>> TROPRY Elena
Pseudonyme : Pas de surnom particulier. Age: 16 ans Sexe : Femme Race : Humaine Métier : Aucun Groupe : Pirate But : Pouvoir porter un cache-oeil et une fausse jambe de bois. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Nop' Équipement : Juste une dague joliment décorée et plutôt sale. Codes du règlement : Parrain : Nazgahl Cradle le moche Ce compte est-il un DC ? : Non ^^ |
>> Physique
Elena est une jeune femme bien étrange âgée de seulement 16 ans. Son teint blafard contraste avec ses longs cheveux corbeaux, et son visage fin est éclairé par ses beaux grands yeux verts. À première vue, on pourrait croire à un personnage tout à fait banal et innocent... Mais il ne faut jamais juger quelqu'un sur son apparence, mes amis ! En effet, il suffit de discuter avec l'adolescente pendant une poignée de minutes -voir de secondes- pour comprendre que cette jouvencelle est tout sauf normale.
La demoiselle mesure environ 1m65 pour 37 kilos, ce qui est, me diriez-vous, loin d'être raisonnable... De ce fait, elle n'est pas vraiment musclée physiquement, mais cela ne l'empêche par pour autant d'avoir une force bien supérieure aux filles de son âge.
Elena ne jure que par les robes, de préférence de couleurs assez sobres. Mais elle est en réalité loin d'être coquette, et l'idée de se promener en ville couverte de terre et mal coiffée ne l'effraie absolument pas... Si Tropry ne sort généralement pas en sentant une odeur proche de celle de l'animal en putréfaction, c'est avant tout pour que son image corresponde à qui elle est vraiment à l'intérieur : une "grande philosophe" respectable et distinguée.
Si, par exemple, je vous dit : "Ce ciel peut-être comparable au calme d'une bonne nuit de sommeil, rien ni personne ne peut mettre fin au bonheur procuré par cette situation, le paisible poussé à son paroxysme, lorsque tout être humain se sent comme transporté plus loin de la nucléarité de se monde, car seuls les sages ne peuvent juger la beauté d'une goutte de rosée dans laquelle est plongé l'univers entier, n'est ce pas ?" ... Que me répondrez-vous ? Oui, c'est bien ce que je pensais... Typiquement quelque chose que la demoiselle dirait. N'essayez pas de chercher un sens à cette phrase : il n'y en a aucun. Tout ce que dit Elena est totalement incompréhensible, même si elle se tuera à vous expliquer que c'est parfaitement logique.
La demoiselle mesure environ 1m65 pour 37 kilos, ce qui est, me diriez-vous, loin d'être raisonnable... De ce fait, elle n'est pas vraiment musclée physiquement, mais cela ne l'empêche par pour autant d'avoir une force bien supérieure aux filles de son âge.
Elena ne jure que par les robes, de préférence de couleurs assez sobres. Mais elle est en réalité loin d'être coquette, et l'idée de se promener en ville couverte de terre et mal coiffée ne l'effraie absolument pas... Si Tropry ne sort généralement pas en sentant une odeur proche de celle de l'animal en putréfaction, c'est avant tout pour que son image corresponde à qui elle est vraiment à l'intérieur : une "grande philosophe" respectable et distinguée.
Si, par exemple, je vous dit : "Ce ciel peut-être comparable au calme d'une bonne nuit de sommeil, rien ni personne ne peut mettre fin au bonheur procuré par cette situation, le paisible poussé à son paroxysme, lorsque tout être humain se sent comme transporté plus loin de la nucléarité de se monde, car seuls les sages ne peuvent juger la beauté d'une goutte de rosée dans laquelle est plongé l'univers entier, n'est ce pas ?" ... Que me répondrez-vous ? Oui, c'est bien ce que je pensais... Typiquement quelque chose que la demoiselle dirait. N'essayez pas de chercher un sens à cette phrase : il n'y en a aucun. Tout ce que dit Elena est totalement incompréhensible, même si elle se tuera à vous expliquer que c'est parfaitement logique.
>> Psychologie
On peut facilement dire qu'Elena est une jeune femme... Originale ?
N'étant qu'une enfant, elle avait déjà une personnalité bien forgée : la demoiselle était courageuse et assez mature pour son âge, c'était souvent celle qui prenait les décisions, qui départageait les malentendus entre ses camarades, en qui tout le monde avait confiance... C'était en quelque sorte la voix de la raison.
De raison, aujourd'hui, ne demeure plus chez Elena. Oubliez les stéréotypes sur les folles qui ne vivent que pour tuer, celles qui parlent toutes seules et qui mettent fin à la vie des petites créatures mignonnes pour le plaisir : notre philosophe est loin de tout ça. Elle n'est en réalité absolument pas stupide, elle a juste sa vision du monde, sa logique... Que personne ne comprends. Et pour cause, presque tout ce qu'elle dit est tout simplement incompréhensible, du fait qu'elle déguise chacun de ses propos de métaphores ou de comparaison dans lesquelles elle se perd, elle n'exprimera jamais une idée de manière simple et nette.
Elle a une étrange vision de la vie extérieure et a quelques difficultés à s'adapter. Elena sait tout ce qu'il y a à savoir sur beaucoup de sujets, mais elle applique ses connaissances de manière tellement étrange, même les choses les plus simples, qu'énormément de personne la juge comme une névrosé. À vrai dire, il est vrai que quelque chose ne tourne pas rond chez elle, mais ses longs monologues sans queue ni tête ne sont pas une facette de ce déséquilibre mental.
Il faut dire qu'être élevée par des assassins et apprendre à tuer à partir de 12 ans, cela peut faire des dégâts, certes. Et d'ailleurs, ce fut clairement le cas. Tropry n'a absolument pas peur de tuer, et pas moins de mourir, car telle un animal, elle ne se pose aucune question sur ce jour tragique : presque comme si elle ne savait pas que cela allait arriver. Contrairement à beaucoup de choses, cette histoire est assez simple pour elle : tuer ou mourir.
Mais même avec ce train de vie, Elena n'est que très rarement sérieuse, mais cela ne l'empêche pas d'agir avec "classe" et "distinction"... Ou pas.
N'étant qu'une enfant, elle avait déjà une personnalité bien forgée : la demoiselle était courageuse et assez mature pour son âge, c'était souvent celle qui prenait les décisions, qui départageait les malentendus entre ses camarades, en qui tout le monde avait confiance... C'était en quelque sorte la voix de la raison.
De raison, aujourd'hui, ne demeure plus chez Elena. Oubliez les stéréotypes sur les folles qui ne vivent que pour tuer, celles qui parlent toutes seules et qui mettent fin à la vie des petites créatures mignonnes pour le plaisir : notre philosophe est loin de tout ça. Elle n'est en réalité absolument pas stupide, elle a juste sa vision du monde, sa logique... Que personne ne comprends. Et pour cause, presque tout ce qu'elle dit est tout simplement incompréhensible, du fait qu'elle déguise chacun de ses propos de métaphores ou de comparaison dans lesquelles elle se perd, elle n'exprimera jamais une idée de manière simple et nette.
Elle a une étrange vision de la vie extérieure et a quelques difficultés à s'adapter. Elena sait tout ce qu'il y a à savoir sur beaucoup de sujets, mais elle applique ses connaissances de manière tellement étrange, même les choses les plus simples, qu'énormément de personne la juge comme une névrosé. À vrai dire, il est vrai que quelque chose ne tourne pas rond chez elle, mais ses longs monologues sans queue ni tête ne sont pas une facette de ce déséquilibre mental.
Il faut dire qu'être élevée par des assassins et apprendre à tuer à partir de 12 ans, cela peut faire des dégâts, certes. Et d'ailleurs, ce fut clairement le cas. Tropry n'a absolument pas peur de tuer, et pas moins de mourir, car telle un animal, elle ne se pose aucune question sur ce jour tragique : presque comme si elle ne savait pas que cela allait arriver. Contrairement à beaucoup de choses, cette histoire est assez simple pour elle : tuer ou mourir.
Mais même avec ce train de vie, Elena n'est que très rarement sérieuse, mais cela ne l'empêche pas d'agir avec "classe" et "distinction"... Ou pas.
>> Biographie
South Blue, Gotham Island, automne 1609. Une femme tient un nouveau-né dans ses bras, une petite fille, elles sont toutes deux en train de pleurer. Une enfant non désirée, c'est triste. Une jeune mère abandonnée par son aimé, ça l'est aussi. Qu'en est-il de leurs avenirs ?
Et bien, la petite fut élevée seule par sa mère dans des conditions déplorables. Sa mère, elle n'en voulait pas, et l'enfant n'eut même pas la chance de connaitre son propre nom... Restant chez elle à longueur de journée, s'occupant du mieux qu'elle le pouvait lorsque sa génitrice coureuse de remparts était de sortie, la pauvre petite vécue un début de vie difficile, et cette situation se poursuivit jusqu'à ses 3 ans. Après cela ? L'adulte n'en pouvait tout simplement plus. C'est ainsi qu'elle abandonna la jeune enfant sans aucun regret dans une petite rue... Mais son heure n'était pas venue, et, par miracle, une bonne femme trouva l'enfant endormie seulement quelques heures après et l'emmena dans l'orphelinat dont elle avait la responsabilité. Là-bas, les nombreuses gérantes la prirent en main pour rattraper son éducation et pour lui apprendre à vivre normalement, ce qui fut une victoire totale. La fillette était intelligente, cultivée, polie, gentille, mais surtout aimée et acceptée de tous, qui finirent par enfin lui trouver un prénom :
Elena.
Pourquoi celui-ci ? Parce que la femme lui ayant sauvé la vie portait celui de Eléonore, tout simplement.
Mois de mai 1621, Elena est désormais âgée de 12 ans. La demoiselle est toujours la même, mais elle se fait de plus en plus distante. Contrairement à la plupart de ses amies, personne ne semble être intéressé par elle, et toute sa peine et sa jalousie ne fit que croitre au fil du temps. Mais ce jour-ci, alors qu'une autre de ses camarades rejoint, folle de joie, sa nouvelle famille, Elena n'en peux plus. Elle attend alors le soir venu pour s'éclipser discrètement de l'établissement, le cœur battant à tout rompre et un grand sourire dessiné sur ses lèvres. Elle était enfin libre !
Ce n'est qu'au petit matin, portant un petit baluchon ridiculement vide sur l'épaule, que l'enfant finit par comprendre son erreur. Pourtant, il était inimaginable de retourner dans l'établissement et d'y présenter ses excuses. Elle vivait désormais par elle même, et plus personne ne pourrait lui donner d'ordre.
Au bout de quelques minutes de marche -qui parrurent une éternité- Elena arriva enfin à la place du marché. Elle mourrait de faim, mais elle n'avait pas un sous en poche, et elle s'apprêtait à voler quelques fruits pour la toute première fois de sa vie. La fillette poussa un petit soupir et s'élança enfin tandis que le vendeur avait le dos tourné. Après avoir rempli ses petits bras d'oranges et de pommes, elle s'enfuit aussi vite que ses petites jambes le lui permettaient, non sans faire tomber quelques fruits au passage.
Au bout de quelques mètres, Elena finit par se réfugier dans une petite ruelle, en ayant d'abord prit la peine de vérifier que plus personne n'était encore à ses trousses. Un petit sourire de soulagement se dessina sur son visage tandis qu'elle se laissait glisser lentement contre le mur, mais cet instant de victoire prit rapidement fin lorsqu'elle remarqua qu'un homme à la carrure imposante se tenait en face d'elle.
"Tu les as volés ?" Demanda-t-il de sa voix grave en pointant les fruits du doigt.
L'enfant se contenta de bafouiller que ce n'était pas le cas, mais, évidemment, l'homme ne la crut pas un instant et l'emmena avec lui.
À sa grande surprise, elle fut accueillie par un petit groupe étrange, sans plus. Beaucoup d'hommes, quelques femmes, des petits entrepôts mal entretenus... Elena faisait désormais partie de ce gang d'assassins. Une nouvelle fois coupée du reste du monde, ceux ci l'élevèrent de manière acceptable et lui apprirent à tuer. Plus les membres engagés étaient jeunes et plus cela était profitable, et une jeune voleuse clandestine n'était, après tout, pas destinée à un meilleur futur.
Au bout de quelques années, Elena avait changé du tout au tout. Elle était désormais persuadée être une grande philosophe incomprise. Quand et pourquoi cela lui est-il venu à l'esprit ? Pas même elle ne le sait. Elle était devenue surprenante et inquiétante, mais étrangement avait gardé sa gentillesse. Elle tuait les gens qu'on lui ordonnait de tuer, sans plus.
Peut après ses 16 ans, alors qu'elle venait de se réveiller, Elena nota une agitation ne présageant rien de bon, et, une fois sortie, elle put distinguer le logo de la Marine, ceux ci ayant découvert leurs activités. Celle-ci, petite et discrète, s'enfuit rapidement en direction de la ville sans se faire apercevoir par qui que ce soit. Une fois de plus, elle était seule en ville, sans argent et sans but. Mais désormais, elle savait quoi faire. Du moins, c'est ce qu'elle croyait... Déjà, ses compétences pourraient lui être bien utiles, gardant une merveilleuse dague dans un petit sac à dos vieilli.
"Bon, déjà, si je veux commencer une vie normale telle une petite chenille voulant devenir un papillon, il me faut une identité..." Murmura la demoiselle pour elle-même en regardant les passants tout autour. Elena sourit en voyant un petit groupe de jeunes adultes et se dirigea joyeusement vers eux.
"Excusez moi, est-ce que l'un d'entre vous pourrait me trouver un nom ? J'ai besoin d'être un papillon."
Bon, au moins, elle savait comment avoir une identité... Mais évidemment, le groupe se contenta d'exploser de rire sous le regard perplexe de l'adolescente. Celle-ci continua de les regarder tandis qu'ils reprirent leur chemin, mais l'un d'entre eux, hilare, lâcha : "Elle en a trop pris !"
La jeune femme fit de nouveau un grand sourire et frappa dans ses mains pour exprimer son bonheur : Elena Tropry ! Quel nom magnifique, n'est ce pas ?
Tropry hurla un "Merci !" destiné à celui lui ayant soufflé d'idée et s'en alla tranquillement, folle de joie, avant de continuer : "... Je suis un papillon !"
Et bien, la petite fut élevée seule par sa mère dans des conditions déplorables. Sa mère, elle n'en voulait pas, et l'enfant n'eut même pas la chance de connaitre son propre nom... Restant chez elle à longueur de journée, s'occupant du mieux qu'elle le pouvait lorsque sa génitrice coureuse de remparts était de sortie, la pauvre petite vécue un début de vie difficile, et cette situation se poursuivit jusqu'à ses 3 ans. Après cela ? L'adulte n'en pouvait tout simplement plus. C'est ainsi qu'elle abandonna la jeune enfant sans aucun regret dans une petite rue... Mais son heure n'était pas venue, et, par miracle, une bonne femme trouva l'enfant endormie seulement quelques heures après et l'emmena dans l'orphelinat dont elle avait la responsabilité. Là-bas, les nombreuses gérantes la prirent en main pour rattraper son éducation et pour lui apprendre à vivre normalement, ce qui fut une victoire totale. La fillette était intelligente, cultivée, polie, gentille, mais surtout aimée et acceptée de tous, qui finirent par enfin lui trouver un prénom :
Elena.
Pourquoi celui-ci ? Parce que la femme lui ayant sauvé la vie portait celui de Eléonore, tout simplement.
Mois de mai 1621, Elena est désormais âgée de 12 ans. La demoiselle est toujours la même, mais elle se fait de plus en plus distante. Contrairement à la plupart de ses amies, personne ne semble être intéressé par elle, et toute sa peine et sa jalousie ne fit que croitre au fil du temps. Mais ce jour-ci, alors qu'une autre de ses camarades rejoint, folle de joie, sa nouvelle famille, Elena n'en peux plus. Elle attend alors le soir venu pour s'éclipser discrètement de l'établissement, le cœur battant à tout rompre et un grand sourire dessiné sur ses lèvres. Elle était enfin libre !
Ce n'est qu'au petit matin, portant un petit baluchon ridiculement vide sur l'épaule, que l'enfant finit par comprendre son erreur. Pourtant, il était inimaginable de retourner dans l'établissement et d'y présenter ses excuses. Elle vivait désormais par elle même, et plus personne ne pourrait lui donner d'ordre.
Au bout de quelques minutes de marche -qui parrurent une éternité- Elena arriva enfin à la place du marché. Elle mourrait de faim, mais elle n'avait pas un sous en poche, et elle s'apprêtait à voler quelques fruits pour la toute première fois de sa vie. La fillette poussa un petit soupir et s'élança enfin tandis que le vendeur avait le dos tourné. Après avoir rempli ses petits bras d'oranges et de pommes, elle s'enfuit aussi vite que ses petites jambes le lui permettaient, non sans faire tomber quelques fruits au passage.
Au bout de quelques mètres, Elena finit par se réfugier dans une petite ruelle, en ayant d'abord prit la peine de vérifier que plus personne n'était encore à ses trousses. Un petit sourire de soulagement se dessina sur son visage tandis qu'elle se laissait glisser lentement contre le mur, mais cet instant de victoire prit rapidement fin lorsqu'elle remarqua qu'un homme à la carrure imposante se tenait en face d'elle.
"Tu les as volés ?" Demanda-t-il de sa voix grave en pointant les fruits du doigt.
L'enfant se contenta de bafouiller que ce n'était pas le cas, mais, évidemment, l'homme ne la crut pas un instant et l'emmena avec lui.
À sa grande surprise, elle fut accueillie par un petit groupe étrange, sans plus. Beaucoup d'hommes, quelques femmes, des petits entrepôts mal entretenus... Elena faisait désormais partie de ce gang d'assassins. Une nouvelle fois coupée du reste du monde, ceux ci l'élevèrent de manière acceptable et lui apprirent à tuer. Plus les membres engagés étaient jeunes et plus cela était profitable, et une jeune voleuse clandestine n'était, après tout, pas destinée à un meilleur futur.
Au bout de quelques années, Elena avait changé du tout au tout. Elle était désormais persuadée être une grande philosophe incomprise. Quand et pourquoi cela lui est-il venu à l'esprit ? Pas même elle ne le sait. Elle était devenue surprenante et inquiétante, mais étrangement avait gardé sa gentillesse. Elle tuait les gens qu'on lui ordonnait de tuer, sans plus.
Peut après ses 16 ans, alors qu'elle venait de se réveiller, Elena nota une agitation ne présageant rien de bon, et, une fois sortie, elle put distinguer le logo de la Marine, ceux ci ayant découvert leurs activités. Celle-ci, petite et discrète, s'enfuit rapidement en direction de la ville sans se faire apercevoir par qui que ce soit. Une fois de plus, elle était seule en ville, sans argent et sans but. Mais désormais, elle savait quoi faire. Du moins, c'est ce qu'elle croyait... Déjà, ses compétences pourraient lui être bien utiles, gardant une merveilleuse dague dans un petit sac à dos vieilli.
"Bon, déjà, si je veux commencer une vie normale telle une petite chenille voulant devenir un papillon, il me faut une identité..." Murmura la demoiselle pour elle-même en regardant les passants tout autour. Elena sourit en voyant un petit groupe de jeunes adultes et se dirigea joyeusement vers eux.
"Excusez moi, est-ce que l'un d'entre vous pourrait me trouver un nom ? J'ai besoin d'être un papillon."
Bon, au moins, elle savait comment avoir une identité... Mais évidemment, le groupe se contenta d'exploser de rire sous le regard perplexe de l'adolescente. Celle-ci continua de les regarder tandis qu'ils reprirent leur chemin, mais l'un d'entre eux, hilare, lâcha : "Elle en a trop pris !"
La jeune femme fit de nouveau un grand sourire et frappa dans ses mains pour exprimer son bonheur : Elena Tropry ! Quel nom magnifique, n'est ce pas ?
Tropry hurla un "Merci !" destiné à celui lui ayant soufflé d'idée et s'en alla tranquillement, folle de joie, avant de continuer : "... Je suis un papillon !"
>> Test RP
Le clocher venait d'annoncer 19 heures. Elena le savait, elle venait de compter les coups un à un, soufflant un petit "Ding !" dès que l'énorme cloche produisait un son.
La jeune demoiselle fraichement nommée déambulait paisiblement, sans but précis. Il faisait plutôt bon et encore assez jour, il lui restait donc une ou deux heures avant de se demander où allait-elle dormir cette nuit. Un peu dans la lune, elle se contentait d'emprunter des chemins peu fréquentés, mais quelque chose lui fit sortir de sa bulle : un magnifique papillon orange lui passa sous le nez. Elena se mit à le suivre en gardant sa démarche nonchalante, fermant les yeux tandis qu'elle parlait :"N'es-tu pas adorable, toi, symbole de liberté fragile et respectable ? Enfin, la colombe est le premier symbole de liberté... Qui est le plus libre dans ce cas ? L'oiseau ou l'insecte ? L'oiseau mange l'insecte, mais l'insecte est plus léger... Mais si l'oiseau mange l'insecte, est-il si libre que ça ? Manger un autre symbole juste pour satisfaire sa faim, n'est ce pas une entrave à la liberté de l'autre, donc de soi ? De plus, si-"
Tropry n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle trébucha sur un gros caillou avant de tomber ridiculement au sol. Par réflexe, elle tendit le bras vers le papillon qui s'éloignait et dit, d'une voix pleine de désespoir :
"Noooon, revieeens, merveilleuse créature !"
Ignorant son genou blessé, l'adolescente se leva aussitôt pour se remettre à le suivre, accélérant de plus en plus la cadence. Alors qu'elle était presque en train de lui courir après, elle tomba à nouveau, cette fois ci à cause d'une racine.
"C'est pas mon jour aujourd'hui..." Soupira-t-elle en se relevant difficilement.
En levant la tête, Elena remarqua avec regret que le lépidoptère qu'elle suivait était parti. Mais son regret insignifiant se transforma en peur lorsqu'elle remarqua la forêt gigantesque et inquiétante dans laquelle elle avait pénétré. La demoiselle regarda lentement tout autour d'elle, essayant de voir un signe quelconque qui lui rappèlerait le chemin qu'elle avait emprunté...
Rien.
Seulement de grands arbres, la nuit, le silence oppressant, et une adolescente terrorisée.
Elle poussa un petit soupir et se mit à avancer lentement dans une direction choisie au hasard, scrutant tout le décor autour d'elle. Mais au bout de cinq minutes de marche, le silence se brisa un instant pour laisser place à un petit bruit inquiétant. Elena écarquilla les yeux et se mit à courir, tentant de ne pas hurler. La jouvencelle arriva finalement en face d'un énorme arbre, et décida de faire volte-face pour trouver, à environ 10 mètres en face d'elle, un loup imposant. Elle ne put cette fois-ci s'empêcher de pousser un cri avant de se ruer vers l'arbre pour l'escalader le plus haut qu'elle ne le pouvait. Elle passa la tête à travers les feuillages afin de voir l'animal qui c'était dangereusement approché de l'arbre. Tropry voulut se reculer un peu, mais son genou lui faisait toujours mal, et c'est en décalant sa jambe qu'elle sentit son corps tomber.
Elena ferma les yeux et poussa un nouveau cri strident, uniquement accroché à la branche avec ses mains.
"C'est aujourd'hui que s'éteint une grande philosophe..." Murmura-t-elle d'une voix tremblante, les paupières toujours closes.
"Boudiou, Lassie, viens par là !"
Tropry ouvrit un œil en entendant cette grosse voix pour voir l'animal, qui n'était qu'un simple chien, retourner tranquillement voir son maitre... Mais ses doigts finirent par lâcher et la demoiselle chuta... Environ d'un mètre. En fin de compte, elle n'avait pas grimpé si haut que ça.
Elle dépoussiéra rapidement sa robe avant de se ruer vers le propriétaire de l'animal et de lui implorer de lui indiquer la sortie de cette forêt, ce à quoi il répondit qu'il fallait juste suivre le chemin pendant environ deux minutes.
Elena ne prit même pas le temps de le remercier et couru en direction de la sortie. Une fois la ville atteinte, elle se recoiffa rapidement et lâcha d'un air fier :
"J'ai même pas eu peur."
La jeune demoiselle fraichement nommée déambulait paisiblement, sans but précis. Il faisait plutôt bon et encore assez jour, il lui restait donc une ou deux heures avant de se demander où allait-elle dormir cette nuit. Un peu dans la lune, elle se contentait d'emprunter des chemins peu fréquentés, mais quelque chose lui fit sortir de sa bulle : un magnifique papillon orange lui passa sous le nez. Elena se mit à le suivre en gardant sa démarche nonchalante, fermant les yeux tandis qu'elle parlait :"N'es-tu pas adorable, toi, symbole de liberté fragile et respectable ? Enfin, la colombe est le premier symbole de liberté... Qui est le plus libre dans ce cas ? L'oiseau ou l'insecte ? L'oiseau mange l'insecte, mais l'insecte est plus léger... Mais si l'oiseau mange l'insecte, est-il si libre que ça ? Manger un autre symbole juste pour satisfaire sa faim, n'est ce pas une entrave à la liberté de l'autre, donc de soi ? De plus, si-"
Tropry n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle trébucha sur un gros caillou avant de tomber ridiculement au sol. Par réflexe, elle tendit le bras vers le papillon qui s'éloignait et dit, d'une voix pleine de désespoir :
"Noooon, revieeens, merveilleuse créature !"
Ignorant son genou blessé, l'adolescente se leva aussitôt pour se remettre à le suivre, accélérant de plus en plus la cadence. Alors qu'elle était presque en train de lui courir après, elle tomba à nouveau, cette fois ci à cause d'une racine.
"C'est pas mon jour aujourd'hui..." Soupira-t-elle en se relevant difficilement.
En levant la tête, Elena remarqua avec regret que le lépidoptère qu'elle suivait était parti. Mais son regret insignifiant se transforma en peur lorsqu'elle remarqua la forêt gigantesque et inquiétante dans laquelle elle avait pénétré. La demoiselle regarda lentement tout autour d'elle, essayant de voir un signe quelconque qui lui rappèlerait le chemin qu'elle avait emprunté...
Rien.
Seulement de grands arbres, la nuit, le silence oppressant, et une adolescente terrorisée.
Elle poussa un petit soupir et se mit à avancer lentement dans une direction choisie au hasard, scrutant tout le décor autour d'elle. Mais au bout de cinq minutes de marche, le silence se brisa un instant pour laisser place à un petit bruit inquiétant. Elena écarquilla les yeux et se mit à courir, tentant de ne pas hurler. La jouvencelle arriva finalement en face d'un énorme arbre, et décida de faire volte-face pour trouver, à environ 10 mètres en face d'elle, un loup imposant. Elle ne put cette fois-ci s'empêcher de pousser un cri avant de se ruer vers l'arbre pour l'escalader le plus haut qu'elle ne le pouvait. Elle passa la tête à travers les feuillages afin de voir l'animal qui c'était dangereusement approché de l'arbre. Tropry voulut se reculer un peu, mais son genou lui faisait toujours mal, et c'est en décalant sa jambe qu'elle sentit son corps tomber.
Elena ferma les yeux et poussa un nouveau cri strident, uniquement accroché à la branche avec ses mains.
"C'est aujourd'hui que s'éteint une grande philosophe..." Murmura-t-elle d'une voix tremblante, les paupières toujours closes.
"Boudiou, Lassie, viens par là !"
Tropry ouvrit un œil en entendant cette grosse voix pour voir l'animal, qui n'était qu'un simple chien, retourner tranquillement voir son maitre... Mais ses doigts finirent par lâcher et la demoiselle chuta... Environ d'un mètre. En fin de compte, elle n'avait pas grimpé si haut que ça.
Elle dépoussiéra rapidement sa robe avant de se ruer vers le propriétaire de l'animal et de lui implorer de lui indiquer la sortie de cette forêt, ce à quoi il répondit qu'il fallait juste suivre le chemin pendant environ deux minutes.
Elena ne prit même pas le temps de le remercier et couru en direction de la sortie. Une fois la ville atteinte, elle se recoiffa rapidement et lâcha d'un air fier :
"J'ai même pas eu peur."
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Informations IRL
Prénom : Lola
Age : 14 ans
Aime : Les licornes, les langues, le dessin, les jeux-vidéos, l'humour noir, les trucs glauques, Paris, regarder mon petit poney, le rp, le mot "brebis" et pleins d'autres trucs cools
N'aime pas : Les insectes, les matières scientifiques, les teletubbies (surtout le mauve), les gens sans second degré, la plupart des programmes télévisés, les plats radioactifs de la cantine, quand senpai ne me notice pas
Personnage préféré de One Piece : Chiengouin bien entendu !
Caractère : Heh, alors, par où commencer >_> Déjà, je suis la petite soeur de Nazgahl, donc je lui ressemble beaucoup... Sinon, pas très futée, pas très organisée, pas très mature et pas très prévisible mais généralement on m'aime bien quand même, donc ça va ! o/
Fait du RP depuis : A peu près depuis 2 ans ^^
Disponibilité approximative : Je dirais... 5 jours par semaine ?
Comment avez-vous connu le forum ? Nazgahlou me l'a montré et j'ai directement trouvé l'ambiance sympa et marrante, donc bon
Prénom : Lola
Age : 14 ans
Aime : Les licornes, les langues, le dessin, les jeux-vidéos, l'humour noir, les trucs glauques, Paris, regarder mon petit poney, le rp, le mot "brebis" et pleins d'autres trucs cools
N'aime pas : Les insectes, les matières scientifiques, les teletubbies (surtout le mauve), les gens sans second degré, la plupart des programmes télévisés, les plats radioactifs de la cantine, quand senpai ne me notice pas
Personnage préféré de One Piece : Chiengouin bien entendu !
Caractère : Heh, alors, par où commencer >_> Déjà, je suis la petite soeur de Nazgahl, donc je lui ressemble beaucoup... Sinon, pas très futée, pas très organisée, pas très mature et pas très prévisible mais généralement on m'aime bien quand même, donc ça va ! o/
Fait du RP depuis : A peu près depuis 2 ans ^^
Disponibilité approximative : Je dirais... 5 jours par semaine ?
Comment avez-vous connu le forum ? Nazgahlou me l'a montré et j'ai directement trouvé l'ambiance sympa et marrante, donc bon
Dernière édition par Elena Tropry le Dim 11 Mai 2014, 23:05, édité 6 fois