Nous approchions des côtes d’un village nommé cocoyashi, village réputé pour ses mandarines succulentes. Bien sûr, nous n’avions aucun moyen de débarquer discrètement, avec un blesser à bord, je ne voulais pas prendre le risque d’atteindre les côtes en canot.
Le village était équipé pour faire accoster les embarcations de taille moyenne comme la nôtre sans souci. Une fois le bateau amarré, je fis descendre John pour l’emmener voir un médecin. Les gens étaient évidemment surpris de ne pas voir descendre des marins, mais bien cinq hommes qu’il n’avait pas l’air de connaitre. Les avis de recherche n’étaient peut-être pas encore arrivés jusqu’ici, ou alors ils n’avaient pas encore eu le temps de mémoriser mon visage sur ces affiches. En tout cas, cela nous simplifierait les choses.
Je m’approchais alors d’un homme, passant le ballais sur le plancher en bois devant sa boutique.
-Bonjour monsieur, connaîtriez-vous un médecin ? Y en aurait-il un dans les parages ?
-Et bien, il a l’air mal en point votre ami, emmener-le dans cette maison là-bas, la personne qui l’habite pourra sûrement vous aider.
-Merci.
Je me dirigeais donc vers la maison qui m’avait été désigné. Sans courir pour éviter de trop secouer John que je portais sur mon épaule droite. Les gens dans la rue avaient l’air heureux de vivre ici, une ville sans problème jouissant d’une bonne notoriété grâce aux mandarines produite dans les champs de mandarinier de la Belmer Corp, que l’on pouvait apercevoir plus loin sur les collines qui dominaient le village, qui plus est, le village avait extrêmement chaleureux avec ce soleil qui brillait dans le ciel.
J’arrivais en peu de temps devant la porte de la fameuse maison et frappais sans tarder plus longtemps. Rapidement quelqu’un ouvrit.
-Bonjour, que puis-je pour vous. Ah je vois, il n’a pas l’air en forme.
-En effet, nous avons… étés attaqués et mon ami a pris un violent coup derrière la tête, je ne connais rien à la médecine, j’ai tout juste fait les premiers soins avec nos autres compagnon de route, mais nous étions en mer, donc il a fallu faire avec ce que nous avions à disposition.
-Je comprends. Je vais voir ce que je peux faire, mais si vous voulez mon avis, ce n’est pas trop grave. Il s’en sortira, avec des soins et du repos. En attendant, allez donc faire un tour en ville, je vais avoir du travail et j’aime travailler au calme.
-Je comprends, merci infiniment.
Je laissais donc mon acolyte aux mains d’un inconnu qui me semblait digne de confiance.
Je retournais en direction du bateau pour y retrouver V et ses deux amis, longeant la rue dans l’autre sens, la ville paraissait prospère et demeurait calme, cela me changeait des derniers jours quelque peu mouvementer que j’avais vécu, une petite pause me ferait du bien avant de reprendre la mer et de partir sûrement dans peu de temps sur Grand Line.
J’arrivais au bout de la rue qui donnait sur le port, l’absence de maison de chaque côté de la rue à cet endroit dégageai la vue sur un paysage superbe, de là, on pouvait voir la baie dans son ensemble et même apercevoir d’autre village de l’île.
Vandale attendait près du bateau et en me voyant, il approcha pour me parler.
-Alvin et Bart doivent retourner à leur base, ils font partie de la révolution après tout.
-Je comprends, je ne sais pas combien de temps je vais rester ici, John a besoin de repos, donc je pense qu’ils peuvent prendre le bateau, la révolution saura quoi en faire j’imagine. On aura qu’à en trouver un autre, j’ai suffisamment d’argent pour acheter une vielle barque d’occasion.
-Je vais les suivre. Je m’entends bien avec les révolutionnaires et il partage mes idéo, donc je pense que ma place est avec eux.
-On se quitte déjà alors. Tu as bien raison de poursuivre ton but. Je tacherais d’en faire autant. Vous pensez partir quand ?
-Demain matin au plus tard, de plus, la marine nous talonne. On ne peut donc pas trainer trop longtemps, en imaginant qu’ils soient partis du baratie environ trois heures après nous, le temps que les renforts arrivent et reparte à notre poursuite et qu’ils ne sachent pas où nous sommes en ce moment, il se pourrait qu’ils soient là demain, ils doivent nous chercher dans le coin et en plus la marine a une base sur cette île on peut se faire repérer à tout moment.
-Je comprends, essaye de ne pas partir sans prévenir. Je reste dans le coin pour trouver quelqu’un qui accepterait de me vendre un rafiot.
-Très bien, on a déjà débarqué tes affaires, on ne les laisse pas sans surveillance bien sûr, mais il faut qu’on prépare notre départ.
-Ok, très bien. Je vais les récupérer alors.
Je prenais donc ma mallette contenant ma petite fortune, ainsi que le reste de mes affaires personnelles, avant de partir à la recherche d’un nouveau bateau.
Le village était équipé pour faire accoster les embarcations de taille moyenne comme la nôtre sans souci. Une fois le bateau amarré, je fis descendre John pour l’emmener voir un médecin. Les gens étaient évidemment surpris de ne pas voir descendre des marins, mais bien cinq hommes qu’il n’avait pas l’air de connaitre. Les avis de recherche n’étaient peut-être pas encore arrivés jusqu’ici, ou alors ils n’avaient pas encore eu le temps de mémoriser mon visage sur ces affiches. En tout cas, cela nous simplifierait les choses.
Je m’approchais alors d’un homme, passant le ballais sur le plancher en bois devant sa boutique.
-Bonjour monsieur, connaîtriez-vous un médecin ? Y en aurait-il un dans les parages ?
-Et bien, il a l’air mal en point votre ami, emmener-le dans cette maison là-bas, la personne qui l’habite pourra sûrement vous aider.
-Merci.
Je me dirigeais donc vers la maison qui m’avait été désigné. Sans courir pour éviter de trop secouer John que je portais sur mon épaule droite. Les gens dans la rue avaient l’air heureux de vivre ici, une ville sans problème jouissant d’une bonne notoriété grâce aux mandarines produite dans les champs de mandarinier de la Belmer Corp, que l’on pouvait apercevoir plus loin sur les collines qui dominaient le village, qui plus est, le village avait extrêmement chaleureux avec ce soleil qui brillait dans le ciel.
J’arrivais en peu de temps devant la porte de la fameuse maison et frappais sans tarder plus longtemps. Rapidement quelqu’un ouvrit.
-Bonjour, que puis-je pour vous. Ah je vois, il n’a pas l’air en forme.
-En effet, nous avons… étés attaqués et mon ami a pris un violent coup derrière la tête, je ne connais rien à la médecine, j’ai tout juste fait les premiers soins avec nos autres compagnon de route, mais nous étions en mer, donc il a fallu faire avec ce que nous avions à disposition.
-Je comprends. Je vais voir ce que je peux faire, mais si vous voulez mon avis, ce n’est pas trop grave. Il s’en sortira, avec des soins et du repos. En attendant, allez donc faire un tour en ville, je vais avoir du travail et j’aime travailler au calme.
-Je comprends, merci infiniment.
Je laissais donc mon acolyte aux mains d’un inconnu qui me semblait digne de confiance.
Je retournais en direction du bateau pour y retrouver V et ses deux amis, longeant la rue dans l’autre sens, la ville paraissait prospère et demeurait calme, cela me changeait des derniers jours quelque peu mouvementer que j’avais vécu, une petite pause me ferait du bien avant de reprendre la mer et de partir sûrement dans peu de temps sur Grand Line.
J’arrivais au bout de la rue qui donnait sur le port, l’absence de maison de chaque côté de la rue à cet endroit dégageai la vue sur un paysage superbe, de là, on pouvait voir la baie dans son ensemble et même apercevoir d’autre village de l’île.
Vandale attendait près du bateau et en me voyant, il approcha pour me parler.
-Alvin et Bart doivent retourner à leur base, ils font partie de la révolution après tout.
-Je comprends, je ne sais pas combien de temps je vais rester ici, John a besoin de repos, donc je pense qu’ils peuvent prendre le bateau, la révolution saura quoi en faire j’imagine. On aura qu’à en trouver un autre, j’ai suffisamment d’argent pour acheter une vielle barque d’occasion.
-Je vais les suivre. Je m’entends bien avec les révolutionnaires et il partage mes idéo, donc je pense que ma place est avec eux.
-On se quitte déjà alors. Tu as bien raison de poursuivre ton but. Je tacherais d’en faire autant. Vous pensez partir quand ?
-Demain matin au plus tard, de plus, la marine nous talonne. On ne peut donc pas trainer trop longtemps, en imaginant qu’ils soient partis du baratie environ trois heures après nous, le temps que les renforts arrivent et reparte à notre poursuite et qu’ils ne sachent pas où nous sommes en ce moment, il se pourrait qu’ils soient là demain, ils doivent nous chercher dans le coin et en plus la marine a une base sur cette île on peut se faire repérer à tout moment.
-Je comprends, essaye de ne pas partir sans prévenir. Je reste dans le coin pour trouver quelqu’un qui accepterait de me vendre un rafiot.
-Très bien, on a déjà débarqué tes affaires, on ne les laisse pas sans surveillance bien sûr, mais il faut qu’on prépare notre départ.
-Ok, très bien. Je vais les récupérer alors.
Je prenais donc ma mallette contenant ma petite fortune, ainsi que le reste de mes affaires personnelles, avant de partir à la recherche d’un nouveau bateau.