Ajout sur Second Peace Island

La ou les blocs de Second Peace flottant au niveau du sol sont clairement des ruines d'une antique civilisation, il en va autrement du haut ou ce sont mystérieusement regroupés les blocs les plus intacts de ce qui devait être autrefois l'immense capitale d'un royaume florissant. La haut flottent des dizaines d'antiques et majestueux palais presque abandonnés mais étrangement bien conservés. Véritable trésor pour les archéologues et les pilleurs de toutes sortes pour peu qu'ils puissent apprend l'existence de cet Éden et redescendre en vie au niveau du sol.

Le batiment que les locaux appellent l'Ultima Thilé est le plus haut de la gigantesque colonne de blocs flottants que constitue Second Peace. C'est aussi celui qui contient d’après eux le légendaire savoir de leurs ancêtres et le récit du cataclysme qui les a amenées. D’après eux, car non seulement la tour est sacré et seuls les Archéos ont le droit d'y pénétrer, mais même eux ont depuis longtemps oubliés comment lire les symboles gravés sur tous les murs du bâtiment par ses derniers habitants.
Ce batiment n'est rien d'autre que l'endroit ou ont été fabriqués les ponéglyphes dispersés dans le monde. Et comme eux il apporte à celui qui sait les déchiffrer des brides de connaissance sur l'époque que le GM a rayé des livres.

Autrefois, la Rua Anrior était une caste de serviteurs pacifistes, voués à la conservation du savoir, mélange de bibliothécaires et de moines zen. Ce qui leur a valu de ne pas périr en même temps que leur maitre quand le Gm détruisit leur royaume. Aujourd'hui, en butte depuis le cataclysme à une lutte sans fin pour leur survie et la préservation des restes de la civilisation de leurs maitres ils n'ont conservés de leur savoir que celui du combat. Couverts d'armes et d'armures, portant pour se battre des masques ornés de visages de démons et de morts, vestige probable du pacifisme de leurs ancétres, les guerriers de la Rua Anrior luttent pied a pied et sans aucune pitié contre les explorateurs qui tentent de poser le pied sur les hauteurs de l'ile. Ce sont des combattants on ne peut plus redoutable, à l'entrainement quotidien et à la détermination sans faille. Et a ce jour aucun homme n'a pu franchir leur garde vigilante.
Au sommet de l'ile les locaux habitent juste en dessous des bâtiments que les non combattants, vieux, femmes et très jeunes enfants, entretiennent avec une ferveur toutes religieuse encadré par les Archéos, anciens garant des traditions de la tribu.