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Pas un chat dans le coeur du Pasha.

>> BRAKADABRA Pasha

Pas un chat dans le coeur du Pasha. 1405023789-c342-018
Pseudonyme : – Pas assez connu
Age: 26 ans
Sexe : Mâle Alpha
Race : Aventurier
Métier : Chercheur
Groupe : Civil
But : Accumuler le plus de trésors susceptibles de le renseigner sur le « siècle manquant » / Accomplir des hauts faits / S’amuser / Voyager
Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Poke Poke No Mi : Fruits des poches (Paramecia Inventé dans la catégorie « Normale »)
Équipement : Son cerveau. Sa paire de c*******.

Codes du règlement :
Parrain : /
Ce compte est-il un DC ? : /
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : /
>> Physique
Pasha portait généralement un foulard beige d’une longueur de deux bons mètres qu’il enroulait autour de sa tête. Servant plus qu’à dissimuler sa chevelure mi-courte d’une couleur noir jais, ce couvre-chef de fortune témoignait de son appartenance au peuple nomade, appartenance dont il était fier.

Quant à ses vêtements, d’une couleur beige aussi, ils se trouvaient être assez amples. Plus confortables lors de grandes chaleurs, ils lui permettaient aussi d’être libre dans ses mouvements. La légèreté de la matière en faisait cependant un vêtement à éviter lorsque le climat était trop froid.

Peu après avoir quitté ses terres natales, il ne troqua que son pantalon de lin beige pour un pantalon standard noir. Plutôt serré, il s’en accommoda bien difficilement.

Quant à ses chausses, il portait une paire de bottes noires de cuir montantes lui permettant d’opérer sur tout type de terrain et de garnir de coups de pieds à l’aide de ses renforcements de fer les tibias des personnes qui l’importunaient.

Bien qu’il soit aussi jeune que vous et moi, son visage était marqué par une certaine maturité le faisant paraître plus vieux que son âge.

Sa peau, dont le teint halé témoignait de son appartenance à la population nomade d’Alabasta, était plutôt rigide à cause de l’éclat agressif de leur Soleil et des salves de grains de sables qui l’avaient percuté à de nombreuses reprises lors de tempêtes. Ce regard sévère qui en imposait était caractérisé par de grands yeux noirs déstabilisants, vous donnant l’impression qu’il voyait à travers vous et au-delà, ainsi que de longs sourcils fins et épais. Très souvent mal rasé, sa pilosité faciale en disait beaucoup sur son apparence, très souvent négligée. Il n'avait que faire du regard des autres et encore moins de celui des femmes qui n'étaient que des sources à problème, selon lui...

Contrairement à ce que la plupart pensaient, Pasha était de ceux qui souriaient souvent. En plus de laisser transparaître une vilaine malice, on pouvait déceler une grande bonté dans son sourire, chose plus facilement décelable que ce corps fin mais musculeux dissimulé sous l’ampleur de ses vêtements.

À l’origine plutôt chétif, son activité physique plus que conséquente depuis qu’il avait débuté son aventure avait garni son corps de muscles secs mais nerveux, bien plus redoutables que ce qu’il laissait croire lui permettant d’être à la fois rapide et puissant.

La voix bien timbrée, l’homme des sables, comme le surnommaient les quelques gens qu’il avait rencontré durant son aventure, possédait une intonation de voix et une façon de parler qui sans s’imposer donnait envie à son/ses auditeur(s) de l’écouter. Sans être le roi de l’éloquence, le jeune homme cultivé savait s’exprimer aussi bien dans un registre soutenu que familier, s’adaptant à son interlocuteur. Les mains constamment enfouies dans ses poches, il arrivait qu’elles miment certains gestes pendant qu’il s’exprimait, notamment lorsqu’il expliquait quelque chose, à la manière d’un professeur.

Sa démarche quant à elle se dénotait par des pas un peu trop larges lui donnant une allure plus que grotesque étant donné qu’elle le faisait sautiller.



>> Psychologie
Pasha était avant toute chose un homme des sables, impliquant donc une certaine fierté et un grand sens de l’honneur.

Ainsi, à cause de cette grande fierté, il refusait généralement l’aide d’autrui. Parce qu’il considérait qu’un grand homme n’avait besoin de l’aide personne, il refusait toujours lorsqu’on lui en proposait et si un jour  par le plus grand des miracles il advenait qu'il accepte votre aide, il vous paierait sur le champ ou insisterait pour vous rendre à son tour un service, quitte à vous suivre n’importe où jusqu’à ce que cela se fasse, tenant à payer ses dettes. Autant qu’un homme payait ses dettes, un homme se devait de tenir parole.

Pasha mettait un point d’honneur à tenir ses promesses, même les plus folles autant qu’à dire la vérité, peu importe sa brutalité. Il n’était pas rare qu’une femme un peu ronde l’ait giflé à cause de sa franchise pour le moins piquante.

Il se refusait aussi à adopter des comportements lâches ; il n’était certes pas un guerrier né, malgré ses croyances et la culture de son peuple, mais il en respectait les codes. Vous attaquer par derrière ou à plusieurs n’était pas de son genre. Il était de ceux qui provoquaient ses ennemis en duel et s’assuraient que ce soit à armes égales. Il n’y avait rien de plus beau qu’une honnête victoire.

Puis on parlerait de lui, de ses exploits, on vanterait ses mérites, on en ferait des chansons... L’aventurier avait peut-être une image un peu trop grande de lui-même, coupable d’orgueil. En tant que « grand monsieur », il aimait qu’on reconnaisse ses mérites ou qu’on l’applaudisse pour tel ou tel acte accompli, il s’en abreuvait comme un assoiffé s’abreuverait de la plus pure des eaux. Cependant, ce n'était pas quelqu'un de mauvais. Il s'arrangeait toujours pour venir en aide au plus faible, parfois pris d'empathie...

Toutefois la chose qui le faisait vibrer, qui l’emplissait de bonheur plus que le fait de flatter son égo surdimensionné était de participer à d’incroyables entreprises. Et de les réussir. Il possédait un esprit compétitif et son principal rival était le monde et tout son contenu. Voilà pourquoi il s’était mis à entreprendre de sérieuses recherches quant aux trésors du monde susceptibles d’être témoins du « siècle manquant » ; le monde voulait lui cacher une page de sa vie alors que lui, avait toujours été honnête avec ! N’était-ce pas là un marché inéquitable ? « Un marché se doit d’être équitable et s’il ne l’est pas, votre devoir est de faire en sorte qu’il le soit ! » affirmait une des devises de la tribu des Bona-fehr.

En tant que commerçant né, Pasha s’arrangeait toujours pour vendre, acheter, ou négocier des choses dont il n’avait pas besoin. C’était plus fort que lui. C’était un besoin vital. Alors ne vous étonnez-pas s’il tentait un jour de vous vendre la grenadine qu’il venait juste de commander ! Oui, contrairement à beaucoup de monde, le chercheur de trésors ne buvait pas. Il avait vu les ravages que la boisson commettait sur les hommes, il avait vu la façon dont ils se ridiculisaient et la façon dont elle déliait leur langue. Il était hors-de-question qu’il se mette dans une telle position de faiblesse !

Semblable à un joueur de jeu d’échecs lors d’une partie (jeu dont il était un fervent pratiquant), l’homme des sables avait pris l’habitude de tout calculer , absolument tout, avant de prendre une simple décision. Sa vivacité d’esprit, en plus d’avoir permis la création de nouvelles stratégies commerciales dont beaucoup de membres de sa tribu se servent aujourd’hui, lui avait permis de réchapper de situations des plus dangereuses et inextricables.

Ce n’était pas un mauvais bougre certes mais, seulement obsédé par son simple plaisir, Pasha n’avait que très peu de considération pour les autres, du moment qu’ils lui servaient à quelque chose mais à partir du moment où vous ne lui serviez plus à rien, à quoi bon lui servirait-il de vous parler ?



>> Biographie

Le Royaume d’Alabasta, connu pour sa grandeur, son histoire, ainsi que la profondeur de sa culture comptait officiellement sur toute l’étendue de son territoire une trentaine de tribus nomades occupant son immense désert. Pasha, lui, pouvait vous en dénombrer un peu plus de cinquante.

La tribu à laquelle il appartenait, les Bona-fehr, se démarquait des autres par ce dévouement, ce culte qu’ils vouaient à l’arme blanche. Nul ne sait de quand datait l’apparition de leurs traditions, de leur rites, de leur code d’honneur ni comment ils s’étaient établis. Ils existaient c’est tout. Le dieu auquel ils croyaient était appelé « Le dieu Tranché » et leur chef, souvent âgé et élu pour sa sagesse et non pour ses aptitudes guerrières, veillait à ce qu’ils respectent ce que leur divinité avait édicté.

On disait d’eux qu’ils formaient un « peuple guerrier ». Pourquoi ? Parce que très fiers, ils jouaient volontiers de la lame pour préserver leur honneur et n’évitaient en aucun cas l’affrontement physique.

Parce-que ceux les connaissant les craignaient et tentaient rarement d’entrer en conflit avec, ses membres ne dégainaient leur dague que très rarement. On ne retenait d’eux alors que leur sens aigu du commerce, sens qui s’était affiné au fil des ans. Contrairement à beaucoup d’autres tribus, ils n’acquéraient qu’occasionnellement leurs biens par la violence, se contentant de les obtenir par des moyens plus pacifiques en marchandant justement avec les tribus qui pratiquaient des raids ou les commerçants des souks. Très vite, la tribu pût s’enrichir et améliorer ses conditions de vie. On racontait alors qu’ils occupaient les tentes les plus luxueuses d’Alabasta et que même les plus riches n’avaient rien à envier aux citadins, malgré le fait qu’ils soient au beau milieu du désert.

Bien entendu, bon nombre de tribus convoitèrent leurs biens et tentèrent de les attaquer ; parce qu’ils étaient rusés et habiles de leurs armes, ils élaborèrent bon nombre de tactiques qui eurent raison de leurs ennemis. En accordant la vie sauve aux vaincus, ils purent nouer de fortes relations avec leurs anciens adversaires, aussi bien amicales que commerciales. La tribu des Bona-fehr comptait alors parmi l’une des plus importantes du désert d’Alabasta.

A la naissance de Pasha, comme le voulait la tradition, son père coupa lui-même le cordon ombilical à l’aide de l’un de ses sabres avant de prononcer ce qu’on appelait les vœux de naissance ; « Par la lame tu es né. »

Quelques jours après, son baptême fut organisé, durant lequel on le marquait d’une petite coupure. « Par la lame, tu es marqué » Et alors on s’enivrait, on chantait, on dansait au son de la musique produit par l’entrechoquement des dagues de maîtres-lame ou on jouait au « fol couperet », un jeu consistant avec une autre personne à se lancer à tour de rôle des couteaux qu’il fallait rattraper sans y laisser un doigt. Chose peu aisée en état d’ivresse.

A l’âge de huit ans alors, on lui offrait sa première arme blanche puis on l’initiait à son maniement. La formation devait être menée par le père de famille, toutefois dans le cas où il était absent, mort prématurément, ou inapte à le faire, un autre membre de la famille pouvait accomplir cette tâche pour peu qu’il soit un homme adulte.

Bien souvent réduite aux tâches ménagères, la femme pouvait toutefois si elle le désirait (et si son tuteur acceptait) être initiée au maniement de la lame. Chose rare mais possible, bien des femmes y excellaient et gagnaient par ailleurs le respect de leurs comparses masculins. Quant aux « inaptes », ceux qui, bien malgré eux n’arrivaient tout simplement pas à jouer de la lame sans se blesser, attiraient le déshonneur sur leur famille et étaient considérés comme des « moitiés d’hommes », évités comme la peste ou victimes avec insistance des railleries des autres « lames ». Le dieu Tranché ne les considérait pas.

Par chance, Pasha ne présentait aucune faiblesse apparente dans le maniement de « l’arme sainte ». Lorsqu’il s’en rendit compte, son père en fût grandement soulagé. Son sang n’avait jamais coulé dans les veines de celui d’un inapte et si un jour cela devait arriver, tant cela était honteux, il espérait être mort et enterré. Cet horrible déshonneur, son fils l’en avait préservé. Il voulait alors l’étreindre et balancer son petit corps tout frêle dans les airs lorsqu’il s’en rendit compte, tellement il était fou de joie. Il n’en fit rien, n’en laissa rien paraître, virilité de lame oblige.

Après avoir appris à lire, à écrire et surtout à compter, on lui enseigna les rudiments du commerce. Il avait alors dix ans. Avec une rapidité faramineuse, l’enfant en absorba toute la substance et arriva même à élaborer de nouvelles stratégies sans difficulté. On se mit alors à l’appeler « La grosse tête » ou « L’enfant prodige », épaté par son génie. Le statut qu’il avait acquis au sein de la tribu nécessitait une contrepartie, la jalousie de ses camarades qui se mirent à l’éviter tout simplement. Il finit seul. Apparaissant tout d’abord comme son ennemie, sa solitude devint sa force. Et que fait-on pour s’occuper quand on s’ennuie ? On lit.

Leur bibliothèque, pleine d’ouvrages à l’écriture illisible et aux pages faites de papyrus, devint sa nouvelle demeure et la lecture, sa nouvelle lubie. Arrivé à un certain stade, cela devint une dépendance, motivée par une grande soif de savoir. Il en délaissa même sa dague, préférant lire plutôt que de s’exercer. Ce comportement, considéré comme un affront envers leur Dieu, lui sera reproché par ses parents ainsi que par leur chef. Il n’en aura rien à faire.

Les années passèrent et, alors que ses premiers poils au menton apparurent, Pasha conclut enfin sa première transaction dans un souk de Rain Base, plaque tournante des commerçants de l’île. Et quelle transaction ! Pour la modique somme d’une cinquantaine de berrys, le jeune commerçant réussit à acquérir en échange auprès d’un vendeur ignare un sabre d’exception qui avait une apparence des plus lamentables ; le sabre du nom de Labby Nefehpalmwanne, en plus de sa grande solidité, attirerait selon les dires la chance en la faveur de son possesseur.

En l’offrant à la tribu elle-même, le jeune homme resserra les liens avec les membres de sa famille, les membres de la tribu, notamment ceux qui le traitaient de mécréant parce qu’il avait justement délaissé le maniement de l’arme blanche. Et, s’il acceptait cette offrande, le dieu Tranché lui accorderait peut-être le pardon. Il faisait d’une pierre, deux coups. Mais croyait-il vraiment en son Dieu ? Nul ne le savait. Quoi qu’il en soit, on disait qu’il n’y avait pas de plus belle offrande qu’une lame « forgée par le démon ». Comment l’avait-il reconnue ? Il en avait vu le dessin, un soir, dans un livre.

Les années, tranquillement passèrent et Pasha avait toujours le flair pour les bonnes affaires. Lire, flâner dans son immense tente (qui était plus grande que celle que ses parents partageaient), commercer de temps à autres dans les souks, voilà la vie plutôt tranquille du jeune génie qui se complaisait dans sa solitude. Bien des femmes tentaient d’attirer son regard, bien des impressionnés tentaient d’obtenir son amitié, bien des commerçants tentaient de lui soutirer des techniques commerciales... Il n’en avait rien à faire d’eux.

« C’est quoi ce bordel ! » se mit-il à gueuler un soir, alors que la plupart dormaient, lorsqu’il se rendit compte qu’un pan énorme de l’Histoire n’était pas renseigné, appelé « Le siècle manquant » ! Et il ne s’en était rendu compte que maintenant, après toutes ces années de lecture ! Il se spécialisa alors dans l’Histoire, concentré dans ses recherches jour et nuit, quitte à en perdre l’appétit et le sommeil. Les quelques fois où il dormait, il se surprenait à rêver de pièces de collections et de trésors datant de temps anciens, trésors qui lui appartenaient tous et qui le renseignaient sur ce fameux siècle disparu ! Toutefois, le fantasme ne pouvait se substituer à la réalité. Quelques temps après il se décida alors à prendre la mer, motivé par son désir de retrouver ces fameux trésors mais surtout de s’amuser !



>> Test RP

Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Informations IRL

Prénom : Andrea
Age : 20
Aime : Moi
N'aime pas : Toi
Personnage préféré de One Piece :: Kidd - X Drake - Doflamingo - Baggy - Kizaru
Caractère : Aussi cool qu'un surfeur
Fait du RP depuis : Pas longtemps
Disponibilité approximative : 6j/7
Comment avez-vous connu le forum ? Par hasard

Si vous pouviez remplacer -Mickey Saurel- par -Pasha Brakadabra- ce serait cool merci
    La nouvelle bienvenue, Pasha, et le nouveau test RP :

    Alors que tu flânes dans le gigantesque marché à ciel ouvert d'une ville réputée pour la férocité de ses commerçants, tu tombes sur un étrange ameutement.

    Une foule compacte et criarde entoure le stand d'un certain aventurier qui proposerait des marchandises venant directement du siècle perdu, à des prix faramineux. Notamment un sabre magnifique, qu'il vante comme étant le premier meitou jamais réalisé.

    Tu flaires l'impudent charlatan, mais... et si c'était vrai ?

    S'il ne te convient pas, n'hésites pas à rouspéter.

    Bon courage et à bientôt !
    • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
    Voilà mon Test RP ! Désolé pour sa longueur  🐷 

    Pasha était aux anges.

    On lui avait souvent parlé du marché de Marakana, dont beaucoup de produits étaient vendus dans les souks d’Alabasta à un prix bien plus élevé. Il était plus grand que ce qu’il pensait, plus imposant, plus rempli. Le climat sur l’île de Melrose était assez tempéré, ce qui était une bonne chose car cela encourageait les clients à s’attarder un peu plus longtemps dans le marché à ciel ouvert. *C’est bon pour les commerçants ça* pensa l’homme des dunes.

    Le climat pouvait être parfois le pire ennemi d’un marchand. Le nomade se rappelait de jours secs, brulant la peau des quelques touristes s’étant laissés emporter dans les souks ou alors du « grand déluge », durant lequel il se mit à pleuvoir en abondance jour et nuit pendant un bon mois alors qu’il n’avait que dix ans. Les commerçants de sa tribu en avaient pâti.

    Marchant d’un pas tranquille, il s’attardait sur tel ou tel stand, prenait son temps, émerveillé par l’incroyable diversité des produits vendus. On y trouvait des animaux exotiques qui pouvaient vous agresser verbalement : « Qu’est-ce tu mates, connard ! » lui avait lancé un perroquet. Mais aussi des déguisements, du matériel de plongée, des fournitures scolaires, des posters de célébrités et même de très vieilles fiches de recherche de hors-la-loi aujourd’hui oubliés de tous. Qui c’était ça, Arlong ?

    Il avait toute l’après-midi pour faire ses courses, même toute la nuit ou presque d’après ce qu’on lui avait dit. Il ne cherchait rien de particulier, espérant tomber « par hasard » sur une affaire intéressante. Il refusa d’un geste poli de la main les invitations bruyantes de plusieurs commerçants, peu intéressé par ce qu’ils vendaient malgré le fait que ce soit des produits de qualité. Mais où étaient les pièces de collections, les trésors retrouvés ? Il était déçu. Plus tard, il apprit que ce genre d’objets était vendu lors de ventes aux enchères organisées dans des endroits tenus secrets et dont les invités étaient des personnages puissants.

    Après avoir peiné à dévorer une spécialité locale, le cheesy-krab, qui était tout simplement un crabe encore vêtu de sa carapace et de ses pinces noyé dans une bassine de cheddar bouillant, Pasha reprit son exploration du marché. Après avoir écarté, toujours d’un geste de la main, quelques vendeurs louches qui vendaient la plupart du temps des contrefaçons mal imitées, il fut attiré par un attroupement qui avait l’air bien enthousiaste. Les cris d’encouragement et les billets qu’ils agitaient dans tous les sens lui firent comprendre qu’ils pariaient sur l’issue d’un combat entre deux animaux ; des choses du même genre étaient organisées sur son île natale. Il y jeta un œil, par simple curiosité. Une mangouste et un cobra royal allaient s’affronter, retenus par leur maître respectif.

    « Le cobra royal est le seul serpent que la mangouste peut vaincre, il est plutôt lent comparé aux autres serpents, par contre un autre serpent comme une vipère aurait facilement pris le dessus » avait-il laissé échapper, au beau milieu de la cohue. Quiconque l’avait écouté aurait doublé, voire triplé sa mise car quelques secondes plus tard, la mangouste poussait des cris victorieux alors que son adversaire, terrassé, agonisait sur le sol poussiéreux. Le savoir était bel et bien une arme. Et de munitions, il en était chargé.

    Comme de berrys, dont la bourse pleine n’attendait que d’être vidée sur un comptoir. Un nouvel attroupement, cette fois-ci autour d’un stand attira encore une fois son attention, même plus, parce-que le charlatan de vendeur se vantait de posséder et vendre des objets appartenant au « siècle oublié ». Deux gorilles étaient placés de chaque coté du stand, immobiles, et veillaient au grain. Il se mêla alors aux clients potentiels et prit en cours de route le discours sûrement répété encore et encore par un vendeur à l’allure des plus splendides, vêtu d’un costume rayé fait sur mesure : « ...d’un tranchant des plus splendides ! Le premier meitou jamais fabriqué se trouve aujourd’hui, là, sous vos yeux ! Ne ratez surtout pas cette occasion et saisissez-là mesdames et messieurs ! » Pasha ne savait plus quoi penser, n’entendait plus rien, complètement troublé par la lame qui était simplement disposé sur un meuble de bois prévu à cet effet. Le sabre légendaire, recherché et convoité par tant de personnes était là, sous ses yeux ! Il l’avait déjà vu, représenté à plusieurs reprises dans des livres. L’Ancien de son village aussi lui en avait déjà parlé. Pour des adeptes de la lame, les meitou étaient plus qu’un sujet de discussion.

    Son regard se perdit sur certains objets appartenant au soi-disant « siècle perdu ». Il y avait beaucoup d’objets qu’il n’avait jamais vus, d’autres en bien trop bon état. Quel foutu charlatan ! Il allait se le faire.

    Une petite étiquette affichait un prix de départ de deux millions de berrys. « Allez y, surenchérissez ! Quoi ? Pardon vous pouvez répéter... Non, désolé, je ne peux pas vous laisser la toucher. 2 500 000 de ce coté-ci, 2 700 000 de ce coté là, oui ! » Après une brève mais profonde réflexion, le nomade interpella le vendeur avant de parler clairement, de manière à ce que les clients potentiels l’entendent bien :

    « Excusez-moi, pourrais-je avoir un certificat d’expertise ? Qu’est-ce qui m’atteste que c’est bien LE sabre légendaire ? » lança-t-il, tout en observant d’un œil de lynx son nouvel adversaire, cherchant le moindre geste corporel qui pourrait trahir sa culpabilité. Le vendeur était toujours aussi confiant.

    « Je n’ai pas le certificat sous la main mais je vous assure que des archéologues professionnels ont attesté de son authenticité. »

    « Je veux bien vous croire mais j’ai toujours été d’une nature méfiante, je sais que vous êtes capable de bien des choses, vous, les commerçants parce-que j’en ai fait longtemps ma profession. »
    Le doute se mit à tarauder les clients potentiels. Le vendeur l’avait senti. Le sourire éclatant qu’il affichait constamment avait disparu, il retira ses lunettes de vue, les essuya et alors qu’il s’apprêtait à reprendre la parole, un autre homme dans la foule se fit entendre. Avec sa tenue verte kaki et son chapeau de cow-boy, l’homme avait tout l’air d’un explorateur. Deux machettes étaient accrochées à sa ceinture et c’est  muni du livre « Tout savoir sur les Meitou » qu’il appuya sa réplique ; « J’ai le livre qu’il faut et je certifie que le sabre présenté devant moi et exact en tout points, tenez regardez. » avait-il lancé à ses compères acheteurs en montrant l’image à tous. « Il est vrai que nous pourrions faire affaire à un faux... Pourquoi ne pas demander au vendeur de nous démontrer à quel point la lame est tranchante en tentant avec de briser l’une des miennes, qui est faite d’un des aciers les plus résistants ! Si la lame est bien le premier Meitou crée, la mienne ne résistera pas. »

    Etaient-ils de mèche ? Probable. Surtout s’il acceptait. Avoir un complice dans la foule était une chose tellement classique, tellement fréquente qu’il pensait ce procédé démodé. Le vendeur, en tant qu’habile comédien, fit mine d’hésiter, puis finalement accepta. Il dégaina son sabre, dont la lame était éclatante il est vrai avant de la tenir à  deux mains, prêt à passer à l’action. Il invita les clients ainsi que les badauds à s’écarter, de peur qu’ils ne soient blessés par les éclats. Peu après ils se lancèrent l’un vers l’autre et frappèrent chacun de tout leur soûl dans l’arme de l’autre. La chorégraphie parfaite de la scène ne firent que confirmer ce qu’il pensait. Comme prévu l’une des machettes éclata en morceau. Machette-man parût choqué. Lui, son jeu d’acteur par contre, était à chier.

    Toute cette mascarade lui donnait mal au ventre... à moins que ce ne soit le cheesy-krab ? Pasha se mit à applaudir, comme les autres lourdauds qui étaient alors presque convaincus que c’était bien le premier sabre d’exception jamais forgé que le vendeur venait de ranger dans son fourreau.

    Pasha se racla la gorge, fit un signe de la main envers le vendeur pour capter son attention, qui, depuis avait fait comme s’il n’existait pas.

    « Excusez-moi.. » Il avait augmenté le volume de sa voix, toujours pour que les acheteurs, à qui il était en train de sauver la peau, l’écoute avec attention. « Je suis presque sûr que vous mentez et je vais vous exprimer mes arguments : Tout d’abord, en tant que fervent historien et chercheur de trésors, je peux vous affirmer qu’aucun objet appartenant au siècle perdu n’a été retrouvé... Trop en dire pourrait mettre notre vie à tous en danger, je dis bien à tous. Donc oui, vos objets datent peut-être d’une ancienne ère mais sûrement pas de huit cent ans ! D’ailleurs si vous observez bien cette petite assiette là, vous verrez trois têtes de lions clairement représentées dessus. Cet objet est censé être une une assiette appartenant au service royal d’un roi issu de la Dynastie Leonide... L’imitation a été bien faite, il est vrai, aussi bien représentée que dans n’importe quel bouquin, toutefois sur l’original retrouvé, il en manque la moitié. D’ailleurs si mes souvenirs sont bons, elle est exposée au musée de Hattiko, ou peut-être au musée de Wallyburg, j’ai un doute... Faudrait que je regarde dans mes dossiers... Enfin bref tout ça pour vous dire mesdames et messieurs qu’il perd tout crédit en essayant de nous vendre des imitations à un prix si exorbitant ! Alors que ses objets ont été soi-disant expertisés par des archéologues professionnels ! »

    Le vendeur avait le visage crispé, les clients étaient de plus en plus convaincus de sa culpabilité, d’ailleurs certains avaient quitté l’attroupement. Des « sales escrocs » et « voleurs » fusaient dans tous les sens. L’homme des sables leva la main une nouvelle fois et reprit : « Quant à ce sabre de pacotille, je vais vous démontrer de suite pourquoi il n’est pas ce que son possesseur prétend être... Premièrement, le prix établi est ridicule ! Si mes souvenirs sont bons, les lames d’exceptions sont classées en trois catégories... Attendez, j’ai besoin du bouquin ! » Il avait ramassé le livre de Machette-man qui était posé sur le comptoir et il se mit à éplucher le sommaire parce qu’il n’avait plus le nom de ses fichus catégories.

    « Alors, alors, alors... Voilà ! » s’exclama-t-il. Tout en gardant un doigt sur l’objet de ses recherches, le nomade reprit de plus belle « Donc je disais, les lames d’exception sont classées dans trois catégories, de la meilleure qualité à la moins bonne. Il y a d’abord les douze épées de premier rang, ensuite les vingt-et-unes grandes épées et pour finir les cinquante épées de qualité supérieure. Et pour avoir été moi-même un commerçant chevronné, je sais que le prix d’une lame ayant été classée dans la catégorie du milieu, c'est-à-dire faisant parti des vingt-et-unes grandes épées, s’élève en moyenne aux alentours des trente ou quarante millions de berrys si ce n’est plus. Et je ne parle que de la catégorie des vingt-et-unes lames, je ne saurais alors imaginer le prix du tout premier sabre d’exception, faisant tout naturellement parti de la première catégorie ! En toute logique on pourrait évaluer son prix à peut-être deux-cent ou trois-cent millions... Et je ne pense pas que vous auriez accepté de l’échanger contre une somme si modique, à moins que vous soyez doté d’une grande générosité, si vous connaissiez sa réelle valeur. J’ai remarqué qu’un des intéressés avait tenté d’examiner la lame de ses mains et que vous aviez refusé, pourquoi ? Avec une somme de deux millions de berrys, ce qui est déjà considérable, je pense qu’il a un tant soi peu le droit d’examiner sa, peut-être future acquisition non ? En refusant qu’on la touche, vous évitiez à de véritables experts de se rendre compte que c’était un faux. La mascarade avec votre ami le roi des machettes à pu berner certains d’entre nous mais je suis presque sûr que si votre sabre avait croisé le fer avec une véritable lame d’exception, ne serait-ce qu’une des cinquante épées de qualité supérieure, elle aurait finit en morceaux.  J’ajouterais même que bien des bretteurs auraient depuis fort longtemps tentés d’en faire l’acquisition, quitte à ce que vous perdiez la vie. Il est des choses qui ont plus qu’une valeur matérielle aux yeux de certains. D’ailleurs je suis surpris que vous soyez encore en vie... Bien des épéistes vous auraient pris la vie pour avoir commis un tel... affront.»

    Il dégaina sa gourde, en but plusieurs gorgées avant que l’attroupement ne l’applaudisse, stupéfait par sa culture et la pertinence de ses arguments.

    « Bon bah je vous souhaite bon courage à tous ! » Il tourna les talons et reprit son exploration, acclamé par certains pendant que d'autres insultaient de tous les noms les arnaqueurs. I ll n'y avait rien de pire que des faussaires. Il avait risqué sa vie par deux fois pour de pâles imitations de ce qu'il croyait être pièces historiques pouvant lui indiquer la route de trésors datant du siècle perdu... Les deux gorilles pouvaient toujours venir, il leur tirerait dessus. Bah quoi, ils étaient deux, il avait le droit
    nan ?
      Yo Pasha, en avant pour le premier avis.

      => Point forme. J'ai pas vraiment l'oeil pour chipoter sur les fautes minimes, alors disons que c'est globalement impeccable sur l'orthographe.

      => Physique. Bien complet, c'est cool de voir que tu ne t'es pas arrêté à une simple description de ton avatar. Physique brut, démarche, voix, fringues, très bonne vue d'ensemble.

      => Le mental nous peint un perso aussi fier qu'égocentrique, qui obéit à sa propre logique et son propre code d'honneur. Là aussi, complet, original, agréable à suivre dans le style.
      J'aurais bien apprécié, ici ou dans la bio, savoir un peu comment il s'est adapté au "monde extérieur", après avoir vécu tant de temps dans la bulle de sa tribu. L'a une façon de penser bien particulière, Pasha, qui s'adapte pas forcément facilement aux autres coutumes du monde. Plus de détails sur ses relations avec le monde qui l'entoure aurait été un plus.

      => Bio. La totalité ou presque de son histoire est consacrée à son enfance puis à son développement dans sa tribu. Tu réussis à instaurer une ambiance pas mal solide et à bien rendre en peu de mots les relations et les tensions à l'intérieur de la tribu. Des détails sur les coutumes, des idées sympas et cohérentes (le fanatisme pour les lames notamment, au point d'en concevoir un Dieu, c'est très perché et ça sonne particulièrement OP)

      La plus grosse reproche que j'aurais à faire, pour le coup, c'est la fin trop abrupte. Pasha prend subitement la mer, possédé par une genre d'illumination mystique, plaquant littéralement toute la tribu sans adieu, sans conflits ? Certes, ce n'est pas le genre de perso à se montrer particulièrement nostalgique, mais il quitte le nid dans un coup de tête si brusque que malheureusement, ça paraît pas cohérent et fait tâche sur le reste de la bio où au contraire, tu prenais vraiment ton temps pour placer les ambiances et les petites intrigues. Dommage.

      J'ai aussi quelques doutes sur la propension d'une tribu nomade a cumuler les ouvrages et à se balader avec de quoi constituer une bibliothèque. Je veux dire, ils ont des croyances très fermées et très strictes, le genre de traditions qui survit mal aux "tentations" des autres cultures. Alors, qu'ils placent autant d'intérêt à conserver le savoir provenant du reste du monde... M'paraît pas super cohérent. Jouer sur ça aurait ptet pu rendre plus solide cet aspect de la bio. Genre, placer un ermite "inapte" qui préfère accumuler les bouquins et le savoir provenant des autres civilisations, plutôt que s'intéresser à ses propres origines. Y a peut-être que moi que ce point dérange, à voir si le second avis infirmera ou confirmera mes doutes.

      Détailler le début de son périple aurait pas été de trop, aussi. Il se lance à l'aventure dans des contrées inconnues, sans le sous, sans remords. Comment se passe sa nouvelle errance ? Le bonhomme est débrouillard, mais les premiers temps d'un voyage sont souvent les plus durs. En plus d'être très abrupte, la fin est ptet un peu trop ouverte.

      => RP. L'argumentation pour décrédibiliser le marchand était p'tet pas bien facile, mais j'trouve que tu t'es bien débrouillé. Un peu plus d'opposition de la part du charlatan aurait ptet davantage mis en valeur la finesse et la perspicacité de Pasha, ceci dit. Le faire un peu plus retors, plus intelligent, une p'tite joute verbale plutôt qu'un long monologue argumentaire. Bon, le tout a quand même beaucoup de charme. Puis tu poses bien l'ambiance, ajoute tes touches personnelles au sujet de base, manie bien les descriptions et la mise en scène, puis ça fourmille d'idées sympas. J'ai trouvé le test du meitou proposé par un complice bien pensé, notamment.

      Bref, bien agréable à lire, et permet de bien cerner la personnalité de Pasha.

      Globalement, c'était une bien bonne fiche, présentant un perso qui promet du bon. Je partirais sur 750 D.
      • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
      Salut Pasha, c'est moi queu'v'la pour ton deuxième avis. En selle.

      Pour ce qui est des descriptions, 100% d'accord avec mon confrère la poiscaille. C'est riche, c'est complet et c'est bien détaillé et écrit, même si j'ai eu un peu de mal avec l'écriture au passé pour une description. D'accord aussi au niveau de la forme, c'est bien propre (j'ai quelques réserves dont je parlerai plus tard). J'ai du repérer deux ou trois fautes, mais ça doit être des coquilles dues à l'inattention, donc ce serait trop cruel que de t'en tenir rigueur, et c'est pour ça que je vais pas relever. De toute manière, on passerait aisément au-dessus : tu as le style fluide et assez agréable à lire.

      Pour la bio, quelques trucs m'ont gêné. Déjà, même si c'est appréciable de parler du background de ta tribu et tout ça, j'ai trouvé ça effroyablement long à commencer... Surtout quand on a lu le truc en entier. Une bonne moitié de ta bio est axée sur vos conditions de vie, puis un tiers sur ta naissance et ton enfance, et enfin ce qui reste est dédié au morceau qui nous intéresse le plus et c'est dommage... Parce que bon, ouais, placer le contexte de la tribu guerrière nomade au code très strict c'est cool, mais s'en servir que pour dire "mon perso est comme ça", j'ai trouvé ça un peu dommage. Je m'attendais à une sorte de conflit, ou un problème lié à une relique sacrée du dieu Tranché, ou un truc du style. Après, y'a aussi deux/trois trucs que j'ai pas forcément trouvé cohérents, comme une tente bibliothèque que se transporteraient les nomades (ce qui a l'air tout sauf pratique), le chef d'une tribu guerrière et martiale qu'est un vieux qui sait pas forcément se battre, ton départ à l'aventure super brusque en mode "La vache, hé, y'a un trou de cent ans dans l'histoire". Bref, c'est des petits détails que je trouve pas forcément bien huilés (à mon sens perso), mais la bio en elle-même est propre, sobre est efficace.

      Le test RP, lui, est respecté. Après, comme pour la bio, y'a une grosse mise en place de contexte qui suit pas forcément avec la longueur du texte dans son intégralité. Du coup ça donne une impression d'être super long à démarrer, pour se terminer un peu facilement (même s'il y a de bons passages, et une argumentation qui se tient). En fait, je reproche un peu la même chose à ton test RP qu'à ta bio : un peu long à démarrer, et qui se passe d'une manière assez classique alors qu'avec un contexte comme celui la on pourrait s'attendre à plein d'autre choses plus "palpitantes".

      La où tu gagnes des points avec moi, par contre, c'est sur les jeux de mots tous pourris, et le côté One Piecien qui ressort tout de même un peu. J'aime ça.

      Donc, dans l'ensemble, une bonne fiche à la forme et au fond plus que corrects. Manquent un peu d'originalité, un peu de folie, un peu de peps, bref, "l'étincelle" pour moi pour que ça vaille le 1000 tant désiré (ou pas), et qui classe le perso dans la catégorie "Aurait pu appartenir à l'oeuvre d'Oda-sensei". On va donc être sur une base de 700 dorikis, en étant persuadé que l'écriture en duo avec des joueurs aux persos déjantés va faire exploser ce perso au caractère bien forgé que tu nous ponds.

      Te voila donc validé à 725 dorikis. Je t'invite donc à aller faire au plus vite ta fiche technique, où tu auras le plaisir (mouais) et l'insigne honneur (re-mouais) de me retrouver.

      Si t'as des questions, des commentaires ou des remarques, ma boite MP est grande ouverte, ou tu peux me trouver sur la chat box.

      Bon jeu sur OPR !