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Mizuki, l'enfant de la révolution

>> Mizuki


Mizuki, l'enfant de la révolution 716234misaki
Pseudonyme : Aucun pour l'instant
Age: 16 Ans
Sexe : Femme
Race : Humain

Métier : Voleuse
Groupe : Révolutionnaire
But : Éradiquer la maltraitance infantile. Donner un foyer à tous les orphelins du monde

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit des Ciseaux/Choki Choki No Mi , Éventuellement le Fruit de la Vie pour sa poupée
Équipement : Une joli poupée, un poignard, un sac à dos, un pistolet.
Codes du règlement :

Parrain : /

Ce compte est-il un DC ? : Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? :/
>> Physique

Harlem Snake était en état d'ébullition, « je veux que tout soit prêt avant son réveil ! hurlait-il à travers la salle, et de grâce, ramasser moi ce fauteuil que vous venez de faire tomber ! ». À l'autre bout de la pièce, une femme se leva et se dirigea vers Harlem.
« Pourquoi toute cette colère Harlem ? Tu vas me mettre en rogne. Je déteste les personnes énervées ! »
Harlem se retourna, ce n'était autre que cette vielle harpie de Martina. Que venait-elle faire ici ?
- Vois-tu, c'est l'anniversaire de Mizuki et j'aimerais que tous les préparatifs soit prêt. Cela doit être inoubliable.
- Mizuki, tu dis ? C'est la gamine que tu as ramenée il y a dix ans ? Il me semblait que tu voulais l'utiliser pour être une porteuse de bombe. J'aurai tout de suite su quelle bombe j'aurai pu créer pour elle. »
Harlem grimaça : « Avec le recul, je pense que cela aurait été indigne d'un révolutionnaire.
- Ne te moque pas de moi, tu es un manipulateur, cette gamine, elle fait partie de ton projet. Mais dis moi, quel âge a-t-elle maintenant ? En 10 ans, elle a du beaucoup grandir. À quoi ressemble-t-elle ? Une splendide jeune femme, une manipulatrice, non ?
- À vrai dire non. Elle a 16 ans, mais elle paraît extrêmement jeune. Je lui donnerai aisément 2 ans de moins. Elle n'est pas très grande, haute comme trois pommes et a le teint blafard. Elle ressemblerait à une petite poupée. Pour être honnête, si je ne la connaissais pas, elle me ferait froid dans le dos. D'ailleurs en parlant de poupée, elle est très légère et très svelte. J'ai l'impression qu'une bourrasque de vent pourrait la soulever et la faire s'envoler. »
Ils rirent.
« C'est étrange pour quelqu'un en pleine croissance, tu la nourris assez ?
- Pour qui me prends-tu, je n'y suis pour rien si elle ne mange pas. Ce n'est pas de ma faute si dès son plus jeune âge, elle n'a pas eu une alimentation suffisante. Forcément, cela laisse des séquelles. Bizarrement, elle adore les sucettes et les glaces. Enfin, savais-tu qu'elle ne souriait quasiment jamais ? Elle a toujours l'air triste. Les seules fois où elle sourit, on dirait qu'il est faux, qu'elle se moque. Une sorte de sourire de sadique.
- Hum ... Une future meurtrière. Elle sait se battre au moins, car si elle se fait prendre, elle devra se défendre. J'espère au moins qu'elle est meilleure combattante que toi, tu étais et tu restes un combattant de second ordre.
- Ne t'inquiète pas, même si en apparence, elle a l'air frêle, elle compense cela par son agilité et sa vitesse. Elle se déplace comme un fantôme, silencieuse et impassible. C'est d'ailleurs pour cela que je lui ai appris à utiliser un poignard : pour éliminer ses futures cibles de manières discrètes. Elle le dissimule sous sa manche gauche. Elle est droitière, mais je lui ai appris a utilisé ses deux mains.
- Formidable, ton projet semble proche de la réussite. Mais rappelle toi qu'elle se doit d'être discrète.
- Pour qui me prends-tu. Elle a pourtant une coiffure normale avec ses jolis petits cheveux noirs. Mais elle porte un bandage blanc sur son œil gauche.
- Ah oui ?
- Ses deux yeux sont de couleurs différentes et cela lui a porté préjudice dans son enfance. Elle laisse son œil rouge à l'air libre et masque le vert. C'est dommage, elle a une excellente acuité visuelle, enfin avec ses deux yeux. Mais sinon, elle a un petit uniforme noir composé d'une charmante petite veste et d'une petite jupe. Elle les agrémente avec un nœud rouge. On dirait moi en fille si j'avais son âge. Tout ce qu'il y a de plus normal.
- Nous n'avons pas le même concept de normalité. Enfin, j'espère qu'elle passera inaperçue. »
Ils rirent de nouveau.


>> Psychologie

« Cependant, la santé mentale de cette petite m'inquiète. Elle se balade tout le temps avec sa petite poupée qui est d'ailleurs aussi bizarre qu'elle. Parfois, je la surprend à parler avec elle. On dirait que cette poupée est sa seule véritable amie. Elle est véritablement attachée à cette poupée, cela fait dix ans qu'elle l'a possède et elle ne fait que la rafistolée. Tu ne la verras jamais sans elle. D'ailleurs, c'est moi qui lui ai offert. Il semblerait que ce soit son bien le plus précieux. Elle est assez renfermée et ne parle pas trop aux autres. Cependant, il suffit juste de faire le premier pas et de lui parler, elle te répondra. Je l'ai bien élevé. C'est d'ailleurs moi qui lui ai appris à lire et écrire.
- Mais concernant sa mentalité ?
- Et bien pour être franc, elle est assez troublée moralement. Je pense qu'elle a un problème pour discerner le bien et le mal. Pour elle, seule les causes justes mérites d'être défendues qu'elles soient bonnes ou mauvaises. C'est d'ailleurs ma plus grande fierté, elle est prête à tout.
- Elle est donc en accord avec nos idéaux de révolutionnaires.
- Tout à fait, je me considère un peu comme un marionnettiste, quelqu'un capable de façonner un être de A à Z. En général, elle fait ce que je lui dis de faire, car elle se sent redevable envers moi. Mais je ne suis pas un homme cruel loin de là. Tout ce que je lui ai demandé de faire était pour le bien de notre cause ... Cause qui est désormais la sienne.
- Mais quelle est sa motivation à cette petite ?
- Éradiquer la maltraitance infantile, quelque chose comme ça. Une action en lien avec les mioches. Il faut dire qu'elle a eu une enfance plutôt difficile. Pour elle, il est inconcevable de laisser des orphelins livrés à eux-mêmes. D'ailleurs, au départ, elle semblait détester les autres humains, cependant cela s'est amoindri avec le temps. Elle a redirigé sa haine vers le gouvernement. Je dirai qu'elle serait prête à donner sa vie pour notre cause. C'était d'ailleurs ce que j'avais prévu de faire avec elle. Mais bon, je me suis attaché à elle. J'ai un cœur.
- S'en est presque attendrissant venant de ta part.
- Ma poupée pourrait même t'éliminer durant ton sommeil, fais attention à toi. »
Harlem sourit :
« Cette gamine a le sens devoir, elle n'hésitera pas à éliminer ceux qui menacent ses frères de la révolution, mais surtout moi, son père adoptif et spirituel.
- Cela fait froid dans le dos. Mais a-t-elle déjà tué ?
- Pas directement. Mais indirectement oui. C'est ma petite poupée, mon jouet. Une création parfaite pour la révolution. Elle est impassible, ses sentiments sont masqués sous une immense carapace. Je ne sais pas si elle est heureuse à nos côtés. Je pense que oui. Elle n'a vraiment pas l'habitude d'exprimer ses sentiments. En fait, je pense qu'elle a du mal à les exprimer. Elle est très mature pour son âge.
- Pauvre petite chose ...
- Elle aime beaucoup être au grand air, tout ce qui est paysage bucolique avec une nature verdoyante. Quand il pleut, elle regarde souvent à l'extérieur, avec une pointe de mélancolie. Ah oui, elle adore la pluie. D'ailleurs, le seul sentiment qu'elle parvient à parfaitement à exprimer est la tristesse et plus particulièrement les pleurs. Elle sera un agent de terrain parfait.
- J'espère que tu ne rateras pas ton expérience cette fois-ci. On ne tolérera pas un autre échec.
- N'aie crainte, je maîtrise la situation. Le projet satellite n'échouera pas ... »
Brusquement, Harlem changea de ton « Pas comme ça la table ! Bande d'incapable, il faut tout faire soi-même » hurla-t-il de plus belle.


>> Biographie

La pluie ... Il pleuvait de nouveau. La petite fille adorait la pluie. Cependant, elle ne voulait pas être mouillée, car elle n'avait pas de vêtements de rechange. Elle essayait de s'abriter tant bien que mal sous le couvercle d'une poubelle lorsqu'un gamin l'interpella.
« - Maman, maman, regarde, c'est la sorcière ! Celle qui est possédée par un démon. J'espère qu'elle va mourir de froid sous cette pluie.
- Tais-toi Kojiro, elle risque de te jeter un mauvais sort. Ne la regarde surtout pas dans les yeux. »
Chaque jour ressemblait au précèdent. Ne pouvaient-ils pas la laisser tranquille. Elle n'avait rien fait de mal. Était-ce de sa faute si ses yeux n'avaient pas la même couleur ? Cela arrivait pourtant aux animaux. Alors pourquoi la traitait-on ainsi. Une larme coula sur sa joue. Elle ne méritait pas ça, un enfant ne méritait pas ça. Depuis quand était-elle là, à traîner autour des poubelles de la ville. Elle-même ne le savait pas. Elle avait toujours été seule, et cela, dès son plus jeune âge, enfin, elle ne s'en rappelait pas. Avait-elle eu des parents ? L'avaient-ils abandonné. Elle sécha ses larmes et se leva. La pluie, elle aurait aimé être de la pluie. La pluie lui remontait le moral. Elle pointa alors du doigt le garçon qui venait de la blesser. Elle arborait un regard provocateur.
« C'est celui qui dit qui l'est ! », dit-elle en tirant sa langue.
Le regard du garçon changea brutalement. Il se débattait dans les bras de sa mère, en hurlant qu'il allait mourir, que la sorcière lui avait jeté un sort. La petite fille se recroquevilla sous son abri de fortune et regarda la pluie tomber. Elle finit par s'assoupir, mais son sommeil fut de courte durée. Elle fut réveillée par le bruit de pas qui se rapprochait d'elle. « Sans doute les villageois qui viennent me lancer des pierres » se dit-elle. Elle posa le couvercle et se leva. Elle devait bouger si elle ne voulait pas se faire lapider. Une main se posa sur son épaule. Derrière elle. Elle voulut crier, mais aucun son ne sortit. L'individu avait son autre sur sa bouche. Son sang se glaça.
« Ferme-la tu veux, j'ai parlé aux villageois. Ils m'ont dit que je pouvais t'emmener avec moi. C'est super pas vrai ? Si tu te calmes, je ne te mettrai pas un foulard sur ta bouche, d'accord ? »
Elle hocha de la tête. Elle ne voyait pas clairement l'individu, mais c'était un jeune homme, il portait une étrange tenue noire.
« Parfait, on est parti. »
Pour la première fois de sa vie, elle pris peur. Qui était cet homme et que lui voulait-il ? Rapidement, elle fut bâillonnée, elle ne pouvait pas bouger, mais sa bouche était libre. L'homme la souleva avec une aisance et la posa sur son épaule tel un baluchon. Il marcha et semblait se diriger vers le port. Sur le chemin, elle vit le regard satisfait des villageois sur elle. Les larmes coulaient abondamment de son visage. Subitement, elle hurla : « J"veux pas être une esclave ! »

BOUM

Mizuki se réveilla subitement. Elle était en sueur. « Encore ce rêve ... » Cet affreux souvenir la hantait, c'était pourtant sa rencontre avec Harlem. Quel était ce bruit assourdissant ? Sans doute le fauteuil de la grande salle. Elle se leva et regarda à la fenêtre, la pluie ... Elle resta un moment à fixer les goûtes d'eau tomber. Pendant ce temps, elle pensait à sa rencontre avec Harlem, celle qui avait changé sa vie. Le jeune homme n'avait pas été tendre avec elle.

Après qu'elle eut criée sa volonté de ne pas être une esclave, il la frappa brutalement. Il lui dit de manière assez froide qu'elle serait une martyre pour la révolution, qu'elle devra se rendre sur un bâtiment du gouvernement, ceinturée par plusieurs bombes et qu'elle explosera. Mizuki avait beaucoup pleuré. Lorsqu'il la releva, elle vit son regard changé. Ses yeux, il avait vu ses yeux. S'en était finit d'elle, il allait peut-être la tuer ici et maintenant. Les villageois n'en seraient que soulagés. Doucement, il la reposa par terre.
« La sorcière ... Je vois ... C'est à cause des tes yeux. Ridicule, juste à cause de tes yeux... Quel village de coincés. Pauvre petite, tu n'as pas dû avoir une enfance facile. »
Il ria.
« Moi c'est Harlem, Harlem Snake. Snake est un nom de famille qu'on m'a donné ... Tu sais, j'étais un orphelin, tout comme toi. Je n'avais pas de nom. Regarde mon visage ? Des brûlures. On a comparé cela à des écailles à l'orphelinat et maintenant, on m'appelle Snake. Et toi c'est quoi ton nom ? »
Harlem la regarda dans les yeux. Elle n'avait pas de nom. Elle avait toujours été la sorcière.
« Je comprends ... La lune est belle aujourd'hui ... Tu sais quoi ? Je vais t'appeler Mizuki. Contente hein ? Bienvenue Mizuki, tu fais désormais parmi du monde des vivants ... Désormais, tu nous appartiens. »


Maintenant, elle s'en rappelait. Dix ans. Cela faisait dix ans qu'elle avait rencontré Harlem. Elle se dirigea vers son lit et prit délicatement sa poupée. « Tu vois Amamizu, je t'avais dit qu'il se rappellerait ». Elle était heureuse. Elle essaya de sourire, mais cela n'était pas naturel. Elle se dirigea de nouveau vers la fenêtre. Il pleuvait toujours.
Elle avait ensuite passé une longue durée sur un bateau pour finalement arriver devant une étrange battisse. Elle ne se rappelait que de cela, son premier trajet en bateau l'avait épuisé.

« C'est ce jour là où on s'est rencontré toutes les deux, c'est aussi nos dix ans à nous deux. C'est même Harlem qui nous a faits nous rencontrer. »

Elle n'avait jamais réellement connu son âge, mais Harlem lui avait dit qu'elle en avait 6 lors de leur rencontre. Harlem avait été plus qu'un père pour elle, c'était celui qui l'avait sauvé. Durant ces premières années, elle était toujours avec Harlem. Ce dernier était toujours en déplacement. Harlem lui avait appris à lire et à écrire. Parfois, il lui demandait de mendier, car il avait besoin d'argent. Elle se contentait de pleurer et les gens lui donnaient de l'argent, car il croyait qu'il lui manquait un œil. C'est à cette époque qu'elle a commencé à masquer l'un de ses yeux. Rapidement, Harlem lui avait appris à être agile et rapide. Elle devait voler les bourses des passants, trop obnubilés par leurs affaires. En effet, personne ne suspectait les enfants. Harlem appelait ça : la récolte de fonds. Même si son butin n'était pas très garni, Harlem était toujours satisfait : « Des petites quantités de berries d'argent formeront ensemble beaucoup de berries » répétait-il sans cesse. Au fil du temps, les choses qu'elle voler changèrent. Elle passa donc à des papiers importants, des breloques à revendre. Elle devait également quérir des informations pour Harlem. Elle était devenu quelqu'un d'important pour lui, sa petite poupée. Elle répéta inlassablement ces actions durant près de 8 ans. À la fin de chaque vol elle était récompensée par une sucette.

Lors des deux dernières années, son rôle changea. Elle n'était plus un couteau suisse. Elle devenait l'utilisatrice du couteau. Son entraînement qui autrefois était tourné vers la discrétion s'axait désormais vers les moyens de défense. Ils s'étaient entraînés durant plusieurs mois dans la lisière d'une forêt. Mizuki adorait cet endroit. Une chose est sur, elle y retournerait sûrement. Au départ, elle se faisait frapper sans cesse par Harlem. Ce dernier étant beaucoup plus âgé qu'elle s'en donnait à cœur joie. Elle pleurait beaucoup, mais Harlem parvenait à la calmer en lui donnant une glace. Après plusieurs semaines, elle parvenait à éviter ses coups. Il était affreusement prévisible. Elle n'était pas capable de le blesser hormis sur quelques points sensibles du corps humains. Elle avait ensuite appris à ce servir d'un poignard avec ses deux mains. « Vu que tu ne veux pas utiliser tes deux yeux, utilise donc tes deux mains ». Elle adorait la légèreté de cette arme, son charisme. Lorsqu'elle eut terminé ce dur entraînement, elle devint l'assistante d'Harlem. Désormais, elle volait également des armes pour les amis d'Harlem.


Mizuki toucha son bras. Son poignard était toujours là. Elle s'allongea sur son lit et leva les yeux aux plafonds.
« Je descendrai plus tard, Amamizu. »
Elle ferma les yeux. L'été précèdent ...

Harlem était devant elle, la fixant.
« Désormais, tu n'es plus la petite fille que j'ai recueillie. Je peux désormais te transmettre mes convictions. Je suis un membre de la Révolution même si tu t'en doutais. Notre objectif principal est de détruire le gouvernement.
La petite fille le fixa, impassible.
« Ils sont les sources de tous nos problèmes.
- C'est à cause d'eux que la maltraitance des enfants existe ?
- En partie, les mentalités, ma petite. Ce sera ton objectif dans la révolution non ? Ta motivation pour détruire le gouvernement : le bien-être des enfants. Pour ton baptême, j'ai besoin de ton aide pour un grand coup. Nous devons frapper fort pour montrer que nous sommes toujours là.
- Que dois-je faire ?
- Il y aura un défilé de marine, sur la place. Ta mission sera de poser une bombe sur cette place. On actionnera cette bombe lors du défilé.
- D'accord. Mais tu pense que j'en serai capable ?
- Bien entendu. Un jour, toi ma petite poupée volera de tes propres ailes. »


Mizuki frissonna, elle ne voulait pas penser à cela. L'explosion, les hurlements. Tout c'était passé très vite. Tous ces cadavres, le sang et les boyaux qui étaient éparpillés sur les restes de la place. « La révolution a des ennemis, et ses ennemis doivent être éliminés »murmura t-elle a sa poupée.

« Pas comme ça la table ! Bande d'incapable, il faut tout faire soi-même »

Harlem venait de crier. Mizuki décida de rejoindre ses camarades dans le salon. Ils devaient avoir fini les préparatifs. Elle prit sa poupée et descendit silencieusement les marches. Elle vit au loin une table garnit d'un imposant gâteau. Les révolutionnaires étaient autour de cette table. Elle vit Harlem qui lui faisait signe de s'approcher et de s'asseoir sur le fauteuil. Celui qui était placé au centre de la table. Une vielle dame se tenait à côté de son mentor. C'était Martina, une experte en explosifs, celle qui avait du fabriquer la bombe.
Mizuki se dirigea lentement vers le fauteuil et s'assit. Harlem souriait. Il prit un verre et demanda le silence.
« Camarade, j'aimerais porter un toast pour notre jolie Mizuki, ma douce poupée. Cela fait 10 ans que tu vis à nos côtés, que tu te bats, que tu luttes pour notre cause. Tu es désormais une jeune femme. Il est l'heure pour toi de nous quitter et de voler de tes propres ailes. Tu es désormais une vraie révolutionnaire. Mais n'aie crainte, nous resterons en contact. »
Harlem avait du mal à parler, visiblement l'émotion. La vielle Martina s'approcha d'elle, deux paquets de cadeaux sous ses bras. Elle les posa sur la table.
« Ouvre-les »dit-elle.
Mizuki posa sa poupée sur la table, sortit son poignard de sa manche et découpa avec rapidité le paquet cadeau. Un pistolet, il était léger. Dans l'autre paquet elle trouva un den-den mushi noir, un petit qu'on pouvait mettre dans sa poche. À son effigie, avec un œil rouge et l'autre vert. Elle sourit.

La révolution était en marche ...

>> Test RP

Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Informations IRL

Prénom : /
Age : 18 ans
Aime : Les pommes, les fêtes, les amis, conduire ...
N'aime pas : Les bouleaux, le boulot ...
Personnage préféré de One Piece : Koala
Caractère : Euh ... Sympathique et bavard
Fait du RP depuis : Pas d'expérience RP
Disponibilité approximative : Passage régulier mais pour le rp surtout en fin de semaine voire mercredi. Voire quasiment jamais à cause du bac
Comment avez-vous connu le forum ? Google


Dernière édition par Misaki le Dim 18 Mai 2014 - 16:03, édité 4 fois
    Petit up pour signaler que j’attends toujours mon test RP  Shocked 
      Salut Mizaki, bienvenue dans le coin

      Et v'là le test rp

      Une journée ordinaire où tu as volé. Et alors que tu te caches dans l'ombre avec ta peluche dans une main et la bourse savamment subtilisée dans l'autre, tu te fais surprendre par un petit garçon de six ans qui t'attrape la manche. Il paraît triste et en mauvaise santé, mais un sourire s'étale sur son visage alors qu'il tente d'attraper ta peluche avec ses deux petites mains. Il semble avoir eu le coup de foudre pour cette peluche et plus grand-chose au monde lui ferait changer son avis de le serrer à jamais contre lui.

      Raconte-nous comment ça s'est fini.


      Bon courage ! Pluche !
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
      Test RP

      Le printemps était vraiment une belle saison, celle du renouveau : les arbres retrouvaient leurs feuilles, les fleurs sortaient des bourgeons et les oiseaux chantaient. Mizuki adorait le printemps, surtout après le rude hiver qu'elle a subi. Un peu de soleil ne lui déplaisait pas et elle allait finalement retrouver un peu de civilisations après un entraînement dans les montagnes. Pour lui apprendre à résister au froid ou quelque chose du genre. Harlem était devant elle et marchait d'un pas décidé. Ils arrivaient enfin devant une ville. Mizuki était émerveillé. Ce n'était pas la première ville qu'elle en voyait une, mais celle-ci était de loin l'une des plus belle. Les murs orangés des maisons étaient parfaitement coordonnés avec les jolies petites ruelles pavées. Au loin, elle apercevait le clocher d'une église. La ville était très vivante. Des dizaines de passants étaient présents. Sur une affiche, elle vit écrit : « Aujourd'hui, passage de la foire du commerce ». Harlem s'arrêta. Il se retourna et sourit à la petite fille. Elle tenait dans sa main sa poupée et avait un sac à dos sur les épaules.

      « Aujourd'hui, c'est récolte de fonds. On se retrouve devant cet arbre à la nuit tombée. Moi, j'irai ... glaner des informations pour notre prochaine mission. À ce soir ma petite poupée. »

      Harlem partit main dans les poches en la laissant seule, comme à son habitude. Mizuki était habituée. Par ailleurs, elle savait qu'il allait sans doute passer sa journée dans un bar de la ville. Voler, elle passait son temps à voler les jeux. Était-ce mal ? Peu importe si cela rendait service à Harlem. Elle se baissa et ramasser quelques pierres qu'elle mit dans une bourse vide. Elle s'arrêta ensuite devant un panneau de signalisation et chercha la direction de la foire. Il y aura sûrement des riches se dit-elle. Rapidement, elle la trouva au loin, sur la place du village. En réalité, elle n'aurait eu aucun mal à la trouver vue l'attroupement et l'effervescence qui se dégageait du lieu. Elle se dirigea alors vers cet la place. Elle devait trouver une cible le plus rapidement possible. Néanmoins, elle allait prendre son temps. De toute façon, elle avait jusqu'à la fin de la nuit. Elle décida alors de regarder les commerces tout en surveillant une éventuelle proie vulnérable. Il y avait de tout dans cette foire : viandes, textiles, poissons, jouets, meubles, dials, épées ... bonbons. Le visage de la petite fille s'illumina, mais elle se recadra immédiatement sur sa mission. Elle s'adossa contre un mur et observa la place. Trop dangereux, trop pauvre, trop risqué ... Les acheteurs se succédaient et aucun ne semblait intéressant. Elle soupira. Elle ne pouvait pas rentrer bredouille. Tout à-coup, elle le vit arriver : sa cible. Il était potelé et avait l'air extrêmement naïf et influençable. De plus, il était suivi par un unique majordome occupé à porter plusieurs sacs. Tout cela ne pouvait suggérer qu'une bourse bien remplie. Un jeu d'enfant en perspective.

      Rapidement, elle se décolla du mur et se dirigea vers lui. Elle était désormais face à lui. Le noble étant trop occupé à regarder autour de lui afin de trouver une perle rare dans les commerces, elle fit mine de lui rentrer dedans et de tomber en arrière. Elle pleura. Ses larmes étaient factices. Elle avait appris à pleurer sur commande. Le noble avait bon cœur et s'arrêta immédiatement pour savoir si elle allait bien. Elle le regarda dans les yeux et dit timidement oui. Elle était vraiment devenue une bonne voleuse et une bonne menteuse. Jouer sur la pitié des cibles était une de ses stratégies fétiches. Visiblement pris de remords, le bon monsieur lui proposa de lui acheter quelque chose à manger, car visiblement, elle n'avait que la peau sur les eaux.

      « Que veux-tu ma petite ?
      - Une sucette
      - Vraiment ? Tu ne veux pas plutôt un bon repas ou une pâtisserie ?
      - Non, je veux une sucette s'il vous plaît
      - Alfred, allez donc chercher une sucette. Laissez les sacs ici, je peux très bien les surveiller. »
      Il se tourna vers Mizuki et lui dit :
      « Je suis vraiment désolé ma petite. Je suis vraiment trop distrait. J'aurai vraiment pu te blesser. Je n'ai plus envie d'acheter. Je rentrerai chez moi ensuite. »

      Le noble sortit sa bourse et donna quelques berries au majordome. Ce dernier posa les sacs et se dirigea en hâte vers le stand de bonbon. Mizuki avait repéré la poche contenant la bourse. Elle resta à côté du noble. Il était visiblement occupé à surveiller ses sacs. Il ne faisait pas attention à elle. Elle aurait pu subtiliser sa bourse, mais elle voulait la sucette. Quelques minutes plus tard, le majordome revint, la sucette à la main. Il lui donna. Puis il ramassa les sacs et était près à partir. Mizuki jubilait, elle avait eu une sucette et elle allait avoir une bourse bien remplie. Elle remercia chaleureusement le noble, le serra dans ses bras et partit. Il ne s'était aperçu de rien. Une petite permutation et le tour était joué. C'était vraiment trop facile. Elle alla dans un recoin sombre pour compter son butin. 2000 berries. C'était vraiment une très belle journée.

      « On a vraiment trouvé le gros lot Amamizu. Harlem sera content. Le noble sera content de voir qu'il a eu de jolis cailloux à la place. »

      Elle voulut montrer son butin à sa poupée, mais quelque chose la retenait. Elle tourna la tête et vit un petit garçon. Il devait avoir 4 ans de moins qu'elle et était visiblement malade. Il semblait très fragile et n'avait aucune force. De son tout petit corps émanait de la tristesse, relative à la misère de la pauvreté. Elle n'aurait eu aucun mal à récupérer sa poupée, mais la mine souriante du petit l'en empêchait. Elle ne voulait pas le blesser ni le faire pleurer. Elle avait connu cette sensation autrefois.

      « Salut petit. Qu'est-ce que tu fais ici, seul dans cette ruelle ? Tu veux Amamizu ? »

      Il hocha la tête, toujours en souriant.

      « Je suis désolé Amamizu est à moi, je ne peux pas te la donner.
      - Je m'en fiche, je la veux ! »

      Quelle plaie. Pourquoi voulait-il sa poupée. Il semblait têtu, il ne lâcherait pas l'affaire aussi facilement. Ses deux petites mains agrippaient Amamizu et à chaque fois qu'elle tirait, elle le vit désespérément tirer à son tour. Mais sans effet. Ce n'était pas un gamin affaibli qui allait lui voler sa tendre poupée. Elle se leva et prit le gamin dans ses bras. Il n'était pas très lourd, sans doute sous-alimenté.

      « Ils sont où tes parents ?
      - Maman travaille et papa est parti.
      - Où ça ?
      - Maman m'a dit qu'il est parti. »

      Mizuki grimaça. Son père avait sans doute fuit ses responsabilités et sa mère devait travailler d'arrache pied pour faire survivre ce petit être fragile. Brusquement, elle eut une idée. Elle avait repéré un stand de jouets. Elle n'aurait qu'à faire un échange. Le désir était éphémère. Un autre désir remplacerait sûrement celui qu'il éprouvait pour sa poupée. Elle savait pertinemment que cela marcherait, car cela avait marché sur elle. Quand elle était petite, elle désirait des tas de choses, car elle ne possédait rien. Les désirs plus importants finissaient par remplacer ceux moins importants. Après un peu de marches, elle arriva devant le stand, non sans avoir surveillé si le noble n'était pas à sa recherche pour la bourse qu'elle lui avait subtilisée.

      « Bonjour monsieur.
      - Bonjour petite, que désires-tu ?
      - C'est pour lui. »

      Elle le tourna vers le stand et vit son regard s'illuminer. Son attention était désormais tournée vers une peluche lapin. Génial, tout ce que ce garçon voulait, c'était un ami, pas sa poupée. Mizuki était soulagé. Les enfants pauvres étaient satisfaits d'un rien.

      « La peluche lapin s'il vous plait.
      - Très bien, cela fera 200 berries.
      - 200 berries ? Ce n'est pas un peu cher pour une poupée ?
      - Écoute moi bien, c'est des peluches de qualité que je vends. Pas des pacotilles que l'on trouve dans les magasins de jouets.
      - Très bien. »

      Elle ouvrit la bourse et paya le commerçant. Quel escroc celui-là. Elle donna ensuite la peluche au garçon qui lâcha prise. Elle avait récupéré sa poupée sans accroc. Son ventre gargouilla et celui du petit par la même occasion.

      « Tu as faim non ? »

      Il hocha de la tête. Elle se dirigea alors vers un stand de restauration rapide et elle acheta deux sandwichs. Elle se dirigea ensuite vers un banc et elle posa délicatement le garçon. Elle lui donna un sandwich et rangea l'autre dans son sac à dos. Elle regarda dans la bourse. Il lui restait 1600 berries. Après ce petit repas, Mizuki demanda au petit garçon ou était sa maison. Il la guida à travers des petites ruelles et ils arrivèrent finalement dans les quartiers pauvres. Cela ne ressemblait plus du tout à la petite ville charmante orangée qu'elle avait vu au début. Ici, c'était plus une sorte de rassemblement d'abris de fortune. La porte de la maison était cassée. Elle entra et vit d'autres enfants, les frères et sœurs du petit garçon. Certes plus âgées mais tout aussi affamés. Le plus grand devait être plus vieux qu'elle, et la petite fille semblait être légèrement plus jeune. Le petit garçon se dépêcha de rejoindre sa famille tout en leur montrant sa peluche. Mizuki sortit son sandwich. Elle n'avait pas mangé, mais ce n'était pas grave. Elle le coupa en deux et le donna aux deux autres enfants. Ils le mangèrent lentement, comme s'ils n'avaient pas eu de repas depuis longtemps. Mizuki avait connu cela. Durant sa jeunesse, elle mangeait lentement ses éventuels repas. En mâchant longuement, elle avait la sensation d'avoir bien mangé. Elle s'assit sur l'unique chaise de la maison et attendit le retour de la mère.

      La nuit allait bientôt tomber. Elle vit au loin leur mère arrivée, essoufflée et très fatiguée. Elle avait entre ses bras quelques légumes de très mauvaises qualités. La mère la regarda, visiblement intriguée. Le petit garçon se leva et lui montra fièrement sa peluche. Son frère lui dit qu'elle les avait nourris tous les trois. La mère visiblement touchée proposa à Mizuki de dîner avec eux. Elle refusa poliment et avant de partir lui donna l'intégralité de la bourse. Ils en auraient plus besoin qu'elle. Le bien-être des enfants passait avant sa sucette quotidienne. Elle quitta la maison en hâte, car elle devait retrouver Harlem. Elle traversa la place, désormais quasiment déserte. Les commerçants rangeaient leur marchandise. D'autres se préparaient à partir vers une autre ville. Harlem était déjà là, adossé contre un arbre.

      « Alors ce butin ?
      - Rien du tout. »

      Son regard sévit. Il la sermonna, la traita d'incapable et de bouche à nourrir. Elle n'était pas contente de l'avoir déçu, mais cette famille avait plus besoin de cet argent qu'elle. Un petit sermon ne la tuerait pas. Il sortit de sa poche une sucette, la jeta par terre et l'écrabouilla.

      « Pas de sucette pour toi ! »
        Bonjour,
        j'ai fini mon test RP ce matin.

        J'ai appris lors d'une discution sur la CB qu'on pouvait avoir soit le nom d'un personnage, soit son avatar. J'aimerai donc si possible qu'on renomme mon compte en Mizuki. J'ai d'ores et déjà remplacé le nom dans mon test RP et dans ma présentation.

        Merci
          Salut Mizuki, je suis là pour ton premier avis

          Le point forme d’abord
          cette vieIlle harpie
          tous les préparatifs soiENt prêtS
          elle a du => dû
          je lui ai appris a utilisé ses deux mains => à utiliser
          je la surprendS
          cela fait dix ans qu'elle l'a possède => la possède
          elle ne fait que la rafistolée => rafistoler
          seuleS les causes justes mérites => méritent
          S'en est presque attendrissant => C’en
          Cette gamine a le sens devoir => sens du devoir
          Bande d'incapableS
          Précèdent => précédent
          elle pris peur => prit
          les goûtes => gouttes
          Après qu'elle eut criée sa volonté => crié
          S'en était finit d'elle => C’en était fini
          C'est à cause des tes yeux => de tes yeux
          une étrange battisse => bâtisse
          C'est même Harlem qui nous a faits nous rencontrer. => fait
          les choses qu'elle voler changèrent => volait
          Elle était devenuE
          Une chose est sur => sûre
          appris à ce servir => se
          tu penseS
          Tout c'était passé très vite => s’était
          murmura t-elle a sa poupée => à
          une table garnit d'un imposant gâteau => garnie
          de loin l'une des plus belleS
          Elle se dirigea alors vers cet la place => ver la place
          il ramassa les sacs et était près à partir. => prêt
          Son père avait sans doute fuit => fui
          Mizuki demanda au petit garçon ou était sa maison. => où
          la petite ville charmante orangée qu'elle avait vuE
          de très mauvaises qualités => qualités

          Des petites fautes qui trainent. C’est assez exhaustive, la liste, aussi.


          Sur les descriptions, la façon de procéder est plutôt sympathique, je dois l’avouer, et, dans le fond, c’est plutôt complet. Un personnage plutôt mélancolique, plus dans le registre dramatique ; peut-être envisager à l’avenir d'autres développements un peu moins tristounets histoire d’être plus polyvalent. Un aspect plutôt fragile avec la peluche qui va bien. Ça a quelque chose de classique tout en étant inimitable au final, c’est plutôt bon. Et enfin, un but assez original et cohérent, c’est un bon plus.

          Sur la biographie, je regrette un peu que tu n’aies pas éclairci la situation initiale. On ne sait rien sur les parents et les conditions qui t’ont amené à être dans la rue. Si d’un côté, le personnage ne le sait pas, nous, on peut le savoir. Et ça a le mérite, au moins, d’être posé. Sur un deuxième point, c’est la façon de procéder qui, pour cette fois, perd un peu le lecteur, dans la mesure où, l’histoire d’un personnage, c’est assez linéaire. Enfin, c’est l’environnement révolutionnaire qui me parait un peu flou. À quoi est rattaché le groupe dans lequel tu es ? Leurs objectifs ? Où se trouve ce groupe ? Qui sont les autres ? Que fait concrètement Harlem pendant toutes ces années, etc. De ce que tu présentes, ça donne l’impression d’avoir ta vision par rapport à ce que tu fais, mais c’est un petit morceau d’une trame global où on se perd un peu.

          Sur le test, quelques remarques sur le style. D’abord, tu utilises pas mal de points dans des phrases assez courtes. Pense à varier la ponctuation avec des doubles points ou des points virgules. Et peut-être faire de plus longue phrase dans la mesure où ça passe mieux quand tu le fais alors que, les petites phrases, ça donne un rythme assez saccadé qui colle pas trop à l’ambiance générale de la lecture. L’autre sentiment que j’ai eu sur ce test, c’est que même si Mizuki rend service, le ton m’a laissé penser que ça l’ennuyait. Ça manque probablement un peu d’émotions dans la narration pour bien souligner que ça te touche, que c’est la base de ton objectif et que c’est justement parce que tu n’y es pas insensible que tu veux te battre pour ça. Dans le genre, le constat que le gosse veut un ami plutôt que ta peluche, c’est quand même assez dramatique sur le fond. Et pourtant, ça ne se ressent pas chez toi, cet aspect dramatique.
          Sur le fond, le rp est plutôt bien. Je trouve tout de même qu’il y a une certaine simplicité dans le malheur de ceux que tu aides. Que ça aurait pu être un peu plus complexe comme histoire. Aussi, l’attention du gosse pour ta peluche change assez facilement alors que le choix entre lui enlever et lui donner aurait été une idée plutôt sympa à exploiter, je trouve. Enfin, il y a l’aspect spécial du lapin, pour Mizuki, qui n’apparait pas trop. À voir.

          Bref, je suis sur un 580D

          Bienvenue ! Bon rp ! Pluche !
          • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
          • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
          Bonsoir,
          tout d'abord merci pour l'avis.
          Concernant les fautes, j’essaierai de faire plus attention à l'avenir, tout est affaire de relecture.

          Pour la biographie j'ai choisi de prendre un point de vue personnel. Je pensai creuser son histoire perdue ( celle de son enfance, les raisons de son abandon, l'identité de ses parents ) lors de futurs RP. J'ai déjà le scénario, je peux te l'envoyer par mp si ça t'intéresse. Pour le groupe de la révolution et ses membres, je comptai le créer après ma validation dans le recoin PNJ. Tout cela dans l'optique de rajouter un peu de mystère mais ce ne devait sans doute pas être une bonne idée. Concernant la situation d'Harlem, c'est un détail que j'ai oublié, merci de la remarque.


          Pour les émotions, je plaide coupable. J'ai totalement loupé cette dimension. J'ai plus été focalisé sur le récit.

          Pour les phrases courtes, j'avoue avoir un peu abusé. D'habitude j'utilise plus souvent des virgules ( les points virgules j'ai arrêté à cause d'une petite remarque de mon professeur de philosophie  Neutral ), les mots de liaisons aussi. J'ai dû avoir une fixette sur les phrases courtes.
            Salut mizuki, et seconde voix pour toi,

            Niveau descriptions, le choix de forme est vraiment sympa, ça change de la vision classique avec la liste d'attributs, mais c'est un exercice pas forcément évident et y'a des moment ou ça se ressent pas mal avec des dialogues vraiment bizarre à coller à l'oral dans la bouche de tes persos, ça fait parfois un peu forcé, un peu faux.

            Niveau bio, comme Plud c'est surtout sur l'emballage révo que j'aurais aimé en savoir plus, parce que t'as un but un peux particulier et que du coup on se demande un peu comment ça se passe vis à vis des autres qui doivent quand même te trouver un peu monomaniaque. Mais bon, je note le "a dévellopper plus tard" et j'attendrais ça avec impatience. C'est pas toujours évident de comprendre qu'on attend dans cette section un point de vue un poil omniscient sur le perso plutôt qu'un résumé de son ressenti à lui.

            Niveau test Rp c'était vraiment très bien. Très humain, très vrai, une belle peinture du coin sordide ou tu zones, une bonne gestion des pnj et un vrai souci des détails. Chouette RP.

            Au bilan je suis sur du 700 dorikis, ce qui te valide a 640. Bienvenue dans la révo.

            A plus, et bon jeu.
            Bye
            Red