Mariza Vanaheim - Infirmière atypique

Pseudonyme : / Age: 18 ans Sexe : Femme Race : Humaine Métier : Médecin atypique Groupe :Pirate Buts :  Trouver le berceau d'Admilla dans le Nouveau Monde et ramener la relique. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Fruit de la chaîne Équipement : Une trousse de secours contenant divers objets utile pour le soin : des pansements, des aiguilles, des plantes, des bandages... Codes du règlement : Parrain : / Ce compte est-il un DC ? :  Un nouveau départ pour Mizuki Si oui, quel @ l'a autorisé ? :  Red

Plus grande qu'un nain, mais plus petite qu'un géant, Mariza est en fait une humaine normale. Elle est d'une taille honorable, 1 mètre 70 et pèse SCHLACK... Elle pèse… Elle ne souhaite pas révéler son poids, mais on peut noter qu'elle fait énormément attention à sa ligne. De ce fait, elle est plutôt longiligne et n'a pas de kilogrammes en trop. Elle mange de façon convenable afin d'avoir l'énergie nécessaire pour pouvoir faire fonctionner son organisme.

Mariza a la peau assez claire et un visage charmant. Son regard est malicieux mais il peut également devenir franc et sincère. À cela s'ajoute un sourire enjôleur qui lui permet de se faire facilement des amis. Tout comme ses yeux, ses cheveux sont roses. Justement, elle adore sa chevelure, si bien qu'il lui faut au minimum une heure par jour pour s'en occuper : les laver, les brosser et les coiffer. Ses cheveux sont ondulés et tombent sur ses fines épaules. Elle en attache une partie dans un chignon qui est décoré par une barrette violette en forme de papillon.  Niveau vestimentaire, elle est très coquette.  Habituellement, elle porte un legging violet agrémenté d'une charmante petite jupe noire. Des bottes en cuire viennent compléter son style. Elle porte un haut violet sous un chemisier noir à manches longues, ornées par des petits cœurs gris, servant à recouvrir ses deux mains. Lorsqu'il fait chaud, elle troque  cette tenue pour une autre plus légère composé d'un débardeur, d'un short et d'une paire de spartiates. Seule sa barrette subsiste dans tous ses styles vestimentaires.

Sa voix douce et délicate rend toutes conversations agréables avec elle. Surtout qu'elle est assez bavarde et aime faire des nouvelles connaissances. Il est assez aisé pour elle de se faire des amis, car il se dégage d'elle une sorte de charisme naturel. Extravagante, elle marche parfois comme chaque personne normale, mais le plus souvent, elle sautille et attire toute l'attention sur elle. C'est une pile sur patte, elle adore bouger et déteste l'immobilité sauf lorsqu'il s'agit de médecine. Le seul moment de calme est lorsqu'elle dort, d'un sommeil généralement profond. Mais prenez garde, si elle est réveillée et que vous voulez dormir, vous n'aurez pas une bonne nuit réparatrice.

Mariza n'a donc pas le portrait d'une combattante. Cependant, il n'en est rien. Elle est dotée d'une vitesse et d'une endurance bien supérieure aux humains normaux. Cela est principalement dû à son enfance sur le Boru Bodur, une pseudo-île céleste au dessus d'Inari. En haute altitude, avec moins d'oxygène et une pression plus forte, elle a fortement développé ses capacités pulmonaires. En combat, elle manque cruellement de force, mais elle compense cela par sa connaissance des points sensibles de l'être humain. Frapper subtilement là où sa blesse est parfois plus efficace que frapper comme un dératé. Elle utiliser généralement ses poings car ses aiguilles d'acupuncture ne sont faites que pour soigner.

En effet, elle a étudiée la médecine traditionnelle, mais rapidement, devenue trop banale à son goût,  elle s'orienta vers des méthodes de médecine plus extravagante. Elle a donc suivi des enseignements d'acupuncture, mais surtout, elle a étudié les effets des plantes. Elle en connaît un grand nombre, ainsi que leurs capacités qu'elle maîtrise parfaitement pour pouvoir concocter des remèdes, des pommades ou pour d'autres utilités comme pour de la tisane ou encore pour soigner des gueules de bois.

Pour finir, Mariza a un tic qui lui provient de sa religion. Elle passe son temps à prier pour sa déesse avant divers événements de la vie quotidienne comme par exemple manger ou pour essayer de rattraper les bêtises des autres.

L'Admillisme - Le culte d'Admilla:

Gentille et attentionnée, Mariza a toujours été une personne appréciée par sa communauté et ses proches. C'est pourquoi elle est habituée à avoir de la compagnie. De temps à autres, elle ressent le besoin d'être seule notamment lorsqu'elle boude. Justement, elle est extrêmement susceptible en ce qui concerne sa ligne, ses cheveux ou sa religion. Dans ce cas-là, son visage devient rouge comme une tomate et il est assez fréquent pour elle de partir ruminer dans son coin. Néanmoins, ses petites crises ne sont pas très longues et vite oubliées.

En effet, Mariza est une éternelle tête en l'air, et cela, depuis son enfance. Elle était quasiment incapable de rester concentrer pendant l'école. Elle s'égare assez facilement dans ses pensées, elle est distraite et insouciante. C'est comme si elle vivait dans une bulle, à part des autres.

De manière générale, elle préfère éviter le combat de manière à préserver ses cheveux de toutes les agressions extérieures possibles et imaginables. De ce fait, elle laisse souvent les autres combattre à sa place. Mariza est une jeune fille attendrissante qu'on désire protéger même si on ne la connaît pas vraiment. Elle aura donc essentiellement un rôle de soutien, mais elle sait tout de même se défendre. Cependant, pour elle, un infirmier ne doit blesser, il doit soigner. Ceci dit lorsqu'on se moque de ses cheveux ou qu'un être cher est en danger, elle n'hésitera pas à les défendre.
Mariza est une personne serviable, qui met du cœur dans ce qu'elle fait. Lorsque cela touche à la médecine, sa personnalité se métamorphose si bien que ses proches pensaient qu'elle avait deux personnalités. Son insouciance laisse place à un sang-froid exemplaire et à un air sérieux rempli de connaissances.

Ayant passé la majeure partie de sa vie sur le Boru Bodur ou auprès de son professeur, avec très peu de contact avec l'extérieur, elle ne connaît pratiquement de la situation politique des mondes du dessous. Elle se contente donc de suivre les personnes en qui elle ressent de la confiance et de la bienveillance. Elle est curieuse et s'émerveille à propos de toutes les nouvelles choses comme par exemple des animaux qu'elle n'a jamais vu.

Dernier point important, Mariza déteste être au contact de l'eau sauf pour se laver et boire. Par conséquent elle déteste la pluie car elle fait friser ses cheveux.



[1607] Laim Vanaheim n'en revenait pas, après tant de complications, il allait enfin devenir père. Il avait toujours pensé que vivre sur le Boru Bodur, proche du temple d'Admilla apporterait de la chance à sa femme. Même si au départ, il n'était pas très sur de son choix, sa foi lui avait donné raison. D'ailleurs, c'était grâce à sa venue qu'il avait pu rejoindre le conseil des Anciens et obtenir de l'aide d'un de ses plus vieux, une médecin prénommée Zorah. Cette dernière grossesse n'avait été de tout repos. Sa femme avait failli perdre l'enfant, mais fort heureusement, Zorah les avait accompagnés durant ces 9 mois et son intervention était comme une bénédiction d'Admilla.

Laim s'impatientait devant la porte, l'acouchement devait bientôt se terminé. Sa femme lui avait fait promettre de la laisser faire son travail seule avec Zorah. Des pleurs retentirent dans la maison, l'enfant était né. Zorah ouvrit la porte et l'invita à rentrer.
« Laim, tout s'est bien passé. Ta femme et votre enfant sont en pleine forme. Il est l'heure pour moi de partir. Je reviendrai chercher ce que vous m'avez promis plus tard. »

Elle quitta la pièce et sortit de la maison. Laim grimaça, pour obtenir l'aide précieuse de Zorah, il avait dû lui promettre que son enfant lui servirait d'apprenti. Fort heureusement, il ne la reverrait pas de sitôt. Elle lui avait dit qu'elle quittait le Boru Bodur pour pouvoir continuer ses recherches en médecine. Laim s'avança en direction de sa femme. Elle était souriante, mais quelque peu fatiguée. Elle tenait dans ses bras un petit être chétif. Lorsqu'elle le vit rentrer, elle le regarda dans les yeux.

« C'est une fille »

Laim aurait voulu avoir un fils, mais finalement ça ne lui importait plus. Si sa fille devenait l'apprentie de Zorah, elle n'aurait sans doute pas à partir sur Grand Line à la recherche de la relique. Il allait la chérir, elle était son plus grand trésor.

« Comment veux-tu l'appeler ?
- Mariza ... »

Visiblement morte de fatigue, sa femme s'endormit et lui donna l'enfant. Il la tenait dans ses bras et il ne pouvait empêcher ses larmes de couler. Elle était ravissante.

« Je te protégerai Mariza, je te le promet ! »



[Enfance] Mariza grandit tranquillement au côté de ses parents, dans la joie et la bonne humeur. Elle était fille unique mais ses parents ne la gâtaient pas. Les Vanaheim avaient seulement besoin du strict minimum pour vivre : une maison et de quoi manger. Mariza était une enfant joyeuse et très réceptive aux enseignements de leurs religions. Elle était la plus grosse fierté de son père cependant, elle était terriblement distraite, une très mauvaise élève. En effet, elle était incapable de se concentrer, il suffisait d'un rien pour détourner son attention. Ses parents ne surent jamais comment y remédier mais leur fille était si heureuse qu'il ne voulaient pas la changer.

En dehors du cadre scolaire et familial, Mariza jouait avec tous les enfants de sa classe. Elle était très appréciée des autres pour son extravagance. Elle était toujours partante pour réaliser des projets loufoques. De plus, Mariza se démarquait d'eux par sa rapidité, même les garçons étaient incapables de la rattraper.


[Adolescence] Lorsqu'elle souffla ses 12 bougies, de retour de son expédition, Zorah vint rendre visite à ses parents pour l'emmener avec elle. Ses parents opposèrent une vive protestation mais il suffit au médecin  de leur rappeler leur promesse d'il y a 12 ans. Elles partirent donc toutes les deux. Au départ, Mariza avait peur de la vieille dame, elle était froide et peu affective. Néanmoins, elles devinrent complices assez rapidement. 

Zorah commença à lui enseigner les bases de la médecine traditionnelle. Un déclic apparut chez la jeune fille, elle parvenait à se concentrer pour la médecine. Elle continua durant toute sa formation à étudier cette branche de la médecine. En parallèle, elle apprit la médecine à bases de plantes. Zorah était une experte dans ce domaine et elle lui donnait des tonnes de livre que la petite dévorait. Lors d'une visite sur une île où son professeur cherchait une plante spéciale, Mariza tomba nez à nez avec un hérisson. Elle était fascinée par cet étrange animal recouvert d'aiguille. Elle força Zorah à lui enseigner quelque chose en rapport avec les aiguilles : c'était l'acupuncture. Mariza était très talentueuse, si bien que même son professeur était surprise de sa progression rapide.

Durant sa formation, Mariza revenait de temps à autre sur le Boru Bodur pour rendre visite à ses parents et à ses amis à qui elle racontait toutes ses aventures. Au fil de sa croissance, elle était devenue une jeune femme ravissante.



[1625]  Peu après ses 18 ans, alors qu'elle revenait d'un cours voyage avec son professeur, cette dernière l'emmena devant le conseil des anciens où d'autres jeunes étaient présents. Au fond d'elle, elle le savait : c'était la sélection. Les autres jeunes étaient sans doute déjà passé. Lorsqu'elle passa devant le conseil, elle vit son père de mauvaise humeur et stressé. Zorah était également présente, mais elle semblait impassible.

Lorsque vint le tour de Mariza pour les délibérations, son père Laim s'opposa directement à tous les membres du conseil. Il ne voulait pas qu'elle risque sa vie inutilement. Il reçut le soutien de Zorah qui ne voulait pas perdre son unique apprentie. Cependant, le reste du conseil était décidé. Ils avaient eu vent de sa rapidité et de sa très bonne connaissance de la médecine. Dans une dernière joute verbale pour protéger Mariza, Zorah énonça qu'elle était une jeune fille faible, inexpérimentée et tête en l'air. Il était certain qu'elle se perdrait et qu'elle n'atteindrait jamais le Nouveau Monde.
C'était chose vaine, le conseil avait décidé, Mariza partirait. Elle fut appelée devant eux :

« Jeune Mariza, tu as été sélectionné pour trouver la relique d'Admilla. Tu es une élue et désormais, tu appartiens à Admilla. Oublie tes racines, ta famille, tes amis : désormais, tu es uniquement Mariza. »

Mariza ne comprenait pas trop ce qu'il se passait. Elle rentra chez elle accompagnée de son père et Zorah. Lorsqu'ils expliquèrent la situation à sa mère, elle fondit en larmes. Ses parents ne voulaient pas perdre la perdre, mais ils étaient obligés de la laisser partir.

La nuit précédant son départ, Zorah vint la voir et lui enseigna la politique du monde. Pour pouvoir survivre et atteindre le nouveau monde, elle devait trouver des alliés puissants en qui elle pourrait avoir confiance. Pas de révolutionnaires, car avec eux, elle ne quitterait jamais les blues. Pas de chasseur de primes, car ils n'étaient motivés que par l'argent. Ni les chiens galeux du gouvernement, des hommes décidant de la vie des autres ne devaient pas diriger. En toute logique elle devait trouver des pirates.

Mariza quitta Inari aux aurores, en quête de la relique.


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Informations IRL

Prénom : /
Age : 18 ans
Aime : Les pommes ( bah oui ), les fêtes entre amis, conduire ( car c'est classe ! ) ...
N'aime pas : Les bouleaux ( saleté d'alergie ), le boulot ...
Personnage préféré de One Piece : Koala
Caractère : Euh ... Sympathique et bavard
Fait du RP depuis : Quelques jours
Disponibilité approximative : Passage régulier mais pour le rp surtout en fin de semaine voire mercredi. Néant pendant la période du Bac.
Comment avez-vous connu le forum ? /

Bonsoir,
merci du ré-accueil Louise ( pas français mais bon ).

Juste pour prévenir que ma présentation risque de trainer en longueur étant donné que j'ai le bac à préparer, je vais tout simplement repousser la création de mon personnage car j'ai quelques soucis de cohérences et que je dois réviser. J'ai d'ores et déjà édité le sous titre.

Merci d'avance

Y'a pas de souci, on touchera pas à ta présentation jusque là =)

Bon courage pour ton bac !

Bonjour,

Finalement j'ai trouvé du temps pour finir ma présentation que j'ai d'ailleurs reformaté.
J'attend donc mon test Rp

Tchouss

Très chouette ton nouvel ava !

Voici ton test.

Tu te trouves sur l'île de ton choix pour une raison quelconque. Alors que tu rentres dans un bar, tu vois un grand type en costume, très propre sur lui, avec un collier portant un symbole étrange. Il harangue la foule et affirme que les maux de ce monde disparaitront grâce à son dieu, que la médecine n'est qu'une vaste fumisterie et bien d'autres choses encore. Il est éloquent et quelques personnes dans la foule l'écoutent attentivement, comme s'ils paraissaient intéressés par ses paroles... Toi, t'es là et tu ne peux pas rester indifférente en l'entendant bafouer toutes tes valeurs. Raconte-nous ça.

Voilà, si ça ne te convient pas, il y a bien évidemment la possibilité de changer.

Bon courage =)

Test RP

Après un long voyage en bateau, Mariza arrivait enfin à Luvneel. On lui avait dit qu'il y avait un port et un chantier naval. Par conséquent, elle trouverait forcément quelqu'un qui accepterait de la transporter sur Grand Line. Mais ses espoirs n'étaient pas au plus hauts. Elle avait déjà dû faire les yeux doux à un marin, pour qu'il accepte de la transporter en douce gratuitement. Alors elle n'imaginait même pas ce qu'elle devrait faire pour qu'on accepte de l'emmener jusqu'à Grand Line. Elle arrivait sur le port de Norland. Qui était Norland ? Elle n'en savait rien, mais il devait être d'important, sinon on n'aurait pas nommé un port en son honneur.

Après avoir fouiné, sur le port, elle arriva dépitée vers la ville. Elle n'avait rencontré que des marchands et des bateaux de nobles qui n'allaient pas sur Grand Line. Elle devait trouver des pirates, tous les pirates rêvaient d'aller sur la Route de tous les périls. Cependant, son attention se focalisa sur la petite vitrine d'une boulangerie. Son ventre gargouilla, elle avait faim mais elle n'avait pas un seul berry sur elle. Un homme sortit de la boutique, visiblement repu. Il était grand, portait un costume propre et un chapeau melon. Mariza ne le remarqua et était toujours focalisée sur les pâtisseries. L'homme était toujours là et l'observait. Il rigola et sans doute pensant qu'elle avait fugué, il lui donna quelques berries pour qu'elle puisse s'acheter un peu de nourritures. Elle ne remarqua pas qu'il lui tendait de l'argent et il dut l'appeler à mainte reprise. Lorsqu'il vit qu'il lui tendait de l'argent, elle lui fit un joli sourire.

« C'est pour vous jeune demoiselle.
- Vraiment ? »

Il hocha de la tête.

« Merci beaucoup, mais je n'ai rien à vous donner en retour. »
- Ce n'est pas grave, il est tout à fait naturel pour un homme comme moi d'aider une si jolie demoiselle. Soyez gentille, retournez chez vos parents, ils doivent s'inquiéter pour vous. »

Elle le regarda d'un air surpris et voulut lui répondre qu'elle ne pouvait pas retourner chez elle. Peu importe, il était déjà parti dans une autre direction. Elle rentra dans la boutique et acheta un sandwich. Avant de le manger, elle pria sa déesse pour bénir son repas et son généreux donateur. Après ce repas, elle se souvint qu'elle devait trouver un bateau. Où pourrait-elle trouver des pirates ? Dans un bar sans doute, on lui avait dit que les pirates aimaient boire, elle en trouvera sûrement un là-bas. Elle arriva devant un bar : l'Ermitage. C'était un bâtiment assez délabré, les fenêtres étaient remplacées par des planches en bois, la peinture s'effritait. Il n'inspirait pas confiance, mais Mariza y entra. Un homme était debout et parlait d'une voix forte. Il y avait autour de lui quelques personnes qui semblaient l'écouter attentivement. Elle décida de l'écouter tous en se dirigeant vers le bar, ce sandwich l'avait assoiffé.

« Le monde actuel n'est qu'une misérable erreur ! La révolution est inutile, ils ne pourront pas changer le monde. C'est impossible pour eux de lutter seul contre le gouvernement mondial. La violence n'est pas la solution, seul la foi pourra nous sauver. Mon Dieu, Rwalah, est celui qui nous guidera vers la liberté et soignera tous les maux du monde ! »

Il montra son pendentif à toute l'assemblée. La forme de son médaillon était indescriptible et n'était pas du tout agréable à regarder. Mariza se tourna vers le barman et le regarda tout sourire.

« Pourrais-je avoir un verre d'eau s'il vous plaît ? Je suis désolée, mais je n'ai pas de quoi payer. »

Pris de pitié et voyant le joli sourire de la jeune fille, le barman lui donna un verre d'eau. Elle le remercia chaleureusement et commença à discuter avec lui.

« Connaîtriez quelqu'un qui pourrait m'amener sur Grand Line ? »

Tandis qu'elle discutait avec le barman, le mystérieux fanatique continuait son discours.

« Rwalah contrôle le monde, la vie et la mort. Avec lui, il n'y aura ni de pauvreté ni de richesse. Nous serons tous égaux. Le gouvernement mondial sera formaté et dirigé par des membres de notre religion. Mon Dieu n'abandonne pas ses fidèles, il les aide à se relancer dans la vie. Il n'y aura plus une seule maladie. La médecine qui est actuellement dirigée par un vaste réseau de charlatan sera dissoute ! Les maladies et les blessures sont psychologiques. Nous soignerons vos esprits et les rendrons plus forts ! Rejoignez-nous ! Il vous suffira juste de me verser un léger acompte pour que je puisse vous fournir notre livre sacré. »

SLURP ( bruit d'un verre avec seulement un fond d'eau sirotée à la paille de manière assez bruyante )

L'homme se tourna vers la source du bruit : Mariza. Il ne semblait pas être de bonne humeur et affichait un regard sévère. En face, elle le regardait avec des yeux malicieux. Elle lui tira la langue.

« Tu as un problème toi ?
- Oui, je ne comprends pas trop ce que vous dîtes. Par exemple, si vous vous blessez grièvement lors d'un échange violent avec une autre personne et que votre blessure saigne abondamment. Comment votre Dieu va-t-il faire pour la soigner ? »

Le visage de l'homme changea radicalement, il affichait une tête surprise. Visiblement, il ne savait pas quoi répondre. Néanmoins, il ne perdit pas son calme.

« C'est comme ça que tu traites les personnes qui t'aide. J'aurai dû te laisser mourir de faim. Sois gentille, rends-moi l'argent que je t'ai donné tout à l'heure.
- Mais... je ne suis qu'une jeune fille pauvre.
- Ce n'est pas une raison.
- Vous êtes un homme riche non ?
- C'est exact.
- L'homme riche a donné de l'argent à la fille pauvre. Nous sommes donc égaux en terme de richesse. Ce n'est pas ce que vous disiez tout à l'heure. »

Il piégé et il savait qu'il avait tort. Il ne pouvait pas la forcer à lui donner de l'argent, sa religion prônait le contraire et il venait de se trahir lui-même. Le regard de Mariza se tourna vers la mallette du fanatique.

« Elle est jolie votre mallette, il y a quoi dedans ? »

L'homme était visiblement gêné, il devait sans doute cacher quelque chose d'extraordinaire s'il refusait de l'ouvrir. Elle était curieuse et voulait savoir. Ce fut la même chose pour la foule qui l'écoutait.

« Ouvre ta malle ! » dit-un homme de l'assemblée


La mallette était posée par terre, il la prit sans que son propriétaire puisse réagir et l'ouvrit. Des berries, beaucoup de berries. Elle n'en avait jamais vu autant de toute sa vie.

« J'aime bien votre concept de l'égalité vis-à-vis des richesses. On partage votre argent ?  Non... notre argent. »

L'homme récupéra sa mallette, mais lorsqu'il tenta de la fermer, Mariza se leva et mit un coup de pied dedans. Les liasses de berries s'éparpillaient dans tout le bar, provoquant l'hystérie de la foule qui s'empressait de les ramasser. L'homme était très en colère, il ne pouvait pas récupérer tout son argent. Il se tourna vers Mariza et la fixa, après tout, c'était à cause d'elle s'il avait tout perdu. Elle le regarda d'un air triste, elle l'avait ruiné alors qu'il avait été gentil avec elle, mais après tout, il n'était rien d'autre qu'un escroc.

« Sale gamine, tu as tout fait rater. Tu es fière de toi hein ? Les petites garces de ton genre devraient rester dans un couvent. Barre-toi, toi et ta saleté de tignasse rose ! »

Le visage de Mariza changea en un rien de temps, elle était rouge comme une tomate. Elle pouvait tolérer les autres religions, qu'on se moque de la médecine, mais il était hors de question qu'elle laisse passer un affront envers ses beaux cheveux. Sans qu'il puisse réagir, elle frappa d'un coup sec sur ses noisettes. L'homme s'effondra à terre, transi de douleur. Et tandis qu'elle ramassait des berries pour les dommages qu'elle avait causé au bar, l'homme toujours à terre, la maudissait.

Avant de partir, elle pria pour s'excuser de son accès de violence. Mais bon, il n'avait qu'à pas insulter sa coiffure !

Yebah, grande ! Je passe en vitesse même si t'as pas encore fini ton bac, parce que pour le coup, j'ai vraiment pas grand chose à rajouter.

C'était une bonne petite lecture malgré le retour des éternels standards (le début de bio = naissance ; le début de test = arrivée sur une île un jour de beau temps), et Dieu que j'aime pas ces standards. Mais c'était chouette quand même, à la fois complet et suffisamment synthétique pour qu'on ait de quoi imaginer et pour que tu aies de quoi imaginer des tas de FB. Un personnage bien cadré sans être concept, qui a vraiment de beaux jours devant lui.

Mêmes regrets que Plud sur le test rp, attention à pas tomber dans la facilité... les PNJs ont aussi le droit d'être de sacrés malins débrouillards et chanceux =p

700 aussi ! Bon jeu ! Bon bac ! Bon courage !

Et une belle journée à toi !