J’avais envie de sang, oui, comme à mon habitude je voulais tuer et torturer, me repaître de la souffrance de mes victime qui était, la plupart du temps des marines. Bien que le faite de tuer un civil ne me dérangeait absolument pas, c’était bien plus excitant de tuer un marine qui sait se défendre et ainsi défier l’autorité. Oui, encore une fois j’allais défier l’autorité mais, j’allais servir à quelque chose, alors que d’habitude j’attaquais simplement pour tuer, cette fois je devais récupérer des médicaments pour le médecin, ainsi que du matérielle pour soigner. C’était l’unique ordre du capitaine et cela me convenais parfaitement, en effet, j’allais défier une fois des plus les autorités en me fournissant directement dans le QG du coin, qu’elle endroit parfait pour trouver tout le matériel nécessaire ainsi que tuer lentement. Oui, tout cela serait au programme et grâce à mon capitaine, c’était grâce a lui que je me trouvais ici et que j’allais pouvoir m’amuser. Mon ventre gargouilla et je soupirai, je n’avais pas envie de faire du grabuge en ville, j’allais devoir manger un marine et j’espérais qu’il serait bon. Oui, le goût d’une personne change à chaque fois, chaque fois que l’on mange quelqu’un une surprise attend la personne qui ose le faire, le goût, une chose étrange qui change à chaque personne.
Je marchais lentement dans les rues de la ville, un katana à la hanche, un sabre dans le dos, ma dague à ma ceinture, j’étais prêt à me battre et à faire un carnage de sang et de souffrance. J’aperçue le QG au loin, juste au bord de la ville, il était bien placé pour permettre au marines d’intervenir rapidement en cas de problème, mais, cette fois-ci ils n’auraient même pas à ce déplacé puisque tout ce passerais à l’intérieur de ce QG. Le sang allait se rependre et j’allais m’amuser, seul. Après quelques minutes de marche je finis par arriver devant le QG, à une distance suffisamment éloigné pour que celui qui gardait le portail ne me voie pas. J’allais faire ce que j’appelais l’impossible, être discret, oui, pour pénétré dans cette endroit tranquillement il fallait que je sois un minimum discret et cela je n’en avais pas l’habitude. Je regardais le soleil, en face de moi, il crée de l’ombre avec l’enceinte de ce QG, c’était parfait. Je reculais à nouveaux et emprunter une ruelle latéral afin de m’éloigner du portail, tranquillement. Une autre rue me donna à nouveau accès au mur et j’en profité pour me coller à lui, dans l’ombre, cela ne servais pas à grand-chose dans l’immédiat mais, lorsque je rencontrerais le garde, cela devenais essentiel.
Je retournais près du garde, il ne se retourna pas immédiatement et je l’appelais afin qu’il vienne me voir, celui-ci, se demandant ce que je voulais s’approcha et lorsqu’il remarqua mes armes, il dégaina la sienne.
-Qu-que veut-tu ?
Sa voix trembler légèrement, c’était un délice de l’entendre parler ainsi et je ne répondit rien, je me mît simplement à tourner autours de lui, silencieusement et je disparue à ses yeux, ma technique du ‘ in'toku hikage’ était toujours aussi efficace. Le marine sursauta se demandant ce qui se passait, il ne s’attendait surement pas à ce que je disparaisse à sa vue. Je passais tranquillement derrière lui, silencieusement, mes pieds foulant doucement le sol sans faire de bruit puis, dégainant silencieusement mon sabre, je lui mis un coup de pommeau dans la nuque afin de le rendre inconscient. Le marine s’écroula d’un seul coup, rengainant mon sabre, je le soulevais avant de l’emmener un peu plus loin, il était lourd mais cela ne me dérangeais pas. Heureusement pour moi, personne ne me remarqua et je le jetais dans un fourré puis, dégainant à nouveau mon sabre, je le lui enfonçais dans la gorge. Aucun survivant ne devait me rencontrer, enfin si peut-être un, je verrai bien. Je retournais tranquillement vers l’entré en léchant la lame de mon sabre, le sang et j’arrivais à nouveau devant l’entré qui était maintenant libre, tout aller pouvoir commencer.
Je marchais lentement dans les rues de la ville, un katana à la hanche, un sabre dans le dos, ma dague à ma ceinture, j’étais prêt à me battre et à faire un carnage de sang et de souffrance. J’aperçue le QG au loin, juste au bord de la ville, il était bien placé pour permettre au marines d’intervenir rapidement en cas de problème, mais, cette fois-ci ils n’auraient même pas à ce déplacé puisque tout ce passerais à l’intérieur de ce QG. Le sang allait se rependre et j’allais m’amuser, seul. Après quelques minutes de marche je finis par arriver devant le QG, à une distance suffisamment éloigné pour que celui qui gardait le portail ne me voie pas. J’allais faire ce que j’appelais l’impossible, être discret, oui, pour pénétré dans cette endroit tranquillement il fallait que je sois un minimum discret et cela je n’en avais pas l’habitude. Je regardais le soleil, en face de moi, il crée de l’ombre avec l’enceinte de ce QG, c’était parfait. Je reculais à nouveaux et emprunter une ruelle latéral afin de m’éloigner du portail, tranquillement. Une autre rue me donna à nouveau accès au mur et j’en profité pour me coller à lui, dans l’ombre, cela ne servais pas à grand-chose dans l’immédiat mais, lorsque je rencontrerais le garde, cela devenais essentiel.
Je retournais près du garde, il ne se retourna pas immédiatement et je l’appelais afin qu’il vienne me voir, celui-ci, se demandant ce que je voulais s’approcha et lorsqu’il remarqua mes armes, il dégaina la sienne.
-Qu-que veut-tu ?
Sa voix trembler légèrement, c’était un délice de l’entendre parler ainsi et je ne répondit rien, je me mît simplement à tourner autours de lui, silencieusement et je disparue à ses yeux, ma technique du ‘ in'toku hikage’ était toujours aussi efficace. Le marine sursauta se demandant ce qui se passait, il ne s’attendait surement pas à ce que je disparaisse à sa vue. Je passais tranquillement derrière lui, silencieusement, mes pieds foulant doucement le sol sans faire de bruit puis, dégainant silencieusement mon sabre, je lui mis un coup de pommeau dans la nuque afin de le rendre inconscient. Le marine s’écroula d’un seul coup, rengainant mon sabre, je le soulevais avant de l’emmener un peu plus loin, il était lourd mais cela ne me dérangeais pas. Heureusement pour moi, personne ne me remarqua et je le jetais dans un fourré puis, dégainant à nouveau mon sabre, je le lui enfonçais dans la gorge. Aucun survivant ne devait me rencontrer, enfin si peut-être un, je verrai bien. Je retournais tranquillement vers l’entré en léchant la lame de mon sabre, le sang et j’arrivais à nouveau devant l’entré qui était maintenant libre, tout aller pouvoir commencer.