>> Alexander D. Anton
Pseudonyme : L'historien de l'orage Age: 29 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Archéologue Groupe : Marine But : En apprendre un peu plus sur sa propre histoire ainsi que sur l'Histoire du monde en général. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : J'aimerai posséder une paire de chaussure capable de s’électrifier grâce à un ingénieux stratagème (que j’expliquerai dans la partie de création si vous le voulez bien) Équipement : Rien de spécial hormis deux fusils dont il ne se sert que très peu, une tente afin de pas dormir au froid, un nécessaire de survie ainsi qu'un tonneau de saké qu'il transporte toujours avec lui. Codes du règlement : Parrain : Ce compte est-il un DC ? : Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Le fait de ne pas être le plus beau n'est pas forcément une tare. Par exemple, chez Anton, ce n'est pas cela qui vous marquera le plus. Oui, c'est un bel homme, mais sans plus. Cependant, lorsqu'il revêt son uniforme de soldat, il acquiert soudainement une certaine prestance et marque de confiance sans égale. Au niveau du physique, ses cheveux sont noirs de jais, légèrement trop longs si bien qu'il doit les plaquer vers l'arrière pour ne pas se retrouver décoiffé lors de ses missions. Afin de ne pas devoir changer d'habits trop souvent, il s'est contenté d'emmener avec lui seulement deux tenues de rechange, si bien qu'il passe la majorité de son temps en uniforme. Au niveau de sa musculature, Anton n'est pas un bodybuilder mais n'est pas à plaindre non plus : en tout bon soldat, ses abdominaux sont plutôt bien dessinés et il aime les exhiber devant les minettes. De plus, ses mollets sont la partie la plus grosse de son corps (oui, oui, malheureusement pour lui...) car il a passait de nombreuses années à les entraîner afin de parfaire son jeu de jambes).
>> Psychologie
Vous savez, ce n'est pas forcément l'historie d'une vie qui définie la manière de penser d'un homme. Et pourtant, dans le cas d'Anton, cette phrase est à moitié vraie. On aurait pu croire que passer toute sa vie en tant qu'esclave l'aurait conditionné à une vie dépressive et sans réel but, et pourtant c'est tout le contraire. Car oui, Anton est un homme extrêmement délirant et qui passe toute sa vie à toujours faire des blagues. Même s'il n'oublie pas son ancienne vie de malheur, il pense qu'il lui faut toujours aller de l'avant sans jamais se retourner. C'est ce qui lui permet d'avancer et ce qui fait qu'il ne tombe pas en dépression.
De plus, ses années passées à croupir en prison lui ont permit de toujours s'entraîner et d'ainsi en apprendre toujours un peu plus sur les méthodes de combat. C'est ainsi qu'il a apprit petit à petit à établir diverses stratégies qui peuvent se révéler très utile lors de missions périlleuses. Fin stratège, il tentera toujours de s'en prendre aux points faibles de son adversaire - que ceux-ci soient physique ou psychologique - afin de le défaire rapidement. Car oui, Anton n'est pas du tout patient, surtout avec les pirates, et il fera de son mieux afin de toujours les éliminer rapidement, n'hésitant pas à porter la mort ''accidentellement".
Cependant, Anton est tout de même un homme très amical et avenant, qui n'hésite pas à faire le premier pas pour parler à tout les inconnus. C'est sûrement ce trait de caractère qui peut le plus surprendre chez lui : il n'aime pas rester seul une seule seconde et c'est pour cela qu'il ne peut s'empêcher de toujours chercher à avoir quelqu'un à qui parler, même s'il ne le connait pas forcément. De plus, son phrasé n'est pas des plus soutenu et c'est pour cela que - sans irrespect aucun - qu'il parle de la même manière à tout le monde, supérieur hiérarchique ou non. C'est très certainement dû au fait qu'il n'a jamais eut de réelle éducation en tant qu'esclave mais il en joue un peu afin de ne pas avoir à parler très solennellement devant ses supérieurs, qui comprennent même si ça les énerve, que ce n'est pas de la faute du jeune marine.
Malgré tout, sous ses airs de gentil garçon assez innocent et heureux de bien faire, Anton est tout de même un garçon très dragueur, voir légèrement pervers sur les bords. S'il croise une fille en détresse, il ne pourra s'empêcher de l'aider, voir de la draguer même dans les situations les plus critiques. C'est un de ses grands défauts puisqu'il ne pourra jamais toucher à une fille, hormis si celle-ci est pirate bien entendu. Car après, sa maxime n'est pas "Anéantir tout les pirates. Point" pour rien.
De plus, ses années passées à croupir en prison lui ont permit de toujours s'entraîner et d'ainsi en apprendre toujours un peu plus sur les méthodes de combat. C'est ainsi qu'il a apprit petit à petit à établir diverses stratégies qui peuvent se révéler très utile lors de missions périlleuses. Fin stratège, il tentera toujours de s'en prendre aux points faibles de son adversaire - que ceux-ci soient physique ou psychologique - afin de le défaire rapidement. Car oui, Anton n'est pas du tout patient, surtout avec les pirates, et il fera de son mieux afin de toujours les éliminer rapidement, n'hésitant pas à porter la mort ''accidentellement".
Cependant, Anton est tout de même un homme très amical et avenant, qui n'hésite pas à faire le premier pas pour parler à tout les inconnus. C'est sûrement ce trait de caractère qui peut le plus surprendre chez lui : il n'aime pas rester seul une seule seconde et c'est pour cela qu'il ne peut s'empêcher de toujours chercher à avoir quelqu'un à qui parler, même s'il ne le connait pas forcément. De plus, son phrasé n'est pas des plus soutenu et c'est pour cela que - sans irrespect aucun - qu'il parle de la même manière à tout le monde, supérieur hiérarchique ou non. C'est très certainement dû au fait qu'il n'a jamais eut de réelle éducation en tant qu'esclave mais il en joue un peu afin de ne pas avoir à parler très solennellement devant ses supérieurs, qui comprennent même si ça les énerve, que ce n'est pas de la faute du jeune marine.
Malgré tout, sous ses airs de gentil garçon assez innocent et heureux de bien faire, Anton est tout de même un garçon très dragueur, voir légèrement pervers sur les bords. S'il croise une fille en détresse, il ne pourra s'empêcher de l'aider, voir de la draguer même dans les situations les plus critiques. C'est un de ses grands défauts puisqu'il ne pourra jamais toucher à une fille, hormis si celle-ci est pirate bien entendu. Car après, sa maxime n'est pas "Anéantir tout les pirates. Point" pour rien.
>> Biographie
"L'esclave qui aime sa vie d'esclave a-t-il une vie d'esclave ?"
Anton ne se souvient pas de sa naissance, ce qui est tout à fait normal me direz-vous. De ce fait, mais également puisqu'il n'a jamais connu ses parents, Anton n'a tout simplement aucune idée de l'île sur laquelle il est nén de même qu'il ne connait pas ses origines ni personne de sa famille. Le souvenir le plus lointain dont il se souvient est celui de première douche. Oui, c'est étrange non ? Mais là, je ne parle pas d'une douche comme celle que vous prenez après avoir batifolé trop longtemps avec votre copine et que, en nage, vous souhaitez vous rafraîchir un peu le corps. Non, je parle des douches d'esclaves. Tous capitonnés dans le même endroit, une petit pièce d'à peine trois mètres de large, dans laquelle on faisait rentrer une dizaine de personnes, ils devaient se mettre nus puis se tourner face au mur. Anton avait à l'époque quatre ans environ. Il ne savait pas du tout à quoi ressemblait ces fameuses "douches" dont les plus anciens parlaient dans les cellules autour de lui. Il fut donc tout naturellement surprit lorsqu'il sentit un puissant jet d'eau à la pression surprenante dans son dos. La force était telle qu'il fut projeté contre le mur, s'écrasant le nez qu'il retrouva en sang. Il voulut pleurer mais n'en n'eut pas le temps. Un gong sonna, annonçant qu'il fallait se tourner pour faire face, nu, à ses bourreaux. La dizaine d'esclaves s’exécuta, Anton y comprit, et aperçut deux hommes - seulement deux oui - aux regards malsains, en train de tenir deux grandes lance à incendie afin de laver les roturiers. Le jeune homme était encore bien trop jeune pour comprendre la gêne de la nudité mais il voyait bien aux visages honteux de ses congénères qu'affronter le regard des geôliers n'était pas une partie de plaisir.
Et encore, les douches n'étaient que la partie la moins pénible de cette vie. Car il y avait également les cours de servitude. Non, pas la servitude volontaire comme chez La Boétie (Philo quand tu nous tiens), mais bien des cours afin de savoir comment servir pour les mieux les futurs employeurs si jamais ils venaient à être achetés. A vrai dire, Anton aimait plutôt bien ces cours même si l'ensemble de ses comparses ne semblaient pas du tout du même avis. Les esclaves devaient apprendre à satisfaire toutes les exigences les plus folles de leurs maîtres pour ne pas être tués. Oui, c'était la dure loi de l'esclavagisme : soit tu ne fais jamais de faux-pas et tu vis, soit tu en fais un seul et tu crève. Une sorte d'étrange mélange entre la gratitude et l'extermination en gros. Pourtant, cette vie plaisait en quelque sorte à Anton, très certainement parce qu'il n'avait tout simplement aucune idée de ce qu'il se passait en dehors et de comment la vie se déroulait sans maître pour être dirigé. Après tout, une vie d'ignorance n'était-elle pas une vie de bienséance totale au fond ?
Le changement se fit lors de ses douze ans. A vrai dire, c'est lors de cette période qu'il fut "adopté" par ses premiers maîtres. Issus de la haute-bourgeoisie mondaine de Mariejoa, ce fut le teint mât et le caractère assez enjoué - si différent des autres esclaves - qui les séduire. Durant ses longues heures de service, Anton était - bien à son déplaisir - vêtu d'un ensemble assez classe afin de ne pas dénaturer avec l'ambiance richissime de la maison dans laquelle il exerçait ses fonctions fortuites. Malgré les coups de fouet et les jours passaient sans manger, Anton se fit bien vite à cette vie et se prit même d'affection pour ses maîtres. Une sorte d'étrange syndrome de Stockholm dont il n'arrivait à se défaire. La vie au palace de sa richissime famille lui donnait l'impression de vivre dans un luxe qu'il n'avait jamais eut. Tellement dépaysant même si la majorité des pièces lui était interdites et qu'il n'avait en aucun le droit de quitter la résidence sous peine d'une sanction très certainement douloureuse voir mortelle.
Mais, quoiqu'il en soit, Anton n'avait jamais été aussi heureux de sa vie : bien loin de sa vie au camp d'entraînement, il passait aujourd'hui ses journées à exécuter les ordres de ses maîtres qui, bien trop gentils, se contentaient de ne le fouetter que quelques fois par jour. Une vie bien belle pour ce jeune esclave qui n'en avait pourtant que peu faire de savoir à quoi la vie en extérieur, loin de tout esclavagisme, ressemblait. Pour lui, c'était la seule vie qu'il connaissait et il ne comptait pas, aucunement, la délaisser pour une grande aventure comme celle dont on parle dans les légendes de pirates.
Seize ans. Anton avait aujourd'hui seize ans. Durant les quatre années précédentes, il n'avait jamais cessé de servir pour ses maîtres. Cependant, une nouvelle occupation voguait de temps à autre dans sa tête et venait animer ses journées : l'art de la Capoeira. Cette discipline, dont il avait vu l'usage lors d'un des traditionnels banquets/combat d'esclaves de ses maîtres, le fascinait depuis et il s'entraînait tous les jours, dans l'espoir d'un jour être assez fort. Mélangeant fortement danse et mouvements acrobatique, il était parvenu petit à petit à manier ses jambes comme bon lui souhaitait. Ainsi, et grâce à un exercice régulier et intense, il réussissait désormais à sauter plus haut, plus loin et à frapper plus fort dans une balle que les meilleurs des hommes vivants au château. Cependant, cette discipline commença a effrayer ses maîtres : voyant leur esclave s’adonnait à des plaisirs et non à sa tâche, et le sachant devenir un peu plus doué chaque jour, ils décidèrent de mettre un terme à ses attentes en lui interdisant tout simplement toute sortie dans les jardins de la villa.
C'est dès ce moment qu'Anton commença à comprendre que ses maîtres n'étaient pas réellement de bonnes personnes : s'ils semblaient plutôt bien le traiter avant, c'était tout simplement parce qu'il le savait faible. Mais maintenant qu'il grandissait et s'entraîner, ce laquet devenait un peu trop gênant s'il venait à se rebeller. Le calvaire commença. Les coups de fouet augmentèrent en intensité, les insultes à son égard se firent beaucoup moins éparses. Anton, tout de même encore adolescent et éprit d'affection envers ses maîtres, commença à avoir peur de cette situation. Il n'osait se révolter, de peur d'être poursuivit ou bien tout simplement tué. Cependant, il ne pu résister à laisser libre court à ses pulsions de rébellion un beau jour d'hiver. Un ultime coup de fouet lui lacéra le bras alors qu'il n'avait pour le moment fait aucun faux-pas dans la journée. Le deuxième voulu se faufiler sur son dos mais le jeune Anton ne lui en laissa pas le temps. Il saisit d'une main la lacelle de l'arme de torture et, avant que son bourreau ne puisse réagir à cette anomalie de la bourgeoisie, il donna un coup de pied des plus puissants dans le visage du maître avant de s'enfuir. Il entendit derrière lui des cris et des coups de fusils mais ses jambes surentraînées lui permirent de franchir sans trop de peine le mur de barbelés qui l'empêchait de passer auparavant.
Cependant, il était bloqué. En bord de falaise, la mer s'étendait en dessous de RedLine. Car oui, il n'y connaissait rien en géographie, n'ayant jamais reçu de réelle éducation, et ne savait pas auparavant que ce continent n'était que très peu étendu et possédait surtout des falaises étonnamenent hautes. Il n'eut d'autre choix en entendant les cris de dizaines de gardes derrière lui : il sauta. La chute lui parue longue...bien trop longue. Puis il percuta l'océan sous ses pieds qui semblait pareil à du béton. Une douleur immense se propageait dans son corps juste avant qu'il ne s'évanouisse. Ce fut la dernière chose dont il se souvint.
Anton se réveilla en hurlant. Il entrouvrit des yeux injectés de sang afin d'observer une personne étrange au dessus de sa tête. Criant une dernière fois, il perdit une nouvelle fois connaissance, sans savoir ce qu'il se passait autour de lui. Le deuxième réveil fut tout aussi chaotique mais il resta éveillé assez de temps pour voir à nouveau le visage de cet homme au-dessus de lui, accompagné de celui d'une femme qui paraissait plutôt âgée. Un nouveau hurlement de douleur... puis il se rendormit, repartant sans le vouloir au pays cauchemardesque des songes noirs. Le troisième réveil, même si la douleur était toujours présente, fut celui durant lequel il resta le plus confiant. Cependant, il n'y avait personne autour de lui cette fois-ci. Il observait la pièce dans laquelle il se trouvait : une simple chambre, sans aucune prétention aucune de vouloir bien faire ou se donner un genre étrange. Puis, il observa son corps : il était entièrement recouvert de plusieurs bandelettes. Lorsqu'il voulut bouger la main, il comprit la raison de cet enpaquettement : chacun de ses os, chaque parcelle de son corps, chacune de ses respirations le faisait souffrir comme jamais. Apparemment, la chute depuis la falaise s'était avérée beaucoup plus violente qu'il ne l'aurait cru.
Les mois qui suivirent cette blessure furent donc extrêmement dur. Le couple de personnes âgés qui l'avait recueillit se contenter de le soigner et de le nourrir, sans lui poser de réelle question sur sa vie antérieure. Il passa plus d'un an chez eux. Cependant, il découvrit alors qu'il avait perdu une énorme maniabilité durant sa chute, surtout au niveau de ses bras. Bien heureusement, il palliait cela par une maîtrise quasi-totale de son jeu de jambe. Étonnamment, cette vie sans maître et servitude pour être suivie lui semblait tellement meilleure, bien qu'il lui manquait tout de même quelques ordres pour être pleinement heureux. Non, il n'avait jamais imaginé ce que serai sa vie sans maître puisqu'il n'avait toujours connu que cela...
Jusqu'à ses vingt et un an, il s'entraîna avec ceux qu'il appelle désormais "Papo" et "Mamo", apprenant à manier de mieux en mieux ses jambes et à donner des coups toujours plus puissants les uns que les autres. Papo était d'ailleurs un ancien Marine et proposa donc à son "fils" de se rendre aux examens de sélection, pensant pouvoir faire de lui une bonne recrue. Et c'est ainsi que, depuis plusieurs années, Anton travaille au sein de Marine mondiale, chassant toujours plus les pirates afin de se venger de ceux qui l'ont enlevé dans le passé.
Et encore, les douches n'étaient que la partie la moins pénible de cette vie. Car il y avait également les cours de servitude. Non, pas la servitude volontaire comme chez La Boétie (Philo quand tu nous tiens), mais bien des cours afin de savoir comment servir pour les mieux les futurs employeurs si jamais ils venaient à être achetés. A vrai dire, Anton aimait plutôt bien ces cours même si l'ensemble de ses comparses ne semblaient pas du tout du même avis. Les esclaves devaient apprendre à satisfaire toutes les exigences les plus folles de leurs maîtres pour ne pas être tués. Oui, c'était la dure loi de l'esclavagisme : soit tu ne fais jamais de faux-pas et tu vis, soit tu en fais un seul et tu crève. Une sorte d'étrange mélange entre la gratitude et l'extermination en gros. Pourtant, cette vie plaisait en quelque sorte à Anton, très certainement parce qu'il n'avait tout simplement aucune idée de ce qu'il se passait en dehors et de comment la vie se déroulait sans maître pour être dirigé. Après tout, une vie d'ignorance n'était-elle pas une vie de bienséance totale au fond ?
Le changement se fit lors de ses douze ans. A vrai dire, c'est lors de cette période qu'il fut "adopté" par ses premiers maîtres. Issus de la haute-bourgeoisie mondaine de Mariejoa, ce fut le teint mât et le caractère assez enjoué - si différent des autres esclaves - qui les séduire. Durant ses longues heures de service, Anton était - bien à son déplaisir - vêtu d'un ensemble assez classe afin de ne pas dénaturer avec l'ambiance richissime de la maison dans laquelle il exerçait ses fonctions fortuites. Malgré les coups de fouet et les jours passaient sans manger, Anton se fit bien vite à cette vie et se prit même d'affection pour ses maîtres. Une sorte d'étrange syndrome de Stockholm dont il n'arrivait à se défaire. La vie au palace de sa richissime famille lui donnait l'impression de vivre dans un luxe qu'il n'avait jamais eut. Tellement dépaysant même si la majorité des pièces lui était interdites et qu'il n'avait en aucun le droit de quitter la résidence sous peine d'une sanction très certainement douloureuse voir mortelle.
Mais, quoiqu'il en soit, Anton n'avait jamais été aussi heureux de sa vie : bien loin de sa vie au camp d'entraînement, il passait aujourd'hui ses journées à exécuter les ordres de ses maîtres qui, bien trop gentils, se contentaient de ne le fouetter que quelques fois par jour. Une vie bien belle pour ce jeune esclave qui n'en avait pourtant que peu faire de savoir à quoi la vie en extérieur, loin de tout esclavagisme, ressemblait. Pour lui, c'était la seule vie qu'il connaissait et il ne comptait pas, aucunement, la délaisser pour une grande aventure comme celle dont on parle dans les légendes de pirates.
Tremblez devant l'esclave quand il brise sa chaîne.
Seize ans. Anton avait aujourd'hui seize ans. Durant les quatre années précédentes, il n'avait jamais cessé de servir pour ses maîtres. Cependant, une nouvelle occupation voguait de temps à autre dans sa tête et venait animer ses journées : l'art de la Capoeira. Cette discipline, dont il avait vu l'usage lors d'un des traditionnels banquets/combat d'esclaves de ses maîtres, le fascinait depuis et il s'entraînait tous les jours, dans l'espoir d'un jour être assez fort. Mélangeant fortement danse et mouvements acrobatique, il était parvenu petit à petit à manier ses jambes comme bon lui souhaitait. Ainsi, et grâce à un exercice régulier et intense, il réussissait désormais à sauter plus haut, plus loin et à frapper plus fort dans une balle que les meilleurs des hommes vivants au château. Cependant, cette discipline commença a effrayer ses maîtres : voyant leur esclave s’adonnait à des plaisirs et non à sa tâche, et le sachant devenir un peu plus doué chaque jour, ils décidèrent de mettre un terme à ses attentes en lui interdisant tout simplement toute sortie dans les jardins de la villa.
C'est dès ce moment qu'Anton commença à comprendre que ses maîtres n'étaient pas réellement de bonnes personnes : s'ils semblaient plutôt bien le traiter avant, c'était tout simplement parce qu'il le savait faible. Mais maintenant qu'il grandissait et s'entraîner, ce laquet devenait un peu trop gênant s'il venait à se rebeller. Le calvaire commença. Les coups de fouet augmentèrent en intensité, les insultes à son égard se firent beaucoup moins éparses. Anton, tout de même encore adolescent et éprit d'affection envers ses maîtres, commença à avoir peur de cette situation. Il n'osait se révolter, de peur d'être poursuivit ou bien tout simplement tué. Cependant, il ne pu résister à laisser libre court à ses pulsions de rébellion un beau jour d'hiver. Un ultime coup de fouet lui lacéra le bras alors qu'il n'avait pour le moment fait aucun faux-pas dans la journée. Le deuxième voulu se faufiler sur son dos mais le jeune Anton ne lui en laissa pas le temps. Il saisit d'une main la lacelle de l'arme de torture et, avant que son bourreau ne puisse réagir à cette anomalie de la bourgeoisie, il donna un coup de pied des plus puissants dans le visage du maître avant de s'enfuir. Il entendit derrière lui des cris et des coups de fusils mais ses jambes surentraînées lui permirent de franchir sans trop de peine le mur de barbelés qui l'empêchait de passer auparavant.
Cependant, il était bloqué. En bord de falaise, la mer s'étendait en dessous de RedLine. Car oui, il n'y connaissait rien en géographie, n'ayant jamais reçu de réelle éducation, et ne savait pas auparavant que ce continent n'était que très peu étendu et possédait surtout des falaises étonnamenent hautes. Il n'eut d'autre choix en entendant les cris de dizaines de gardes derrière lui : il sauta. La chute lui parue longue...bien trop longue. Puis il percuta l'océan sous ses pieds qui semblait pareil à du béton. Une douleur immense se propageait dans son corps juste avant qu'il ne s'évanouisse. Ce fut la dernière chose dont il se souvint.
Un soldat est un esclave en uniforme.
Anton se réveilla en hurlant. Il entrouvrit des yeux injectés de sang afin d'observer une personne étrange au dessus de sa tête. Criant une dernière fois, il perdit une nouvelle fois connaissance, sans savoir ce qu'il se passait autour de lui. Le deuxième réveil fut tout aussi chaotique mais il resta éveillé assez de temps pour voir à nouveau le visage de cet homme au-dessus de lui, accompagné de celui d'une femme qui paraissait plutôt âgée. Un nouveau hurlement de douleur... puis il se rendormit, repartant sans le vouloir au pays cauchemardesque des songes noirs. Le troisième réveil, même si la douleur était toujours présente, fut celui durant lequel il resta le plus confiant. Cependant, il n'y avait personne autour de lui cette fois-ci. Il observait la pièce dans laquelle il se trouvait : une simple chambre, sans aucune prétention aucune de vouloir bien faire ou se donner un genre étrange. Puis, il observa son corps : il était entièrement recouvert de plusieurs bandelettes. Lorsqu'il voulut bouger la main, il comprit la raison de cet enpaquettement : chacun de ses os, chaque parcelle de son corps, chacune de ses respirations le faisait souffrir comme jamais. Apparemment, la chute depuis la falaise s'était avérée beaucoup plus violente qu'il ne l'aurait cru.
Les mois qui suivirent cette blessure furent donc extrêmement dur. Le couple de personnes âgés qui l'avait recueillit se contenter de le soigner et de le nourrir, sans lui poser de réelle question sur sa vie antérieure. Il passa plus d'un an chez eux. Cependant, il découvrit alors qu'il avait perdu une énorme maniabilité durant sa chute, surtout au niveau de ses bras. Bien heureusement, il palliait cela par une maîtrise quasi-totale de son jeu de jambe. Étonnamment, cette vie sans maître et servitude pour être suivie lui semblait tellement meilleure, bien qu'il lui manquait tout de même quelques ordres pour être pleinement heureux. Non, il n'avait jamais imaginé ce que serai sa vie sans maître puisqu'il n'avait toujours connu que cela...
Jusqu'à ses vingt et un an, il s'entraîna avec ceux qu'il appelle désormais "Papo" et "Mamo", apprenant à manier de mieux en mieux ses jambes et à donner des coups toujours plus puissants les uns que les autres. Papo était d'ailleurs un ancien Marine et proposa donc à son "fils" de se rendre aux examens de sélection, pensant pouvoir faire de lui une bonne recrue. Et c'est ainsi que, depuis plusieurs années, Anton travaille au sein de Marine mondiale, chassant toujours plus les pirates afin de se venger de ceux qui l'ont enlevé dans le passé.
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Informations IRL
Prénom : Ahaha
Age : 17 ans (18 dans 7 jours :O)
Aime : TOUT
N'aime pas : Le reste
Personnage préféré de One Piece : Zorrooooo
Caractère : Vous le verrez bien par vous même !
Fait du RP depuis : 1 ans environs
Disponibilité approximative : Pas demain ni vendredi (oraux du bac ...) mais en tant normal, je peux être là tout les soirs de la semaine.
Comment avez-vous connu le forum ? Je m'y étais inscrit il y a un petit moment mais je n'ai jamais je crois finis de présentation malheureusement, pour diverses raisons...
Prénom : Ahaha
Age : 17 ans (18 dans 7 jours :O)
Aime : TOUT
N'aime pas : Le reste
Personnage préféré de One Piece : Zorrooooo
Caractère : Vous le verrez bien par vous même !
Fait du RP depuis : 1 ans environs
Disponibilité approximative : Pas demain ni vendredi (oraux du bac ...) mais en tant normal, je peux être là tout les soirs de la semaine.
Comment avez-vous connu le forum ? Je m'y étais inscrit il y a un petit moment mais je n'ai jamais je crois finis de présentation malheureusement, pour diverses raisons...
Dernière édition par Anton D. Alexander le Sam 28 Juin 2014 - 22:59, édité 3 fois