>> BRAKADABRA Pasha
Pseudonyme : – Pas assez connu Age: 26 ans Sexe : Mâle Alpha Race : Aventurier Métier : Chercheur Groupe : Civil But : Accumuler le plus de trésors susceptibles de le renseigner sur le « siècle manquant » / Accomplir des hauts faits / S’amuser / Voyager Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Poke Poke No Mi : Fruits des poches (Paramecia Inventé dans la catégorie « Normale ») Équipement : Son cerveau. Sa paire de c*******. Codes du règlement : Parrain : / Ce compte est-il un DC ? : / Si oui, quel @ l'a autorisé ? : / |
>> Physique
Pasha portait généralement un foulard beige d’une longueur de deux bons mètres qu’il enroulait autour de sa tête. Servant plus qu’à dissimuler sa chevelure mi-courte d’une couleur noir jais, ce couvre-chef de fortune témoignait de son appartenance au peuple nomade, appartenance dont il était fier.
Quant à ses vêtements, d’une couleur beige aussi, ils se trouvaient être assez amples. Plus confortables lors de grandes chaleurs, ils lui permettaient aussi d’être libre dans ses mouvements. La légèreté de la matière en faisait cependant un vêtement à éviter lorsque le climat était trop froid.
Peu après avoir quitté ses terres natales, il ne troqua que son pantalon de lin beige pour un pantalon standard noir. Plutôt serré, il s’en accommoda bien difficilement.
Quant à ses chausses, il portait une paire de bottes noires de cuir montantes lui permettant d’opérer sur tout type de terrain et de garnir de coups de pieds à l’aide de ses renforcements de fer les tibias des personnes qui l’importunaient.
Bien qu’il soit aussi jeune que vous et moi, son visage était marqué par une certaine maturité le faisant paraître plus vieux que son âge.
Sa peau, dont le teint halé témoignait de son appartenance à la population nomade d’Alabasta, était plutôt rigide à cause de l’éclat agressif de leur Soleil et des salves de grains de sables qui l’avaient percuté à de nombreuses reprises lors de tempêtes. Ce regard sévère qui en imposait était caractérisé par de grands yeux noirs déstabilisants, vous donnant l’impression qu’il voyait à travers vous et au-delà, ainsi que de longs sourcils fins et épais. Très souvent mal rasé, sa pilosité faciale en disait beaucoup sur son apparence, très souvent négligée. Il n'avait que faire du regard des autres et encore moins de celui des femmes qui n'étaient que des sources à problème, selon lui...
Contrairement à ce que la plupart pensaient, Pasha était de ceux qui souriaient souvent. En plus de laisser transparaître une vilaine malice, on pouvait déceler une grande bonté dans son sourire, chose plus facilement décelable que ce corps fin mais musculeux dissimulé sous l’ampleur de ses vêtements.
À l’origine plutôt chétif, son activité physique plus que conséquente depuis qu’il avait débuté son aventure avait garni son corps de muscles secs mais nerveux, bien plus redoutables que ce qu’il laissait croire lui permettant d’être à la fois rapide et puissant.
La voix bien timbrée, l’homme des sables, comme le surnommaient les quelques gens qu’il avait rencontré durant son aventure, possédait une intonation de voix et une façon de parler qui sans s’imposer donnait envie à son/ses auditeur(s) de l’écouter. Sans être le roi de l’éloquence, le jeune homme cultivé savait s’exprimer aussi bien dans un registre soutenu que familier, s’adaptant à son interlocuteur. Les mains constamment enfouies dans ses poches, il arrivait qu’elles miment certains gestes pendant qu’il s’exprimait, notamment lorsqu’il expliquait quelque chose, à la manière d’un professeur.
Sa démarche quant à elle se dénotait par des pas un peu trop larges lui donnant une allure plus que grotesque étant donné qu’elle le faisait sautiller.
Quant à ses vêtements, d’une couleur beige aussi, ils se trouvaient être assez amples. Plus confortables lors de grandes chaleurs, ils lui permettaient aussi d’être libre dans ses mouvements. La légèreté de la matière en faisait cependant un vêtement à éviter lorsque le climat était trop froid.
Peu après avoir quitté ses terres natales, il ne troqua que son pantalon de lin beige pour un pantalon standard noir. Plutôt serré, il s’en accommoda bien difficilement.
Quant à ses chausses, il portait une paire de bottes noires de cuir montantes lui permettant d’opérer sur tout type de terrain et de garnir de coups de pieds à l’aide de ses renforcements de fer les tibias des personnes qui l’importunaient.
Bien qu’il soit aussi jeune que vous et moi, son visage était marqué par une certaine maturité le faisant paraître plus vieux que son âge.
Sa peau, dont le teint halé témoignait de son appartenance à la population nomade d’Alabasta, était plutôt rigide à cause de l’éclat agressif de leur Soleil et des salves de grains de sables qui l’avaient percuté à de nombreuses reprises lors de tempêtes. Ce regard sévère qui en imposait était caractérisé par de grands yeux noirs déstabilisants, vous donnant l’impression qu’il voyait à travers vous et au-delà, ainsi que de longs sourcils fins et épais. Très souvent mal rasé, sa pilosité faciale en disait beaucoup sur son apparence, très souvent négligée. Il n'avait que faire du regard des autres et encore moins de celui des femmes qui n'étaient que des sources à problème, selon lui...
Contrairement à ce que la plupart pensaient, Pasha était de ceux qui souriaient souvent. En plus de laisser transparaître une vilaine malice, on pouvait déceler une grande bonté dans son sourire, chose plus facilement décelable que ce corps fin mais musculeux dissimulé sous l’ampleur de ses vêtements.
À l’origine plutôt chétif, son activité physique plus que conséquente depuis qu’il avait débuté son aventure avait garni son corps de muscles secs mais nerveux, bien plus redoutables que ce qu’il laissait croire lui permettant d’être à la fois rapide et puissant.
La voix bien timbrée, l’homme des sables, comme le surnommaient les quelques gens qu’il avait rencontré durant son aventure, possédait une intonation de voix et une façon de parler qui sans s’imposer donnait envie à son/ses auditeur(s) de l’écouter. Sans être le roi de l’éloquence, le jeune homme cultivé savait s’exprimer aussi bien dans un registre soutenu que familier, s’adaptant à son interlocuteur. Les mains constamment enfouies dans ses poches, il arrivait qu’elles miment certains gestes pendant qu’il s’exprimait, notamment lorsqu’il expliquait quelque chose, à la manière d’un professeur.
Sa démarche quant à elle se dénotait par des pas un peu trop larges lui donnant une allure plus que grotesque étant donné qu’elle le faisait sautiller.
>> Psychologie
Pasha était avant toute chose un homme des sables, impliquant donc une certaine fierté et un grand sens de l’honneur.
Ainsi, à cause de cette grande fierté, il refusait généralement l’aide d’autrui. Parce qu’il considérait qu’un grand homme n’avait besoin de l’aide personne, il refusait toujours lorsqu’on lui en proposait et si un jour par le plus grand des miracles il advenait qu'il accepte votre aide, il vous paierait sur le champ ou insisterait pour vous rendre à son tour un service, quitte à vous suivre n’importe où jusqu’à ce que cela se fasse, tenant à payer ses dettes. Autant qu’un homme payait ses dettes, un homme se devait de tenir parole.
Pasha mettait un point d’honneur à tenir ses promesses, même les plus folles autant qu’à dire la vérité, peu importe sa brutalité. Il n’était pas rare qu’une femme un peu ronde l’ait giflé à cause de sa franchise pour le moins piquante.
Il se refusait aussi à adopter des comportements lâches ; il n’était certes pas un guerrier né, malgré ses croyances et la culture de son peuple, mais il en respectait les codes. Vous attaquer par derrière ou à plusieurs n’était pas de son genre. Il était de ceux qui provoquaient ses ennemis en duel et s’assuraient que ce soit à armes égales. Il n’y avait rien de plus beau qu’une honnête victoire.
Puis on parlerait de lui, de ses exploits, on vanterait ses mérites, on en ferait des chansons... L’aventurier avait peut-être une image un peu trop grande de lui-même, coupable d’orgueil. En tant que « grand monsieur », il aimait qu’on reconnaisse ses mérites ou qu’on l’applaudisse pour tel ou tel acte accompli, il s’en abreuvait comme un assoiffé s’abreuverait de la plus pure des eaux. Cependant, ce n'était pas quelqu'un de mauvais. Il s'arrangeait toujours pour venir en aide au plus faible, parfois pris d'empathie...
Toutefois la chose qui le faisait vibrer, qui l’emplissait de bonheur plus que le fait de flatter son égo surdimensionné était de participer à d’incroyables entreprises. Et de les réussir. Il possédait un esprit compétitif et son principal rival était le monde et tout son contenu. Voilà pourquoi il s’était mis à entreprendre de sérieuses recherches quant aux trésors du monde susceptibles d’être témoins du « siècle manquant » ; le monde voulait lui cacher une page de sa vie alors que lui, avait toujours été honnête avec ! N’était-ce pas là un marché inéquitable ? « Un marché se doit d’être équitable et s’il ne l’est pas, votre devoir est de faire en sorte qu’il le soit ! » affirmait une des devises de la tribu des Bona-fehr.
En tant que commerçant né, Pasha s’arrangeait toujours pour vendre, acheter, ou négocier des choses dont il n’avait pas besoin. C’était plus fort que lui. C’était un besoin vital. Alors ne vous étonnez-pas s’il tentait un jour de vous vendre la grenadine qu’il venait juste de commander ! Oui, contrairement à beaucoup de monde, le chercheur de trésors ne buvait pas. Il avait vu les ravages que la boisson commettait sur les hommes, il avait vu la façon dont ils se ridiculisaient et la façon dont elle déliait leur langue. Il était hors-de-question qu’il se mette dans une telle position de faiblesse !
Semblable à un joueur de jeu d’échecs lors d’une partie (jeu dont il était un fervent pratiquant), l’homme des sables avait pris l’habitude de tout calculer , absolument tout, avant de prendre une simple décision. Sa vivacité d’esprit, en plus d’avoir permis la création de nouvelles stratégies commerciales dont beaucoup de membres de sa tribu se servent aujourd’hui, lui avait permis de réchapper de situations des plus dangereuses et inextricables.
Ce n’était pas un mauvais bougre certes mais, seulement obsédé par son simple plaisir, Pasha n’avait que très peu de considération pour les autres, du moment qu’ils lui servaient à quelque chose mais à partir du moment où vous ne lui serviez plus à rien, à quoi bon lui servirait-il de vous parler ?
Ainsi, à cause de cette grande fierté, il refusait généralement l’aide d’autrui. Parce qu’il considérait qu’un grand homme n’avait besoin de l’aide personne, il refusait toujours lorsqu’on lui en proposait et si un jour par le plus grand des miracles il advenait qu'il accepte votre aide, il vous paierait sur le champ ou insisterait pour vous rendre à son tour un service, quitte à vous suivre n’importe où jusqu’à ce que cela se fasse, tenant à payer ses dettes. Autant qu’un homme payait ses dettes, un homme se devait de tenir parole.
Pasha mettait un point d’honneur à tenir ses promesses, même les plus folles autant qu’à dire la vérité, peu importe sa brutalité. Il n’était pas rare qu’une femme un peu ronde l’ait giflé à cause de sa franchise pour le moins piquante.
Il se refusait aussi à adopter des comportements lâches ; il n’était certes pas un guerrier né, malgré ses croyances et la culture de son peuple, mais il en respectait les codes. Vous attaquer par derrière ou à plusieurs n’était pas de son genre. Il était de ceux qui provoquaient ses ennemis en duel et s’assuraient que ce soit à armes égales. Il n’y avait rien de plus beau qu’une honnête victoire.
Puis on parlerait de lui, de ses exploits, on vanterait ses mérites, on en ferait des chansons... L’aventurier avait peut-être une image un peu trop grande de lui-même, coupable d’orgueil. En tant que « grand monsieur », il aimait qu’on reconnaisse ses mérites ou qu’on l’applaudisse pour tel ou tel acte accompli, il s’en abreuvait comme un assoiffé s’abreuverait de la plus pure des eaux. Cependant, ce n'était pas quelqu'un de mauvais. Il s'arrangeait toujours pour venir en aide au plus faible, parfois pris d'empathie...
Toutefois la chose qui le faisait vibrer, qui l’emplissait de bonheur plus que le fait de flatter son égo surdimensionné était de participer à d’incroyables entreprises. Et de les réussir. Il possédait un esprit compétitif et son principal rival était le monde et tout son contenu. Voilà pourquoi il s’était mis à entreprendre de sérieuses recherches quant aux trésors du monde susceptibles d’être témoins du « siècle manquant » ; le monde voulait lui cacher une page de sa vie alors que lui, avait toujours été honnête avec ! N’était-ce pas là un marché inéquitable ? « Un marché se doit d’être équitable et s’il ne l’est pas, votre devoir est de faire en sorte qu’il le soit ! » affirmait une des devises de la tribu des Bona-fehr.
En tant que commerçant né, Pasha s’arrangeait toujours pour vendre, acheter, ou négocier des choses dont il n’avait pas besoin. C’était plus fort que lui. C’était un besoin vital. Alors ne vous étonnez-pas s’il tentait un jour de vous vendre la grenadine qu’il venait juste de commander ! Oui, contrairement à beaucoup de monde, le chercheur de trésors ne buvait pas. Il avait vu les ravages que la boisson commettait sur les hommes, il avait vu la façon dont ils se ridiculisaient et la façon dont elle déliait leur langue. Il était hors-de-question qu’il se mette dans une telle position de faiblesse !
Semblable à un joueur de jeu d’échecs lors d’une partie (jeu dont il était un fervent pratiquant), l’homme des sables avait pris l’habitude de tout calculer , absolument tout, avant de prendre une simple décision. Sa vivacité d’esprit, en plus d’avoir permis la création de nouvelles stratégies commerciales dont beaucoup de membres de sa tribu se servent aujourd’hui, lui avait permis de réchapper de situations des plus dangereuses et inextricables.
Ce n’était pas un mauvais bougre certes mais, seulement obsédé par son simple plaisir, Pasha n’avait que très peu de considération pour les autres, du moment qu’ils lui servaient à quelque chose mais à partir du moment où vous ne lui serviez plus à rien, à quoi bon lui servirait-il de vous parler ?
>> Biographie
Le Royaume d’Alabasta, connu pour sa grandeur, son histoire, ainsi que la profondeur de sa culture comptait officiellement sur toute l’étendue de son territoire une trentaine de tribus nomades occupant son immense désert. Pasha, lui, pouvait vous en dénombrer un peu plus de cinquante.
La tribu à laquelle il appartenait, les Bona-fehr, se démarquait des autres par ce dévouement, ce culte qu’ils vouaient à l’arme blanche. Nul ne sait de quand datait l’apparition de leurs traditions, de leur rites, de leur code d’honneur ni comment ils s’étaient établis. Ils existaient c’est tout. Le dieu auquel ils croyaient était appelé « Le dieu Tranché » et leur chef, souvent âgé et élu pour sa sagesse et non pour ses aptitudes guerrières, veillait à ce qu’ils respectent ce que leur divinité avait édicté.
On disait d’eux qu’ils formaient un « peuple guerrier ». Pourquoi ? Parce que très fiers, ils jouaient volontiers de la lame pour préserver leur honneur et n’évitaient en aucun cas l’affrontement physique.
Parce-que ceux les connaissant les craignaient et tentaient rarement d’entrer en conflit avec, ses membres ne dégainaient leur dague que très rarement. On ne retenait d’eux alors que leur sens aigu du commerce, sens qui s’était affiné au fil des ans. Contrairement à beaucoup d’autres tribus, ils n’acquéraient qu’occasionnellement leurs biens par la violence, se contentant de les obtenir par des moyens plus pacifiques en marchandant justement avec les tribus qui pratiquaient des raids ou les commerçants des souks. Très vite, la tribu pût s’enrichir et améliorer ses conditions de vie. On racontait alors qu’ils occupaient les tentes les plus luxueuses d’Alabasta et que même les plus riches n’avaient rien à envier aux citadins, malgré le fait qu’ils soient au beau milieu du désert.
Bien entendu, bon nombre de tribus convoitèrent leurs biens et tentèrent de les attaquer ; parce qu’ils étaient rusés et habiles de leurs armes, ils élaborèrent bon nombre de tactiques qui eurent raison de leurs ennemis. En accordant la vie sauve aux vaincus, ils purent nouer de fortes relations avec leurs anciens adversaires, aussi bien amicales que commerciales. La tribu des Bona-fehr comptait alors parmi l’une des plus importantes du désert d’Alabasta.
A la naissance de Pasha, comme le voulait la tradition, son père coupa lui-même le cordon ombilical à l’aide de l’un de ses sabres avant de prononcer ce qu’on appelait les vœux de naissance ; « Par la lame tu es né. »
Quelques jours après, son baptême fut organisé, durant lequel on le marquait d’une petite coupure. « Par la lame, tu es marqué » Et alors on s’enivrait, on chantait, on dansait au son de la musique produit par l’entrechoquement des dagues de maîtres-lame ou on jouait au « fol couperet », un jeu consistant avec une autre personne à se lancer à tour de rôle des couteaux qu’il fallait rattraper sans y laisser un doigt. Chose peu aisée en état d’ivresse.
A l’âge de huit ans alors, on lui offrait sa première arme blanche puis on l’initiait à son maniement. La formation devait être menée par le père de famille, toutefois dans le cas où il était absent, mort prématurément, ou inapte à le faire, un autre membre de la famille pouvait accomplir cette tâche pour peu qu’il soit un homme adulte.
Bien souvent réduite aux tâches ménagères, la femme pouvait toutefois si elle le désirait (et si son tuteur acceptait) être initiée au maniement de la lame. Chose rare mais possible, bien des femmes y excellaient et gagnaient par ailleurs le respect de leurs comparses masculins. Quant aux « inaptes », ceux qui, bien malgré eux n’arrivaient tout simplement pas à jouer de la lame sans se blesser, attiraient le déshonneur sur leur famille et étaient considérés comme des « moitiés d’hommes », évités comme la peste ou victimes avec insistance des railleries des autres « lames ». Le dieu Tranché ne les considérait pas.
Par chance, Pasha ne présentait aucune faiblesse apparente dans le maniement de « l’arme sainte ». Lorsqu’il s’en rendit compte, son père en fût grandement soulagé. Son sang n’avait jamais coulé dans les veines de celui d’un inapte et si un jour cela devait arriver, tant cela était honteux, il espérait être mort et enterré. Cet horrible déshonneur, son fils l’en avait préservé. Il voulait alors l’étreindre et balancer son petit corps tout frêle dans les airs lorsqu’il s’en rendit compte, tellement il était fou de joie. Il n’en fit rien, n’en laissa rien paraître, virilité de lame oblige.
Après avoir appris à lire, à écrire et surtout à compter, on lui enseigna les rudiments du commerce. Il avait alors dix ans. Avec une rapidité faramineuse, l’enfant en absorba toute la substance et arriva même à élaborer de nouvelles stratégies sans difficulté. On se mit alors à l’appeler « La grosse tête » ou « L’enfant prodige », épaté par son génie. Le statut qu’il avait acquis au sein de la tribu nécessitait une contrepartie, la jalousie de ses camarades qui se mirent à l’éviter tout simplement. Il finit seul. Apparaissant tout d’abord comme son ennemie, sa solitude devint sa force. Et que fait-on pour s’occuper quand on s’ennuie ? On lit.
Leur bibliothèque, pleine d’ouvrages à l’écriture illisible et aux pages faites de papyrus, devint sa nouvelle demeure et la lecture, sa nouvelle lubie. Arrivé à un certain stade, cela devint une dépendance, motivée par une grande soif de savoir. Il en délaissa même sa dague, préférant lire plutôt que de s’exercer. Ce comportement, considéré comme un affront envers leur Dieu, lui sera reproché par ses parents ainsi que par leur chef. Il n’en aura rien à faire.
Les années passèrent et, alors que ses premiers poils au menton apparurent, Pasha conclut enfin sa première transaction dans un souk de Rain Base, plaque tournante des commerçants de l’île. Et quelle transaction ! Pour la modique somme d’une cinquantaine de berrys, le jeune commerçant réussit à acquérir en échange auprès d’un vendeur ignare un sabre d’exception qui avait une apparence des plus lamentables ; le sabre du nom de Labby Nefehpalmwanne, en plus de sa grande solidité, attirerait selon les dires la chance en la faveur de son possesseur.
En l’offrant à la tribu elle-même, le jeune homme resserra les liens avec les membres de sa famille, les membres de la tribu, notamment ceux qui le traitaient de mécréant parce qu’il avait justement délaissé le maniement de l’arme blanche. Et, s’il acceptait cette offrande, le dieu Tranché lui accorderait peut-être le pardon. Il faisait d’une pierre, deux coups. Mais croyait-il vraiment en son Dieu ? Nul ne le savait. Quoi qu’il en soit, on disait qu’il n’y avait pas de plus belle offrande qu’une lame « forgée par le démon ». Comment l’avait-il reconnue ? Il en avait vu le dessin, un soir, dans un livre.
Les années, tranquillement passèrent et Pasha avait toujours le flair pour les bonnes affaires. Lire, flâner dans son immense tente (qui était plus grande que celle que ses parents partageaient), commercer de temps à autres dans les souks, voilà la vie plutôt tranquille du jeune génie qui se complaisait dans sa solitude. Bien des femmes tentaient d’attirer son regard, bien des impressionnés tentaient d’obtenir son amitié, bien des commerçants tentaient de lui soutirer des techniques commerciales... Il n’en avait rien à faire d’eux.
« C’est quoi ce bordel ! » se mit-il à gueuler un soir, alors que la plupart dormaient, lorsqu’il se rendit compte qu’un pan énorme de l’Histoire n’était pas renseigné, appelé « Le siècle manquant » ! Et il ne s’en était rendu compte que maintenant, après toutes ces années de lecture ! Il se spécialisa alors dans l’Histoire, concentré dans ses recherches jour et nuit, quitte à en perdre l’appétit et le sommeil. Les quelques fois où il dormait, il se surprenait à rêver de pièces de collections et de trésors datant de temps anciens, trésors qui lui appartenaient tous et qui le renseignaient sur ce fameux siècle disparu ! Toutefois, le fantasme ne pouvait se substituer à la réalité. Quelques temps après il se décida alors à prendre la mer, motivé par son désir de retrouver ces fameux trésors mais surtout de s’amuser !
La tribu à laquelle il appartenait, les Bona-fehr, se démarquait des autres par ce dévouement, ce culte qu’ils vouaient à l’arme blanche. Nul ne sait de quand datait l’apparition de leurs traditions, de leur rites, de leur code d’honneur ni comment ils s’étaient établis. Ils existaient c’est tout. Le dieu auquel ils croyaient était appelé « Le dieu Tranché » et leur chef, souvent âgé et élu pour sa sagesse et non pour ses aptitudes guerrières, veillait à ce qu’ils respectent ce que leur divinité avait édicté.
On disait d’eux qu’ils formaient un « peuple guerrier ». Pourquoi ? Parce que très fiers, ils jouaient volontiers de la lame pour préserver leur honneur et n’évitaient en aucun cas l’affrontement physique.
Parce-que ceux les connaissant les craignaient et tentaient rarement d’entrer en conflit avec, ses membres ne dégainaient leur dague que très rarement. On ne retenait d’eux alors que leur sens aigu du commerce, sens qui s’était affiné au fil des ans. Contrairement à beaucoup d’autres tribus, ils n’acquéraient qu’occasionnellement leurs biens par la violence, se contentant de les obtenir par des moyens plus pacifiques en marchandant justement avec les tribus qui pratiquaient des raids ou les commerçants des souks. Très vite, la tribu pût s’enrichir et améliorer ses conditions de vie. On racontait alors qu’ils occupaient les tentes les plus luxueuses d’Alabasta et que même les plus riches n’avaient rien à envier aux citadins, malgré le fait qu’ils soient au beau milieu du désert.
Bien entendu, bon nombre de tribus convoitèrent leurs biens et tentèrent de les attaquer ; parce qu’ils étaient rusés et habiles de leurs armes, ils élaborèrent bon nombre de tactiques qui eurent raison de leurs ennemis. En accordant la vie sauve aux vaincus, ils purent nouer de fortes relations avec leurs anciens adversaires, aussi bien amicales que commerciales. La tribu des Bona-fehr comptait alors parmi l’une des plus importantes du désert d’Alabasta.
A la naissance de Pasha, comme le voulait la tradition, son père coupa lui-même le cordon ombilical à l’aide de l’un de ses sabres avant de prononcer ce qu’on appelait les vœux de naissance ; « Par la lame tu es né. »
Quelques jours après, son baptême fut organisé, durant lequel on le marquait d’une petite coupure. « Par la lame, tu es marqué » Et alors on s’enivrait, on chantait, on dansait au son de la musique produit par l’entrechoquement des dagues de maîtres-lame ou on jouait au « fol couperet », un jeu consistant avec une autre personne à se lancer à tour de rôle des couteaux qu’il fallait rattraper sans y laisser un doigt. Chose peu aisée en état d’ivresse.
A l’âge de huit ans alors, on lui offrait sa première arme blanche puis on l’initiait à son maniement. La formation devait être menée par le père de famille, toutefois dans le cas où il était absent, mort prématurément, ou inapte à le faire, un autre membre de la famille pouvait accomplir cette tâche pour peu qu’il soit un homme adulte.
Bien souvent réduite aux tâches ménagères, la femme pouvait toutefois si elle le désirait (et si son tuteur acceptait) être initiée au maniement de la lame. Chose rare mais possible, bien des femmes y excellaient et gagnaient par ailleurs le respect de leurs comparses masculins. Quant aux « inaptes », ceux qui, bien malgré eux n’arrivaient tout simplement pas à jouer de la lame sans se blesser, attiraient le déshonneur sur leur famille et étaient considérés comme des « moitiés d’hommes », évités comme la peste ou victimes avec insistance des railleries des autres « lames ». Le dieu Tranché ne les considérait pas.
Par chance, Pasha ne présentait aucune faiblesse apparente dans le maniement de « l’arme sainte ». Lorsqu’il s’en rendit compte, son père en fût grandement soulagé. Son sang n’avait jamais coulé dans les veines de celui d’un inapte et si un jour cela devait arriver, tant cela était honteux, il espérait être mort et enterré. Cet horrible déshonneur, son fils l’en avait préservé. Il voulait alors l’étreindre et balancer son petit corps tout frêle dans les airs lorsqu’il s’en rendit compte, tellement il était fou de joie. Il n’en fit rien, n’en laissa rien paraître, virilité de lame oblige.
Après avoir appris à lire, à écrire et surtout à compter, on lui enseigna les rudiments du commerce. Il avait alors dix ans. Avec une rapidité faramineuse, l’enfant en absorba toute la substance et arriva même à élaborer de nouvelles stratégies sans difficulté. On se mit alors à l’appeler « La grosse tête » ou « L’enfant prodige », épaté par son génie. Le statut qu’il avait acquis au sein de la tribu nécessitait une contrepartie, la jalousie de ses camarades qui se mirent à l’éviter tout simplement. Il finit seul. Apparaissant tout d’abord comme son ennemie, sa solitude devint sa force. Et que fait-on pour s’occuper quand on s’ennuie ? On lit.
Leur bibliothèque, pleine d’ouvrages à l’écriture illisible et aux pages faites de papyrus, devint sa nouvelle demeure et la lecture, sa nouvelle lubie. Arrivé à un certain stade, cela devint une dépendance, motivée par une grande soif de savoir. Il en délaissa même sa dague, préférant lire plutôt que de s’exercer. Ce comportement, considéré comme un affront envers leur Dieu, lui sera reproché par ses parents ainsi que par leur chef. Il n’en aura rien à faire.
Les années passèrent et, alors que ses premiers poils au menton apparurent, Pasha conclut enfin sa première transaction dans un souk de Rain Base, plaque tournante des commerçants de l’île. Et quelle transaction ! Pour la modique somme d’une cinquantaine de berrys, le jeune commerçant réussit à acquérir en échange auprès d’un vendeur ignare un sabre d’exception qui avait une apparence des plus lamentables ; le sabre du nom de Labby Nefehpalmwanne, en plus de sa grande solidité, attirerait selon les dires la chance en la faveur de son possesseur.
En l’offrant à la tribu elle-même, le jeune homme resserra les liens avec les membres de sa famille, les membres de la tribu, notamment ceux qui le traitaient de mécréant parce qu’il avait justement délaissé le maniement de l’arme blanche. Et, s’il acceptait cette offrande, le dieu Tranché lui accorderait peut-être le pardon. Il faisait d’une pierre, deux coups. Mais croyait-il vraiment en son Dieu ? Nul ne le savait. Quoi qu’il en soit, on disait qu’il n’y avait pas de plus belle offrande qu’une lame « forgée par le démon ». Comment l’avait-il reconnue ? Il en avait vu le dessin, un soir, dans un livre.
Les années, tranquillement passèrent et Pasha avait toujours le flair pour les bonnes affaires. Lire, flâner dans son immense tente (qui était plus grande que celle que ses parents partageaient), commercer de temps à autres dans les souks, voilà la vie plutôt tranquille du jeune génie qui se complaisait dans sa solitude. Bien des femmes tentaient d’attirer son regard, bien des impressionnés tentaient d’obtenir son amitié, bien des commerçants tentaient de lui soutirer des techniques commerciales... Il n’en avait rien à faire d’eux.
« C’est quoi ce bordel ! » se mit-il à gueuler un soir, alors que la plupart dormaient, lorsqu’il se rendit compte qu’un pan énorme de l’Histoire n’était pas renseigné, appelé « Le siècle manquant » ! Et il ne s’en était rendu compte que maintenant, après toutes ces années de lecture ! Il se spécialisa alors dans l’Histoire, concentré dans ses recherches jour et nuit, quitte à en perdre l’appétit et le sommeil. Les quelques fois où il dormait, il se surprenait à rêver de pièces de collections et de trésors datant de temps anciens, trésors qui lui appartenaient tous et qui le renseignaient sur ce fameux siècle disparu ! Toutefois, le fantasme ne pouvait se substituer à la réalité. Quelques temps après il se décida alors à prendre la mer, motivé par son désir de retrouver ces fameux trésors mais surtout de s’amuser !
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Informations IRL
Prénom : Andrea
Age : 20
Aime : Moi
N'aime pas : Toi
Personnage préféré de One Piece :: Kidd - X Drake - Doflamingo - Baggy - Kizaru
Caractère : Aussi cool qu'un surfeur
Fait du RP depuis : Pas longtemps
Disponibilité approximative : 6j/7
Comment avez-vous connu le forum ? Par hasard
Si vous pouviez remplacer -Mickey Saurel- par -Pasha Brakadabra- ce serait cool merci
Prénom : Andrea
Age : 20
Aime : Moi
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Fait du RP depuis : Pas longtemps
Disponibilité approximative : 6j/7
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