe à mes pieds. Un Mouettarang ? Je le prends et regarde en l'air. Via l'une des verrières casser de cette usine désaffectée, je le vois: je ne sais pas qui il est, il ressemble à un vieux majordome, gardant une classe et une tenue digne d'éloges malgré sa chevelure grisonnante et son grand âge. Ce fut un très cour instant, comme un fantôme. Le Clown commence à entonner une blague de mauvais goût sur le nombre de mouettes nécessaires pour changer une ampoule, je n'y fais pas attention. Comment ai-je fait pour l'oublier, cet objet dans mes mains, sans me calmer totalement m'aide à dissiper légèrement le brouillard de mon esprit.

"L'été arrive, peu importe qui tu es, un héros se doit de remettre tous les criminels à la justice !"

Le Clown ou non, je n'ai pas le droit de tuer, pas le droit de te haïr: tu n'es qu'une personne avec le cœur malade comme les autres, une victime de ce monde à remettre à la justice.

"Bon, la pause est finie ? J'ai un grand nombre d'odieux massacres à commettre tout de même."

Néanmoins, je n'ai pas encore réfléchi à une chose, pourquoi ne m'a-t-il pas tuée pendant que j'étais inconsciente, pourquoi aucune victime avant ? C'est comme s'il ne voulait pas attirer la marine dans cette affaire. Peut-être que je ne suis rien de plus qu'un jouet, une distraction ? Tant mieux, je n'ai pas envie de mourir tout de suite. Le duel reprend, je ne récupère pas ma masse, d'habitude elle me sert dans les combats de masse, pas les un contre un de toute manière. Il est temps de sortir mes propres gadgets. Je prends un canard bouffon en plastique assorti à ma tenue, le lâche au sol et frappe violemment du pied dedans et il vole droit vers ma cible dans un petit claquement de verre, en partie couvert par le bruit de jouet qui couine. Cela le frappe directement dans le torse, but !

"Va au coin-coin cervelle de piaf !"
"Magret tout le respect que je vous porte ma chère, cette attaque ne lui cassera pas trois pattes."

Dit-il l'air faussement déçu du manque d'effet pyrotechnique, coloré ou au moins visuel. Mais, foie de canard, une fumée blanche sort du volatile, prends-toi ça ! Gaz hilarant. Alors on me sous-estime Le Clown, tu vas être le dindon de la farce ! Sauf que j'ai oubliée un détail, je respire un peu celui-ci aussi, ce n'est pas grave, c'est l'intention qui compte. C'est alors que nous nous redonnons des coups dans la joie et la bonne humeur, riant aux éclats stupidement à cause de la fumée de mon arme. Une lacération par ici, un coup-de-poing par là, nous cherchons des ouvertures pour placer nos plus beaux cadeaux empoisonnés. Mais ce combat semble sans issue et commence à devenir long et ennuyeux, je lance donc un fumigène pour m'échapper un instant de ce corps-à-corps sans fin. Je suis toujours trop nerveuse, trop énervée pour avoir une tactique digne de ce nom. C'est alors que je repense à mon futur mentor, ma nouvelle idole, une idée me vient alors.

"Prend toi ça pourriture ! Fulguro-poing !"

Il recule d'un bond, parfait, je lance la Mouettarang, Le Clown l'évite évidemment, mais un explosif installer sur l'objet est allumé, il fait alors son office juste derrière lui. Une ouverture, juste assez pour que je lui bondisse dessus et lui injecte une dose d'anesthésiant, un liquide bleu ciel, un concentré de calme. Bien sûr, il se retire avant de recevoir tout le contenu de la seringue, mais c'est déjà suffisent pour ralentir ses mouvements, c'est le début de la fin. Quelques coups et deux autres petites doses d'été en ampoule plus tard, c'est dans un dernier effort que je le mets au tapis, je ne suis pas réellement en forme de mon côté, mais, suffisamment pour rester éveiller quelques minutes alors que les forces de l'ordre investissent les lieux. Avant de sombrer dans l'inconscience, je vois une dernière fois le visage de l'enquêteur Gordon Bleu, qui discute avec mes deux surveillants.

"La cavalerie arrive toujours en retard, dodo..."

Ainsi, je ne lutte plus, une tape sur l'épaule de Gordon Bleu, je sombre dans le néant en sentant des médecins m'installer délicatement dans un brancard, j'ai besoin de sommeil. Aujourd'hui, j'ai bien travaillée hein Mouetteman ? Seras-tu fier de ta future protégée ? Je ne me suis même pas demandée ce qu'ils font ici d'ailleurs, surement l'homme de tout à l'heure, celui qui m'a rappelé à l'ordre silencieusement, ramené à la raison par un simple symbole de justice. Tout cela, je l'ai fait sans me douter que je n'étais qu'un rat de laboratoire, luttant dans un labyrinthe et surveiller par des scientifiques fous. Pendant ce temps, alors que discrètement sur un mur un escargot nous observe.

Bien loin de ce lieu sordide:

"C'était très drôle docteur S. Strange, bien qu'il manquât singulièrement d'originalité dans son humour, mais je lui donne un point pour la pause thé et le chapeau. Ah ! Et un autre pour le mannequin explosif qui faisant semblant de tomber dans la cuve en suppliant, c'était à mourir de rire !"

Une voix parmi les êtres infâmes attablés.

"Votre poupée n'a pas fait tellement long feu, doc. c'est ça leurs potentiels ?"

Une ombre, assise en bout de table, une personne en costume les mains jointes. L'ombre en costume prend la parole alors qu'une douzaine de paires d'yeux vils et malsains le scrute.

"Ce n'était qu'un prototype à base d'un faible idiot trouvé dans la rue. Mais maintenant, imaginez une armée de sosie créer à partir d'individus forts, imaginez le chaos et le désespoir s'abattre partout sur les océans, portés par des milliers de pantins super criminels aux cœurs glacés et corrompus [...]"

Il s'approche alors ce qui découvre son visage, alors qu'il finit par de sombres paroles suivies d'un rire démoniaque à faire trembler le plus grand et courageux des héros.

Spoiler:
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  • https://www.onepiece-requiem.net/t10756-arlette-francis-quinte-alias-harlequin
Me voici enfin pour ce premier avis, Harlequin ! Courage, tu n'auras plus à patienter longtemps avant de rejoindre Mouetteman. Bon, t'es prêt ? Forme, fond, final, allons-y !

Je débute donc par un gros point forme. Ouais, je te préviens d'avance, il va être un peu conséquent je pense...

Sur un plan général, tu n'écris pas mal et les fautes de syntaxes sont pas dramatiques, mais y'a quand même pas mal de petits trucs à droite, à gauche, qui font tiquer lors de la lecture. Tant sur la grammaire, la conjugaison, la ponctuation que sur le vocabulaire et l'orthographe. Je vais d'ailleurs commencer par ce dernier point, ce sera le plus rapide.

=> Donc, côté orthographe, t'as un problème avec les homonymes (mots qui se prononcent pareils mais qui s'écrivent différemment). Je t'en ai relevé deux ou trois, que tu puisses constater ça.
- "Raisonner/résonner" : tu as employé "résonner" qui renvoie à un son qui résonne, genre un écho au lieu de "raisonner" qui est en lien avec la raison, le bon sens.
- "Voire/voir" : attention à ne pas confondre "voire" qui veut dire même (voire même est cependant un pléonasme !) avec "voir" le verbe lié à la vue.
- "Veine/vaine" : tu n'as pas utilisé "vaine" qui signifie inutile, avorté, vaniteux mais "veine" qui est un terme d'anatomie ou de chance dans l'expression "avoir de la veine".

Même si tu connais probablement le sens de tous ces mots et la différence entre les deux, je préfère te les rappeler pour que tu aies les orthographes correspondantes. Côté orthographe, attention aussi à "par ci, par là" que tu as écris "par si".

Attention également à la confusion entre "l'a/la" ou "m'a/ma" que tu as fait plusieurs fois. Quand tu écris "elle l'a fait", c'est bien un "l'a" et non l'article "la", le "l'" remplaçant un complément après le verbe, comme si tu voulais raccourcir "elle a fait cela".

=> Maintenant, concernant le vocabulaire. T'as un bon vocabulaire, mais il est parfois mal employé dans tes phrases. On se retrouve donc avec des expressions bizarres et agrammaticales. Encore une fois, un exemple (j'ai oublié d'en relever d'autres...) :
- "Il prend sa plus belle plume et entame de noter" : ici, tu aurais dû dire "et entreprend de noter". Tu peux "entamer quelque chose", mais pas "entamer de".

Niveau vocabulaire inadapté, t'as tout le début de ta bio qui colle pas. Tu commences ton journal sur un ton enfantin, Arlette étant une simple gamine, mais tu as des tournures de phrases trop élaborées pour vraiment rendre de compte de l'âge du personnage à ce moment là. C'est dommage, parce qu'en privilégiant des expressions plus simplistes et un "argot" enfantin, tu aurais mieux pu souligner la progression dans la vie de ton personnage, son évolution et la manière dont elle prend peu à peu conscience que ses parents s'aiment vraiment super fort...

Côté tournure étrange aussi, tu as "ses bras aux doigts fins". Ca donne l'impression que les mains n'existent pas et qu'on a des bras avec des doigts directement sur les poignets, c'un peu flippant comme image...

=> Du côté de la grammaire/conjugaison ! Attention aux accords. T'as du mal avec les é/er. Par exemple, à plusieurs reprises, tu dis que Harlequin est "habiller" et non "habillée". Ce sont des petites choses auxquelles tu devrais faire attention, ça peut faire buguer le lecteur ou donner l'impression qu'on a raté un truc dans la phrase. De la même manière, attention à tes pluriels ! Je ne sais plus où, tu parles de plusieurs personnes en utilisant un "ils" pluriel tout à fait correct, mais la phrase suivante, tu repasses à un "il" singulier alors qu'on parle toujours des mêmes personnes.

=> Sur le plan conjugaison, attention aussi aux temps verbaux. Tu mélanges des passés et des imparfaits de manière assez étrange dans tes phrases. Niveau exemple, je pense que celui-ci est assez parlant :
"Alors qu'elle semblait se calmer et commença à m'expliquer qu'il s'agissait d'un malentendu et qu'elle était prête à payer pour les dégâts occasionnés."

Là, ton passé simple à "commencer" tombe comme un cheveu sur la soupe. Ceci dit, la phrase est agrammaticale aussi dans le sens où il en manque un bout. En fait, tu commences ta phrase par un "Alors qu'elle". Pas de souci là-dessus, t'as le droit. Le problème, c'est "qu'alors qu'elle fait ça", il faut que tu nous dises ce qu'elle fait d'autre en même temps. Par exemple : "Alors qu'elle semblait se calmer, elle commença à expliquer". Là, tu peux passer au passé simple parce qu'il s'agit d'une nouvelle action. 'fin je sais pas trop comment t'expliquer ça, désolée. C'est un peu le même concept que le be+ing et le présent en anglais, si ça te parle plus. Si c'pas le cas, tu me redis, j'essayerai d'être plus claire !

Bref, attention donc à tes tournures de phrase. Dans un autre registre, mais lié quand même, attention à l'emploi de la ponctuation. Tu as sorti quelques virgules en milieu de phrase, j'ai pas bien compris ce qu'il se passait...
- "la blanche colombe qui n'attend, que ses soins virils" Là, il n'y a absolument pas lieu de mettre un virgule au milieu. C'est la même phrase, la même proposition principale, tout est lié.
- "remet ses lunettes, en place en lui faisant son sourire le plus efficace." Même remarque ici.

De manière générale, essaye de te relire à haute voix pour mieux employer la ponctuation. Pense aussi à employer les deux points ( : ) de temps en temps, il y a plusieurs endroits où ils auraient été plus adaptés.

=> Pour finir, un peu de trucs en vrac. Déjà, attention à aérer dans ta narration. Dans le test RP, y'a certains moments où on se perdait pas mal au milieu des gros blocs de textes qui enchaînaient rapidement action et pensées. Une petite balise justify c'chouette aussi, pense-y ! Attention à l'impératif, on dit "viens ici" et pas "vient ici". Y'a eu un souci avec une de tes phrases que j'ai pas réussi à comprendre : "je ni les relations, ni fait de clins d’œil", du coup je sais pas trop d'où vient le problème... Et pour terminer avec tout ça, attention quand tu parles du Clown. Tu dis systématique "du Le Clown". Certes, il se fait appeler "Le Clown" avec un beau L majuscule, mais tu peux dire "du Clown" tout simplement, sans t'embarrasser du "Le", c'est nettement plus correct et ça se fait.

Voilà, donc pour conclure une bonne fois pour toute ce point forme : relis-toi ! Je pense que pas mal d'erreurs sont restées faute d'une relecture. Même si tu peux pas tout enlever, y'a certaines choses que tu aurais pu corriger, ne serait-ce que du côté faute de frappe où t'as un "m^eme" qui traine. Sinon, t'as bonpatron.com ou http://www.scribens.fr/ pour la correction.

Allons-y maintenant pour le fond. Déjà, rassure-toi, y'a beaucoup plus de positif de ce côté là. Globalement, j'ai bien aimé la manière dont tu as traité ta fiche avec les différents points de vue, les choix de narration et tout ça. Ca rendait la lecture vivante et ça passait plus vite que ce que je craignais vu la longueur (j'avais un peu la flemme de lire...). Du coup, malgré les problèmes de forme, on a quand même une fiche plutôt agréable avec un personnage cool !

=> Concernant le physique : c'était bien rendu, le choix du rapport rajoutait un petit quelque chose. Bien vu pour les ratures et les petites parenthèses qui laissaient bien imaginer le pauvre soldat en train de ramer sur son rapport. Après, niveau action et tout, c'était un peu le fouilli, comme si tu galérais quand même un peu à intégrer un max de description physique au milieu de la scène chaotique. Mais ça passait quand même et on se laissait aller au fur et à mesure de la lecture.

=> Pour le mental, le point de vue du psy était bien sympa aussi, le début où il s'auto-complimente m'a amusée. Au final, on a tous les éléments nécessaires pour comprendre le personnage et on se prend même à apprécier d'ors et déjà Arlette ! C'était bien complet, sympa, toussa, pas grand chose à redire.

=> Pour la bio, gros plus pour le Journal. Ca permettait d'enchaîner rapidement sur les diverses étapes de la vie d'Arlette, de comprendre dans quel milieu elle a évolué et avec les descriptions précédentes, on avait donc un rendu complet de la vie du personnage. Je regrette juste le manque d'évolution dans l'écriture du journal, comme je te l'ai dit plus haut.
Côté négatif aussi, j'ai trouvé qu'il manquait le côté fou d'Arlette, le côté Harlequin qui sort des trucs improbables, aime les gadgets extravagants et qui a quand même un côté un peu girly avec son maquillage et ses tenues, comme tu le laisses entendre aussi bien dans l'équipement que dans la description. Sans partir sur le gag constant, ce serait sans doute quelque chose à intégrer un peu plus.
Y'a aussi eu la première mention de Jack qui sortait un peu de nulle part. Idem pour les parents dont tu parlais souvent comme de "ils" mais sans les mentionner un peu avant, donc on était un peu dans le flou par rapport à ces personnages mentionnés. Même si on comprenait quand même avec le contexte.

=> Enfin, pour le test RP, je t'avoue que j'ai eu du mal à rentrer dedans. C'est un peu bordélique. T'es dans un perpétuel enchaînement actions/pensées qui rend difficile de visualiser les scènes que tu essayes de nous représenter. Essaye de poser un peu plus ton écriture et d'aérer pour qu'on puisse avoir un enchaînement logique des événements. On a presque trop de Arlette en fait. Ca allait mieux au niveau du combat, quand on passait dans des phases actions, où y'avait une meilleure harmonie action/pensée.
La fin en mode cliffhanger de comics était bien gérée, mais du coup, l'un dans l'autre, Arlette par rapport au Clown, on savait pas trop où elle en était : vrai, faux ?
Du côté du Clown, la référence au Joker était évidente, bien sûr, mais justement, je l'ai trouvé trop évidente. Je pense que c'un peu le souci des Héros-Hic. A trop vouloir rentrer dans la parodie de Comics, vous en oubliez l'univers de One Piece et vous faites du RP purement comics. J'aime les comics aussi, donc c'pas forcément déplaisant, mais faut voir que c'un univers qui a tendance à être aussi pas mal en auto-dérision (surtout chez Marvel, je connais moins bien DC), donc c'est délicat de faire une parodie qui finit pas en copier-coller. Donc attention aux références à Batman, un peu plus de subtilité et d'univers One Piece seraient les bienvenus !

Malgré tout, le test reste sympa, les dialogues étaient cool (m'suis marrée comme une idiote avec les histoires de canard) mais un peu trop bordélique par rapport au reste de la fiche.

Bon, je m'arrête là, tu dois en avoir un peu assez de tout ce blabla ! Du coup, rapport à tout ce que j'ai dit, je donne ma voix pour 680 dorikis !

Voilà, si tu as des remarques ou des questions, n'hésite pas =)
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1247-louise-mizuno-la-m-des-sm
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1145-louise-mizuno
Yebah, grand ! Deuxième et dernier avis avec une dizaine de jours de retard... désolée, j'le referais plus ! Bweh...

Je redis pas tout ce que Louise a dit sur la forme, le physique et le caractère, j'suis entièrement d'accord avec elle. J'ajoute juste un truc sur la bio : j'ai trouvé le passage avec Le Clown super rapide. Ce moment là, il est limite cafouilleux, alors que je sais pas, perso, c'est ce genre de moment que je détaillerais le plus dans un journal. Des moments ambiguës où tu passes de l'amour à la haine, tout ça. Enfin.

Pour le test rp, le défaut qui m'a sauté aux yeux, il est au niveau de l'écriture. Je t'ai lu avec Rei hier, du coup, c'est tout frais. Tu as une façon d'écrire qui va bien à un personnage carré, maniaque, et ingénieur. Beaucoup moins à un personnage haut en couleurs et complètement décalé comme Arlette. A mon sens, tu gagnerais énormément à faire une recherche de style pour mieux lui coller. Quelque chose de plus aéré, de moins scolaire, de plus... fou, quoi. Je te conseille de lire non seulement du Mouetteman, mais aussi et surtout du Blake (mwéhé, j'suis vile), du Jackie, du James, du Uriko, p'têtre aussi les derniers de Jevta... tous ceux là, ils ont développé un style marrant et qui colle complètement à leur personnage. Sans faire dans la copie, tu peux t'en inspirer ^^

Pour le reste, j'suis d'accord avec Louise. Du coup, même bilan qu'elle : 680 dorikis.

En te souhaitant bon vent et bon courage avec ce nouveau compte !
Mouettevalidation ! Oh ! Oh !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t3618-soren-le-chat-hurlevent
  • https://www.onepiece-requiem.net/t3496-soren-hurlevent