Yasmeen Al'Faris: Ze "Rheadshot" [Terminé]

Quelque chose tente d'observer la scène depuis un trou fraichement creusé:

|Yasmeen Al'Faris|

Pseudonyme : YafYaf, Redshot, ma ptite, mon ange, des trucs pervers en général. Age: 25 ans Sexe : Femme (à n'en pas douter) Race : ange (à bien y regarder) Rang : ~Messager du Ciel~ Métier : mercenaire(artilleur)/courrier Groupe : Civil pour commencer. Rentrer dans un camp directement c'est pas bien. Après c'est le roumba des flashback et c'est mal ! Déjà un équipage : Nop. Mais j'compte bien en trouver un rapidement. Vous cherchez un artilleur les gars ? Tentez vot' chance ! But : Livrer le "paquet". Faire le tour du monde. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : On verra...par la suite Équipements : ShokAttakGun Kaya Dial-Boots Codes du règlement (2) : Buggy is the best ... ou pas (m'obligez pas à retrouver exactement le code siouplééé) Parrain : Yuji Livingstone

Hé mec ! Ouai toi ! ’tain te retourne pas, s’t’as toi que j’cause ! Ramène-toi ici ! J’vais pas te manger, poule mouillée va ! J’veux juste causer. S’pas marrant de parler seul et les gens vous regardent bizarrement après haha ! C’est ça l’souci avec moi j’cause de trop. Or si j’commence à penser tout haut y a l’patron qui va croire que chuis déjà saoul et va me foutre à la porte. Ce s’rait pas joyeux hein ? Alors tu t’assieds là et tu m’écoutes, s’tout. Tu peux bien rendre service nan ? J’parie que t’as pas fait ta BA journalière en plus. Et j’t’offre ta boisson ça va ? Allez top là fieu !


Tu sais pourquoi j’viens ici moi ? S’pour les serveuses. Mais naaaaan pas pour mater. Bon ok un ptit peu mais tout l’monde le fait ici. Me r’garde pas comme ça… j’te jure que c’est vrai sur la tête de…heu…qui qu’est encore vivant dans ma famille ? …bah laisse tomber. ‘fait j’te parle d’une serveuse bien précise. Une bonne copine à moi qui arrive toujours à m’faire des prix d’amis. La grande toute à droite, l’doit bien faire un mètre quatre-vingt. Tu vois avec les cheveux rouges ? Elle a deux broches dedans et un ptit crâne stylisé. Avec une écharpe roses et des longues mitaines noires t’vois ? M’enfin t’es bête ou quoi on peut pas la rater ! Elle a les yeux fauves comme on dit. Jaunes quoi. S’bête d’ailleurs : t’as déjà vu un fauve jaune toi ? Hé t’écoutes ? Un peu d’attention ou j’reprends ta bière gotferdec ! T’es pas du genre à r’garder les yeux toi hein ? Et tu te plaignais que j’matais, franchement ! Tu vois que tu la vois bien maintenant. « Vois que tu la vois », haha qu’est-ce chuis drôle haha ! Elle a une zolie veste en cuire mauve avec des flammes rouges, c’est sa préférée. Hein ? Ouai je sais, bien remplie la veste. Heu…je sais pas trop à quoi ça correspond tes chiffres et tes lettres là. Moi j’m’en tiens à « gros ». Hum…dit… on parle bien de la même chose hein ?

Hé remonte un peu les yeux mec elle va te voir. Je sais qu’elle a des jolies bottes blanches mais…hey c’est ses longs bas roses que tu r’gardais ? Nan ? Encore plus haut ? Quoi le short ? Ouai quoi le short ? C’est un ptit short noir avec une ceinture à clou quoi. Rho…me dit pas que tu imaginais co’ ce qu’y avait à l’intérieur ? C’est la bière qui t’fait s’t effet ou quoi ? Nan moi j’essaye d’éviter d’imaginer. S’pas bien d’avoir trop d’imagination quand s’t’une bonne copine qu’est concernée. Elle risque de plus être très copine avec toi si elle te repère tu piges ? Bon c’est bon t’as bien analysé toute son anatomie ça va ? Moi je nous r’prends des bières, causer m’donne soif. J’t’en prend une aussi ouais. Mais t’sais mec elle se balade pas toujours dans s’t'accoutrement. Là s’parce qu’le job demande un peu de classe. D’mon temps elle se baladait tout l’temps en maillot et en short. Woah tes yeux ont ‘achement pétillés dès que j’ai causé de maillot, coquin va haha ! Et pour ta question : ouai, ça en vaut le coup. Bizarre aujourd’hui elle a pas ses lunettes oranges. D’un côté c’est bon signe elle s’en sert que pour tirer. Oui « tirer ». J’t’expliquerai après. Dommage que t'puisse pas voir ses ptites ailes blanches: elle les attache toujours dans le dos pour pas qu'on les voit. T'vois les anges sont pas très bien vus dans l'coin, les gens ont des tas d'idées zarb dessus. Ah j'avais pas dit que s'tait un ange ? J'aurais pourtant juré...



Remets tout d'suite ta main dans ta poche mec elle aime pas les…comment qu’elle dit déjà ? « Visites impromptues » vlà ! Elle aime bien les mots compliqués la ptite. Elle en invente même des nouveaux: t’as déjà entendu le verbe « tilter » ? Ou le mot « fantasmique » ? J’te l’dit une conversation avec elle ça demande du niveau hein. Du niveau de quoi ? Ben t’sais bien…du niveau quoi. Bref. Parmi les trucs auxquels tu touche pas non-plus y a ses flingues et le paquet. Ouai, j’avais dit qu’elle tirait t’souvient ? Pour l’paquet chais pas s’que c’est, l’ai déjà vu une fois s’t’une sorte de boîte noir scellée avec un truc à l’intérieur. Essaye de piquer la boîte ou de l’ouvrir et t’es un homme mort. Elle rigole pas avec ça la ptite ha ça non ! Est-s'qu'y a co' des trucs à éviter...mmmmh...de parler de son ptit crâne ptêt. Naaaan, bakka va ! J'parle du ptit crâne qu'elle a sur le crâne. Tu saisis ? Ouai l'espèce de pin's mais qu'en est pas un. Il appartenait à not' chef à tout les deux. Ouai il est mort. S't'une longue histoire j'te la conterai ptêt après si t'es sage mais laisse moi finir nom de nom. Donc je disais: pas touche au crâne non-plus. Et défense de faire des remarques désobligeantes du genre "elle a besoin de deux crânes pour penser correctement s't'idiote ?" ou "c'est un symbole de criminel ça !". Evidemment t'fais s'que tu veux hein, s'ta vie mais j'taurais prévenu.

'Niveau de s'qu'elle aime...attend que j'me rappel...la bière ça m'aide à m'souvenir mais à partir d'un moment s'l'inverse...faich'...les plans ! Ouai elle adore faire des plans ! Pas genre "Plan A" et "Plan B", plutôt "Plan A-B-C-D" ! Quoique l'part c'est qu'elle se contente pas d'les faire: elle les applique ! Si j'te jure ! Elle nous a souvent sauvé les miches mine de rien avec ses idées tordues. T'as déjà vu quelqu'un rester stoïque devant une charge de Popotozaures roses toi ? Ah ptêt qu'ils étaient pas en rose en fait. Chaipu. 'fin s'tais impressionnant. Genre "même pas peur". A part que là c'est elle qui f'sait peur en ayant l'air d'en avoir rien à foutre. Mais elle sait se marre aussi, ha oui !

D'ailleurs son rire il est EX-CEL-LENT ! Jamais entendu un truc pareil: elle fait une série de "yaf" genre "yafyafyaf !". Pour ça qu'on la surnomme YafYaf. Ça et son nom. Yasmeen Al'Faris: Y A F ça fait Yaf. Niveau ptit copain aucune idée de ses goûts. Sinon me serais arranger pour être avec dans ses ptits papiers arfarfarf ! Ah, viens de "tilter" encore un truc, comme elle dit. Niveau bouffe elle préfère le salé au sucré. M'a déjà expliqué pourquoi mais j'ai zappé. "Zappé"... décidémment elle m'a contaminée avec ses mots à la mord moi l'noeud ! Pour les boissons, et pour autant que j'm'en souvienne elle a pas de préférence elle boit de tout. On dirait même qu'elle est étanche à l'alcool. Chais pas si c'est une question d'habitude ou s'juste qu'elle le...heu chais plus l'mot...intègre pas vlà. Nan pas l'bon...bah t'as compris hein ?


Vous ne suivez pas trop ce que dit votre hôte. Il est sympa de payer les consommations mais il commence à sérieusement vous courir sur le haricot. C’est quoi son problème ? Il est tombé amoureux de la fille et il s’est prit le râteau du siècle ? Boarf au fond vous vous en foutez complètement. Le pire c’est que sa narration devient de plus en plus hachée et vous devenez de plus en plus dur de la comprenette. Mais vous avez trouvez l’astuce : en essayant de coordonner votre consommation d’alcool avec la sienne vous parvenez enfin à vous mettre sur la même longueur d’onde. A part qu’il en change souvent ce boulet, du coup faut vous adapter et…reboire une bière. La pile de verre commence à atteindre des proportions cadra...crata...désastrophiques. D’un point de vue extérieur s’entend, vous vous commencez à être passionné par le récit alors le monde réel pouvait aller se faire voir chez les gras...gros...grues...aller s'faire fout'. Voilà ce que vous avez retenu des délires éthylique de votre nouveau « copain » :

Il y a 3 ans un certain Zark (à moins que ce soit Zak ou Zork ou Zurf) s’est lancé dans l’ambitieux projet de faire le tour du monde en passant par Grandline. Pourquoi ? Par goût du voyage et du défi apparemment. Il s’est composé un petit équipage sans grande envergure et s'est acheté un bateau qui s'apparentait plus à une coquille de noix. Ils partirent à l’aventure comme une bande de touristes téméraires mais au moins ont-ils pensés à prendre des armes, preuve qu’ils n’étaient quand même pas tout à fait inconscients. Quoique…ils ont quand même réussit l’incroyable exploit de passer la Reverse Montaine côte à côte avec un bateau pirate qui n’a pas voulu leur laisser la priorité. Le narrateur explique pendant une heure l’héroïque combat mais vous comprenez vite que le bateau pirate s’est en fait explosé sur une espèce de baleine géante juste à la sortie du canal menant à Redline. Coup de chance fantasmique qui tourna court lorsque le cétacé retourna son énorme affection/affliction vers Zark et détruisit à moitié son propre navire. Evidemment c’était la moitié qui flottait sinon ce ne serait pas drôle. A peine étaient-ils sur Grandline qu’ils se retrouvaient déjà dans des canots à ramer vers la prochaine île. A votre avis ils ont sans doute battu une sorte de record.

Pas désarçonnés pour autant Zark accosta sur Whiskey Peak où il acheta une nouvelle embarcation plus grande que la précédente....et ils se retrouvèrent bêtement sans un berry en poche. Ils devaient vite se trouver un boulot et sur Grandline les plus grandes sources de revenus restes toutes les activités liées à la piraterie. Pas question cependant pour Zark d’arborer un quelconque drapeau noir sur un de ses mats, question de fierté : il fera le tour du monde en homme libre et légalement ou c’est même pas la peine de continuer. Ne restait plus que deux options. La chasse à la prime fut officiellement mise de côté après leur quatrième défaite face à une poignée de pirates armés de fourchettes. Dernière possibilité : le mercenariat. Etonnamment ce travail leur convint beaucoup mieux et ils se firent une petite réputation sur les premières îles de la Première Voie. Ils se renommèrent les Zarkadiens et leur activité leur ramena même de nouveaux compagnons qui leur permirent de survivre jusqu’au Royaume des Sables d’Alabasta. Après une année de galères diverses ils avaient maintenant un splendide bateau hérissé de canons qui faisait leur fierté. Faisait. Et puis il se mit à pleuvoir des anges.

La suite du récit devient plus chaotique que d’habitude. Le nombre de « t’vois » et de « ‘tain » s’accrurent à une vitesse exponentionelle jusqu’à devenir les principaux sujets et verbes des phrases de votre pochard préféré. Résumé du résumé de ses diatribes:

-Yasmeen fait partie des Messagers d’un royaume céleste appelé « Cherry Vearth » (ou un truc du genre)
-Son pays a envoyé quelqu’un au fin fond de Grandline pour travailler sur un projet d'importance capitale
-Pas de chance cette personne a oublié quelque chose en partant
-On fout un paquet dans les bras de Yasmeen
-On met Yasmeen près du vide
-Grand coup d'pied
-Yasmeen tombe sur un certain bateau près d’une certaine île dans une certaine mer...

Probabilité que ce genre de truc arrive sur une des Blue ? Une sur un million. Et sur Grandline ? Ho...environ une sur deux.

L'ange (qui apparemment ne peut voler que verticalement et dans un seul sens) s'écrasa en hurlant sur le noble vaisseau des Zarkadiens et le traversa de part en part. Zak et ses amis venaient de perdre en même temps leur deuxième bateau, leurs économies, leur fierté et la totalité de leur linge sec. Autant dire que sur les plages d'Alabasta ça a pas tardé à chauffer...enfin plus que d'habitude quoi. Le "choc culturel" fut assez intense et tourna rapidement à l'avantage de l'ange-rouge et de ses armes exotiques. Comment ? Aucune idée vous étiez tout perdu à force d'entendre des "et dzing", "et paf", "dans la tronche" et "kaya". Vous avez donc rien compris lorsque l'ange mit finalement fin au combat et passa un accord avec les mercenaires. Enfin passer un accord...elle ne parlait pas la langue et dû s'expliquer par geste. Même son nom dû être trouvé en tatonnant: Yasmine Al'Faris (qui veut grosso modo dire "la fleur qui ne plie jamais" dans le langage d'Alabasta).

Termes de l'accord ? Les Zarkadiens amènent Yasmeen jusqu'à sa destination et en échange elle leur repaye un bateau. Correct non ? Coincés sur l'île les mercenaires trouvèrent cependant du travail à foison dans ce pays en proie à une révolution quasi constante. Yasmeen elle partit de son côté et fit ce qu'elle savait le mieux faire: livrer du courrier. Vu les factions présentes et la faune locale hostile un Messager qui peut rapidement rallier une destination éloignée pouvait se faire pas mal de berry. Mais un bateau ça coûte quand même très cher et elle ne pu rassembler la somme qu'après 6 mois de travail acharné. Anecdote amusante: pendant ce laps de temps elle s'attira les foudres de la plupart des chiens de la région pour une raison inconnue. On aurait dit qu'ils pouvaient pas la sentir et ne perdaient jamais une occasion de lui courir après. Allez comprendre...

Le narrateur commença à piquer du nez. Hé il allait pas s'effondrer maintenant hein ! Vous avez écouté les 3/4 de son histoire c'est pas pour finir frustré ! Un bon coup de pied en dessous de la table le remit un peu d'aplomb. Pour le moment...

Nouveau bateau. Nouvelle équipière. Les Zarkadiens reprirent la mer. Ils ont perdu énormément de temps et le Bout du Monde est encore très loin. Yasmeen commença enfin à pouvoir communiquer avec le reste de l'équipage malgré un vocabulaire exotique dont elle ne pouvait à l'évidence pas se défaire. Prochain arrêt de la fine équipe: Jaya. C'est là qu'ils rencontrèrent leur destin sous la forme de Chasseurs de primes concurrents qui déclenchèrent un combat chaotique dans le port de Mock Town. Les armes et les multiples plans de "Yaf" font un ravage dans les rangs adverses mais finalement leur navire fut la proie des flammes. Le capitaine mourut héroïquement dans la dernière attaque et coula avec son bâtiment. Sans bateau pour la 3e fois de leur périple, un capitaine mort et un équipage épuisé. Triste sort d'une bande de rêveurs qui ont vu bien trop grand. Ils en avaient bien trop bavé. Ils voulaient rentrer chez eux. Mais comment ? Le seul moyen sans avoir à complètement traverser Grandline est par Calmbelt et ses meutes de monstres marins géants. Sauf...

Il y a bien le Knok Up Stream dont on dit qu'il peut emmener des bateaux dans les cieux...lorsqu'il ne les transforme en petits copeaux de bois. En gérant bien la trajectoire peut être qu'ils pouvaient attendre l'une des Blue. L'amerrissage restait problèmatique mais les Zakardiens en avaient marre et n'avaient strictement rien à perdre. A la nuit tombée ils s'infiltrèrent dans un navire marchand et envoyèrent les occupants faire trempette à grand coup de botte dans l'arrière-train. Et encore l'arrière-train c'était si ils avaient de la chance: l'équipage était extrêmement énervé et les "civilités" furent raccourcies au maximum. Ils s'enfuirent dans la nuit avec leur prise, poursuivis les navires des collègues du marchand jusqu'à l'emplacement théorique du "courant vertical". Yasmeen a refusé de quitter le navire: elle allait s'éloigner de son but mais il était hors de question qu'elle abandonne ses camarades alors qu'ils allaient tenter sans doute le truc le plus dingue de le carrière.

Après...difficile à dire. Votre interlocuteur parle d'une explosion, d'un vol plané, d'un bateau qui se démantibule et d'une île qu'ils croisent dans le ciel. Du grand délire. Quoi qu'il en soit ce qui vole doit retomber un jour et ils retombèrent dans South Blue à la limite de Calmbelt. Il y a sûrement un dieu pour les idiots (et il boss dur). Parcontre même une entité éthérée n'a pu pas sauvé le navire. Les Zakardiens s'en foutaient royalement: pour une fois c'est pas le leur qu'ils ont explosé. Divin coup de pouce quand même un navire de la Marine en patrouille les ramassa et les emmena à l'île la plus proche. Fin des Zakardien qui se dispersent après de touchants adieu et blablabla vous connaissez la musique.

Seul restait Yasmeen Al'Faris...qui devait retraverser tout une partie de Grandline une fois encore. Elle chercha à se faire des berrys le plus vite possible pour repartir enfin livrer le paquet qu'on lui avait fourrer dans les pattes. Vous vous dites que l'histoire est un éternel recommencement. Sauf que le 2e essai à l'air encore plus mal barré que le premier.

C'est à ce moment précis que le narrateur s'effondre et roule sous la table. Quelle lopette ! Histoire finie...plus rien à boire...il est temps de rentrer chez vous. Vous prenez votre "copain" par le pied et le sortez dehors prendre l'air. Il a pas encore payé mine de rien ! Vous fouillez ses poches. Rien. Kedal. Nada. Pas un berry. Le patron de l'établissement sortit à son tour et vous toisa avec un air patibulaire: "vous comptez payer ?"
Vous venez de vous faire plumer. Royalement. Quel enfoiré ce type...


ShokAttakGun: énorme fusil fonctionnant à l'énergie électrique fournie par une variante de Lumini-Dial. Dans un mode parallèle on aurait ptêt appeler ça un Railgun mais on est dans le monde réel ici ! Il peut tirer des balles normales, explosives, en caoutchouc ou des arcs électriques purs. Chacune de ces munitions ayant des évidents bons et mauvais côtés. Avantage de l'arme: tir longue porté. Inconvénient: grand et peu maniable, difficile de tirer à des portées trop courtes. Avantage de l'inconvénient: comme arme de corps à corps on trouve difficilement plus...percutant.

Kaya: pistolet à air comprimé. Il fonctionne grâce à une sorte de Vento-Dial dont l'air est réduit en une petite bulle qui est projetée dans le canon. Ce qui explique son nom: Kaya est le bruit que font les bulles d'air lorsqu'elles sont tirées. Défaut: portée réduite. Qualité: munitions en théorie infinies ayant la puissance d'un coup d'poing...mais guère plus.

Dials-Boots: en plus d'êtres stylées les bottes de Yasmeen contiennent des puissants Vento-Dials dans les talons. Habituellement elle s'en sert pour se projeter en l'air mais rien n'interdit de s'en servir de manière plus...agressive. Ça vaut pas un Impact Dial mais c'est pas loin.

Sac à Dials: contient un paquet de dials différents. Collection ? "Au cas où" ? Qui sait ?

>> Test RP

Comme je le dis toujours il n’y a que trois choses importantes dans un combat : la puissance de feu, la puissance de feu et…la puissance de feu. Le meilleur épéiste du monde peut très bien se faire allonger à deux cents mètres par un tir bien ajusté, qu’il ait passé 10 années de sa vie à se perfectionner ne changera pas grand-chose à l’équation. De mon point de vue le corps à corps c’est juste pour ceux qui ont eu la bêtise d’ignorer un angle mort assez longtemps pour laisser son adversaire en profiter. Alors forcément là je ne me sens pas très maline avec les trois énormes singes qui m’ont coincé contre une falaise. A la base c’est MOI la chasseresse dans l’histoire. Et encore ce n’est pas eux que je comptais manger. Cette île tropicale sur laquelle j’ai accostée hier regorge de gros mammifères qui ont le mot « barbecue » tatoué sur le front. J’ai donc appliqué le protocole standard d’embuscade utilisé par tous les snipers du monde : position en hauteur, champ de tir dégagé et voie de retraite facilement accessible. J’ai trouvé une clairière avec un petit troupeau de Rinoféros qui mastiquaient placidement l’herbe comme si ils défiaient quiconque de les déranger dans leur 6e repas de la journée. Défi relevé. Je suis montée sur un gros arbre à la bordure du champ et je m’apprêtais à transformé l’une de ces grosses bêtes à corne hors-jeu lorsque que la gravité a brusquement tournée son attention vers moi.

Couchée sur une branche et placée dos au vent je n’ai pas vu venir la noix de coco. Saleté d’orang outans. Le fruit à la cosse ultra dure m’a percuté en plein à l’arrière du crâne et m’a fait tomber tête la première de mon perchoir. Sol meuble oblige je me se retrouvée la tête coincée dans l’humus et les fesses en l’air plusieurs mètres en contrebas de ma position initiale. C’était d’une élégance rare je vous l’dit. Les trois macaques n’ont pas pour autant cessé leur bombardement et m’envoyèrent de nouveaux projectiles sur le postérieur. Vous avez déjà reçu une noix de coco dans le fondement vous ? C’est comme si un footballeur veut s’entraîner au tir au but avec vous dans le rôle du ballon. C’est TRÈS douloureux. Blessée aussi bien physiquement que dans mon amour propre j’ai finalement réussi à débloquer ma tête à grand renfort de grognements et d’injures que la moral m’interdit de vous répéter. Et j’étais fermement décidée à flinguer les trois uluberlus qui avaient l’air de bien se marrer si j’en croyais le « ook ook » joyeux venant des frondaisons.

J’allais épauler mon ShokAttakGun pour déloger les impertinents lorsqu’ils se laissèrent tomber juste devant moi. Vous avez déjà vu un orang outan adulte ? De loin il fait bien rire. Avec ses longs bras qui touchent le sol, son crâne chauve et son sourire idiot il est difficile de le prendre au sérieux. Hé ben croyez moi quand vous en avez un à un mètre de vous vous changez radicalement d’opinion. J’ai eu tout le loisir d’observer leurs muscles sous leurs poils bruns-roux : leur corps ressemble à un vieux sac à en tissu ultra tendu et rempli à raz bord de pomme de terre. Oui, les pommes de terre ce sont les muscles. Et lorsqu’ils leur prennent l’envie de se redresser vous vous rendez aussi compte qu’ils font plus ou moins votre taille. En bref j’avais trois armoires à glace poilues qui me regardaient en souriant de toutes leurs dents. Le genre d’armoire pas commode qui arborait un sourire dont j’étais CERTAINE qu’il ne résultait d’aucune intention amicale envers moi. Impossible de tirer avec eux si près : la décharge électromagnétique nous atteindraient tous les quatre et vous connaissez l’effet de l’électricité statique sur la chevelure d’une dame. J’ai quand même essayé de négocier, au cas où :

« Je suppose qu’une bananovitch vous intéresserait pas hein ?»

Quand l’orang outan a commencé a armé son bras droit j’ai vite laissé tomber l’option diplomatique et j’ai couru. Son poing s’enfonça dans le sol comme si c’était du beurre. J’aime PAS le corps à corps… J’ai essayé de mettre assez de distance entre eux et moi pour pouvoir utiliser mon arme mais ces sales bêtes ont de nouveaux disparues dans les arbres et se sont remises à m’envoyer leurs projectiles. Sans visuel et sans cachette j’étais mal barrée. Heureusement que j’avais prévu une voie de retraite. Le problème étant qu’il n’y avait pas de voie de retraite dans la voie de retraite. Après avoir couru à cœur perdu à travers la jungle, me prenant lianes et toiles d’araignées en pleine figure au passage, poursuivie par les « ook » hystériques de mes poursuivants, je me suis retrouvée face à la fatidique falaise. Ça c’est ma situation actuelle. Et je suis à cours de plan de secoure. Aucune idée de ce qu’ils ont après moi en fait. Ils protègent leurs amis Rinoféros ? Ils protègent leur territoire ? Ils veulent juste s’amuser ? Ou pire : se faire une tranche de Yasmeen à la fraise des bois ? C’est omnivore après tout un singe et dans omnivore y a « homme ». Oui bon pas vraiment mais on s’est comprit hein. Encore une fois je ne pouvais plus utiliser mon arme car le temps que je me retourne ils avaient jaillit des bois et avaient atterri de nouveau à moins d’un mètre de moi. Dans le genre collant on trouve difficilement mieux.

Tant pis pour mes principes. Il est temps de leur apprend à danser. J’ai planté le canon de mon arme dans le sol et j’ai claqué des talons pour déclencher mes Vento-Dial. Je fus projetée en l’air, me servant de mon fusil comme point d’appui pour entamer un mouvement tournoyant :

Silah Dance !

Vu de l’extérieur on aurait dit que je marchais à 90°. Vu de l’intérieur…ben mes adversaires ne voyaient rien vu que je leur écrasais sans ménagement leur visage avec mes bottes. Ils furent projetés quelques mètres plus loin dans un « ooook » qui sonnait comme une insulte envers une bonne moitié de mon arbre généalogique. Profitant que les trois orangs outans mangeaient le sol à pleine dent j’ai épaulé mon arme pour leur faire un sauté de singe à la Yasmeen. Mauvaise pioche les 3 boules de poils se remirent rapidement sur leur patte et chargèrent crocs en avant. J’ai juste eu le temps de tirer 2 balles qui étalèrent l’un des assaillants. Les deux qui restaient ne se firent pas prier pour m’envoyer le pire coup de poing que j’ai jamais reçu. J’ai eu l’impression d’être renversée par un autobus. Rectification : DEUX autobus. Je fus projetée contre la falaise. Je suis quasi sûre d’avoir perdu quelques vertèbres suite à l’impact. Je vous ai déjà dit que j’aimais pas le corps à corps ? Hé ben je le répète ! Je l’exècre ! Entre autre parce que j’y suis nulle…

Et les macaques ils souriaient toujours. Bêtes types.
« Vous faites une satacrée équipe tous les trois hein ? »
« Oook ! » Répondit l’un des orangs outans en se frappant la poitrine avec un de ses poings. Quel frimeur.
« Et c’est implossible que vous décidez d’zyeuter ailleurs hein ? »
Il sourit. Ben tiens il faut pas que je rêve de trop non plus. Dos à la falaise, j’ai de nouveaux épaulé mon arme mais cette fois les deux guguss étaient prêts. Ils sautèrent en tous et évitèrent largement tous mes projectiles. Plus une cible bouge et moins c’est facile de lui faire ingérer du plomb. Et quand elle est proche c’est encore pire…
Arriva le moment craint par tout tireur digne de ce nom : la fin du chargeur. Ils sont pas si bête que ça ceux là… on dit pas « malin comme un singe » pour rien. Me voyant chercher fébrilement de nouvelles munitions dans mon sac ils bondirent vers moi l’un après l’autre. Plus le temps pour les balles.

Silah Tekem !

Prenant mon arme à deux mains je m’en servis comme d’une énorme batte de base ball qui cueillit le premier singe en plein vole. Et d’un. Et le deux…

…ième fut sur moi avant que j’ai pu préparer ma deuxième interception. Il saisit mon fusil des deux mains et essaya de me le prendre. ON NE TOUCHE PAS A MES ARMES ! Refusant de lâcher mon bien j’ai calé mon front contre le sien :
« Ôte tout de suite tes patates de mon Gun’ ou je fais un nœud avec tes noreilles, fils de chamelle asthmatique ! »
« Oook ? » C’est monosyllabe sonnait comme un défi. Défi relevé !
Du pouce je chargeais mon arme en énergie électrique. Pendant une seconde le bout du canon émit une lumière jaune qui ne présageait rien de bon. L’orang outan regarda la lueur avec un air stupéfié.

Shok Gun !

*BZZZZWAM !*


L’énergie de l’arme fut relachée dans un éclair jaune qui nous aveugla impartialement tous les deux. L’électricité se dirigea directement vers les conducteurs les proches…à savoir moi et le macaque. Nous fûmes tout deux foudroyés sur place, ses poils et mes cheveux se hérissant alors que nos corps étaient parcourus de spasmes incontrôlables.
« Wookookookookookoooooooooo ! »
« Bwaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! »
Finalement humain et singe tombèrent au sol, nos corps fumant encore parcourus par quelques petites décharges.
JE HAIS CETTE TECHNIQUE !

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Informations IRL

Voir Yuji Livingstone

Ah, mais j'ai demandé
A tonton Toji
Je lui ai demandé si je devais "faire une présentation et voir si ça passe ou ça casse" Et il m'a répondu "t'as tout pigé". Donc bon...je peux pas danser sur deux pieds différents.

*Se fait baffer par tonton Toji expliquant que...nan, en fait mes oreilles ont encore claquées à la 5e baffe alors pas comprit la suite*

De même, comme d'hab tu connais les formalités, hâte de lire ta fiche qui me fera bien rire encore une fois je l'espère :d

Up quand tu veux ton test rp, et pour le code du règlement ça devrait aller :d

Et j'up !

Franchement je sais pas trop ce qui est arrivé à mon historique qui part dans tous les sens. Essayez de faire un résumé d'un monolgue éthylique lorsque vous avez mal à la tête. En prime j'ai peur d'avoir abusé du gateau aujourd'hui...Gargl.

Hé oui vous devez me souhaiter un Noyeux Janniversaire ! (Et oubliez pas mes cadeaux hein ?)

Sur ce j'vais soigner ce mal de crâne. Un ptit airpay test serait la bienvenu !

Yuji/Yasmeen qui se dit que ça va pas faire beaucoup de dorikis tout ça...mais gnafou !

Voili voilou :

Raconte comment tu as gagné un combat corps à corps avec un fusil sniper.

Va falloir faire preuve d'imagination ^^

Joyeux annif' !

Comme je le dis toujours il n’y a que trois choses importantes dans un combat : la puissance de feu, la puissance de feu et…la puissance de feu. Le meilleur épéiste du monde peut très bien se faire allonger à deux cents mètres par un tir bien ajusté, qu’il ait passé 10 années de sa vie à se perfectionner ne changera pas grand-chose à l’équation. De mon point de vue le corps à corps c’est juste pour ceux qui ont eu la bêtise d’ignorer un angle mort assez longtemps pour laisser son adversaire en profiter. Alors forcément là je ne me sens pas très maline avec les trois énormes singes qui m’ont coincé contre une falaise. A la base c’est MOI la chasseresse dans l’histoire. Et encore ce n’est pas eux que je comptais manger. Cette île tropicale sur laquelle j’ai accostée hier regorge de gros mammifères qui ont le mot « barbecue » tatoué sur le front. J’ai donc appliqué le protocole standard d’embuscade utilisé par tous les snipers du monde : position en hauteur, champ de tir dégagé et voie de retraite facilement accessible. J’ai trouvé une clairière avec un petit troupeau de Rinoféros qui mastiquaient placidement l’herbe comme si ils défiaient quiconque de les déranger dans leur 6e repas de la journée. Défi relevé. Je suis montée sur un gros arbre à la bordure du champ et je m’apprêtais à transformé l’une de ces grosses bêtes à corne hors-jeu lorsque que la gravité a brusquement tournée son attention vers moi.

Couchée sur une branche et placée dos au vent je n’ai pas vu venir la noix de coco. Saleté d’orang outans. Le fruit à la cosse ultra dure m’a percuté en plein à l’arrière du crâne et m’a fait tomber tête la première de mon perchoir. Sol meuble oblige je me se retrouvée la tête coincée dans l’humus et les fesses en l’air plusieurs mètres en contrebas de ma position initiale. C’était d’une élégance rare je vous l’dit. Les trois macaques n’ont pas pour autant cessé leur bombardement et m’envoyèrent de nouveaux projectiles sur le postérieur. Vous avez déjà reçu une noix de coco dans le fondement vous ? C’est comme si un footballeur veut s’entraîner au tir au but avec vous dans le rôle du ballon. C’est TRÈS douloureux. Blessée aussi bien physiquement que dans mon amour propre j’ai finalement réussi à débloquer ma tête à grand renfort de grognements et d’injures que la moral m’interdit de vous répéter. Et j’étais fermement décidée à flinguer les trois uluberlus qui avaient l’air de bien se marrer si j’en croyais le « ook ook » joyeux venant des frondaisons.

J’allais épauler mon ShokAttakGun pour déloger les impertinents lorsqu’ils se laissèrent tomber juste devant moi. Vous avez déjà vu un orang outan adulte ? De loin il fait bien rire. Avec ses longs bras qui touchent le sol, son crâne chauve et son sourire idiot il est difficile de le prendre au sérieux. Hé ben croyez moi quand vous en avez un à un mètre de vous vous changez radicalement d’opinion. J’ai eu tout le loisir d’observer leurs muscles sous leurs poils bruns-roux : leur corps ressemble à un vieux sac à en tissu ultra tendu et rempli à raz bord de pomme de terre. Oui, les pommes de terre ce sont les muscles. Et lorsqu’ils leur prennent l’envie de se redresser vous vous rendez aussi compte qu’ils font plus ou moins votre taille. En bref j’avais trois armoires à glace poilues qui me regardaient en souriant de toutes leurs dents. Le genre d’armoire pas commode qui arborait un sourire dont j’étais CERTAINE qu’il ne résultait d’aucune intention amicale envers moi. Impossible de tirer avec eux si près : la décharge électromagnétique nous atteindraient tous les quatre et vous connaissez l’effet de l’électricité statique sur la chevelure d’une dame. J’ai quand même essayé de négocier, au cas où :

« Je suppose qu’une bananovitch vous intéresserait pas hein ?»

Quand l’orang outan a commencé a armé son bras droit j’ai vite laissé tomber l’option diplomatique et j’ai couru. Son poing s’enfonça dans le sol comme si c’était du beurre. J’aime PAS le corps à corps… J’ai essayé de mettre assez de distance entre eux et moi pour pouvoir utiliser mon arme mais ces sales bêtes ont de nouveaux disparues dans les arbres et se sont remises à m’envoyer leurs projectiles. Sans visuel et sans cachette j’étais mal barrée. Heureusement que j’avais prévu une voie de retraite. Le problème étant qu’il n’y avait pas de voie de retraite dans la voie de retraite. Après avoir couru à cœur perdu à travers la jungle, me prenant lianes et toiles d’araignées en pleine figure au passage, poursuivie par les « ook » hystériques de mes poursuivants, je me suis retrouvée face à la fatidique falaise. Ça c’est ma situation actuelle. Et je suis à cours de plan de secoure. Aucune idée de ce qu’ils ont après moi en fait. Ils protègent leurs amis Rinoféros ? Ils protègent leur territoire ? Ils veulent juste s’amuser ? Ou pire : se faire une tranche de Yasmeen à la fraise des bois ? C’est omnivore après tout un singe et dans omnivore y a « homme ». Oui bon pas vraiment mais on s’est comprit hein. Encore une fois je ne pouvais plus utiliser mon arme car le temps que je me retourne ils avaient jaillit des bois et avaient atterri de nouveau à moins d’un mètre de moi. Dans le genre collant on trouve difficilement mieux.

Tant pis pour mes principes. Il est temps de leur apprend à danser. J’ai planté le canon de mon arme dans le sol et j’ai claqué des talons pour déclencher mes Vento-Dial. Je fus projetée en l’air, me servant de mon fusil comme point d’appui pour entamer un mouvement tournoyant :

Silah Dance !

Vu de l’extérieur on aurait dit que je marchais à 90°. Vu de l’intérieur…ben mes adversaires ne voyaient rien vu que je leur écrasais sans ménagement leur visage avec mes bottes. Ils furent projetés quelques mètres plus loin dans un « ooook » qui sonnait comme une insulte envers une bonne moitié de mon arbre généalogique. Profitant que les trois orangs outans mangeaient le sol à pleine dent j’ai épaulé mon arme pour leur faire un sauté de singe à la Yasmeen. Mauvaise pioche les 3 boules de poils se remirent rapidement sur leur patte et chargèrent crocs en avant. J’ai juste eu le temps de tirer 2 balles qui étalèrent l’un des assaillants. Les deux qui restaient ne se firent pas prier pour m’envoyer le pire coup de poing que j’ai jamais reçu. J’ai eu l’impression d’être renversée par un autobus. Rectification : DEUX autobus. Je fus projetée contre la falaise. Je suis quasi sûre d’avoir perdu quelques vertèbres suite à l’impact. Je vous ai déjà dit que j’aimais pas le corps à corps ? Hé ben je le répète ! Je l’exècre ! Entre autre parce que j’y suis nulle…

Et les macaques ils souriaient toujours. Bêtes types.
« Vous faites une satacrée équipe tous les trois hein ? »
« Oook ! » Répondit l’un des orangs outans en se frappant la poitrine avec un de ses poings. Quel frimeur.
« Et c’est implossible que vous décidez d’zyeuter ailleurs hein ? »
Il sourit. Ben tiens il faut pas que je rêve de trop non plus. Dos à la falaise, j’ai de nouveaux épaulé mon arme mais cette fois les deux guguss étaient prêts. Ils sautèrent en tous et évitèrent largement tous mes projectiles. Plus une cible bouge et moins c’est facile de lui faire ingérer du plomb. Et quand elle est proche c’est encore pire…
Arriva le moment craint par tout tireur digne de ce nom : la fin du chargeur. Ils sont pas si bête que ça ceux là… on dit pas « malin comme un singe » pour rien. Me voyant chercher fébrilement de nouvelles munitions dans mon sac ils bondirent vers moi l’un après l’autre. Plus le temps pour les balles.

Silah Tekem !

Prenant mon arme à deux mains je m’en servis comme d’une énorme batte de base ball qui cueillit le premier singe en plein vole. Et d’un. Et le deux…

…ième fut sur moi avant que j’ai pu préparer ma deuxième interception. Il saisit mon fusil des deux mains et essaya de me le prendre. ON NE TOUCHE PAS A MES ARMES ! Refusant de lâcher mon bien j’ai calé mon front contre le sien :
« Ôte tout de suite tes patates de mon Gun’ ou je fais un nœud avec tes noreilles, fils de chamelle asthmatique ! »
« Oook ? » C’est monosyllabe sonnait comme un défi. Défi relevé !
Du pouce je chargeais mon arme en énergie électrique. Pendant une seconde le bout du canon émit une lumière jaune qui ne présageait rien de bon. L’orang outan regarda la lueur avec un air stupéfié.

Shok Gun !

*BZZZZWAM !*


L’énergie de l’arme fut relachée dans un éclair jaune qui nous aveugla impartialement tous les deux. L’électricité se dirigea directement vers les conducteurs les proches…à savoir moi et le macaque. Nous fûmes tout deux foudroyés sur place, ses poils et mes cheveux se hérissant alors que nos corps étaient parcourus de spasmes incontrôlables.
« Wookookookookookoooooooooo ! »
« Bwaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! »
Finalement humain et singe tombèrent au sol, nos corps fumant encore parcourus par quelques petites décharges.
JE HAIS CETTE TECHNIQUE !

Yep, avec toutes les funestes conséquences que cela implique :p

Je suis d'accord avec GM. J'ai eu du plaisir encore une fois à la lire. Plus qu'une voix pour 700 dorikis.

Moi j'adore le style. Un personnage assez original je dirais. Aussi d'accord pour les 700.

Bienvenue à toi et bon rp parmi nous.

M'occupe de tout.

J'ai même mis le rang pour une fois :d