- Spoiler:
La bière est déjà tiède. Saloperie de bouge de merde, je savais bien que j’aurais pas dû y entrer. Merde !
Pourtant la serveuse a une paire de hanches à vous décalotter l’oignon plus vite qu’un obèse devant une pièce montée. En parlant de monter, je sais c’que j’ai bien envie de faire.
« Eh poupée, viens te servir un verre et te poser près de moi, j’te raconterai des belles histoires. »
Elle vient pas. Trop impressionnée sans doute, ce serait pas la première fois qu’on mouillerait sa culotte pour mes jambes de rhinocéros.
« Bon papy, t’as assez bu comme ça, va être temps de partir. »
Le mouflet gerbatif qui vient de me susurrer ces jolis mots a l’air menaçant de ceux qui veulent foutre une bonne beigne. Je supporte pas ces connards qui croient que si leur derche est moins plissé, et ben ils ont plus de droit sur la crémière. C’est un con, il est grand temps qu’il le sache. Alors je me lève comme je peux et je lui envoie mon direct du droit en plein dans la caboche. Tu croyais que j’avais perdu la main pas vrai Freddy ? Lorsque mon pied rentre en contact avec son bide, c’est toute la littérature moderne que je lui insémine. Tu m’étonnes que ça lui en fasse trop et qu’il doive tout recracher. Avant de s’adresser à un mec, faut toujours savoir qui a les plus grosses couilles. Et je juge très bien.
« Buk, arrête ça. Un verre offert si tu le finis et que tu te casses. »
Ah la salope, elle veut pas de mon fusil mitrailleur, c’est à n’y plus rien comprendre. De toute façon, elle en vaut pas une blinde. Rien à voir avec Cass. Ah Cass, c’était la plus belle fille de la ville à l’époque. Putain de jeunesse qui vous accouche sans vous élever. On est tous des buveurs de foutre qui attendent inlassablement le prochain remplissage.
« File moi ce que t’as de plus cher alors. »
Je sors. Pour rentrer chez le voisin. Dans le coin, des bars miteux c’est pas ça qui manque. Je me sens triste tout à coup, c’est pas tellement la maraude qui m’a rembarrée mais plutôt le souvenir de cette jolie balafrée. La nuit tombait lentement et c’était trop tard.
Pourtant la serveuse a une paire de hanches à vous décalotter l’oignon plus vite qu’un obèse devant une pièce montée. En parlant de monter, je sais c’que j’ai bien envie de faire.
« Eh poupée, viens te servir un verre et te poser près de moi, j’te raconterai des belles histoires. »
Elle vient pas. Trop impressionnée sans doute, ce serait pas la première fois qu’on mouillerait sa culotte pour mes jambes de rhinocéros.
« Bon papy, t’as assez bu comme ça, va être temps de partir. »
Le mouflet gerbatif qui vient de me susurrer ces jolis mots a l’air menaçant de ceux qui veulent foutre une bonne beigne. Je supporte pas ces connards qui croient que si leur derche est moins plissé, et ben ils ont plus de droit sur la crémière. C’est un con, il est grand temps qu’il le sache. Alors je me lève comme je peux et je lui envoie mon direct du droit en plein dans la caboche. Tu croyais que j’avais perdu la main pas vrai Freddy ? Lorsque mon pied rentre en contact avec son bide, c’est toute la littérature moderne que je lui insémine. Tu m’étonnes que ça lui en fasse trop et qu’il doive tout recracher. Avant de s’adresser à un mec, faut toujours savoir qui a les plus grosses couilles. Et je juge très bien.
« Buk, arrête ça. Un verre offert si tu le finis et que tu te casses. »
Ah la salope, elle veut pas de mon fusil mitrailleur, c’est à n’y plus rien comprendre. De toute façon, elle en vaut pas une blinde. Rien à voir avec Cass. Ah Cass, c’était la plus belle fille de la ville à l’époque. Putain de jeunesse qui vous accouche sans vous élever. On est tous des buveurs de foutre qui attendent inlassablement le prochain remplissage.
« File moi ce que t’as de plus cher alors. »
Je sors. Pour rentrer chez le voisin. Dans le coin, des bars miteux c’est pas ça qui manque. Je me sens triste tout à coup, c’est pas tellement la maraude qui m’a rembarrée mais plutôt le souvenir de cette jolie balafrée. La nuit tombait lentement et c’était trop tard.