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Drake B. Cooper

Drake B. Cooper


Drake B. Cooper Mini_140517013751593447
Pseudonyme : Barry
Age: 30 ans
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Ingénieur
Groupe : Chasseur de prime
But : Réparer toutes les erreurs du passé en protégeant la population


Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation :
Équipement : Plusieurs petits gadgets à diverses utilités, comme un petit chargeur électrique, le premier de l’histoire s’il vous plait !


Codes du règlement :  

Parrain : Zarechi Ozuka

Ce compte est-il un DC ? : Non




Physique





Drake est blond aux yeux bleus, plutôt belle gueule, malheureusement amochée par une vilaine cicatrice qui passe au dessus de son œil et tout le long du côté gauche de son visage. Son corps a été longuement et durement travaillé, ce qui l’a rendu extrêmement fort et rapide, tel un grand soldat de la Marine. Il sait et aime entretenir son corps musclé et donc, il possède toujours la même force qu’il possédait à 20 ans. Il porte généralement sa tenue d’exercice de marins, qui est composé de sous-vêtements bleus (celui de la Marine) et de survêtements orange. Par-dessus cela, une grande cape à capuche blanche qui recouvre l’intégralité de son corps, sur laquelle il a fait inscrire le mot « Justice » dans le dos (invisible sur l’avatar). Une petite sacoche en bandoulière lui est fidèlement accroché au cou, jusqu’au bassin. Elle lui permet de ranger son argent, ainsi que ses petits gadgets comme le « Serpent à sonnette » par exemple (à voir dans la biographie ci-dessous). Et voila, c’est tout, Cooper aime voyager léger.




Psychologie



Pendant toute son enfance, Drake n’arrêtait pas de se poser des questions, pas seulement sur son passé, mais aussi sur son présent et surtout son avenir. Il ne trouvait pas sa raison de vivre, et ça le rongeait de l’intérieur. Son esprit nageait dans un trou noir. Il était simplement perdu, jusqu’au jour où il rencontra Sara, qui avec le temps deviendra sa compagne. Cooper connu alors le bonheur, mais ce n’était rien comparé à ce qui l’a éprouvé quand la deuxième femme de sa vie est arrivée : Lucy, leur fille. Ils ont alors formé ce qui s’appel une véritable famille. Drake et Sara ont donc quitté la Marine afin de profiter pleinement de leur nouvelle vie. C’était officiel, Drake avait enfin réussi sa vie en trouvant ce qu’il avait cherché toute son enfance, une raison de vivre. Et pour la première fois de sa vie, il ne se questionnait plus. Mais ce fut de courte durée… Après l’incident révélé ci-dessous, de nouveau, Drake replongea dans son trou noir, perdu, penseur sans âme. Les souvenirs de Sara et de Lucy étaient trop douloureux, il se referma alors complètement. Il ne supportait pas l’idée d’être, une fois encore, le dernier survivant de l’histoire. De nouveau il était seul…

De temps en temps, il remonte à la surface pour respirer un peu, quand il fait une rencontre par exemple, ou quand une touche d’humour se glisse dans son quotidien. Le blues est son style de musique préféré, parce que comme lui, c’est une musique perdu, sans réel but, mais qui exprime pourtant si bien ses sentiments, et surtout, une musique avec une vie, pleine de regrets certes, mais en vie quand même…

Avec le temps, il apprend à faire le tri, et mettre de côté son passé, mais sans l’oublier, non, il ne veut pas les oublier. Il se souvient que Sara l’appelait Barry, parce qu’elle voulait donner un sens à la lettre B aux origines inconnues de son nom. C’était la façon à Sara de lui dire : « Si tu ne sais pas où tu vas, regardes d’où tu viens ». Le passé sans identité de Drake, en avait enfin une grâce à elle. Et c’est pour conserver ce souvenir si précieux de sa femme et de sa fille, que Drake B. Cooper se présente désormais sous le nom de Barry.




Biographie




Vous savez, quand on enchaine batailles sur batailles, guerres sur guerres, on finit toujours par se perdre, parfois même oublier… Les soldats sont souvent considérés comme des héros, alors qu’ils ne font que suivre les directives, qui consistent généralement à tuer des gens parce qu’ils sont désignés comme étant les méchants de l’histoire. Mais qui désigne les méchants ? D’autres gens… Pour ma part, les héros n’existent pas, car nul être vivant sur cette terre, ne s’est jamais désigné méchant de l’histoire lui-même…




CHAPITRE I : L’ÉQUIPE



Drake B. Cooper était mon compagnon d’arme, mais aussi mon ami, mon frère. Il était destiné à faire de grande chose, à devenir un homme important, un héros qui sauverait la veuve et l’orphelin. Mais ce destin fut entaché… Il débuta sa carrière dans la Marine dès la naissance, et il la termina au sein d’une équipe appelée unité 77. Le Capitaine Elizabeth Rover était responsable de l’unité 77 aussi appelée l’unité Coyote. L’unité comportait 4 soldats en plus du Capitaine Rover, il y avait Spencer, les gros bras de l’équipe, une véritable brute ce type ! Et puis Sara… Ha ! Sara, toute une histoire cette fille je vous le dis ! Elle était splendide, avec une gentillesse surprenante et pourtant, elle pouvait tout aussi bien montrer son côté… heu… obscur ? Mais le plus important, c’est que Cooper était raide dingue de cette nana, mais il n’a jamais osé lui dire, non, trop timide le garçon ! Sara était spécialiste dans les arts martiaux, et surtout dans les éliminations silencieuses. C’est en parti grâce à elle que l’on a obtenu le surnom d’unité Coyote, parce qu’elle était la clé de nos infiltrations.

Il ne reste plus que notre cher Drake, et moi-même. Il s’occupait de tous les bidules techniques qui nous étaient forts utiles dans nos missions, tous ces petits gadgets qu’il créait lui-même. A chaque fois que l’on partait pour un job, il inventait un jouet différent pour chacun d’entre nous. Des engins qui nous paraissaient toujours trop ridicules pour que l’on en ait besoin durant la mission, et pourtant, on s’en servait toujours, d’une manière ou d’une autre, Drake savait qu’on allait s’en servir, et je crois qu’il ne s’est jamais trompé. Et moi, j’étais chargé des transports, je devais trouver le véhicule adéquate pour chaque objectif, que ça soit pour l’infiltration, ou l’exfiltration. Le Capitaine, elle, supervisait tout, échafaudait tous les plans, et surtout elle savait réagir exactement comme il fallait quand un plan ne se déroulait pas comme prévu, ce qui était assez rare.

Ho oui ! Cette équipe fonctionnait parfaitement bien ! Mais encore mieux, on était liés comme les cinq doigts de la main, inséparables. Sauf pour Spencer bien sûr, le pauvre avait perdu deux doigts lors d’une fusillade, mais à défaut d’avoir des bras, il n’avait pas beaucoup de tête, et se foutait complètement des moqueries. Bref, nous n’étions pas une simple équipe, on était une famille… Mais penchons nous sur le cas qui nous intéresse vraiment : Drake B. Cooper…

Quelque part, dans un lieu inconnu… Quelqu’un avance… il est flou, et de dos… Il marche… dans un couloir sombre… Il s’engage dans un escalier… Il se retrouve dans une sorte de cave lugubre… Il ouvre une porte qui laisse entrer un faisceau de lumière dans la pièce, et des chaînes apparaissent… La porte se referme… et le silence se cache soudain derrière un cri d’horreur…




CHAPITRE II : L’ÉLU


Drake est arrivé dans le camp Roger alors qu’il n’avait même pas un an. Le camp Roger ? C’est une sorte d’orphelinat pour les enfants destinés à devenir soldats dans la Marine, il ne s’agit donc pas d’un orphelinat, c’est pour cela qu’on l’a toujours appelé le camp Roger. Et quand les enfants deviennent adultes, ils rejoignent la Marine, au QG de North Blue. Je me demande toujours pourquoi un établissement appartenant au gouvernement mondial porte le nom du premier roi des pirates. Il y avait beaucoup de rumeurs à ce sujet… peu importe. La véritable question, c’est pourquoi un camp regroupant des enfants « destinés » à devenir soldat ou autre pion du gouvernement existe-t-il ? Serions-nous réellement destinés à quelque chose dès la naissance ? Si oui, comment d’autres personnes peuvent percevoir ce destin, et faire le tri ? Drake et moi, on se posait souvent ce genre de question, pas seulement sur nos origines, mais sur notre véritable raison de vivre.

La majorité d’entre nous étions arrivés dans le camp vers l’âge de 6 ans, 4 pour certains, mais Drake lui, n’était qu’un nouveau né ! Nous l’avons tous vu ce jour là, dans les bras de la directrice, cette vielle peau… Certains disaient qu’elle allait le manger, d’autres disaient que c’était son propre enfant, mais j’ai lu dans ses yeux, quand elle a soulevé le drap qui recouvrait son visage, j’ai vu cette incroyable mélange d’émotion dans son regard : D’abord la surprise, puis la joie, ensuite l’inquiétude, enfin la peur, et pour finir le doute…

Je compris alors que c’était lui, l’enfant tant attendu dans les livres, les histoires pour gamins, c’était l’élu. J’ai toujours été fasciné d’histoire, je passais tout mon temps libre à la bibliothèque, et Drake a hérité de cette manie. Un jour, alors que j’étais dans ce gigantesque bâtiment où est rangé le savoir sur de simples étagères, j’ai trouvé un livre (surprenant hein ?!), ou plutôt, « Le » livre. Il ne citait aucune créature mythologique ou autre démon, juste, un homme, dont la force physique et d’esprit seraient crains de tous. Beaucoup de héros sont généralement dans le même cas, mais lui, ce n’était pas un héros, du moins pas encore. Le livre disait qu’il allait devoir faire un choix, dont l’avenir du monde dépendait. Un choix entre le bien, et le mal. Oui je sais, c’est un peu dur à croire quand on a plus de 12 ans, mais je n’en avais que 5, et j’étais sûr de moi.




CHAPITRE III : DE L’ENFANT AU MILITAIRE



Quand Cooper a eu l’âge de prendre des cours, je l’avais déjà oublié, j’avais eu le temps de lire plein d’autres bouquins en 4 ans. Et bien sûr, dans un camp de formation de jeune soldat, les prises de têtes entre les gamins sont courantes, mais Drake battait les records : bagarre dès le premier jour ! Une bagarre signifie regroupement de gamins dans la cour, j’y ai donc contribué et je l’ai encore vu. Il avait un tel regard, celui d’un homme prêt à tout pour aller au bout de ses convictions. Et surtout, je n’avais toujours pas 12 ans, j’ai donc replongé dans le souvenir que j’avais « du » livre, et à ce moment là, je me suis rappelé que c’était lui. Ni une, ni deux, je l’ai chopé par le bras et je l’ai emmené plus loin. Je ne préfère pas vous dire ce que je lui ai dis mais sachez qu’il s’agissait d’un gamin de 9 ans qui essayait d’apprendre quelque chose à un autre gamin de 4 ans. Oui, c’était une conversation avec un niveau de vocabulaire très faible, mais ma foi, c’était fort intéressant puisque Drake et moi sommes devenus, à partir de ce jour, comme des frères…

Et oui, une amitié toute simple dans un univers tout simple. Désolé du manque d’originalité, mais ce n’est pas ce qui importe le plus ici. Drake, comme tous les enfants turbulents au début, s’est assagi. Il faut dire que dans un camp militaire, la discipline, c’est primordiale. Son corps et son savoir se sont développé au cours de sa formation, tout comme moi. Quand j’ai atteint la majorité, j’ai dû rejoindre les rangs de la Marine, entre ça ou le gouvernement, le choix était vite fait. Cooper était donc sans ami durant les 4 dernières années de sa formation, ce qui lui forgea un peu le caractère. Pendant ce temps là, j’ai grimpé en grade, jusqu’à devenir Quartier-maître sur un navire de guerre. Je pense avoir beaucoup appris de cette expérience, qui selon moi, se trouve être la plus proche du front. On dit que la guerre change un homme… C’est vrai.

Du sang git sur le sol… La même personne qu’auparavant marche dans la flaque… C’est un homme, on peut désormais le voir… Un cri provenant d’un lieu proche se fait entendre…

Inconnu- « FLINT !!!! »

Il s’agit là encore d’un homme… C’est un cri de douleur… de colère… de rage…





CHAPITRE IV : LES COYOTES


Le temps est passé si vite ! Si je me souviens bien, l’unité 77 fut créée 2 ans après l’entré dans la Marine de Drake, et ce fut le plus jeune membre admis seulement après 2 ans de services. Ce n’est pas vraiment un hasard si nous nous sommes retrouvés dans la même unité. En réalité, je connaissais bien le Capitaine Rover, on a eu une petite histoire ensemble… Bref, nos retrouvailles furent comme notre amitié, des plus simples, mais ma foi, des plus intenses. Je dois admettre que l’unité était un peu en galère au début, et Rover n’était pas le plus sympathique supérieur que l’on puisse avoir, mais au diable la douceur et la gentillesse ! Nous étions un commando d’élite, et ce dont l’on avait vraiment besoin, c’était de la rigueur et surtout beaucoup d’entrainement, ce qu’Elizabeth a su faire parfaitement bien. Nous avons énormément progressés mais il nous a fallu beaucoup de temps. En 3 ans, nous avions conquis l’attention de tout le QG de North Blue, 3 ans plus tard, celui d’East Blue. Et on a même été médaillés à Logue Town ! Je me souviens qu’on avait la cote ce jour-là, avec nos corps musclés, les filles étaient à nos pieds. Mais on n’en profitait pas beaucoup Drake et moi, on était trop fidèle. Ha oui, d’ailleurs, à ce propos, J’ai épousé le Capitaine Rover 2 ans avant la cérémonie de Logue Town. Ha ça, ce ne sont pas les évènements qui ont manqués pendant ces huit années de services de Cooper ! Même lui avait réussi à déclarer sa flamme à Sara, et elle avait dit oui… Je ne sais pas trop comment vous le dire… Nous étions tous, simplement et pleinement, aux anges…

Et le dossier « Renversement de situation » est arrivée sur le bureau de Rover. Une île prison de North Blue suspectait certains de ses prisonniers d’organiser une mutinerie générale suivie d’une grande évasion. Nous étions donc chargés d’infiltrer le complexe, et d’en extraire les informations nécessaires. Si les prisonniers avaient réellement l’intention de s’évader, nous avions pour mission de les en empêcher. J’aimerais vous dire que ce n’était que de la routine, mais une prison pleine de malfrats plus puissants les uns que les autres, honnêtement cela ne s’avérais pas être de la tarte, même pour notre commando. Toutes fois, le plan d’Elizabeth semblait tout aussi imparable que tous ceux qu’elle avait élaborés jusqu’à présent. Spencer et moi devions nous faire passer pour des prisonniers, et de son côté, le Capitaine infiltrait l’aile Ouest, les quartiers des femmes. En cas d’abandons immédiat, des sorties secrètes avaient été installées dans nos cellules, par notre ingénieur en chef, Drake B. Cooper. L’opération TONGA était née, et on était préparés à toutes éventualités, mais ce n’était pas suffisant…




CHAPITRE V : LA GRANDE ÉVASION, JOURNÉE PORTES OUVERTES



Après 3 jours d’incarcération, Spencer avait été mis au courant d’une évasion générale qui allait éclater le lendemain. Il m’a prévenu aussitôt, mais notre seul système de communication avec l’équipe extérieur (Sara et Drake) était notre droit de visite que l’on avait organisé de façon stratégique : 3 visites par jour, la première à 10h, la seconde à 14h et la dernière à 18h pour recouvrir un maximum d’espace dans le temps et ne pas laisser Sara et Drake sans information trop longtemps. Sara venait nous voir Spencer et moi, et Drake s’occupait d’Elizabeth. Malheureusement, Spencer m’avait mit au courant à 18h19, et puisque je n’avais pas d’information importante à transmettre à Sara, la visite s’était vite terminée, à 18h13 exactement. Il était trop tard pour nous, nous n’avions plus qu’à espérer que Rover serait au courant et qu’elle en informerait Cooper.

La nuit était tombé, et Spencer et moi avions veillé le grain jusque là. Quand tout à coup, une explosion se fit entendre à l’autre bout du complexe. Un des prisonniers de notre couloir cria :

Prisonnier- « Ça y est les gars !! On va enfin sortir de c’trou !! ALLEZ !!! »

Et toutes les serrures se mirent à exploser les unes après les autres, laissant sortir tous les détenus. Même notre cellule s’est ouverte. J’ai ordonné à Spencer de déclencher une baston générale pour que l’on gagne du temps. Et nous ne savions toujours pas si Drake et Sara étaient au courant car c’était sur eux que reposait notre avenir et celui de la prison désormais. Les gardes se faisaient démolir et les couloirs envahir. Et Spencer avait beau écraser autant d’évadés qu’il pouvait, ce n’était malheureusement pas suffisant. Nous n’avions plus le choix, on devait se replier. Je me suis aussitôt dirigé vers la trappe secrète de notre cellule. C’était un système de serrure très sophistiqué qui me dépassait de beaucoup. Tout ce que je savais, c’est qu’il fallait tourner le bouton d’eau froide dans son sens inverse et de même pour le bouton d’eau chaude. Le lavabo s’enfonçait alors dans le mur et laissait paraitre l’encadrement d’une porte. Il n’y a pas à dire, Drake était vraiment un génie… J’ai alors tiré Spencer du troupeau agité de prisonniers, et l’ai emmené dans la cellule. Il vit la sortie secrète et il comprit. J’ai alors avancé un pied dans l’obscurité de l’issue et j’ai soudain senti un fil se couper sur mon tibia. Après ça, mon seul souvenir de la prison fut la sensation d’être tiré par le dos puis envoyé dans le décor, accompagné d’un souffle de feu…




CHAPITRE VI : ???


Quand je me suis réveillé à l’hôpital du QG 6 mois plus tard, avec de multiple brûlures sur l’avant du corps, ainsi que l’ouïe et la vue à moitié perdu, j’ai d’abord pleuré, parce que je savais que je ne pourrais plus jamais être un soldat. Ma carrière était foutue… Mais je ne savais toujours pas ce qu’il s’était passé. Il me fallait comprendre, à tout prix. Je me suis ensuite souvenu de l’incident : La trappe secrète avait été piégée, et Spencer l’avait vu. Il m’avait pris par le col et m’avait projeté pour me sauver la vie, mais j’ai tout de même été atteint par l’explosion. Mais alors, si j’étais simplement atteint, il n’avait donc pas pu éviter la déflagration complète ?! Et le Capitaine Rover ? Elizabeth, ma femme ?! Sa cellule avait-elle été piégée comme la mienne ?! Allait-elle bien ?! Etait-elle en vie ?! Je ne pouvais m’empêcher de penser au pire, jusqu’à ce que je l’apprenne…


Les cris de rage de l’inconnu continuent… et ils se rapprochent… Le premier homme ne bouge pas, comme si il l’attendait… La pièce où il se trouve est dépourvue de lumière ce qui rend le haut de son corps invisible…  Les cris s’amplifient…

Inconnu- « FLINT !!!! JE VAIS TE TUER !!!! TU M’ENTENDS ??!! TE TUUEEERRRR !!!!

Les cris sont justes à quelques pas derrière la porte… Et d’un coup, le silence s’empare de l’ambiance sonore… Le premier homme regarde attentivement la porte… Après quelques secondes de blanc insoutenables, la porte s’ouvre violement. Les deux hommes se tiennent face à face.

Inconnu- « Pourquoi Flint ? Pourquoi t’a fais ça ? »

Flint- « Telle est la question… Qui décide du bien ? Qui décide du mal ? Qui mérite de juger ? Tant de question nous entoure mon ami… »

Inconnu- « Elles ne méritaient pas ça, pas elles ! Tu sais très bien que personne au monde ne peut répondre à toutes ces questions. Mais bordel Flint qu’est-ce qu’il te prend ?! (Soupire) Je dois te tuer maintenant… »

Flint- « Tu sais, avec tout ce que j’ai appris, je peux te dire qu’il y a des hommes dans ce monde qui souhaite juste le voir brûler, tomber, mourir… J’ai fais le choix que personne n’a jamais osé faire ! J’ai choisi !! J’ai choisi d’être le méchant de l’histoire !! »

Inconnu- « Tu te trompes… des hommes comme toi, il y en a partout dans ce monde ! On appelle ça des monstres !! Et on les envoie en taule !! »

Flint- « Oui ! C’est ça ! La prison ! Alors tu n’a qu’à m’y envoyer ! Te souviens-tu ?! De la dernière prison que l’on a visité toi et moi ?! Oui je suis un monstre !! Mais n’oublie pas que chaque monstre à son créateur… Et oui… C’est toi ! Tu es mon créateur !!! Et qui décide lequel de nous deux est le plus monstrueux ?! »

Inconnu- « La justice ! La justice décidera de notre sort !! »

Flint- « La justice ?! C’est toi et moi qui la faisions la justice !! Et regarde où ça nous a menés !! En réalité… c’est le nombre de mort que l’on traine qui décide de notre sort !! Et nous ne sommes même pas à égalité… C’est toujours toi qui mène le jeu… Drake… »



Un type haut gradé s’est ramené dans ma chambre d’hôpital, et il m’a tout dit, pour Spencer qui était bel et bien décédé dans l’explosion, mais aussi pour Elizabeth… Elle s’était fait avoir elle aussi… sauf que j’étais en vie… et elle non. Qui était responsable de tout ce carnage ? Qui ?! Je devais savoir à tout prix, pour faire regretter au coupable d’être venu au monde ! Quand je suis sorti de rééducation, n’ayant plus de raison de vivre, j’ai consacré ma « mort » à chercher le tueur de ma femme. Mes pistes m’ont conduit vers le fabricant des explosifs, qui allait certainement lui-même me conduire à l’assassin. C’était un vieux barbu, qui ne semblait plus capable de faire quoique ce soit avec ses mains, et pourtant, c’était un ancien soldat de la Marine lui aussi, spécialisé dans l’armement et les explosifs. A la retraite, il a simplement décidé de travailler dans le privé. Il a procuré des armes à certains pirates aujourd’hui très célèbres dans toutes les blues. Alors je l’ai retrouvé et je l’ai fait parler…




CHAPITRE VII : VENGEANCE


Une année d’enquête s’est écoulée. Une très longue année, qui a porté ses fruits. Yura B. Cooper était le nom que j’ai obtenu. Je n’en croyais pas un mot, mais il s’est avéré à la suite de mes recherches, qu’il s’agissait bel et bien du frère de Drake, le grand frère. Il avait le même âge que moi, mais il n’était pas son véritable frère ! J’étais le frère de Drake ! C’est moi qui est prit ce rôle ! Et quand je l’ai retrouvé, j’ai découvert qu’il était malade, dans sa tête… Il m’a raconté ce qui l’avait fait, comme si il en était fier. Je sais qu’il n’était pas en capacité de comprendre son véritable crime, mais pourquoi devrions nous avoir de la pitié pour quelqu’un qui n’en a pas ? Il disait que Drake lui manquait, et qu’il allait revenir à la maison si sa nouvelle famille partait. Tout ce que voulais ce pauvre homme, c’était retrouver sa famille, pour être heureux… mais moi aussi… J’ai incendié l’hôpital psychiatrique.

Ma vengeance achevé, je pouvais enfin mourir. Et pourtant, je savais qu’il me restait quelque chose à terminer. J’ai sombré petit à petit dans le rhum… Je prenais une barque et je naviguais sans provision, espérant mourir avant la prochaine île. Mais la mort ne voulait pas de moi… La folie, elle, m’a accueilli, elle m’a montré le chemin. A quoi bon résister, quand on souhaite simplement mourir ?




CHAPITRE VIII : SOUVENIR MORTEL


Et un jour, complètement par hasard, je l’ai aperçu. Il était là, à quelques mètres devant moi, accompagné de la femme qu’il aimait, qui elle portait un enfant dans ses bras. Depuis l’opération TONGA, je ne l’avais pas vu. On avait complètement perdu le contact, et c’était certainement volontaire. Sara nageait toujours dans cette splendeur et cette même joie de vivre qu’à l’époque, mais ce qui me fit vomir, c’est qu’ils la partageaient tous les deux ! Ils étaient là, heureux et en famille !! Ils osaient sourire sous mes yeux !! Je ne pouvais pas supporter ça plus longtemps !! Je crois que c’est ce jour là, que la folie s’est emparée de moi, et m’a sauvé de la noyade. Oui, il me restait bel et bien quelque chose à faire ! Je devais leur montrer ce que j’ai vécu ! Je devais supprimer cette joie de vivre qui devait être mienne ! Et surtout, je devais empêcher le sang des Cooper de continuer de couler dans les veines du temps, et ainsi éviter la souffrance éternelle !!

Madness Flint, ancien lieutenant dans la Marine et Second du Capitaine Rover dans l’unité 77. Ce sont les derniers écrits de cet homme qui fut un héros au sein de le Marine et du Gouvernement mondial, et qui pourtant, sombra dans la démence avant d’accomplir d’atroces crimes contre l’humanité. Après avoir perdu sa femme et un de ses compagnons d’arme, il fit brûler un hôpital psychiatrique. Puis, il assassina Sara et sa fille de tout juste 7 mois, après les avoir torturé. Drake B. Cooper le retrouva dans une ferme où les crimes ont été commis. Les deux hommes se tiennent désormais l’un en face de l’autre, Drake avec une arme à la main.

Flint- « Tu ne peux pas me tuer ! Sans moi, tu n’as plus rien !! »

Drake- « J’ai déjà tout perdu… »

Cooper pointe l’arme dans la direction de Madness, qui semble n’attendre que ça.

Flint- « Tues-moi ! Après tout, un mort de plus ou de moins sur la conscience… »

Madness crache un sourire de psychopathe. Ça y est, il n’est plus que folie… Drake pose le doigt sur la détente et s’apprête à tirer, quand tout à coup, un couteau vient se planter dans son épaule droite. C’est Flint ! Il bouge à la vitesse de l’éclair ! Drake se souvient alors que c’était sa spécialité dans l’unité 77 : la vitesse. Il charge Cooper et le plaque au sol. Le choc est si violent, et le bâtiment si délabré, le sol s’effondre, et ils atterrissent 2 étages en dessous. Drake remonte ses jambes aux épaules et propulse Madness dans les airs. Il se relève aussitôt et retire le couteau de son épaule. Ce n’est pas une grosse entaille mais il faut tout de même y faire attention. Flint atterri de nouveau, et il se prépare à réattaquer. Pas le temps d’esquiver, Cooper se protège médiocrement en positionnant ses bras croisés devant son visage. Flint part droit sur lui, armé d’un couteau prêt à transpercer l’adversaire. Il se stoppe sèchement dans sa course, à quelques centimètres seulement de Drake ! Il semble paralysé par la douleur. Son corps le fait souffrir, ses brûlures ne sont pas entièrement cicatrisées, et ne se cicatriseront sans doute jamais. C’est la chance pour Cooper d’attaquer. Il se jette alors sur lui en lui flanquant son poing en pleine gueule ! La cible est expulsée et va s’encastrer dans un mur…






CHAPITRE IX : RAGE



Flint- « (Soupire) Héhé… Si tu dois me tuer… (Soupire) Tu ne le feras pas avec de tels coups de poings… (Soupire) Haha… »

Cooper ne répond pas, la rage l’envahit. Il fonce droit sur Madness, et ils traversent le mur tous les deux dans un bruit sourd et un nuage de poussière. Drake se frotte les yeux et fait quelques pas devant lui pour se dégager la vue et chercher Flint. Il a disparu…
Drake sent un courant d’air puis une douleur dans le dos. Madness l’a planté, et après cela, s’est enfui. La douleur s’amplifie, mais à peine est-elle à son summum, qu’un second courant d’air se fait sentir, puis une deuxième douleur éclot dans la jambe. Drake pose un genou à terre, et d’un coup, Flint apparait devant lui, et lui perfore le torse. Cooper est épuisé, et souffrant. Il peine à respirer, mais il ne perd pas connaissance.

Flint- « Et moi qui espérait enfin mourir par ta main… je suis franchement déçu ! »

Drake- « (Soupire) Tu… tu n’as pas encore gagné…(Soupire) »

Flint- « Non ! Non j’ai tout perdu !! Même la mort ne veut pas de moi ! Je ne suis plus rien ! Non plus rien, et ce par ta faute !! »

Cooper sort alors un petit appareil étrange de sa poche avec deux pics tels les crochets d’un serpent, et, avec ce qui semble être ses dernières forces, il plante l’engin dans la jambe de Flint. Il subi alors un puissant choc électrique suffisant pour ramener les deux combattants à égalité ! Drake, en se relevant, fout un énorme coup de poing dans la mâchoire de Madness. Celui-ci est expédié à une dizaine de mètres ! Drake prend alors son bidule par une manivelle et commence à la tourner, pendant que Flint est au sol. Des étincelles apparaissent en provenance de l’étrange appareil de Cooper. Madness se relève enfin…





CHAPITRE X : LES ÉLUS



Flint- « (Soupire) Tu nous as encore fabriqué un joli jouet… (Soupire) Si… si je peux me permettre… qu’est-ce que c’est ? »

Drake- « Désolé, j’ai pas encore déposé le brevet… tu vas devoir attendre… »

Flint- « Rho allons… l’un de nous deux va mourir de toute façon… tu peux bien me le dire héhé… Il n’y a plus personne dans ce monde en qui tu peux avoir confiance à par moi de toute façon !! »

Drake- « Non, il y a des gens bien dans ce monde ! »

Flint- «  Les gens biens le sont parce qu’ils sont incapables de faire ce qui doit être fait !! Tu ne comprendras donc jamais cela ?! Les gens que nous avons protégé toi et moi, ils ne seront jamais capables de faire la même chose pour nous ! Si la vie m’a appris une chose, c’est qu’elle n’est faite que de mort… »

Drake- « Tu as raison… la vie est injuste, surtout envers ceux qui se battent pour qu’elle le soit moins… Mais ne te rappelles-tu pas ?! C’est pour ça qu’on a été formés toi et moi, pour endurer ce que personne d’autre ne peut endurer, pour surmonter l’insurmontable, pour faire ce qui est juste, même si cela implique des sacrifices ! Nous avons été choisis pour ça… Nous étions les élus !! »

DDRRRIIIINNNNNGGGGGG !!!!!





CHAPITRE XI : ACHARNEMENT



Drake- « Ça y est ! C’est prêt ! Si tu veux vraiment savoir, j’ai appelé cet engin… le serpent à sonnette ! »

Un petit moment de solitude s’en suit…

Drake- « Mais j’ai prévu de retravailler le nom encore… un peu… pour… heu… pour plus tard… ^^’ Bref, le cuivre, tu connais ? C’est un excellent conducteur, mais mieux encore, il peut concentrer l’électricité quand il est en bobine. Il te suffi juste de la charger en tournant bêtement la manivelle, et quand la charge maximum qui est d’environ 10000 volt est atteinte, la petite sonnette que tu viens d’entendre nous le fait savoir.  »

Flint- « Ha je vois… alors tu essayais juste de gagner du temps en bavardant avec moi… Tu as travaillé ta stratégie… »

Drake- « Exactement. Mais il faut que tu saches… la prochaine charge te tuera… avec de telles blessures sur le haut du corps, il n’y a aucune chance que tu t’en sortes… »

Flint- « Ha enfin… Deux ans pour entendre une bonne nouvelle HAHAHAHA !!! Alors Drake, qu’est-ce que t’attends ?! Viens me tuer, si t’en es capable… »

Madness utilise de nouveau son incroyable vitesse et apparait derrière Drake. Il pose sa main sur le flanc de son crâne et l’envoie valdinguer dans un mur.

Flint- «  Ha ! Chacun son tour ! »

Cooper se relève tant bien que mal à l’intérieur de ce qui semble être un moulin, et il a échappé le « Serpent à sonnette » par inadvertance. L’appareil se retrouve coincé dans un bac, que le système mécanique du moulin emporte vers le haut. Drake ne fait plus attention à Flint quand il apparait soudainement devant lui et lui envoie son poing dans les côtes, puis dans la gueule. Il frappe encore et encore tant qu’il le peut, jusqu’à défoncer la porte, et se retrouver dehors. Miraculeusement, Drake est encore debout. Ils sont tous les deux à bout de souffle. Cooper prend une nouvelle fois sa seule chance d’attaquer et fonce droit sur Flint le poing chargé. Il lui envoie en pleine face, encore et encore et ? Drake disparait soudainement. Flint rouvre les yeux mais ne le vois pas, quand d’un coup une hélice du moulin vient le percuter et l’emporte avec elle. Arrivé au niveau du toit en forme de pointe, Madness aperçoit Drake, qu’il rejoint aussitôt.

Drake- « Drôle de moulin hein ?! »





CHAPITRE XII : LE MOULIN



Le combat des épuisés reprend de plus belle. L’échange de coups de poings frôle le ridicule, et pourtant il est si intense. L’un des deux doit mourir, maintenant c’est clair ! Une heure passe, et le toit s’épuise plus vite que les gladiateurs. De nouveau, le sol s’effondre sous leurs pieds. Drake est sauvé de la dégringolade par un bac, mais Flint continue sa chute jusqu’en bas, sauvé par un tas de paille. Ils profitent tous les deux de ce petit moment de répit qui sera certainement le dernier.

Flint- « (Soupire) Bon… aller… on arrête les enfantillages maintenant… faut en finir pour de bon… Tu n’as qu’à te dire… que justice sera faite… »

Madness se relève et ramasse une fourche. Il regarde en haut, et voit Drake, complètement mort de fatigue, avec les pieds et les mains qui dépassent du bac. Le soleil couchant fait alors entrer l’un de ses rayons à travers le trou dans le toit, ce qui laisse place à un splendide jeu de lumière parfait pour la mort d’un grand guerrier… De son côté, Drake sait qu’il n’a plus aucune chance, mais il s’en moque presque, parce qu’il n’a plus de raison de vivre désormais. Pour l’un comme pour l’autre, la mort semble être un cadeau…

Ça y est, Flint s’élance dans les airs pour embrocher son ennemi. Drake écoute soudainement un petit « Dring », et il sent quelque chose sous ses fesses. Madness se retrouve en une fraction de seconde au dessus de sa tête, la fourche dans les mains, et dans sa direction. C’est maintenant ou jamais ! Il attrape le « Serpent à sonnette » et s’élance lui aussi contre son adversaire ! Ils jouent tous les deux le tout pour le tout ! Mais, un des pics de la fourche passe entre les deux du serpent à sonnette, et la stoppe net tandis que sa pointe est légèrement enfoncée dans le visage de Drake, juste au dessus de son œil gauche ! La fin de ce duel ne dépend plus que de leur force brute, qu’ils sont en train de pousser à leur point culminant. Flint fait bouger la fourche de façon à écorcher au mieux le visage de Drake, qui hurle à la mort.

Flint- « T’auras un souvenir de moi comme ça ! »

DDRRRIIIINNNNNGGGGGG !!!!

Drake- « QUE JUSTICE… SOIT FAITE !!!! »

Le courant parcoure en une fraction de seconde, la fourche composée de métal, suivie du manche en bois, pour finir dans le corps de Flint ! Le choc électrique provoque l’embrasement du toit principalement fait de paille. Flint est ensuite éjecté dans une explosion de flammes ! Le bac qui servait de support à Drake jusque là est lui aussi à bout de force et entame sa chute, qu’il termine rapidement sur le tas de paille. Epuisé, vidé de toute force, et surtout d’envie de continuer, Cooper se laisse perdre connaissance, et s’abandonne aux flammes qui s’emparent du moulin tout entier en quelques minutes seulement…





CHAPITRE XIII : DEUXIEME CHANCE




Il se réveille, au chaud, dans un bon lit douillé, sans vraiment comprendre. Peu importe, toute cette histoire est enfin finie, c’est le principal. C’est alors que le souvenir de Sara et de sa fille remonte à la surface. Il pleure, encore et encore ne regrettant qu’une seule chose : ne pas avoir été capable les sauver… Au fond, Flint avait sans doute raison, quand il parlait de la souffrance, et aussi pour le reste. Un vieil homme entre soudain dans la pièce :

Vieil homme- « Pourquoi tu chiales gamin ?! T’es en vie non ? Et c’est pas suffisant ?! Rappels moi de te laisser dans l’feu la prochaine fois ! »

Le vieil homme porte un plateau avec de la nourriture, qu’il pose sur la table de chevet, puis il se retourne et repart aussi vite qu’il est venu, en grognant dans sa moustache. Drake fixe le plateau pendant plusieurs secondes qui paraissent plutôt longues. Son ventre se met alors à réclamer cette nourriture, qu’il s’empresse donc de manger. Quelques heures plus tard, le vieux revient dans la chambre.

Vieil homme- « Alors ?! Il était bon l’gueuleton ?! C’est une recette de ma femme. Ha, évidemment, y’avait qu’elle pour la faire bonne, mais… (Soupire) Bon ! Tu comptes rester combien de temps ici mon gars parce que je vais peut être avoir besoin d’un coup de main pour réparer l’moulin qu’t’as démoli ! »

Drake- « Heu… c'est-à-dire que… C’est vous qui avez soigné mes blessures ? »

Vieil homme- «  Ha oui ! T’as d’la chance que j’étais médecin dans le temps gamin ! »

Drake- « (Soupire) Heu… merci… Mais vous ne m’en voulez pas pour votre moulin ? »

Vieil homme- « Bien sûr que j’t’en veux ! Mais tant que tu répares, y’a pas de problème. Tu sais, je suis pas idiot, j’ai retrouvé le corps de l’autre gars dans le champ d’à côté, et j’ai rien pu faire pour lui, il était déjà mort… Mais je suppose que ça t’arrange, parce que c’est pas par hasard que je retrouve deux mecs chez moi le même jour, l’un mort, et l’autre presque mort ?! Tu sais… je vais pas te juger… moi aussi j’ai fais pas mal de conneries quand j’étais jeune, et moi aussi la vie, elle m’a pas fait de cadeau ! Mais si la vie, elle m’a bien appris une chose, c’est que le plus grave dans les conneries, c’est pas de les faire, c’est de les nier avec les autres, mais surtout avec soi-même… Je sais que je ne sais rien de toi morveux, mais je sais que je t’ai retrouvé à moitié mort dans mon moulin incendié, et que j’ai retrouvé plus loin le cadavre d’un autre gars, et ça, c’est certainement signe d’emmerdes, de grosses emmerdes ! Mais si je peux te donner un conseil de vieillard : Arrêtes de chialer comme un morveux et pardonnes toi gamin ! Ensuite tu peux réparer tes conneries, et avec le temps, faire le tri, et n’en garder qu’un souvenir… »

Ce jour là, Drake B. Cooper saisi la chance qu’il avait de recommencer à zéro, ce jour là, il débuta sa nouvelle vie…






Test RP



Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.


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Informations IRL

Prénom :
Age : 17 ans
Aime : Musique, mangas et le karaté
N'aime pas : Les études et les asperges
Personnage préféré de One Piece : Vice-amiral Smoker
Caractère : Drôle et fainéant, mais plein d’ambitions !
Fait du RP depuis : Presque 1 an
Disponibilité approximative : 4 jours par semaines
Comment avez-vous connu le forum ? Par un ami : Zarechi Ozuka

Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).


Dernière édition par Drake B. Cooper le Dim 25 Mai 2014 - 19:18, édité 1 fois
    Plop Drake, bienvenu dans le coin.

    Et v'là ton test rp

    C'est l'après-midi. Il fait beau. Bien bon pour faire quelques emplettes entre deux traques de primes. Une chouette boutique avec le vendeur d'un âge vénérable donnant quelques bonbons à la charmante fille d'un couple qui répond par d'autres sourires. Et d'autres gens, tout aussi souriants. La vie est belle pour les autres. Puis une autre famille entre, mais avec le fusil braqué sur ta tempe et le sabre sous le menton du vendeur, ils n'en veulent pas qu'aux bonbons. Et alors que tout aurait pu bien se passer, il faut que tes anciens collègues encerclent le bâtiment, mettant la pression sur les trois gugusses qui n'ont pas les nerfs préparés à ce genre d'imprévu.

    Un après-midi de chien en perspective.

    Raconte-nous comment ça s'est fini.

    Bon courage ! Pluche !

    • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
    Test RP





    Et voilà, c’est terminé. Drake vient tout juste d’inventer un nouveau gadget qui devrait lui être utile à l’avenir : « La Griffe » ! En effet, Cooper galère toujours autant à trouver de bon nom pour ses inventions. Fier de lui, et surtout sans un sous, il fouille dans son tas d’avis de recherche. Il tombe sur un prénommé Iko Uway qu’il connait plutôt bien, enfin surtout de par sa notoriété qui le suit partout sur North Blue. Il s’agit d’un pirate réputé pour son talent dans les arts martiaux. Il aurait fait près d’une trentaine de victimes en 2 mois, et en les tuant à mains nues. Ce type est décrit comme étant un chien enragé d’une valeur de 10 millions de berrys, mort ou vif. Drake plie l’avis de recherche en deux, et le glisse dans sa poche : il a trouvé sa prochaine cible…


    Il est près de 8h du matin, et la plupart des habitants ne sont pas encore levés. Les rues sont calmes et fraiches, et laissent audible seulement les jappements d’un chien. Drake enfile sa grande cape blanche, et voile son visage sous la capuche. Il sait où aller pour trouver des informations sur l’emplacement d’Uway. Il est sur ce cas depuis une semaine déjà, et est arrivé en ville la veille seulement. Ces recherches l’ont amené jusqu’ici, dans la ville de Chom, sur Inu Town. Mais ce dont Drake se méfit encore plus que sa cible, ce sont les révolutionnaires qui auraient fait leur base sur cette île, et à en croire son expérience, les ragots sur les révos ne sont pas souvent faux. Normalement, il n’a rien à craindre d’eux s’il ne cherche pas les noises, mais dieu seul sait ce qui peut arriver. Barry loge chez l’habitant, ce qui n’est pas exceptionnel par ici, puisqu’il n’existe pas d’habitants aussi bon accueillants que dans cette ville, selon lui. Aujourd’hui devrait être son dernier jour ici, du moins c’est ce qu’il espère.


    Cooper se rend donc dans une taverne appelée « La Tavernière ». Il se sent tout de suite un peu moins seul pour ce qui est du manque d’originalité pour nommer les choses. Un vieux barbu est assis au comptoir, et il a l’air d’être mort depuis des années. Il n’y a personne d’autre, ce qui est plutôt logique puisqu’il est 8h du matin. Drake s’approche du vieil homme et lui pose l’avis de recherche d’Iko sous le nez.


    Barry- « Vous connaissez cet homme ? »


    Pas de réponse… Il est peut être réellement mort ? Trois hommes entrent soudainement dans le bar, et l’un d’eux est armé. Après deux petites secondes de blanc, les hommes réagissent. C’est le moment idéal pour tester « La Griffe » ! Et hop, d’un mouvement presqu’invisible parce que trop rapide, Drake sort le nouvel engin, qui a la forme d’un révolver, mais en plus gros. Ce monstre mécanique a l’air de vouloir faire beaucoup de dégâts, et pourtant, Cooper le pointe directement sur l’homme armé, et en sautant sur sa droite, il appuie sur la détente ! Un projectile, constitué de 4 branches allant dans 4 directions différentes, part à la même vitesse qu’une balle tirée d’un fusil. Une fois la cible atteinte, les pointes des branches se rejoignent et ne laisse plus rien s’échapper. L’homme visé est aussitôt tracté par le câble liant l’arme au projectile. Maintenant à la porté de Drake, celui-ci envoie sa jambe dans l’estomac du désarmé qui termine sa course dans un mur !


    Un second blanc s’ensuit, les deux derniers brigands hésitent à attaquer, et ils finissent par fuir. Barry, satisfait de son travail, range son nouveau jouet et se tourne vers le vieux, qui semble ne pas avoir bougé d’un pouce. Et avec un petit sourire presque vicieux, Drake s’adresse à lui comme si il allait écouter.


    Barry- « Merci quand même vieillard »


    Drake sort du bar en ayant piqué le portefeuille de sa victime. Ça ne lui fera pas la semaine, mais ça suffira pour la journée. Il continue alors sa tournée de petites arrestations ordinaires sans perdre de vue son principal objectif : Iko Uway. Le jour se lève et atteint son apogée quotidien très vite. Après s’être rassasié dans un petit restaurant, Barry reprend son poste de justicier du jour, qui n’est certes, pas très honorable, mais toutes fois très sérieux. Le temps est superbe pour les sorties en famille, et les villageois le savent. Ils profitent tous de la météo, et laissent un tsunami de joie et de bonheur ravager la ville. Même Drake B. Cooper a retrouvé le sourire en étant encerclé par tant de gaité…


    Il s’engage dans une boutique de farces et attrapes où il trouve généralement plein de bidules qui lui servent à créer de nouveau gadget. Une famille comportant les deux parents et leur petite fille se trouve au comptoir, en train de discuter avec le vieux vendeur. Barry ne peut s’empêcher de repenser à sa défunte femme et à sa fille chérie, alors les larmes commencent à couler, encore. Le vieux commerçant sort de derrière son comptoir pour donner une pochette pleine de bonbons à la gamine. Une preuve pour Drake que les gens biens existent toujours et ne cesseront jamais d’exister…


    La sonnette de la porte tintinnabule comme à chaque entrée et sortie du magasin. Barry ne fait pas attention, non, pas dans un tel moment. Et il se retrouve avec un fusil braqué sur la tronche, et une belle prise d’otage à l’horizon. Il n’a pas eu le temps de percuter, et il ne peut plus tenter quoique ce soit, d’autres personnes sont en danger.


    Objectif n°1 : Ne laisser aucun coup de feu partir
    Objectif n°2 : Pas de mort


    Barry ne peut qu’observer attentivement et évaluer la situation : Ils sont trois, ce sont des hommes, et ils sont cagoulés. L’un d’eux est armé d’un fusil qu’il pointe sur Drake, un autre prend en otage le vieux marchand, en positionnant un sabre sur sa gorge. Le dernier n’est pas armé, et pourtant, il semble être le chef de la bande. Il verrouille aussitôt la porte du magasin, et se met à guetter à l’extérieur. Le sol commence à trembler, et des bruits de pas synchronisés, ainsi que des armes rechargées se font entendre. Cooper connait la signification de ces sons, c’est la Marine !


    Barry- « Il ne manquait plus que ça… »


    Ces hommes ne sont pas venus cambrioler cette boutique, ce qui est plutôt logique quand on y pense. En réalité ils s’y sont réfugiés pour échapper aux soldats. Mais le plus inquiétant, c’est qu’ils n’ont rien de professionnels. Si la Marine essaye de négocier avec eux, ils vont péter un plomb et personne ne sait comment ils vont réagir.


    Conclusion de la situation par Drake B. Cooper :

    Barry- « Je suis dans le caca… »


    Le chef de la bande ordonne à l’un de ses complices de prendre la gamine en otage aussi, et il s’exécute en lâchant le vieux marchand et en attrapant la fillette sous le bras. La petite fille devient la priorité de Drake, et le vieux ne devrait plus être en danger, mais il est toujours à l’intérieur quand même. Le père de la gamine s’interpose mais il finit parterre avec deux ou trois dents en moins. La situation se calme peu à peu, et les otages finissent attachés au pied du comptoir. Seuls Drake et la gamine se font emmener dans l’arrière boutique. Ils ont surement l’intention de fuir par derrière, mais Cooper sait comment la Marine procède dans ce genre de situation, et ils ont certainement déjà bloqué toutes les sorties, y compris celle-ci. Pour Barry, il n’y a qu’une seule façon de sauver sa peau ainsi que celle de la gamine, il faut gagner leur confiance. Et pour cela, Drake doit les aider…


    Barry- « Vous êtes foutus si vous passez par là les gars »


    Chef de bande- « Quoi ?! La ferme, on t’a rien demandé ! »


    Barry- « Je suis sérieux mec, je sais ce que je dis. Et franchement, je vois bien que vous êtes dans le métier depuis peu. Vous voulez vous sortir vivants de cette galère, c’est normal, et moi je veux que tout le monde s’en sorte vivant, y compris vous, alors on se détend ok ? Je suis un ex marins, alors vous pouvez me croire quand je dis que la porte de derrière est déjà bloquée depuis un moment. »


    Chef de bande- « Toi ! Tu… heu… Tu vas nous sortir de là ok ?! Sinon, c’est la gamine qui y passe, tu saisis ?! »


    Barry- « J’ai saisi, j’ai saisi, mais va falloir m’écouter attentivement. »


    Ils ont l’air plus perturbés qu’autre chose, et s’il y a bien un truc qui leur glisse des mains, c’est la situation. Par chance, le chef de la bande se soumet aux ordres de Cooper parce qu’il s’y sent obligé, mais le problème, c’est que Barry doit les faire sortir de là, et si la Marine découvre qu’il a aidé des fugitifs, il sera lui aussi recherché. L’ex soldat est clairement dans une impasse…


    Barry- « Il faut passer par le toit. »


    Chef de bande- « Le toit ?! Tu te fous de moi ou quoi ?! Comment on va faire pour descendre ??!! »


    Barry- « A part si cette boutique possède un souterrain secret, il n’y a pas d’autre moyen de sortir que le toit. »


    Le bandit se tourne vers le vieux marchand et l’empoigne violemment par le col.


    Chef de bande- « Hé toi ! Dis-moi qu’il y a une autre sortie putain !! »


    Marchand- « Non, il n’y a rien de tel je suis désolé… »


    Cooper s’approche et prend le voyou par l’épaule et d’un mouvement du poignet, il le fait dégager.


    Barry- « Monsieur, c’est la vie d’une petite fille qui est en danger… s’il vous plait. »


    Une longue minute d’angoisse se tient entre les deux hommes.


    Marchand- « Il… Il y a un tunnel qui mène au port… »


    Il se lève et se dirige vers une grande bibliothèque qui ne semble déjà plus toute jeune. Deux chandeliers muraux encadrent le meuble. Le vieillard en tire un vers lui, et le son d’un mécanisme se mettant en route se fait entendre derrière le mur. La vieille bibliothèque se décolle soudain de la cloison en laissant entrer un fort courant d’air froid accompagné d’un énorme nuage de poussière. Le vieux se tourne ensuite vers Drake et les cagoulés.


    Marchand- « Ce tunnel conduit au port du village. Prenez un chandelier parce qu’il n’y a pas d’éclairage à l’intérieur. »


    Les deux complices se précipitent vers la bibliothèque, se mettent à la tirer, et elle s’ouvre alors comme une simple porte. Le tunnel est directement creusé dans la roche, et donc assez étroit, juste de quoi tenir debout et se tourner. Cooper remarque que le système d’ouverture de la porte est un contre poids dont le rôle principal appartient à un gros sac de sable posé au sol, accroché par une corde. Le sac en l’air, la porte est fermée, le sac au sol, elle est ouverte, c’est plutôt facile non ? Barry sait maintenant quoi faire : Il faut les laisser s’engouffrer dans le souterrain et couper la corde. Puis, prévenir la Marine, et les laisser eux aussi bloquer la sortie, et le tour est joué, tout le monde est sain et sauf… En tout cas, selon Barry.

    Le boss des crapules ordonne à ses disciples de prendre le chandelier, ainsi que la gamine. Drake s’interpose.


    Barry- « Non, attendez, la fillette n’a pas à vous suivre dans ce trou noir. Ça y est, vous êtes libre alors laissez nous partir bon sang ! »


    Chef de bande- « Et puis quoi encore ?! Tu m’as pris pour le dernier des abrutis ?! Il vous suffi de donner l’emplacement de la sortie du tunnel à la Marine. La gamine reste avec nous jusqu’à ce qu’on quitte cette île !! C’est notre seule assurance ! »


    Merde, il est plus intelligent que prévu…


    Barry- « Emmenez-moi avec vous alors ! Je veux garder un œil sur la gamine et m’assurer que vous ne lui ferez aucun mal. »


    Le bandit réfléchi quelques instants.


    Chef de bande- « Heu… ok tu viens ! »


    Cependant il ordonne à l’un de ses complices de lui attacher les mains dans le dos. Ça y est, ils rentrent dans le tunnel, le premier est une des potaches du groupe, il porte juste le chandelier. Le deuxième c’est le boss qui tient la fillette par le bras, et suivi du dernier acolyte avec le fusil, qui garde un œil sur Drake derrière lui. Ils avancent petit à petit, les uns après les autres. Cooper a beau réfléchir, il ne peut rien faire pour l’instant, il doit attendre la sortie du souterrain…


    Pendant ce temps, dans la boutique, la Marine a fini par rentrer de force. Des soldats interrogent les otages qui les informent du tunnel, et surtout de leur fille qui se fera tuer s’ils parlent davantage. Mais le vieux marchand est bien décidé à faire arrêter ces bandits qui ont osé s’en prendre à son magasin. Il apprend donc où se situe la sortie du tunnel à la Marine. Est-ce de l’inconscience ? Est-ce de la folie ? Peut-être ne se souvient-il plus que la vie d’une fillette est en danger ? Ou probablement qu’il s’en fou ? A moins que… Peut-être a-t-il placé tout son espoir en Barry. Serait-il possible qu’il lui fasse confiance à ce point là ?! Oui, c’est possible, car même si peu de gens deviennent des héros, ceux qui n’en seront jamais savent les reconnaitre…


    La Marine envoie alors toute ses forces sur place. La sortie est une bouche d’égout située sur le trottoir du port, dont seuls quelques mètres séparent de l’océan. Deux rangées de soldats mettent en joue le cercle de métal, avec l’ordre de tirer sur tous les malfrats qui en sortiront. En attendant, dans le souterrain plus tellement secret, la file indienne poursuit inlassablement sa traversée, plutôt lugubre malgré le chandelier. Drake attend toujours le moment opportun pour agir, car il ne peut encore rien faire. Brusquement, le bandit en tête disparait, le chandelier avec lui. Le reste du groupe tombe lui aussi, mais dans l’obscurité seulement. Le porteur de lumière éclaire alors pendant sa chute ce qui semble être une gigantesque galerie souterraine. C’est le moment tant attendu par Drake ! Il se détache par la force et attrape son surveillant par le cou, et il commence à l’étouffer. Les cris du tombeur camouflent l’étranglement. Mais soudain, plouf ! La chute se termine par un plongeon. Le boss panique complètement, la gamine hurle, et Drake assomme finalement sa prise contre la paroi en pierre. Il fonce ensuite droit devant lui, complètement aveugle, et il happe la fillette et son ravisseur dans sa course. Ils sont alors tous les trois lancés dans le vide, et surtout l’obscurité totale ! Au touché, Cooper saisi l’enfant et s’éloigne du voyou en le propulsant avec ses pieds. Il n’y a plus qu’à espérer que le gouffre soit assez profond pour amortir la chute. Barry et la petite terminent dans l’eau, et finissent par remonter à la surface, sains et saufs. Malgré le fait qu’il soit privé de son sens visuel, Drake peut atteindre le bord avec la fillette sous le bras. La pauvre panique complètement et pleure toutes les larmes de son corps, et Cooper sait que dans une telle situation, il ne peut pas l’empêcher de réagir ainsi. Il essaye d’écouter les deux crapules restantes de l’autre côté du trou d’eau. Il entend le boss appeler son complice, mais il reste sans réponse. La gamine cesse soudainement de pleurer. Drake se retourne et brasse l’air pour tenter de la rejoindre, mais il se mange un rondin de bois dans les dents ! Il écoute ensuite comme un morceau de métal que l’on déplace, et « la lumière fut » ! A quelques pas devant lui, le boss escalade une échelle vers la lumière, c’est la sortie. Son complice le rejoint, avec la gamine dans les bras. Cooper court aussi vite qu’il le peut et attrape le bandit par le pied, puis il tire pour le mettre au sol, mais seule une chaussure lui reste dans les mains. Le boss se hisse à l’extérieur et une série de coups de feu explose ! Drake comprend tout de suite que c’est la Marine. Il ne faut pas laisser le deuxième sortir avec l’enfant ! Cooper attrape dans sa sacoche le Serpent à sonnette. L’échelle est en métal, et donc conductrice ! Il évacue un peu de courant pour ne pas tuer la petite, puis il plante de toute ses forces l’engin dans un des barreaux de fer ! L’électricité fait chuter le voyou et l’enfant. Les soldats à l’extérieur se sont rapprochés de l’orifice pour le mitrailler. Ils encerclent la bouche d’égout et tirent dans le tas ! Au dernier moment, Barry attrape l’enfant et la recouvre de tout son corps. Le bandit s’écrase à côté, puis les balles les atteignent tous les deux. Drake garde les yeux ouverts jusqu’à la fin de la fusillade, il veut s’assurer que la fille n’a rien, puis quand il en est enfin sûr, il perd finalement connaissance…


    Barry- « Objectif n°1 : Ne laisser aucun coup de feu partir / ECHEC
    Objectif n°2 : Pas de mort / ECHEC
    Mais bordel elle est vivante… »
     
      Salut Drake, je viens pour le premier avis

      Le point forme d’abord
      Une petite sacoche en bandoulière lui est fidèlement accrochéE
      Cooper connuT alors le bonheur
      Ils ont alors formé ce qui s’appelLE une véritable famille
      une musique perduE
      quand on enchaine batailles sur batailles, guerres sur guerres => bataille/ guerre x2
      mon compagnon d’armeS
      C’est en partiE grâce à elle
      tous les bidules techniques qui nous étaient forts utiles => fort
      je devais trouver le véhicule adéquate => adéquat
      La majorité d’entre nous étions arrivés => était arrivée
      cette vielle peau => vieille
      cette incroyable mélange=> cet
      je lui ai dis => dit
      c’est primordiale => primordial
      Son corps et son savoir se sont développéS
      après l’entréE dans la Marine
      nous avons énormément progressés => progressé
      le dossier « Renversement de situation » est arrivée => arrivé
      cela ne s’avérais pas => s’avérait
      En cas d’abandons immédiatS
      l’équipe extérieurE
      Spencer m’avait mit => mis
      La nuit était tombéE
      de multipleS brûlures
      l’ouïe et la vue à moitié perduES
      la porte s’ouvre violement => violemment
      Pourquoi t’a fais ça => t’as fait ça
      J’ai fais => fait
      la dernière prison que l’on a visitéE
      le nombre de mortS
      C’est toujours toi qui mèneS
      C’est moi qui est prit ce rôle ! => qui ai pris
      Tout ce que voulais ce pauvre homme => voulait
      Ma vengeance achevéE
      après les avoir torturéS
      Flint atterriT
      coups de poings => poing
      Il subiT
      Il te suffiT
      Flint rouvre les yeux mais ne le vois pas => voit
      un bon lit douillé => douillet
      j’ai fais => fait
      Drake B. Cooper saisiT la chance
      sans un sous => sou
      bonS accueillants
      les pointes des branches se rejoignent et ne laisseNT
      Maintenant à la portéE de Drake
      les gens biens => bien

      Pas mal de fautes, c’est dommages. Fait gaffe à tes conjugaisons en particulier.

      Sur le fond, niveau descriptions physique, la base est là, manque surtout des petites particularités du comportement, les gestuels, les habitudes de langages, ce genre de choses ; tout ce qui rend le perso vivant. Niveau psychologie, c’est assez flou. On a vite compris que le gus est un peu torturé par son passé, mais c’est juste une idée générale. Comment ça s’applique en réalité ? Comment il voit le monde, les gens, les pirates, etc ? Qu’est ce qu’ils désirent ? Qu’est ce qu’il le fait marcher aujourd’hui ? Si on enlève sa déprime, il reste pas grand-chose. Bref, ça manque un peu d’infos de ce côté-là.

      Par contre, niveau biographie, c’est plutôt détaillé, parfois trop ; je parle surtout pour les retrouvailles sanglantes entre Drake et Flint qui n’ont pas vraiment sa place dans une biographie. Ils se foutent sur la gueule, ça finit mal. Point la peine d’en faire des tonnes. Sur le style, la rédaction selon le point de vue de Flint est plutôt sympa même si du coup, on rate le ressenti de Drake. Comment il a vécu tout ça, mais surtout comment il a vécu l’après prison ? Comme on est du côté de Flint, ce côté-là reste assez flou. Aussi, les chapitres, ça sert un à rien, en fait.
      J’ai pas vraiment de vu de gros soucis de cohérence. En évoquant le commando, il aurait fallu préciser davantage avec les termes du forum. Marine ? Marine d’élite ? Grade des gens ? Le truc le plus bizarre, c’est le fait que c’est le frère de Drake qui a piégé à la prison. Mais comment il a fait ça ? Comment il savait ce que faisait son frère ? Et puis, qu’elle est son histoire de famille du coup ? Parce que là, ça donne plus l’impression d’avoir un frère qui sort de nulle part parce que ça fait classe sur le papier. Père ? Mère ? Rien de tout ça. Sur le coup, tout ce qui se rapporte au frère est assez nébuleux.
      Et au final, pourquoi Drake n’a plus donné de nouvelles ? Pourquoi a-t-il quitté la marine ? C’est typiquement là le souci de faire le récit à travers de Flint. Son côté est compréhensible, celui du personnage que tu veux jouer, un peu moins.

      Sur le test rp, il y a des petites choses qui me gênent. Des choix de scénarios que je ne trouve pas très pertinents. Le premier truc, c’est une introduction vraiment longue. On parle d’un pirate que Drake cherche à capturer pour finalement l’oublier totalement quand survient la prise d’otage. A se demander l’utilité d’introduire ce personnage. Autre truc à part, l’attaque dans le bar et l’utilisation de ta nouvelle arme. Ça aussi c’est cadeau. Ça aussi, ça n’a pas d’intérêt particulier par rapport au cœur du rp. Et du coup, on met un peu de temps avant d’entrer, justement dans le vif du sujet.
      A ce niveau-là, le truc qui me chiffonne le plus, c’est cette volonté de sortir le plus rapidement possible du lieu dans ta narration. Et pour cela, on fait intervenir un passage secret. Comme par hasard. Comme si toutes les boutiques du genre ont des passages secrets aussi sophistiqués. Le truc moins bien qui va de pair avec ça, c’est les bandits qui acceptent de te prendre avec toi. Quel intérêt, je veux dire ? S’ils disent non à te requête, ils perdent quoi ? Rien. Parce qu’ils contrôlent la situation puisqu’ils détiennent la gamine. Alors, emmener un type comme toi qui résiste plutôt bien à la pression visiblement, un ex-marine qui plus est, avec eux, c’est assez con. De toute la bande, c’est probablement toi qui es le plus dangereux et ils n’ont même pas besoin de toi. Dernier détail pour la situation, ils te font passer en dernier alors que dans ce genre de situation, tu passerais plutôt en deuxième avec un gus devant toi et derrière toi. C’est quand même la situation la plus propice à éviter à ce que tu fasses des conneries.
      Ah, et aussi, ils ne te fouillent même pas. Ex-marine, ça ne les ferait même pas tilter que tu pourrais avoir un flingue sur toi ?

      Sur la fin, les marines sont quand même assez dingues. Canarder alors qu’il y a un otage, c’est totalement con. Le coup d’arracher ses liens d’un coup, je trouve ça assez moyen tout comme le fait que personne ne capte ce que tu fais. Et aussi le type qui tombe dans le trou alors qu’il a la lumière, ça fait vraiment con. Et quand c’est con comme ça, ça perd beaucoup de son plaisir à lire.

      Bref, j’ai un sentiment de précipitation dans ce test. Tu ne prends pas vraiment le temps de poser l’ambiance, les choses s’enchainent rapidement. Le trio ne brille pas beaucoup et les marines aussi. T’es peut être un pj, un héros, mais en rabaissant les pnjs, c’est souvent pas top. Un test rp plus dans l’action et pas vraiment dans le psychologique, une dimension que j’aurais trouvé plus propice pour ton personnage avec son passif douloureux.

      Bref, je suis sur un 450D.

      Bienvenue ! Bon rp ! Pluche !
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
      Et voici ton deuxième avis ! Je vais d'abord te causer un peu de la forme avant de passer au fond et au verdict final.

      Déjà, sur la forme, pas grand chose à dire. La plupart des fautes sont dues à l'inattention et auraient pu être évitées avec une bonne relecture. Du coup, je te laisse faire gaffe au relevé de Plud'. Par contre, il reste des petites choses récurrentes dont tu n'as probablement pas conscience, donc voici un petit listing :

      => Déjà, t'as un souci avec la formulation "qu'il a"/"qui l'a".
      - "mais ce n’était rien comparé à ce qui l’a éprouvé"
      - "Il m’a raconté ce qui l’avait fait"
      Quand tu dis "ce qui", tu renvoies à un objet, à une idée abstraite ou à quelque chose d'inanimé. Pas à ton personnage. Dans le premier exemple, ta phrase signifie que le bonheur n'est rien comparé aux choses qui t'ont éprouvé. Alors que toi, tu voulais dire que ce n'était rien par rapport à ce que ton personnage a éprouvé.
      Même chose pour le second exemple où ta phrase signifie que quelque chose a fait ton personnage alors que tu voulais dire que ton perso a fait quelque chose.
      Attention donc à ne plus confondre les deux formes ! Et si t'as un doute, demande-toi qui est le sujet du verbe.

      => Ensuite, attention à l'orthographe du verbe appeler (et de ses dérivés comme rappeler). C'est relativement chiant à conjuguer, les -p et les -l changent tout le temps, donc essaye de vérifier la conjugaison du verbe avant de l'écrire. Sinon, concernant le nom propre, ça s'écrit : un appel/rappel.
      Toujours côté conjugaison : attention au verbe soupirer. On dit "il soupire" mais quand il s'agit du nom propre, c'est "un soupir".

      => Côté ponctuation maintenant, tu as tendance à mettre des majuscules après les deux points. Il n'y en a pas ! Les majuscules se mettent uniquement après les points, les points de suspension, d'exclamation ou d'interrogation. C'est tout. Ni derrière les deux points ni derrière les points virgules.

      => Enfin, dans les fautes diverses, attention à bien écrire "s'il" et pas "si il". Il faut également différencier les marines des marins. Même au masculin, quand on parle des soldats de la Marine, on dit les "marines". Si tu parles de "marins", ça peut prêter à confusion et on risque de penser à de bêtes marins civils.

      Voici donc pour la forme. Fais donc bien gaffe à te relire pour éviter tes fautes et fais attention aux points ci-dessus.

      Maintenant, concernant le fond, je t'avoue que j'ai eu énormément de mal avec ta présentation. Y'a un gros problème de structure. L'ensemble de la présentation part un peu dans tous les sens. Tu nous parles d'un truc, passes à autre chose pour revenir à ce que tu nous as dit avant et repartir sur le présent... Bref, c'est le bazar ! Mais je vais revenir plus en détail là-dessus.

      => Concernant le physique, j'ai trouvé ça un peu vide. Déjà, pour ma part, il manque une ligne par rapport aux conditions demandées. Certes, tu nous dis comment ton perso s'habille et à quoi il ressemble, mais on ne le visualise pas du tout en contexte réel. On ne sait pas son attitude, sa démarche, sa voix, l'impression qu'il donne, tout ce genre de petits détails. De plus, les parenthèses pour nous renvoyer à l'avatar ou aux textes en dessous sont inutiles. Tu nous empêches de nous immerger dans le personnage en nous rappelant qu'il est complètement fictif et qu'on lit une présentation. Et puis l'uniforme de marine décrit ne correspond pas du tout à celui du manga, c'est donc un peu incohérent sur ce point.

      => Concernant la psycho, je suis tout à fait d'accord avec Plud'. Ca manque complètement de contenu. On sait très peu de choses sur ton personnage et tu nous balances des informations sans les développer. Toute l'histoire sur la femme et la fille aurait dû être développée plutôt en bio et simplement évoquée en psycho. Ou alors il aurait fallu inverser l'ordre de la fiche en commençant par la bio. Problème de structure, donc.
      D'ailleurs, les trois paragraphes ne sont pas tellement équilibrés au niveau du style, dans la mesure où t'es plus dans la narration que dans la description sur le premier paragraphe et que tu repasses sur le même ton que le physique sur les deux suivants. Bref, ça m'a semblé vraiment décousu.

      => Concernant la bio, même combat. Prendre Flint pour la raconter était une idée sympa mais, comme dit Plud', ça traine... Toute la fin, t'avais déjà pas lieu de chapitrer les différentes étapes du combat. C'était une même action, ça aurait dû rester ensemble pour donner une meilleure cohésion. Puis c'était pas la peine de t'étendre à ce point sur le combat. Encore une fois, y'avait un déséquilibre au niveau des infos fournies. Tu passes presque plus de temps sur 30 minutes de combat que sur 30 ans de vie.
      Autre souci : tu nous balances plein d'éléments qui sont pas tellement utiles à l'histoire. Par exemple, cette histoire d'élus, honnêtement, elle est pas pertinente. Tu l'évoques vaguement, ça semble sorti de nulle part et on en reparle à peine par la suite.
      Le premier chapitre est pas bien placé non plus. Tu aurais dû nous le mettre après, au moment où Drake entre dans la marine. Ca t'aurait permis de mieux développer la situation et son évolution, tout en nous introduisant les personnages qui ont compté dans sa vie. Là, j'étais un peu perdue entre les différents protagonistes et ce qui se passait. Qui s'est marié à qui ? C'quoi les histoires de frère, de piège, de prison ?
      Par contre, j'ai apprécié la manière dont tu as su utiliser le contexte du forum pour caser ton personnage, que ce soit dans la bio ou le test RP. C'est pas souvent qu'on voit ça, donc c'cool !
      Autre point sympa aussi (tant que j'y suis) : les petits passages en couleur qui révèlent au fur et à mesure le nom des personnages et ce qui a bien pu se passer. C'est juste dommage que ça soit trop long sur la fin, parce que ça gâche un peu l'effet, mais l'idée était sympathique.
      Sinon, pour en revenir au moins cool : j'ai trouvé aussi dommage que tu te concentres à ce point sur Flint dans la bio. Tant qu'il est auprès de Drake, ça passe, on sait ce qui se passe, mais quand il s'en éloigne pendant des années, bah là, on s'en moque un peu de l'histoire du gus... Pendant un moment, j'ai même oublié qui était ton personnage et je me suis retrouvée perdue à ne plus savoir ce qui se passait, confondant les deux histoires.
      Du coup, attention à la structure de ton texte, aux informations que tu souhaites nous donner et à leur place dans le récit.
      Ah et j'ai failli oublier : tu nous parles pas du tout du passage de Drake aux chasseurs de prime. J'aurais aimé en savoir plus sur son passage de la Marine aux CDP.

      => Enfin, concernant le test RP, je suis d'accord avec tout ce que Plud' a dit, du coup j'ai pas tellement de trucs à rajouter. Encore une fois, tu équilibres mal ton texte, ce qui fait qu'il est bancal. Avec une introduction de cette taille, on attend bien plus de la suite : un retour du vieux ? Une utilisation de ta nouvelle invention ? Une conclusion avec un retour à une situation semblable au début (la boucle serait ainsi bouclée) ?
      L'action est également maladroite. Tu agresses direct les bandits en nous disant seulement qu'ils sont armés. Mais dans OP, les 3/4 des gens sont armés. Suffit de voir Zoro qui se balade avec ses 3 sabres à longueur de temps.
      Sur la suite, les émotions du personnage sont très mal gérées. Tu nous dis qu'il pleure en voyant la gamine, mais nous, on ressent rien. Y'a rien qui manifeste réellement sa tristesse et, s'il n'y avait pas sa volonté de sauver la môme, on oublierait très vite sa peine. De manière général, t'as tendance à être uniquement dans la description au détriment du ressenti. Essaye donc de travailler le personnage pour mieux rendre compte de sa psycho et qu'on s'investisse un peu plus dans la lecture. Le seul moment où j'avais vraiment l'impression de toucher ton personnage, c'était dans les dialogues. Ils étaient bien gérés et, du coup, ça donnait de la vie aux différents personnages. Du coup, je pense que tu gagnerais à écrire à la première personne plutôt qu'à la troisième. Ça permettrait une meilleure structure du texte et un meilleur rendu du personnage.


      Du coup, pour tout ça, je vais partir sur du 480 dorikis qui te valident donc à 465 dorikis !

      Amuse-toi bien et si tu as des remarques, n'hésite pas =)
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