>> Nom & Prénom
Une image de 200*300 pixels. | Pseudonyme : Sniiper VIII Age: 20 Sexe : Homme Race : Humain Métier : Géologue Groupe : Pirate ! But : Retrouver Sanguine ! Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Sniper : Aptitude au tir. Visé améliorer, respiration calme, peu de stresse. Équipement : Deux pistolet, et un fusil a lunette. Codes du règlement : Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant. Ce compte est-il un DC ? : Oui, non ? De qui ? Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Je me prénomme Suno, natif de West Union, je suis membre d'une famille réputé, d'une bonne ou mauvaise manière là n'est pas la question, Cho. Comme tout bon membre de cette communauté je possède le tatouage représentant le symbole de la fmaille sur mon torse. Hormis ce signe particulier qui nous distingue de la nasse moyenne composant la nation. Tout d'abord, je vais commencer ce descriptif détaillé de ma personne par une présentation générale qui commencera par un focus sur mon visage, mon physique puis, dernièrement, mon style vestimentaire. Ne soufflez pas, c'est barbant pour moi aussi, ne vous en faites pas...
Cette chevelure aux teintes turquoises et vraisemblablement unique dans le pays et j'irais même jusqu'à dire dans le monde car la structure de ma toison est totalement anarchique, on peut y voir un semblant d'organisation avec l'utilisation d'un baume que l'on apparente au lubrifiant sauf qu'à la place de l'appliquer sur le... Oui bon bref, vous aurez compris que je fixe mes cheveux grâce à cet objet. Pour ce qui est de mon visage, une fois de plus, on peut parler d'anormalité extrême avec une ossature décorative recouvrant une partie de ma mâchoire droite, d'ailleurs en observant avec attention cet amas d'os, on se rend compte que l'accessoire dessine mes dents et les os limitrophes à ma dentition mais n'espérez pas vous attardez dessus car vous serez sûrement hors d'état de nuire ou encore pris sous le feu. Passons, je possède des iris de la même couleur que ma coiffure, pour terminer, je n'ai pas d'expression précise sur mon visage, je suis quelqu'un d'assez froid dans la vie de tout les jours, inhibé sur sa propre personne et très peu ouvert à l'échange avec autrui.
Un détail, je viens de me rendre compte que j'ai oublié de vous divulguer mon âge... Quel idiot je fais... Je suis âgé de vingt printemps. Bon, j'espère ne pas avoir oublier d'autre détail de la sorte.
Pour le physique, je suis assez massif, je mesure un bon mètre quatre-vingt pour soixante-quinze kilogrammes avec un taux élevé de muscles ce qui ne fait pas de moi une force de la nature mais plutôt un être délié et musculeux ne craignant guère le corps à corps avec mon vis-à-vis bien que je n'axe pas mon style de combat sur la force pure mais sur l'agilité ou encore la vitesse d'exécution de mes tirs, comme tout bon Tireur d'élite qui se respectant. Ma peau est assez basané bien que je ne sois pas originaire d'une pays ou il fait chaud, j'ai tout de même un teint de peau halé ce qui n'est pas plus mal
Dernier point, mon style vestimentaire, simple, immaculée de blanc, je porte une chemise que je garde ouverte avec les manches retroussées ce qui me permet de me mouvoir avec facilité sans être dérangé par une quelconque entrave. Le bas, de bonne facture est également blanc, bien qu'il soit légèrement cintré, il ne m'empêche en rien de pouvoir me déplacer avec vitesse et animalité. D'après mes pairs, en combat, j'ai l'apparence d'une panthère par mon agressivité et ma félinité, vous riez ? Venez tâter de mes poings, vous m'en direz des nouvelles.
Cette chevelure aux teintes turquoises et vraisemblablement unique dans le pays et j'irais même jusqu'à dire dans le monde car la structure de ma toison est totalement anarchique, on peut y voir un semblant d'organisation avec l'utilisation d'un baume que l'on apparente au lubrifiant sauf qu'à la place de l'appliquer sur le... Oui bon bref, vous aurez compris que je fixe mes cheveux grâce à cet objet. Pour ce qui est de mon visage, une fois de plus, on peut parler d'anormalité extrême avec une ossature décorative recouvrant une partie de ma mâchoire droite, d'ailleurs en observant avec attention cet amas d'os, on se rend compte que l'accessoire dessine mes dents et les os limitrophes à ma dentition mais n'espérez pas vous attardez dessus car vous serez sûrement hors d'état de nuire ou encore pris sous le feu. Passons, je possède des iris de la même couleur que ma coiffure, pour terminer, je n'ai pas d'expression précise sur mon visage, je suis quelqu'un d'assez froid dans la vie de tout les jours, inhibé sur sa propre personne et très peu ouvert à l'échange avec autrui.
Un détail, je viens de me rendre compte que j'ai oublié de vous divulguer mon âge... Quel idiot je fais... Je suis âgé de vingt printemps. Bon, j'espère ne pas avoir oublier d'autre détail de la sorte.
Pour le physique, je suis assez massif, je mesure un bon mètre quatre-vingt pour soixante-quinze kilogrammes avec un taux élevé de muscles ce qui ne fait pas de moi une force de la nature mais plutôt un être délié et musculeux ne craignant guère le corps à corps avec mon vis-à-vis bien que je n'axe pas mon style de combat sur la force pure mais sur l'agilité ou encore la vitesse d'exécution de mes tirs, comme tout bon Tireur d'élite qui se respectant. Ma peau est assez basané bien que je ne sois pas originaire d'une pays ou il fait chaud, j'ai tout de même un teint de peau halé ce qui n'est pas plus mal
Dernier point, mon style vestimentaire, simple, immaculée de blanc, je porte une chemise que je garde ouverte avec les manches retroussées ce qui me permet de me mouvoir avec facilité sans être dérangé par une quelconque entrave. Le bas, de bonne facture est également blanc, bien qu'il soit légèrement cintré, il ne m'empêche en rien de pouvoir me déplacer avec vitesse et animalité. D'après mes pairs, en combat, j'ai l'apparence d'une panthère par mon agressivité et ma félinité, vous riez ? Venez tâter de mes poings, vous m'en direz des nouvelles.
>> Psychologie
Le silence est d’or dans notre monde, c’est peut-être mon leitmotiv, je n’utilise guère la parole et donc, en somme, je suis une personne en marge de mon village, mon clan a une réelle valeur sentimentale, c’est aussi une éthique à suivre et je respecte tout cela. Je suis absolument certain que cette froidure, cette impression d’être au-dessus de cette plèbe emplie de bruits chimériques et futiles me donnent un air méprisant... Quand certains déblatèrent sans cesse, je suis tapis à écouter en inscrivant les informations nécessaires et en supprimant la matière « grise ». Je ne dis pas être quelqu'un de ténébreux, infréquentable, en quête d’une vengeance illusoire simplement je ne suis pas du genre à me mêler aux autres, je préfère me sociabiliser à ma manière : observer dans mon coin pour agir en conséquence. Après, au niveau de mon raisonnement dans la vie de tout les jours, je suis considéré comme quelqu'un d’assez mature, capable de tenir une conversation et ayant développé un esprit assez vif et ingénieux avec une capacité d’analyse avancée et un sens de la stratégie approfondi.
Mise à part ce petit récit, j’ai la loyauté de mon clan inculqué profondément dans mon « code d’honneur » avec une particulière attention à ne pas déborder des limites qui nous sont imposées, bien que j’ai une vision en contradiction aux mœurs de mon village, je les respecte et me doit d’y obéir car c’est dans ce lieu que j’y évolue quotidiennement et je ne fais pas partie d’un groupe d’individus défiant les lois en mettant le monde contre lui, j’avance avec en dépit de mes convictions et peut-être qu'un jour viendra le temps où je coulerais des jours meilleurs.
Dernier point à soulever, le genre de guerrier que je suis ou plutôt que j’aspire à être car en tant que Pirate, je n’ai rien encore appris de la vie, je n’ai pas acquis un semblant de puissance pour me prononcer sur ce que je suis mais je veille à devenir un pirate aussi meurtrier qu'une lame acérée tout en étant aussi mobile qu'une feuille d’arbre voguant au gré des vents dans les bosquets de West Union. Je m’exerce à obtenir une vitesse de déplacement redoutable me permettant d'exceller dans l'assassinat propre notre caste. Ma force physique n’est pas mon fort donc je tends à travailler mon agilité mais aussi à m’expertiser dans la maîtrise des armes blanches. Un dernier souhait que je souhaite exaucer, pratiquer l’art de l’assassinat pour être redouté de tous par la simple présence du vent se glissant dans le cou de mes opposants, je veux être capable de ressentir leur présence, leur frayeur mais leur rythme cardiaque par une simple concentration.
Vous l'aurez très certainement bien compris dorénavant, du haut de mes vingt ans, j'ai une idée claire sur ce monde et de la façon dont tourne les choses, je travaille tout particulièrement sur la méditation et la réflexion dans l'environnement dans lequel j'évolue, bien que je ne sois qu'un petit gradé, je possède l'intelligence, sans vouloir me vanter ou brandir un quelconque trophée d'une personne possédant une dizaine d'années de plus avec une expérience de la guerre certaine.
Tout ce qui sort de ma bouche à cet instant même peut paraître douteux, impérieux et j'irais jusqu'à dire "déplaisant" pour vous, mes auditeurs mais je parle de moi-même sans me glorifier, je suis Sunô Cho et je ne cherche pas à incarner un modèle que l'on aurait pu m'indiquer, je suis ma propre voie dans ce grand échiquier qu'est la vie
Mise à part ce petit récit, j’ai la loyauté de mon clan inculqué profondément dans mon « code d’honneur » avec une particulière attention à ne pas déborder des limites qui nous sont imposées, bien que j’ai une vision en contradiction aux mœurs de mon village, je les respecte et me doit d’y obéir car c’est dans ce lieu que j’y évolue quotidiennement et je ne fais pas partie d’un groupe d’individus défiant les lois en mettant le monde contre lui, j’avance avec en dépit de mes convictions et peut-être qu'un jour viendra le temps où je coulerais des jours meilleurs.
Dernier point à soulever, le genre de guerrier que je suis ou plutôt que j’aspire à être car en tant que Pirate, je n’ai rien encore appris de la vie, je n’ai pas acquis un semblant de puissance pour me prononcer sur ce que je suis mais je veille à devenir un pirate aussi meurtrier qu'une lame acérée tout en étant aussi mobile qu'une feuille d’arbre voguant au gré des vents dans les bosquets de West Union. Je m’exerce à obtenir une vitesse de déplacement redoutable me permettant d'exceller dans l'assassinat propre notre caste. Ma force physique n’est pas mon fort donc je tends à travailler mon agilité mais aussi à m’expertiser dans la maîtrise des armes blanches. Un dernier souhait que je souhaite exaucer, pratiquer l’art de l’assassinat pour être redouté de tous par la simple présence du vent se glissant dans le cou de mes opposants, je veux être capable de ressentir leur présence, leur frayeur mais leur rythme cardiaque par une simple concentration.
Vous l'aurez très certainement bien compris dorénavant, du haut de mes vingt ans, j'ai une idée claire sur ce monde et de la façon dont tourne les choses, je travaille tout particulièrement sur la méditation et la réflexion dans l'environnement dans lequel j'évolue, bien que je ne sois qu'un petit gradé, je possède l'intelligence, sans vouloir me vanter ou brandir un quelconque trophée d'une personne possédant une dizaine d'années de plus avec une expérience de la guerre certaine.
Tout ce qui sort de ma bouche à cet instant même peut paraître douteux, impérieux et j'irais jusqu'à dire "déplaisant" pour vous, mes auditeurs mais je parle de moi-même sans me glorifier, je suis Sunô Cho et je ne cherche pas à incarner un modèle que l'on aurait pu m'indiquer, je suis ma propre voie dans ce grand échiquier qu'est la vie
>> Biographie
L'homme qui sait écouter peu tout savoir de l’écrivain sur un seul récit, il suffit de savoir lire entre les lignes, mais Rome ne fut construite en un jour, ma foi. Je ne suis pas partisan du travail mâché, pour me connaître, partez me découvrir...
Voici l'histoire de l’orée d'une vie, d'un jeune homme gâtait qui va entré dans la vie, fini l’innocence des jours d'enfances, il est temps d'écrire son histoire, la mienne, il est loin le jour qui m'a vu naître, pourtant si près. Je parle comme un ancêtre, dans un corps de gamin, de mes jeunes années, j'ai déjà vu en détail plusieurs vies, plusieurs finalités, dans de différentes destinées. J'ai parfois l'impression d'avoir vécu toutes ces dernières avec eux, non à travers eux, mon devoir est de retenir ces erreurs qu'ils ont fait, qu'ils m'ont donné sur un plateau d'argent, comme l'on paye la note à la fin d'un repas pour un ami. Pour eux qui ont été mes guides, je ne dois reproduire leurs échecs ou tout ce temps à étudier, vivre en me projetant à leur place n'aura servi à rien. Le temps est une danré rare, trop limité, je ne peux pas me permettre de l'avoir gaspillé, tout ça doit te paraître bien compliqué, je ne suis pas fou rassures-toi... Bienvenu dans mon monde l'ami, manuscrit gardien de toute ma vie, ainsi si je meurs inutile dans un oubli et un méprit total, un bout de papier contera mon existence, une seule lecture et je renaîtrais à nouveau le temps d'un conte, d'un récit, immortel... Je suis plein d'orgueil, de vanité et bien d'autre, et après? Je me moque que cela convienne ou non, je sais ce que je vaux, ce que je veux, ce que j'obtiendrais. Celui qui lit mes missives sera celui dans ma tête lors de mon existence dans ce monde, heureux veinard qui héritera de mes lignes, il aura les secrets de la vie du grand homme qu'aujourd'hui je me promets d'être. Enfant des Cho est mon identité … Assassin est ma destinée, si tu n'es pas des miens et que tu l'apprends, alors... Sois libéré de ta peur et de tes craintes, Requiescat In Pace, seul le survivant écrit l'histoire...
Quinze ans déjà, chaque jour la même chose, se levait, faire vivre ce corps qui nous soumet à ses besoins, cette perte de temps, nous ne sommes que des hommes, malheureusement, même-ci parfois l'on l'oublie un peu pour jouer à Dieu. Je suis pour ma part un être d'une belle lignée, une ombre de ce monde qui le soutien, le protège de la folie de ceux qui s'en croient maître absolu, l'humanité qui sous formes aussi diverses que variées a de rares exceptions montre des qualités. Je ne suis pas quelqu'un de dépité, mes mots montrent une sévérité dans mes paroles, vivre dans mon monde avec la vision non troublée, cet héritage que l'on m'a cédé, n'importe qui après tiendrait le même discours. Je n'ai plus d'illusions, tout n'est que mensonge, certain sont meilleurs menteurs que d'autres, rien n'est vrai, alors tout est permis dans cette course au pouvoir j'en conclu. La voilà, la folie des hommes, celle qui fait tourner toutes les têtes, bien mieux encore qu'une femme, les femmes d'ailleurs...
Douces, fragiles, belles et attirantes, plus beaux trésors, plus grand tremplin pour un homme, plus grand gouffre vers le chaos aussi. J'aime les femmes et le paradoxe qu'elles engendrent, elles qui nous donnent la vie, sont la cause qui ôte souvent celles de nos pères. Sauveuse ou briseuse de vie, bouchée et d'air ou manque d’oxygène qui vient peser, étouffer, j'aime les femmes, leurs doux parfums, la chaleur de leur peau, le réconfort de leurs caresses, ce talent de nous couper du monde un court instant, celui suffisant à nous dresser. Le double sens me fait sourire, alors je t'en fais part l'ami, toi qui à partir d'ici deviens un intime, l'auras-tu senti aussi, ce sourire en coin masculin face à cette pensée perverse qui nous ramène au seul acte qui de loin vise à notre « libération ». Mon humour est particulier comme tu vois, tu t'y feras ou non, le soucis est le tient, point le mien ! En revanche, je n'aime que celles qui demandent une belle bourse en retour, à la hauteur de leurs services. Voilà bien une folie dans laquelle je ne sombre pas, ce poison qui vous consomme, cette addiction qui vous rend fou, ce rêve illusoire qu'elles vous entre dans la tête pour en devenir maîtresse, l'amour, une belle connerie. Femmes, rien ne vous égale, alors vous nos pires ennemies, il est sage de vous tenir à de petits rôles, le plus sage des hommes ne doit pas s'abandonner à elles, elles sont le début et la fin de tout. Ne sois pas fou l'ami, échappes toi de ce pêché mortel, de ces diablesses qui te voleront ta vie, arrachant ton âme pour faire de toi l'esclave de ses désirs. Ton pire ennemie, celle que tu aimes, ta raison de vivre qu'elle est devenue qui te fait atteindre des sommets et te brise aussi bien et aussi vite. Voilà, ma vision de ma future, il me faudra bien jouer ce jeu ridicule, un Cho sans héritier tuerait mon père. Mon père...
Toi qui m'a élevé, qui est sévère, qui m'a volé toute innocente de l'ignorance de la vie, tu m'as tout montré, trop montré, père, je veux vous en veux et je vous vénère à la fois pour cette éducation étrange et fascinant que vous m'avez inculqué. M'avez vous seulement un jour vu comme un enfant, votre enfant, j'ai parfois l'impression de n'être que votre succession, ne m'avez vous conçu que pour l'ordre, bien des questions se bousculent dans ma tête. Jamais, Monsieur, je ne serais capable de vous le dire, je suis lâche face à vous, Mentor, je ne peux pas lutter contre ses pensées indignes de votre fils que je suis, pardonnez ma faiblesse que vous ne connaîtrez jamais. Cet homme, ce grand homme est ma famille, ma mère morte, d'elle je ne me soucis pas, je ne l'ai pas connu, je ne m'en encombre pas, fils indigne, mis à part la vie, mère que je ne connais pas, je ne vous dois rien. Ma bataille, ma destinée, ma vie, elle sera mon retour envers lui mon géniteur, mon mentor. De mes racines, je n'ai connu que lui, avant le retour de mon frère. Mon frère...
Mon reflet dans le miroir, nous sommes identiques avec un âge décalé, sosie parfait, hasard ou trait génétique, je me ravi, la nature nous gâte d'un beau physique, beaux hommes qui plaisent aux femmes sans rien faire. Malédiction pour ma part, mon frère, j'ignore pour toi, les femmes ne sont pas notre sujet, cet carrure, ce charisme, cet beauté, ses yeux jaunes perçant, sa chevelure brune, aucun doutes, si moi encore tout jeune j'attire ses vampires, lui homme mature, viril bien plus que moi, fait des ravages dans la gente féminine. Sa douce, de ce que j'ai entendu, sa mort l'a rendu fou, du sommet à la destruction, mon frère, mon aîné, est le parfait exemple concernant l'amour. Pauvre fou, je te souhaite d'en être guéri pour toujours, je l'ai appris non pas de lui qui s'y refuse d'en parler pour ne pas sombrer. Mon cher, tu as de l'avance, tu es la fierté de notre père, de notre famille, de ton village, mais sois en sûr, j'arrive bientôt à tes côtés prendre ma place, ne penses pas rentrer et prendre mon dû pour me laisser tes restes, tu aurais dû y pensé avant.. Toi qui succède à mon précédant Mentor qui va nous quitter, tu es comme notre image, avec le même poids de ce monde sale sur tes épaules, sans plus d'illusions. Tu m'as confié une tâche, je ne te décevrais pas, tu es rentré, je t'ai retrouvé, plus jamais aucun Cho ne sera séparé, c'est la promesse que nous lui avons fait, père nous a quitté, tu n'étais pas là une fois encore. C'est mieux ainsi crois moi, tu n'aurais pas aimé voir cet homme fier que j'ai connu, viré en loque suppliant pour quelque jour de souffle de vie en plus, pathétique, j'aurais ce souvenir et toi tu ne l'apprendras jamais, chanceux grâce à ton égoïsme à nouveau. Ce que j'ai décidé, moi Suno Cho, enfant de ton sang, celui qui a hérité de ta volonté pour notre ordre jusqu'à ton retour, je ne te décevrais pas, les traîtres doivent mourir, l'avenir s'écrira dans le bain de leur sang, celui qui bouillonnant à fait couler le notre...
Tu ne te rappelais pas avoir un frère?... Mais c'est normal rassures-toi, je le suis là à cause de toi...
La mort de ce soir sera pour vous mon père, le premier échelon d'une longue succession.
Dans cette sombre pièce, avec cette faible lumière, je découvrais le paquet de missives destinées à je ne sais qui, elles étaient pliées et rangées exactement là où il avait murmuré dans son délire où les trouver. Cet enfant disait donc vrai, car c'était bien encore ce qu'il était, tout comme moi à cette époque là, il était mort dans ses habits d'un blanc immaculé, son air était serein, il était comme endormi voguant dans un songe, j'avais posé ma main sur ce visage doux qui n'avait rien d'aussi viril qui le prétendait, c'était une étrange conciliation entre un minois féminin et les traits enchanteurs d'un beau jeune homme. Il était un bel enfant qui savait faire rougir les joues d'un simple regard les rares fois où ils s'échappaient de sa capuche, dire que j'étais la cause de la disparition de ce monde d'un pareil être, lui qui se disait mon frère venait pour me ramener, mais où ? Le temps ne fut pas aux retrouvailles pour nous, car elles furent bien courtes, nous enfant du même age étions-nous vraiment du même sang comme il le disait, est-ai-je vraiment l'enfant perdue que son défunt père cherchait? La quête de mon frère qui était venu à moi. Bien que je restais perplexe, je me sentie redevable, comme avec une dette, un poids sur ma conscience, qu'il est tort ou raison n'avait plus d'importance, il était mort pour ça, pour moi...
Difficile d'expliquer ce que cela peut représenter quand l'on a jamais eu de famille, de plus... Il parlait d'Assassins, mes oreilles n'étaient pas sourdes, je restais surpris mais sans plus, il fut le temps d'un choix qui ne prit que quelques secondes en vrai, un instinct plus fort que moi, celui de la survie. Le jeune homme avait perdu son attirail, son identité, elle devenue mienne en un instant, j'étais lassée de cette vie au rabais et la sienne il l'avait fini ici avec un dernier souffle, elle ne lui manquerait plus. Il n'avait pas menti, je me rendais bien vite compte à quel point nous nous ressemblions, une chance que ses cheveux soient un peu long, une pointe de nostalgie dû à ma nature sûrement refusait que je coupe les miens que j'avais chérie si longtemps. Et nous voilà en une nuit échangé, sous une capuche et le poids d'un vêtement beau et étrange, je regardais à terre dans mon haillon mon homologue qui conterait ma mort en ce lieu... Seulement voilà, il y avait un détail trop gênant, si nous avions les même yeux, la même couleur de cheveux, quasiment la même taille et si sous cette ombre protectrice je pouvais être lui, une fois dépourvu d'habits nous étions nus face à la vérité inchangeable. Je fus bien désolée, mais ma décision avait été prise et il n'était pas tant de faiblir pour ce qui se révélait désormais plus qu'un détail.
Ce corps pesant, je pus cependant le traîner jusqu'à sa destination finale, celle qui n'avait rien d'une sépulture honorable ou descente, c'est les yeux fermés que je frappais l'arrière de sa tête pour simuler une chute malchanceuse avant de laisser tomber de son poids celui qui était désormais ce pauvre moi maladroit et peu chanceux. Les bêtes de l'enclos ne se firent pas prier attirées par l'odeur délicate de son sang, je restais figer mémorisant chaque détail de la scène me sentant soudainement comme son meurtrier, mais il n'en était rien et il ne fallait point faiblir, en vérité je guettais la sûreté pour mon âme, celle qui me rassurait en me montrant que les traces étaient effacés à jamais personne ne devais savoir et se fut le cas...
La marche me mena chez lui, chez moi désormais, une grande battisse mais vide de présence à peine un pied dans ce village et je comprenais sa place, l'original était veinard, face à l’entrée, je montais l'escalier, pas à un moment on ne m'avait suspecté de quoi que se soit, si j'avais été pris et avais dû en mourir, je crois que je n'aurais pas agis pour l'éviter, peut-être le méritais-je ? Quoi que en y repensant, il n'eut dis que j'étais un enfant de cette famille, au fond, je ne mentais à personne, j'étais bien un Cho de ce toit, je n'étais seulement pas celui qu'ils pensaient. En clair je suis un fantôme du passé qui a pris la place d'une autre ombre, au final, je ne suis plus ni l'un, ni l'autre ou alors je suis les deux... ? Peut-on ne pas s'oublier soi-même quand on vit la vie d'un autre, quand on est devenu celui-ci, était-ce vraiment un bon choix, la vérité finira par tomber, le temps a passé, je suis censé être un homme bientôt et même accoutumé un jour ou l'autre mon tour de passe-passe ne prendra plus, un simple henge ne suffira pas et je ne peux lutter contre la nature, ai-je pris la voie sans issus...Pour ce soir, le rhum, des femmes et le noir me suffira, bon Dieu, la corvée des femmes, m'en défaire serait-il vraiment une mauvaise chose...
Quand tu as peu ou point de moyens, sois ingénieux...
Je le suis, la preuve....
Voici l'histoire de l’orée d'une vie, d'un jeune homme gâtait qui va entré dans la vie, fini l’innocence des jours d'enfances, il est temps d'écrire son histoire, la mienne, il est loin le jour qui m'a vu naître, pourtant si près. Je parle comme un ancêtre, dans un corps de gamin, de mes jeunes années, j'ai déjà vu en détail plusieurs vies, plusieurs finalités, dans de différentes destinées. J'ai parfois l'impression d'avoir vécu toutes ces dernières avec eux, non à travers eux, mon devoir est de retenir ces erreurs qu'ils ont fait, qu'ils m'ont donné sur un plateau d'argent, comme l'on paye la note à la fin d'un repas pour un ami. Pour eux qui ont été mes guides, je ne dois reproduire leurs échecs ou tout ce temps à étudier, vivre en me projetant à leur place n'aura servi à rien. Le temps est une danré rare, trop limité, je ne peux pas me permettre de l'avoir gaspillé, tout ça doit te paraître bien compliqué, je ne suis pas fou rassures-toi... Bienvenu dans mon monde l'ami, manuscrit gardien de toute ma vie, ainsi si je meurs inutile dans un oubli et un méprit total, un bout de papier contera mon existence, une seule lecture et je renaîtrais à nouveau le temps d'un conte, d'un récit, immortel... Je suis plein d'orgueil, de vanité et bien d'autre, et après? Je me moque que cela convienne ou non, je sais ce que je vaux, ce que je veux, ce que j'obtiendrais. Celui qui lit mes missives sera celui dans ma tête lors de mon existence dans ce monde, heureux veinard qui héritera de mes lignes, il aura les secrets de la vie du grand homme qu'aujourd'hui je me promets d'être. Enfant des Cho est mon identité … Assassin est ma destinée, si tu n'es pas des miens et que tu l'apprends, alors... Sois libéré de ta peur et de tes craintes, Requiescat In Pace, seul le survivant écrit l'histoire...
Quinze ans déjà, chaque jour la même chose, se levait, faire vivre ce corps qui nous soumet à ses besoins, cette perte de temps, nous ne sommes que des hommes, malheureusement, même-ci parfois l'on l'oublie un peu pour jouer à Dieu. Je suis pour ma part un être d'une belle lignée, une ombre de ce monde qui le soutien, le protège de la folie de ceux qui s'en croient maître absolu, l'humanité qui sous formes aussi diverses que variées a de rares exceptions montre des qualités. Je ne suis pas quelqu'un de dépité, mes mots montrent une sévérité dans mes paroles, vivre dans mon monde avec la vision non troublée, cet héritage que l'on m'a cédé, n'importe qui après tiendrait le même discours. Je n'ai plus d'illusions, tout n'est que mensonge, certain sont meilleurs menteurs que d'autres, rien n'est vrai, alors tout est permis dans cette course au pouvoir j'en conclu. La voilà, la folie des hommes, celle qui fait tourner toutes les têtes, bien mieux encore qu'une femme, les femmes d'ailleurs...
Douces, fragiles, belles et attirantes, plus beaux trésors, plus grand tremplin pour un homme, plus grand gouffre vers le chaos aussi. J'aime les femmes et le paradoxe qu'elles engendrent, elles qui nous donnent la vie, sont la cause qui ôte souvent celles de nos pères. Sauveuse ou briseuse de vie, bouchée et d'air ou manque d’oxygène qui vient peser, étouffer, j'aime les femmes, leurs doux parfums, la chaleur de leur peau, le réconfort de leurs caresses, ce talent de nous couper du monde un court instant, celui suffisant à nous dresser. Le double sens me fait sourire, alors je t'en fais part l'ami, toi qui à partir d'ici deviens un intime, l'auras-tu senti aussi, ce sourire en coin masculin face à cette pensée perverse qui nous ramène au seul acte qui de loin vise à notre « libération ». Mon humour est particulier comme tu vois, tu t'y feras ou non, le soucis est le tient, point le mien ! En revanche, je n'aime que celles qui demandent une belle bourse en retour, à la hauteur de leurs services. Voilà bien une folie dans laquelle je ne sombre pas, ce poison qui vous consomme, cette addiction qui vous rend fou, ce rêve illusoire qu'elles vous entre dans la tête pour en devenir maîtresse, l'amour, une belle connerie. Femmes, rien ne vous égale, alors vous nos pires ennemies, il est sage de vous tenir à de petits rôles, le plus sage des hommes ne doit pas s'abandonner à elles, elles sont le début et la fin de tout. Ne sois pas fou l'ami, échappes toi de ce pêché mortel, de ces diablesses qui te voleront ta vie, arrachant ton âme pour faire de toi l'esclave de ses désirs. Ton pire ennemie, celle que tu aimes, ta raison de vivre qu'elle est devenue qui te fait atteindre des sommets et te brise aussi bien et aussi vite. Voilà, ma vision de ma future, il me faudra bien jouer ce jeu ridicule, un Cho sans héritier tuerait mon père. Mon père...
Toi qui m'a élevé, qui est sévère, qui m'a volé toute innocente de l'ignorance de la vie, tu m'as tout montré, trop montré, père, je veux vous en veux et je vous vénère à la fois pour cette éducation étrange et fascinant que vous m'avez inculqué. M'avez vous seulement un jour vu comme un enfant, votre enfant, j'ai parfois l'impression de n'être que votre succession, ne m'avez vous conçu que pour l'ordre, bien des questions se bousculent dans ma tête. Jamais, Monsieur, je ne serais capable de vous le dire, je suis lâche face à vous, Mentor, je ne peux pas lutter contre ses pensées indignes de votre fils que je suis, pardonnez ma faiblesse que vous ne connaîtrez jamais. Cet homme, ce grand homme est ma famille, ma mère morte, d'elle je ne me soucis pas, je ne l'ai pas connu, je ne m'en encombre pas, fils indigne, mis à part la vie, mère que je ne connais pas, je ne vous dois rien. Ma bataille, ma destinée, ma vie, elle sera mon retour envers lui mon géniteur, mon mentor. De mes racines, je n'ai connu que lui, avant le retour de mon frère. Mon frère...
Mon reflet dans le miroir, nous sommes identiques avec un âge décalé, sosie parfait, hasard ou trait génétique, je me ravi, la nature nous gâte d'un beau physique, beaux hommes qui plaisent aux femmes sans rien faire. Malédiction pour ma part, mon frère, j'ignore pour toi, les femmes ne sont pas notre sujet, cet carrure, ce charisme, cet beauté, ses yeux jaunes perçant, sa chevelure brune, aucun doutes, si moi encore tout jeune j'attire ses vampires, lui homme mature, viril bien plus que moi, fait des ravages dans la gente féminine. Sa douce, de ce que j'ai entendu, sa mort l'a rendu fou, du sommet à la destruction, mon frère, mon aîné, est le parfait exemple concernant l'amour. Pauvre fou, je te souhaite d'en être guéri pour toujours, je l'ai appris non pas de lui qui s'y refuse d'en parler pour ne pas sombrer. Mon cher, tu as de l'avance, tu es la fierté de notre père, de notre famille, de ton village, mais sois en sûr, j'arrive bientôt à tes côtés prendre ma place, ne penses pas rentrer et prendre mon dû pour me laisser tes restes, tu aurais dû y pensé avant.. Toi qui succède à mon précédant Mentor qui va nous quitter, tu es comme notre image, avec le même poids de ce monde sale sur tes épaules, sans plus d'illusions. Tu m'as confié une tâche, je ne te décevrais pas, tu es rentré, je t'ai retrouvé, plus jamais aucun Cho ne sera séparé, c'est la promesse que nous lui avons fait, père nous a quitté, tu n'étais pas là une fois encore. C'est mieux ainsi crois moi, tu n'aurais pas aimé voir cet homme fier que j'ai connu, viré en loque suppliant pour quelque jour de souffle de vie en plus, pathétique, j'aurais ce souvenir et toi tu ne l'apprendras jamais, chanceux grâce à ton égoïsme à nouveau. Ce que j'ai décidé, moi Suno Cho, enfant de ton sang, celui qui a hérité de ta volonté pour notre ordre jusqu'à ton retour, je ne te décevrais pas, les traîtres doivent mourir, l'avenir s'écrira dans le bain de leur sang, celui qui bouillonnant à fait couler le notre...
Tu ne te rappelais pas avoir un frère?... Mais c'est normal rassures-toi, je le suis là à cause de toi...
La mort de ce soir sera pour vous mon père, le premier échelon d'une longue succession.
Dans cette sombre pièce, avec cette faible lumière, je découvrais le paquet de missives destinées à je ne sais qui, elles étaient pliées et rangées exactement là où il avait murmuré dans son délire où les trouver. Cet enfant disait donc vrai, car c'était bien encore ce qu'il était, tout comme moi à cette époque là, il était mort dans ses habits d'un blanc immaculé, son air était serein, il était comme endormi voguant dans un songe, j'avais posé ma main sur ce visage doux qui n'avait rien d'aussi viril qui le prétendait, c'était une étrange conciliation entre un minois féminin et les traits enchanteurs d'un beau jeune homme. Il était un bel enfant qui savait faire rougir les joues d'un simple regard les rares fois où ils s'échappaient de sa capuche, dire que j'étais la cause de la disparition de ce monde d'un pareil être, lui qui se disait mon frère venait pour me ramener, mais où ? Le temps ne fut pas aux retrouvailles pour nous, car elles furent bien courtes, nous enfant du même age étions-nous vraiment du même sang comme il le disait, est-ai-je vraiment l'enfant perdue que son défunt père cherchait? La quête de mon frère qui était venu à moi. Bien que je restais perplexe, je me sentie redevable, comme avec une dette, un poids sur ma conscience, qu'il est tort ou raison n'avait plus d'importance, il était mort pour ça, pour moi...
Difficile d'expliquer ce que cela peut représenter quand l'on a jamais eu de famille, de plus... Il parlait d'Assassins, mes oreilles n'étaient pas sourdes, je restais surpris mais sans plus, il fut le temps d'un choix qui ne prit que quelques secondes en vrai, un instinct plus fort que moi, celui de la survie. Le jeune homme avait perdu son attirail, son identité, elle devenue mienne en un instant, j'étais lassée de cette vie au rabais et la sienne il l'avait fini ici avec un dernier souffle, elle ne lui manquerait plus. Il n'avait pas menti, je me rendais bien vite compte à quel point nous nous ressemblions, une chance que ses cheveux soient un peu long, une pointe de nostalgie dû à ma nature sûrement refusait que je coupe les miens que j'avais chérie si longtemps. Et nous voilà en une nuit échangé, sous une capuche et le poids d'un vêtement beau et étrange, je regardais à terre dans mon haillon mon homologue qui conterait ma mort en ce lieu... Seulement voilà, il y avait un détail trop gênant, si nous avions les même yeux, la même couleur de cheveux, quasiment la même taille et si sous cette ombre protectrice je pouvais être lui, une fois dépourvu d'habits nous étions nus face à la vérité inchangeable. Je fus bien désolée, mais ma décision avait été prise et il n'était pas tant de faiblir pour ce qui se révélait désormais plus qu'un détail.
Ce corps pesant, je pus cependant le traîner jusqu'à sa destination finale, celle qui n'avait rien d'une sépulture honorable ou descente, c'est les yeux fermés que je frappais l'arrière de sa tête pour simuler une chute malchanceuse avant de laisser tomber de son poids celui qui était désormais ce pauvre moi maladroit et peu chanceux. Les bêtes de l'enclos ne se firent pas prier attirées par l'odeur délicate de son sang, je restais figer mémorisant chaque détail de la scène me sentant soudainement comme son meurtrier, mais il n'en était rien et il ne fallait point faiblir, en vérité je guettais la sûreté pour mon âme, celle qui me rassurait en me montrant que les traces étaient effacés à jamais personne ne devais savoir et se fut le cas...
La marche me mena chez lui, chez moi désormais, une grande battisse mais vide de présence à peine un pied dans ce village et je comprenais sa place, l'original était veinard, face à l’entrée, je montais l'escalier, pas à un moment on ne m'avait suspecté de quoi que se soit, si j'avais été pris et avais dû en mourir, je crois que je n'aurais pas agis pour l'éviter, peut-être le méritais-je ? Quoi que en y repensant, il n'eut dis que j'étais un enfant de cette famille, au fond, je ne mentais à personne, j'étais bien un Cho de ce toit, je n'étais seulement pas celui qu'ils pensaient. En clair je suis un fantôme du passé qui a pris la place d'une autre ombre, au final, je ne suis plus ni l'un, ni l'autre ou alors je suis les deux... ? Peut-on ne pas s'oublier soi-même quand on vit la vie d'un autre, quand on est devenu celui-ci, était-ce vraiment un bon choix, la vérité finira par tomber, le temps a passé, je suis censé être un homme bientôt et même accoutumé un jour ou l'autre mon tour de passe-passe ne prendra plus, un simple henge ne suffira pas et je ne peux lutter contre la nature, ai-je pris la voie sans issus...Pour ce soir, le rhum, des femmes et le noir me suffira, bon Dieu, la corvée des femmes, m'en défaire serait-il vraiment une mauvaise chose...
Quand tu as peu ou point de moyens, sois ingénieux...
Je le suis, la preuve....
>> Test RP
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Prénom : Guy Tarembois
Age : 23
Aime : Ok je t'aime
N'aime pas : //
Personnage préféré de One Piece : Kidd
Caractère : J'suis la posey a la place, chapeau d'paille, pétard a la bouche ♫
Fait du RP depuis : 8 ans
Disponibilité approximative : 5/7
Comment avez-vous connu le forum ? via d'autre membre
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Dernière édition par Cho Suno le Sam 31 Mai 2014 - 14:21, édité 2 fois