>> Disco Stum
Une image de 200*300 pixels.[/ | Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu. Age: ... Sexe : Homme, Race : Humain Métier : danseur, ingénieur Groupe : Civil But : faire revenir le disco à la mode et retrouver tous les dials albums de disco et monter à ses frere et sœur que le disco c'est mieu que leurs musiques. et pour finir trouver le trésor du pére de ben l'oncle Stum Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Le fruit de la coupe afro démoniaque. Équipement :une vive carte qui pointe vers gran line, deux pistolet, un auto-dials avec l'album de la fièvre du jeudi soir enregistré dessus et environs 8000 berrys. Codes du règlement : Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant. Ce compte est-il un DC ? : non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
présentatrice : ici Trinita Stones en direct sur Chanel 6 sur la denden vision, pour vous présenter le grand, le magnifique, l'incroyable.... ho ! Il est trop beau... ( tombe dans les pommes ).
seconde présentatrice : Pardonnez-nous cher télé-spectateur, ma collègue a eut un petit souci de santé. Mais ne vous inquiétez pas, je suis là. Alors maintenant je vais vous présenter le grand, le magnifique … Ho ! mon dieu ! Il est si sexy !... (tombe aussi dans les pommes).
Présentateur légèrement jaloux : Bonjour mesdames et messieurs. Veillez-nous excuser pour ces légers problèmes techniques. Je vais vous présenter maintenant, euh je suis obliger de le dire ? Oui ? Bon d'accord. Je vais vous présenter le grand , le magnifique, l'incroyable Disco Stum! Si vous le connaissez pas, voici une brève description de ce dernier.
Disco Stum est un jeune homme de 24 ans, qui est devenu une grande célébrité grâce au disco. Il mesure un mètre quatre-vingts quatre pour une soixantaine de kilo. Mais ne vous fiez pas à sa maigreur, car il est tout de même musclé. Eh oui, qui aurait pu croire que danser le disco ça musclerait un homme. Sachez que Disco Stum est facilement reconnaissable avec sa voix qui ressemble à celle de l’Âne dans Shrek, mais aussi car il est très, comment dire, très disco ! Vous ne comprenez pas se que je veux dire ? Hé bien, on peut dire que le disco est en lui, que ce soit dans sa manière de se coiffer avec sa coupe afro ou sa barbe à la Souvarov ou à sa manière de s'habiller avec des habits aux couleurs criardes et aux pattes d'ephs ou encore à sa manière de se déplacer avec la tête bien haute et en balançant ses jambes et ses bras comme si il shootait dans un ballon à chaque pas.
seconde présentatrice : Pardonnez-nous cher télé-spectateur, ma collègue a eut un petit souci de santé. Mais ne vous inquiétez pas, je suis là. Alors maintenant je vais vous présenter le grand, le magnifique … Ho ! mon dieu ! Il est si sexy !... (tombe aussi dans les pommes).
Présentateur légèrement jaloux : Bonjour mesdames et messieurs. Veillez-nous excuser pour ces légers problèmes techniques. Je vais vous présenter maintenant, euh je suis obliger de le dire ? Oui ? Bon d'accord. Je vais vous présenter le grand , le magnifique, l'incroyable Disco Stum! Si vous le connaissez pas, voici une brève description de ce dernier.
Disco Stum est un jeune homme de 24 ans, qui est devenu une grande célébrité grâce au disco. Il mesure un mètre quatre-vingts quatre pour une soixantaine de kilo. Mais ne vous fiez pas à sa maigreur, car il est tout de même musclé. Eh oui, qui aurait pu croire que danser le disco ça musclerait un homme. Sachez que Disco Stum est facilement reconnaissable avec sa voix qui ressemble à celle de l’Âne dans Shrek, mais aussi car il est très, comment dire, très disco ! Vous ne comprenez pas se que je veux dire ? Hé bien, on peut dire que le disco est en lui, que ce soit dans sa manière de se coiffer avec sa coupe afro ou sa barbe à la Souvarov ou à sa manière de s'habiller avec des habits aux couleurs criardes et aux pattes d'ephs ou encore à sa manière de se déplacer avec la tête bien haute et en balançant ses jambes et ses bras comme si il shootait dans un ballon à chaque pas.
>> Psychologie
Maintenant, que vous êtes capables de le reconnaître, mesdames et messieurs, je vous pris de bien vouloir ovationner le grand, le magnifique Disco Stum qui est avec nous ce soir. Alors messieurs Stum, maintenant que nous savons à quoi vous ressemblez, dite nous en plus sur vous : votre personnalité, ce que vous aimer ou ce vous aimer pas, ou encore votre plus grande qualité et votre plus grand défaut.
Disco Stum : Pour commencer, je n'ai aucun défaut je suis parfait, je ne possède que des qualités
P: Hé, ben quelle grosse tête.
La plus grande d'entre elle est certainement ma ténacité. Je ne lâche jamais l’affaire quand je travaille sur un projet. Sinon, il y a aussi mon ingéniosité qui ma permit de me sortir de plusieurs faux pas dans le passé. Autrement, dans la vie il y a deux choses que j'aime plus que les autres : tout d'abord, il y a le disco c'est presque ma raison de vivre, c'est mon premier amour. Si je n'aurais pas connu le disco, je ne serais pas l'homme que je suis actuellement. Et après le disco, la chose que j'affectionne le plus, c'est les femmes, les jolies femmes et plus particulièrement celles qui ont deux gros... euhh bon... Enfin, vous avez compris. Et ce que je n'aime pas ? Les gens qui n'apprécient pas le disco et les gens qui ne supportent pas le progrès. Mais ce que je déteste le plus au monde, ce sont les gens qui maltraitent les femmes, ou qui les utilisent à mauvais escient. Quand je face à des gens de cette espèce je les mitraille le plus avec mes pistolet tout en faisant des geste de disco histoire de joindre l'utile à l'agréable, si il son balèze je me met alors a réfléchir pour mettre mon adversaire en echec
P: Hé, ben quelle grosse tête.
La plus grande d'entre elle est certainement ma ténacité. Je ne lâche jamais l’affaire quand je travaille sur un projet. Sinon, il y a aussi mon ingéniosité qui ma permit de me sortir de plusieurs faux pas dans le passé. Autrement, dans la vie il y a deux choses que j'aime plus que les autres : tout d'abord, il y a le disco c'est presque ma raison de vivre, c'est mon premier amour. Si je n'aurais pas connu le disco, je ne serais pas l'homme que je suis actuellement. Et après le disco, la chose que j'affectionne le plus, c'est les femmes, les jolies femmes et plus particulièrement celles qui ont deux gros... euhh bon... Enfin, vous avez compris. Et ce que je n'aime pas ? Les gens qui n'apprécient pas le disco et les gens qui ne supportent pas le progrès. Mais ce que je déteste le plus au monde, ce sont les gens qui maltraitent les femmes, ou qui les utilisent à mauvais escient. Quand je face à des gens de cette espèce je les mitraille le plus avec mes pistolet tout en faisant des geste de disco histoire de joindre l'utile à l'agréable, si il son balèze je me met alors a réfléchir pour mettre mon adversaire en echec
>> Biographie
P : tres biens Messieurs Stum et maintenant ce que nos spectateurs savent qui vous êtes nous aimerons savoir comme n'importe qui peut devenir une super star comme vous ?
Comment n'importe qui peut devenir ce que je suis ? Vous vous fichez de moi, je ne suis pas n'importe qui, je suis Disco Stum. Je viens de la famille Stum qui engendre que des artistes de la musique. Ce qui veut dire que n'importe quel enfant de la famille Stum sait jouer de la musique, chanter et danser . Et tout ce que j'ai vécus à fait de moi un artiste écouté partout dans le monde
Mon vrai nom est Torik, Torik Stum je suis né dans une famille un peu spéciale.
En effet, ma famille proche était composée de ma mère Maria Stum, de mon grand-père Ben l'oncle Stum qui préfère qu'on l'appel oncle car ça fait moins vieux. Et pour finir, mes quatre frères et sœurs et moi.
Parmi mes frères et sœurs, il y a : Barry stum-whyte, le plus âgé d'entre nous. Il était le seul a avoir connu son père parmi les autres enfants, il en a même gardé une partie de son nom. Il possédait un corps bien carré, un peu enrobé et un belle voix grave qui faisait de lui un chanteur de soul hors-pair.
Ensuite, il y avait Beyon Stum. Une belle fille assez grande avec un sacré organe et un tallent certain pour la danse. Elle a décidé de faire du R&B pour mélanger divers styles musicaux qui plairaient à tous le monde.
Puis, il y avait moi, le grand, le beau, le magnifique Torik Stum alias disco Stum. On prétend même que je suis né avec une coupe afro. Je n'avais aucun don pour le chant ou pour jouer de n'importe quel instrument, mais je savais quand même bien danser, et pour l'instant à ce moment de l’histoire, je n'aimais aucune musique en particulier.
Ensuite, il y a Jimmyand stum, c'est mon premier petit frère. Il est un peu comme moi au niveau physique, à peu prés de la même taille et avec la même coupe de cheveux. C'est un excellent guitariste et un chanteur de rock pas trop mauvais. Par contre, il avait la fâcheuse habitude de nous attirer des ennuies car il détestait le gouvernement, il supposait tout le temps que quelque chose se tramait.
Et pour finir, le petit dernier Michael-jack Stum. Il devait avoir un problème de naissance aux... heum heum, car il arrête pas de se les toucher et il a une voix super aigüe. Et en temps que petit dernier, il était le petit préféré de notre mère. Il a toujours été un peu mal dans sa peau et a fait beaucoup de chirurgie pour y arranger . Avec sa voix aigüe et ses pas de danse ambitieux, il faisait une musique unique lui ressemblant.
Notre mère avait fait du bon travail avec nous, car cinq enfants qui n'ont pas le même père, c'est pas du gâteau. En même temps, elle l'avait cherché, elle n'avait cas pas avoir autant d'amants et utiliser des moyens de contraception.
Mais, elle s'est bien démerdé avec nous, et en plus, elle avait la chance d’être une ancienne musicienne professionnelle spécialisée dans la harpe, ce qui l'a beaucoup aidé pour nous éduquer. Vous ne voyez pas comment ? C'est simple. Dès qu'elle commençait à jouer de la harpe, ça nous calmait et si elle continuait, on s'endormait. C'est d’ailleurs comme cela qu'elle rata sa carrière de joueuse de harpe en endormant tout son publique lors de ses premiers concerts.
Désolé, je m'éloigne du sujet : moi.
Donc, je reprend. Dans ma famille, lorsqu'on atteint l'âge de cinq ans, il y a une tradition qui veut que l'on choisisse un style de musique et un instrument. On doit alors en jouer et si ça ne marche pas bien, on change jusqu'à ce que l'on trouve ce qui nous va le mieux.
Mais contrairement à mon frère et ma sœur qui eux aimaient déjà un style de musique et une super voix avant de passer cette épreuve, moi je n'aimais aucune chanson en particulier et pour tout dire, je possédais une voix de merde. Et après avoir essayé tous les instruments que nous possédions, ma mère qui était le juge de cette épreuve a opté pour une autre tactique. Il fallait selon elle que je trouve quelle musique j'aimais pour que je puisse en jouer. C'est pour cela que nous somme aller voir ben l'oncle Stum, mon grand-père. Ouais je sais, c'est bizarre son truc d'oncle alors que c'est mon grand-père. Mais bon, c'est comme ça.
Bref, ben l'oncle Stum aimait ne rien mettre au ordure. Du coups, il gardait presque tout, et surtout l'héritage de nos ancêtres. Une fois que l'on a expliqué mon problème à ben, il nous a sorti une grosse malle pleine de auto-diale. Chacun possédait un album qui à été enregistré par l'un de mes ancêtres.
Après avoir farfouillé dans la malle durant une heure, j'ai trouvé un album qui me plaisait. Dessus, il était inscrit la fièvre du jeudi soir. Les musiques que l'album contenait étaient pleines de vie, de joie, de bonne humeur et d'énergie. Ben m'explica que s'était du disco et que cet album était celui de son père qui était allé chercher son inspiration sur gran line. Mais, il n'est jamais revenu, ce dernier avait envoyé a ben une lettre contenant une vive carte et une lettre disant que si il lui arrivait malheur, cette carte mènerait ben au trésors de son père. Hélas, ce dernier n'a pas osé partir à l'aventure.
Après avoir remonté le moral de ben et choisit quelle musique je souhaitais faire plus tard, ma mère me reproposa de passer l'épreuve. Cependant, un seul instrument s'offrait à moi : la voix. Car nous ne possédions aucun instrument pour faire du disco.
Malheureusement, l’expérience fut peu concluante. Ma voix est bien trop grave pour faire du disco et je n'ai pas réussis à passer l'épreuve.
À ce moment là, je pensais que je n'avais pas réussi à passer l'épreuve car je possédais pas le bon instrument. Je me mis alors à la recherche d'un instrument de disco, mais ces derniers était le plus souvent rares et chers, même ceux d'occasion. Et je n'avais pas les moyens de les acheter. J'ai donc décidé de construire un instrument de disco.
Pendant deux ans, j’ai essayé en secret de construire des instruments de disco dans le grenier de notre maison. Mais, ne savant pas vraiment pas à quoi ressemblait un instrument de disco, je n'ai pas été capable de créer un instrument convenable.
Puis, Mickael-jack a passé l'épreuve traditionnelle des Stum haut la main. Et le talent de mon plus petit frère a donné envie à ma mère de créer un groupe de musique itinérant appelé "les Jackstumfive" en l’honneur du petit chouchou. Et ne vous méprenez pas, le cinquième stum, c'était pas moi dans l'idée, c'était ma mère qui jouait le rôle de musicienne.
Mais ce n'est pas tout, qui dit groupe de musique itinérant, dit déménagement. Et c'est ainsi que ma mère découvrit mon talent pour la bricole.
Elle mit donc mon talent à profit pour le groupe en me demandant de m'occuper des lumières, du son, de la scène, et quelques fois des chœurs.
C'est ainsi que j'ai commencé à travailler en tant qu'ingénieur. Au début, ce n'était pas très simple. J'ai du trouver de la documentation pour savoir comment construire des projecteurs, des micros, des emplies, ou encore juste pour faire une scène que l'on peut facilement déplacer et installer.
Mais, j'ai eut la chance de pouvoir conter sur mes frères et ma sœur pour me filer un coup de main en dehors de leurs heures de répétition. Ils m'aidaient tous, sauf Mickael-jack qui me voyait comme un raté. En même temps, ils avaient pas le choix, tant que la scène, les micro et les amplis n'étaient pas près, ils ne pouvaient pas monter sur scène.
Et en deux mois, la scène, les amplis, et les micros étaient près. Bon, ce n'était pas du super bon travail, mais c'était mieux que rien.
Par la suite, on a commencé à faire notre tourné. Pour moi, ça signifiait que je devais entretenir le matériel, mais surtout l’améliorer, ou inventer de nouveaux objets qui permettraient de perfectionner le show.
Pendant neuf ans, j'ai travaillé sur le spectacle et le soir lorsque je rentrais dans ma loge, j’écoutais et je dansais sur du disco. Mais, je n'avais pas le droit d'assumer mon style disco en publique, pas le droit aux pattes d'eph ou à la coupe afro, parce qu'il parait que ça ne fait pas très professionnel.
Puis lorsque j'ai eut seize ans, ma mère ma demandé de jouer le rôle de videur tout en continuant. Car ben l'oncle Stum était un peu trop vieux pour cet emploi et que le bricolage et le disco m'a bien musclé. C'est ainsi que j'ai appris à me battre et à utiliser mes deux pistolets.
D'un autre coté, mon travail me laissait du temps libre, ce qui me permettait de me balader en ville et de voir les tendances musicales du moment. Et je fus surpris que peu de personne connaissait le disco et que encore moins de personne ne savait le danser.
Je ne comprenais pas. Pourquoi presque personne ne connaissait le disco ? Pourquoi ceux qui le connaissent ne souhaitaient pas le danser ?
Il fallait que je fasse quelque chose, le disco mérite d'être connu autant que les autres musiques.
Il le faut, le monde mérite de connaître le disco.
C'est ainsi que je créa moi même un spectacle de disco dans la rue, mais tout ne se passa pas comme je l'avais souhaité. La plupart des gens s'en fichait, d'autres se demandaient ce que je faisais et la foule se mit à m'ignorer. En même temps, c'est dur d’être convainquant lorsque l'on a pas d'ampli, de lumière, ou de vrai scène.
Il me fallait quelque chose de mieux, de plus grand et de plus voyant. Et c'est ainsi que j'ai eut l'idée de participer au spectacle de mes frères et sœurs sans leur autorisation,évidement.
Vu que j’organisais le spectacle, je m'étais approprié cinq minutes au milieu du show qui me suffisaient pour faire une chorégraphie sur Night fever, ma musique préférée.
J'ai fait passer ce moment pour un entracte à mes frères et sœurs .
Et ce fut le jour J. Et mon tour de passer devant le publique. Mais la réaction de ce dernier fut étrange. Une partie du publique n'avait pas réagit, une autre m'avais applaudit, une autre m'avais hué, une autre avait commencé à se déhancher.
Une partie de la foule avait aimée, c'était ce qui n’importais le plus.
Mais ça n'a pas plus à ma mère qui a fait en sorte que je ne recommence plus jamais en me subtilisant mon auto-dial de la fièvre du jeudi soir. De cette manière, je n'avais plus de musique, donc plus rien sur quoi danser.
Voyant mon acte idiot mais courageux, ben l'oncle stum me donna la vive carte de son père en prétendant que mon amour du disco allait me mener loin, il me donna aussi des magazines de disco.
J'ai continué à travailler pour le groupe pendant quatre ans sans trop d'entrain. C'est alors qu'il y a la chose qui ma rendu celebre...
La chose qui m'a permit de devenir célèbre et de faire connaître le disco au monde entier s'est ...
Barry stum whyte : hé, hé petit frère ! Réveille toi !
Hum, barry tu fais chier. J'allais apprendre comment être célèbre.
Ha ! Toujours le même rêve avec les jolies présentatrices qui sont folles de toi. Tu changeras jamais.
Bref, je t'ai pas réveillé pour ça. Sache que maman a trouvé un emploi très bien payé.
Elle a obtenu l’emploi pour endormir le milliardaire dingue de café tous les soirs ?
Hé ouais, grâce à son talent pour la harpe. Du coup, elle a décidé de dissoudre le groupe. D’ailleurs Michael-jack est parti dès qu'il l'a su. Il a dit que la célébrité l’attendait et que l'ont faisait que le ralentir.
Et Beyon prépare ces affaires, elle aussi pense qu'elle réussira plus en solo.
Jimmyhend quand à lui cherche des gens en ville pour créer un groupe de musique rock.
Donc il reste toi et moi c'est ça ?
Nan. En fait je pensais moi aussi partir. Tu sais, sur la dernière île que nous avions visité il y avait un café où on m'a proposé un emploi de soul man.
Ha, et bien tant mieux pour toi. Moi, je vais profiter de l'occasion pour récupéré mon auto-dial. Puis j'irais voir oncle ben, voir comment il prend la nouvelle.
Après, avoir retrouver l'album de la fièvre du jeudi soir et tout raconté à oncle ben.
Oncle ben : tu ne m'apprends rien. Tes frères et ta sœur sont déjà passés avant. Certain pour me dire au-revoir, d'autres pour me dire qu'ils souhaitent partir à tout jamais. Moi je vais retourner m'installer sur Logue town. Et toi mon grand, que vas-tu faire ?
He bien, je sais pas trop.
Maintenant que tu n'as plus d’attache, c'est simple. Fait ce que tu aimes le plus ?
Ce que j'aime le plus, c'est le disco... Je sais, je vais faire comme les autres. Je vais devenir célèbre avec ma musique.
Par la même occasion, essaye de trouver le trésor de mon père avec la vive carte que je t'ai donnée.
De toute manière, je n'ai rien à perdre. Bon, à une prochaine fois !
Et c'est ainsi que notre héro commença sa route vers la célébrité.
Comment n'importe qui peut devenir ce que je suis ? Vous vous fichez de moi, je ne suis pas n'importe qui, je suis Disco Stum. Je viens de la famille Stum qui engendre que des artistes de la musique. Ce qui veut dire que n'importe quel enfant de la famille Stum sait jouer de la musique, chanter et danser . Et tout ce que j'ai vécus à fait de moi un artiste écouté partout dans le monde
Mon vrai nom est Torik, Torik Stum je suis né dans une famille un peu spéciale.
En effet, ma famille proche était composée de ma mère Maria Stum, de mon grand-père Ben l'oncle Stum qui préfère qu'on l'appel oncle car ça fait moins vieux. Et pour finir, mes quatre frères et sœurs et moi.
Parmi mes frères et sœurs, il y a : Barry stum-whyte, le plus âgé d'entre nous. Il était le seul a avoir connu son père parmi les autres enfants, il en a même gardé une partie de son nom. Il possédait un corps bien carré, un peu enrobé et un belle voix grave qui faisait de lui un chanteur de soul hors-pair.
Ensuite, il y avait Beyon Stum. Une belle fille assez grande avec un sacré organe et un tallent certain pour la danse. Elle a décidé de faire du R&B pour mélanger divers styles musicaux qui plairaient à tous le monde.
Puis, il y avait moi, le grand, le beau, le magnifique Torik Stum alias disco Stum. On prétend même que je suis né avec une coupe afro. Je n'avais aucun don pour le chant ou pour jouer de n'importe quel instrument, mais je savais quand même bien danser, et pour l'instant à ce moment de l’histoire, je n'aimais aucune musique en particulier.
Ensuite, il y a Jimmyand stum, c'est mon premier petit frère. Il est un peu comme moi au niveau physique, à peu prés de la même taille et avec la même coupe de cheveux. C'est un excellent guitariste et un chanteur de rock pas trop mauvais. Par contre, il avait la fâcheuse habitude de nous attirer des ennuies car il détestait le gouvernement, il supposait tout le temps que quelque chose se tramait.
Et pour finir, le petit dernier Michael-jack Stum. Il devait avoir un problème de naissance aux... heum heum, car il arrête pas de se les toucher et il a une voix super aigüe. Et en temps que petit dernier, il était le petit préféré de notre mère. Il a toujours été un peu mal dans sa peau et a fait beaucoup de chirurgie pour y arranger . Avec sa voix aigüe et ses pas de danse ambitieux, il faisait une musique unique lui ressemblant.
Notre mère avait fait du bon travail avec nous, car cinq enfants qui n'ont pas le même père, c'est pas du gâteau. En même temps, elle l'avait cherché, elle n'avait cas pas avoir autant d'amants et utiliser des moyens de contraception.
Mais, elle s'est bien démerdé avec nous, et en plus, elle avait la chance d’être une ancienne musicienne professionnelle spécialisée dans la harpe, ce qui l'a beaucoup aidé pour nous éduquer. Vous ne voyez pas comment ? C'est simple. Dès qu'elle commençait à jouer de la harpe, ça nous calmait et si elle continuait, on s'endormait. C'est d’ailleurs comme cela qu'elle rata sa carrière de joueuse de harpe en endormant tout son publique lors de ses premiers concerts.
Désolé, je m'éloigne du sujet : moi.
Donc, je reprend. Dans ma famille, lorsqu'on atteint l'âge de cinq ans, il y a une tradition qui veut que l'on choisisse un style de musique et un instrument. On doit alors en jouer et si ça ne marche pas bien, on change jusqu'à ce que l'on trouve ce qui nous va le mieux.
Mais contrairement à mon frère et ma sœur qui eux aimaient déjà un style de musique et une super voix avant de passer cette épreuve, moi je n'aimais aucune chanson en particulier et pour tout dire, je possédais une voix de merde. Et après avoir essayé tous les instruments que nous possédions, ma mère qui était le juge de cette épreuve a opté pour une autre tactique. Il fallait selon elle que je trouve quelle musique j'aimais pour que je puisse en jouer. C'est pour cela que nous somme aller voir ben l'oncle Stum, mon grand-père. Ouais je sais, c'est bizarre son truc d'oncle alors que c'est mon grand-père. Mais bon, c'est comme ça.
Bref, ben l'oncle Stum aimait ne rien mettre au ordure. Du coups, il gardait presque tout, et surtout l'héritage de nos ancêtres. Une fois que l'on a expliqué mon problème à ben, il nous a sorti une grosse malle pleine de auto-diale. Chacun possédait un album qui à été enregistré par l'un de mes ancêtres.
Après avoir farfouillé dans la malle durant une heure, j'ai trouvé un album qui me plaisait. Dessus, il était inscrit la fièvre du jeudi soir. Les musiques que l'album contenait étaient pleines de vie, de joie, de bonne humeur et d'énergie. Ben m'explica que s'était du disco et que cet album était celui de son père qui était allé chercher son inspiration sur gran line. Mais, il n'est jamais revenu, ce dernier avait envoyé a ben une lettre contenant une vive carte et une lettre disant que si il lui arrivait malheur, cette carte mènerait ben au trésors de son père. Hélas, ce dernier n'a pas osé partir à l'aventure.
Après avoir remonté le moral de ben et choisit quelle musique je souhaitais faire plus tard, ma mère me reproposa de passer l'épreuve. Cependant, un seul instrument s'offrait à moi : la voix. Car nous ne possédions aucun instrument pour faire du disco.
Malheureusement, l’expérience fut peu concluante. Ma voix est bien trop grave pour faire du disco et je n'ai pas réussis à passer l'épreuve.
À ce moment là, je pensais que je n'avais pas réussi à passer l'épreuve car je possédais pas le bon instrument. Je me mis alors à la recherche d'un instrument de disco, mais ces derniers était le plus souvent rares et chers, même ceux d'occasion. Et je n'avais pas les moyens de les acheter. J'ai donc décidé de construire un instrument de disco.
Pendant deux ans, j’ai essayé en secret de construire des instruments de disco dans le grenier de notre maison. Mais, ne savant pas vraiment pas à quoi ressemblait un instrument de disco, je n'ai pas été capable de créer un instrument convenable.
Puis, Mickael-jack a passé l'épreuve traditionnelle des Stum haut la main. Et le talent de mon plus petit frère a donné envie à ma mère de créer un groupe de musique itinérant appelé "les Jackstumfive" en l’honneur du petit chouchou. Et ne vous méprenez pas, le cinquième stum, c'était pas moi dans l'idée, c'était ma mère qui jouait le rôle de musicienne.
Mais ce n'est pas tout, qui dit groupe de musique itinérant, dit déménagement. Et c'est ainsi que ma mère découvrit mon talent pour la bricole.
Elle mit donc mon talent à profit pour le groupe en me demandant de m'occuper des lumières, du son, de la scène, et quelques fois des chœurs.
C'est ainsi que j'ai commencé à travailler en tant qu'ingénieur. Au début, ce n'était pas très simple. J'ai du trouver de la documentation pour savoir comment construire des projecteurs, des micros, des emplies, ou encore juste pour faire une scène que l'on peut facilement déplacer et installer.
Mais, j'ai eut la chance de pouvoir conter sur mes frères et ma sœur pour me filer un coup de main en dehors de leurs heures de répétition. Ils m'aidaient tous, sauf Mickael-jack qui me voyait comme un raté. En même temps, ils avaient pas le choix, tant que la scène, les micro et les amplis n'étaient pas près, ils ne pouvaient pas monter sur scène.
Et en deux mois, la scène, les amplis, et les micros étaient près. Bon, ce n'était pas du super bon travail, mais c'était mieux que rien.
Par la suite, on a commencé à faire notre tourné. Pour moi, ça signifiait que je devais entretenir le matériel, mais surtout l’améliorer, ou inventer de nouveaux objets qui permettraient de perfectionner le show.
Pendant neuf ans, j'ai travaillé sur le spectacle et le soir lorsque je rentrais dans ma loge, j’écoutais et je dansais sur du disco. Mais, je n'avais pas le droit d'assumer mon style disco en publique, pas le droit aux pattes d'eph ou à la coupe afro, parce qu'il parait que ça ne fait pas très professionnel.
Puis lorsque j'ai eut seize ans, ma mère ma demandé de jouer le rôle de videur tout en continuant. Car ben l'oncle Stum était un peu trop vieux pour cet emploi et que le bricolage et le disco m'a bien musclé. C'est ainsi que j'ai appris à me battre et à utiliser mes deux pistolets.
D'un autre coté, mon travail me laissait du temps libre, ce qui me permettait de me balader en ville et de voir les tendances musicales du moment. Et je fus surpris que peu de personne connaissait le disco et que encore moins de personne ne savait le danser.
Je ne comprenais pas. Pourquoi presque personne ne connaissait le disco ? Pourquoi ceux qui le connaissent ne souhaitaient pas le danser ?
Il fallait que je fasse quelque chose, le disco mérite d'être connu autant que les autres musiques.
Il le faut, le monde mérite de connaître le disco.
C'est ainsi que je créa moi même un spectacle de disco dans la rue, mais tout ne se passa pas comme je l'avais souhaité. La plupart des gens s'en fichait, d'autres se demandaient ce que je faisais et la foule se mit à m'ignorer. En même temps, c'est dur d’être convainquant lorsque l'on a pas d'ampli, de lumière, ou de vrai scène.
Il me fallait quelque chose de mieux, de plus grand et de plus voyant. Et c'est ainsi que j'ai eut l'idée de participer au spectacle de mes frères et sœurs sans leur autorisation,évidement.
Vu que j’organisais le spectacle, je m'étais approprié cinq minutes au milieu du show qui me suffisaient pour faire une chorégraphie sur Night fever, ma musique préférée.
J'ai fait passer ce moment pour un entracte à mes frères et sœurs .
Et ce fut le jour J. Et mon tour de passer devant le publique. Mais la réaction de ce dernier fut étrange. Une partie du publique n'avait pas réagit, une autre m'avais applaudit, une autre m'avais hué, une autre avait commencé à se déhancher.
Une partie de la foule avait aimée, c'était ce qui n’importais le plus.
Mais ça n'a pas plus à ma mère qui a fait en sorte que je ne recommence plus jamais en me subtilisant mon auto-dial de la fièvre du jeudi soir. De cette manière, je n'avais plus de musique, donc plus rien sur quoi danser.
Voyant mon acte idiot mais courageux, ben l'oncle stum me donna la vive carte de son père en prétendant que mon amour du disco allait me mener loin, il me donna aussi des magazines de disco.
J'ai continué à travailler pour le groupe pendant quatre ans sans trop d'entrain. C'est alors qu'il y a la chose qui ma rendu celebre...
La chose qui m'a permit de devenir célèbre et de faire connaître le disco au monde entier s'est ...
Barry stum whyte : hé, hé petit frère ! Réveille toi !
Hum, barry tu fais chier. J'allais apprendre comment être célèbre.
Ha ! Toujours le même rêve avec les jolies présentatrices qui sont folles de toi. Tu changeras jamais.
Bref, je t'ai pas réveillé pour ça. Sache que maman a trouvé un emploi très bien payé.
Elle a obtenu l’emploi pour endormir le milliardaire dingue de café tous les soirs ?
Hé ouais, grâce à son talent pour la harpe. Du coup, elle a décidé de dissoudre le groupe. D’ailleurs Michael-jack est parti dès qu'il l'a su. Il a dit que la célébrité l’attendait et que l'ont faisait que le ralentir.
Et Beyon prépare ces affaires, elle aussi pense qu'elle réussira plus en solo.
Jimmyhend quand à lui cherche des gens en ville pour créer un groupe de musique rock.
Donc il reste toi et moi c'est ça ?
Nan. En fait je pensais moi aussi partir. Tu sais, sur la dernière île que nous avions visité il y avait un café où on m'a proposé un emploi de soul man.
Ha, et bien tant mieux pour toi. Moi, je vais profiter de l'occasion pour récupéré mon auto-dial. Puis j'irais voir oncle ben, voir comment il prend la nouvelle.
Après, avoir retrouver l'album de la fièvre du jeudi soir et tout raconté à oncle ben.
Oncle ben : tu ne m'apprends rien. Tes frères et ta sœur sont déjà passés avant. Certain pour me dire au-revoir, d'autres pour me dire qu'ils souhaitent partir à tout jamais. Moi je vais retourner m'installer sur Logue town. Et toi mon grand, que vas-tu faire ?
He bien, je sais pas trop.
Maintenant que tu n'as plus d’attache, c'est simple. Fait ce que tu aimes le plus ?
Ce que j'aime le plus, c'est le disco... Je sais, je vais faire comme les autres. Je vais devenir célèbre avec ma musique.
Par la même occasion, essaye de trouver le trésor de mon père avec la vive carte que je t'ai donnée.
De toute manière, je n'ai rien à perdre. Bon, à une prochaine fois !
Et c'est ainsi que notre héro commença sa route vers la célébrité.
>> Test RP
Haaa, finalement, ça fait du bien d’être libéré de sa famille et d'avoir personne sur le dos.
Mais maintenant, je suis au chômage et je vais pas survivre bien longtemps si je n’ai pas un peu d'argent dans mes poches. Bon alors, que pourrais-je faire ? Humm... Ha ! je sais ! Je vais organiser un spectacle de rue. C'est vrai les plus grands artistes sont tous commencé par là. Et ça permet de gagner de l'argent, mais aussi de devenir plus populaire, ainsi que de faire connaître son style musical. Bon, la première fois que je l'ai fait, ce n'était pas une réussite. Mais, cette fois, j'ai l’expérience du publique et en plus il me reste un petit ampli portatif que j'avais gardé de mon ancien spectacle.
Bon maintenant, où vais je m'installer. La grande place est déjà occupée par plusieurs clochards, trois chanteurs et deux jongleurs. Elle n’a pas besoin d'un danseur en plus, donc, je vais aller sur la place de l'église qui est tout de même un bon lieu de passage, sans les clochards et la concurrence.
Bon maintenant, j’installe mon auto-dials sur mon ampli, je dépose un chapeau que j'ai piqué à un mec à qui ça n'allait pas ; pour que le publique puisse me récompenser. Je pose ma veste en cachant dessous mes pistolets au cas où. Et voilà. je crois que tout est bon je vais pouvoir commencer mon show.
Je met en route la musique night fever, et je commence mon incroyable chorégraphie.
Après une dizaine de minute de danse, il y avait encore personne qui s'intéressait à ma prestation. Il fallait que je fasse mieux, je pensait qu'en gardant une partie de ma force, je pouvais tenir toute la journée, mais si je ne me donne pas à fond, je n’attirais personne.
Alors c'est partie pour l’enchaînement de l'amour, on commence par le moulinet de l'amour, puis le houla-op, et puis le boogy dance, et on finit avec un salto ou j'atterris en grand écart.
Ha, ça a son effet, des spectateurs viennent de s’arrêter auprès de moi. Il faut que je continue comme ça, le publique va apprécier.
Vieux spectateur : Haaa, ça me rappelle quand mon fils était adolescent et qu'il écoutait les Wee-gees et qu'il me demandait d’arrêter Jacques la brelle.
Une vielle spectatrice : C'est vrai que Jacques la brelle, c'est bien mieux que leur disco. Mais je préférais Piaf ou encore France la galle, c'était le bon temps ça et les bals musettes.
BLAM !
Aïe ! Comment ont-ils osés dire ça durant ma chorégraphie ! Ça ma fait perdre mon rythme. Bon, c'est pas grave, ce n'est qu'une petite chute.
Mais c'est quoi se bordel ! Pourquoi il n'y a que des vieux autour de moi. Rhaa, je fais de la merde, il ne faut pas que je prête attention à eux. Concentre-toi, concentre-toi.
Bon ça va, je commence à les oublier.
Tiens ! C'est quoi cette musique au loin ? Humm, elle se rapproche rapidement. Mais qu'est-ce que c'est ? Ça me paraît brutal, violent un rythme rapide, c'est... c'est du punk rock. Ha ! Pitié ! Faites que ce soit pas un groupe de punk. Ça fait fuir tout le monde.
Ha... la musique se rapproche. Et merde ! J’aperçois plusieurs personnes surmontées d'une crête de couleurs qui arrivent de derrière l’église. La plupart d'entre eux sont armés de planche de bois. J'en reviens pas. Ils possèdent un auto-dials pulse 3000. Cet auto-dials fait la taille d'un sac à dos, il est capable de retenir qu'une seule musique et il produit un bruit sale .
Ha ! C'est foutu tous mes vieux spectateurs vont se barrer c'est sûre. Nan ? Ils ne bougent pas ? Mais ils sont fous ? Ils vont se faire éclater. Pourquoi ne bougent t-ils pas ? Peut être que finalement ils aiment mon spectacle. Si c'est le cas alors je vais continuer rien que pour eux.
Mince, je crois que le rassemblement de vieux les a attiré. Ils se dirigent droit sur nous ! Ils sont dix ! Non quatorze ! Dois-je m’arrêter ? Non il est trop tard, les vieux n'auront pas le temps de fuir si les punk réagissent mal.
Chef des punks : Hé, vieillard pousses toi de là ?
Vieux : De quoi ! Qu'est-ce que tu dis ? Tu veux voir le danseur de disco toi aussi ? Pas la peine de pousser. Il y a de la place pour tous le monde. Ha ces jeunes. Ils veulent toujours tous tout de suite.
Quoi ?! Les vieux étaient restés car ils ne les avaient pas entendu venir ?!
Chef des punks : T'as de la chance que je sois sympa le vieux. Mais qu'est-ce que... Hé les gars venez voir ! Ce type en costard qui danse n'importe comment, et c'est quoi cette musique de merde ?
Autre punk : Il se prend pour un sapin de noël ?! Has been, gros naze !...
Gardes ton calme... Gardes ton calme... Ils sont trop nombreux et les vieux ont pas l'air de vouloir bouger et mes flingues sont trop loin si ça par en live.
Chef des punks : Hé Jamie ! Chopes ça et essais de l’arrêter de beugler.
Merde, mais c'est mon auto-dials qu'il vient de balancer. Vite ! Il faut que je l'attrape, c'est fragile ces choses là. Aller, je vais l'avoir. Nan ! Il me manque que quelques centimètres. Je, je, je l'ais raté, où est t-il ?
Là ! Il est dans la main d'un grand type, d'un très grand type qui a l'air balèze. Il est tout habillé en cuire clouté. Mais qu'est ce qu'il fait, il le tâte dans tous les sens.
Jamie (le grand punk) : Hé Jason ! J'arrive pas à l’arrêter. Je le casse ?
Une vielle bourgeoise : Jason ? Jamie ?
Jason Le chef : Ouais va s’y. J'en est marre de la musique de ce has been.
Nan, il ne faut pas qu'il le casse. Il faut que j'agisse vite. Pas le temps de réfléchir. J'envoie un crochet du droit avec toutes les forces que je possède dans ses abdos.
Je l'ai eut... Mais il n'a pas bougé... Hhhhaaaaa merde. Ma main ! Mais qu'est-ce que ?! J'ai mal mais comment ça se fait ? Pourquoi j'ai mal à la main ? Pourtant c'est moi qui l'ait frappé. Lui il n'a pas bougé. C'est horrible ! J'ai l'impression de m'être planté des clous dans mon poing. Des clous ? Mais quel con je suis. Si je frappe dans une veste cloutée, c'est sûre que je vais me faire mal.
Note a benêt : ne plus frapper dans des habilles cloutés.
Mais attend ! Depuis tout à l'heure je suis dans mes pensées. Mais je ne prête plus attention à mon adversaire. Qu'est qu'il fait d'ailleurs ?
Bon je rouvre les yeux et je lève la tête. Ho ! Ho ! Sa gauche est armée. Il va m'en mettre une. Baisses la tête, fermes les yeux, serres les dents. Ça va faire mal ! Ça va faire mal ! Hhhiiiiiiii ! Hein ?! C'est quoi ce bordel ? Je n’ai senti qu'une caresse ou plutôt une légère pression sur ma tête. J'ai l'impression que quelqu'un me tire les cheveux. Incroyable ! Ma coupe afro m'a sauvé ! Elle a complètement atténué le coup.
Jamie : Ha ! Laches moi ! J'arrive pas à bouger ! Mon bras est coincé.
Jason le chef : Profites-en !
Hhaaa ! Mais qu'est-ce qu'il fout cet idiot ! Ça fait mal aux cheveux. Ha ! Faut que je l’arrête ! Hyaaa !
Hhhhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaa ! Mais quel idiot ! J'ai encore frappé dans sa veste. Mais que pourrais-je faire ? Mes bras sont même pas assez long pour atteindre son visage. Alors que pourrais-je faire ? Il faut que je récupère mon auto-dials qui est dans son autre main avant qu'il ne le casse. Aller ! Je vais l’avoir du bout des doigts. Je le sens. Aller ! Encore quelques centimètres.
Click
Jason le chef des punks : Hé bien ! C'est ça fait du bien quand ça s’arrête ! Au moins ce type bizarre nous aura été utile.
Hà ! J'ai pas réussi à l'attraper, mais uniquement à l'arrêter ! Il ne reste plus que la musique des punks. Est-ce un mauvais présage ?
Vielle bourgeoise: Ha quelle horreur ! Il ne reste plus que cette musique de brute dégénérée !
Punk : Hé la vielle, de quoi ?! Tu oses traiter la bande de Jason Merne.
Vielle bourgeoise : Jason Merne ? Jason Merne espèce de petit salopiot ! Quand je vais dire ça a ma fille ! J’espère qu'elle te privera de sortie et d'argent poche jusqu’à la fin de tes jour.
Jason le chefs des punks : Grand mère ?
Vielle bourgeoise : Et toi le grand dadet tu dois être Jamie Linon ? Le fils des bouchés.
Vielle bourgeoise : Ho ! Et toi le petit tout derrière ! Tu es Thiéry Hick.
Jason le chef des punks : Les gars ! On dégage avant que ces vieux timbrés nous reconnaissent tous !
Incroyable ! En un instant tout s'est inversé. Maintenant c'est les vieux qui mènent la danse. Et dire que je m'inquiétais pour eux. Et maintenant, c'est les punks qui commencent a fuir et les vieux qui les poursuivent.
Mais, aïe mes cheveux ! Mais que ce passe-t-il ?
Jamie : Lâche moi ! Espèce de mouton ! laisse moi fuir en paix
Haaaa ! Je suis encore accroché au poing de la grosse brute. Ça fait mal ! Faut que je trouve un moyen de me détacher. Là ! Un lampadaire ! Je vais l'attraper et ... Hhhhaaaaaaaa ! Mes cheveux ! Cet enfoiré m'en a arraché la moitié. Maintenant j'ai un trou dans ma coupe afro. Bon alors, où suis-je ? Cette brute m'a au moins traînée sur deux cent mètres. Bon, je vais rebrousser le chemin jusqu'à la place de l'église.
Au la chance ! Mon auto-dials ! Il est là ! Intacte au milieu du chemin. Il a du tomber lors de la poursuite et par chance il a rien eut.
Bon, je vais récupérer mes affaires et voir si j'ai gagné un petit peu d'argent aujourd'hui.
Hé ben ! Tous ça pour cent cinquante berrys ! Cette journée n'a pas été très productive. Mais au moins, je pourrais me payer un coup à la taverne pour me consoler.
Mais maintenant, je suis au chômage et je vais pas survivre bien longtemps si je n’ai pas un peu d'argent dans mes poches. Bon alors, que pourrais-je faire ? Humm... Ha ! je sais ! Je vais organiser un spectacle de rue. C'est vrai les plus grands artistes sont tous commencé par là. Et ça permet de gagner de l'argent, mais aussi de devenir plus populaire, ainsi que de faire connaître son style musical. Bon, la première fois que je l'ai fait, ce n'était pas une réussite. Mais, cette fois, j'ai l’expérience du publique et en plus il me reste un petit ampli portatif que j'avais gardé de mon ancien spectacle.
Bon maintenant, où vais je m'installer. La grande place est déjà occupée par plusieurs clochards, trois chanteurs et deux jongleurs. Elle n’a pas besoin d'un danseur en plus, donc, je vais aller sur la place de l'église qui est tout de même un bon lieu de passage, sans les clochards et la concurrence.
Bon maintenant, j’installe mon auto-dials sur mon ampli, je dépose un chapeau que j'ai piqué à un mec à qui ça n'allait pas ; pour que le publique puisse me récompenser. Je pose ma veste en cachant dessous mes pistolets au cas où. Et voilà. je crois que tout est bon je vais pouvoir commencer mon show.
Je met en route la musique night fever, et je commence mon incroyable chorégraphie.
Après une dizaine de minute de danse, il y avait encore personne qui s'intéressait à ma prestation. Il fallait que je fasse mieux, je pensait qu'en gardant une partie de ma force, je pouvais tenir toute la journée, mais si je ne me donne pas à fond, je n’attirais personne.
Alors c'est partie pour l’enchaînement de l'amour, on commence par le moulinet de l'amour, puis le houla-op, et puis le boogy dance, et on finit avec un salto ou j'atterris en grand écart.
Ha, ça a son effet, des spectateurs viennent de s’arrêter auprès de moi. Il faut que je continue comme ça, le publique va apprécier.
Vieux spectateur : Haaa, ça me rappelle quand mon fils était adolescent et qu'il écoutait les Wee-gees et qu'il me demandait d’arrêter Jacques la brelle.
Une vielle spectatrice : C'est vrai que Jacques la brelle, c'est bien mieux que leur disco. Mais je préférais Piaf ou encore France la galle, c'était le bon temps ça et les bals musettes.
BLAM !
Aïe ! Comment ont-ils osés dire ça durant ma chorégraphie ! Ça ma fait perdre mon rythme. Bon, c'est pas grave, ce n'est qu'une petite chute.
Mais c'est quoi se bordel ! Pourquoi il n'y a que des vieux autour de moi. Rhaa, je fais de la merde, il ne faut pas que je prête attention à eux. Concentre-toi, concentre-toi.
Bon ça va, je commence à les oublier.
Tiens ! C'est quoi cette musique au loin ? Humm, elle se rapproche rapidement. Mais qu'est-ce que c'est ? Ça me paraît brutal, violent un rythme rapide, c'est... c'est du punk rock. Ha ! Pitié ! Faites que ce soit pas un groupe de punk. Ça fait fuir tout le monde.
Ha... la musique se rapproche. Et merde ! J’aperçois plusieurs personnes surmontées d'une crête de couleurs qui arrivent de derrière l’église. La plupart d'entre eux sont armés de planche de bois. J'en reviens pas. Ils possèdent un auto-dials pulse 3000. Cet auto-dials fait la taille d'un sac à dos, il est capable de retenir qu'une seule musique et il produit un bruit sale .
Ha ! C'est foutu tous mes vieux spectateurs vont se barrer c'est sûre. Nan ? Ils ne bougent pas ? Mais ils sont fous ? Ils vont se faire éclater. Pourquoi ne bougent t-ils pas ? Peut être que finalement ils aiment mon spectacle. Si c'est le cas alors je vais continuer rien que pour eux.
Mince, je crois que le rassemblement de vieux les a attiré. Ils se dirigent droit sur nous ! Ils sont dix ! Non quatorze ! Dois-je m’arrêter ? Non il est trop tard, les vieux n'auront pas le temps de fuir si les punk réagissent mal.
Chef des punks : Hé, vieillard pousses toi de là ?
Vieux : De quoi ! Qu'est-ce que tu dis ? Tu veux voir le danseur de disco toi aussi ? Pas la peine de pousser. Il y a de la place pour tous le monde. Ha ces jeunes. Ils veulent toujours tous tout de suite.
Quoi ?! Les vieux étaient restés car ils ne les avaient pas entendu venir ?!
Chef des punks : T'as de la chance que je sois sympa le vieux. Mais qu'est-ce que... Hé les gars venez voir ! Ce type en costard qui danse n'importe comment, et c'est quoi cette musique de merde ?
Autre punk : Il se prend pour un sapin de noël ?! Has been, gros naze !...
Gardes ton calme... Gardes ton calme... Ils sont trop nombreux et les vieux ont pas l'air de vouloir bouger et mes flingues sont trop loin si ça par en live.
Chef des punks : Hé Jamie ! Chopes ça et essais de l’arrêter de beugler.
Merde, mais c'est mon auto-dials qu'il vient de balancer. Vite ! Il faut que je l'attrape, c'est fragile ces choses là. Aller, je vais l'avoir. Nan ! Il me manque que quelques centimètres. Je, je, je l'ais raté, où est t-il ?
Là ! Il est dans la main d'un grand type, d'un très grand type qui a l'air balèze. Il est tout habillé en cuire clouté. Mais qu'est ce qu'il fait, il le tâte dans tous les sens.
Jamie (le grand punk) : Hé Jason ! J'arrive pas à l’arrêter. Je le casse ?
Une vielle bourgeoise : Jason ? Jamie ?
Jason Le chef : Ouais va s’y. J'en est marre de la musique de ce has been.
Nan, il ne faut pas qu'il le casse. Il faut que j'agisse vite. Pas le temps de réfléchir. J'envoie un crochet du droit avec toutes les forces que je possède dans ses abdos.
Je l'ai eut... Mais il n'a pas bougé... Hhhhaaaaa merde. Ma main ! Mais qu'est-ce que ?! J'ai mal mais comment ça se fait ? Pourquoi j'ai mal à la main ? Pourtant c'est moi qui l'ait frappé. Lui il n'a pas bougé. C'est horrible ! J'ai l'impression de m'être planté des clous dans mon poing. Des clous ? Mais quel con je suis. Si je frappe dans une veste cloutée, c'est sûre que je vais me faire mal.
Note a benêt : ne plus frapper dans des habilles cloutés.
Mais attend ! Depuis tout à l'heure je suis dans mes pensées. Mais je ne prête plus attention à mon adversaire. Qu'est qu'il fait d'ailleurs ?
Bon je rouvre les yeux et je lève la tête. Ho ! Ho ! Sa gauche est armée. Il va m'en mettre une. Baisses la tête, fermes les yeux, serres les dents. Ça va faire mal ! Ça va faire mal ! Hhhiiiiiiii ! Hein ?! C'est quoi ce bordel ? Je n’ai senti qu'une caresse ou plutôt une légère pression sur ma tête. J'ai l'impression que quelqu'un me tire les cheveux. Incroyable ! Ma coupe afro m'a sauvé ! Elle a complètement atténué le coup.
Jamie : Ha ! Laches moi ! J'arrive pas à bouger ! Mon bras est coincé.
Jason le chef : Profites-en !
Hhaaa ! Mais qu'est-ce qu'il fout cet idiot ! Ça fait mal aux cheveux. Ha ! Faut que je l’arrête ! Hyaaa !
Hhhhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaa ! Mais quel idiot ! J'ai encore frappé dans sa veste. Mais que pourrais-je faire ? Mes bras sont même pas assez long pour atteindre son visage. Alors que pourrais-je faire ? Il faut que je récupère mon auto-dials qui est dans son autre main avant qu'il ne le casse. Aller ! Je vais l’avoir du bout des doigts. Je le sens. Aller ! Encore quelques centimètres.
Click
Jason le chef des punks : Hé bien ! C'est ça fait du bien quand ça s’arrête ! Au moins ce type bizarre nous aura été utile.
Hà ! J'ai pas réussi à l'attraper, mais uniquement à l'arrêter ! Il ne reste plus que la musique des punks. Est-ce un mauvais présage ?
Vielle bourgeoise: Ha quelle horreur ! Il ne reste plus que cette musique de brute dégénérée !
Punk : Hé la vielle, de quoi ?! Tu oses traiter la bande de Jason Merne.
Vielle bourgeoise : Jason Merne ? Jason Merne espèce de petit salopiot ! Quand je vais dire ça a ma fille ! J’espère qu'elle te privera de sortie et d'argent poche jusqu’à la fin de tes jour.
Jason le chefs des punks : Grand mère ?
Vielle bourgeoise : Et toi le grand dadet tu dois être Jamie Linon ? Le fils des bouchés.
Vielle bourgeoise : Ho ! Et toi le petit tout derrière ! Tu es Thiéry Hick.
Jason le chef des punks : Les gars ! On dégage avant que ces vieux timbrés nous reconnaissent tous !
Incroyable ! En un instant tout s'est inversé. Maintenant c'est les vieux qui mènent la danse. Et dire que je m'inquiétais pour eux. Et maintenant, c'est les punks qui commencent a fuir et les vieux qui les poursuivent.
Mais, aïe mes cheveux ! Mais que ce passe-t-il ?
Jamie : Lâche moi ! Espèce de mouton ! laisse moi fuir en paix
Haaaa ! Je suis encore accroché au poing de la grosse brute. Ça fait mal ! Faut que je trouve un moyen de me détacher. Là ! Un lampadaire ! Je vais l'attraper et ... Hhhhaaaaaaaa ! Mes cheveux ! Cet enfoiré m'en a arraché la moitié. Maintenant j'ai un trou dans ma coupe afro. Bon alors, où suis-je ? Cette brute m'a au moins traînée sur deux cent mètres. Bon, je vais rebrousser le chemin jusqu'à la place de l'église.
Au la chance ! Mon auto-dials ! Il est là ! Intacte au milieu du chemin. Il a du tomber lors de la poursuite et par chance il a rien eut.
Bon, je vais récupérer mes affaires et voir si j'ai gagné un petit peu d'argent aujourd'hui.
Hé ben ! Tous ça pour cent cinquante berrys ! Cette journée n'a pas été très productive. Mais au moins, je pourrais me payer un coup à la taverne pour me consoler.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
[justify]Informations IRL
Prénom :Franck
Age :20
Aime :manger, la pêche et les mangas et le week-end et les jours férie
N'aime pas : les plats trop épicé
Personnage préféré de One Piece : égalité entre Ussop et Franky
Caractère : je suis passionné par le monde aquatique, j'ai une bonne imagination et je pars facilement en live, mais je suis pas très bon en français. voili voilou.
Fait du RP depuis :jamais.
Disponibilité approximative : une heure par jour ou tout les deux jour peut être plus le week-end.
Comment avez-vous connu le forum: le hasard fait bien les choses.
Dernière édition par Torik lorio le Sam 31 Mai 2014 - 8:22, édité 10 fois