>> PANABAKER Althéa
Pseudonyme : Alth', notamment, ou Athel. Rossignol, depuis peu. Age: 19 ans Sexe : Femme. Je crois. Race : Cornue. Métier : Barde itinérante Groupe : Civil But : Découvrir des artefacts musicaux, ou se faire engager pour écrire & chanter une épopée fantastique - que ce soit sur un héros pirate ou sur un grand chef de la marine. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Si c'était possible, un fruit/zoan du mouflon ? °° d'après ce que j'ai vu, il n'existe pas. Si c'est trop demandé, je comprendrais parfaitement :3 ce sera pour plus tard. Équipement : Un arc, un carquois, si possible. Une petite harpe en bois doré ; un luth de bois rouge, fait par le célèbre luthier Myr, aux sons quasi parfaits digne d'un dieu ; un ocarina. Tout un attirail de petits instruments, en fait. Le tout rangé dans un sac de cuir en bandoulière. Codes du règlement : |
>> Physique
Althéa est une personne ravissante, au physique à la fois féminin et gracile. Tout en elle respire la féminité, et ce même quand elle tente de cacher son petit corps aux douces formes. Quoi qu'elle porte, on peut deviner sa peau crémeuse, douce et moelleuse, d'où s'échappe des effluves de fleurs et de miel. Sa longue crinière noire et bouclée, souvent emmêlée négligemment, peut se retrouver à cascader sur ses épaules mises à nu par un corset, ou relevés en un chignon chaotique d'où s'échappent des mèches folles. Oui, son apparence est à la fois changeante et régulière ; vous ne lui enlèverez jamais ses grands yeux aux longs cils, aux paupières lourdes et aux prunelles d'ambre aux reflets noisette ; sa petite bouche mutine au sourire malicieux possède des lèvres charnues, d'un rose foncé agréable, d'où pointe une langue aiguisée, une voix grave et un peu rocailleuse, à nulle autre pareille, mélodieuse et teintée d'émotions perceptibles. Son nez est petit, tout petit, minuscule à vrai dire, allant parfaitement avec sa physionomie de petite souris. Il est très souvent rosée, comme ses joues, comme si elle revenait du dehors par temps froid.
Surtout, surtout, ce qui est à la fois un sujet de honte et de fierté, ce sont ses cornes. Un peu plus longues et recourbées que la moyenne chez les autres cornus, cela a longtemps été un objet de railleries et de moqueries de la part de ses pairs ; d'une couleur plus soutenue que sa chevelure sombre, elles sont d'un joli brun semblable à la terre fraîchement retournée, elles ne sont pas lisses mais nivelées. Son teint de porcelaine rougit très facilement, et il n'est pas rare de voir ses joues se colorer d'une jolie teinte rosâtre, qui fait ressortir d'autant plus ses prunelles et ses yeux sombres. Son sourire dévoile des dents de nacre, plutôt bien alignées mis à part une canine à droite qui semble plus prononcée que sa jumelle gauche. Cela donne un côté enfantin à son sourire, quelque chose d'irrégulier et de plus humain. Elle a une démarche gracile, un peu maladroite par moment ; on a toujours l'impression qu'elle essaye d'éviter quelque chose, avec ses grandes enjambées lentes. Il est très rare de la voir courir, pour une simple raison : elle est lente comme un escargot. Elle a de petites jambes musclées, et des chevilles potelées, qui donnent une continuité vers ses petits pieds aux ongles vernis. Elle porte quelques bijoux : des boucles d'oreilles diverses, un bracelet à la cheville droite, des anneaux à ses doigts, notamment une bague à son pouce, ornée d'un grenat. Si vous voulez tout savoir, elle est tatouée : de noir et de gris, l'image gravée dans sa peau représente une chouette, toute petite, avec un trait assez enfantin. Le tatouage se trouve sur son omoplate droite, contrastant avec sa peau pâle.
Althéa aime porter des vêtements colorés, des étoffes légères et douces. Elle n'apprécie pas qu'on la complimente sur elle-même ; la seule chose pour laquelle elle accepte des mots gentils est sa voix. Il ressort de toute sa personne quelque chose de doux et d'agréable, comme si on se retrouvait devant un grand bol de chocolat chaud. Plutôt petit et assez fine, elle fait penser à une petite souris, minuscule petite chose fragile. Pourtant, quand vous voyez ses sourcils délicats se froncer, son regard s'assombrir sous le coup de la colère, gare à vous. Sa jolie bouche peut cracher du venin, du poison, et faire autre chose que chanter de jolies ritournelles. Elle a des formes très douces, vallonnées, qui tranchent avec son côté parfois un peu garçon manqué. Elle a beau être féminine, mademoiselle aime porter des pantalons et des chemises. Elle adore se travestir, se déguiser, et il n'est pas rare qu'elle cache sous un foulard de couleur vive sa chevelure et ses cornes, et mette des vêtements qui ne semblent pas coïncider avec sa condition. Gants à froufrous, robes gigantesques, écharpes de soie, mais également pantalon de toile, veste aux coutures déchirées ... La demoiselle aime tout les vêtements, qu'ils soient d'un bord ou d'un autre.
Vous la verrez souvent un instrument à la main ; il s'agit de son gagne pain. Regardez ses mains légères aux longs doigts fins aller pincer les cordes, les tirer, leurs ongles coupés courts, laqués de noir, gratter l'instrument de son art. Ses bras son fins, très peu puissants : à quoi lui servirait-il d'être fort ? D'ailleurs, il n'y a rien d'un combattant en elle. Il suffit de la voir pour deviner qu'elle ne saurait pas quoi faire d'un sabre ... Et pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences. L'arc avec lequel elle se promène n'est pas un jouet ; son dos et ses épaules se sont un peu musclés à force de tirer à l'arc, et elle a acquis une espèce de fluidité - cependant, il est encore loin le temps où elle fera mouche à tous les coups ...
Surtout, surtout, ce qui est à la fois un sujet de honte et de fierté, ce sont ses cornes. Un peu plus longues et recourbées que la moyenne chez les autres cornus, cela a longtemps été un objet de railleries et de moqueries de la part de ses pairs ; d'une couleur plus soutenue que sa chevelure sombre, elles sont d'un joli brun semblable à la terre fraîchement retournée, elles ne sont pas lisses mais nivelées. Son teint de porcelaine rougit très facilement, et il n'est pas rare de voir ses joues se colorer d'une jolie teinte rosâtre, qui fait ressortir d'autant plus ses prunelles et ses yeux sombres. Son sourire dévoile des dents de nacre, plutôt bien alignées mis à part une canine à droite qui semble plus prononcée que sa jumelle gauche. Cela donne un côté enfantin à son sourire, quelque chose d'irrégulier et de plus humain. Elle a une démarche gracile, un peu maladroite par moment ; on a toujours l'impression qu'elle essaye d'éviter quelque chose, avec ses grandes enjambées lentes. Il est très rare de la voir courir, pour une simple raison : elle est lente comme un escargot. Elle a de petites jambes musclées, et des chevilles potelées, qui donnent une continuité vers ses petits pieds aux ongles vernis. Elle porte quelques bijoux : des boucles d'oreilles diverses, un bracelet à la cheville droite, des anneaux à ses doigts, notamment une bague à son pouce, ornée d'un grenat. Si vous voulez tout savoir, elle est tatouée : de noir et de gris, l'image gravée dans sa peau représente une chouette, toute petite, avec un trait assez enfantin. Le tatouage se trouve sur son omoplate droite, contrastant avec sa peau pâle.
Althéa aime porter des vêtements colorés, des étoffes légères et douces. Elle n'apprécie pas qu'on la complimente sur elle-même ; la seule chose pour laquelle elle accepte des mots gentils est sa voix. Il ressort de toute sa personne quelque chose de doux et d'agréable, comme si on se retrouvait devant un grand bol de chocolat chaud. Plutôt petit et assez fine, elle fait penser à une petite souris, minuscule petite chose fragile. Pourtant, quand vous voyez ses sourcils délicats se froncer, son regard s'assombrir sous le coup de la colère, gare à vous. Sa jolie bouche peut cracher du venin, du poison, et faire autre chose que chanter de jolies ritournelles. Elle a des formes très douces, vallonnées, qui tranchent avec son côté parfois un peu garçon manqué. Elle a beau être féminine, mademoiselle aime porter des pantalons et des chemises. Elle adore se travestir, se déguiser, et il n'est pas rare qu'elle cache sous un foulard de couleur vive sa chevelure et ses cornes, et mette des vêtements qui ne semblent pas coïncider avec sa condition. Gants à froufrous, robes gigantesques, écharpes de soie, mais également pantalon de toile, veste aux coutures déchirées ... La demoiselle aime tout les vêtements, qu'ils soient d'un bord ou d'un autre.
Vous la verrez souvent un instrument à la main ; il s'agit de son gagne pain. Regardez ses mains légères aux longs doigts fins aller pincer les cordes, les tirer, leurs ongles coupés courts, laqués de noir, gratter l'instrument de son art. Ses bras son fins, très peu puissants : à quoi lui servirait-il d'être fort ? D'ailleurs, il n'y a rien d'un combattant en elle. Il suffit de la voir pour deviner qu'elle ne saurait pas quoi faire d'un sabre ... Et pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences. L'arc avec lequel elle se promène n'est pas un jouet ; son dos et ses épaules se sont un peu musclés à force de tirer à l'arc, et elle a acquis une espèce de fluidité - cependant, il est encore loin le temps où elle fera mouche à tous les coups ...
>> Psychologie
Si vous vous arrêtez à son physique, vous risquez d'avoir quelques ennuis avec la demoiselle : contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'habit ne fait pas le moine, bien au contraire. Volontaire et affirmée, elle n'est pas la dernière à donner son avis, quand il le faut - et quand il ne le faut pas. D'un naturel astucieux et rusé plutôt qu'intelligent, à la manière d'un renard, elle sait se sortir des mauvais pas où elle se fourre sans arrêt. Rancunière, gare à vous si vous osez lui faire une crasse ; vous risquez d'attendre longtemps, mais la vengeance viendra - guère méchante, mais une vengeance toute de même. Il est bon de noter qu'elle a un sens de l'orientation exécrable, au point qu'il lui arrive de confondre droite et gauche, et aussi les points cardinaux - mais ça, elle ne l'avouera jamais. Le coeur sur la main, elle fait bien trop facilement confiance aux gens ; il n'est pas rare qu'on abuse de sa gentillesse et qu'elle ne le voit même pas, naïve comme elle est. Malgré une vague méfiance envers les inconnus, elle se fait très facilement des amis et peut se montrer bien trop gentille avec autrui. La demoiselle est bien trop imaginative, et s'en fait pour un rien : dire qu'elle s'angoisse dès qu'elle a quelque chose à faire serait un euphémisme. Mais elle essaye de rester toujours optimiste, et vous la verrez toujours un sourire aux lèvres, faisant contre mauvaise fortune bon coeur. Si vous la mettez en colère, ce qui arrive rarement, sachez qu'elle crie plus fort qu'elle ne mord : elle vous aboiera dessus, mais vous ne craignez pas grand chose physiquement. Que pourrait-elle vous faire, de toute façon ? Elle est incapable de faire du mal à autrui. Cependant, gare à sa vengeance, qui se solde souvent pas des blagues malicieuses, entraînant du miel, des insectes, et beaucoup de honte - pour vous.
D'un naturel enjoué et bavard, elle n'a pas la langue dans sa poche. Elle a un côté rêveur qui fait sourire bien des gens, alors qu'elle regarde le paysage d'un air pensif, à la recherche d'inspiration. Elle est plutôt maladroite, et tête en l'air : elle oublie tout, sur tout le monde, sauf les ragots les plus importants, et surtout ce qui a un rapport avec sa musique. Pour ce qui est des notes les plus communes d'une chanson, comptez sur elle pour ne guère oublier, mais votre nom, même si vous avez passé deux mois ensemble à parcourir la terre, non, ça ne lui revient pas. Ne le prenez pas personnellement. Elle a une fierté, qui est sa voix et sa manière de jouer des instruments, à la fois douce et entraînante. La demoiselle ne se sent jamais très à l'aise quand ses vêtements laissent voir trop de peau, elle n'est ni tentatrice ni attirée par les besoins de la chair ; il serait malvenu de la draguer ouvertement, car elle risquerait de paniquer, peu habituée à ce genre de manoeuvres. Elle a un peu peur des hommes, et se méfie des femmes, qu'elle sait être venimeuses comme des cobras. Elle adore, en revanche, les animaux de tous poils et de toutes plumes, et se sent une affinité complice avec eux. Son plus grand rêve est de devenir la barde d'un groupe, pirate ou héros de la marine, pour écrire leur épopée fantastique et épique, et devenir aussi célèbre qu'eux. La demoiselle sait donc lire, écrire, et former des partitions, ainsi que composer ; elle ne cache pas ses ambitions, car de toute façon, elle ne sait pas mentir. Elle est foncièrement honnête, ce qui peut parfois amener de sérieux ennuis quand elle ne sait pas ranger sa langue. Elle se confie bien trop facilement, sauf en ce qui concerne ses émotions profondes - dans ce cas là, sa maladresse devient verbale, entraînant bégaiements et rougeurs.
Travailleuse acharnée, il est rare qu'on la trouve à ne rien faire. Pointilleuse, perfectionniste, elle cherche dans tout ce qu'elle fait de minutieux détails qui paraîtraient futiles à des yeux externes. Elle a une capacité à rire de tout édifiante, et elle aime rire d'elle-même. Elle ne se prend pas au sérieux, sauf quand il s'agit de musique. Elle a un côté ridiculement protecteur, envers ceux qui sont plus faibles qu'elle - soyons honnête, il n'y en a à tous les coins de rues. Quand elle ouvre la bouche pour parler d'un sujet qui la passionne, sa voix mélodieuse et entraînante, aux tonalités rauques, vous captive totalement. Elle sait jouer avec les mots, et est une bonne oratrice. Althéa admire avec une farouche innocence tous ceux qui ont un but décidé dans la vie, et qui font tout pour y parvenir. Disciplinée, elle sait obéir promptement aux ordres tout en gardant une indépendance certaine. Cependant, elle ne saura pas discuter les ordres, ce qui fait qu'on a tendance à la croire plus bête qu'elle ne l'est, car elle ne réfléchit pas dans la panique. Très influente, elle se laisse trop berner par les autres, et si vous insistez assez, elle changera d'avis sur beaucoup de sujets, hélas. Elle est diplomate, et sait calmer les bagarres en devenir, avec des mots bien choisis et des postures douces et positives. Cependant, même dans les cas de grands dangers, elle ne montre pas assez de prudence, et se retrouve souvent dans des situations loufoques.
D'un naturel enjoué et bavard, elle n'a pas la langue dans sa poche. Elle a un côté rêveur qui fait sourire bien des gens, alors qu'elle regarde le paysage d'un air pensif, à la recherche d'inspiration. Elle est plutôt maladroite, et tête en l'air : elle oublie tout, sur tout le monde, sauf les ragots les plus importants, et surtout ce qui a un rapport avec sa musique. Pour ce qui est des notes les plus communes d'une chanson, comptez sur elle pour ne guère oublier, mais votre nom, même si vous avez passé deux mois ensemble à parcourir la terre, non, ça ne lui revient pas. Ne le prenez pas personnellement. Elle a une fierté, qui est sa voix et sa manière de jouer des instruments, à la fois douce et entraînante. La demoiselle ne se sent jamais très à l'aise quand ses vêtements laissent voir trop de peau, elle n'est ni tentatrice ni attirée par les besoins de la chair ; il serait malvenu de la draguer ouvertement, car elle risquerait de paniquer, peu habituée à ce genre de manoeuvres. Elle a un peu peur des hommes, et se méfie des femmes, qu'elle sait être venimeuses comme des cobras. Elle adore, en revanche, les animaux de tous poils et de toutes plumes, et se sent une affinité complice avec eux. Son plus grand rêve est de devenir la barde d'un groupe, pirate ou héros de la marine, pour écrire leur épopée fantastique et épique, et devenir aussi célèbre qu'eux. La demoiselle sait donc lire, écrire, et former des partitions, ainsi que composer ; elle ne cache pas ses ambitions, car de toute façon, elle ne sait pas mentir. Elle est foncièrement honnête, ce qui peut parfois amener de sérieux ennuis quand elle ne sait pas ranger sa langue. Elle se confie bien trop facilement, sauf en ce qui concerne ses émotions profondes - dans ce cas là, sa maladresse devient verbale, entraînant bégaiements et rougeurs.
Travailleuse acharnée, il est rare qu'on la trouve à ne rien faire. Pointilleuse, perfectionniste, elle cherche dans tout ce qu'elle fait de minutieux détails qui paraîtraient futiles à des yeux externes. Elle a une capacité à rire de tout édifiante, et elle aime rire d'elle-même. Elle ne se prend pas au sérieux, sauf quand il s'agit de musique. Elle a un côté ridiculement protecteur, envers ceux qui sont plus faibles qu'elle - soyons honnête, il n'y en a à tous les coins de rues. Quand elle ouvre la bouche pour parler d'un sujet qui la passionne, sa voix mélodieuse et entraînante, aux tonalités rauques, vous captive totalement. Elle sait jouer avec les mots, et est une bonne oratrice. Althéa admire avec une farouche innocence tous ceux qui ont un but décidé dans la vie, et qui font tout pour y parvenir. Disciplinée, elle sait obéir promptement aux ordres tout en gardant une indépendance certaine. Cependant, elle ne saura pas discuter les ordres, ce qui fait qu'on a tendance à la croire plus bête qu'elle ne l'est, car elle ne réfléchit pas dans la panique. Très influente, elle se laisse trop berner par les autres, et si vous insistez assez, elle changera d'avis sur beaucoup de sujets, hélas. Elle est diplomate, et sait calmer les bagarres en devenir, avec des mots bien choisis et des postures douces et positives. Cependant, même dans les cas de grands dangers, elle ne montre pas assez de prudence, et se retrouve souvent dans des situations loufoques.
>> Biographie
Une île, dans le South Blue. Non loin de Grand Line, mais assez pour en éviter les périples. Son nom ? Peu importe. Ses habitants l'appellent " Matha. " Les autres ... Lui donnent toutes sortes de noms. Mais le nom ne fait pas la chose. Grande île montagneuse, couverte de minéraux naturels, de forêt de sapins et de jungles étouffantes proches des plages fines, elle est peuplée par des hommes, notamment des cornus. Ils forment un clan à part de la société, vivant entre eux. C'est là-bas que je suis née. Ma mère tenait l'auberge de la région, et mon père était pêcheur. Je fus élevée dans la taverne, pleine de bruit et de chansons. Peut-être est-ce là-bas que j'ai appris à compter une mesure, en tout cas c'est là-bas que les visiteurs m'apprenaient toutes sortes de chansons. Allant des comptines aux refrains plus goûtus des marins ivres, c'est dans cette ambiance chaude, étouffante, et pleine de rire que j'ai grandi.
J'ai été élevée dans le respect des traditions de mon peuple : les cornes, ici, signifiaient chez les hommes la virilité. Plus elles étaient longues et plus l'homme était sensé avoir un poste avancé dans la société. Et pour moi qui, dès mon plus jeune âge, ait hérité de cornes plutôt imposantes, longues et recourbées, c'était un sujet de moquerie. Les jeunes enfants de mon âge évitaient de jouer avec moi, car ils me trouvaient trop masculine. Alors j'allais dans la forêt, j'écartais les lianes et les plantes grimpantes, et je chantais ce qu'on m'avait appris. J'adorais chanter - c'était la façon que j'avais trouvé de ne pas pleurer, pour exprimer mes émotions. Mes chants étaient irréguliers, ma voix trouble et mal dégrossie. Mais comme moi, elle grandit et s'affermit. J'avais cours, l'après-midi, pour apprendre à lire et à écrire. J'adorais apprendre. Le savoir était un tonneau sans fond, pour moi ; je n'en avais jamais assez. Ma mère était heureuse de me voir m'intéresser à quelque chose plutôt que de me refermer sous les brimades ; mon père était plutôt perplexe, lui qui ne connaissait que l'art de la pêche. Cependant, ils étaient contents de moi, et quant à moi, j'étais heureuse, comme seul peut l'être un enfant naïf où sa seule joie est l'instant présent.
▬ Athel, la gazelle, avec ses bois, pourraient y faire un nid les hirondelles.
J'ignorais superbement les insultes, les moqueries, et au fil du temps, on cessa de se moquer. Je grandis, je devins bientôt une jeune femme dans la force de la jeunesse. Gênée par mes soudaines rondeurs, je devais me rendre compte qu'il était fini ce temps où je pouvais gambader en chantonnant dans la forêt. J'avais à présent onze ans, et j'allais devoir choisir ma voie. Pour moi, elle était toute tracée : je voulais prendre la relève de Baba Kôr. C'était la barde du village, celle qui présidait aux cérémonies officielles et qui avait un certain pouvoir sur les gens. J'avais décidé de devenir barde, à mon tour, et j'espérais qu'elle accepterait de me prendre sous sa tutelle. Je reçus une visite de la vieille femme, qui finit par m'annoncer le thème de sa visite : mon acceptation en tant qu'apprentie barde.
▬ Baba Kôr, je te serais d'une grande aide, promis ! fis-je, les yeux brillants, en sautant sur la vieille dame et en la serrant contre moi.
Elle eut un rire aigrelet, puis elle partit, moi à sa suite. Je vécus plusieurs années avec elle ; tous les jours, je suivais un entraînement spécial. J'apprenais à faire fonctionner ma pitoyable mémoire - heureusement pour moi, elle accepta de devenir malléable pour la musique. En contrepartie de ce pacte, elle devint encore plus trouée qu'un gruyère en ce qui concernait les aléas de la vie ! J'apprenais à composer, également. Ma vie était rythmée, comme une partition, et j'adorais ça. Certains navires pirates parvenaient parfois jusqu'à nous, et venaient se réapprovisionner en vivres, en bière, voire faire du troc. Nous avions de magnifiques tissus fait de laine et de soieries, et ils pouvaient se vendre cher. On nous apportait de l'ambre, du métal, des choses exotiques. En voyant tout ça, je n'avais envie que d'une chose : partir d'ici, quand je serais devenue barde. Voyager dans le monde entier, devenir célèbre et légendaire. C'était devenu mon but, plutôt que de prendre la relève de Baba Kôr.
Les années d'apprentissage filèrent rapidement. Malgré moi, les journées filaient, passaient entre mes doigts comme du sable. Un an, puis deux, puis trois. Je voyais mes parents le week-end, à la fin de la semaine, quand j'avais quartier libre, à la manière d'un marin ayant permission à terre. Je n'avais pas de salaire, étant apprentie, mais Baba me donnait parfois quelques pièces quand je faisais une représentation plus que valable. Je dépensais cet argent en livres sur les voyages, en cartes, en nourriture et friandises. Ma gourmandise n'avait d'égal que mon envie d'aventure. Puis, vint le jour où je fus acceptée par la communauté comme barde. Je reçus mon instrument, une harpe en bois doré, venant d'un fût d'une pousse rare, qui ne poussait qu'ici - le chêne doré, en fait. Les cordes et la taille de l'instrument étaient faites à ma taille, et j'étais ravie. Cependant, je lus la déception dans bien des regards quand je pris la décision officielle, devant public, de partir plutôt que de rester ici.
J'avais l'impression de revivre les moqueries de quand j'étais gamine. On me prévint que, au dehors, les gens étaient bien moins amicaux qu'ici. Que j'avais une place toute faite, que je n'avais nullement besoin de voir le monde. Habituellement flexible, je refusais cependant sur ce sujet de me laisser influencer. J'étais bel et bien décidée : dès qu'un navire pirate accosterait, je demanderais au capitaine de m'engage comme barde. Cela ne tarda pas ; le Ciel Pourpre vint sur nos plages quelques semaines plus tard, et je tapais dans l'oeil du capitaine. Il accepta de me prendre à son bord, souriant à mes flatteries et appréciant de toute évidence l'idée de devenir célèbre grâce à mes ritournelles - ainsi que mon minois et ma présence. Je préparais mes affaires, et avant que je ne partes, mes parents m'offrirent une arme. Non pas une épée, ou un couteau, mais un arc et un carquois de flèches droites, empennées de plumes blanches. Tu dois apprendre à te défendre. Au dehors, c'est le danger qui rôde. Ma chérie, dès que tu le veux, rentre à la maison.
Le voyage sur le Ciel Pourpre fût des plus agréables ; je chantais le soir pour les marins, et la journée, je travaillais à écrire une chansonnette sur la vaillance du capitaine qui m'avait raconté maints exploits de son passé. Mensonges ou vérité, en tant que barde, je m'en fichais un peu. Mais, un jour, nous fûmes accostés par un autre bateau pirate, qui fit prisonnier ceux du Ciel Pourpre. On me jeta à la mer, et je ne sus jamais ce qu'étaient devenus les membres de cet équipage. Je fus recueillie par un bateau de la marine, et l'on m'amena jusqu'à la grande île la plus proche : Saint Urea. Là-bas, je travaillais pendant quelques temps comme chanteuse des rues, avec pour but de me faire engager par un équipage valeureux.
Mon objectif ? Devenir légendaire. Trouver des pirates - ou des marins - dignes de ce nom, et les suivre comme leurs ombres pour relater leurs faits et gestes. Construire une grande saga épique, magique, et faire de mon timbre et de leurs actions la plus grande des aventures jamais chantée.
>> Test RP
Saint Urea. Cette ville était incroyable. Elle me paraissait si grande ! Et pourtant, j'y vivais depuis plusieurs mois. J'avais formé le voeu de mettre de l'argent de côté et d'embarquer quand j'en aurais assez sur un navire quelconque à l'équipage digne d'un saga épique. Ce n'était pas exactement aussi facile que ce que j'avais espéré. Et beaucoup, beaucoup, beaucoup plus long que ce que j'avais imaginé. La voix totalement cassée par mes chants, je m'assis à la chaise qui m'était réservée, dans l'auberge où je logeais depuis que j'étais arrivée. Bercée par mes chansons et ma voix inhabituelle bien que mélodieuse, le tavernier m'avait réservé une place de choix, comme barde à son auberge. J'avais donc le gîte et le couvert, et pouvais garder pour moi toute somme que les clients pouvaient m'offrir. Il n'était pas rare que je reparte avec un petit pactole, car les hommes d'ici aimaient la musique. Ils adoraient surtout les chansons sur la guerre, les batailles et les combats. J'avais donc dû rafraîchir mon répertoire, et en créer quelques unes, assez maladroite.
▬ Keran, je suis certaine que quelque chose cloche ! fis-je au tavernier, qui essuyait des verres un peu plus loin. Il me jeta un regard étonné, m'encourageant à continuer, ce dont je ne me fis pas prier. Pestant d'une voix presque douce, on aurait difficilement crû que je râlais. Je ne sais pas ; j'ai réussi à écrire une chanson dont je sois à peu près satisfaite ... Mais je crois qu'aucun de mes instruments n'arrive à supporter la mélodie puissante que j'ai dans la tête. C'est comme si, je ne sais pas, que la chanson que j'avais imaginé ne pouvait supporter mon luth ou ma harpe ...
Ma voix s'était fêlée vers la fin, et je soupirais. Je bus une gorgée de vin, et jetais un coup d'oeil à Keran. Il fixait un point au plafond, et je connaissais cette expression qu'il avait : il réfléchissait. Puis, doucement, il descendit ses prunelles sombres sur moi et comme à contrecoeur, se décidé à me parler.
▬ Alth, tu sais ... C'est loin d'être idiot ce que tu dis. Certains instruments sont trop ordinaires pour certaines chansons et ... Et, tu vois ...
▬ Viens-en aux faits, Keran fis-je en manière de supplique, mon regard sombre brillant soudainement de curiosité. Je resserrais le bandeau de soie sur ma tête, qui cachait ma chevelure relevée d'une manière complexe, et mes cornes étranges.
▬ Tu connais la légende de Myr le luthier ? Non, j'aurais dû m'en douter, tu n'es pas d'ici ... C'était un célèbre luthier, dans le temps ; il a fait des oeuvres si exquises que tous les bardes, tous ceux qui désiraient un instrument d'une qualité presque magique tellement elle était irréaliste ... Ils allaient tous chez eux. Le grand barde Jokiro s'est vu offert le luth qui l'a rendu légendaire ... Myr l'est donc devenu, lui aussi. Mais ça ne plaisait pas à tout le monde ...
Il eut un soupir, et s'assit pesamment devant moi. Il lança d'un geste négligent le chiffon grisâtre sur son épaule et fixa sur moi ses yeux presque noirs. J'avais retenu mon souffle, hors d'haleine malgré moi, en sentant dans cette histoire quelque chose de merveilleux.
▬ Il a dû se retirer. Officiellement, parce qu'il était trop vieux. Mais tout le monde sait qu'un complot politique avait été fomentée depuis longtemps contre lui. Il avait une espèce de pouvoir que les gens de la haute n'acceptaient pas, tu vois ? Ceux qui ont le pouvoir refusent bien souvent qu'on leur en prenne une miette ... Il poussa un soupire, à fendre le coeur, puis reprit, tout aussi sérieusement. Tout le monde dit qu'il s'est caché dans les bas quartiers, avec les gens pauvres, pour se faire oublier. Qu'il refuse de faire de la musique, ou même de toucher un instrument, pour éviter qu'on ne le reconnaisse. Peut-être même, qu'au fond, il ne veut plus se reconnaître lui-même ...
Keran haussa les épaules, se leva lourdement et retourna à son comptoir, me laissant les yeux dans le vague, le cerveau tournant à plein régime. Cet homme, ce Myr ... Etait-il une légende ? Avait-il réellement existé ? Comment un homme qui aimait créer et jouer d'instruments pouvait du jour au lendemain arrêter d'en jouer ? Cela me paraissait impossible, mais je devais me rendre à l'évidence : face à un pouvoir supérieur au mien, je n'aurai peut-être pas le choix. J'inspirais de nouveau et pris une décision.
▬ Keran ? Je prends ma journée de congé, demain.
Le tavernier se contenta de hocher la tête, avec un sourire quasi imperceptible. Il devait se douter que tout se passerait ainsi. Il était prévisible que je tente d'en apprendre plus sur cette histoire. J'eus une nuit agitée, excitée par l'idée d'aller enquêter sur ces faits. Le lendemain, mes cornes camouflées, habillée à la garçonne pour ne pas être gênée dans ma marche, je pris les vivres que m'avait gentiment préparé Keran et partit à l'assaut de la basse-ville. Elle n'avait rien à voir avec les hauts quartiers, où les gens pouvaient se permettre de payer une barde. Je les avais toujours évité, n'y trouvant aucune raison d'y aller. En pénétrant dans cet endroit, on sentait la pauvreté comme un miasme malsain. Les gens étaient vêtus de tissus déchirés, sales ; les enfants couraient dans les rues à pieds nus et certains même pleuraient en quémandant un bout de pain. J'offris toute ma paye à des gamins, inquiète quant à leur maigreur ; si j'avais eu plus, je n'aurais pas hésité. Mais je n'étais pas là pour ça. Je posais quelques questions ; les réponses furent vagues et parfois contradictoires.
▬ Vous voulez des réponses sur le vieux Myr, mademoiselle ?
Je sursautai alors que l'adolescente que je venais de questionner s'enfuyait sans demander son reste. Je me retournais pour voir un très vieil homme au visage si ridé qu'on ne voyait plus en ses yeux que deux fentes sombres. Pourtant, malgré cet aspect assez repoussant, il souriait d'une bouche édentée. Je ressentis un mélange de sympathie et de pitié pour lui, et m'approchais, piquée par la curiosité.
▬ Effectivement, monsieur. J'ai entendu parler de lui, et j'aimerais savoir si c'est vrai qu'il s'est réfugié ici, après qu'il ait été déchu de son statut de luthier par l-
▬ Vous n'êtes pas d'ici, hein ? Sinon, vous sauriez que les murs ont des oreilles, et qu'il est rarement inoffensif de parler comme ça. Personne ne l'a destitué de son statut, ma jolie. Il a quitté son métier, sûrement parce qu'il ne supportait plus sa célébrité.
Même à mes oreilles, son ironie était mordante. Il m'offrait pourtant toujours ce même sourire presque innocent.
▬ Pourquoi vous intéressez vous au vieux Myr ?
▬ Honnêtement, je suis une barde. L'idée qu'un homme aussi célèbre ait existé et qu'il puisse m'aider dans ma quête m'avait paru très intelligente, hier soir, mais à la lumière du jour ...
▬ A la lumière du jour, il y a beaucoup de choses qui ne semblent plus aussi excitantes. C'est parce que le soleil brille trop fort, ma jolie. Tu parles d'une quête ; quelle est-elle, pour être si importante au point que tu risques les foudres des hauts de cette île avec tes questions ?
▬ Je veux devenir une barde légendaire. Je veux créer une saga si épique, une musique si puissante que le monde en parlera pour des siècles et des siècles !
Ma voix était vibrante d'émotion, et mon regard aux prunelles noires brillait d'une témérité absolue. J'étais convaincue que j'y arriverai, et que ce luthier, si il existait, détenait une clé pour me permettre d'atteindre ce but. Il pouvait me confier l'un de ses instruments si particuliers, presque magiques. Je songeais un instant que je n'avais nul argent pour le payer ; qu'allai-je pouvoir donner en échange ? Puis, je secouais la tête ; je me questionnais sur le paiement d'un objet qui n'existait peut-être même pas ...
▬ Je vois, je vois ... La fougue de la jeunesse. Qui ne rêve pas d'être célèbre et de ne jamais mourir de l'esprit des hommes ? ricana le vieux, d'une façon qui me déplu. Tu m'es sympathique. Suis-moi.
Je clignais des yeux stupidement en le voyant s'éloigner, et malgré moi, je le suivis. J'étais extrêmement curieuse quant à ce qui allait se passer. Une pointe de méfiance se mêla dans l'excitation qui me gagnais, mais je la repoussais. La journée était belle, et j'étais sûre que ce vieille homme ne me ferait pas de mal. Naïvement sûre. Nous traversâmes les quartiers bas, au chant d'enfants qui criaient en s'amusant et de femmes qui étendaient leur linge. Je m'étonnais qu'il régnât une si bonne humeur, mais l'homme marchait toujours de son pas vif et je n'avais pas le temps de m'arrêter. Finalement, nous parvînmes à une petite maisonnette aux volets clos. Il poussa la porte d'une main, et je pénétrais dans l'ombre fraîche derrière lui.
Je n'y voyais goutte, et une brusque peur me prit à la gorge.
▬ Monsieur ? Monsieur, vous n-
▬ Petite, tu me plais bien. Alors, je vais te faire un cadeau. Parce que tu as réussi à me rappeler qui j'étais, et ce que j'étais sensé faire. Parce que tu as la musique dans le sang, et que tu me rappelle moi à ton âge. Prends-le. Et atteins ton but.
Sa voix paraissait tempêter dans la pièce noire. Je frémis, puis d'un coup d'un seul, toutes les bougies s'allumèrent. J'étais seule dans la pièce, où ne se trouvait qu'un meuble au milieu : une table. Et sur cette table, le plus joli luth qui soit. Je m'en approchais, toute prudence écartée, et n'osais le toucher du doigt : le bois était d'un rouge pâle, et sa forme était parfaite. On aurait dit l'instrument d'un dieu. Puis, comme si je me réveillais d'un rêve, je tournais la tête aux alentours. Où était le petit vieux ?
Il avait disparu.
Et ses paroles s'incrustèrent en moi. " Et que tu me rappelle moi à ton âge. " Je frémis de nouveau, et pris le luth précautionneusement, avec une délicatesse affectueuse. Je pinçais une corde et tout mon corps sembla prêt à répondre au don son cristallin qui en sortit.
▬ Merci, Myr. murmurais-je, en serrant l'instrument contre moi.
Je sortis et m'éloignais de la maison, pour retourner à la taverne. L'instrument était glissé sous ma tunique, et j'avais resserré ma cape autour de mes épaules pour ne rien en montrer. Avec ça, j'allais atteindre mon but, oui.
Un regard amusé suivit la forme de la jeune femme, d'une ruelle où son propriétaire était assis. Il émit un petit rire, expulsa une bouffée de fumée de sa pipe, puis sembla disparaître derrière l'écran de fumée, alors que son éclat de rire continuait derrière lui, mystérieux et amusé.
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Informations IRL
Prénom : Lucrecia
Age : 23 ans
Aime : Les chats, la neige, manger, écrire, lire.
N'aime pas : Avoir chaud, les légumes, les fruits, les chiens, qu'on l'embête sur sa petite taille.
Personnage préféré de One Piece : Traflagar Law, sans aucun doute ** suivi de près par Mihawk. * bave *
Caractère : Optimiste, enjouée, volontaire, motivée, un peu tête en l'air.
Fait du RP depuis : Ouuuh une dizaine d'années environ.
Disponibilité approximative : 7/7 normalement, même si je promets pas de rp tous les soirs.
Comment avez-vous connu le forum ? En cherchant un forum sur One piece, j'suis tombé sur un top-site, je crois.
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Dernière édition par Althéa Panabaker le Mar 1 Avr 2014 - 8:19, édité 18 fois