Des rumeurs circulent sur Reverse. Un passage pour les blues, la marine qui fait un blocus et d'autre baratins de la sorte. La seule information qui intéresse le fou est le passage pour les blues. Partir sur Goa, voilà son seul objectif. Un groupe de Jaya se dirige là-bas et le suivre avec le sanbi est facile. Le plus important est de ne pas perdre de vue les navires car Roger n'a aucun moyen de se localiser.
Cela ne fait même pas une heure qu'ils ont quitté l'ile que des événements apparaissent. Louis qui est un expert en escroquerie lit le journal comme à son habitude. Toujours à chercher un coup à se mettre sous la dent. Un petit ricanement de sa part attise la curiosité du blond. Rester sans rien faire durant la traversée n'est point drôle. Alors il se lève a l'aide d'un bâton qu'il a dérober sur l'ile et s'approche.
-Qu'est ce qui te fait marrer ?
Une simple question. Notre homme n'a pas tellement envie de lire. Seul le moment drôle l'intéresse. Rire. C'est ce qu'il veut. Un petit sourire. Se réconforter dans cette période obscure qu'il traverse. Rien d'extraordinaire.
-Les nobles de Goa se sont fait buter hé hé hé.
Le visage de Roger change d'aspect et devient sombre.
-Ecoute ça, la famille royale est morte et le porte parole Eustass est mort aussi avec sa famille. Un rassemblement d'idiot.
Les poings du capitaine se ferment tellement fort que le sang se met à coulé de ses mains. Mais Louis ne remarque pas et continue à donner son avis tranquillement en regardant le journal. Puis un léger rire nerveux émane de la bouche du blond.
-Lorsque les choses tournent mal, faut savoir fuir. Sacré Rafaelo Di Auditor. Un homme capable de réduire un royaume à lui tout seul. A mon avis faud....
S'en est trop, le bras de Roger remplis de bandage se tend. La main saisit le cou de Louis et le soulève. Le visage rempli de haine, les sourcilles froncés comme jamais. Une grimace hideuse. L'escroc ne peut plus respirer et les trois autres fous du navire tentent de retenir Gold Roger.
-Qu'est ce qui est drôle putain ?! TU TE FOU DE MOI !!
Impossible d'arrêter la folie du plus fou du navire. Il explose Louis contre la carapace de sanbi. Les autres savent à quel point l'homme à la cicatrice est instable. S'ils n'arrivent pas à le calmer, c'est tout le monde qui peut y passé.
-Ce foutre de la gueule de son capitaine c'est ça qui te fait marrer hein ?!
Encore loin d'être rétablie après les nombreux combats sur jaya, ses hommes ont une chance de l'arrêter. Ils n'hésitent pas à lui donner des coups sur le corps, sur le visage. Mais le bras est inébranlable. Depuis trop longtemps il domine sa colère. Depuis trop longtemps il tente de ne plus tué. Tout cela en vint ? Tout ce qu'il a fait, tout ce qu'il a travaillait sur son comportement ne servira donc jamais ? La vie de famille... Une vie paisible avec sa femme et ses filles n'est donc qu'un rêve ?
Ses hommes arrivent enfin à l'arrêter et c'est une grande bouchée d'oxygène que prend Louis. Les blessures de Roger se réouvrent. Ce dernier ne peut pas y croire. Ce ne sont que des mensonges. Goa chuté, qui peut y croire ?
Le pirate réussi à se libérer de l'emprise de ses hommes et choppe le journal. Il veut en avoir le cœur net. Mais malheureusement... C'est bien la vérité... Alors il saute à l'eau. Comme s'il pouvait rejoindre Goa à la nage. Comme s'il ne pouvait attendre tranquillement que le sanbi l'amène.
Pendant qu'il se débattait, des photos de sa famille tombent de ses vêtements et le schizophrène les ramasse. On y voit sa femme et ses deux filles. Loin d'être stupide, ce dernier ne voit qu'une solution pour recadrer son capitaine. Mantle Shoma. Le petit frère bien plus fort et plus calme. Il n'y a que lui qui puisse calmer le blond.
*Pourquoi ? …. Pourquoi ? … Toujours moi....
J'ai pas de nom...
Pas de prénom ...
Pas de père...
Un diable comme mère.
Pas d'enfance.
Pas d'ami...
Plus de famille …
Pas la force de régler mes problèmes...
Pas la force *
Après avoir nagé jusqu'à l’épuisement, Roger est ramené à bord, inconscient. Parfaitement ligoter, enchainé a un pic de sanbi. Maintenant les hommes font demi-tour. Direction Jaya.
Les gens… les hommes courent après l’existence du bonheur. Ce que Roger voulait, c’était un simple petit morceau de bonheur. Ce n’est rien de spécial. Du moins, ce qui a déclenché ses actes n’était qu’un tout petit souhait comme en a chaque humain. Ce rêve, ce vœu, qui peut le lui refuser ? Y a-t-il quelqu’un qui puisse le faire ? Mais on juge les gens parce qu’ils sont liés aux autres et au monde, qu’ils le veuillent ou non. C’est leur destin. Dans ce cas, lorsque les sentiments personnels de quelqu’un se retrouvent confrontés à la volonté du monde, cette personne est considérée comme une vulgaire existence confuse et vaine. Péché et châtiment. Destinée et jugement. Ce que Roger a traversé durant sa vie n'est que la partie désagréable de l'existence. Cela a fait de lui un concentré de haine pure et dure. La haine fait-elle partie de la nature humaine ? Les hommes courent après l’existence du bonheur. Un rayon d’espoir, un vague souhait, ne peut jaillir que du désespoir. Ici notre homme a tout perdu. Il lui reste peut être une chose. Une certaine amitié fraternelle avec un certain Mantle Shoma.
Le dernier lien avec le monde. La dernière corde avec l'humanité. Le seul fil capable de le ramener à la surface. Mais celui-ci est fragile est peut … se briser.
Cela ne fait même pas une heure qu'ils ont quitté l'ile que des événements apparaissent. Louis qui est un expert en escroquerie lit le journal comme à son habitude. Toujours à chercher un coup à se mettre sous la dent. Un petit ricanement de sa part attise la curiosité du blond. Rester sans rien faire durant la traversée n'est point drôle. Alors il se lève a l'aide d'un bâton qu'il a dérober sur l'ile et s'approche.
-Qu'est ce qui te fait marrer ?
Une simple question. Notre homme n'a pas tellement envie de lire. Seul le moment drôle l'intéresse. Rire. C'est ce qu'il veut. Un petit sourire. Se réconforter dans cette période obscure qu'il traverse. Rien d'extraordinaire.
-Les nobles de Goa se sont fait buter hé hé hé.
Le visage de Roger change d'aspect et devient sombre.
-Ecoute ça, la famille royale est morte et le porte parole Eustass est mort aussi avec sa famille. Un rassemblement d'idiot.
Les poings du capitaine se ferment tellement fort que le sang se met à coulé de ses mains. Mais Louis ne remarque pas et continue à donner son avis tranquillement en regardant le journal. Puis un léger rire nerveux émane de la bouche du blond.
-Lorsque les choses tournent mal, faut savoir fuir. Sacré Rafaelo Di Auditor. Un homme capable de réduire un royaume à lui tout seul. A mon avis faud....
S'en est trop, le bras de Roger remplis de bandage se tend. La main saisit le cou de Louis et le soulève. Le visage rempli de haine, les sourcilles froncés comme jamais. Une grimace hideuse. L'escroc ne peut plus respirer et les trois autres fous du navire tentent de retenir Gold Roger.
Du calme capt'ain !
-Qu'est ce qui est drôle putain ?! TU TE FOU DE MOI !!
Impossible d'arrêter la folie du plus fou du navire. Il explose Louis contre la carapace de sanbi. Les autres savent à quel point l'homme à la cicatrice est instable. S'ils n'arrivent pas à le calmer, c'est tout le monde qui peut y passé.
-Ce foutre de la gueule de son capitaine c'est ça qui te fait marrer hein ?!
Encore loin d'être rétablie après les nombreux combats sur jaya, ses hommes ont une chance de l'arrêter. Ils n'hésitent pas à lui donner des coups sur le corps, sur le visage. Mais le bras est inébranlable. Depuis trop longtemps il domine sa colère. Depuis trop longtemps il tente de ne plus tué. Tout cela en vint ? Tout ce qu'il a fait, tout ce qu'il a travaillait sur son comportement ne servira donc jamais ? La vie de famille... Une vie paisible avec sa femme et ses filles n'est donc qu'un rêve ?
Ses hommes arrivent enfin à l'arrêter et c'est une grande bouchée d'oxygène que prend Louis. Les blessures de Roger se réouvrent. Ce dernier ne peut pas y croire. Ce ne sont que des mensonges. Goa chuté, qui peut y croire ?
Le pirate réussi à se libérer de l'emprise de ses hommes et choppe le journal. Il veut en avoir le cœur net. Mais malheureusement... C'est bien la vérité... Alors il saute à l'eau. Comme s'il pouvait rejoindre Goa à la nage. Comme s'il ne pouvait attendre tranquillement que le sanbi l'amène.
Pendant qu'il se débattait, des photos de sa famille tombent de ses vêtements et le schizophrène les ramasse. On y voit sa femme et ses deux filles. Loin d'être stupide, ce dernier ne voit qu'une solution pour recadrer son capitaine. Mantle Shoma. Le petit frère bien plus fort et plus calme. Il n'y a que lui qui puisse calmer le blond.
*Pourquoi ? …. Pourquoi ? … Toujours moi....
J'ai pas de nom...
Pas de prénom ...
Pas de père...
Un diable comme mère.
Pas d'enfance.
Pas d'ami...
Plus de famille …
Pas la force de régler mes problèmes...
Pas la force *
Après avoir nagé jusqu'à l’épuisement, Roger est ramené à bord, inconscient. Parfaitement ligoter, enchainé a un pic de sanbi. Maintenant les hommes font demi-tour. Direction Jaya.
Les gens… les hommes courent après l’existence du bonheur. Ce que Roger voulait, c’était un simple petit morceau de bonheur. Ce n’est rien de spécial. Du moins, ce qui a déclenché ses actes n’était qu’un tout petit souhait comme en a chaque humain. Ce rêve, ce vœu, qui peut le lui refuser ? Y a-t-il quelqu’un qui puisse le faire ? Mais on juge les gens parce qu’ils sont liés aux autres et au monde, qu’ils le veuillent ou non. C’est leur destin. Dans ce cas, lorsque les sentiments personnels de quelqu’un se retrouvent confrontés à la volonté du monde, cette personne est considérée comme une vulgaire existence confuse et vaine. Péché et châtiment. Destinée et jugement. Ce que Roger a traversé durant sa vie n'est que la partie désagréable de l'existence. Cela a fait de lui un concentré de haine pure et dure. La haine fait-elle partie de la nature humaine ? Les hommes courent après l’existence du bonheur. Un rayon d’espoir, un vague souhait, ne peut jaillir que du désespoir. Ici notre homme a tout perdu. Il lui reste peut être une chose. Une certaine amitié fraternelle avec un certain Mantle Shoma.
Le dernier lien avec le monde. La dernière corde avec l'humanité. Le seul fil capable de le ramener à la surface. Mais celui-ci est fragile est peut … se briser.
Dernière édition par Gold Roger le Ven 18 Avr 2014 - 18:39, édité 1 fois