>> Emiko Chiwa
Une image de 200*300 pixels. | Pseudonyme : Chi-chan Age: 17 ans Sexe : Femme? Race : Humaine Métier : Voleuse à plein temps Groupe : Chasseur de prime But : Retrouver la mémoire Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit zoan du félin version puma qui permettrait à Chiwa de prendre la forme d'un puma, totalement ou partiellement. Équipement : Deux pistolets car un c'est pas suffisant! Codes du règlement : Parrain : forumactif Ce compte est-il un DC ? : Nop je suis une newbi! Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Alors physiquement maintenant, préparez -vous à baver les choupinoux! Je suis une femme plutôt grande, je fais entre 1m68 et 1m70. Sans talons! Je déteste ça, c'est d'un compliquer de marcher avec de telles échasses aux pieds. J'ai pas fait l'école du cirque moi! Je ne suis pas capable de marcher avec des trucs fait pour les complexées par leur taille. En plus je trouve la mienne plus que correcte pour une jeune femme de mon âge, donc à quoi bon vouloir me grandir? Bref, passons. Je suis plutôt fine sans trop l'être, j'ai des bras normaux pour ceux d'une femme. J'suis pas un footballeur américain mais en même temps je n'ai pas non plus la peau sur les os. Juste ce qu'il faut pour que je sois souvent qualifiée de «belle» ou encore de «mignonne», ce que j'avoue moins tolérée vu mon âge et mon caractère. Mignonne c'est pour les gosses, moi j'suis une grande! Non mais. J'ai des formes agréablement dessinées, une poitrine plutôt charmante et qui attire facilement l’œil de part sa taille. Oui en d'autre mot j'ai des seins plutôt gros et j'en suis fière! Comme ça j'obtiens plus facilement ce que je veux et les hommes sont plus facilement à mes pieds. J'irais pas non plus jusqu'à vous dire mon tour de poitrine hein, ça c'est secret défense! Comme mon tour de taille. En parlant de cette dernière, je ne peux m'empêcher de ne pas parler de mes hanches et de tout ce qui se trouve par là. Déjà vous devez savoir que j'ai de belles hanches, bien proportionnées comme tout le reste de mon corps. Des fesses bien rebondies mais pas trop grosse non plus. J'ai une taille svelte, je suis de ce fait assez souple et gracieuse dans mes mouvements. J'ai de petite mains au bout desquelles se trouvent de petits et fins doigts, souples au possible eux aussi. On me dit possédant beaucoup de doigté et d'adresse. Je suis douée dans tout ce qui est manuel avec mes mains. Par exemple je coud très bien, j'ai peu de cicatrices sur les doigts et les mains en générale. Bon j'ai quelques traces qui montrent que j'utilise souvent un pistolet et/ou un sabre mais rien de bien voyant. J'ai un cou fin, il semble fragile et pourtant les muscles de ma nuque et de mon cou sont plutôt développés. Malheureusement je ne sais pas pourquoi. Je ne me souviens pas m'être réellement entraînée. Mais en même temps j'ai eu droit à une perte de mémoire assez frustrante. Je vous en parlerais plus en détail plus tard, ici ce sont mes attraits physique et rien d'autre si j'ai bien compris. Or j'ai décidée d'être sage, donc pas de HS aujourd'hui! Maintenant je vais vous parler de mon parfait et magnifique petit minois. Je n'ai pas de grands yeux comme ces petites filles que l'on voit dans les shojo, j'ai des yeux normaux. Ils ont une couleur assez étrange en fait, ils sont rouge pâle, pas comme le sang hein. En fait on dirait.. Bah, du sang dilué. C'est bizarre oui okay d'accord, mais j'y peux rien moi. Je suis née avec. Mes cheveux sont eux aussi assez étranges. En fait ils changent de couleur en fonction de la luminosité. Oui ça encore c'est normal. Mais changer du marron foncé au ronge sang va falloir m'expliquer. Non, je n'ai pas dis what the fuck alors je ne veux pas l'entendre! Vous l'aurez compris je suis aussi bien de part mon caractère que mon physique, bien étrange comme femme. Ma tenue habituelle varie souvent, mais le fait est que je ne porte des robes que lorsque je suis invitée à grandes soirée, que je veux séduire, qu'en dessous je cache des couteaux et/ou mes flingues. Sinon la plupart du temps j'ai une tenue assez moulante violet foncé. Une ceinture dans les tons blancs comme les rebords de cette tenue que j'appelle pour m'amuser «de combat». Comme je suis souple et agile je suis une très bonne espionne. Et une fière voleuse par la même occasion. Je porte par dessus cette tenue pour passer encore plus inaperçue une petite cape violet plus foncé que ma tenue. Lorsque je dois mettre des gants ce sont forcément des mitaines. J'ai besoin d'avoir mes doigts de fée de libre moi! Non pas que pour crocheter les serrures, pas que.
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>> Psychologie
Ooooh on veut attaquer le terrain de la psychologie avec moi les chéris? Pourquoi pas après tout. Déjà vous devez absolument savoir que je n'ai pas usurpée ma réputation d'aguicheuse. On ne me surnomme pas comme ça uniquement parce que je porte tout le temps des décolletés plongeants et qu'en toute circonstance un sourire charmeur décore mon visage. Ça joue forcément mais ce n'est pas qu'à cause de ça, toute mon attitude est celle d'une femme qui aime s'amuser. Aux dépends des autres bien sur, cela va de sois. J'aime jouer avec les autres comme on joue avec des marionnettes pour distraire des enfants. Je n'ai que 17 ans mais dans ma tête je suis une femme. Plus une ados et encore moins une petite fille. J'aime jouer les femmes provocantes et sures d'elles, comme ça ça me donne plus de crédibilité auprès de mes futures proies. Et puis en même temps je ne fais pas que jouer la femme sure d'elle et provocante. Je le suis. Après tout, même lorsque je suis contredite dans ma tête j'ai raison, n'est-ce pas une preuve de ma confiance en moi quasiment illimitée? Je suis bornée et têtue. Je joue parf.. Erf, souvent de mes charmes auprès de la gente masculine. J'aime sentir cette race inférieure à mes pieds. C'est d'un valorisant. Je suis arrogante et fière de l'être. Jamais à cours d'idée et surtout pas de pensées tordues! Je suis une fine stratège, mes plans sont astucieux et rusés. De ce fait j'arrive toujours à mes fins. Car je sais quel chemin emprunter. Et je sais comment m'y prendre pour écarter les obstacles. Au premier abord j'ai l'air hautaine, ironique, provocante mais ce n'est pas la mon vrai visage. J'ai dressé ce mur pour les autres. Pour qu'on ne me dérange que lorsqu'on en vaut la peine. Au fond je suis douce et fidèle. Mes amis passent avant moi et je suis capable de tout pour eux. Je ne suis néanmoins pas facile à berner et n'importe qui ne peux pas prétendre être mon ami. Je suis du genre à trier sur le volet si vous voyez ce que je veux dire. Lorsque quelqu'un change de trop et que ça ne me plaît pas je prends le large. Je ne suis pas du genre à m'attacher facilement. J'ai besoin de temps. Et de preuves. Preuve que je n'ai pas perdu mon temps. Preuve que j'ai réellement quelque chose à faire là. Sinon je ne suis pas quelqu'un de sédentaire. Changer complètement de décor, de vie, d'entourage ne me gêne pas. Je suis très sociable et même lorsque je ne suis pas entourée par des «amis» je sais tenir la conversation. J'ai une culture générale assez.. Complète. J'aime la lecture et j'aime savoir alors je m'en donne les moyens. Je n'aime pas les enfants. Ou plutôt je n'aime pas les pleurnichards. Je n'aide pas quelqu'un qui refuse mon aide. Je suis trop fière pour m'abaisser à la proposer la plupart du temps alors lorsque cela arrive il ne vaut mieux pas refuser la main que je tend. J'ai le sang chaud et je suis d'une franchise à m'attirer des ennuis. Tu m'énerve bah tu m'énerve c'tout. J'y peux rien moi. Je suis du genre à rire facilement et souvent. De bonne humeur en toute circonstance cette dernière est contagieuse d'après mon entourage. Mais lorsque je déprime je suis contagieuse aussi. Étrange tout ça. Bref, les hommes sont mes jouets, je les manipules comme je veux mais je ne vais jamais trop loin. Après je subis moi aussi un contre coup et ça il n'en est pas question. Donc aguicheuse certes mais y'a des limites, j'suis pas une pute non plus. Juste une femme joueuse et amusante.
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>> Biographie
Mon histoire risque d'être assez compliquée à expliquer en fait. Je suis victime bien malgré moi d'une perte de mémoire vachement violente. Je n'ai pas de souvenir de mon enfance profonde. De mes un à mes sept ans tout m'est inconnu. Je ne sais pas où j'ai grandis. Je ne sais pas où je suis née. Je ne sais pas qui sont mes parents, et encore moins ce qu'il leur est arrivé. Impossible de mettre le doigt dessus. A chaque fois que j'ai tentée de me souvenir un violent mal de tête m'a fait comprend que ma perte de mémoire n'était peut être pas naturelle. Si je force lorsque le mal de tête commence à se faire ressentir je tombe dans les pommes assez rapidement. Donc la partie enfouie de mon passé je ne peux la retrouver. Du moins pas pour le moment. Mais je suis capable de vous décrire ce qu'il s'est passé à partir de mes sept ans. Enfin, on en à déduis que j'avais sept ans car moi je ne me souvenais de rien. Pas de prénom. Pas d'âge. Pas de contrée de naissance. Rien. Mais bon, revenons en à mon histoire. Vous la vouliez, la voilà.
Le noir. L'obscurité étouffante et massacrante. Une légère lueur. Des cris. Des sons sourds.. Des gens s'écroulent, d'autres rient. J'entends des gens qui court. D'autres qui semblent s'arrêter pour ne jamais repartir. Puis le bruit des flammes qui crépitent. Des explosions. Plus ou moins rapprochées. La mer qui lèche le rivage. Puis plus rien. Tout disparaît. Le silence. Pesant. Froid. Dur. J'ai peur.. Plus rien ne semble vivre. Suis-je morte avant même de naître? Une impression de mort s'empare de moi alors que je tente de bouger. Rien ne me répond. Je tente de crier, aucun son ne me parvient. Ne serais-je qu'un esprit? Que suis-je? Où suis-je? Je sent alors quelque chose qui me touche. Des sons, des voix me parviennent. La voix de qui? Quelqu'un vit encore? Je ne suis plus seule? Je n'arrive pas à bouger, pas à parler. Arrive-je seulement à respirer? Je n'en sais rien. Je sent qu'on me prend. Je tiens parfaitement dans les bras de cet inconnu.. Je dois être petite. Mais que suis-je? D'où je viens? Est-ce que je pourrais voir, entendre et sentir à nouveau..?
J'ouvre finalement les yeux. Quelqu'un est près de moi. Allongé à mes côtés. Qui est-ce? Sa respiration est régulière. Il doit dormir. Quelle heure est-il? Qu'est ce que l'heure? Pourquoi ais-je si mal au crâne? Qui je suis? Pourquoi je me trouve dans un truc chaud et douillet? Pourquoi mes habits sont-ils déchirés? Je suis blessées..? J'ai des bandages un peu partout. C'est cet humain qui m'a sauvé? C'est un homme. Je dirais qu'il doit avoir 24 ans. Il est grand. Je l'observe, la vue encore un peu floue. Il à de long cheveux noirs. L'air sévère mais gentil et doux. Il est vachement musclé. Je n'ose pas le réveiller, il dort si bien.. Je lui touche le visage puis, comme assommée par une force supérieure, je m'endort d'un coup. Pourtant je n'ai presque rien vu! Une odeur douce m'enveloppe toute entière. C'est l'odeur de cet homme? Pourquoi je peux percevoir son odeur? Je ne sais rien, trop de question occupent mon esprit... Au final je me laisse sombrer dans le sommeil. Avec cette désagréable impression d'ignorance. Je ne sais plus rien. Rien du tout.. Comme si on m'avait tout ôté.
Je finis par me réveiller de nouveau. Je ne sais toujours pas qui je suis et encore moins où je suis. Je tente de me lever et grimace. J'ai mal. Pourquoi? Mes bandages ont été changé récemment visiblement. Où est cet homme? Il faut que je le remercie! Il m'a sauvé la vie que j'avais cru perdre. Et peut être saura-t-il qui je suis? Ou alors d'où je viens? Je tente de l'appeler mais visiblement si je suis capable de voir et de sentir, je ne peux toujours pas faire sortir de sons de ma bouche. Que c'est frustrant! Le porte s'ouvre. Il s'agit d'une petite maison. Avec un seul lit. Je me sent soudain gênée, cet inconnu m'a laissé son lit pour que je repose.. Où a-t-il bien pu dormir? Je le voit alors émerger dans la pièce. Je tente de bafouiller quelques mots de remerciement mais décidément rien à faire. Je n'arrive pas à parler. L'homme me sourit. J'avoue que son air endormit et après ce sourire ne me laisse peut être pas indifférente.. Mais pour le moment je lui dois la vie. Je dois le remercier. Il vient vers moi. Il semble sérieux mais ce léger sourire, presque là pour décorer, étire toujours ses lèvres. Il s'assoit et pose sa main sur ma tête. Il à l'air gentil. Je le regarde longtemps puis prend sa main. Il est habillé d'un haori bleu. Je trace dans sa main quelque chose à l'aide de mon doigt fin et chétif. Il reste interdit un petit moment mais comprend bien vite et un air attendrit fait légèrement varier ses traits de visage. Il n'a aucun mal à deviner ce mot si simple dont je trace les lettres sur sa paume. «Merci». Il ri et m'attire dans ses bras. Je ne sais pas pourquoi d'un coup quelque chose se passe en moi. Je me met à trembler légèrement puis un liquide clair emplis mes yeux pour ensuite se déverser sur mes joues. Je.. Pleure? Pourquoi? Lui non plus ne comprend pas mais il ne cesse de me serrer dans ses bras. Ça me fait du bien. Et c'est ainsi que je me rendort pour la deuxième fois. Ça commence à devenir sérieusement agaçant. Je ne peux rien faire. Je n'arrive même pas à parler.
Je me réveille pour la deuxième fois. Cette fois je n'ai plus que deux bandages. Un a niveau du coude droit et l'autre au niveau de la tête. Je soulève mon haut. Une cicatrice.. J'ai une cicatrice au niveau de la hanche. Je ne me souviens pourtant pas m'être déjà battue... Mais alors que je tente justement de trouver dans mes souvenirs la cause de cette marque une violent mal de tête me fait frémir. Je me rend compte alors de quelque chose qui ne manqua pas de me choquer. Ma mémoire était vide. Totalement vide. Aucun souvenirs. Aucun visage. Aucune sensation. Aucune odeur.. Rien. Même pas un décor. Juste des cris. Des explosions. Puis plus rien. Le silence et la nuit. L'homme est à mes côtés. Il prend la parole et m'explique que lui se nomme Hijikata Emiko. Il m'a trouvé sur la plage, près d'une épave de barque. J'étais inconsciente et blessée alors il m'a recueillit. Je le remerciait d'un mouvement de la tête, pas capable de faire mieux pour le moment. Vinrent ensuite les questions que moi même je me posais. Il tentais de me faire répondre, mais ma voix s'était envolée suite au choc. Il me fit passer un rapide examen, visiblement il était médecin. Il ne décela rien d'anormal. Je n'étais pas malade et mes plaies guérissaient sans soucis. Ce devait donc être dû au choc. Mais je retrouverais bientôt la parole. Il n'obtint rien de moi. Je ne connaissais pas mon nom ni mon prénom, je ne savais rien de mon passé, je ne savais pas quel âge j'avais et rien de ce que j'avais vécu ne me revenais à l'esprit. Il avait l'air protecteur et de ce fait il me promit de me prendre sous son aile, le temps que j'aille mieux. Il me nomma Chiwa. Je pouvais enfin me lever. Il me fit passer toute une série de tests pour connaître mon âge. Il me dit que j'étais âgée de sept ans. Une semaine passa ainsi. J'étais bien avec lui et doucement je retrouvais et l'appétit et la voix. Suite à cette semaine en la compagnie d'Hiji-san je pouvais de nouveau parler. Je pouvais enfin le remercier. Et lui pouvait enfin entendre ma voix. Il avait l'air aussi heureux qu'un père qui entend sa fille parler pour la première fois. Un père.. Était-ce comme ça que je le voyait? Je n'aurais pas su le dire.
Un an passait. J'en avais huit. Cela faisait un an qu'Hiji et moi vivions sous le même toit. Il m'arrivait souvent de le considérer plus comme mon père que comme mon tuteur ou mon sauveur. Sa maison était plutôt reculée, il était le médecin du village mais ne vivais pas réellement dans ledit village. Lorsque je lui demandais pourquoi il prétextait qu'il préférait la solitude et cela me faisait rire. Car il m'avait acceptée dans sa maison, il avait bien voulu que je vive avec lui sans se poser de question pour sa solitude. Je commençais à me dire qu'il tenait peut être plus que je ne le pensais à moi. Mais au fond je sentais bien que j'étais un fardeau. Alors je me mit à descendre régulièrement au village. Les habitants étaient sympathique. Et sociables. Il m'accueillirent à bras ouvert et je fus «la fille d'Hijikata Emiko» sans que je n'eus rien demandée. Je riais de plus en plus souvent. Une jeune femme m'apprit la cuisine. Mon «père» n'étant pas très bon en cuisine je décidais d'y exceller moi. J'étais douée. Je faisais de très bon plats d'après Hiji. Et chaque compliment me remplissait de joie. Mais je n'osait pas lui parler de tout.. J'étais assez renfermée sur certains sujets et j'avais également la fâcheuse tendance à changer d'humeur rapidement et sans aucun raison. Je me sentais de trop. Nulle. Sans intérêt profond. Alors je décidais de batailler. Je voulais devenir forte en cuisine! Être capable de prendre soin de la maison.. Je voulais servir à quelque chose oui, ce doit être ça. Je voulais qu'il me regarde. Mais au fond de moi je doutais de plus en plus. L'aimais-je comme un père? Un frère? Un amant? Un protecteur? Je ne savais plus. Je pleurais en silence lorsqu'il n'étais pas là ou sur la plage. Peut être aurais-je dû mourir. Comme tout ceux qui peuplent ma tête vide de leur cris de souffrance et du bruit sourd de leur corps qui tombent. Les années passaient et je ne cessais de me morfondre. Voyait-il ma détresse? Non. Je ne voulais pas la montrer donc même si il la voyait, par respect pour moi, il ne disait rien. Un silence s'installait entre nous. Je détestais ça. Un jour je tenta donc de parler avec lui...
J'avais dix ans. J'étais joyeuse et enjouée et je vivais toujours avec mon «père». Tout s'était calmée. J'étais plus heureuse que je ne l'avais jamais été. Ou peut être que je ne me souvenais plus. Dix ans.. Un chiffre tout rond. Je commençais à prendre des habitudes qui faisaient de moi une jeune femme autonome. Mais j'étais douce et tendre. Avec mon père plus qu'avec les autres, soit. Je suis devenue néanmoins un peu plus sure de moi et provocante. Je pleure encore, en regardant les étoiles, mais ça mon père adoptif ne le sait pas. Lui il à 27 ans. C'est un vieux! Non, je rigole rassurez vous. Je l'aime tant, jamais je ne pourrais dire du mal de lui. Il est tout ce que j'ai, il est la première personne que j'ai vu en ouvrant les yeux. Il est mon précieux papa-baka comme j'aime l'appeler parfois! Étrangement je suis devenue très bonne en violon.
Me voilà à ma 16eme année de vie. J'étais très attachée à mon père, mais je ne voulais plus qu'il s'occupe de moi. J'étais grande. Sans doute capable de prendre le large. Et puis, j'avais réellement envie de retrouver la mémoire. Envie de pouvoir dire mon vrai nom à celui que je vois comme mon géniteur. Envie de savoir enfin qui je suis et d'où je viens. J'allais donc le trouver une fois ma décision prise. J'avais, depuis qu'Hijikata m'a recueillit, étudiée avec ardeur l'art de la navigation. J'étais désormais capable de prédire les changements de temps. Je savais naviguer comme personne, et j'étais fière d'avoir de telles compétences. Je comptais donc prendre la mer. Je lui dis tout simplement que je ne reviendrais que lorsque je serais capable de lui dire mon vrai prénom et mon vrai nom de famille. Uniquement lorsque j'aurais une enfance à lui conter. Il me sourit tendrement. Sans doute avait-il compris, même si il était dos à moi, que je pleurais là toute les larmes de mon corps. Il se retourna et me prit dans ses bras. J'éclatais en sanglots. Oui j'ai 16 ans, oui je suis une grande fille, non je ne veux pas le quitter. Mais je dois apprendre à vivre seule. Je dois un jour moi aussi, quitter le nid. Je pleure ainsi pendant près d'un quart d'heure. Il m'embrasse tendrement sur la joue et pose sa main sur ma tête. On distingue une légère cicatrice sur le côté de ma caboche. Un signe apparent de mon amnésie, sans doute. Il sourit et me dit tout simplement:
«-Va, ma fille. Mais promet moi de me revenir entière, d'accord Chiwa?»
Je hochais la tête, pris un sac et parti, les larmes aux yeux. Je regardais une dernière fois cette île qui m'avait vu grandir pour la seconde fois. C'est ici que j'ai réellement ouvert les yeux pour la première fois et que j'ai appréciée les hauts et les bas de la vie. Je dis au revoir à tous les habitants de ce petit patelin et embarque à bord d'une petite barque, qui ressemble à l'épave qu'on à trouvé près de moi. Mon père n'est pas là.. Peut être ne veut-il pas me dire au revoir? Bah, après tout, il restera toujours dans mon cœur. Je lève l'ancre et, jetant un dernier cou d’œil vers la côte, aperçois Hiji. Je lui sourit, les cheveux au vent et les yeux chargés de larmes. Un jour, papa, un jour tu me reverras et là je ne serais plus Chiwa. Je serais réellement moi. Celle dont je n'ai aucun souvenir. Celle que je fus avant de te connaître. Celle dont je n'ai rien pu te dire. Celle qui tu as sauvé avant qu'elle ne meurt et qui, à jamais, te devra la vie.
Et voilà l'histoire d'une amnésique. J'ai maintenant 17 ans. Cette première année loin de mon père fut dure, mais je m'en remettrais. Je vogue en m'arrêtant sur certaines île sans jamais y demeurer trop longtemps. Je veux retrouver la mémoire. Et vite. Et vivre beaucoup d'aventures. Pour pouvoir émerveiller celui qui veille sur moi depuis tant d'années..
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Le noir. L'obscurité étouffante et massacrante. Une légère lueur. Des cris. Des sons sourds.. Des gens s'écroulent, d'autres rient. J'entends des gens qui court. D'autres qui semblent s'arrêter pour ne jamais repartir. Puis le bruit des flammes qui crépitent. Des explosions. Plus ou moins rapprochées. La mer qui lèche le rivage. Puis plus rien. Tout disparaît. Le silence. Pesant. Froid. Dur. J'ai peur.. Plus rien ne semble vivre. Suis-je morte avant même de naître? Une impression de mort s'empare de moi alors que je tente de bouger. Rien ne me répond. Je tente de crier, aucun son ne me parvient. Ne serais-je qu'un esprit? Que suis-je? Où suis-je? Je sent alors quelque chose qui me touche. Des sons, des voix me parviennent. La voix de qui? Quelqu'un vit encore? Je ne suis plus seule? Je n'arrive pas à bouger, pas à parler. Arrive-je seulement à respirer? Je n'en sais rien. Je sent qu'on me prend. Je tiens parfaitement dans les bras de cet inconnu.. Je dois être petite. Mais que suis-je? D'où je viens? Est-ce que je pourrais voir, entendre et sentir à nouveau..?
J'ouvre finalement les yeux. Quelqu'un est près de moi. Allongé à mes côtés. Qui est-ce? Sa respiration est régulière. Il doit dormir. Quelle heure est-il? Qu'est ce que l'heure? Pourquoi ais-je si mal au crâne? Qui je suis? Pourquoi je me trouve dans un truc chaud et douillet? Pourquoi mes habits sont-ils déchirés? Je suis blessées..? J'ai des bandages un peu partout. C'est cet humain qui m'a sauvé? C'est un homme. Je dirais qu'il doit avoir 24 ans. Il est grand. Je l'observe, la vue encore un peu floue. Il à de long cheveux noirs. L'air sévère mais gentil et doux. Il est vachement musclé. Je n'ose pas le réveiller, il dort si bien.. Je lui touche le visage puis, comme assommée par une force supérieure, je m'endort d'un coup. Pourtant je n'ai presque rien vu! Une odeur douce m'enveloppe toute entière. C'est l'odeur de cet homme? Pourquoi je peux percevoir son odeur? Je ne sais rien, trop de question occupent mon esprit... Au final je me laisse sombrer dans le sommeil. Avec cette désagréable impression d'ignorance. Je ne sais plus rien. Rien du tout.. Comme si on m'avait tout ôté.
Je finis par me réveiller de nouveau. Je ne sais toujours pas qui je suis et encore moins où je suis. Je tente de me lever et grimace. J'ai mal. Pourquoi? Mes bandages ont été changé récemment visiblement. Où est cet homme? Il faut que je le remercie! Il m'a sauvé la vie que j'avais cru perdre. Et peut être saura-t-il qui je suis? Ou alors d'où je viens? Je tente de l'appeler mais visiblement si je suis capable de voir et de sentir, je ne peux toujours pas faire sortir de sons de ma bouche. Que c'est frustrant! Le porte s'ouvre. Il s'agit d'une petite maison. Avec un seul lit. Je me sent soudain gênée, cet inconnu m'a laissé son lit pour que je repose.. Où a-t-il bien pu dormir? Je le voit alors émerger dans la pièce. Je tente de bafouiller quelques mots de remerciement mais décidément rien à faire. Je n'arrive pas à parler. L'homme me sourit. J'avoue que son air endormit et après ce sourire ne me laisse peut être pas indifférente.. Mais pour le moment je lui dois la vie. Je dois le remercier. Il vient vers moi. Il semble sérieux mais ce léger sourire, presque là pour décorer, étire toujours ses lèvres. Il s'assoit et pose sa main sur ma tête. Il à l'air gentil. Je le regarde longtemps puis prend sa main. Il est habillé d'un haori bleu. Je trace dans sa main quelque chose à l'aide de mon doigt fin et chétif. Il reste interdit un petit moment mais comprend bien vite et un air attendrit fait légèrement varier ses traits de visage. Il n'a aucun mal à deviner ce mot si simple dont je trace les lettres sur sa paume. «Merci». Il ri et m'attire dans ses bras. Je ne sais pas pourquoi d'un coup quelque chose se passe en moi. Je me met à trembler légèrement puis un liquide clair emplis mes yeux pour ensuite se déverser sur mes joues. Je.. Pleure? Pourquoi? Lui non plus ne comprend pas mais il ne cesse de me serrer dans ses bras. Ça me fait du bien. Et c'est ainsi que je me rendort pour la deuxième fois. Ça commence à devenir sérieusement agaçant. Je ne peux rien faire. Je n'arrive même pas à parler.
Je me réveille pour la deuxième fois. Cette fois je n'ai plus que deux bandages. Un a niveau du coude droit et l'autre au niveau de la tête. Je soulève mon haut. Une cicatrice.. J'ai une cicatrice au niveau de la hanche. Je ne me souviens pourtant pas m'être déjà battue... Mais alors que je tente justement de trouver dans mes souvenirs la cause de cette marque une violent mal de tête me fait frémir. Je me rend compte alors de quelque chose qui ne manqua pas de me choquer. Ma mémoire était vide. Totalement vide. Aucun souvenirs. Aucun visage. Aucune sensation. Aucune odeur.. Rien. Même pas un décor. Juste des cris. Des explosions. Puis plus rien. Le silence et la nuit. L'homme est à mes côtés. Il prend la parole et m'explique que lui se nomme Hijikata Emiko. Il m'a trouvé sur la plage, près d'une épave de barque. J'étais inconsciente et blessée alors il m'a recueillit. Je le remerciait d'un mouvement de la tête, pas capable de faire mieux pour le moment. Vinrent ensuite les questions que moi même je me posais. Il tentais de me faire répondre, mais ma voix s'était envolée suite au choc. Il me fit passer un rapide examen, visiblement il était médecin. Il ne décela rien d'anormal. Je n'étais pas malade et mes plaies guérissaient sans soucis. Ce devait donc être dû au choc. Mais je retrouverais bientôt la parole. Il n'obtint rien de moi. Je ne connaissais pas mon nom ni mon prénom, je ne savais rien de mon passé, je ne savais pas quel âge j'avais et rien de ce que j'avais vécu ne me revenais à l'esprit. Il avait l'air protecteur et de ce fait il me promit de me prendre sous son aile, le temps que j'aille mieux. Il me nomma Chiwa. Je pouvais enfin me lever. Il me fit passer toute une série de tests pour connaître mon âge. Il me dit que j'étais âgée de sept ans. Une semaine passa ainsi. J'étais bien avec lui et doucement je retrouvais et l'appétit et la voix. Suite à cette semaine en la compagnie d'Hiji-san je pouvais de nouveau parler. Je pouvais enfin le remercier. Et lui pouvait enfin entendre ma voix. Il avait l'air aussi heureux qu'un père qui entend sa fille parler pour la première fois. Un père.. Était-ce comme ça que je le voyait? Je n'aurais pas su le dire.
Un an passait. J'en avais huit. Cela faisait un an qu'Hiji et moi vivions sous le même toit. Il m'arrivait souvent de le considérer plus comme mon père que comme mon tuteur ou mon sauveur. Sa maison était plutôt reculée, il était le médecin du village mais ne vivais pas réellement dans ledit village. Lorsque je lui demandais pourquoi il prétextait qu'il préférait la solitude et cela me faisait rire. Car il m'avait acceptée dans sa maison, il avait bien voulu que je vive avec lui sans se poser de question pour sa solitude. Je commençais à me dire qu'il tenait peut être plus que je ne le pensais à moi. Mais au fond je sentais bien que j'étais un fardeau. Alors je me mit à descendre régulièrement au village. Les habitants étaient sympathique. Et sociables. Il m'accueillirent à bras ouvert et je fus «la fille d'Hijikata Emiko» sans que je n'eus rien demandée. Je riais de plus en plus souvent. Une jeune femme m'apprit la cuisine. Mon «père» n'étant pas très bon en cuisine je décidais d'y exceller moi. J'étais douée. Je faisais de très bon plats d'après Hiji. Et chaque compliment me remplissait de joie. Mais je n'osait pas lui parler de tout.. J'étais assez renfermée sur certains sujets et j'avais également la fâcheuse tendance à changer d'humeur rapidement et sans aucun raison. Je me sentais de trop. Nulle. Sans intérêt profond. Alors je décidais de batailler. Je voulais devenir forte en cuisine! Être capable de prendre soin de la maison.. Je voulais servir à quelque chose oui, ce doit être ça. Je voulais qu'il me regarde. Mais au fond de moi je doutais de plus en plus. L'aimais-je comme un père? Un frère? Un amant? Un protecteur? Je ne savais plus. Je pleurais en silence lorsqu'il n'étais pas là ou sur la plage. Peut être aurais-je dû mourir. Comme tout ceux qui peuplent ma tête vide de leur cris de souffrance et du bruit sourd de leur corps qui tombent. Les années passaient et je ne cessais de me morfondre. Voyait-il ma détresse? Non. Je ne voulais pas la montrer donc même si il la voyait, par respect pour moi, il ne disait rien. Un silence s'installait entre nous. Je détestais ça. Un jour je tenta donc de parler avec lui...
J'avais dix ans. J'étais joyeuse et enjouée et je vivais toujours avec mon «père». Tout s'était calmée. J'étais plus heureuse que je ne l'avais jamais été. Ou peut être que je ne me souvenais plus. Dix ans.. Un chiffre tout rond. Je commençais à prendre des habitudes qui faisaient de moi une jeune femme autonome. Mais j'étais douce et tendre. Avec mon père plus qu'avec les autres, soit. Je suis devenue néanmoins un peu plus sure de moi et provocante. Je pleure encore, en regardant les étoiles, mais ça mon père adoptif ne le sait pas. Lui il à 27 ans. C'est un vieux! Non, je rigole rassurez vous. Je l'aime tant, jamais je ne pourrais dire du mal de lui. Il est tout ce que j'ai, il est la première personne que j'ai vu en ouvrant les yeux. Il est mon précieux papa-baka comme j'aime l'appeler parfois! Étrangement je suis devenue très bonne en violon.
Me voilà à ma 16eme année de vie. J'étais très attachée à mon père, mais je ne voulais plus qu'il s'occupe de moi. J'étais grande. Sans doute capable de prendre le large. Et puis, j'avais réellement envie de retrouver la mémoire. Envie de pouvoir dire mon vrai nom à celui que je vois comme mon géniteur. Envie de savoir enfin qui je suis et d'où je viens. J'allais donc le trouver une fois ma décision prise. J'avais, depuis qu'Hijikata m'a recueillit, étudiée avec ardeur l'art de la navigation. J'étais désormais capable de prédire les changements de temps. Je savais naviguer comme personne, et j'étais fière d'avoir de telles compétences. Je comptais donc prendre la mer. Je lui dis tout simplement que je ne reviendrais que lorsque je serais capable de lui dire mon vrai prénom et mon vrai nom de famille. Uniquement lorsque j'aurais une enfance à lui conter. Il me sourit tendrement. Sans doute avait-il compris, même si il était dos à moi, que je pleurais là toute les larmes de mon corps. Il se retourna et me prit dans ses bras. J'éclatais en sanglots. Oui j'ai 16 ans, oui je suis une grande fille, non je ne veux pas le quitter. Mais je dois apprendre à vivre seule. Je dois un jour moi aussi, quitter le nid. Je pleure ainsi pendant près d'un quart d'heure. Il m'embrasse tendrement sur la joue et pose sa main sur ma tête. On distingue une légère cicatrice sur le côté de ma caboche. Un signe apparent de mon amnésie, sans doute. Il sourit et me dit tout simplement:
«-Va, ma fille. Mais promet moi de me revenir entière, d'accord Chiwa?»
Je hochais la tête, pris un sac et parti, les larmes aux yeux. Je regardais une dernière fois cette île qui m'avait vu grandir pour la seconde fois. C'est ici que j'ai réellement ouvert les yeux pour la première fois et que j'ai appréciée les hauts et les bas de la vie. Je dis au revoir à tous les habitants de ce petit patelin et embarque à bord d'une petite barque, qui ressemble à l'épave qu'on à trouvé près de moi. Mon père n'est pas là.. Peut être ne veut-il pas me dire au revoir? Bah, après tout, il restera toujours dans mon cœur. Je lève l'ancre et, jetant un dernier cou d’œil vers la côte, aperçois Hiji. Je lui sourit, les cheveux au vent et les yeux chargés de larmes. Un jour, papa, un jour tu me reverras et là je ne serais plus Chiwa. Je serais réellement moi. Celle dont je n'ai aucun souvenir. Celle que je fus avant de te connaître. Celle dont je n'ai rien pu te dire. Celle qui tu as sauvé avant qu'elle ne meurt et qui, à jamais, te devra la vie.
Et voilà l'histoire d'une amnésique. J'ai maintenant 17 ans. Cette première année loin de mon père fut dure, mais je m'en remettrais. Je vogue en m'arrêtant sur certaines île sans jamais y demeurer trop longtemps. Je veux retrouver la mémoire. Et vite. Et vivre beaucoup d'aventures. Pour pouvoir émerveiller celui qui veille sur moi depuis tant d'années..
[Comptez une vingtaine de lignes minimum.]
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Prénom : Doris
Age : 18 ans
Aime : Le piano, écrire, les chats, la musique, créer
N'aime pas : Ma tête, avoir honte, qu'on me traite comme du caca °°
Personnage préféré de One Piece : ZORO MON AMOUR ♥
Caractère : Je suis une jeune fille de 18 ans passionnée d'écriture qui espère faire publier un jour le livre qu'elle est entrain d'écrire, je suis du genre rêveuse et j'ai souvent la tête dans les nuages :3
Fait du RP depuis : 4 ans bientôt!
Disponibilité approximative : 2 à 3 fois par semaine
Comment avez-vous connu le forum ?
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