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Anton aux pieds d'argent

>> Alexander D. Anton


Anton aux pieds d'argent  Fullme10
Pseudonyme : L'historien de l'orage
Age: 29 ans
Sexe : Homme
Race :  Humain

Métier : Archéologue
Groupe : Marine
But : En apprendre un peu plus sur sa propre histoire ainsi que sur l'Histoire du monde en général.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : J'aimerai posséder une paire de chaussure capable de s’électrifier grâce à un ingénieux stratagème (que j’expliquerai dans la partie de création si vous le voulez bien)
Équipement : Rien de spécial hormis deux fusils dont il ne se sert que très peu, une tente afin de pas dormir au froid, un nécessaire de survie ainsi qu'un tonneau de saké qu'il transporte toujours avec lui.


Codes du règlement :

Parrain :

Ce compte est-il un DC ? :
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ...
>> Physique

Le fait de ne pas être le plus beau n'est pas forcément une tare. Par exemple, chez Anton, ce n'est pas cela qui vous marquera le plus. Oui, c'est un bel homme, mais sans plus. Cependant, lorsqu'il revêt son uniforme de soldat, il acquiert soudainement une certaine prestance et marque de confiance sans égale.  Au niveau du physique, ses cheveux sont noirs de jais, légèrement trop longs si bien qu'il doit les plaquer vers l'arrière pour ne pas se retrouver décoiffé lors de ses missions. Afin de ne pas devoir changer d'habits trop souvent, il s'est contenté d'emmener avec lui seulement deux tenues de rechange, si bien qu'il passe la majorité de son temps en uniforme. Au niveau de sa musculature, Anton n'est pas un bodybuilder mais n'est pas à plaindre non plus : en tout bon soldat, ses abdominaux sont plutôt bien dessinés et il aime les exhiber devant les minettes. De plus, ses mollets sont la partie la plus grosse de son corps (oui, oui, malheureusement pour lui...) car il a passait de nombreuses années à les entraîner afin de parfaire son jeu de jambes).


>> Psychologie

Vous savez, ce n'est pas forcément l'historie d'une vie qui définie la manière de penser d'un homme. Et pourtant, dans le cas d'Anton, cette phrase est à moitié vraie. On aurait pu croire que passer toute sa vie en tant qu'esclave l'aurait conditionné à une vie dépressive et sans réel but, et pourtant c'est tout le contraire. Car oui, Anton est un homme extrêmement délirant et qui passe toute sa vie à toujours faire des blagues. Même s'il n'oublie pas son ancienne vie de malheur, il pense qu'il lui faut toujours aller de l'avant sans jamais se retourner. C'est ce qui lui permet d'avancer et ce qui fait qu'il ne tombe pas en dépression.

De plus, ses années passées à croupir en prison lui ont permit de toujours s'entraîner et d'ainsi en apprendre toujours un peu plus sur les méthodes de combat. C'est ainsi qu'il a apprit petit à petit à établir diverses stratégies qui peuvent se révéler très utile lors de missions périlleuses. Fin stratège, il tentera toujours de s'en prendre aux points faibles de son adversaire - que ceux-ci soient physique ou psychologique - afin de le défaire rapidement. Car oui, Anton n'est pas du tout patient, surtout avec les pirates, et il fera de son mieux afin de toujours les éliminer rapidement, n'hésitant pas à porter la mort ''accidentellement".

Cependant, Anton est tout de même un homme très amical et avenant, qui n'hésite pas à faire le premier pas pour parler à tout les inconnus. C'est sûrement ce trait de caractère qui peut le plus surprendre chez lui : il n'aime pas rester seul une seule seconde et c'est pour cela qu'il ne peut s'empêcher de toujours chercher à avoir quelqu'un à qui parler, même s'il ne le connait pas forcément. De plus, son phrasé n'est pas des plus soutenu et c'est pour cela que - sans irrespect aucun - qu'il parle de la même manière à tout le monde, supérieur hiérarchique ou non. C'est très certainement dû au fait qu'il n'a jamais eut de réelle éducation en tant qu'esclave mais il en joue un peu afin de ne pas avoir à parler très solennellement devant ses supérieurs, qui comprennent même si ça les énerve, que ce n'est pas de la faute du jeune marine.

Malgré tout, sous ses airs de gentil garçon assez innocent et heureux de bien faire, Anton est tout de même un garçon très dragueur, voir légèrement pervers sur les bords. S'il croise une fille en détresse, il ne pourra s'empêcher de l'aider, voir de la draguer même dans les situations les plus critiques. C'est un de ses grands défauts puisqu'il ne pourra jamais toucher à une fille, hormis si celle-ci est pirate bien entendu. Car après, sa maxime n'est pas "Anéantir tout les pirates. Point" pour rien.


>> Biographie

"L'esclave qui aime sa vie d'esclave a-t-il une vie d'esclave ?"

Anton ne se souvient pas de sa naissance, ce qui est tout à fait normal me direz-vous. De ce fait, mais également puisqu'il n'a jamais connu ses parents, Anton n'a tout simplement aucune idée de l'île sur laquelle il est nén de même qu'il ne connait pas ses origines ni personne de sa famille. Le souvenir le plus lointain dont il se souvient est celui de première douche. Oui, c'est étrange non ? Mais là, je ne parle pas d'une douche comme celle que vous prenez après avoir batifolé trop longtemps avec votre copine et que, en nage, vous souhaitez vous rafraîchir un peu le corps. Non, je parle des douches d'esclaves. Tous capitonnés dans le même endroit, une petit pièce d'à peine trois mètres de large, dans laquelle on faisait rentrer une dizaine de personnes, ils devaient se mettre nus puis se tourner face au mur. Anton avait à l'époque quatre ans environ. Il ne savait pas du tout à quoi ressemblait ces fameuses "douches" dont les plus anciens parlaient dans les cellules autour de lui. Il fut donc tout naturellement surprit lorsqu'il sentit un puissant jet d'eau à la pression surprenante dans son dos. La force était telle qu'il fut projeté contre le mur, s'écrasant le nez qu'il retrouva en sang. Il voulut pleurer mais n'en n'eut pas le temps. Un gong sonna, annonçant qu'il fallait se tourner pour faire face, nu, à ses bourreaux. La dizaine d'esclaves s’exécuta, Anton y comprit, et aperçut deux hommes - seulement deux oui - aux regards malsains, en train de tenir deux grandes lance à incendie afin de laver les roturiers. Le jeune homme était encore bien trop jeune pour comprendre la gêne de la nudité mais il voyait bien aux visages honteux de ses congénères qu'affronter le regard des geôliers n'était pas une partie de plaisir.

Et encore, les douches n'étaient que la partie la moins pénible de cette vie. Car il y avait également les cours de servitude. Non, pas la servitude volontaire comme chez La Boétie (Philo quand tu nous tiens), mais bien des cours afin de savoir comment servir pour les mieux les futurs employeurs si jamais ils venaient à être achetés. A vrai dire, Anton aimait plutôt bien ces cours même si l'ensemble de ses comparses ne semblaient pas du tout du même avis. Les esclaves devaient apprendre à satisfaire toutes les exigences les plus folles de leurs maîtres pour ne pas être tués. Oui, c'était la dure loi de l'esclavagisme : soit tu ne fais jamais de faux-pas et tu vis, soit tu en fais un seul et tu crève. Une sorte d'étrange mélange entre la gratitude et l'extermination en gros. Pourtant, cette vie plaisait en quelque sorte à Anton, très certainement parce qu'il n'avait tout simplement aucune idée de ce qu'il se passait en dehors et de comment la vie se déroulait sans maître pour être dirigé. Après tout, une vie d'ignorance n'était-elle pas une vie de bienséance totale au fond ?

Le changement se fit lors de ses douze ans. A vrai dire, c'est lors de cette période qu'il fut "adopté" par ses premiers maîtres. Issus de la haute-bourgeoisie mondaine de Mariejoa, ce fut le teint mât et le caractère assez enjoué - si différent des autres esclaves - qui les séduire. Durant ses longues heures de service, Anton était - bien à son déplaisir - vêtu d'un ensemble assez classe afin de ne pas dénaturer avec l'ambiance richissime de la maison dans laquelle il exerçait ses fonctions fortuites. Malgré les coups de fouet et les jours passaient sans manger, Anton se fit bien vite à cette vie et se prit même d'affection pour ses maîtres. Une sorte d'étrange syndrome de Stockholm dont il n'arrivait à se défaire. La vie au palace de sa richissime famille lui donnait l'impression de vivre dans un luxe qu'il n'avait jamais eut. Tellement dépaysant même si la majorité des pièces lui était interdites et qu'il n'avait en aucun le droit de quitter la résidence sous peine d'une sanction très certainement douloureuse voir mortelle.

Mais, quoiqu'il en soit, Anton n'avait jamais été aussi heureux de sa vie : bien loin de sa vie au camp d'entraînement, il passait aujourd'hui ses journées à exécuter les ordres de ses maîtres qui, bien trop gentils, se contentaient de ne le fouetter que quelques fois par jour. Une vie bien belle pour ce jeune esclave qui n'en avait pourtant que peu faire de savoir à quoi la vie en extérieur, loin de tout esclavagisme, ressemblait. Pour lui, c'était la seule vie qu'il connaissait et il ne comptait pas, aucunement, la délaisser pour une grande aventure comme celle dont on parle dans les légendes de pirates.

Tremblez devant l'esclave quand il brise sa chaîne.

Seize ans. Anton avait aujourd'hui seize ans. Durant les quatre années précédentes, il n'avait jamais cessé de servir pour ses maîtres. Cependant, une nouvelle occupation voguait de temps à autre dans sa tête et venait animer ses journées : l'art de la Capoeira. Cette discipline, dont il avait vu l'usage lors d'un des traditionnels banquets/combat d'esclaves de ses maîtres, le fascinait depuis et il s'entraînait tous les jours, dans l'espoir d'un jour être assez fort. Mélangeant fortement danse et mouvements acrobatique, il était parvenu petit à petit à manier ses jambes comme bon lui souhaitait. Ainsi, et grâce à un exercice régulier et intense, il réussissait désormais à sauter plus haut, plus loin et à frapper plus fort dans une balle que les meilleurs des hommes vivants au château. Cependant, cette discipline commença a effrayer ses maîtres : voyant leur esclave s’adonnait à des plaisirs et non à sa tâche, et le sachant devenir un peu plus doué chaque jour, ils décidèrent de mettre un terme à ses attentes en lui interdisant tout simplement toute sortie dans les jardins de la villa.

C'est dès ce moment qu'Anton commença à comprendre que ses maîtres n'étaient pas réellement de bonnes personnes : s'ils semblaient plutôt bien le traiter avant, c'était tout simplement parce qu'il le savait faible. Mais maintenant qu'il grandissait et s'entraîner, ce laquet devenait un peu trop gênant s'il venait à se rebeller. Le calvaire commença. Les coups de fouet augmentèrent en intensité, les insultes à son égard se firent beaucoup moins éparses. Anton, tout de même encore adolescent et éprit d'affection envers ses maîtres, commença à avoir peur de cette situation. Il n'osait se révolter, de peur d'être poursuivit ou bien tout simplement tué. Cependant, il ne pu résister à laisser libre court à ses pulsions de rébellion un beau jour d'hiver. Un ultime coup de fouet lui lacéra le bras alors qu'il n'avait pour le moment fait aucun faux-pas dans la journée. Le deuxième voulu se faufiler sur son dos mais le jeune Anton ne lui en laissa pas le temps. Il saisit d'une main la lacelle de l'arme de torture et, avant que son bourreau ne puisse réagir à cette anomalie de la bourgeoisie, il donna un coup de pied des plus puissants dans le visage du maître avant de s'enfuir. Il entendit derrière lui des cris et des coups de fusils mais ses jambes surentraînées lui permirent de franchir sans trop de peine le mur de barbelés qui l'empêchait de passer auparavant.

Cependant, il était bloqué. En bord de falaise, la mer s'étendait en dessous de RedLine. Car oui, il n'y connaissait rien en géographie, n'ayant jamais reçu de réelle éducation, et ne savait pas auparavant que ce continent n'était que très peu étendu et possédait surtout des falaises étonnamenent hautes. Il n'eut d'autre choix en entendant les cris de dizaines de gardes derrière lui : il sauta. La chute lui parue longue...bien trop longue. Puis il percuta l'océan sous ses pieds qui semblait pareil à du béton. Une douleur immense se propageait dans son corps juste avant qu'il ne s'évanouisse. Ce fut la dernière chose dont il se souvint.


Un soldat est un esclave en uniforme.

Anton se réveilla en hurlant. Il entrouvrit des yeux injectés de sang afin d'observer une personne étrange au dessus de sa tête. Criant une dernière fois, il perdit une nouvelle fois connaissance, sans savoir ce qu'il se passait autour de lui. Le deuxième réveil fut tout aussi chaotique mais il resta éveillé assez de temps pour voir à nouveau le visage de cet homme au-dessus de lui, accompagné de celui d'une femme qui paraissait plutôt âgée. Un nouveau hurlement de douleur... puis il se rendormit, repartant sans le vouloir au pays cauchemardesque des songes noirs. Le troisième réveil, même si la douleur était toujours présente, fut celui durant lequel il resta le plus confiant. Cependant, il n'y avait personne autour de lui cette fois-ci. Il observait la pièce dans laquelle il se trouvait : une simple chambre, sans aucune prétention aucune de vouloir bien faire ou se donner un genre étrange. Puis, il observa son corps : il était entièrement recouvert de plusieurs bandelettes. Lorsqu'il voulut bouger la main, il comprit la raison de cet enpaquettement : chacun de ses os, chaque parcelle de son corps, chacune de ses respirations le faisait souffrir comme jamais. Apparemment, la chute depuis la falaise s'était avérée beaucoup plus violente qu'il ne l'aurait cru.

Les mois qui suivirent cette blessure furent donc extrêmement dur. Le couple de personnes âgés qui l'avait recueillit se contenter de le soigner et de le nourrir, sans lui poser de réelle question sur sa vie antérieure. Il passa plus d'un an chez eux. Cependant, il découvrit alors qu'il avait perdu une énorme maniabilité durant sa chute, surtout au niveau de ses bras. Bien heureusement, il palliait cela par une maîtrise quasi-totale de son jeu de jambe. Étonnamment, cette vie sans maître et servitude pour être suivie lui semblait tellement meilleure, bien qu'il lui manquait tout de même quelques ordres pour être pleinement heureux. Non, il n'avait jamais imaginé ce que serai sa vie sans maître puisqu'il n'avait toujours connu que cela...

Jusqu'à ses vingt et un an, il s'entraîna avec ceux qu'il appelle désormais "Papo" et "Mamo", apprenant à manier de mieux en mieux ses jambes et à donner des coups toujours plus puissants les uns que les autres. Papo était d'ailleurs un ancien Marine et proposa donc à son "fils" de se rendre aux examens de sélection, pensant pouvoir faire de lui une bonne recrue. Et c'est ainsi que, depuis plusieurs années, Anton travaille au sein de Marine mondiale, chassant toujours plus les pirates afin de se venger de ceux qui l'ont enlevé dans le passé.


>> Test RP

Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Informations IRL

Prénom : Ahaha
Age : 17 ans (18 dans 7 jours :O)
Aime : TOUT
N'aime pas : Le reste
Personnage préféré de One Piece : Zorrooooo
Caractère : Vous le verrez bien par vous même !
Fait du RP depuis : 1 ans environs
Disponibilité approximative : Pas demain ni vendredi (oraux du bac ...) mais en tant normal, je peux être là tout les soirs de la semaine.
Comment avez-vous connu le forum ? Je m'y étais inscrit il y a un petit moment mais je n'ai jamais je crois finis de présentation malheureusement, pour diverses raisons...


Dernière édition par Anton D. Alexander le Sam 28 Juin 2014 - 22:59, édité 3 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t11610-fiche-du-beau-marin
Bienvenue Anton ! J'approuve ton choix d'avatar *.*

Pour ta présentation, on va te laisser avancer tranquillement, tu n'auras qu'à nous faire signe lorsque tu voudras ton test RP. N'oublie cependant pas de trouver les codes du règlement.

Sinon, si tu as des questions ou si tu veux venir discuter avec les membres, n'hésite pas à passer sur la CB !

A bientôt =)
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1247-louise-mizuno-la-m-des-sm
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1145-louise-mizuno
Voilà, j'ai finis (désolé pour la physique mais j'ai paaaaaaas du tout d'inspi' et j'ai jamais été trop fort pour ça...). J'attends donc votre avis et votre test, bonne lecture Smile
  • https://www.onepiece-requiem.net/t11610-fiche-du-beau-marin
Voici donc ton test !

Tu es donc dans la Marine et, en bon soldat que tu es, tu pars en mission pour attraper un petit équipage pirate qui fait de plus en plus parler de lui. Sans mal, ton équipe et toi les retrouvez et voilà venu le temps de l'affrontement. Tu es résigné et déterminé, ce sont des pirates après tout. Seulement, le capitaine pirate laisse échapper quelques paroles et tout vacille. Tu comprends que les membres de cet équipage ont un jour été esclaves et qu'ils sont devenus pirates pour retrouver une totale liberté.
Comment réagis-tu face à cette situation ?

Voilà, si ça ne te va pas, n'hésite pas à le dire, on changera !

Sinon, pour ton équipement, faudra voir ça après la validation =)
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1247-louise-mizuno-la-m-des-sm
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1145-louise-mizuno
Bien que le sujet m'ait plut de prime abord, je n'arrive pourtant pas à écrire un truc de correct avec ... Est-il donc possible d'en avoir un autre s'il vous plait ? (oui, je suis chiant hein ? >< )
  • https://www.onepiece-requiem.net/t11610-fiche-du-beau-marin
Y'a pas de souci, t'en fais pas x)

Nouveau test, donc :

Tu es convoqué un matin par l'un de tes supérieurs. Il a une mission à te confier : il souhaite que tu prennes quelques hommes avec toi et que tu te rendes dans la demeure d'un riche et influent homme d'affaire qui se trouve menacé par un dangereux bandit local. Ta mission est donc de protéger l'homme, d'empêcher son assassinat et, si possible, d'arrêter le criminel qui intente à sa vie.
Rien de bien compliqué à première vue, seulement, histoire de te corser la tâche, il s'avère que l'homme d'affaire (un type de ton âge) n'a absolument pas envie d'être protégé. Il ne tient pas à voir sa maison assaillie par des représentants de l'ordre. Il ne t'aime pas, il n'aime pas ta façon de parler et il a l'impression que tu lorgnes sa jeune sœur d'un œil un peu trop intéressé. Bref, ne comptes pas sur lui pour te faciliter la vie !

Si ça ne va toujours pas, y'a toujours pas de souci, on demandera à quelqu'un d'autre de te filer un test x)
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1247-louise-mizuno-la-m-des-sm
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1145-louise-mizuno
Le test est en cours, je le poste juste pour ne pas le perdre.




Voyage inutile, mission grandiose.

"Tu es convoqué un matin par l'un de tes supérieurs. Il a une mission à te confier : il souhaite que tu prennes quelques hommes avec toi et que tu te rendes dans la demeure d'un riche et influent homme d'affaire qui se trouve menacé par un dangereux bandit local. Ta mission est donc de protéger l'homme, d'empêcher son assassinat et, si possible, d'arrêter le criminel qui intente à sa vie.
Rien de bien compliqué à première vue, seulement, histoire de te corser la tâche, il s'avère que l'homme d'affaire (un type de ton âge) n'a absolument pas envie d'être protégé. Il ne tient pas à voir sa maison assaillie par des représentants de l'ordre. Il ne t'aime pas, il n'aime pas ta façon de parler et il a l'impression que tu lorgnes sa jeune sœur d'un œil un peu trop intéressé. Bref, ne comptes pas sur lui pour te faciliter la vie !"


feat. Machin & Truc

La vie était bien, bien trop cruelle avec Anton. De par sa vie déjà mouvementée dans l'enfance, il n'avait jamais cessé d'être dans le désarrois par la suite. Même depuis son entrée dans la Marine, rien n'y faisait. Car même s'il affichait un visage souriant et bienveillant à l'extérieur, il était toujours troublé à l'extérieur. Et la mission sur laquelle il venait d'être envoyé n'allait pas faciliter les choses. Mr. Carter était un homme d'environs la trentaine, donc en somme égal à Anton. Cependant, en tant que richissime homme d'affaire, il dégagé une prestance qui faisait presque oublier celle des forces de l'ordre que représentait Anton. En tant que Marine, il avait était envoyé à la villa de Mr. Carter afin de protéger celui-ci d'un brigand vivant dans les montagnes aux alentours. Pour accomplir sa mission au mieux, il avait eut l'autorisation de prendre avec lui une dizaine d'hommes. En tant que bon chef d'équipe, Anton leur avait donné l'ordre d'allait se positionner devant chaque porte de la maison. Ils restaient tous en contact par escargophone-radio au cas où l'ennemi pointerait son nez. Cependant, alors que le plan semblait marchait et que tout commençait à prendre forme dans la tête du jeune homme, une tâche noire vint obstruer le tout : car si Mr. Carter était riche, il était également très vaniteux et prétentieux. Il avait été très clair :

Or de question que quiconque m'aide à sauver ma peau ! Je peux très bien me débrouiller tout seul ! Et puis voyez tous vos hommes : je suis sûr que les trois quarts auraient bien envie de sauter sans retenue sur ma sœur adorée ! Dégagez je vous prie !

Comment donc vouliez-vous que le jeune marine et ses hommes puissent assurer une protection des plus fiables si le principal concerné ne se laissait pas faire ? Il avait d'ailleurs décidé, bien contre l'avis de tous les hommes présents, de se rendre dans le jardin de son immense résidence et d'y planter une tente de fortune, attendant ainsi son adversaire pour un combat à mort. Bien qu'il fut encore en forme vu sa jeunesse, Anton se doutait qu'il ne ferait pas long feu face à un brigand armé. Pourtant, mégalo et totalement imbu de sa personne, il avait décidé que personne ne devrait l'approcher à moins de dix mètres, sous peine de quoi il se suiciderait à l'aide de son fusil. Ne connaissant pas le tempérament de Mr. Carter, Anton ne pouvait se permettre de prendre ce risque et tout le monde avait donc laissé Mr. Carter assis sur une chaise en bois, non loin du portail, tandis qu'ils s'étaient réfugiés au plus près de la maison, toujours aux aguets. Si le bandit pointait son nez, délire de riche ou pas, Anton serait prêt à agir. De plus, son incroyable habileté dans les jambes lui permettrait très certainement d'atteindre le riche avant le brigand. Tout du moins, il l'espérait.

Chef, chef, on fait quoi maintenant ?

Anton aurait bien aimé répondre à son soldat mais il n'en avait tout simplement aucune idée. Le mieux était encore d'attendre que le brigand pointe son nez. Mais pour le moment, cela faisait plus de deux heures qu'ils attendaient et toujours rien. Avait-il prit peur en voyant le navire de la Marine accostait au port quelques heures plus tôt dans la journée ? Peut-être... En attendant, Anton donna le tâche à Gacky, une jeune recrue en qui il avait confiance, lorsqu'il du s'absenter pour allait aux toilettes. Cependant, il mit vraiment, mais vraiment beaucoup de temps pour trouver celles-ci tant la maison était immense. Il lui passa même dans la tête de se vider sur les jardinières qui ornaient les couloirs mais il ne put s'y résoudre. Après une vingtaine de minutes d'intenses recherches, il regagna l'extérieur... et tomba au beau milieu de l'apocalypse.


Des traits de feu volaient désormais au-dessus de la pelouse de Mr.Carter, assaillant les pauvres recrues de la Marine qui se protégeaient tant bien que mal à l'aide de bouclier en fer. Cependant, les flèches commencèrent bientôt à créer une faille dans leur défense et Anton se douta qu'il ne leur restait plus très longtemps avant que le château soit prit d'assaut. Il analysa au plus vite la situation : sur les murs encerclant le jardin, on pouvait voir environs dix hommes, vêtus de combinaisons noires et armés de diverses armes, en train de projeter de tout et de rien sur les lignes des soldats postaient devant la maison. Le brigand en question - du moins, à ce que pensait Anton - se trouvait juste devant le portail, un peu en avant par rapport aux autres hommes. Le campement de Mr.Carter était déserté, le jeune milliardaire s'étant éloigné à la vue de ses ennemis et se trouvant maintenant à quelques mètres entre la villa et le portail, allongé sur le sol, très certainement évanoui de peur. En gros, la scène ressemblait à peu près à ça :
Image paint, image dégueu...:


Le plan se forma rapidement dans la tête d'Anton : l'enjeu de cette bataille était le corps inconscient de Mr.Carter qui se trouvait à égale distance entre les brigands et les Marines. Le chef du gang ennemi avait déjà repéré sa cible et prit une avance considérable sur Anton. Cependant, celui-ci n'était que peu de fois laissé sur le côté en matière de vitesse : prenant un appui sérieux, il se projeta à toute vitesse vers Mr. Carter et arriva finalement quelques secondes avant le malfrat. Celui-ci, prit de court, fit ce qu'il savait le mieux faire : il dégaina sa lame. Elle possédait un tranchant très aiguisée et luisait d'une lumière qui semblait refléter le soleil. Pour s'opposer à cette arme, Anton ne pouvait présenter quant à lui que ses jambes sur-entraînée. D'un mouvement ample, il leva sa jambe gauche vers le ciel pour montrer qu'il était prêt à se battre lui aussi. Cependant, ce geste sembla ne pas être prit au sérieux par le brigand puisqu'il se mit à exploser d'un rire tonitruant avant d'annoncer :

Ahahaha, tu pense vraiment pouvoir m'affronter d'égal à égal avec tes jambes ? Ma lame peut tout trancher sur son chemin, alors si tu veux finir sans aucun moyen de te déplacer, tu as en effet choisit la meilleure solution gamin ! Mon dieu, je ne savais que la Marine était tombée si bas et qu'elle recrutée maintenant des ordures...


Il ne put jamais finir sa phrase : en effet, le pied d'Anton, plus vite que la foudre, vint se loger dans sa face avant qu'il ne puisse réagir. S'en suivit par la suite une rafale de coups tous plus rapide et fort les uns que les autres, si bien que le voyou ne put résister bien longtemps et finit par s'affaisser avant de pouvoir riposter, puis s'évanoui. D'un oeil autour de lui, Anton vit que ses hommes venaient eux aussi de venir à bout des hommes de main du bandit qui venaient de prendre la fuite. D'ailleurs, lorsque celui-ci se réveillerait, il serait très certainement dans une cellule d'ImpelDown. Mr.Carter, quant à lui, se réveillerai avec un sérieux mal de crâne et une lettre à son chevet :

Mr. Carter,
moi, Anton D. Alexander, viens vous annoncer que votre sauvetage est une réussite. Malgré toutes vos réticences, vous êtes bien forcé de reconnaître que vous n'auriez pas fait long feu sans nous. A vrai dire, je ne vous en veux pas de m'avoir rendu la tâche ardue : cela m'aidera dans ma vie future de soldat du gouvernement. J'espère que nos routes se recroiseront.
Amicalement.
Ps : Je n'ai pu m'empêcher de batifoler avec votre sœur durant votre sommeil, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.


Rahhhhhh, maudit esprit de sincérité qui le poussait à toujours dire ce qui lui passait par la tête. Voilà son côté d'ancien esclave qui ressortait. Mais bon, après tout, pourquoi mentir ? La mission était une réussite, voilà le principal.



(c) Codage par Asmareth pour Never Utopia

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Voilà, c'est fini, bonne lecture Smile
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Yo Anton, me voici pour le premier avis.

On reconnaît pas mal de Sanji dans ta fiche. C'pas grave en soi, et le bg du perso est à des lieux de celui de Sanji, mais la correspondance s'fait vite quand même. Jeux de jambes, jeux de drague... On sent bien l'amateur du blondinet quand même, huhu.

Point forme, globalement, plutôt bon, de bons mots. Juste quelques gros accrochages au niveau de la conjugaison, de ce genre-là : "les jours passaient (passés) sans manger" "le plan semblait marchait (marcher)" "lignes des soldats postaient (postées) devant la maison" "qu'elle recrutée (recrutait) maintenant des ordures". Des tournures à l'imparfait qu'ont tendance à remplacer les participes, et inversement. Drôle de confusion, ça doit pouvoir s'effacer avec le temps.

=> Niveau description physique, on a quelque chose d'un brin trop sommaire, dont il manque quelques gros éléments pour parfaitement visualiser l'apparence du bonhomme. D'où vient sa prestance en uniforme, par exemple ? Qu'est-ce qui le rend plus impressionnant sapé ainsi que dans ses fringues civiles ? Quelques détails sur sa démarche, ses manies, ses tics physiques, auraient été appréciables, par exemple. Par description physique, on n'entend pas seulement l'apparence. Donner vie au corps que tu décris, c'est aussi développer la façon dont il bouge, se comporte, s'anime.

=> Psy. Un perso assez frais, simple et social, c'cool, ça change des âmes tourmentées. Manque peut-être de "vrais" défauts, handicapants et inhérent à la mentalité du perso, et de détails sur sa vision du monde. Un ex-esclave qui choisit la voie de la marine, bondé de bonne humeur et de bonne volonté, c'est carrément pas courant. C'aurait été cool d'en savoir plus sur la façon dont il voit le monde et son entourage, je trouve.

=> La bio. Le choix de la marine comme faction me paraît un peu facile, et uniquement dicté par le papa adoptif. Se venger des pirates ? Mais il n'a pas de souvenirs de ses ravisseurs ? Tu n'en fais même pas mention en début de la bio. Et un désir de vengeance, ça n'apparaît pas comme ça. Ça mûrit, ça se développe au fil des années. C'plutôt incohérent avec le fait qu'Anton se satisfasse parfaitement de sa condition d'esclave. J'ai trouvé que c'était le principal hic à la bio. L'objectif arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, mal amené et pas bien cohérent avec le reste de l'histoire.

Le camp de formation pour esclaves, ça sonnait bizarre, j'trouve. L'esclavage reste officiellement "interdit" dans la grande majorité des royaumes du GM. Qu'un tel établissement puisse exister, ça paraît plutôt incongru. Comme on manque un peu de contexte sur ce point, on sait pas vraiment qui sont les boss de ces lieux. Des hors-la-loi, dans tous les cas. Pirates ? Mais comment et pourquoi ont-ils monté un tel réseau ? J'imagine plutôt mal des esclavagistes faire tellement de zèle qu'ils en éduquent leurs prises pour leur apprendre à survivre et à satisfaire leurs maîtres. Ça serait mieux passé, je pense, sous le couvert d'un camp pour "employés", quelque chose d'un peu détourné pour atténuer la notion d'esclaves, quelque chose qui puisse passer au nez et à la barbe de la loi.

Plus de renseignements sur ses entraînements auraient été cools. On saisit pas trop bien comment il trouve le temps de s'exercer alors qu'il est esclave, et surtout, pourquoi on le laisse faire. Pourquoi son maître le laisse atteindre un niveau surpassant ses meilleurs hommes : c'est une sacrée imprudence, un gros défaut de sécurité, quand même.

Sinon, je suppose qu'Anton n'était pas le seul esclave/domestique du château ? C'aurait été cool de caser quelques lignes sur les autres, ses relations avec Anton, leurs états d'âme certainement très différent du bonhomme un peu perché et innocent qu'est Anton, tout ça. Une remarque personnelle qu'engage que moi, j'trouve que ça aurait pu enrichir le bg général.

=> RP. Alors, la principale reproche que j'aurais à faire sur ce coup, c'est le manque de description complète qui permette de vraiment bien visualiser les événements au fur et à mesure de la lecture. L'action va très vite, mais les descriptions ne suivent pas toujours, c'qui rend parfois le tout compliqué à bien s'imaginer.

Sinon, ça m'a bien plu, y avait de bonnes idées. Le déroulement est sympa, la conclusion cocasse. T'aurais pu pousser un peu plus loin le développement des persos, notamment Carter, afin qu'on comprenne un peu mieux certaines de ses réactions et de ses dires, lui donner une histoire un peu plus conséquente, peut-être. Idem pour les ennemis, qui manquent un brin de contexte.

N'hésite pas à prendre plus ton temps pour planter le décor et les personnages à l'avenir, et davantage t'attarder sur les sentiments d'Anton. C'est un perso avec une base intéressante, qui pourra donner de bons résultats IRP, j'trouve. Des choses que tu développeras sur le tas, à force de prendre en main ton perso et d'le connaître mieux.

Je partirais sur un 600 D, j'aime les nombres ronds.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
Salut Anto, seconde voix pour toi.

Globalement pas grand chose de plus a dire que Craig. Le physique est un poil court, la psycho sympa. C'est toujours agréable d'avoir un type qui a surmonté ses soucis d'enfance autrement qu'en sombrant dans la haine et la violence.

Niveau bio, je trouve un peu rapide les passages les plus marquants de ta bio. Pas forcément ta jeunesse d'esclave mais l'intégration de la marine juste sur le coup de tête du vieux. Parce que bon, niveau liberté la marine ça se pose la quand même ^^ D'ailleurs ça aurait pu faire une piste aussi le besoin de cadre. Mais bon.

Niveau test rp j'ai trouvé ça un peu confus quand même. Le type prêt à se suicider sans qu'on sache trop pourquoi. L’apparition des bandits, le timing un peu court. Dommage aussi que la sœur ne fasse son apparition qu'en aparté à la fin. A coté de ça le jeu colle bien au perso que tu nous as décrit, ça se lit bien, c'est drôle. Simple et de bon gout quoi.

Au bilan je suis sur du 500 dorikis. Ce qui te valide à 550

Bienvenue dans la marine, et bon jeu.