Hamza

Gladiateur numéro 3725 :

Les gardes poussent un homme couvert de la tête aux pieds. Des vêtements légers qui ne gênent pas pour les déplacements. Seuls ses yeux perçant son visible. Un regard capable de défier n'importe quel homme. Des yeux qui vous disent clairement qu'ils ne sont pas terrifiés et ne le seront jamais. Sa taille est d'environ un mètre soixante-douze pour soixante-dix kilos. Une carrure svelte.  Des muscles assez fins pour une plus grande agilité. Suite au premier aperçu, on lui retire le tissu qui couvre son visage. Des cheveux mi-long apparaissent. D'un noir intense comme le bouc qu'il porte.

Même lorsqu'on le questionne, il ne répond pas tout le temps. Le silence et le mystère l'entourent. Lorsqu'il parle ce n'est pas pour rien. D'après lui, ce n'est pas parce qu'on a la possibilité de parler que l'on peut s'en servir n'importe comment. Sinon, sa voix n'a rien d'extraordinaire. Ni trop grave ni trop aigu. Une voix d'homme lambda.

L'homme semble toujours concentré. Toujours prêt au combat ou à contrer une éventuelle tentative d'assassinat. Ses yeux sont vifs et regardent tout. Ses déplacements sont calculés pour éviter de trop s'approcher d’autrui. Puis il s'assoit. Souvent assis ou accroupi, les mains croisées, le dos courbé. Un aspect qui nous laisse croire qu'il prépare un mauvais coup.

Avant chaque combat ou après, le gladiateur pose un genou au sol et lance quelque parole à son défunt de frère.

[Comptez une dizaine de lignes minimum.]

La vie d'esclave, de gladiateur a énormément calmé Hamza. Avant c'était un jeune dynamique. Une pile électrique. Maintenant il est posé et observateur. Dans un groupe, il y a toujours une personne qui parle moins que les autres. Ici, la personne est notre gladiateur. Souvent il n'a pas d'avis sur les questions que se posent les autres ou les discussions. Une seule chose l'importe. Retrouvé la liberté et sa famille.

Il a toujours privilégié la diplomatie et les intérêts des autres plutôt qu'une vengeance. Sauf pour un cas. Son maître du nom de Kartoug. Il s'est juré de le tuer. Ce terme n'est pas encore assez cruel pour expliquer à quel point Hamza souhaite accomplir cela de ses propres mains. Il est capable de le tuer, de le retuer. De l'enterrer, de le déterrer et de le tuer de nouveau. De jeter la carcasse à des vautours ou des hyènes.  Enfin, je pense que maintenant vous voyez un peu plus son état d'esprit.

Pour survivre il est capable de tout. Tué comme il fait tout le temps dans l'arène. Même s'il n'a pas un mauvais fonds, ce mode de vie la programmer pour tué. C'est ce qu'il fait à la perfection. Ses mouvements lors d'un duel son simple. Pour lui c'est un combat à mort. Tué le plus rapidement possible. Ses reflex meurtriers pourraient lui causer pas mal de problèmes. Un ami qui fait un mouvement brusque ou le surprend peut vite se faire maîtriser et se prendre un mauvais coup. C'est la raison pour laquelle Hamza garde ses distances avec autrui.

Sa famille et son bien le plus précieux. Si vous les insultez, les menacez. Vous pouvez être sur que le gladiateur fera tout ce qui en son pouvoir pour vous envoyer dans l'autre monde. Inversement. Si vous sauviez, vous occupez bien de ces êtres, alors vous aurez toute sa gratitude et il pourrait vous rendre service.

Ses mains on tuait son frère adorer. Alors que vous soyez l'homme le plus puissant du monde ou le plus faible, si vous le provoquez et touchez les points sensibles. Bonne chance.

Notre homme n'est pas dénué d'intelligence. Les insultes sont collectionnées. Il tentera de calmer le jeu jusqu'à ce que le point de non-retour soit atteint. Ce point vous offre un poing qui fera des aller et retour.


[Comptez une dizaine de lignes minimum.]

Royaume de Saint Urea.

Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.

Salut Hamza, v’là ton test rp

Tu es peut-être l’un des meilleurs gladiateurs dans le coin, et les spectateurs aiment voir des gens comme toi au bord de la mort pour te surpasser. La nouvelle idée dans laquelle tu as été jeté, c’est de te faire diriger une trentaine de types qui n’ont probablement jamais combattu de leur vie, voire même porter une main. Et en face, c’est cinq de tes challengers parmi les gladiateurs qui te font face. Trop fort pour toi seul. À toi de profiter de ton avantage numérique.

Raconte-nous comment ça s’est terminé.

Bon courage ! Pluche !

Dans une petite salle, les hommes s'arment. Pas besoin d'être expert en observation pour remarquer qu'aucun d'eux n'a manié ce genre d'outil dans sa vie. Un casque, un plastron et pour finir une épée. Voilà les trois objets qu'ils choisissent tous sans exception. En tant que chef, Hamza n'a le droit qu'a deux objets qui sont un bouclier et une lance.  Les hommes tremblent. Terrifier. Le bruit des spectateurs leur met une pression comme pas possible. Seul dans un coin, l'expérimenter est assis sans balancer le moindre mot. Le dos courbé, les mains croisé. Un homme s'approche lentement de lui. Avec une voix hésitante il lui adresse la parole.

-On on nous a dit que c'est vous le chef.

-...

Pas de réponse. Juste un regard qui glace le pauvre homme qui recul d'un pas. Un garde annonce un compte à rebours. Plus qu'une minute. Les gladiateurs se lèvent, prêts à entrer. Devant la porte qui les sépare de l'enfer, un homme leur fait face pour leur annoncer pour la plupart leur dernière parole. Tandis que le chef du jour reste au fond et pose un genou au sol.

-C'est cinq victimes que je dois tuer. Un jour de plus dans cet enfer. Grand frère veuille sur notre famille bien-aimée. Protège-les le temps que j'accomplis mon sermon.
Devant les portes.

-Si vous vous retrouvez tout seul, chevauchant de verts pâturages avec le soleil sur le visage, n’en soyez pas troublé, car vous êtes dans l'arène et vous êtes déjà morts.

Puis il se retire. Hamza passe devant tout le monde.

-Si vous voulez vivre. Rester tous grouper. Tel un bloque nous avancerons et nous vaincrons.

La porte s'ouvre et le soleil est le premier agresseur. Le temps de s’accommoder à cela que les gladiateurs sortent en douceur sous l'acclamation des spectateurs. Les hommes sont collés. Une véritable phalange. Si seulement ils avaient des boucliers... Étrange situation. Probablement du jamais vu. Le combat ne commence pas immédiatement. C'est donc les cinq qui vont lancer l'assaut. Un char sort d'une autre porte. L'un des cinq monte dessus et prend son arc.
Une fleche = un mort.
Première observation. Cinq secondes par tir.

Pas foutu d'esquiver ce genre de projectile. Hamza se lance vers un adversaire. S'il reste inactif plus longtemps les flèches vont décimer toute la petite troupe. Un coup direct. L'adversaire esquive en effectuant une rotation et lance une attaque à l'épée au niveau de la jambe. Un bond en arrière de la part du gladiateur suivi d'une attaque vertical bloquer.
Les autres entrent dans la danse. L'un avec un fléau explose les rangs de la phalange. Trois contre trente et c'est les trois qui dominent. Heureusement que les plastrons et casques réduisent les dégâts. Une flèche arrive vers Hamza qui lève son bouclier et la bloque. Pas le temps de s'occuper des autres, l'adversaire en face est assez fort pour mérité toute son intention. C'est pour ça qu'il va l'ignorer le temps d'un instant ! Frappant le sable chaud pour bloquer la vue durant une poignée de seconde. Ce laps de temps lui permet de se retourner et de lancer son arme sur l'homme au fléau. Un coup dans le dos. Le choque le paralyse un brève instant et les novices le plantent de toute part.

Plus que vingt blues et quatre ennemies.


Sans son arme, Hamza recule tout en parant des attaques. Se dirigeant vers l'épée d'un des morts, l'archer descend du char et viens donner un coup de main pour tué le problème de l'arène. Le char continue de tourner autour de l'arène. Une flèche et un coup d'épée en même temps. La flèche se dirigeant vers la tête est bloqué et l'attaque le touche au niveau de l'épaule. En se décalant à la dernière seconde, il évite un coup mortel. Pas besoin d'arme pour tué. Il lance son bouclier vers l'archer. Le sabreur va pour lancer une nouvelle attaque, mais le gladiateur bondit vers lui. Le plaquant au sol. Les hommes luttent. L'adversaire tente de le renverser

-4.. 5

Puis Hamza se laisse renverser et tir par la même occasion son adversaire pour le placer sur lui. La flèche lançait dans le parfait timing. Le temps parfaitement calculé précédemment. Surpris par la flèche qui se loge dans sa hanche, les mains du sabreur qui saisissent la gorge du gladiateur se desserrent légèrement. Profitant de cette occasion en or, l'homme aux yeux bleus tord le cou de l'individu et s'en sert comme bouclier le temps de ramasser l'épée. L'archer fui et tente de regagner le char. Sauf qu'il est déjà trop tard. Avec un pas léger et habitué du sable, Hamza fonce vers sa cible. Un saut et la lame prise à l'envers pour pouvoir le planter sans la moindre pitié. L'ennemi a à peine le temps de sortir une dague et de poignarder le gladiateur en même temps. Un coup qui risque d'être mortel si la blessure n'est pas soignée rapidement.

Plus que deux ennemis et une dizaine de gaillard qui reste bien grouper. Même des tueurs aussi expérimentés ne peuvent détruire autant d'hommes regroupés si aisément. Le chef du jour monte sur le char et envoie dans le décor le conducteur. Les deux adversaires restants regardent de toute part et se mettent dos à dos pour éviter de se prendre une flèche ou une attaque surprise. Mais c'est tout un char qui fonce sur eux. Des chevaux bien excités. Les hommes sautent et se séparent. Même des débutants peuvent sortir les crocs. Ses derniers ont ramassé les armes des défunts et les lances tous sur une même cible qui est déséquilibrée à cause de l'esquive du char. La cible est rempli de blessure mais pas encore mort, Hamza arrête le char et descend d'un pas lent. Se dirigeant vers le centre et regardant Kartoug qui se délecte du spectacle.

Suite à un simple mouvement de la main de ce dernier, une vingtaine d'archers visent l'arène. Le message est clair. Soit tu finis le combat, sois tu meurs. C'est donc en tant que bourreau qu'il tue l'avant-dernier ennemi. La foule est en délire. A croire que chaque goutte de sang répandu augmente l'exitation du public. Le dernier qui possède deux haches se voit acculé. Avec la force du désespoir il lance une attaque sur le groupe qui a à sa tête Hamza possédant sa lance et son bouclier.

-Lancez vos armes.

Les hommes s'exécutent et pour parait le tout, l'adversaire effectue une vrille avec ses deux armes qui contre tout. En observant parfaitement la rotation, Hamza voit l'ouverture. Sur la dernière rotation qui est la plus lente, lorsqu'il va se rétablir le gladiateur lui enfonce la lance au niveau du sternum qui bloque d'un coup l’élan des deux hommes. Puis d'un coup de pied pour retirer le futur cadavre, il éjecte le corps dans les pics qui entourent l'arène. Sur le point de tomber en arrière à cause de ses blessures, un homme pose sa main sur le dos.

Les gladiateurs sont aux anges comme les spectateurs et le responsable. Pour Hamza, c'est une défaite de plus. Un jour de plus dans cet enfer.

Salut Hamza, v’là ton premier avis

Le point forme
ses yeux perçantS sonT visibleS
Des cheveux mi-longS
ce mode de vie la programmer pour tué => l’a programmé pour tuer
Ses mouvements lors d’un duel sonT simpleS
Vous pouvez être sur => sûr
Ses mains on tuait => ont tué
Une sieste un peu longUE
À son réveille => réveil
le seul fait de voir leur mère pleurer les amenaient => amenait
les petits jobs se font rareS
La mère était => était
Les gardes étaient bien entraînés et beaucoup plus fortS. Hamza réussiT à se dégager
il décida d'embarquer les deux garçons et que la dette serra rembourser avec ça. => la dette était remboursée
les jeunes hommes étaient amenée => amenés
les gardes étaient mieux équipée => équipés
PrendS ma vie.
Les épées s’entre choc => s’entrechoquent
une racléE
Il s'écroula et Hamza le retenu => retint
J'te l'prometS
En tant que chef, Hamza n'a le droit qu'a deux objets => qu’à
les mains croiséES
Juste un regard qui glace le pauvre homme qui reculE d'un pas
Grand frère veuille sur notre famille bien-aimée. => veille
Fleche => flêche
une attaque verticalE
'adversaire en face est assez fort pour mérité toute son intention => mériter
l'archer descend du char et viens donner => vient
a flèche se dirigeant vers la tête est bloquéE
Pas besoin d'arme pour tué => tuer
L'archer fuiT
une dizaine de gaillardS
La cible est rempliE
Soit tu finis le combat, sois tu meurs => soit tu meurs
Exitation => excitation
Les hommes s'exécutent et pour parait le tout, => parer

Avec le temps, je pense qu’on a dû te dire que la relecture, c’est le bien. Il y a des fautes bien bêtes, c’est quand même dommage.


Niveau descriptions, à force, tu sais ce qu’il faut faire niveau physique. C’est complet. Niveau psychologie, je trouve qu’il manque un peu de profondeur avec deux aspects majeurs : sa famille et son efficacité au combat. Ça laisse peu de leviers, je trouve, sur lesquelles jouer en rp.


Niveau biographie, quelques remarques

Le port qui se fait canarder, ça fait du bruit. Dans le genre, la famille aurait déjà dû avoir la puce à l’oreille en ne voyant pas le père rentrer. On parle de la grosse purge de Saint Uréa quand même, ça s’est pas fait dans la dentelle. Et pour le coup, l’oncle qui arrive en sachant ce qui est advenu du père au milieu de tout ce merdier, ça fait bizarre.

Sans père, mais sans famille ? Il y a un oncle ? Il y’en a pas d’autres ? Personne pour aider ?

Les premiers combats se font toujours sur Saint Uréa ? Dans quelle cadre ? Est-ce accepté ? Est-ce que ta famille ne tente pas de vous reprendre ?

Ils partent sur une autre ile. Quelle ile ? Et surtout, quel genre d’ile ? Dans quel coin ?

À cela faut ajouter un peu sur l’ambiance. Relation avec les autres gladiateurs. Conditions de vie, développement de la psychologie du personnage. Ça aurait été cool. Pour le reste, ça se tient avec une biographie qui laisse peu de place à enrichissement du background, malheureusement.



Niveau test rp, j’ai eu quelques soucis. Déjà, le style rend assez mal, je trouve, et ça s’est vu aussi dans la biographie Très saccadée avec beaucoup de points, ça manque de fluidité. Et il y a aussi les transitions entre les différentes actions qui sont pas faites tout le temps. On sait pas forcément ce qui se passe, qui fait quoi. Ça rend la lecture pas très claire.
Sur le fond, tout tourne autour de toi et on a l’impression que c’est juste une grosse baston. Il y a pas des masses de stratégie dans tout ça alors que ça semble être une base pour un tel affrontement contre des types qui ne sont pas des amateurs dans le domaine. Dans le genre truc bizarre, il y’a l’archer qui descend de son char. J’en vois pas l’intérêt. Tes collègues combattent en groupe, mais on dirait que tes adversaires ne connaissent pas cette vertu du combat en groupe.

Comme j’ai dit, ça fait grosse baston. Beaucoup d’actions, pas vraiment d’ambiance pendant un bout de temps, pas des masses de réflexions, de temps pour poser l’action, pour présenter ce qui se passe autour de toi en plus de ce que, toi, tu vois. C’est un gros bloc un peu lourd, en fait, à la lecture.

Niveau condition de la baston, t’as quand même ton perso qui est pas vraiment mis en grosse difficulté. Il se fait blesser un moment, mais ça ne l’handicape pas vraiment. Pour tes collègues, ça se passe plutôt bien aussi. On dirait pas que c’est des gens qui ont jamais tué de leur vie. L’horreur du combat, c’est pas anodin. Et niveau psychologique, ça flanche pas des masses.

Enfin, il y a deux trucs qu’au niveau de ta psychologie, j’ai pas vraiment vus. Tu le dis prêt à tout pour vivre. À tuer le plus rapidement possible. Du coup, la trentaine de bleus avec toi, qu’est ce que t’en as à foutre ? Limite, ton perso aurait dû les utiliser pour mieux réussir. C’est ça, d’être prêt à tout. Pas juste de combattre au mieux. Et dans un autre exemple, on a l’impression qu’il a des réticences à tuer les deux derniers alors que bon, faut pas être une lumière pour savoir que si tu le fais pas, tu vas te faire trucider. Prêt à tout pour survivre quand même.

Bref, je suis sur du 500D.

Bon retour. Bon Rp. Pluche !